Academic literature on the topic 'Cameroun – Politique et gouvernement – 1982-'

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Dissertations / Theses on the topic "Cameroun – Politique et gouvernement – 1982-"

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Ndoumbe, Eboule Jacques-Alfred. "Succession présidentielle en Afrique sub-saharienne et continuité de la politique étrangère : l'expérience du Cameroun 1982-1990." Paris 10, 1992. http://www.theses.fr/1992PA100098.

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Abstract:
Le 4 novembre 1982, le président de la République unie du Cameroun, M. Ahmadou Ahidjo, dont le mandat présidentiel expirait légalement en 1985, annonce sa démission de ses fonctions de chef de l'Etat. Le 6 novembre 1982, il est remplacé conformément aux dispositions constitutionnelles en vigueur par le premier ministre M. Paul Biya, dauphin présidentiel et héritier présomptif. Avec cet usage du "delphinat", la succession présidentielle en Afrique subsaharienne apparaît comme une rationalisation du mode de régulation politique permettant de garantir non seulement une continuité exécutive du pouvoir, mais aussi et au-delà, la survie du régime politique et de sa "gouvernementalité". En dépit d'inquiétants risques d'éclatement du système causés par les conflagrations postsuccessorales de 1983-1984 entre l'héritier présidentiel et le "de oujus", les élites anciennes et nouvelles ont de manière collusoire convenu d'un compromis historique global, afin de reconduire les formules autochtones et extraverties de construction d'un Etat moderne. Dès lors, et initialement, le projet rénovateur et réformateur de M. Biya était voué à s'accommoder sur le mode de la persistance des contraintes, des résistances et des impératifs inhérents à cette entreprise de construction stable d'un système moderne d'inégalité et de domination, emmanchée depuis 22 ans au moment où il accès au pouvoir. La dynamique de la politique étrangère du Cameroun a étroitement observé le même "tempo" d'obstruction structurelle à la rénovation, car il n'y a ni véritable déconnexion, ni cloison<br>The 4th of November 1982, the president of the United Republic of Cameroon, Mr Ahmadou Ahidjo, whose presidential mandate was supposed to expire in 1985, announced his resignation from his position of Head of State. On the 6th of November 1982, in accordance with the constitutionnal arrangements, he was replaced by the Prime Minister Mr Paul Biya, presidential apparent, appointed at this occasion. With this practise of "delphinat", the presidential succession appears to be like the rationalization of the political mode of regulation giving the opportunity to assure the continuity of the executive power, and beyond the political regime survival and its "governmentality". In spite of some serious risks of split in the system, provoked by the post-successorals conflicts between the presidential successor and his predecessor, the old and the new elites have made a historical and global compromise in order to renew the building methods, both local and extrovert in origin, of a modern state. From that time on, Mr Biya's plan, formaly of renewal and change, was doomed to deal with the constraints, resistances and necessities inherent to that building goal of a modern system of inequality and domination put in place twenty-two years ago. The dynamics of foreign policy in Cameroon has suffered the same structural obstruction in its way to renovation, for there is no real disconnection between the choices in foreign
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Binam-Bikoï, Auguste Cabral. "La sociologie des mobilisations partisanes au Cameroun : les partis politiques dans l'action collective en contexte de libéralisation post guerre froide." Bordeaux 4, 2010. http://www.theses.fr/2010BOR40012.

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Abstract:
Le retour de l'Afrique au multipartisme a donné un regain d'intérêt à l'action collective auprès des chercheurs en sciences sociales. Dans le cas d'un pays comme le Cameroun, la fin du parti unique s'accompagne d'un mouvement de contestations de l'ordre établi (opération "villes mortes") Des réformes institutionnelles en découleront et déboucheront sur les premières élections pluralistes en 1992 (Législatives le 1er mars; les présidentielles le 11 octobre). D'autres échéances suivront, notamment en 1997, 2002 et 2004. Test par excellence pour le processus démocratique enclenché dès 1990, l'ensemble de ces consultations met les partis politiques en première ligne des mobilisations et formes d'action collective. Pourtant, objet politiquement identifié et acteurs majeurs des transformations en cours, que maints spécialistes nomment "transition démocratique", les partis demeurent les parents pauvres des analyses du politique en Afrique. A la lumière des processus politiques au Cameroun depuis 1990, une attention est accordée à l'influence des élites politiques, économiques et des notabilités traditionnelles sur l'action collective des partis politiques et la restructuration des rapports de pouvoir entre les différentes forces. Il s'agit d'abord de s'interroger sur : l'articulation des partis politiques au clivage Centre/périphérie, le poids des contraintes hégémoniques, à la fois externes et sociologiques du pluralisme, sur les interactions entre les partis au pouvoir et de l'opposition, aussi bien que sur leurs stratégies d'adaptation et de coordination des mobilisations autour des nouvelles règles de la compétition politique. Il s'agit ensuite d'évaluer l'impact des partis politiques sur les mutations politiques intervenues depuis 1990<br>The return to multiparty politics in Africa has generated renewed interest of researchers in social sciences for collective action. In the case of countries like Cameroon, the ending of one-party politics triggered contestations of the established order. This context of vulnerability leads to civil disobedience (operation "ghost towns"). Institutional reforms followed and lead to the first multiparty elections in 1992 (legislation on 1st March, the presidential October 11). Other dates will follow, includind, in 1997, 2002 and 2004. In these processes that may experts xcall democratic transitions, political parties are the forefront of mobilisations and other forms of collective action. Yet polically identified object and key players in changes attributed to the "global time" period, the parties still are left aside in policy analysis in Africa. The need for a new focus of politics in Africa justifies an analysis of parties as an object of research in light of collective mobilisation in Cameroon since the liberalisation after the Cold War. This current research work questions the sociological logics by which political parties rally behind the veil of democratic propaganda, popular internationally. On the one hand, it estimates the burden of hegemony, both external and sociocultural on collective action amongst the parties and, on the other hand, this work highlights the strategies and modes of coordination around the conventions of political competition
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Nguele, Abada Marcelin. "État de droit et démocratisation : contribution à l'étude de l'évolution politique et constitutionnelle au Cameroun." Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010255.

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Abstract:
L'année 1990 constitue le début d'une nouvelle forme de décomposition et de recomposition des systèmes politiques en Afrique. La contestation du pouvoir confisque, l'abolition de l'absolutisme des partis uniques et l'émergence des formes groupées de lutte politique ouvrent les pays du dernier continent vers les rêves démocratiques et de l'état de droit. L'évolution camerounaise constitue la préoccupation majeure de ce travail afin de répondre à la question de savoir comment le Cameroun réalise les mutations socio-politiques des années 1990. Le processus de changement s'inscrit dans l'ère du temps qui voit le triomphe du libéralisme politique et économique. La société affirme l'universalité des droits de l'homme et l'impérieuse évolution vers la démocratie et la liberté. La transition en cours consacre la triple victoire sur l'état, sur l'absolutisme partisan et sur la sacralité du pouvoir, victoire remportée par la société civile ; d'où la consécration du pluralisme politique et la résurrection des élections disputées (partie I). Ce pas devait aussitôt s'accompagner des concessions normatives mettant fin à l'obsolescence du constitutionnalisme de figuration pour un constitutionnalisme de confirmation ; d'où ce triduum : constitution des libertés, des pouvoirs (Hauriou) et des juges (partie III). En définitive, la transition confirme que la souveraineté est revenue à son souverain : le peuple<br>The year 1990 marked the beginning of a new kind of decomposition and recomposition of political systems in Africa. The protests against confiscated powers, the abolition of the absolutism of single party systems and the emergence of groups of political struggles kindled the awareness of African countries in the democratic dream for the rule of law. The Cameroonian evolution represents the major objective of this research in order to address the question of how Cameroon achieved the socio-political changes of the 90's. This process of change was partly in keeping with the spirit of the era, which witnessed the victory of political and economic liberalism. The society affirms the universality of human rights and an urgent transition towards freedom and democracy
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Toulou, Lucien Fidèle. "Des usages du multipartisme : transitions post-autoritaires et reproduction des élites au Cameroun et au Kenya." Bordeaux 4, 2005. http://www.theses.fr/2005BOR40050.

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Abstract:
Comment se comportent les élites face au multipartisme ? Le maintien au pouvoir des dirigeants des anciens régimes autoritaires n'est-il que l'expression de l'échec des sociétés africaines à s'ouvrir à la démocratie ? Ce travail tente d'y répondre à partir d'une étude des logiques de reproduction des élites au Cameroun et au Kenya, deux cas exemplaires de transitions post-autoritaires hybrides dans lesquelles la mise en place de régimes électoraux multipartites n'a pas mis fin à l'emprise de l'ancien parti unique sur la vie politique. Mieux qu'une simple modalité de survie, la reproduction des élites se présente, ici et là, comme la création continuée d'un mode de domination fondée notamment sur l'instrumentalisation des clivages ethniques et l'échange inégal dans la redistribution des ressources de l'Etat ; c'est l'un des usages, une des manières par lesquelles les élites s'adaptent au multipartisme. Si la revendication anti-autoritaire a mis en crise les régimes politiques camerounais et kenyan, le retour au multipartisme leur a en revanche permis de réinventer le parti unique par d'autres moyens. Un tel mode d'appropriation de la rhétorique démocratique est porteur de pluralité et de créativité cependant qu'il souligne la nature ambigüe des changements en cours depuis le début des années 1990. Entre la tentation d'un retour au monopole politique que manifeste la transformation de l'ancien parti unique en parti dominant et les effets émergents d'une lbéralisation ayant des bienfaits déguisés et des conséquences inattendues, l'un des défis majeurs des régimes hybrides, dans les deux pays comme ailleurs, est celui de l'habituation à la réalité du pluralisme.
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Oyono, Dieudonné. "La politique africaine du Cameroun, 1960-1985." Paris, Institut d'études politiques, 1988. http://www.theses.fr/1988IEPP0015.

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Abstract:
Il s'agit essentiellement de savoir, compte tenu de son passé commun avec la France, principale puissance extérieure du continent africain, s'il a été possible pour le Cameroun depuis 1960 de mener une politique africaine distincte des lignes maîtresses de la politique africaine de la France. Ce travail comprend deux parties. La première étudie la politique africaine du Cameroun, membre du Groupe africain francophone de 1960 à 1973, groupe que la presse nigériane qualifia de "véhicule des intérêts néocolonisalistes français". La deuxième partie étudie cette politique africaine du Cameroun hors des pays africains regroupés autour de la France dans le cadre des sommets franco-africains, comme une manifestation de sa volonté d'indépendance par rapport à la France de 1973 à 1985. Il ressort de cette étude que la politique africaine de la France a été de 1960 à 1985 la toile de fond de la politique africaine du Cameroun. Cependant, l'argument d'une France qui aurait fait "main basse" sur le Cameroun ne résiste pas à l'analyse, le poids de la politique africaine de la France sur la politique africaine du Cameroun ayant été dans une large mesure déterminé par les autorités politiques camerounaises. De même que l'image d'un Cameroun qui, entre 1973 et 1985, aurait fait de Yaoundé l'unique centre d'impulsion de sa politique africaine se trouve également démentie par les faits, le Cameroun ayant choisi comme pôle de modernité le monde occidental et la France y apparaissant comme la "filière".
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Nken, Simon. "La gestion de l'UPC : de la solidarité idéologique à la division stratégique des cadres du mouvement nationaliste camerounais 1948-1962 : essai d'analyse historique." Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010625.

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Abstract:
Créée en 1948 par l'élite camerounaise comme réponse à de multiples frustrations du régime colonial, l'Union des Populations du Cameroun (UPC) se dota d'une équipe dirigeante au cours de ses deux congrès fondateurs. Les cadres dirigeants du parti nationaliste camerounais aux sensibilités différentes, se soudèrent autour de l'idéologie du parti, à savoir l'anticolonialisme, tout en revendiquant la réunification et l'indépendance du Cameroun. C'est dans une démarche méthodique et une solidarité particulières que l'équipe dirigeante exerça la gestion des mécanismes de fonctionnement du parti dans la phase légale. Avec cohésion et dynamisme, elle essaima ses structures dans la majeure partie du territoire camerounais. Reclus dans la clandestinité à la suite des émeutes de mai 1955 par les autorités coloniale française, les divergences apparaissaient aussitôt dans les rangs de l'équipe dirigeante. La gestion du parti connaissait ainsi des dysfonctionnements: une absence de cohésion dans la prise des décisions, des divergences stratégiques et tactiques dans la coordination des actions, mais aussi l'émergence sporadique des pseudo leaders plus ou moins indisciplinés, faisant fi des statuts en vigueur. La disparition tragique de l'emblématique secrétaire général du parti Ruben Um Nyobé en 1958, dans son maquis de Boumnyebel, en dépit de la vigilance du CNO, plongea davantage le mouvement dans le désarroi - avec l'apparition des luttes fratricides, génératrices de la déliquescence du mouvement nationaliste camerounais, à l'aube de l'indépendance du jeune Etat le 1er janvier 1960.
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Pitroipa, Rayanesalgo Anatole. "Le Nigéria à l'épreuve du terrorisme : une analyse des racines sociohistoriques et politiques de la violence revendiquée par Boko Haram." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26154.

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Abstract:
Créé à la fin des années 90, Boko Haram est passé, en l’espace de dix ans, du stade de secte islamiste à celui de mouvement terroriste capable de défier l’État fédéral nigérian (première puissance militaire de l’Afrique de l’Ouest) et de mener des incursions dans des pays limitrophes (Cameroun, Tchad, Niger). Les objectifs, les méthodes et les cibles du groupe ont considérablement varié au cours de son évolution, ce qui obère toute tentative de catégorisation de la violence qu’il revendique. Les recherches existantes sur Boko Haram l’analysent en fonction de sa radicalisation à la fin des années 2000 et voient dans l’explosion de la violence au Nord du Nigeria une résultante du terrorisme international et transnational qui affecte le Sahel et plusieurs pays de la sous-région ouest-africaine. Or, la violence politique sur fond de revendications ethniques, économiques et religieuses fait partie de l’histoire politique du Nigeria, et Boko Haram est loin d’être une génération spontanée dans le pays qui abrite la plus forte population musulmane du continent africain. À partir d’un niveau d’analyse intraétatique, cette recherche propose une lecture sociohistorique et politique du contexte structurel à partir duquel Boko Haram a émergé au Nord du Nigeria. Puis, à partir d’une conception relationnelle du rôle de la violence politique, elle utilise l’approche de la violence instrumentale de Martha Crenshaw pour conceptualiser l’évolution des confrontations entre Boko Haram et l’État nigérian. Par rejet d’un système fédéral qu’il considère comme une survivance de l’administration coloniale, Boko Haram revendique effectivement la création d’un État islamique à l’image du Califat de Sokoto [1800-1903] dont les limites géographiques couvraient aussi bien le Nord du Nigeria que certaines parties du Niger, du Cameroun et du Tchad.
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Mimesse, Me Fame Marie. "L’élection présidentielle comme levier de pérennisation dans le système élitaire au Cameroun de 1992 à 2011." Thesis, Lille 2, 2017. http://www.theses.fr/2017LIL20025.

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Abstract:
Notre travail se propose d’analyser selon quelles modalités se mettent en place et évoluent les intégrations élitaires de type thermidorien qui sont à l’oeuvre au Cameroun de 1992 à 2011, au travers des transactions liées à la candidature aux élections présidentielles.En décembre 1990, après 4 décennies d’un régime présidentiel monolithique, des forces d’opposition émergent à l’occasion de la libéralisation de la vie politique, dans l’optique de renverser le pouvoir en place, dans une logique révolutionnaire. Au bout de deux décennies de pluralisme, à défaut d’avoir remplacé le pouvoir en place, certains des membres de la fronde contre le pouvoir sont intégrés dans les instances gouvernementales du régime, occasionnant une révolution thermidorienne. Nous passons en revue les différents éléments (systémiques et conjoncturels) facilitateurs de l’intégration élitaire, au sortir d’une période autoritaire et qui favorisent les intégrations des anciens révolutionnaires dans le centre du pouvoir. Les conditions analysées sont les suivantes en ce qui concerne les éléments systémiques : une structuration élitaire centralisée qui freine la mise en place d’un polycentre, une opposition autonome, un recrutement élitaire décentralisé, le mésocratisme comme coutume du champ politique. Les éléments conjoncturels qui initient l’intégration élitaire postautoritaire, et que nous analysons, sont les suivants : la possession par les élites émergeantes des caractéristiques de la nouvelle donne du jeu politique (référentiels démocratiques), le défaut de cette nouvelle caractéristique chez les élites en position dans le pouvoir central, la capacité chez les élites intermédiaires d’exercer une pression sur le centre du pouvoir, afin de modifier l’agenda politique, et enfin, la possibilité pour les élites en place de mettre à profit les leviers institutionnels dont ils disposent pour rassembler les différentes factions en présence<br>Our work aims at studying how the thermidorian-type elite integrations witnessed in Cameroon from 1992 to 2011 are set up and evolve, based on transactions linked to the candidacy for presidential elections. In december 1990, after 4 decades of one-party presidential system, opposition forces emerged thanks to the liberalisation of political life in december 1990, with the aim of toppling the powers that be, through a revolutionary move. After two decades of pluralism, some members of the opposition who have not succeeded to replace the people in power are integrated into public bodies of the regime, thus causing a thermidorian revolution. We are reviewing the various elements (system andsituational) facilitating elite integration at the end of an authoritarian period and which foster the integration of former revolutionaries into the centre of power. The following conditions are reviewed, including: a centralised elite structure which hinders the setting up of a polycentre for an independent opposition, a decentralised elite recruitment, mesocratism as a practice in the political field. Situational elements which promote the integration of post-authoritarian elite and that we are analysing are the following :emerging elite possess the characteristics of the new order of political game (democraticreferences), elite in the central power lack of this new characteristics, intermediary elite are able to mount pressure on the central power to change the political agenda, and lastly, the elite in power can use institutional levers at their disposal to bring the various existing factions together
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Ondoua, Antoine. "Sociologie du corps militaire en Afrique noire : le cas du Cameroun." Thesis, Rennes 1, 2013. http://www.theses.fr/2013REN1G014/document.

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Abstract:
L'évocation de l'armée en Afrique en général et noire en particulier rime, dans la conscience collective, avec coups d'Etat, mutineries, rebellions, violences. Et pourtant, des particularités sont à tirer notamment en ce qui concerne la stabilité des Etats et l'ascension à la magistrature suprême. C'est ainsi qu'en Afrique francophone, le Cameroun et le Sénégal sont à citer car, restés depuis leur « indépendance » à l'abri de prise de pouvoir par la force des armes. Et, ce, malgré des situations sociopolitiques et économiques assez similaires aux autres pays. Pour le Cameroun, au-delà d'une certaine intériorisation du sens professionnel (soumission du militaire au politique), nous pensons que la régularité de l'armée tient du fait qu'elle s'est fondue dans un système néopatrimonial au point de devenir, elle-même, une institution néopatrimonialisée. Mais, bien que défendant des intérêts partisans (du « Prince », de la classe dirigeante et les siens), cette armée se révèle aussi un symbole du processus de rationalisation et de démocratisation de l'Etat (principes bureaucratiques, maintien de l'ordre et de la paix, brassage socioculturel…). Se pose alors la question de savoir qui du système ou du symbole détermine la posture du corps militaire camerounais ? En clair, l'armée camerounaise est-elle loyale parce que néopatrimonialisée ou bien l'ancrage néopatrimoniale s'appuie-t-elle sur cette loyauté ?<br>It is a common perception that the army in Africa and more particularly in black Africa, is associated with putsch, riots, rebellions and violence. Yet, specificities can be pointed out, especially in the two following points: political stability and promotion to the highest office. In that way, in francophone africa, Cameroon and Senegal since their independence, have managed to preserve themselves from any violent upheaval. In Cameroon, beyond a certain internization of the rofessional sense ( army submitted to political power), we can state that the political stability is due to the fact that it has blended into a neo-patrimonial system up to the point of becoming itself a neo-patrimonialised institution. Nonetheless, in spite of defending partisan interests (the "Prince", the ruling class and his family) the army turns out to be a symbol of the process of rationalization and democratization of the state (bureaucratic principles, law enforcement, peacekeeping, socio-cultural mixing etc.). The question is now to figure out if the position of the cameroonian army is determined either by the symbol or by the system. In other words, is the Cameroonian army loyal because of its being neo-patrimonialised or because the neo-patrimonial system relies on such loyalty?
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Njimeni, Njiotang Clébert Agenor. "Le discours de Paul Biya à l'ère du multipartisme au Cameroun : mises en scène argumentatives et relation au pouvoir." Thesis, Bordeaux 3, 2018. http://www.theses.fr/2018BOR30004/document.

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Abstract:
La parole politique est l'instrument principal d’exercice du pouvoir au Cameroun, dirigé par Paul Biya depuis trente-cinq ans. Confrontée aux postures du sujet politique, cette parole trahit à l’arrière-plan discursif, les pensées profondes de l’homme politique. Apporter un éclairage sur cette situation particulière est la tâche principale que nous nous sommes assigné dans cette thèse de Doctorat qui s'intéresse à la relation entre le pouvoir et la mise en scène argumentative dans le discours de Paul Biya à l'ère du multipartisme au Cameroun. Le cadre épistémologique dans lequel se positionnent nos travaux est l’analyse du discours avec une orientation vers l’argumentation rhétorique. Empruntant les démarches intégrative et analytique de l’analyse de discours, nous puisons les concepts opératoires de notre recherche principalement dans les sciences du langage. Nous procédons aussi à l’exploration textométrique de notre corpus à l’aide du logiciel d’analyse statistique Hyperbase. L’analyse nous invite également à constituer de nouvelles notions pour rendre compte des particularités du discours de Paul Biya. La thèse montre que dans sa communication, Paul Biya procède à une mise en scène fondée sur des arguments logico-affectifs, ancrée dans la réalité sociale et les pratiques des différents pouvoirs traditionnels camerounais. Derrière le masque discursif, l'analyse met au jour des stratégies de persuasion, l'évolution de la vie sociopolitique camerounaise. Cette recherche révèle comment Paul Biya incarne un pouvoir fort, sacralisé voire mythifié; s'arrogeant une aura nationale exclusive apte à apaiser le peuple et à inhiber toute action rivale. C’est ainsi qu’il a réussi à mettre en place un régime politique qui joue constamment sur des contrariétés en vue de pérenniser son pouvoir<br>Political speech is the main tool used in order to wield power in Cameroon, a country which is being run by Paul Biya for the past 35 years. The various stands taken by this political figure is revealed through these speeches which inform on the argumentative background and inner thoughts of this politician. The doctorate thesis which studies the relationship between power and the argumentative strategies in Paul Biya speeches in the multiparty era in Cameroon therefore sets out to throw more light on this peculiar situation. This research work is discussed from the vantage point of discourse analysis, more specifically on rhetoric argumentation. Using integrative and analytical approaches to discourse analysis, the work draws its key concepts mainly from language sciences. The textometric analysis of the corpus is carried out using the Hyperbase Statistics Analysis software. Also, the analysis of the corpus has brought us to coin new terms in order to address the specificities of Paul Biya speehes. The findings reveal that in his speeches, Paul Biya makes use of a set-up which is grounded on logico-affective arguments anchored in the social reality as well as in the practices of the various traditional powers in Cameroon. The analysis also brings to the fore the various persuasive strategies and the evolution of the sociopolitical life in Cameroon. This research work also reveals how Paul Biya incarnates a strong, sacred and mythified power which gives him the privilege of having an exclusive aura at the national level which can appease the Cameroonian people and nip in the bud all the initiatives of his rivals. He has therefore succeeded in establishing a political regime which takes advantage of disharmony in order to perpetuate his power
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