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Dissertations / Theses on the topic 'Campagnes électorales – Québec (Province)'

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1

Roy, François. "Les Québécois sont-ils souverainistes? : étude sur le comportement électoral des Québécois de 1970 à 1994." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/28872/28872.pdf.

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2

Cantin, Andréanne. "Débuts, établissement et apogée des méthodes électorales à l'américaine sous l'Union nationale de Maurice Duplessis." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27810.

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Abstract:
Les méthodes électorales à l'américaine ont transformé la façon de faire campagne en temps d'élection et sont maintenant répandues partout en Occident. Les conseillers en image et le recours aux firmes publicitaires font aujourd'hui partie de la donne électorale. Nées aux États-Unis dans la première moitié du XXe siècle, ces méthodes sont les prémisses du marketing électoral actuel. Longtemps avons-nous cru que ce phénomène est apparu dans les années 1960 au Québec, avec l'élection de Jean Lesage. Pourtant, près de quinze ans auparavant, un Premier ministre s'entoure d'une équipe pour mieux gagner ses élections. Maurice Duplessis a recours aux services de Joseph-Damase Bégin, ministre unioniste et ancien vendeur d'automobiles, qui se démarque par ses victoires dans son comté. Bégin s'allie à son tour les talents de Paul Bouchard qui devient directeur de la propagande de l'organisation électorale de l'Union nationale en 1946. Au fil des années, leur organisation grandit et permet à Duplessis de remporter parmi les plus grandes majorités parlementaires de l'histoire du Québec. Comment Bégin, Bouchard et leurs collègues y parviennent-ils? En personnalisant les campagnes de l'Union nationale, en recourant aux médias de masse et aux techniques publicitaires réputées performantes, en effectuant des analyses pré-électorales et surtout, en utilisant un budget faramineux. Voilà la recette du succès unioniste, inspiré des méthodes américaines.
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3

Turbide, Olivier. "La performance médiatique des chefs politiques lors de la campagne électorale de 2003 au Québec : description et évaluation des images construites en situation de débat télévisé, d'entrevue d'affaires publiques et de talk show." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26269/26269.pdf.

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4

Bergeron, Marco. "Le nationalisme et les partis politiques dans l'élection provinciale québécoise de 1936." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/mq33570.pdf.

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5

Montigny, Éric. "Contraintes institutionnelles, leadership et sélection des objectifs partisans au sein des partis politiques : les cas du Parti québécois et du Labour britannique." Doctoral thesis, Université Laval, 2010. http://hdl.handle.net/20.500.11794/22318.

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6

Champagne-Saint-Arnaud, Valériane, and Valériane Champagne-Saint-Arnaud. "L'évaluation de l'efficacité des campagnes de publicité sociale." Doctoral thesis, Université Laval, 2020. http://hdl.handle.net/20.500.11794/38209.

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Abstract:
La publicité sociale, que plusieurs inscrivent dans le domaine plus large du marketing social, occupe une part importante de l’industrie de la communication marketing au Québec : des dizaines de millions de dollars sont investis chaque année dans des campagnes publicitaires promouvant des causes sociales et environnementales multiples. Si les annonceurs sociaux choisissent cette forme de communication persuasive, c’est parce qu’ils sont animés de la conviction qu’elle est efficace pour susciter l’adoption de « bons » comportements ou l’abandon de « mauvais » comportements chez le public visé. Or, cette assertion soulève inévitablement des questions : l’efficacité des campagnes de publicité sociale est-elle évaluée? Le cas échéant, sur quels indicateurs et méthodes s’appuient ces évaluations? Sont-ils arrimés aux plus récentes connaissances issues de la recherche scientifique? Dans les écrits scientifiques, deux constats émergent : l’absence de consensus sur ce qui constitue une campagne efficace et sur la manière d’évaluer cette efficacité, ainsi que le manque de données empiriques sur les pratiques d’évaluation des professionnels. De tels constats conduisent naturellement à s’interroger sur la dynamique d’échange entre la recherche scientifique et les professionnels de la publicité sociale. Les données scientifiques sont-elles transférées aux professionnels? Dans l’affirmative, les intègrent-ils à leurs pratiques? Encore une fois, la revue de la littérature permet de constater que ces enjeux ont été peu documentés empiriquement jusqu’à présent. Dans ce contexte, l’étude s’est penchée sur l’enjeu général de l’arrimage entre les connaissances issues de la recherche scientifique (CIR) et les pratiques d’évaluation des campagnes de publicité sociale au Québec. S’appuyant sur un devis méthodologique mixte, un questionnaire a d’abord été soumis à soixante-deux professionnels de la publicité sociale oeuvrant au Québec, afin d’établir un portrait chiffré de leurs pratiques à l’égard de l’évaluation des campagnes ainsi que du transfert et de l’utilisation des connaissances scientifiques. Puis, vingt-trois professionnels ont participé à des entretiens individuels pour explorer plus en profondeur les raisons qui sous-tendent ces pratiques.
La publicité sociale, que plusieurs inscrivent dans le domaine plus large du marketing social, occupe une part importante de l’industrie de la communication marketing au Québec : des dizaines de millions de dollars sont investis chaque année dans des campagnes publicitaires promouvant des causes sociales et environnementales multiples. Si les annonceurs sociaux choisissent cette forme de communication persuasive, c’est parce qu’ils sont animés de la conviction qu’elle est efficace pour susciter l’adoption de « bons » comportements ou l’abandon de « mauvais » comportements chez le public visé. Or, cette assertion soulève inévitablement des questions : l’efficacité des campagnes de publicité sociale est-elle évaluée? Le cas échéant, sur quels indicateurs et méthodes s’appuient ces évaluations? Sont-ils arrimés aux plus récentes connaissances issues de la recherche scientifique? Dans les écrits scientifiques, deux constats émergent : l’absence de consensus sur ce qui constitue une campagne efficace et sur la manière d’évaluer cette efficacité, ainsi que le manque de données empiriques sur les pratiques d’évaluation des professionnels. De tels constats conduisent naturellement à s’interroger sur la dynamique d’échange entre la recherche scientifique et les professionnels de la publicité sociale. Les données scientifiques sont-elles transférées aux professionnels? Dans l’affirmative, les intègrent-ils à leurs pratiques? Encore une fois, la revue de la littérature permet de constater que ces enjeux ont été peu documentés empiriquement jusqu’à présent. Dans ce contexte, l’étude s’est penchée sur l’enjeu général de l’arrimage entre les connaissances issues de la recherche scientifique (CIR) et les pratiques d’évaluation des campagnes de publicité sociale au Québec. S’appuyant sur un devis méthodologique mixte, un questionnaire a d’abord été soumis à soixante-deux professionnels de la publicité sociale oeuvrant au Québec, afin d’établir un portrait chiffré de leurs pratiques à l’égard de l’évaluation des campagnes ainsi que du transfert et de l’utilisation des connaissances scientifiques. Puis, vingt-trois professionnels ont participé à des entretiens individuels pour explorer plus en profondeur les raisons qui sous-tendent ces pratiques.
L’analyse conjointe des résultats du questionnaire et des entretiens a révélé que les pratiques des professionnels sont partiellement rigoureuses pour évaluer l’efficacité des campagnes, puisqu’elles présentent des lacunes autant pour mesurer les réactions que les résultats générés. Cette conclusion s’articule autour de cinq observations principales : (1) les professionnels n’effectuent pas systématiquement une évaluation des campagnes et, lorsqu’ils le font, c’est principalement à court terme après leur déploiement; (2) les indicateurs et les méthodes utilisés pour évaluer les réactions couvrent rarement la phase d’implication du récepteur; (3) le recours fréquent aux statistiques de popularité d’une campagne sur Internet fournit des données peu pertinentes pour en mesurer les effets réels qu’elle génère; (4) les indicateurs permettant de mesurer le processus de changement comportemental ne sont pas systématiquement utilisés et (5) les professionnels misent souvent sur des méthodes subjectives reposant sur des mesures autorapportées par le public cible des campagnes. Qui plus est, les entretiens ont révélé la tendance des professionnels à sélectionner certaines données et/ou à les interpréter à leur avantage, ce qui peut conduire à déclarer efficaces des campagnes qui ne le sont pas en réalité. Par ailleurs, l’étude révèle que les professionnels de la publicité sociale entretiennent un lien ténu avec le monde la recherche scientifique. Les activités de transfert et d’utilisation des CIR sont peu fréquentes et, lorsqu’elles sont réalisées, c’est principalement dans une visée utilitaire. Autrement dit, les CIR ne servent généralement pas à guider les décisions stratégiques et créatives en aval, mais plutôt à les supporter en amont. Finalement, l’étude offre un apport théorique important en proposant un nouveau cadre conceptuel et opérationnel de l’évaluation des campagnes de publicité sociale. Clarifiant ce qu’est une campagne de publicité sociale efficace et établissant une catégorisation précise des indicateurs et des méthodes permettant de l’évaluer, ce cadre fournit une distinction claire entre les réactions générées par une campagne et ses résultats d’une campagne, deux concepts qui souffraient d’une importante imprécision dans la littérature scientifique jusqu’à présent. L’évaluation des réactions s’appuie sur une nouvelle modélisation en trois phases, fruit de la fusion de modèles hiérarchiques et non hiérarchiques de la réception d’une publicité sociale. L’évaluation des résultats, quant à elle, s’enracine dans un modèle théorique du changement comportemental éprouvé empiriquement – l’approche de l’action raisonnée de Fishbein et Ajzen (2010) – dont il décompose chacune des variables pour en faire cinq indicateurs d’efficacité publicitaire.
L’analyse conjointe des résultats du questionnaire et des entretiens a révélé que les pratiques des professionnels sont partiellement rigoureuses pour évaluer l’efficacité des campagnes, puisqu’elles présentent des lacunes autant pour mesurer les réactions que les résultats générés. Cette conclusion s’articule autour de cinq observations principales : (1) les professionnels n’effectuent pas systématiquement une évaluation des campagnes et, lorsqu’ils le font, c’est principalement à court terme après leur déploiement; (2) les indicateurs et les méthodes utilisés pour évaluer les réactions couvrent rarement la phase d’implication du récepteur; (3) le recours fréquent aux statistiques de popularité d’une campagne sur Internet fournit des données peu pertinentes pour en mesurer les effets réels qu’elle génère; (4) les indicateurs permettant de mesurer le processus de changement comportemental ne sont pas systématiquement utilisés et (5) les professionnels misent souvent sur des méthodes subjectives reposant sur des mesures autorapportées par le public cible des campagnes. Qui plus est, les entretiens ont révélé la tendance des professionnels à sélectionner certaines données et/ou à les interpréter à leur avantage, ce qui peut conduire à déclarer efficaces des campagnes qui ne le sont pas en réalité. Par ailleurs, l’étude révèle que les professionnels de la publicité sociale entretiennent un lien ténu avec le monde la recherche scientifique. Les activités de transfert et d’utilisation des CIR sont peu fréquentes et, lorsqu’elles sont réalisées, c’est principalement dans une visée utilitaire. Autrement dit, les CIR ne servent généralement pas à guider les décisions stratégiques et créatives en aval, mais plutôt à les supporter en amont. Finalement, l’étude offre un apport théorique important en proposant un nouveau cadre conceptuel et opérationnel de l’évaluation des campagnes de publicité sociale. Clarifiant ce qu’est une campagne de publicité sociale efficace et établissant une catégorisation précise des indicateurs et des méthodes permettant de l’évaluer, ce cadre fournit une distinction claire entre les réactions générées par une campagne et ses résultats d’une campagne, deux concepts qui souffraient d’une importante imprécision dans la littérature scientifique jusqu’à présent. L’évaluation des réactions s’appuie sur une nouvelle modélisation en trois phases, fruit de la fusion de modèles hiérarchiques et non hiérarchiques de la réception d’une publicité sociale. L’évaluation des résultats, quant à elle, s’enracine dans un modèle théorique du changement comportemental éprouvé empiriquement – l’approche de l’action raisonnée de Fishbein et Ajzen (2010) – dont il décompose chacune des variables pour en faire cinq indicateurs d’efficacité publicitaire.
The joint analysis of the results of the questionnaire and the interviews revealed that the professionals' practices are partially rigorous in evaluating campaign effectiveness, since they have shortcomings in both measuring target audience reactions and behavioral results. This conclusion is based on five main observations: (1) professionals do not systematically carry out an evaluation of campaigns and, when they do, it is mainly in the short term after their deployment; (2) the indicators and methods used to assess the reactions rarely cover the target audience involvement phase; (3) frequent use of popularity statistics for an Internet campaign provides irrelevant data for measuring audience reactions; (4) the indicators used to measure the behavioral change process are not systematically used and (5) professionals often rely on subjective methods based on selfreported measures by the target audience. Moreover, the interviews revealed the tendency of professionals to select certain data and/or interpret them to their advantage, which may lead to declaring campaigns that are not effective in reality. In addition, the study reveals that social advertising professionals have a tenuous connection to the world of scientific research. The transfer and use of scientific knowledge are infrequent and, when carried out, it is primarily for utilitarian purposes. In other words, scientific knowledge is generally not used to guide policy and creative decisions downstream, but rather to support them upstream. Finally, the study offers an important theoretical contribution by proposing a new conceptual and operational framework for the evaluation of social advertising campaigns. Clarifying what an effective social advertising campaign is and establishing an accurate categorization of indicators and methods for evaluating it, this framework provides a clear distinction between the target audience reactions and the behavioral results of a campaign. These are two concepts that have suffered from significant imprecision in scientific literature so far. The reactions assessment is based on a new three-phrase model. This is the result of the merging of hierarchical and non-hierarchical models of information processing. The evaluation of behavioral results, for its part, is rooted in a theoretical model that is proven empirically – the Fishbein and Ajzen (2010)’s reasoned action approach – of which it breaks down each of the variables to make five indicators of advertising effectiveness.
The joint analysis of the results of the questionnaire and the interviews revealed that the professionals' practices are partially rigorous in evaluating campaign effectiveness, since they have shortcomings in both measuring target audience reactions and behavioral results. This conclusion is based on five main observations: (1) professionals do not systematically carry out an evaluation of campaigns and, when they do, it is mainly in the short term after their deployment; (2) the indicators and methods used to assess the reactions rarely cover the target audience involvement phase; (3) frequent use of popularity statistics for an Internet campaign provides irrelevant data for measuring audience reactions; (4) the indicators used to measure the behavioral change process are not systematically used and (5) professionals often rely on subjective methods based on selfreported measures by the target audience. Moreover, the interviews revealed the tendency of professionals to select certain data and/or interpret them to their advantage, which may lead to declaring campaigns that are not effective in reality. In addition, the study reveals that social advertising professionals have a tenuous connection to the world of scientific research. The transfer and use of scientific knowledge are infrequent and, when carried out, it is primarily for utilitarian purposes. In other words, scientific knowledge is generally not used to guide policy and creative decisions downstream, but rather to support them upstream. Finally, the study offers an important theoretical contribution by proposing a new conceptual and operational framework for the evaluation of social advertising campaigns. Clarifying what an effective social advertising campaign is and establishing an accurate categorization of indicators and methods for evaluating it, this framework provides a clear distinction between the target audience reactions and the behavioral results of a campaign. These are two concepts that have suffered from significant imprecision in scientific literature so far. The reactions assessment is based on a new three-phrase model. This is the result of the merging of hierarchical and non-hierarchical models of information processing. The evaluation of behavioral results, for its part, is rooted in a theoretical model that is proven empirically – the Fishbein and Ajzen (2010)’s reasoned action approach – of which it breaks down each of the variables to make five indicators of advertising effectiveness.
Social advertising, which is part of the broader field of social marketing, occupies a significant part of the marketing communications industry in Quebec. Tens of millions of dollars are invested every year for advertising campaigns that promote multiple social and environmental causes. If social advertisers choose this persuasive form of communication, it is because they are convinced that it is effective in encouraging the adoption of "good" behaviors or the abandonment of "bad" behaviors among the targeted audience. Nevertheless, this assertion inevitably raises questions: is the effectiveness of social advertising campaigns evaluated? If so, what indicators and methods are used to support these evaluations? Are they linked to the latest evidence based on scientific research? Two findings emerge from the scientific literature: the lack of consensus on what constitutes an effective campaign and how to evaluate this effectiveness, as well as the lack of empirical data on professional evaluation practices. Such findings naturally lead to question the dynamics of exchange between scientific research and social advertising professionals. Is the scientific data transferred to the professionals? If so, do they incorporate them into their practices? Once again, a review of the literature shows that up until now, these issues have been poorly documented on an empirical level. In this context, the study looked at the general issue of the link between knowledge generated from scientific research and the evaluation practices of social advertising campaigns in Quebec. Based on a mixed methods design, a questionnaire was first submitted to sixty-two social advertising professionals working in the province of Quebec. Its purpose was to establish a quantitative profile of their practices with respect to campaign evaluation and the transfer and use of scientific knowledge. Twenty-three professionals then took part in oneon- one interviews to further explore the reasons behind these practices.
Social advertising, which is part of the broader field of social marketing, occupies a significant part of the marketing communications industry in Quebec. Tens of millions of dollars are invested every year for advertising campaigns that promote multiple social and environmental causes. If social advertisers choose this persuasive form of communication, it is because they are convinced that it is effective in encouraging the adoption of "good" behaviors or the abandonment of "bad" behaviors among the targeted audience. Nevertheless, this assertion inevitably raises questions: is the effectiveness of social advertising campaigns evaluated? If so, what indicators and methods are used to support these evaluations? Are they linked to the latest evidence based on scientific research? Two findings emerge from the scientific literature: the lack of consensus on what constitutes an effective campaign and how to evaluate this effectiveness, as well as the lack of empirical data on professional evaluation practices. Such findings naturally lead to question the dynamics of exchange between scientific research and social advertising professionals. Is the scientific data transferred to the professionals? If so, do they incorporate them into their practices? Once again, a review of the literature shows that up until now, these issues have been poorly documented on an empirical level. In this context, the study looked at the general issue of the link between knowledge generated from scientific research and the evaluation practices of social advertising campaigns in Quebec. Based on a mixed methods design, a questionnaire was first submitted to sixty-two social advertising professionals working in the province of Quebec. Its purpose was to establish a quantitative profile of their practices with respect to campaign evaluation and the transfer and use of scientific knowledge. Twenty-three professionals then took part in oneon- one interviews to further explore the reasons behind these practices.
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Daignault, Pénélope. "L'implication multidimensionnelle des récepteurs comme indicateur de l'efficacité de l'argument de crainte : le cas des campagnes de sécurité routière." Doctoral thesis, Université Laval, 2007. http://hdl.handle.net/20.500.11794/19326.

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Duval, Dominic. "Les promesses électorales : mise en œuvre, perceptions et couverture médiatique." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/31749.

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Abstract:
Cette thèse est composée de trois articles qui portent sur les promesses électorales au Canada. Dans le premier article, nous illustrons l'importance de tenir compte du temps dans l'étude de la tenue des promesses électorales. Nous ajoutons ainsi un élément important aux discussions académiques en cours sur les facteurs qui influencent la mise en oeuvre des promesses électorales. Contrairement aux études précédentes, qui supposent que la réalisation de promesses est un processus qui se produit de façon uniforme au fil du temps, nous analysons la mise en oeuvre des promesses en utilisant une approche BTSCS (Binary Time-Series Cross-Section) qui met en évidence de nouvelles dynamiques. Plus précisément, nous constatons que si le gouvernement ne tient pas ses engagements électoraux dans la première moitié de son mandat, la probabilité que ceux-ci soient tenus diminue drastiquement. L'approche de modélisation discrète du temps (discrete time model) nous permet également d'étudier de plus près les relations existant entre le solde budgétaire et la réalisation des promesses. Notre recherche étend également l'étude de la mise en oeuvre des promesses à un nouveau cas, la province de Québec, pour la période de 1994 à 2014. Enfin, nous effectuons également des analyses similaires sur les données canadiennes couvrant sept gouvernements successifs de 1993 à 2015. Cette étude analyse un total de 1431 promesses électorales codées manuellement. Dans le second article, nous examinons les évaluations que font les citoyens de la tenue des promesses électorales en utilisant les données de l'Étude électorale canadienne de 2015. Nous observons que l'exactitude de ces évaluations augmente en présence de facteurs liés aux connaissances des citoyens, à savoir les connaissances politiques et l'importance relative de chaque promesse. Par ailleurs, nous constatons que les évaluations des citoyens reposent souvent sur des facteurs non fondés sur les faits, tels que leur identité et des croyances a priori, y compris l'identification partisane et la confiance politique. La présence de ces facteurs n'augmente pas la probabilité de répondre correctement. Nous constatons également, à l’aide d’une expérience par sondage divisé, qu’un changement dans la formulation des questions affecte le ton de l’évaluation des promesses, mais pas leur exactitude. Dans le troisième article, nous étudions la couverture des promesses électorales dans les médias. Plus précisément, cet article cherche à savoir si les médias alertent les citoyens lorsqu'une promesse électorale est rompue. Cette étude porte sur les 244 promesses faites par le Parti conservateur, lors des élections canadiennes de 2008 et de 2011. Notre période d’étude s'étend du déclenchement de l'élection de 2008 (07/09/2008) jusqu’à la fin du mandat de 2011 (08/04/2015). Cet article révèle que les médias alertent les citoyens lorsqu'un engagement est rompu. Nous constatons également que le «modèle d'alarme antivol» (Burglar Alarm), issu du domaine de la communication politique, fournit une description adéquate des dynamiques entourant la couverture médiatique des engagements électoraux.
This doctoral dissertation is composed of three articles related to electoral pledges in Canada. In the first article, we highlight the importance of accounting for time in the study of pledge fulfillment, effectively adding a significant element to the ongoing academic discussions of the factors that influence the fulfillment of party promises. Unlike previous analyses in which pledge fulfillment is assumed to be a uniform process occurring over time, we analyze party pledge fulfillment using a discrete time approach: doing so highlights yet unobserved dynamics. More precisely, we find that if the government does not enact pledges within the first half of its mandate, the probability of these pledges ever being fulfilled drops drastically. The discrete time modeling approach also allows us to investigate the relationships existing between the budget balance and pledge fulfillment more thoroughly. Our research also extends the study of pledge fulfillment to a new case, the province of Quebec, for the period of 1994–2014 encompassing six governments. Finally, we also conduct similar analyses on Canadian pledge fulfillment data spanning seven successive governments from 1993 to 2015. This study analyzes a total of 1431 manually coded election pledges. In the second article, we examine citizens’ evaluations of specific campaign pledge fulfillment using data from the 2015 Canadian Election Study. We find that the accuracy of these evaluations increases in the presence of factors related to citizens’ informed judgments, namely political knowledge and the relative importance of each pledge. On the other hand, we find that citizens’ evaluations often turn on factors not based on informed judgments but rather on group identities and a priori beliefs, including partisan identification and political trust. The presence of these factors does not to increase the likelihood of accuracy of pledge evaluations. We also find, through a split ballot experiment, that even though a change in question wording affects the tone of pledge evaluations, it does not affect their accuracy. In the third article, we investigate the portrayal of electoral pledges in the news media. We know very little about the portrayal of electoral pledges in news media which is problematic because we do know the majority of citizens do not read electoral platforms, budgets, bills, etc. and as such obtain the information they need from the media. More precisely, this article investigates whether the media alert citizens when a pledge is broken? This study covers the 244 pledges made by the government party, the Conservative Party, during the 2011 and 2008 Canadian elections. Our period ranges from the 2008 election (07/09/2008) to the end of the 2011 mandate (08/04/2015). This study finds that the news media do alert citizens when a pledge is broken and that what is often described as the “Burglar alarm model” in political communication provides an apt description of the dynamics at play in the coverage of electoral pledges.
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Lachapelle, Marie-Andrée. "L'insertion sociale des engagés dans les campagnes du gouvernement de Québec dans la deuxième moitié du XVIIe siècle." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1999. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp03/MQ38124.pdf.

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Boivin, Maxime. "La conduite enivrée : mise en lumière d'une zone grise de la conduite sous influence d'alcool chez les jeunes et son influence sur les campagnes de sensibilisation." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/31888.

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Abstract:
Au Québec, malgré les efforts de prévention, d’éducation et de sensibilisation déployés depuis près de quarante ans, l’alcool au volant se place toujours en tête des principales problématiques de sécurité routière. Ce problème est d’autant plus marqué chez les jeunes conducteurs de 16 à 24 ans, qui sont systématiquement surreprésentés dans le bilan routier des accidents et infractions. Dans le cadre de cette thèse, pour mieux comprendre la persistance de la conduite sous influence d’alcool chez les jeunes conducteurs, nous nous sommes intéressée à la perspective de ces jeunes au regard de ce comportement. Notre démarche inductive est fondée sur les principes de la méthodologie de la théorisation enracinée, laquelle donne notamment préséance au vécu des participants, à partir duquel se construit, de manière itérative, une compréhension théorisée d’un problème. En tout, 57 jeunes conducteurs de 18 à 24 ans ont pris part aux entretiens de groupe en ligne que nous avons organisés de septembre à décembre 2015. Nous les avons interrogés à propos de leurs perceptions, de leurs croyances et de leurs comportements relatifs à l’alcool au volant. Leurs propos ont ensuite fait l’objet d’une analyse inductive et donné lieu à une théorisation basée sur l’identification de quatre principaux freins à l’adoption d’une conduite responsable, soit 1) une perception erronée des risques relatifs à l’alcool au volant, 2) une difficulté importante à modérer sa consommation d’alcool en vue de prendre le volant, 3) une incompréhension de la manière de procéder à l’évaluation de sa capacité à conduire après avoir bu, ainsi que 4) des mauvaises perceptions relatives aux solutions à mettre en place pour éviter l’alcool au volant. À travers leur combinaison, notre analyse a permis de mettre en lumière un comportement à risque largement méconnu, soit la conduite enivrée. Il s’agit d’une forme de conduite illégale qui contribue au maintien de l’alcool au volant auprès de jeunes conducteurs. S’apparentant à la conduite en état d’ébriété ou avec facultés affaiblies, la conduite enivrée s’en distingue toutefois par l’état perçu du conducteur. N’ayant bu que légèrement trop d’alcool, le conducteur enivré ne montre généralement que très peu de signes d’intoxication et, par conséquent, ne reconnaît pas son incapacité à conduire. Les quatre freins préalablement identifiés contribuent à expliquer ce type de conduite ainsi que son adoption par les jeunes interrogés. Qui plus est, ils nous permettent de suggérer des pistes de solution pour contrer les barrières à l’adoption de comportements de conduite sécuritaires qui maintiennent la conduite enivrée dans les mœurs des jeunes.
In Quebec, despite the important prevention, educational and awareness efforts deployed over the past forty years, drinking and driving is one of the main road safety concerns. This problem is even more pronounced among young drivers (16 to 24 years old), who are systematically overrepresented in drunk driving related accidents and infractions. To better understand problematic behaviours related to drinking and driving among young drivers in Quebec and why they persist, we sought out young drivers’ perspectives of the subject. Our inductive approach is based on grounded theory, which gives precedence to participants’ experiences, from which is built, iteratively, a theorized understanding of a problem. A total of 57 young drivers (18 to 24 years old) took part in online group interviews that we organized from September to December of 2015. Participants were asked about their perceptions, beliefs, and behaviours related to drinking and driving. The exchanges were then analyzed inductively, leading to a theorization based on the identification of four main barriers to adopting responsible driving among young drivers, namely 1) a misperception of the risks associated with drinking and driving, 2) a significant difficulty in moderating alcohol consumption, 3) a misunderstanding of how to assess the ability to drive after drinking, as well as 4) erroneous perceptions of the solutions to driving after drinking too much. Through their combination, our analysis brought to light a largely unknown risky behaviour, buzzed driving, which we found to be a form of illegal driving that contributes to the persistence of the drinking and driving problem among young drivers. A type of drunk or impaired driving, buzzed driving is distinguishable due to the driver perceptions. Having drunk only a little too much alcohol, the intoxicated driver usually shows very little evidence of alcohol intoxication. Hence, he has difficulty recognizing his inability to drive. The four barriers previously identified explain this problematic behaviour and its adoption by young drivers. Moreover, they allow us to suggest possible solutions to overcome the barriers to the adoption of safe behaviours regarding buzzed driving.
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Migneault, Joanie. "DES RURAUX EN VILLE. Une facette des migrations internes dans la vallée du Saint-Laurent: itinéraire et destin des migrants de provenance rurale établis à Québec en 1744." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26926/26926.pdf.

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Lemieux, Lefebvre Geneviève. "La qualification péjorative dans le discours politique en campagne électorale." Mémoire, 2009. http://www.archipel.uqam.ca/2242/1/M10936.pdf.

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Abstract:
Dans notre mémoire de maîtrise, nous avons analysé les différentes formes de qualification péjorative présentes dans le discours politique de la campagne électorale provinciale de l'hiver 2007. Afin de réaliser cette analyse, nous nous sommes constitué un corpus à partir d'extraits vidéo diffusés lors des bulletins de fin de soirée. Une classification minutieuse des données recueillies nous a permis de distinguer sept types d'actes de langage dépréciatifs distincts, à savoir plus précisément l'insulte, l'ironie, la moquerie, l'avertissement, le reproche, l'accusation et la critique. Après avoir élaboré une définition détaillée pour chacune de ces formes de qualification péjorative, nous avons analysé plus attentivement quelques extraits afin d'exposer les différents contextes dans lesquels sont utilisés les actes de langage dépréciatifs. Par ailleurs, notre étude nous a permis de constater qu'il existait une grande différence entre la fréquence d'utilisation de la critique et du reproche et celle de l'insulte, de l'avertissement et de la moquerie. Alors que la critique et le reproche sont utilisés régulièrement, l'avertissement et la moquerie n'apparaissent que dans des contextes spécifiques et l'insulte est presque complètement exclue de nos données. Ces résultats nous en apprennent beaucoup sur les stratégies discursives choisies par le candidat pour discréditer leurs vis-à-vis politiques. Ainsi, plutôt que d'opter pour des actes de langage dépréciatifs s'attaquant à la vie personnelle ou à des ouï-dire, les chefs préfèrent avoir recours à des formes permettant de porter des jugements vérifiables, pouvant s'appuyer sur des déclarations ou des faits connus de tous. De fait, le discours politique reste courtois, courtoisie qui peut s'expliquer par le désir de chaque candidat de préserver leur image publique, en évitant de dénigrer trop sévèrement leurs adversaires. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Discours politique, Pragmatique, Qualification péjorative, Critique, Reproche, Moquerie, Ironie, Avertissement, Insulte.
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Bouthillier, Christine. "La couverture médiatique du débat des chefs au Québec : information ou spectacle télévisuel?" Mémoire, 2010. http://www.archipel.uqam.ca/2760/1/M11321.pdf.

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Abstract:
Le présent mémoire propose un questionnement sur la couverture médiatique du débat des chefs au Québec, un événement médiatique prédominant dans toute campagne électorale québécoise. Les médias constituant la principale source d'information des Québécois, leur traitement de l'émission demeure un facteur pouvant influencer le cours de l'élection. Face à cette situation, une réflexion s'impose. La couverture médiatique du débat des chefs rapporte-t-elle fidèlement les propos tenus lors de l'émission ou apparaît-elle plutôt modifiée par différents processus? En d'autres mots, l'information qui se rend aux électeurs fait-elle l'objet de déformations? Si oui, quelles sont les sources de ces déformations? L'hypothèse ici soutenue suggère que le traitement du débat des chefs dans les médias, en mettant l'accent sur la dimension spectaculaire de l'événement, tend à présenter une vision déformée du débat. Afin de la vérifier, nous présenterons d'abord l'histoire du débat des chefs au Canada et au Québec. Puis, une étude de cas sur le débat des chefs québécois de 2007 permettra d'analyser la couverture médiatique d'un tel événement dans le contexte particulier de la province. À la lumière de cette recherche, il apparaît que de nombreux acteurs et processus influencent le traitement journalistique du débat. L'action conjuguée des relationnistes, des politiciens, de la forme du débat et des caractéristiques du journalisme et du monde médiatique en général fait qu'il existe des différences entre la couverture médiatique du débat des chefs et les propos qu'y ont tenus les candidats. Les journalistes tendent en effet à mettre l'emphase sur le caractère spectaculaire et compétitif de l'émission. Ils semblent ne pas traiter également des politiciens présents à l'affrontement télévisé, ni des thèmes débattus. Ils accordent aussi une plus grande importance à l'image et aux sondages qu'aux informations factuelles reliées au débat. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Débat des chefs, Médias, Journalisme, Relations publiques, Image, Politique.
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Tessier, Benoit. "Espace politique et positions partisanes : les plateformes électorales au Québec de 1994 à 2007." Mémoire, 2008. http://www.archipel.uqam.ca/1440/1/M10581.pdf.

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Abstract:
L'élection générale du 26 mars 2007 a eu des conséquences majeures sur le paysage électoral au Québec et sur les dynamiques partisanes à l'Assemblée nationale. Alors que le Parti libéral du Québec forme depuis lors le premier gouvernement minoritaire de l'histoire moderne du Québec, la jeune Action démocratique du Québec a vu son rôle politique s'accroître rapidement en formant pour la première fois de son histoire l'opposition officielle au Parlement. Ce mémoire vise à expliquer les changements qui sont à l'origine de cette réorganisation du paysage électoral au Québec en analysant l'évolution de l'offre politique des trois principaux partis entre 1994 et 2007. L'application de la théorie des choix rationnels au domaine des études électorales nous fournit d'ailleurs un cadre théorique et une méthodologie tous désignés pour y parvenir. En analysant le contenu des plateformes électorales de chaque parti à chaque élection de la période étudiée, nous sommes à même d'obtenir un portrait fidèle et précis de l'évolution du positionnement relatif des partis dans l'espace politique et d'observer et interpréter leurs déplacements. Cet exercice permet notamment de soutenir que le développement d'un discours nationaliste non souverainiste de la part de l'ADQ en 2007 a fait augmenter substantiellement le bassin d'électeurs réceptifs aux enjeux nationalistes québécois, ceux-ci pouvant maintenant être dissociés du « danger » d'une éventuelle sécession du Québec. Parallèlement, la promesse électorale du Parti québécois de tenir un référendum sur la souveraineté au cours du prochain mandat a contribué à radicaliser les options disponibles pour les électeurs et à favoriser l'expression d'un vote nationaliste non souverainiste -donc adéquiste -chez ces derniers. Structurellement, la hausse des appuis exprimés en faveur de l'ADQ a fait augmenter l'importance relative du clivage gauche/droite, au détriment du clivage nationaliste, comme base significative de différenciation de l'offre politique des partis, bien que la position de droite de l'ADQ n'ait pas particulièrement contribué à ses récents succès électoraux. Si elle veut consolider et fidéliser sa base électorale nouvellement acquise, l'ADQ devra continuer à développer son discours nationaliste et investir le créneau de centre-droit (plus à gauche que sa position de 2007) laissé vacant par le PQ et le PLQ depuis 1998, afin de se rapprocher de l'électeur québécois médian. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Québec, Élections, Partis politiques, Plateformes électorales, Espace politique, Théorie du choix rationnel.
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Bernard, Johanie. "L'impact de la publicité sur les représentations des groupes sociaux : le cas des campagnes de recrutement des ordres comptables québécois." Mémoire, 2012. http://www.archipel.uqam.ca/4880/1/M12453.pdf.

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Abstract:
Ce mémoire aborde le stéréotype de la profession comptable au Québec par le biais des publicités de recrutement. C'est à la lumière de la campagne de publicité de 2007 de l'Ordre des CMA qu'il nous a été possible de constater que l'image médiatique du comptable était en plein changement. La profession y est représentée à travers des mises en scène impliquant de jeunes comptables dans des activités sportives extrêmes. De 2004 à aujourd'hui, plusieurs autres campagnes publicitaires comptables ont abordé les thèmes du dynamisme, de la jeunesse et des défis à travers des mises en scène hors du commun. C'est l'impact de cet effort publicitaire soutenu qui nous intéresse au premier plan : en percevoir l'effet à long terme et déterminer si plusieurs années de ces publicités décalées sont venues à bout de modifier quelque peu la représentation que les jeunes se font de cette profession libérale. Par une série d'entretiens avec des étudiants en comptabilité, il nous sera possible de mieux cerner l'effet de ces publicités sur leur cheminement scolaire et également sur leur définition de la personnalité de la profession comptable. À la lumière de cette recherche, nous .pouvons démontrer que la représentation du comptable est en plein changement et que, non seulement la publicité participe à cette mouvance, mais que d'autres facteurs et acteurs vont aussi y participer. La profession comptable présente plusieurs avantages économiques et ainsi elle propose une carrière sécuritaire aux étudiants. Les représentations de la profession comptable promettent une carrière stimulante dans un environnement énergique qui serait à l'image de la nouvelle génération de comptables. Ils sont jeunes, ils sont dynamiques, ils se voient gravir rapidement les échelons et évoluer dans une carrière riche en défis et en opportunités. La publicité l'a compris et elle fait preuve de diverses stratégies qui viendront accompagner les étudiants dans leur choix de carrière. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Publicité, comptabilité, stéréotype, génération Y, ordre professionnel
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