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Dissertations / Theses on the topic 'Camus, Albert (1913-1960) – Philosophie'

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Kwon, Ri-O. "Le moi problématique dans l'oeuvre d'Albert Camus : étude de l'affectivité camusienne." Paris 10, 1990. http://www.theses.fr/1990PA100052.

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Abstract:
Le fait d'avoir été enfant méditerranéen avant d'être homme ne cesse de partager le coeur d’Albert Camus. Il est donc naturel que l'univers camusien soit fortement domine par une sorte d'ambivalence. Comme la manifestation de l'affectivité est à la fois une donnée de l'expérience psychologique et sa validation par la création artistique, il est intéressant de voir comment toutes les formes de l'affectivité se révèlent dans l'oeuvre camusienne, en se référant à l'ouvrage de Michel Henry, "l'essence de la manifestation". Avec la forme de l'affectivité, nous sommes naturellement amenés à étudier le cogito camusien en nous permettant de faire une comparaison avec le cogito cartésien, puisque, tout comme l'affectivité se révèle en tant qu'unité, le moi camusien, parce qu'il est auto-suffisant, résout tout problème dans l'auto-affection. En d'autres termes, même si nous distinguons trois étapes : cogito de l'homme auto-suffisant, cogito intersubjectif, celui de l'homme auto-flagellant le moi se manifeste en tant qu'auto-suffisant, tout comme l'affectivité. Enfin, en choisissant le concept du moi divisé, nous essayons de découvrir le visage humain de l'homme-camus qui hésite entre amour de la solitude et volonté de solidarité. Toutes ces approches sont liées à mieux comprendre à la fois sa vie et son oeuvre<br>The fact of having been a mediterranean child before a grown up man constantly shares the heart of Albert Camus. Therefore it is quite reasonable to find out that the camusian universe is dominated by some sort of ambivalence. As the manifestation of the affectivity is altogether a given information of the psychological experience, and its validation by artistic creation, it seems interesting to see how all forms of affectivity are revealed in the camusian works, drawing one's inspiration from the book of Michel Henry, "l'essence de la manifestation". With the form of the affectivity we are, of course, lead to study the camusian cogito in connection with the cartesian cogito, because self affection just as affectivity reveals itself as an entity. At last, when choosing the concept of the divided ego, i try to find out the human countenance of Camus, who hesitates between the love of solitude and the will of fellowship. All these approaches intend to understand better both his life and works
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Chaurand-Teulat, Anne. "Journalisme, théâtre, récit : écritures du témoignage et de la distanciation dans l'oeuvre d'Albert Camus." Clermont-Ferrand 2, 2004. http://www.theses.fr/2004CLF20001.

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Abstract:
Réorganiser l'oeuvre camusienne en gardant la notion de triptyque chère à l'écrivain, mais en intégrant au théâtre et au récit le journalisme, ouvre de nouvelles perspectives et permet de découvrir dans les articles, la source de l'écriture littéraire. Les trois styles se complètent malgré les divergences stylistiques et l'opposition apparente entre témoignage et distanciation : les écrits journalistiques s'engagent en négligeant parfois l'objectivité, tandis que les récits et les pièces de théâtre aménagent la réalité, mettent en scène un réel idéalisé qui compense les désillusions de Camus devant l'Histoire. Une certaine unité émerge de la confrontation des trois genres : elle repose sur la volonté de témoigner jusqu'au bout, jusque dans les silences et la distance que Camus prend devant le monde et lui-même<br>Reorganizing Camus' work by keeping the notion of triptych dear to the writer, but also by integrating a journalistic dimension to theater and telling, adds viewpoints and makes it possible to find in newspaper articles the origine of literary writing. The tree styles complete each other in spite of stylistic divergences and the apparent conflict between testimony and distance : journalistic writings are engaged but sometimes neglect objectivity, whereas tellings and theater plays present an idealistic reality which makes up for Camus' disillusions with History. The confrontation of the three styles ends up in a certain unity which lies on the will to testify, even through silences and the distance Camus keeps from the world and from himself
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Thierion, Chantal. "L'Oeuvre lyrique d'Albert Camus." Lille 3 : ANRT, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb376188837.

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Prouteau, Anne. "Les écritures de l'instant." Nantes, 2006. http://www.theses.fr/2006NANT3017.

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Abstract:
Quelques que soient la forme empruntée et la diversité de ses représentations, la référence à l'instant – motivée par la volonté camusienne de dompter le temps -n'est-elle pas éclatante du début jusqu'à la fin de l'oeuvre ? A partir de ce questionnement et après avoir révélé certaines filiations littéraires qui ont pu former l'appréhension du temps chez Camus, cette étude détaille le passage de l'expérience du présent à l'écriture du présent en dégageant les invariants d'une telle esthétique. En dépit de l'évolution de la pensée camusienne, la référence à l'instant demeure, en se chargeant d'une dimension éthique. Traversé par le motif du commencement, l'oeuvre révèle un sens du kairos, une conscience de l'instant créateur plus que salvateur. Si Camus est bien nostalgique des origines, cette thèse montre au final que cela n'équivaut pas à un retour au passé mais révèle un présent qui se confond avec la source et l'origine, un présent impérissable.
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Corbic, Arnaud. "Les fondements d'une philosophie de l'homme sans Dieu dans l'oeuvre d'Albert Camus." Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010547.

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Abstract:
L'oeuvre camusienne jette les fondements d'une philosophie de l'homme sans Dieu selon une triple perspective : une manière de concevoir le monde ("l'absurde"); une manière d'exister ("la révolte"); une manière de se comporter ("l'amour"). L'absurde inaugure la prise de conscience du dérobement sans fin de tout fondement transcendant dans un monde resté étrange à l'homme. Faisant face lucidement à l'absurde en congédiant tout espoir, l'être humain se découvre "révolté". Envisagée dans sa dimension individuelle et sociale, la révolte révèle un nouveau "cogito" : "je me révolte, donc nous sommes". Principe fondateur de la "nature humaine", il justifie la solidarité. Principe régulateur de la révolte, il empêche celle-ci de sombrer dans le nihilisme ou dans le ressentiment. Or la révolte, pour perdurer comme valeur, doit trouver un point d'appui "originaire" en deçà d'elle-même et de l'absurde. Elle le trouve dans "l'amour", dans ce consentement originaire à la vie et à l'homme de chair.
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Lambert, Simon. "La chambre : roman ; suivi de l'essai La chambre : entre littérature et philosophie." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/26937/26937.pdf.

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Choi, Yun-Joo. "Esthétique de l'absurde, éthique de la révolte : l'inquiétant et l'étrangeté dans l'oeuvre d'Albert Camus." Paris 7, 2001. http://www.theses.fr/2001PA070047.

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Abstract:
Tournant le dos au roman à thèse dont les éléments constitutifs tels que personnages ou événements ne sont pour ainsi dire qu'un prétexte pour transmettre un message, les textes romanesques de Camus semblent être les résultats d'un travail longuement mûri sur la "forme" sur laquelle repose le processus de construction du "sens". Dans cette étude, nous essayons de savoir comment ce processus créateur de l'écrivain tourne autour d'une unité sous-jacente, qu'il nous semble possible de caractériser selon trois thèmes - répétition, frontière et vide -, pour pouvoir enfin percer à jour l'esthétique de l'"absurde" et l'éthique de la "révolte". Pour cela, nous nous proposons d'abord de réfléchir de quelle manière ces deux notions camusiennes d'absurde et de révolte s'incarnent dans les trois personnages mythiques, Sysiphe, Don Juan et Prométhée, tels qu'ils sont décrits dans les essais de Camus : Le mythe de Sisyphe, L'Homme révolté. Ensuite il s'agit de nous interroger sur les structures narratives dans les textes romanesques - "L'Etranger, La Peste" et "La Chute" -, pour suivre au plus près la dynamique scripturale chez Camus. C'est dans cette approche que nous croyons avoir entendu l'écho de "l'inquiétant", notion élaborée par Freud qui, en s'interrogeant sur le sens du sentiment étrangement inquiétant, soulève d'une certaine manière un problème qui est le nôtre dans cette étude : les ressorts d'une création artistique<br>Reverse to the "roman à thèse", the constituents of which such as the events or characters may be held as a pretext to pass on a message, Camus novels seem to be resulting from a work matured in the long term on the "form" on which the elaborating process of the "sense" lies. In this work, we aim at tracing how such a creating process winds round an underlying unity which may be characterized under three themes - repetition, border line and vacuum - in order to penetrate the aesthetics of the "absurd" and the ethics of the "revolt". To this end, we first intend to assess the way in which those two notions of "absurd and revolt" were embodied in the three mythical characters Sisyphe, Don Giovanni and Prometheus as described in Camus essays : le Mythe de Sisyphe, L'Homme révolté. Thereafter we must question on the narrative structures in the novels - L'Etranger, La Peste et la Chute - to follow up the scriptural dynamics of Camus to the nearest point. Under such approach, we do believe to hear the echo of the "uncanny" a concept elaborated by Freud who, while inquiring the meaning of the feeling of anxiety raises a question which is ours : the main springs of artistic creation
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Audin, Marie-Louise. "Pour une sémiotique du "Mythe de Sisyphe" de Camus : Thèmes et métaphores au service de l'absurde." Nancy 2, 1985. http://www.theses.fr/1985NAN21012.

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Sampaio, Leandson Vasconcelos. "Filosofia, jornalismo e dramaturgia: ética, engajamento e responsabilidade em Albert Camus." reponame:Repositório Institucional da UFC, 2015. http://www.repositorio.ufc.br/handle/riufc/16794.

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Abstract:
SAMPAIO, Leandson Vasconcelos. Filosofia, jornalismo e dramaturgia: ética, engajamento e responsabilidade em Albert Camus. 2015. 65f. – Dissertação (Mestrado) – Universidade Federal do Ceará, Programa de Pós-graduação em Filosofia, Fortaleza (CE), 2015.<br>Submitted by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2016-05-16T14:27:15Z No. of bitstreams: 1 2015_dis_lvsampaio.pdf: 477983 bytes, checksum: 3b9feb8b0a8ca0051c0c358dd5654094 (MD5)<br>Approved for entry into archive by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2016-05-16T15:08:04Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2015_dis_lvsampaio.pdf: 477983 bytes, checksum: 3b9feb8b0a8ca0051c0c358dd5654094 (MD5)<br>Made available in DSpace on 2016-05-16T15:08:04Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2015_dis_lvsampaio.pdf: 477983 bytes, checksum: 3b9feb8b0a8ca0051c0c358dd5654094 (MD5) Previous issue date: 2015<br>O trabalho consiste em fazer a reflexão ético-política nas obras do escritor franco-argelino Albert Camus (1913-1960) a partir de seus textos jornalísticos, dramatúrgicos e ensaios filosóficos. Em primeiro lugar, há a reflexão sobre ética, engajamento e a responsabilidade do escritor e a recusa do silêncio como forma de rompimento com a resignação e a passividade, evocando a responsabilidade ética dos intelectuais no enfrentamento das questões decisivas, utilizando os Discursos da Suécia (1957). Em seguida, o trabalho trata dos temas da recusa do assassinato legitimado como crítica aos totalitarismos diante do diagnóstico de seu tempo, com a crítica também ao progresso científico-bélico, que colocou a Ciência a serviço da morte como nunca antes na História, como forma de enfrentamento do medo que se encarnou no século XX, utilizando os Editoriais jornalísticos do jornal Combat (Combate) intitulados Nem Vítimas, Nem Verdugos (1948). Há em seguida a reflexão ético-política do engajamento a partir da peça de teatro Os Justos (1949), escrita no período do pós-guerra, abordando a questão do assassinato do ponto de vista do engajamento terrorista revolucionário, utilizando também as reflexões presentes no ensaio O Homem Revoltado (1951).
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Chatzipetrou, Sofia. "Conscience tragique grecque et conscience humaniste chez Albert Camus." Thesis, Paris 3, 2013. http://www.theses.fr/2013PA030144.

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Abstract:
Le présent travail examine l’œuvre à la fois romanesque et théâtrale d’Albert Camus dans sa réception des concepts constitutifs de la conscience telle que l’entend la tragédie grecque. Il s’agit de mettre en évidence la manière dont ces concepts sont reçus, transformés et enfin incorporés dans l’univers littéraire et philosophique de Camus. Conscience signifiant la connaissance que chacun a de soi-même (de son thumós), le mot fait appel à une connaissance susceptible d’être partagée avec les autres. Autour de la volonté de l’existence s’organisent donc des sentiments d’unité et de cohérence, d’autonomie et d’hétéronomie. Entre le retour sur soi d’un côté et l’ouverture au monde de l’autre, la conscience figure comme préoccupation essentielle de l’esprit tragique et camusien également. Au cœur d’une antithèse continuelle, l’homme doit transformer le coup du Destin et de l’Absurde en champ fécond : Revendication et Révolte constituent, dès lors, le chemin à suivre pour être et, surtout, demeurer humain. De l’affirmation du « soi » tragique au « métier d’homme » exigé par l’écrivain, conscience et identité s’entrelacent et font de l’individu le créateur du sens. À travers les éléments fondateurs de la conscience tragique, Camus envisage ainsi une identité qui, consciente de ses contradictions, ses droits et ses devoirs, demeure cohérente : l’identité de l’homme révolté<br>This thesis examines Albert Camus’ work, both fictional and dramatic, in its reception of conscience’s primary concepts as introduced by the Greek tragedy. The point is to find out how these concepts are received, transformed and finally incorporated in Camus’ literary and philosophic world.Conscience meaning the knowledge that everyone has of himself (thumós), it aims at a knowledge supposed to be shared with the others. Around the desire of existence therefore, feelings of unity and coherence, autonomy and heteronomy set up. Between introspection on one hand and opening to the world on the other, the conscience figures as a key theme for both tragic and camusian reflection. At the heart of enduring oppositions, the person must transform Destiny’s and Absurd’s blow into a productive range: thus, Requisition and Rebellion trace the way to go in order to be and remain human. From tragic « self » affirmation to the « human vocation » required by the author, conscience and identity interact and indicate the individual as the creator of meaning. Through Greek tragedy’s essential principles, Camus aims thereby at an identity which, aware of its contradictions, its rights and duties, remains consistent: the rebel’s identity
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Marashi, Ardian. "Les vérités d'Albert Camus." Rennes 2, 2002. http://www.theses.fr/2002REN20066.

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Abstract:
Jeune, Camus disait : "ce qui compte, c'est d'être vrai, et cela comprend tout". Adulte, la vérité est devenue le principe unifiant de sa vie et de son œuvre, le centre d'où tout part et où tout revient. Le fil des vérités permet justement de se maintenir au centre du phénomène camusien et de redéfinir son œuvre ainsi que sa personnalité en fonction de ce critère essentiel. L'ouvrage comprend quinze chapitres, regroupés en cinq sections : 1) Vérités premières, où Camus est présenté dans son environnement intime, au fur et à mesure que se créent en lui les mythes familiers et que s'inscrivent dans son œuvre les symboles algériens, maternels, paternels, reflétant sur la totalité des écrits une sensibilité et une vision du monde particulières ; 2) Vérités métaphysiques, section qui s'attaque au cycle de l'absurde : Le Mythe de Sisyphe ou l'absurde comme notion ; l'Etranger ou l'absurde incarné en des personnages et des situations révélatrices ; Caligula et Le Malentendu, ou l'absurde comme action brute aux proportions spectaculaires. Chez l'écrivain Camus, l'absurde est aussi une question de style, de coloriage ; 3) Vérités historiques, section consacrée aux œuvres de la révolte : L'Homme révolté ou la définition de la révolte en ses étapes successives ; Les Justes et L'Etat de siège, où la révolte culmine la mort. Le jeu subtil sur la polysémie du mythe de Prométhée fait en sorte que ce cycle regorge de vérité situées aux limites de la contradiction ; 4) Vérités mytiques, section où l'art de créer des mythes chez Camus est étudié en comparaison avec les formes mythiques anciennes. Comment un récit réaliste devient un chef-d'œuvre de fiction, et comment le mythe, s'incrustant dans le quotidien, mime le réel en profondeur et en diversité, La Peste nous en fait la révélation ; 5) Vérités de l'art, section qui propose une approche esthétique de l'œuvre : Camus était avant tout un artiste du langage et on essai de découvrir quels procédés lui ont permis de devenir l'écrivain de référence qu'on connaît<br>The very important thing for Camus was the research of verity, so well as the verity became the unifying principale of his both life and work, the center where everything turned around. The verities of Albert Camus reveal, in fact, what is substantive in the life of this autor, what is consistent in his thought and what is relevant in his art. This thread of verities permits just to keep at the center of camusian phenomenon and to redefine his work as well as his personality in the function of this essential criterion. This thesis consists in fifteen chapters, regrouped in five sections : original, metaphysical, hisorical, mythical and artistic verities : the analysis concerns the integral Camus's work : essays, fictions, theatre, in order to give an account as equitable as possible on the manner he uses to think, to write and to play. The subtle management of the polysemy of antic, biblical or original myths and parabolas, like Sisyphus, Prometheus, the Stranger, the Plague, the Fall, results in verities situated within the limits of contradiction : The Plague, for instance, is the example on how a realistic chronicle becomes a masterpiece of fiction and how the myth, encrusted in the everyday routine, reproduces and almost replaces the reality in its very depths and diversities dimensions. Before all, Camus was an artist of the language and our first preoccupation was to elucidate by which methods and especially by which techniques and proceedings of style him becomes the writer of reference that we know
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Hosseini, Peiman. "La nostalgie d'un idéal religieux : Albert Camus et Sadegh Hedâyat." Limoges, 2010. http://www.theses.fr/2010LIMO2004.

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Abstract:
Camus et Hedâyat étaient des écrivains et intellectuels du XXe siècle. Ils ont vécu presque à la même époque. Recourant à la philosophie, ils se sont penchés sur un grand problème de la vie de l'homme : l'absurde. Alors que Camus était un homme décidé et optimiste, ce sont des échecs consécutifs qui l'acheminèrent vers l'absurde. Menant une vie absurde, Hedâyat laisse ses études inachevées. Suite à son echec amoureux, il perd complètement l'espoir de mener une vie heureuse. Tout comme Camus, Hedäyat a essayé de trouver un être et une croyance à laquelle s'adonner. Mais à cause de leur vision matérialiste du monde, ils n'acceptent pas de croire aux subjectivités. La définition de l'absurde chez ces deux écrivains présentent de nombreuses similitudes. Cependant, le résultat que chacun d'eux en retire est complètement différent. Camus essaie d'en retirer des résultats féconds. IL veut encourager l'homme à mener une vie heureuse, en recourant à un espoir fondé sur la vérité. Tandis qu'Hedâyat croit en une force plus puissante que la volonté de l'homme et qui commande les actes. Alors, l'homme est incapable d'obtenir la vie qu'il désire.
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Sasaki, Takumi. "Les figures de solitaires dans l’œuvre d’Albert Camus." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCC090/document.

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Abstract:
L'objectif de cette étude consiste à synthétiser les figures de solitaires chez Albert Camus. Ses personnages, ainsi que l'auteur, se tiennent souvent à distance d'autrui et s'enferment dans un espace clos. En comparant ces personnages solitaires aux images que Camus nous présente à propos de la création, nous montrons, dans un premier temps, que la solitude concerne les racines de son activité créatrice et la naissance de la narration dans son œuvre. Malgré leur nécessité de solitude, ses personnages espèrent, en même temps, établir un contact humain. Il est possible de trouver, dans leur dilemme, les deux aspects de la solitude : l'aspect fermé et oppressif qui les conduit littéralement à l'isolement, et l'aspect ouvert et libérateur qui leur sert à prendre conscience de l'existence d'autres solitaires et à former une collectivité. Chez Camus, ce sont les artistes qui jouent un rôle de pont, permettant ainsi que les solitaires agissent pour la solidarité. En portant notre attention sur ces deux aspects, nous cherchons ensuite l'existence d'une nouvelle relation entre la solitude et la solidarité, et réfléchissons également sur la communauté qui unit les solitaires chez Camus. Nous analysons enfin « la pensée de midi » qu'il atteint après de longues considérations sur l'absurde et la révolte, du point de vue des attitudes que les solitaires ont en face de diverses frontières<br>The purpose of this study consists in synthesizing the figures of solitaires in Albert Camus. His characters, as well as the author, often distance themselves from others and confine themselves to a closed space. By comparing these characters with images which Camus have about the creation, we try to show, at first, that the solitude concerns the roots of his creative activity and the birth of the narration in his works. Despite their need for solitude, Camus’s characters hope to establish human contact at the same time. It is possible to find, in their dilemma, the two aspects of the solitude : the closed and oppressive aspect which literally leads them to isolation, and the open and liberating one which help them to be conscious of other solitaires and to form a community. And in his works, it is artists that act as a mediator, allowing solitaires to act for solidarity. By looking at these two aspects, we try to find a new relationship between the solitude and the solidarity, and also think about Camus’s community which bring solitaires closer to each other. We finally analyze “The thought on Midday” which he reaches after long considerations of the Absurd and the Rebellion, from a point of view of attitudes when solitaires face different frontiers
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Voutsadaki, Antonia. "L'absurde d'albert camus et le cineaste grec takis kanellopoulos." Paris 7, 1999. http://www.theses.fr/1999PA070104.

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Coulibaly, Amara. "Le personnage dans l'oeuvre romanesque d'Albert Camus : personnage affranchi ou personnage à thèse ?" Clermont-Ferrand 2, 2005. http://www.theses.fr/2005CLF20006.

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Abstract:
Centrée sur la lecture et l'interprétation du personnage chez Albert Camus, cette réflexion analyse l'être de fiction d'un point de vue diachronique en s'intéressant à ses mutations, mais aussi et surtout étudie le personnage camusien dans sa synchronie à travers son statut autobiographique et sa fonction idéologique. Véritable épine dorsale des différentes articulations qui informent ces travaux, le personnage sert de fil d'ariane pour pénétrer au coeur des oeuvres de Camus. Incarnant une vision du monde, un système de pensée et une façon d'agir, le personnage dans le roman, le théatre et les essais, rend compte des expériences et des engagements de l'auteur. De la notion du terrorisme au thème de la religion ou encore à celui de la mort, l'être de fiction chez Camus est un personnage à idées et non à "thèse", qui exalte le combat pour la justice, la liberté et le bonheur, refusant de s'enfermer dans un système doctrinal. Ainsi affranchi des théories des schémas littéraires, le protagoniste chez Camus ne se veut pas seulement témoin ou porte-parole de son temps et de son époque : il propose des tracés idéologiques qui mettent en valeur une philosophie (celle de l'absurde), une politique (celle de la révolte) et une éthique : celle de l'humanisme
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Al-Ibadi, Khudhair Abbas Mathi. "L'intertextualité avec les textes religieux dans l'oeuvre d'Albert Camus." Thesis, Montpellier 3, 2012. http://www.theses.fr/2012MON30016.

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Abstract:
Cette thèse traite de la présence des textes religieux dans l'œuvre d'Albert Camus. Il s'agit de mettre en évidence l'intertextualité qui apparaît, sous différentes formes, dans les ouvrages romanesques et philosophiques de l'auteur. La thèse s'organise en deux axes parallèles et complémentaires, le premier est la mise en relief de la présence directe et effective de l'intertexte biblique dans les textes de Camus, qui s'effectue par l'emprunt directe au registre religieux ; le deuxième est la présence de l'intertexte religieux par le biais d'autres écrivains-philosophes, antérieurs ou contemporains de l'auteur (Saint Augustin, Pascale, Kierkegaard, Dostoïevski, Nietzsche, et Heidegger). Ainsi, l'intertextualité apparaît dans l'œuvre de Camus sous des formes explicites (déclarées) ou implicites (latentes ou suggérées.) La thèse se focalise, à chaque étape, sur les techniques intertextuelles utilisées, sur le rôle joué par l'intertexte dans l'analyse du texte camusien, et son action sur le lecteur sensibilisé à la perception de l'œuvre. En conclusion, l'implication systématique de l'œuvre de Camus dans un enjeu intertextuel progressif, depuis la forme simple du commentaire jusqu'aux formes plus élaborées d'une intertextualité devenue trame de l'œuvre<br>This thesis deals with the occurrence of the religious texts in the works of Albert Camus. The point is to find out the different aspects of intertextuality embodied in the novels and the philosophical essays of the author. The thesis is organized around two axis. The first one has to do with the biblical intertext that is found in the texts of Camus. In fact, this process is done by the direct borrowing from the religious register. The second axis deals with the occurrence of the religious intertext linked to some previous and contemporary authors-philosophers : Saint Augustin, Pascal, Kierkegaard, Dostoïevski, Nietzsche or Heidegger. As a matter of fact, the intertextuality appears in the works of Camus in an explicit way or an implicit one. The thesis focuses, at each step, on the intertextual techniques that are used by Camus, on the role played by the intertext in the analysis of the camusian text, on the effect of the intertext on the reader and who is aware of the perception of the work. To conclude, this work shows the systematic implication of Camus’s masterpieces in a progressive intertextual process. It starts by the use of a simple form of commentary to a most complex form of intertextuality which becomes the framework of Albert Camus’s works
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Diop, Cheikh. "De la révolte à l'engagement : essai sur l'idée de justice chez Albert Camus." Paris 12, 2006. https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,990005197040204611&vid=upec.

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Abstract:
Cette présente étude a pour objet d'éclairer la nature et la finalité de la justice camusienne. L'examen de cette question a montré la nécessité de rendre compte au préalable de l'itinéraire spirituel de Camus qui va de l'absurde à l'engagement en passant par la révolte. Pour notre auteur, l'existence est absurde, parce qu'elle met en conflit la conscience humaine et le monde. Cette confrontation est à l'origine de l'injustice métaphysique. Face à cette dernière, l'homme se révolte et réclame la justice, c'est-à-dire son unité avec le monde. Il proteste ainsi contre l'autorité abusive de Dieu et de celle des hommes. Mais en voulant parvenir à l'absolu, cette protestation devient meurtrière et transforme l'homme en bourreau. Pour éviter cette tyrannie, Camus invite à la "pensée de Midi". La "pensée de Midi" est la pensée qui ne pousse rien au bout, ne recherche pas l'absolu, ni l'idéal. Elle se veut mesurée, relative et modérée. C'est l'ensemble de ces déterminations qui rendent ces actions justes car la justice n'est rien d'autre que l'acceptation et la reconnaissance de manière permanente de la modestie et des limites de la condition humaine. On peut dire même qu'il n'y a pas de justice, il n'y a que des limites<br>This present study has for object to light up the nature and purpose of Camus's justice. The question's examination has shown the necessity to realize that first the Camus's spiritual itinerary that goes absurd to commitment to revolting. For author the existence is absurd because that put on human consciousness and world. This confrontation is the cause of metaphysical injustice. Facing the last, the human being rise up and want to justice differently this world's unite. He protests against authority's god and men. But wanting to get to absolute, this protestation become a murder and change the human being into headsman. For avoid this tyranny, Camus invites to "throught of midday". The "throught of midday" is the throught that don't just at this end, not to search for the absolute and ideal. She likes to think measured, moderate, and relative. All this determining gives back his just act because the justice is the acceptance and gratefulness of the modesty and boundary of the human conditions. There is not justice, there is only boundary
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Maglione, Erminio. "Albert Camus et la réception de Nietzsche en France de 1877 à 1960." Thesis, Tours, 2019. http://www.theses.fr/2019TOUR2020.

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Abstract:
Ce travail de recherche propose une analyse de la réception de Nietzsche en France de 1877 à 1960, à partir de la première traduction du philosophe allemand jusqu’à la mort d’un de ses interprètes les plus originales, Albert Camus (1913-1960). La période étudiée est celle qui prépare l’avènement de la « Nietzsche Renaissance » des années 1960 et qui contribuera à focaliser l’attention sur le Nietzsche anti-dialectique. Sur le plan méthodologique l’analyse s’appuiera sur les approches de l’histoire des idées, de la philosophie de la culture et de l’histoire de la philosophie, en s’arrêtant sur ce qui nous est apparu comme les lignes dominantes de l’interprétation française de Nietzsche. L’articulation de la matière est structurée en trois principales sections historico-culturelles. La première enquête sur les rapports de Nietzsche avec la modernité française ( Descartes, Pascal, Montaigne) dans le but de prouver l’influence de la deuxième sur le premier et comment, une telle proximité ait été à la base de son accueil chaleureux. La deuxième retrace les principales étapes de la réception de Nietzsche de 1877 à 1960. La troisième s’arrête sur la lecture de Camus et de ses éléments originaux. Deux appendices : une traduction en italien d’un texte juvénil de Camus, l’Essai sur la musique, témoignage de ses lectures Nietzschéennes précoces, et une liste chronologique des traductions du penseur allemand de 1877 à 1960<br>The present work aims to investigate the reception of Nietzsche in France from 1877 to 1960 starting from the first translation of the german philosopher until the death of one of his most original interpreters, Albert Camus (1913-1960). The considered period is the one that prepares the advent of the "Nietzsche Renaissance" of the 1960s and that will contribute to focus attention on the anti-dialectic Nietzsche. Concerning the methodological level, the analysis will be based on the approaches of the history of ideas, of the philosophy of culture and of the history of philosophy, focusing on what appeared to be the dominating guidelines of french interpretation of Nietzsche. The structure of the subject is outlined in three main historical and cultural sections. The first one investigates Nietzsche's relations with french modernity (Descartes, Pascal, Montaigne) in order to show the great influence that the latter had on the first and how this proximity was the basis of his fruitful reception. The second section traces the main stages of Nietzsche's reception from 1877 to 1960. The third one focuses on the reading of Camus and its elements of originality. Two appendices close the work: an italian translation of a juvenile text by Camus, the Essai sur la musique (testimony of his early Nietzschean readings), and a chronological list of the german thinker's translations from 1877 to 1960
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Devette, Pascale. "La pensée tragique d'Albert Camus, de Simone Weil et d'Hannah Arendt." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. http://www.theses.fr/2018USPCC195/document.

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Abstract:
Cette thèse propose une conception du tragique à partir des pensées d’Albert Camus (1913-1960), de Simone Weil (1909-1943) et d’Hannah Arendt (1906-1975). L’objectif n’est pas uniquement de comparer leurs pensées, mais de révéler chez chacun une vision du tragique qui permet, à terme, de peindre les contours d’une pensée tragique. La pensée tragique est pensée de l’existence, de l’humain, du politique, de la médiation par le récit et du travail. Il y a tragique lorsque la personne se dépossède d’une part de souveraineté. Cette destitution est ouverture radicale à soi et au monde, parce qu’elle arrache pour un moment ce que la force a déposé en soi-même. Sur le plan politique, le tragique apparaît lorsqu’il y a pluralité et implique une capacité à argumenter avec les autres, à les regarder et à les écouter. Ce faisant, le tragique intègre une conception non souveraine du « soi » et de la vie à plusieurs, il fait état d’un souci constant pour arrimer la démesure de certaines actions à la mesure d’un monde partagé en commun. Au registre plus individuel, la posture tragique peut se décrire comme capacité à percevoir plus loin que soi. La personne qui a un rapport tragique au monde s’enfonce, pour ainsi dire, dans l’extériorité, au sens où elle remarque la non-souveraineté des autres et d’elle-même sur l’action, où elle se confronte à la nécessité parfois souffrante de la vie. Cette confrontation lui permet de distinguer dans l’extériorité ce qui doit être changé et ce qui relève de la nature des choses. Pour que le tragique du politique s’arrime avec le tragique individuellement vécu, certaines médiations doivent être présentes, notamment la circulation de récits (mettant en scène la non-souveraineté des acteurs politiques et la fragilité du commun), d’une part, et des conditions de travail favorisant la réceptivité de ces récits, d’autre part<br>This dissertation argues for a conception of the tragic based on the thought of Albert Camus (1913-1960), Simone Weil (1909-1943) and Hannah Arendt (1906-1975). The goal is to compare not only their thought in general, but to reveal in each a vision of the tragic that develops a sketch of the contours of a tragic thought. Tragic thought is the thought of existence, of the human, of the political, and of mediation through storytelling and labour. The tragic emerges when one is dispossessed from a part of one’s sovereignty. This destitution is a radical opening to self and to the world because, for a moment, it snatches away whatever strength had been gathered in the self. On the political level, the tragic appears in a context of plurality and it implies a capacity to debate with others, to look at them and to listen to them. In so doing, the tragic integrates a non-sovereign conception of “self” and of collective life. It constantly tries to fix the excessiveness of certain actions to the extent of the shared and common world. On the individual level, the tragic attitude can be described as a capacity to perceive beyond the self. The individual who has a tragic relationship to the world is submerged in exteriority, in the sense that she notices the non-sovereignty of others and of herself with respect to action; she directly faces the necessity and often the suffering of life. This confrontation allows her to distinguish outside of herself that which must be changed from that of the natural order of things. For the tragic of the political to align itself with the tragic as lived individually certain mediations must be present, notably the circulation of storytelling (presenting the non-sovereignty of political actors and the fragility of the common), on the one hand, and the conditions of labour that favour the reception of this storytelling, on the other
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Taha, Adel. "La sociologie du roman, et l'evolution romanesque chez albert camus. Etude et critique litteraire de l'oeuvre." Caen, 1992. http://www.theses.fr/1992CAEN1109.

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Abstract:
Etude de l'eclosion de la pensee camusienne et de l'evolution romanesque des themes : l'absurde et la revolte. Cette recherche tend a prouver que le sentiment de l'absurde est une consequence de l'experience de camus ; alors que la revolte est une solution et un choix. Ce travail se compose de quatre parties : a) l'experience de l'absurde : cette partie traite le sentiment de l'absurde, la condition humaine et la prise de conscience chez camus dans l'envers et l'endroit. B) la nature de l'absurde dans l'etranger : cette deuxieme partie etudie et envisage l'expression romanesque de l'absurde, ainsi que les causes et sources qui ont fait naitre le sentiment de l'absurde. La formulation des hypotheses dans ma these est une reflexion et une insistance sur le texte lui-meme (retour au texte). C) la revolte : choix et solution : cette partie est consacree a l'etude des symboles et des significations dans la peste. Nous avons prouve et demontre que la revolte camusienne est une solution pour affronter le sentiment de l'absurde et non pas de nier ce sentiment. Quant au choix, il refuse le suicide physique et philosophique. D) ernest hemingway et la couleur de la tragedie entre les deux guerres : cette partie etudie la reaction du heros et sa responsabilite personnelle dans : "mort dans l'apresmidi, l'adieu aux armes, en avoir. . . Ou pas. " etude comparee des elements de reflexions apportes par la lecture d'hemingway et de camus ou il ne faut pas desolidariser ces deux ecrivains de leurs heros
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Kasongo, Mbuyu Joseph. "Le paradoxe "vitalogique" comme source et horizon de la pensée philosophique en rapport à l'homme chez Albert Camus." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2004. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/211144.

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Abstract:
En commençant son étude critique sur Camus, Pierre de Boisdeffre,dans (Métamorphose de la littérature, Proust, Valéry, Cocteau, Anouilh, Camus, Sartre, Verviers, Marabout Université, 1974, p.309), fait le constat suivant:"l'Europe depuis Nietzsche, est à la recherche d'un cinquième Evangile. Qu'elle exalte les nourritures terrestres ou qu'elle communie à sa propre nausée, la littérature contemporaine n'a plus qu'une seule certitude: elle sait que Dieu est mort et s'efforce de le remplacer par l'Homme." En méditant la pensée de Camus à travers ses essais philosophiques, il semble que, même si dans un entretien sur la révolte, ce dernier déclare qu'"il n'est pas humaniste", la question du comment l'homme doit vivre avec ses semblables dans le monde et en société, est au centre de la réflexion philosophique camusienne. Car, l'époque de Camus fut celle où la vie humaine comme valeur et la dignité de l'être humain, furent soumises à une dure épreuve d'être respectées par chaque homme et en tout homme. D'où l'intérêt que l'oeuvre de Camus porte sur la question de la "vitalogie": L'homme peut-il vivre heureux sans le secours de Dieu? Oui ou non, l'homme, peut-il se tuer volontairement ou bien tuer les autres sans raison? L'homme peut-il détruire le monde qui le porte sans détruire sa propre vie? En effet, loin de voir dans la mort raisonnée et dans le suicide une valeur, Camus considère qu'ils sont plutôt un mal que les hommes doivent éviter et faire éviter les autres dans le "vivre-ensemble." C'est pour cette raison que la pensée philosophique chez Camus présente comme l'une des caractéristiques majeures, la "passion de vivre" de l'homme et pour l'homme, car la vie est, selon lui, une valeur cardinale qui doit être respectée en tout être humain dans la communauté qui voudrait être juste, paisible, libre, solidaire et unie. A cet effet, nous soutenons la thèse suivante: La pensée camusienne est une "vitalogie" paradoxale, c'est-à-dire qu'elle est debat philosophique sur la vie de l'être humain, en tant que valeur fondamentale, dans ses rapports avec Dieu, le monde et les autres. Par conséquent, une société dans laquelle les hommes sont habités par la passion de bien vivre et mieux vivre ensemble, il y a une exigence impérieuse pour eux de promouvoir et de crer les valeurs qui favorisent le respect de l'être humain et de sa vie. La vitaogie camuusienne est indissociable de la vision qu'on se fait sur l'homme ici et maintenant, en tenant compte des contradictions ou des antinomies du "oui" et du "non" de l'existence. Selon Camus, en effet, la mission principale de l'homme dans le monde est de vivre: "Oui, mais je n'aurai rien manqué de ce qui fait toute ma mission et c'est de vivre." (Carnets I.p.92). La pensée camusienne est donc une vitalogie. Mais comment l'homme doit-il vivre? Celui-ci, pense Camus, doit devenir "créateur" des valeurs de la justice, de la liberté, de la solidarité, de la paix, de l'amitié et de la fraternité entre les hommes et être courageux, pour assumer la responsabilité de sa vie et de son destin dans le monde, en évitant d'aliéner son esprit dans les illusions, dans quelque absolutisme qu'il soit ou dans un pessimisme tétanisant. Au total, l'homme doit prendre en main sa destinée, en vue de la "joie vivre", sans pour autant perdre de vue que celle-ci ne se sépare pas non plus du "désespoir de vivre." <p><br>Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie<br>info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Shimada, Kaoru. "Absurdité, théâtralité, fictionnalité: essai sur le texte de théâtre : l'écriture théâtrale d'Albert Camus." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040006.

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Abstract:
Comment lire le théâtre d'Albert Camus, comme il le souhaitait, sous l'angle purement esthétique : sans le réduire à la démonstration de la thèse exposée dans ses essais philosophiques ? Dans le contexte actuel de l'esthétique et de la poétique, la question est inséparable d'une autre : qu'est-ce que la théâtralité du théâtre et de son texte ? L'examen du cas de Camus révèle des traits spécifiques au texte théâtral qui semblent converger vers la fictionnalité de ce dernier. Toutefois, la théâtralité n'est pas synonyme de fictionnalité bien que les deux notions soient étroitement liées à l'absurdité : celle-ci, qui se trouve dans le principe fondamental de la communication, sert à la reconnaissance de l'une ou de l'autre. Et dans le cas du théâtre de Camus qui exemplifie l'absurdité plus qu'il ne la représente, l'expérience esthétique du lecteur-spectateur consiste avant tout à saisir la signification de cette distance entre l'intention artistique et l'œuvre qui la réalise<br>How can we read the theatre works of Albert Camus, as he wished them to be read, from a purely aesthetic angle, without reducing them to the demonstration of the thesis expressed in his philosophical essays? In the current context of aesthetics and poetics, this question is inseparable from another question: what is the theatricality of theatre and theatrical text? The case of Camus reveals some specific features of the theatrical text that appear to point towards its fictionality. However, theatricality is not synonymous with fictionality, although these notions are both closely connected with absurdity. Absurdity, which is to be found in the fundamental principle of communication, allows us to recognize both theatricality and fictionality. In the case of Camus's theatre, which exemplifies more than it represents absurdity, the aesthetic experience of the reader-spectator consists above all in grasping the full meaning of the distance that separates the artistic intention and the works that realize it
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Giscard, Abdou Mfoku Salif. "Sujet et spatialité dans les œuvres romanesques de Sartre et de Camus." Paris 8, 2006. http://www.theses.fr/2006PA082636.

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Abstract:
La problématique du sujet et de la spatialité dans les œuvres romanesques de Sartre et de Camus nous amène à interroger leurs relations à la fois théoriques et littéraires. Existe-t-il un rapport significatif entre le sujet et l’espace en tant que points focaux ou structurations dans leurs romans ? De l’analyse faite, il ressort que notre corpus regorge d’importantes potentialités en matière de sujet et d’espace et que ces concepts sont des structures interactives produisant des significations qui touchent à la philosophie des auteurs. Chacun d’entre eux a une vision différentielle de la perception du sujet dans l’espace. Avec Albert Camus, le sujet tantôt valorise l’espace, tantôt subit ses déterminations. Chez Jean-Paul Sartre par contre, le sujet, animé par le goût de la liberté exploite l’espace pour y développer son équation personnelle. L’espace joue donc un rôle indéniable dans la construction de la conscience humaine. Sartre et Camus apparaissent comme deux écrivains à stratégies divergentes. Leurs doctrines respectives, l’existentialisme pour le premier et l’absurde pour le second se reconstruisent aussi à partir de la relation entre sujet et espace<br>The issue of subject and spatiality in Sartre and Camus' novels leads us to question their theoretical and practical relationships. Is there a significant relationship between the subject and space as focal or structural points in their literary texts? From our analysis, it arises that our corpus abounds in important potentialities of subject and space, and that these concepts are interactive structures producing meanings, which imply the philosophy of the authors. But then, each writer has a different vision of the perception of the subject in space. For Albert Camus, the subject sometimes develops space, sometimes is overwhelmed by its determinations. With Sartre, on the other hand, the subject, led by a will for freedom, uses space to deal with its consciousness. Space thus plays an undeniable part in the construction of the human conscience. Sartre and Camus appear as two writers with divergent visions. Their respective theories, the existentialism for the first and the absurdity for the second, are based on the relationships between space and subject
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Verdier, Pierre. "Penser le droit avec Camus, ou le droit de l'Homme révolté." Thesis, Normandie, 2020. http://www.theses.fr/2020NORMR037.

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Abstract:
Le propos est de montrer que le principe de la neutralité axiologique du juge et donc de son jugement, d’origine révolutionnaire, a eu pour effet de ravaler le droit au rang d’un pur et simple instrument du pouvoir politique ; un pouvoir dont l’existence — et donc celle de sa loi (sa « positivité ») — dépend, fondamentalement, de la possession effective de la force. Une situation qui est la conséquence d’un choix idéologique auquel le positivisme, dominant de fait dans les facultés de droit, a donné une pseudo caution « scientifique ». Ainsi, l’immense majorité des juristes ont-ils cessé depuis longtemps de s’interroger sur « l’être du Droit ». Une telle question ne pouvant, selon eux, qu’intéresser des théoriciens ou philosophes dont les spéculations n’ont en réalité rien à voir avec le seul véritable droit : celui produit par les autorités politiques compétentes (selon leur droit) et dont l’application peut être assurée efficacement. Et pour les juges « dire le droit » ne pouvant avoir d’autre signification qu’appliquer, aussi fidèlement que possible, ce droit, qui, passé de son lieu de production politique dans leurs mains, est censé s’être délesté de tout contenu moral ou éthique. Un droit qui, pour ceux qui le mettent en oeuvre, est donc un objet sans mystère, conforme à ce qu’ils ont appris, d’une « évidence immédiate ». Comment en effet douter de savoir ce qu’est le droit si l’on est un spécialiste du droit ou même un simple justiciable, alors que les normes étatiques sont omniprésentes et suivies d’indiscutables effets sur les esprits et sur les corps ? Une évidence en réalité trompeuse et préjudiciable en ce qu’elle fait obstacle à toute réflexion critique. Alors que ce que croient connaître les juristes professionnels dans leur ensemble et ce que « disent » les juges en « disant le droit », ce n’est rien d’autre, sous cette appellation, que la volonté politique dans sa forme normative. Pour qu’il en soit autrement, pour que le Droit existe en tant qu’objet et discipline autonomes, il faut au Juge qui est la seule autre source possible de légitimité normative dans la cité, ouvrir le droit et son office à une autre dimension que sa dimension politique de base, nécessaire mais insuffisante. Et c’est à la recherche de cette ouverture que conduit la pensée du droit avec Camus penseur du sens de l’existence humaine dans lequel le droit, créé par des hommes pour des hommes afin de réguler leurs comportements sociaux, ne peut, raisonnablement, que trouver à s’insérer. Une ouverture qu’avec l’auteur de L’Homme révolté, il faut à la fois penser dans une certaine confrontation avec le pouvoir politique, et une préoccupation constante d’équilibre ; nécessairement en tension, mais qui n’exclut pas la poursuite d’une certaine harmonie, d’une vision du Droit comme un art du vivre ensemble. Ce que dans le dernier chapitre de l’essai susvisé, Camus philosophe et artiste,envisage avec la « pensée de Midi »<br>Our aim is to show that the principle of the axiological neutrality of judges and therefore of their judgment, of revolutionary origin, has had the effect of reducing the law to the rank of a pure and simple instrument of political power; a power whose existence – and therefore that of its law (its "positivity") – fundamentally depends on the effective possession of force. That situation is the consequence of an ideological choice which positivism, de facto the dominant theory in law faculties, has endorsed with a pseudo “scientific” validity. As a result, the vast majority of jurists have long since ceased to wonder about "the Legal being". According to jurists, such a question can only be of interest to theoreticians or philosophers whose speculations have in fact nothing to do with the only true law: that produced by the competent political authorities (according to their law), the application of which can be effectively ensured. And for judges, "to interpret the law" can have no other meaning than to apply as faithfully as possible that law which, in passing from its place of political production into their hands, has purportedly been shed of all moral or ethical content. A law which, for those who implement it, is therefore an object void of any mystery, in accordance with what they have been taught, of "immediate evidence". How indeed can we doubt what the law is, whether one is a specialist in law or even a simple litigant, when State standards are omnipresent and followed by indisputable effects on our minds and bodies? That evidence is in fact misleading and prejudicial in that it hinders any critical reflection. For what professional jurists as a whole believe they know, and what judges "hold" in "interpreting the law" is nothing other, under that name, than a political will in its normative form. For it to be otherwise, for the Law to exist as an autonomous object and discipline, judges, who are the only other possible source of normative legitimacy in the citystate, must open up the law and its function to another dimension than its purely political basis, which is necessary but insufficient. And it is in search of this openness to which legal thought leads with Camus, the philosopher of the meaning of human existence with which the law, created by the people for the people in order to regulate their social behavior, sanely can do no more than integrate. With the author of The Rebel, that openness must be seen as a certain form of confrontation with political power, and as a constant concern for balance; necessarily under strain, but which does not exclude the pursuit of a certain harmony, of a vision of the Law as an art of living together. An issue which Camus, philosopher and artist, in the last chapter of his essay, addresses with "Mediterranean Thought"
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Bastian, Aeneas. "Le mythe littéraire de Sisyphe." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040020.

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Abstract:
La présente thèse est consacrée au mythe de Sisyphe dans la littérature européenne et américaine. En suivant une démarche comparatiste, elle retrace son évolution diachronique de ses origines dans les poésies homériques jusqu'à nos jours. L'étude des nombreuses versions du mythe met en évidence son développement à travers les époques en présentant ses principales constantes et variantes. La thèse analyse les fondements du mythe dans la littérature grecque et latine aussi bien que les relectures qu'il connaît dès le Moyen Age, et notamment au XIXe et au XXe siècle. Ce travail montre la fécondité et l'adaptabilité du mythe de Sisyphe, personnage considéré comme astucieux et démesuré dans les Lettres de l'Antiquité. Le châtié sert de comparant dans les contextes les plus divers : il représente la souffrance de l'amoureux malheureux, la vanité de l'ambition et l'inutilité de certains types de travail. Rattaché à l'absurde par Albert Camus, le mythe est souvent politisé dans la seconde moitié du XXe siècle<br>This thesis aims at studying the myth of Sisyphus in European and American literature. Adopting a comparative approach, the thesis retraces its chronological evolution from its origins in Homeric poetry to the present day. The investigation of the numerous versions of the myth sheds light on its development throughout the ages and gives an account of its principal constant and varying elements. The thesis analyses the foundation of the myth in Greek and Latin literature as well as its reinterpretations since the Middle Ages, especially in the nineteenth and in the twentieth century. This study shows the fertility and the adaptability of the myth of Sisyphus, a person considered to be crafty and immoderate in ancient literature. The punished serves as a term of comparison in a diversity of contexts: he represents the suffering of the unfortunate lover, the vanity of ambition and the futility of certain types of labour. Linked to the absurd by Albert Camus, the myth is frequently politicised in the second half of the twentieth century
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Arnaud-Gomez, Sylvie. "La polyphonie dans l'oeuvre de Camus : de l'unité ontologique à la fracture discursive." Phd thesis, Université Michel de Montaigne - Bordeaux III, 2008. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00349833.

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Abstract:
D'une confidence fortuite à la polyphonie bakhtinienne<br /><br />L'origine de ce projet de thèse est une histoire familiale. J'étais étudiante en lettres lorsque ma mère, au détour d'une conversation, me confie que Camus a écrit sur mon grand-père et qu'on peut trouver ces documents dans les Cahiers Albert Camus. Je m'étonne et prends connaissance du détail de l'affaire. Mon grand-père est le magasinier Mas emprisonné aux côtés d'Hodent, entraîné dans une fausse accusation de malversation et de spéculation par ceux-là mêmes qui agissaient dans la seule finalité de leur profit personnel en modifiant à leur guise le prix du blé fixé par des amendements du Front Populaire. L'intervention de Camus, jeune journaliste à Alger Républicain, permet d'éviter l'erreur judiciaire. Une série de quinze articles est consacrée à ce procès répertorié sous le nom d'« affaire Hodent ». <br />Je suis le procès en entendant les voix des accusés, celle du procureur, celles des avocats, des témoins cités à la barre et celle de Camus, jeune journaliste passionné et investi dans la recherche de la vérité. Et, dans ce foisonnement, je m'interroge sur le pouvoir de la parole, sur la polysémie du langage, ses zones d'ombre, sur les ambivalences des hommes, sur la foi erronée en une vérité unique. D'où parle-t-on ? À qui les discours s'adressent-ils ? Quelle croyance obsolète supposent-ils dans l'unité du sujet parlant et dans la capacité du langage à restituer une unité originelle ? Je relis Bakhtine. J'explore l'ouvrage de Dunwoodie qui met en parallèle Camus et Dostoïevski. Je découvre les influences, les intertextualités. Ma recherche s'oriente alors vers la polyphonie, vers une réflexion sur le rapport de l'homme au langage, à l'unité, à la vérité. Le procès d'Hodent m'y a conduit.<br />J'entre dans l'ère du soupçon qui est la marque du XXe siècle. Je lis avec passion L'Anneau de Clarisse de Magris qui retrace les grandes étapes du désenchantement du monde lié à la mort de Dieu. Nietzsche prend alors toute la place. Il est au centre névralgique de cette explosion à la fois jubilatoire et dysphorique. La foi dans l'unité du sujet n'est plus. L'homme est multiple. Il est une myriade d'éclats, il est bigarrures et paradoxes dans un monde marqué par la perte des repères.<br /><br />Une voix dans le fracas du monde <br /><br />Camus s'efforce de faire entendre sa voix dans le fracas du monde et dans la multitude des voix d'autrui, voix des habitants de Belcourt, voix silencieuse de la mère, voix autoritaire de la grand-mère, voix des maîtres qui guident l'enfant, voix des premiers romanciers lus avec émotion et éblouissement, voix des « grands auteurs », des Classiques, voix de la Grèce antique et de la Rome latine, voix des philosophes de l'ère chrétienne, voix du messie qui crie sa déréliction et sa souffrance de l'incarnation, voix des penseurs solitaires, des créateurs de concepts, voix des comédiens sur les planches, des amis chaleureux, des femmes aimées, de celles qui ont trahi, de celles qu'il a trompées pour dire ailleurs d'autres mots, se nourrir d'autres murmures, voix des orateurs aux tribunes de l'actualité, voix des maîtres à penser, des moralisateurs, voix des traîtres, voix des lâches, voix qui se sont tues à jamais sous les fusillades aveugles qui fauchent sans pitié la jeunesse, la bravoure. Camus reste vivant après le cataclysme de la guerre, heureux et honteux, n'ayant plus alors que le témoignage comme seule justification. Les voix des morts résonnent dans le silence bruyant de la Libération et la voix de la vengeance est impérieuse avant de s'adoucir dans l'évidence du pardon et de l'oubli. Il est un homme labyrinthique qui façonne une œuvre en costume d'Arlequin. Il est un pantin tournoyant dans les orages du siècle, restituant, jusqu'au mutisme, les clameurs du siècle. Mais il est aussi un artiste qui ne renonce jamais totalement à l'exigence d'une voix personnelle, d'une voix du secret de l'intime, de l'opacité lumineuse du renoncement aux autres et de l'acceptation de soi comme condition de la création. <br />Voilà posée la tension camusienne entre le désir d'unité et d'harmonie, la course folle vers la fusion avec le monde, l'ardeur consacrée à rétablir la paix entre les peuples, le respect et la reconnaissance d'autrui dans son altérité et dans sa mêmeté d'une part, et d'autre part, la lucidité parfois effarée face à l'éclatement de l'être, à la victoire de la confusion et du désordre, au règne du paradoxe, de l'aporie, de la guerre. L'élan enthousiaste ou désespéré vers le désir d'harmonie s'incarne dans le choix d'être un écrivain et de porter, par les mots agencés, l'unité de l'homme et du monde. L'écriture tente de lutter contre l'éclatement, la fragmentation, la diversité. Mais les mots jaillissent et restituent le désordre, la confusion, la complexité de l'homme. L'écrivain fait l'expérience dysphorique et vivifiante, jubilatoire et angoissante de la polyphonie. Par qui suis-je habité quand je parle ? C'est la question que chaque « sujet parlant » ne peut manquer de se poser à la suite de Bakhtine ou de Ducrot. Quels échos résonnent dans une voix, quels dédoublements en abyme habitent l'auteur qui prend la plume ? Quel chemin peut conduire l'individu vers la singularité authentique dans le fracas assourdissant des voix d'autrui qui se mêlent et s'emmêlent? L'uni et l'unique ne sont-ils que des leurres, des fantômes aveuglés par l'orgueil et l'outrecuidance ? Comment livrer l'intime sans impudeur ? Comment être à la fois héraut de son temps, chantre de la justice et « politiquement et affectivement incorrect » ?<br />Faut-il chercher un fil conducteur ? Y a-t-il un fil d'Ariane menant à une vérité ultime ? Il ne semble pas que Camus se soit jamais imposé cette contrainte. La lecture des Carnets témoigne, malgré l'évolution programmatique annoncée très tôt par l'auteur, d'une œuvre qui avance au gré des lectures et des événements et restitue une pensée vibrante, frémissante, curieuse et avide, toujours en mouvement, toujours à l'affût d'une nouvelle rencontre, d'un nouvel éblouissement, toujours à l'écoute de cette palpitation intérieure que ne fait pas taire la clameur du monde. Ce paradoxe tensionnel et fécond de l'unité ontologique et de la fracture discursive se retrouve dans les différentes dimensions de l'œuvre camusienne, dans le rapport à l'histoire de son temps, dans le désir du chant de l'intime, dans la volonté de restituer l'authenticité de l'homme dans ce temps qui est le sien, sur cette terre qu'il a voulue sienne. <br />Pour, à l'instar de Camus, ne renoncer à rien, pour réunir tous les paradoxes, pour faire entendre la multitude des voix, le foisonnement des œuvres, j'ai choisi de placer mon parcours sous l'œil attentif et bienveillant de trois figures tutélaires. J'ose espérer que Camus aurait emprunté, non sans déplaisir, cette route que j'espère inexplorée, qui n'exclut pas les incursions inattendues, les chemins de traverse, les explorations imprévues. <br /><br />Salomon, constructeur du Temple<br /><br />Ce personnage biblique recèle en lui les ambitions de l'homme présent dans sa cité, acteur de son destin et de celui de ses compagnons. Il est le roi d'une justice immanente, inscrite à hauteur d'homme, évidente car elle sollicite la vérité du cœur. Il est un roi de sagesse qui règne dans un temps de paix. Mais on lui attribue également L'Ecclésiaste qui oriente sa pensée vers une philosophie liée au temps présent et à la perception aiguë de la précarité. L'ambivalence non contradictoire entre le temps de l'action et l'évidence de la nécessité de construire d'une part et d'autre part la conscience d'un absurde lié à la fugacité de la vie rend compte de la tension de l'œuvre de Camus où le désenchantement n'entraîne pas la désespérance. La figure de Salomon permet d'envisager les engagements politiques de Camus, d'observer comment il a contribué à maintenir debout les fondations de notre civilisation occidentale mise à mal par la fureur des hommes et la violence des guerres.<br />Je distingue trois temps dans cette dimension de l'œuvre. Le premier temps est un temps de l'engagement dichotomique. Il permet l'émergence d'une poétique de l'innocence. Camus a la volonté d'édifier un monde équitable. Il dénonce les injustices dans son reportage sur la Kabylie. Il fustige les excès d'une Droite sûre de ses droits en choisissant le ton acerbe du satiriste. Le verbe engagé prend place sur les planches, trouvant là une autre tribune pour énoncer son désir d'un monde de justice et dénoncer les vilenies des hommes et des régimes, des partis, des gouvernements. Il dénonce les tyrannies dans des adaptations théâtrales – Malraux, Gorki – ou dans des créations collectives – Révolte dans les Asturies. <br />Plus tard – c'est le deuxième temps, le temps de la parole héroïque – il s'engage avec Pia dans la grande aventure de Combat. Sa parole est édifiante. Il fait entendre la voix de l'honneur, en appelle à la justice des nations. Il dénonce les hypocrisies face à l'Espagne franquiste et défend la République en exil. Il s'afflige du silence des Occidentaux devant la dictature. Il en appelle au patriotisme dans ses éditoriaux de Combat. Il s'engage contre l'invasion soviétique en Hongrie. Il poursuit son engagement journalistique et met en place un théâtre engagé, en Algérie, avec des moyens de fortune, puis à Paris dans un moment de sa carrière où il a gagné, par ses romans, ses essais et sa présence à la tribune des journaux, une vraie notoriété. <br />Puis vient le temps du doute et du désenchantement. Camus se trouve dans la nécessité du silence et d'un retour sur soi. Il s'isole et se marginalise. Il fait l'expérience des limites de l'efficacité du discours. Il adapte les Possédés de Dostoïevski. Cette œuvre magistrale et complexe est le miroir des paradoxes contemporains et d'un climat délétère de manœuvres et de suspicions, de mensonges et d'hypocrisies. Ses dernières interventions journalistiques, obtenues par l'habileté et l'opiniâtreté de Jean-Jacques Servan-Schreiber et la médiation de Jean Daniel, témoignent d'un accroissement du doute et du désenchantement et cultivent l'art du décalage, de la marge, de l'inattendu. Camus déconcerte. On ne le comprend plus. <br /><br />Orphée, poète de l'absence<br /><br />Orphée chante la perte de l'être aimé et charme tous les êtres vivants. C'est la voix singulière de l'homme qui se fait entendre ici. Non plus celle qui s'offre à la communauté mais celle qui s'octroie le droit à la singularité. Camus laisse vibrer la corde sensible du lyrisme, il s'autorise le désir d'harmonie et de fusion au sein d'une nature flamboyante et généreuse, pleine de promesses. Il révèle la fascination féconde pour la tension nietzschéenne entre Apollon et Dionysos et l'exploration d'une forme nouvelle de poésie au plus près de l'homme. La lecture du Nietzsche de La Naissance de la Tragédie lui permet de comprendre la tension féconde entre le beau figé, hiératique, éternel et l'éclatante fulgurance d'une vie qui ne se saisit que dans l'éclair, le fugace, le transitoire, le désordre, la folie. L'antique alliance de l'apollinien et du dionysiaque a permis l'émergence de la tragédie. Cette lucidité ne laisse guère en repos. Elle est exigence de tous les instants et ne cesse de contraindre le sujet à s'interroger sur sa place dans le monde, sur l'origine de la parole, sur l'identité de celui qui parle et sur la coïncidence entre ce qui est senti, ce qui est pensé et ce qui est dit. À moins que le verbe n'ait valeur d'authenticité du fait même qu'il est proféré, sorti de soi. Ces questions hantent Camus qui s'interroge au cœur même de son œuvre, qui fait de ce questionnement une matière poétique. Il s'interroge également, sans être le seul dans ce siècle de guerres, d'hégémonies destructrices et de génocides, dans ce monde où la bravoure cède le pas à la lâcheté et à l'hypocrisie, sur la pertinence d'une parole poétique. Les poètes de ce milieu du XXe siècle, Jabès, Jaccottet, Bonnefoy, Char bien sûr, l'ami intime, n'ont pas éludé l'horreur de leur temps. Au contraire, ils l'ont regardée avec la lucidité des artistes et l'ont inscrite au cœur même de leur œuvre sans renoncer pour autant au réel de la beauté.<br /> Camus poursuit les mêmes exigences que ses contemporains sur une voie qui est la sienne, sur une route où il va, solitaire, sombre et solaire, à la croisée des chemins, dans le clair-obscur des cultures qui se côtoient sans se comprendre. Ces exigences multiples ne sont pas aporétiques. Je les explore en écoutant le son envoûtant de la flûte de Dionysos. C'est une musique de l'insoumission, une musique non régie par le logos. Elle s'approche du mystère des origines et de l'effroi de la mort, elle est au plus près des pulsations intimes, du sang qui bat dans les tempes quand il fait trop chaud ou que l'émotion est trop intense. Elle nous fait entendre l'aulos de la Grèce antique. Elle est l'accord mineur, la gamme de l'être mi-homme, mi-dieu, du satyre, de Pan. Mais ce souffle ne saurait exister sans l'intervention d'Apollon. L'homme jaillit de l'informel dionysiaque. Il devient un individu. Il se saisit du logos. Il chante la beauté du monde accompagné du son mélodieux de sa lyre. L'instrument à cordes remplace l'instrument à vent. La gamme en accord majeur impose sa puissance et son unité harmonieuse. Le poète est alors celui qui cherche la vérité et la beauté, l'équilibre et la vérité. Il est celui qui poursuit l'éternité dans le chant de l'Un retrouvé. Dionysos et Apollon s'équilibrent, ou plus exactement s'offrent l'un à l'autre le pouvoir d'exister. J'ai ajouté un dernier chant, un peu inattendu à ces deux accords premiers, le mineur et le majeur, celui que produit l'arc d'Ulysse alors même que le héros retrouve son arme et se venge des prétendants indignes. Ulysse est présent dans l'œuvre de Camus. Il est l'homme du nostos, l'homme de la nostalgie et de l'exil. Il est celui qui ne renonce jamais. Il est ce héros à la fois brave et faible, invincible et vulnérable, fidèle et infidèle. Il est celui qui a renoncé à l'immortalité que lui offrait Calypso pour retrouver sa femme, son fils, son royaume. Il fait le choix de la précarité. Il est un homme. Il est, dans la métaphore musicale, l'accord dissonant dont parle Clément Rosset, cet accord qui, au contact de l'accord parfait, permet la fugace révélation de l'harmonie perdue. <br /><br />Adam, le premier homme. <br /><br />Placé sous le signe d'une temporalité inexorable, il est l'homme de la faute originelle, le père de Caïn, le premier meurtrier, le premier errant. Il rappelle le poids du réel et de l'irrémédiable. Le roman apparaît comme le domaine privilégié pour l'expression de la faute. L'ontologique s'inscrit dans le temporel, le précaire, l'incertain. Je retrouve le même cheminement qui conduit de l'innocence à l'édification et au désenchantement – c'est le parcours que j'ai suivi sous l'égide de Salomon. Je retrouve le désordre fusionnel dionysiaque qui prend ici la forme de la carnavalisation bakthinienne, le goût de l'unité dans la tentation épique, et le désir intact de se maintenir au plus près de l'humaine condition. Les tensions sont les mêmes et s'entrecroisent. L'art du roman inscrit l'homme dans un temps linéaire. Ce temps, dans notre tradition judéo-chrétienne, commence avec la faute originelle qui conduit Dieu à chasser Adam et Ève du paradis où le temps ni la mort n'existent. <br />La matière fictionnelle peut être un succédané à l'effroi face à la mort et à la culpabilité. Le jeune Camus est d'abord tenté par une forme d'idéalisme. Ses œuvres de jeunesse, influencées par Bergson et Nietzsche, sont teintées de symbolisme métaphysique, d'idéalisme et d'onirisme. Mais, peu à peu, les voix des habitants de Belcourt s'imposent et trouvent un écho plus puissant. L'écriture s'allège. La phrase se densifie en même temps qu'elle accède à une plus grande simplicité. La banalité du quotidien devient la matière première de l'œuvre fictionnelle. Le fait divers devient source de l'inspiration. La création se déploie dans l'ordinaire et délaisse les marges oniriques. Camus s'éloigne d'une conception symbolique de la littérature et d'une approche rousseauiste de l'homme. En réalité, ce parcours n'est pas chronologique. Camus aborde la question du mal dès ses premières œuvres. Dans son Mémoire sur Plotin et saint Augustin, il examine la conception du mal chez les agnostiques puis exprime pour la première fois l'intérêt qu'il porte au christianisme qui est la religion de la souffrance et de la mort. C'est ce moment qui cristallise un imaginaire lié à la souffrance, au sang mais aussi à l'abandon.Une remise en question de la notion du souverain Bien kantien entraîne Camus sur les chemins périlleux de l'exploration des zones obscures, des morts éthiquement inacceptables comme celles des enfants. Il est l'auteur de La Peste mais aussi du « Renégat », de La Chute. Il est l'auteur du meurtre gratuit, de cet acte inacceptable et incompréhensible, dans La Mort heureuse et L'Étranger. Il n'élude pas les monstruosités de la guerre d'Algérie dans Le Premier homme et s'immerge dans les affres slaves, depuis sa mise en scène des Frères Karamazov dans ses jeunes années, jusqu'à celle des Possédés à la fin de sa vie. <br />Mais l'importance de Dostoïevski ne doit pas oblitérer la place capitale de Tolstoï dans la gestation de l'œuvre. La fréquence des citations de l'auteur de Guerre et Paix montre la très grande fidélité à cet autre géant de la littérature russe du XIXe siècle. Tolstoï excelle dans la représentation de l'homme dans le monde, sous son double aspect, familier et héroïque. Il recherche l'équilibre, la règle, l'intelligibilité, l'ordonnance, l'organisation, l'agencement limpide, la structure, la causalité, le déterminisme. Dostoïevski cultive le désordre, la débauche, la rupture, le bouleversement, la confusion, la violence, l'excès, l'incohérence, le trouble. Il étonne et ravit dans son exploration de l'âme humaine. Tolstoï est du côté de l'épopée, Dostoïevski se situe au cœur de la ménippée. Je trouve là une opposition fondamentale dans la genèse romanesque camusienne, un paradoxe entre l'attrait de l'ordre et du monologisme, le plaisir de la sentence, de l'axiome, le goût de la vérité et de la hauteur de vue – son versant solaire, son adret apollinien et, d'un autre côté, sa tentation du désordre fécond, de la polyphonie, son versant obscur, son ubac dionysiaque.
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Aqelsaravani, Zahra. "L'homme, l'humain et l'humanisme dans les oeuvres d'Albert Camus." Thesis, Bordeaux 3, 2014. http://www.theses.fr/2014BOR30032.

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Abstract:
Albert Camus a lui-même distingué trois phases dans son Œuvre : celle de l’absurde : (la prise de conscience du non-sens de la vie conduit Camus à l’idée que l’homme est « libre de vivre sans appel », « quitte à payer les consciences de ses erreurs » et doit épuiser les joies de cette terre. La vie accepte le non-sens du monde et trouve le bonheur au sein même de l’absurde. Camus affirme que l’absurde n’est ni dans l’homme ni dans le monde, mais dans leurs présences communes, dans leur « confrontations » et le définit comme « l’indifférence à l’avenir et la passion d’épuiser tout ce qui est donné »), celle de la révolte : (la révolte est considérée par lui comme la seule position tenable face à l’absurde. Elle figure avec la liberté et la passion, comme une solution valable et capable d’assurer la justice. Elle seule peut assurer une action affective capable de dépasser la stérilité et l’angoisse créées par l’absurde), celle de l’amour : (Camus entend par là, l’amour de l’homme, tel qu’il est, avec ses forces et son intelligence et aussi avec ses limites et ses faiblesses. Camus exprime son affection et sa solidarité envers l’homme. Ce n’est plus seulement un humanisme classique qui s’affirme, plus seulement une position morale, mais une position d’homme sensible. Camus recherche encore à s’approcher de ces « quelques choses », de cette « part obscure » qui est en tout homme, et en lui-même en particulier). Cette étude interroge sur la remarquable prose camusienne qui touche au premier plan la question de l’Homme qui progresse et modifie au fil des années ; l’attachement au service d’une justice relative aux hommes dont l’idée n’est pas séparable de celle du bonheur ; l’adhésion à une éthique humaine et humaniste qui n’est que pour pousser l’esprit humaine à la perfection. Son art n’est pas « une réjouissance solitaire ». Camus formule son exigence envers l’Homme car l’art est le moyen de l’expression d’une communion entre les hommes<br>Albert Camus himself distinguished three phases in his work: that of the absurd (awareness of non-meaning of life led Camus to the idea that man is ‘’ free to live without appeal’’, take a risk to pay the consciences of his errors and must exhaust the joys of this earth. Life accepts the non-sense of the world and finds happiness in even the absurd. Camus says that the absurd is not in man nor in the world, but in their common presences, in their ‘’ confrontation’’ and defines it as ‘’ indifference to the future and the passion to exhaust all that is given’’), that of the revolt: (revolt is considered by him as the only tenable position to face the absurd. It appears with the freedom and passion, as a valid solution and capable of ensuring justice. It alone can assure emotional action capable of overcoming unproductiveness and anxiety created by the absurd), that of the love (Camus meant here the love of man as he is, with its forces and intelligence as well as its limitations and weaknesses. Camus expresses his affection and solidarity towards man. This is not only a classical humanism which expresses itself, not just a moral position, but the position of a sensitive man. Camus still tries to approach these ‘’ few things’’ this ‘’obscure part’’ which is in every man, and himself in particular. This study examines the remarkable prose of Camus that concerns the issue of man, who progresses and changes over the years; attachment to the service of justice, relating to man whose idea is not separable from that of happiness; adherence to human and humanist ethics which are pushing the human mind to perfection. His art is not ‘’ a solitary joy’’. Camus formulates his expectation from man because art is the way of expression of communion between people
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Souabni, Senda. "Le "journalisme moral" d'Albert Camus." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040183.

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Strmisková, Denisa. "Albert Camus - Cizinec komplexní scénografický projekt." Master's thesis, Akademie múzických umění v Praze.Divadelní fakulta. Knihovna, 2012. http://www.nusl.cz/ntk/nusl-155952.

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Abstract:
The aim of this thesis is to introduce a renowned French author Albert Camus and subsequently develop my own conclusion on one of his major works - The Stranger (1942). In the first part I introduce the personality of Albert Camus's in the context of philosophical history, literature and drama. I aim to explain the background of his life in the first part of the 20th century, particularly the influence of his origin in Algiers, at that time politically and culturally dominated by the French, in contrast with later residence in France itself. These influences promoted the principle of individuality in the work of Albert Camus and clearly directed him to his own interpretation of literary expression and existentialism. Further I outline the basic principles of this philosophy and I present his most important literary and dramatic works. More specifically I deal with the analysis of the novel The Stranger itself. The topic of next chapter is the presentation of Camus's selected work on the Czech as well as international stages and their specifications. In brief mention I present film adaptations as well. The second part goes in to analysing my own conclusions of The Stranger with a particular attention to the set design. This is closely related to the practical work of the thesis - designs of chosen scenes and scale models are included in the photographic documentation. I aim to explain how I use the actual text of the novel whilst adjusting its structure in relation to the stage design. Then I analyze in detail the various dramatic situations and scenes in terms of set design solutions. In short I present technical and lighting solutions of this production. Conclusion of this thesis refers to the contribution of Camus's work and its influence on the art scene of the 20th century.
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Soubeyran, Pierre. "Albert Camus, un humanisme pour l'Europe." Lyon 3, 1991. http://www.theses.fr/1991LYO3A005.

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Mrovlje, Maša. "Judging for the world : philosophies of existence, narrative imagination, and the ambiguity of political judgement." Thesis, University of St Andrews, 2015. http://hdl.handle.net/10023/7450.

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Abstract:
The thesis inquires into the theme of political judgement and aims to rethink it from the perspective of twentieth-century philosophies of existence. It seeks to take up the contemporary challenge of political judgement that remains inadequately addressed within recent theorizing: how, given the modern breakdown of metaphysical absolutes, to reinvigorate the human capacity for political judgement as a practical activity able to confront the ambiguous, plural and complex character of our postfoundational world. Against this background, the thesis aspires to reclaim the distinctly historical orientation of twentieth-century existentialism, in particular the work of Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Albert Camus and Hannah Arendt. It draws on their aesthetic sensibility to resuscitate the human judging ability in its worldly ambiguity and point towards an account of political judgement capable of facing up to the challenges of our plural and uncertain political reality. Retrieving their vigilant assumption of the situated, worldly condition of human political existence and the attendant perplexity of judging politically, the aim of the thesis is to suggest how the existentialists' insights can be brought to bear on contemporary problematics of political judgement that seem to elude the grasp of abstract standards and predetermined yardsticks.
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Nguema, Nnang Jean Robert. "L'Étranger et La Peste d'Albert Camus : l'écriture et la vie au risque de la sainteté." Paris 7, 2002. http://www.theses.fr/2002PA070026.

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Abstract:
La sainteté, c'est-à-dire, l'authenticité d'être et d'agir, la propension à faire du bien, est pratiquée par Camus au travers de ses oeuvres et dans sa vie d'homme engagé. Ainsi, dans L'Etranger, elle est marquée par une écriture "neutre", "blanche", confinant plutôt à une justesse qui s'apparente à une certaine justice. Dans La Peste, la sainteté est caractérisée par un style "objectif", "impartial", produisant un effet de vérité, d'authenticité, de sainteté. Tandis que dans la vie pratique de Camus, la sainteté qui semble avoir ses origines dans l'enfance de Camus, se lit notamment à partir de sa pratique journalistique objective, sa dénonciation inflexible des injustices et des violences de toute sorte. Etant donné que Camus considère l'écriture comme le témoignage d'une expérience vécue, la sienne en l'occurence, il semble en dernière analyse que la sainteté camusienne rend raison d'une façon juste d'habiter ce monde<br>Saintliness, it said, the authenticity to be and to act, the propensity to do good, is practised by Camus across his works and in the life of the "commited man". Thus in "l'étranger" (the foreigner), it is marked by "neutral write", writing, rather confined to an accuracy that is visible to a certain justice. In "La Peste" (the Plague), saintliness is characterised by "objective", "impartial style", producing an effect of truth, authenticity and of saintliness. Write in the practical life of Camus, saintliness seems to have his origins in the childhood of Camus notably to leave his practical journalistic objective, his inflexible denunciation of injustice and violence of any sort. Given that Camus considered writing as an account of a lived experience, as it happens to be his, it seems in the last analysis, that saintliness of Camus renders reason to a just way to live in the world
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Ismé, Jean-Joseph J. "La figure du juste chez Camus /." Thesis, McGill University, 1987. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=63797.

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Espitalier, Paulette. "Amour, solidarité, amitié dans l'oeuvre d'Albert Camus." Montpellier 3, 1986. http://www.theses.fr/1986MON30040.

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Abstract:
"petit prince" valeureux en contact avec la misere, artiste cultive, amoureux du soleil, de la mer, de la splendeur mediterraneenne, la pauvrete ne l'atteint pas mais toute sa vie il lutte contre la maladie et la souffrance. La pensee est pour lui une compensation; la morale une revalorisation de l'existence. A l'epoque de la derniere guerre, cette jeune voix humaniste s'eleve pour defendre l'amour, la solidarite, l'amitie. Le public etranger l'adopte avec tant de faveur qu'il recoit le prix nobel de litterature. Son oeuvre reste inachevee mais "sisyphe est mort heureux, ecrit andre maurois, laissant son rocher au plus haut"<br>Valorous "little prince" in contact with misery, cultured artist, in love with sun, with sea and mediterranean splendour. Poverty doesn't reach him; but he fights against illness and pain all his life. Thought is a compensation for him and ethics an existence revalorization. In the last war time, this young humanist voice goes up to support love, solidarity and friendship. The foreign readers borrows him so much favourably he gets the literature nobel prize. His production remains unfinished but "sisyphe is dead happy, andre maurois writes, and left his rock perched high up
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Machado, Patrícia de Oliveira. "Absurdo, revolta, ação : Albert Camus." reponame:Repositório Institucional da UnB, 2010. http://repositorio.unb.br/handle/10482/8387.

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Abstract:
Dissertação (mestrado)—Universidade de Brasília, Faculdade de Filosofia, 2010.<br>Submitted by Raquel Viana (tempestade_b@hotmail.com) on 2011-06-16T12:45:07Z No. of bitstreams: 1 2010_PatriciadeOliveiraMachado.pdf: 631947 bytes, checksum: 00f04092c1236515094e223916c60c1a (MD5)<br>Approved for entry into archive by Guilherme Lourenço Machado(gui.admin@gmail.com) on 2011-06-16T14:01:00Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2010_PatriciadeOliveiraMachado.pdf: 631947 bytes, checksum: 00f04092c1236515094e223916c60c1a (MD5)<br>Made available in DSpace on 2011-06-16T14:01:00Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2010_PatriciadeOliveiraMachado.pdf: 631947 bytes, checksum: 00f04092c1236515094e223916c60c1a (MD5)<br>Em nossa dissertação, procuramos pensar a ação a partir do itinerário filosófico de Albert Camus. A princípio, investigaremos as possibilidades da ação a partir da fratura entre o homem e o mundo, ao que Camus denomina absurdo. Ação que não pode redundar em suicídio filosófico ou físico, posto que esses são modos de trair a constatação da absurdidade da vida. A ação absurda não pode mais visar o absoluto e se fiar em valores transcendentes e absolutos. Ela tem que respeitar os limites agora descobertos: a relatividade e a ignorância humana frente ao futuro. Por isso, a atitude coerente ao absurdo é “viver mais”, “bater todos os recordes”, já que o homem tem apenas o presente. Mas tal atitude não pode fundamentar uma regra de conduta, não pode oferecer uma referência para a ação frente aos outros homens. A ação tem de ser pensada a partir da revolta, pois ela pode nos revela um valor, em nome do qual o homem pode agir. Pela revolta, o homem toma consciência de um valor comum a todos os homens; é a descoberta de uma natureza humana. É a fidelidade a essa natureza que deve conduzir e limitar a ação revoltada. ________________________________________________________________________________________ ABSTRACT<br>In this dissertation we try to think actions from the philosophic itinerary of Albert Camus. At first, we investigate the possibilities of actions from the rupture of man and the world, what Camus denominates 'absurd'. Actions that cannot end in some kind of philosophical ou physical suicide, given that those are ways of betraying the verification of the absurdity of life. The absurd action cannot look for the absolute nor trust transcendental and absolute values. It has to respect the limits now discovered: human relativity and ignorance in face of the future. As a result, a coherent attitude towards the absurd is to 'live more', 'brake all records', given that man has only the present. But such an attitude cannot found a rule of conduct, cannot offer a reference for an action with regard to other men. The action has to be thought from the revolt itself, since it can reveal us a value, in the name of which man can act. By the revolt man becomes aware of a common value to all men; and that is the discovery of a human nature. It is the fidelity with respect to that nature that has to conduct and limit the revolted action.
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Berankova, Eva. "La face cachée, dostoïevskienne d'Albert Camus." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2001PA040203.

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Abstract:
Destinée à étudier la profonde influence exercée par Dostoïevski sur Camus, ainsi que le dynamisme de la polémique fictive lancée par l'écrivain français contre son prédécesseur russe, cette thèse s'articule autour de trois axes fondamentaux. Sa première partie est consacrée à la cristallisation progressive du " mythe du nord ", cette région de la géographie mentale de camus qui détermine l'horizon d'attente dans le cadre duquel ce dernier interprétait l'œuvre de Dostoïevski. La réaction passionnelle de Camus face aux deux composantes idéologiques majeures de ce mythe (" tentation de la révolte ", " tentation de la sainteté ") se trouve abordée dans les deux parties ultérieures de notre thèse. En analysant les enjeux de cette oscillation typiquement dostoïevskienne entre la révolte et la sainteté qui anime l'univers poétique de camus, nous espérons porter un regard nouveau sur cette " face cachée, nordique " de l'écrivain que la critique littéraire française tend à négliger<br>Designed to study the profound influence of Dostoevsky on Camus and the dynamism of the fictitious polemics conducted by the French writer against his Russian predecessor, this thesis is constructed along three fundamental lines. Its first part is dedicated to the progressive crystallization of the «myth of the north ", the region of Camus’s mental geography which determines the horizon of expectation within the framework of which Camus interpreted Dostoevsky’s work. Camus's passionate reaction to the two major ideological components of this myth (" temptation of revolt ", “temptation of sanctity " ) is examined in the two other parts of the thesis. In analyzing the manifestations of this typically dostoevskian oscillation between revolt and sanctity that animates Camus’s poetic universe, i hope to introduce a new view of this «hidden, northern face” of the writer which French literary critics tend to neglect
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Ito, Tadashi. "Le temps dans les essais d'Albert Camus." Thesis, Paris 3, 2009. http://www.theses.fr/2009PA030063.

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Abstract:
À ce jour, ont été écrites de nombreuses et remarquables études qui analysent les textes littéraires, philosophiques, journalistiques, épistolaires d’Albert Camus, et ce dans diverses perspectives : stylistiques, narratologiques, linguistiques, psychanalytiques, symboliques, thématiques, biographiques, intertextuelles, sociologiques, politiques, esthétiques, éthiques, philosophiques entre autres. Or, rares sont les études qui examinent l’idée et l’image du temps chez cet écrivain français du siècle dernier, à partir de ses essais philosophico-littéraires. L’essayiste songe par exemple à la conception temporelle, en l’associant tantôt au mouvement circulaire du monde méditerranéen, beau et éternel, ou du cosmos (L’Envers et l’endroit, Noces, entre autre), tantôt à la fonction de la conscience humaine qui espère, se souvient et se révolte (Le Mythe de Sisyphe), tantôt à la marche de l’histoire humaine, européenne (L’Homme révolté). En considérant l’œuvre entière de Camus, et surtout ces quatre essais, L’Envers et l’endroit, Noces, Le Mythe de Sisyphe et L’Homme révolté, notre thèse a pour objectif d’étudier les trois conceptions temporelles, qui n’ont pas reçu une attention critique suffisante : l’éternité, la triple temporalité (le passé, le présent et l’avenir) et le temps historique<br>To this day, there have been written numerous and remarkable studies which analyze the literary, philosophical, journalistic, and epistolary texts of Albert Camus from diverse perspectives : stylistic, narratological, linguistic, psychoanalytical, symbolic, thematic, biographical, intertextual, sociological, political, esthetic, ethical, philosophical, among others. Rare are studies which examine the idea and the image of time as conceived by this 20th century French writer, as evidenced in his philosophical-literary essays. Camus considers the conception of time by associating it with the circular movement of the Mediterranean world, beautiful and eternal, and that of the cosmos (Betwixt and Between, Nuptials), with the functioning of the human conscience which hopes, remembers, rebels (The Myth of Sisyphus), or with the course of both human and European history (The Rebel). By studying the complete works of Camus, especially, the following four essays—Betwixt and Between, Nuptipals, The Myth of Sysiphus, and The Rebel— our thesis aims to study three temporal notions which have not received sufficient critical attention: eternity, triple temporality (past, present, and future), and historical time
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Pagé, Sylvain. "Aspects de la solitude dans La chute et L'exil et le royaume de Camus." Thesis, McGill University, 1992. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=56649.

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Abstract:
La chute and the six short stories of L'exil et le royaume by Albert Camus constitute a sort of renewal of the author's art and thought. Having left the absurd behind, having experienced revolt, Camus now brings to the forefront a theme that underlies all his work, the essential solitude of human beings.<br>This thesis attempts to illustrate the various manifestations of this theme in the last works of the Algerian writer in order to underline the remarkable cohesion of these formally dissimilar texts.
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Oswald, John. "Constructions of Europe in the fictional and political works of Albert Camus." Thesis, University of Stirling, 2001. http://hdl.handle.net/1893/3543.

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Abstract:
Little of the vast literature on Albert Camus has been devoted to his ideas of Europe. Existing material is either biographical criticism or portrays Camus as pioneer and visionary of modem-day European integration. Though useful, these interpretations do not do justice to the complex plurality of Europe in Camus's ceuvre, which appears in several of his works. It is depicted in differing and intriguing ways, for example as a sombre, divided continent of despair (in the fictional works) or as an aspiration towards European unity as a means of preventing future war (in the political journalism). This thesis examines these manifestations with three aims. The first is to situate Camus's political discourse of Europe (his calls for European integration and related matters) within the history of ideas of Europe, highlighting his negotiation with and adoption of Europeanist discourses. Secondly, the thesis analyses Camus's fictional inscription of an imaginary Europe of fault lines and division using a space in literature approach and a Barthesian understanding of the antithesis. Thirdly, instances of dialogue within the ceuvre between his fictional and political discourses of Europe will be examined. The epistemological grounding for this is provided by Bakhtin's theories of the novel: Europe is conceived of as a multiplicity of overlapping discourses with which Camus relates dialogically, and between whose works there exists a similar dialogue of Europe. Such an approach offers both a new way of reading Camus's treatment of Europe and, potentially, of reading the history of the idea of Europe itself.
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Heynderickx, Nathalie Marcel Madeleine. "L'image du peuple dans Le premier homme d'Albert Camus." Thesis, Rhodes University, 1996. http://hdl.handle.net/10962/d1002150.

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Zaeme, Mina. "La Traduction romanesque du français vers l'arabe : La peste d'Albert Camus." Paris 3, 2004. http://www.theses.fr/2004PA030133.

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Abstract:
Ce travail s’inscrit dans une démarche socio-linguistique de la traduction. Sa finalité est de cerner, à travers l’oeuvre d’Albert Camus, La Peste, les problèmes liés à la traduction romanesque du français vers l’arabe. Pour ce fait, nous avons étudié les traductions arabes de La Peste et ce en adoptant une démarche interprétative qui intègre les paramètres linguistiques et extra-linguistiques de l’oeuvre. Le contexte du roman d’abord et sa place dans le parcours créatif de l’auteur nous permettent de mieux le restituer dans ses dimensions linguistiques, stylistiques, culturelles etc<br>In order to realise this work, a sosiolinguistic approach has been adopted. It aims at grasping -through the work of Camus, The Plague- the problems related to the translation of the novel from French into Arabic. Consequently, we have studied the Arabic translations of the Plague adopting an interpretive approach that integrates both the linguistic and the extra-linguistic parameters. Of the work. In this manner, the novel’s context as well as the creative work of the author permet us to restore the original work with all its linguistic, stylistic and cultural dimensions
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Ndiaye, Falilou. "Camus, l'africain." Paris 4, 1985. http://www.theses.fr/1985PA040067.

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Ziade, Ghassan. "L'image de l'Algérie dans l'oeuvre d'Albert Camus : la réalité et le mythe." Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040142.

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Abstract:
La thèse traite de l'image de l'Algérie dans l'œuvre d’Albert Camus. Il s'agit de trois aspects essentiels: l'aspect bénéfique, maléfique et réel. La synthase met accent sur le mediterranéisme albert Camus<br>The thesis deals with Algeria’s image in the work of Albert Camus. It concerns three essential aspects: benefic, malefic and actual. The synthesis stresses the albert Camus' mediterraneism
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Araújo, Pedro Gabriel de Pinho. "O papel do escritor em Albert Camus." reponame:Repositório Institucional da UnB, 2013. http://repositorio.unb.br/handle/10482/14337.

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Abstract:
Dissertação (mestrado)—Universidade de Brasília, Instituto de Ciências Humanas, Departamento de Filosofia, Programa de Pós-Graduação em Filosofia, 2013.<br>Submitted by Alaíde Gonçalves dos Santos (alaide@unb.br) on 2013-10-15T12:40:48Z No. of bitstreams: 1 2013_PedroGabrieldePinhoAraujo.pdf: 1026699 bytes, checksum: dad698f90471de39074a77555e41abdd (MD5)<br>Approved for entry into archive by Guimaraes Jacqueline(jacqueline.guimaraes@bce.unb.br) on 2013-10-15T16:24:34Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2013_PedroGabrieldePinhoAraujo.pdf: 1026699 bytes, checksum: dad698f90471de39074a77555e41abdd (MD5)<br>Made available in DSpace on 2013-10-15T16:24:34Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2013_PedroGabrieldePinhoAraujo.pdf: 1026699 bytes, checksum: dad698f90471de39074a77555e41abdd (MD5)<br>No discurso que se seguiu o Prêmio Nobel de Literatura em 1957, Albert Camus (1913 – 1960) apresenta a ideia que então justificava seu ofício. Ao se perguntar não apenas como o escritor deve agir, mas em busca de uma razão de ser da arte mesma, ele apresenta o que ele chama, então, de “o papel do escritor” (CAMUS, 1957, p.14). Na busca de uma compreensão aprofundada dessa expressão e do discurso, desenvolvemos, na presente dissertação, a exploração de algumas obras com valor estratégico na elaboração de um panorama da obra camusiana como um todo e, mais precisamente, do lugar que ocupa a arte no pensamento que lhe dá origem. Nesse sentido, o estudo das três ideias centrais do pensamento camusiano – o absurdo, a revolta e a justiça – foram feitas através de seus ensaios, peças e romances indistintamente. Com isso, definimos uma interpretação que desafia a leitura tradicional de sua obra ficcional como simples ilustração da não ficcional ou, por outro lado, que tome a obra não ficcional como mera explicação da obra ficcional. Definimos essa perspectiva como o “pensamento em imagens” e a tomamos como base para todo o trabalho. Começamos então uma análise do conceito de absurdo, por meio das obras O estrangeiro (1942) e O mito de Sísifo (1942), e, nelas, estudamos o conflito fundamental entre a sensibilidade humana e a indiferença do mundo. Em seguida, tratamos da ideia de revolta em Calígula (1944) e O homem revoltado (1951), e da necessidade do reconhecimento do outro no enfrentamento da condição absurda da existência humana. E, por fim, buscamos na peça Os justos (1949), um elemento que regule a revolta, impedindo que a justiça que ela pretende estabelecer não se configure no seu oposto. Definidas as bases teóricas desse pensamento, buscamos então entender como Camus posiciona o artista em tempos de crise. Nesse ponto, adentramos o discurso mesmo e buscamos compreender que sentido ele dá para arte em um mundo absurdo, como ele justifica a escrita em função da solidariedade encontrada no outro e em função de que valores tal prática deve se estabelecer. Em seguida, procedemos a um estudo de caso, assumindo a possibilidade da exploração de um caso ficcional, que focalizou o conto Jonas ou o artista no trabalho (1957), com o objetivo de ilustrar a tensão dessa posição a partir da perspectiva do artista. E, por fim, retornamos ao Mito de Sísifo e de Calígula, em busca de uma comparação das ideias apresentadas nesse discurso, feito no final da vida do autor, com as primeiras ideias desenvolvidas por ele acerca da arte e do seu papel no mundo, expressas nas obras inicialmente investigadas. Com esse percurso, esperamos enfim estabelecer uma leitura que faça justiça ao equilíbrio delicado exigido por essa ideia que Camus fazia do “papel do escritor”, a forma e as razões de seu engajamento forçoso em seu tempo e as condições que esse impõe. _______________________________________________________________________________________ ABSTRACT<br>In the speech that followed the Nobel Prize in Literature in 1957, Albert Camus (1913 – 1960) presents the idea that then justified his craft. When asking not only how the writer should act, but searching for a reason of being for art itself, he presents what he then called "the role of the writer" (CAMUS, 1957, p.14). In search of a deeper understanding of this expression and of the speech, we developed, in the present master dissertation, the exploration of some works with strategic value in developing an overview of Camus’s works as a whole and, more precisely, of the place of art in this thought from which it originates. In this sense, the study of the three central ideas of Camus thought – absurdity, revolt and justice – were made through his essays, plays and novels alike. This way we define an interpretation that challenges the traditional reading of his fiction as a simple illustration of non-fictional works or, on the other hand, that takes his nonfiction as mere explanation of his fictional works. We define this approach as “images thought” and took it as the basis for the whole of the present work. We then began an analysis of the concept of absurdity, through the works The Stranger (1942) and The Myth of Sisyphus (1942) and there studied the fundamental conflict between the human sensibility and the indifference of the world. Then we worked on the idea of revolt in Caligula (1944) and The Rebel (1951), and the necessity of recognizing the other in confronting the absurd condition of human existence. Finally we seek, in the play The Just Assassins (1949), an element that could regulate the revolt, preventing the justice it seeks to establish not become its opposite. Having defined the theoretical basis of this way of thinking, we seek to understand how Camus then places the artist in times of crisis. At this point we enter the discourse itself and seek to understand which sense it gives to art in an absurd world, how he justifies writing according to the solidarity found in the other and in which values such practice should establish itself. We have performed a case study, assuming the possibility of the exploration of a fictional case that focused in the short-story Jonas or the artist at work (1957) with the objective of illustrating the tension present in this position from the perspective of the artist. And, finally, we will return to The Myth of Sisyphus and Caligula, in search of a comparison between the ideas presented in this speech, given at the end of his life, and the first ideas he developed about art and its role in the world. In taking this course, we ultimately hope to establish a reading that would do justice to the delicate balance demanded by this idea that Camus made of the “role of the writer”, the form and reasons for his forcible engagement in his time and the conditions that comes with it. _______________________________________________________________________________________ RÉSUMÉ<br>Dans le discours qui a suivi le Prix Nobel de Littérature en 1957, Albert Camus (1913 – 1960) a présentée l'idée que justifie alors son métier. Lors de se demander non seulement comment l'écrivain doit agir, mais étant aussi à la recherche d'une raison pour l’art même, il présente ce qu'il appelait alors «le rôle de l'écrivain » (CAMUS, 1957, p.14). À la recherche d'une meilleure compréhension de cette expression et du discours, on a développée, dans la présente dissertation de Master, l'exploration des oeuvres ayant une valeur stratégique dans l'élaboration d'un aperçu de l’oeuvre de Camus dans son ensemble et, plus précisément, de la place de l'art dans la pensée qui l’origine. En ce sens-là , l'étude des trois idées centrales de la pensée de Camus – l'absurdité, la révolte et de la justice – fut réalisé à travers ses essais, ses pièces de théâtre et ses romans indistinctement. Ainsi, nous définissons une interprétation qui conteste la lecture traditionnelle de sa fiction comme une simple illustration de sa non-fiction ou, d'autre part, qui prend ses non-fictions par simple explication de ses oeuvres de fiction. Nous définissons cette approche comme «penser en images» et nous l'avons pris pour base de tout ce travail. Nous avons, ensuite, réalisé une analyse de la notion d'absurdité, à travers les oeuvres L’étranger (1942) et Le Mythe de Sisyphe (1942) et nous y avons étudié le conflit fondamental entre la sensibilité humaine et l'indifférence du monde. Subséquemment, nous avons traité l'idée de révolte dans Caligula (1944) et L’Homme révolté (1951), et nous avons observé la nécessité de reconnaître l'autre face à la condition absurde de l'existence humaine. Après quoi, nous cherchons dans la pièce Les Justes (1949), un élément qui pourrait réguler la révolte, en empêchant la justice qu’elle cherche à établir de devenir son contraire. Ayant défini le fondement théorique de cette pensée, nous cherchons à comprendre comment Camus situe alors l'artiste en temps de crise. Ici, nous entrons dans le discours lui-même et cherchons à comprendre quel sens il donne à l'art dans un monde absurde, comme il justifie l'écriture sur la base de la solidarité trouve dans l'autre et en fonction de quelles valeurs telle pratique devrait être établi. Nous avons réalisé, donc, une étude de cas, en supposant la possibilité d'exploration d’un cas fictif, que a focalisé la nouvelle Jonas ou l'artiste au travail (1957), afin d’illustrer la tension de cette position du point de vue de l’artiste. Et, enfin, nous nous avons dédier au Mythe de Sisyphe et Caligula, à la recherche d'une comparaison entre les idées présentées dans ce discours, prononcé à la fin de la vie de l’auteur, les premières idées qu'il a développées à propos de l'art et de son rôle dans le monde, exprimée dans les oeuvres de l’enquête initiale. Avec cette route, nous chercions enfin d’établir une lecture qui rend justice à l’équilibre délicat nécessaire par cette idée que Camus fasait du « rôle de l’écrivain>, la forme et les raisons de leur engagement forcé dans son temps et les conditions que cela impose.
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Rochon, Sylvie. "L'influence du journalisme dans l'oeuvre d'Albert Camus : constitution d'une éthique de la responsabilité." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/31944.

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Abstract:
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université de Sherbrooke<br>339571\u Albert Camus (1913-1960) a produit une œuvre considérable, réfléchissant sur les problèmes de son temps par la voie du journalisme, de l’essai, de la littérature, du théâtre ou de conférences. Bien que toutes ces activités soient connues, le rapport intrinsèque entre les écrits journalistiques et l’œuvre philosophico-littéraire demeure circonscrit à l’examen de quelques thèmes ou d’extraits spécifiques. Or, depuis la parution de la plupart des textes journalistiques de Camus (1938-1956) dans les Œuvres complètes (La Pléiade, 2006-2008), il est possible de questionner les propos tenus par le journaliste, en fonction de l’originalité de leur contenu, mais aussi dans leur rapport à plusieurs de ses autres écrits. C’est ce thème du lien possible entre les articles de journaux et les essais et textes littéraires qui fait l’objet de la présente thèse. Le lien dont il est ici question s’appuie sur une lecture des articles et éditoriaux qui dévoile la structuration d’une pensée qui, partant des faits sur lesquels Albert Camus prenait position, se mettait peu à peu au diapason d’une exigence morale qui s’est non seulement maintenue au cours de ces années, mais qui s’est amplifiée jusqu’à constituer une éthique de la responsabilité. De plus, cette éthique s’est manifestée dans les prises de position philosophiques et littéraires en plusieurs occasions, ce qui permet de questionner l’influence du journalisme sur le processus créatif de Camus. Toutefois, prétendre à cette démonstration exige d’abord de vérifier en quoi Camus était un intellectuel engagé dans la défense de valeurs spécifiques. Il importe de le faire puisque Camus lui-même a, le plus souvent, désavoué tout rapport à l’engagement ou encore à l’humanisme, du moins dans le sens généralement admis de ces notions au cours de la première moitié du vingtième siècle. L’objectif de cette thèse est donc de faire valoir la nature d’un engagement intellectuel réel chez Camus, fondé sur un souci humaniste qui a donné lieu à la création d’une éthique de la responsabilité, par le biais d’une confrontation aux difficultés de la vie humaine et ce, par l’exercice du journalisme. Une éthique si prégnante qu’elle a aussi guidé le travail de philosophe et de romancier, permettant à Camus de donner du relief aux thèmes, aux histoires, ainsi qu’aux types de personnages qui ont donné lieu à plusieurs de ses livres majeurs.
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BALAGH, MIRANDA. "L'image de l'algerie dans l'oeuvre d'albert camus." Paris 7, 1997. http://www.theses.fr/1997PA070071.

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Abstract:
Nous avons traite dans cette these de "l'image de l'algerie dans l'oeuvre d'albert camus". Apres une description de l'espace geographique, du soleil et de la mer auxquels a. Camus voue un culte immense, nous avons decouvert les hommes, les femmes et les enfants qui peuplent les rivages de la mediterranee. Nous avons saisi ces habitants dans les divers aspects de leur vie: dans le quotidien comme dans le solennel. Pour finir, nous avons analyse les causes de cette guerre d'algerie et ses consequences sur camus. Toute la problematique de cette these consiste a montrer l'adequation parfaite et profonde qui regne entre a. Camus et l'algerie<br>We have analysed in this thesis "the algerian image in the work of albert camus". After a description of the geographic space, the sun and the sea, for whom he consacrate a vast importance. We have descovered men, womans and childrens leaving in mediterraneen rivage. These peoples are described from different sights of their life, in their daily activitees as in their officiel working. At the end, we have analised the reasons of the algerian war and her effects on a. Camus. The problematical aspect of this thesis is to schow the perfect and very deep relation that attached a. Camus to algerie
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Lincoln, Lissa. "Le juste chez Camus /." Thesis, McGill University, 2001. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=38224.

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Abstract:
Literary criticism has traditionally associated the work of Albert Camus with a very specific conception of literature. His more "philosphical" works (namely, his essays) are thus seen as demonstrations of the "message" that his truly literary works seek to transmit. As such, Le Mythe de Sisyphe and L'Homme revolte are considered to provide the driving themes (l'Absurde and la Revolte) of the author's fictive writings. This image (that of the "romancier a message") becomes problematic, however, in face of Camus' intransigent refusal to surrender to any form of dogma. Indeed, for the author, this possibility of surrender constitutes the greatest threat to la Revolte, representing its potential capitulation into Revolution and Terror. We believe that this notion of literature as a vehicle for philosophical beliefs is precisely the concept against which Camus was fighting.<br>Through the theme of "le juste", or more specifically the question of how we know what is just, Camus challenges this idea of literature and the act of writing. By exposing the mechanisms of self-justification underlying all universal values (and hence of all transcendental "truths" upon which they are necessarily based) the writer reveals them to be social and discursive constructs which permit and perpetuate the imposition of norms in a given domaine, including that of literature. This study proposes to examine Camus' rapport with this element of self-justification in literature, and the ways in which he calls the latter into question.
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Velasquez-Bellot, Alice. "La rédemption dans l'oeuvre d'Albert Camus." Clermont-Ferrand 2, 1992. http://www.theses.fr/1993CLF20046.

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Abstract:
Dès ses 1ères oeuvres, Camus pose le problème du mal et de la mort, en même temps que le problème du salut. Ses héros rédempteurs s'apparentent aux "héros mythiques" et en particulier au sauveur des Evangiles. Son 1er homme, Meursault, refait le chemin d'Adam : de l'innocence à la chute, de l'Eden à l'exil, de la vie à la mort. Après quoi, les héros explorent successivement différents chemins en vue de la rédemption de leurs semblales et de leur propre salut. Caligula configure un antéchrist qui ne fait qu'ajouter au malheur des hommes. Jan, faux redempteur, entraîne dans sa chute celles qu'il était venu sauver. Le sacrifice des Justes ne rachète rien, car le salut des hommes ne peut se faire par la haine, violence et le meutre. Par contre, Tarrou, Diego, faisant le sacrifice de leur vie, rappellent la figure du rédempteur évangélique. Le héros camusien offre sa vie pour sauver ses frères. Il triomphe de la mort en la rendant féconde, rédemptrice, victorieuse. Seul Clamence, aspirant à être délivré, non de la maladie, de l'oppression ou de la mort, mais de ses fautes, attend vainement le salut<br>Camus poses the problem of evil and death at the same time as the problem of salvation right from the time of his first works. His redeeming heroes are skin to the "mythical heroes" and particularly to the saviour of the gospels. His first man, meursault, re-treads the path of adam : from innocence to the fall, from eden to exile, from life to death. After this the heroes explore different paths successively, with a view to the redemption of their fellow man as well as their own. Galigula is an anti-christ who only adds to the unhappiness of man. In his fall, jan, a false redeemer, pulls down those whom he had come to save. The sacrifice of the just redeems nothing, since the salvation of man cannot be attained by hatred, violence and murder. On the other hand, tarrou and diego by sacrifieing their lives, bring to mind the figure of the redeemer of the gospels. Camus' heroes offer their lives to save their brothers. They triumph over death by making it fruitful, redeeming, victorious. Only clamence, who aspires to be delivered not from illness, oppression or death, but from his faults, awaits salvation in vain
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Godon, Patrick. "Attitudes to war in the writings of Albert Camus, 1939-1944." Thesis, McGill University, 1985. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=63148.

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Chebchoub, Zahida. "La poésie méditerranéenne chez Camus, étude thématique et stylistique." Paris 12, 2005. https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,990002521950204611&vid=upec.

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Abstract:
Dans son désir de contrecarrer l'absurde de la vie, Camus a constamment cherché le chemin de la délivrance dans la nature belle et indifférente d'une part, et dans le silence d'une autre part. Ces deux entités lui ont été léguées; le silence par son entourage, et la nature se trouvait tout simplement à la portée de sa vie. Pour faciliter ce rapprochement entre l'homme, la nature et le silence, Camus aura constamment recours à un style issu tout d'abord de ce silence. En effet, ce silence a façonné le style camusien en lui donnant concision, précision et intensité. Ce style camusien sera aussi lyrique et poétique; Camus utilisera avec abondance les figures de stylistique et de poétique mettant en relief des transferts intra factoriels et inter factoriels basés sur des personnifications, métaphores, correspondances synesthésiques, allitérations. Ces images capables de rendre l'homme minéral et la nature humaine contribueront pleinement à accomplir la communion entre l'homme et la nature afin de rendre l'existence plus facile à vivre et la mort plus facile à accepter<br>In his desire to thwart the absurd of life, Camus constantly looked for the road to freedom in the beautiful and indifferent nature and in the silence. These two entities were bequeathed to him; the silence by its circle of acquaintances and the nature was simply there at his life's reach. To facilitate this link between man, nature and silence, Camus will constantly appeal to a style stemming, first of all, of this silence. Indeed, this silence shaped the camusien style by giving it conciseness, precision and intensity. The camusien style is also lyric and poetic; Camus uses with abundance the figures of stylistics and poetics accentuating intra-factorial and inter-factorial transfers based on personifications, metaphors, correspondences, alliterations and so on. These images are capable of allowing man to become mineral and nature human, thus these images will contribute in creating a communion between man and nature. This will lead man to enjoy life and accept death at the same time
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