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Journal articles on the topic 'Canada – Descriptions et voyages'

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Salamone, Frank A. "« Oh! Vous voilà ! » L'anthropologue hétérosexuel et le sexe." Anthropologie et Sociétés 19, no. 1-2 (September 10, 2003): 253–71. http://dx.doi.org/10.7202/015358ar.

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Abstract:
Résumé * Oh ! Vous voilà ! » L'anthropologue hétérosexuel et le sexe J'ai réalisé sept enquêtes sur le terrain au Nigeria, une au Kenya, cinq en Angleterre, d'autres aux États-Unis, avec des musiciens de jazz, des Asiatiques ougandais et des Italo-Américains, ainsi qu'au Canada, parmi les immigrants asiatiques ougandais. À chaque voyage je me trouvais à une étape différente de ma vie et de ma carrière. De plus, chaque voyage fut différent quant à sa «signification sexuelle». Par exemple, j'ai cherché des prostituées lors d'un voyage, une autre fois j'étais accompagné par une étudiante adulte, puis par ma fiancée de quelques semaines, enfin ma femme et mes enfants étaient avec moi lors de mon dernier séjour au Nigeria. Je mets à profit mes propres expériences pour discuter plusieurs variables qui affectent les pratiques hétérosexuelles sur le terrain et influencent l'enquête en cours : notamment l'âge, le statut professionnel, le lieu de l'enquête, les personnes qui accompagnent le chercheur, etc. À cette étape de notre connaissance de l'enquête sur le terrain en lien avec la sexualité, une bonne analyse passe d'abord par une bonne description.
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Daunais, Isabelle. "La fiction fragilisée : récit de voyage et recueil chez Henri Michaux et Italo Calvino." Études littéraires 30, no. 2 (April 12, 2005): 55–67. http://dx.doi.org/10.7202/501202ar.

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Abstract:
Le récit de voyage tend " naturellement " à la forme du recueil (recueil de lieux, de jours, de descriptions) et ce jusque dans les récits fictifs des voyages les plus imaginaires, qui vont puiser dans cette structure leur rythme et leur exposition. Mais, dans le cas de tels récits, pourquoi recourir à la forme du recueil qui semblerait a priori liée aux nécessités des " vrais " voyages et de leurs comptes rendus fidèles ? À travers les exemples d'Ailleurs de Henri Michaux et des Villes invisibles d'Italo Calvino, on peut poser l'hypothèse que le recueil sert à fragiliser la fiction : le recueil introduit dans le voyage fictif l'idée de discontinu, de limite au savoir et à l'observation, produisant ainsi un effet de réalité ; il introduit également des effets de virtualité, de multiplicité du voyage qui rendent incertaines et mobiles les frontières de la fiction.
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3

Girard, Stéphanie. "Gabriel Sagard dans les histoires du Canada après la Conquête : une réception ambivalente." Études littéraires 47, no. 1 (August 22, 2017): 109–28. http://dx.doi.org/10.7202/1040889ar.

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Abstract:
Cet article examine la réception de l’oeuvre de Gabriel Sagard et l’importance accordée aux premières missions récollettes dans les histoires du Canada publiées après la Conquête. Au XIXe siècle, les historiens anticléricaux, tant anglophones que francophones, peu intéressés par les tentatives d’évangélisation des nations autochtones, ignorent l’oeuvre du récollet. Au contraire, les intellectuels clérico-conservateurs placent les missions au centre d’une reconstitution de l’épopée mystique des commencements de la Nouvelle-France. Ils puisent largement dans l’Histoire du Canada (1636), tout comme les historiens défenseurs du terroir qui magnifient la figure de Louis Hébert. Ce n’est qu’au milieu du XXe siècle, cependant, que la valeur ethnographique de la description des Hurons proposée par Sagard dans son Grand Voyage (1632) sera reconnue.
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Huppé, Luc. "L’établissement de la souveraineté européenne au Canada." Les Cahiers de droit 50, no. 1 (July 21, 2009): 153–206. http://dx.doi.org/10.7202/037740ar.

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Abstract:
À compter des premiers voyages de découverte dans le Nouveau Monde, jusqu’à l’abandon par la France de ses dernières possessions canadiennes en 1763, il est possible de retracer une longue série de mesures par lesquelles la France et la Grande-Bretagne procèdent à l’établissement de leur souveraineté au Canada. Elles présentent de nombreuses similitudes, qui permettent une analyse comparative des mécanismes juridiques utilisés par les métropoles pour s’implanter au pays. En l’absence de tout encadrement international, et malgré la présence préalable de nations autochtones, les deux puissances européennes utilisent les ressources diverses de leur droit interne et concluent ponctuellement des traités pour établir leurs droits en Amérique.
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Dahan, Michel. "« Tout le monde voyage » : l’agence Hone & Rivet et les débuts de l’industrie touristique au Canada (1894–1939)." Canadian Historical Review 102, no. 3 (August 1, 2021): 365–89. http://dx.doi.org/10.3138/chr.2020-0002.

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Abstract:
Cet article cherche à comprendre le fonctionnement de ce qui fut longtemps la plus importante agence de voyages fondée au Canada et la toute première agence canadienne-française. Réellement avant-gardiste, la compagnie lancée par Louis-Joseph Rivet s’imposa rapidement à l’échelle du pays pour devenir une référence dans l’industrie du voyage. Proposant des passages sur toutes les lignes maritimes et ferroviaires, elle permit à des générations de Canadiens de partir enfin à la découverte de l’Europe et du monde. En s’inspirant des pèlerinages religieux et des stratégies développées par son concurrent britannique Thomas Cook & Son, l’agence contribue à révolutionner la pratique du voyage de loisir en offrant à ses clients des forfaits abordables sur des excursions de groupe. Cette étude illustre comment Louis-Joseph Rivet et son associé Jules Hone surent tirer profit d’une position privilégiée dans la métropole du pays, de campagnes publicitaires ambitieuses, mais surtout d’un impressionnant réseau de contacts pour hisser leur agence au rang d’incontournable pour la planification de voyages.
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Kissoon, Niranjan, and Tim Uyeki. "Pris au dépourvu par l’arrivée de maladies tropicales." CJEM 16, no. 06 (November 2014): 432–34. http://dx.doi.org/10.1017/s1481803500003420.

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Abstract:
La déréglementation du transport aérien, entrée en vigueur en 1978, et l’optimisation des voies aériennes ont eu un effet des plus avantageux sur les voyages à l’étranger, y compris sur ceux en provenance ou à destination du Canada, pays du G8 qui connaît l’une des plus fortes croissances de la population. Des millions de touristes provenant de pays outre-mer visitent le Canada chaque année. Par ailleurs, plus de 20% de la population canadienne (presque 7 millions de personnes) est née à l’étranger, et au moins 50% des nouveaux immigrants arrivent de régions tropicales. De plus, les immigrants récents peuvent retourner dans leur pays d’origine et en revenir.
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Kulagina, Olga. "Représentations de l’étranger dans les récits de voyageurs français du XVIIe siècle." Convergences francophones 4, no. 1 (July 27, 2017): 57–69. http://dx.doi.org/10.29173/cf432.

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Abstract:
Le XVIIe siècle fut celui où les Européens continuaient à découvrir des territoires et des modes de vie nouveaux. En France, ce sont, pour la plupart, des missionnaires qui entreprennent des voyages vers l’étranger, notamment vers l’Est, afin d’y propager le christianisme, mais aussi en poursuivant des buts plus pragmatiques. C’est le cas du jésuite Philippe Avril (1654-1698) cherchant, sur demande de Louis XIV, le moyen d’ouvrir une voie terrestre vers la Chine. D’autres, comme Jean-Baptiste Tavernier (1605-1689), voyageaient dans un but plus prosaïque tel que le commerce. Les carnets de ces voyageurs représentent une source d’informations importantes sur la vision de l’altérité à l’époque. Ces voyageurs aux motivations diverses voyaient-ils l’Autre dans des termes différents ? C’est la question que nous tenterons d’aborder dans cet article en comparant les procédés linguistiques à l’oeuvre dans les descriptions des peuples étrangers dans Les Six Voyages de Jean Baptiste Tavernier, écuyer baron d'Aubonne, qu'il a fait en Turquie, en Perse, et aux Indes... par Jean-Baptiste Tavernier (1676) et Voyage en divers États d'Europe et d'Asie entrepris pour découvrir un nouveau chemin à la Chine par Philippe Avril (1692).
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Mercier, Jean. "» Le phénomène bureaucratique « et le Canada français: quelques données empiriques et leur interprétation." Canadian Journal of Political Science 18, no. 1 (March 1985): 31–55. http://dx.doi.org/10.1017/s000842390002919x.

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Abstract:
AbstractDrawing from the organizational behaviour that is described in Michel Crozier's Bureaucratic Phenomenon, two similar public service organizations, one (anglophone) in Ontario, one (francophone) in Quebec are compared. Even if the type of behaviour found in The Bureaucratic Phenomenon is quite sensitive to noncultural factors (sex, organizational level, type of work), francophones correspond more closely than their anglophone counterparts to certain types of behaviour found in Crozier's descriptions. Data collected are compared to those in other studies, both empirical and historical, and different hypotheses are examined to explain certain similarities that exist between organizational behaviour in French Canada and in continental France.
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Vélez, Karin, and Hélène Paré. "Les voyages outre-mer d’un nom : de Loreto en Italie à la Jeune-Lorette au Canada." Revue d’histoire de l’Amérique française 64, no. 3-4 (August 15, 2013): 119–44. http://dx.doi.org/10.7202/1017972ar.

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Abstract:
Au XVIIe siècle, des centaines de chapelles, hors du territoire de l’Italie, reçurent le nom de Loreto en mémoire de la célèbre basilique mariale sur la côte adriatique italienne. L’attribution de noms est souvent associée à l’occupation impériale ou culturelle. Mais j’adopte ici une autre position. Je démontre plutôt que les catholiques de différents empires et de cultures différentes s’inspirèrent spontanément du nom Loreto pour établir une confrérie au-delà des mers. Leurs réseaux improvisés révèlent un monde de l’époque moderne bâti sur des frontières poreuses et sur un terrain d’entente plutôt que sur la rigidité impériale monolithique. Dans cet article, j’étudie trois groupes dissemblables de passeurs autodésignés du nom Loreto : les marchands picènes de la région des Marches, en Italie, où se trouve la basilique ; des missionnaires jésuites français et espagnols qui ont dédié des chapelles à Notre-Dame de Lorette, ou Loreto, au Canada et au Mexique, respectivement ; et des convertis hurons de la mission de Lorette, près de Québec. Le catholicisme qu’ils partageaient rendait familiers les symboles étrangers et resituait ces acteurs dans le cadre d’un empire français (catholique). Pourtant, ces échanges compliquent aussi l’idée d’un monde atlantique « français », puisqu’ils montrent des catholiques du XVIIe siècle qui vont au-delà de leurs collectivités – italienne, française ou huronne – pour bâtir une communauté mondiale de frères et de soeurs dans la religion.
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Goubert, Jean-Pierre. "La dive bouteille: voyages, alcools et remèdes dans les deux hémisphères XVIe-XXe siècle." História, Ciências, Saúde-Manguinhos 8, suppl (2001): 945–58. http://dx.doi.org/10.1590/s0104-59702001000500008.

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Abstract:
Grâce à l'analyse de la pratique médicale en France (Bretagne), au Canada et au Brésil, on s'aperçoit que l'antique tradition de consommer du vin en tant que remède est présente dans le cadre de paradigmes scientifiques distincts et d'aires culturelles différentes entre XVIe et XXe siècle. L'effet réputé protecteur de l'alcool, à condition que son usage soit modéré, avant qu'il soit prouvé scientifiquement par Louis Pasteur et par Serge Renaud, a figuré parmi les dogmes de la Médecine humorale, qui associait les quatre principes fondateurs (le chaud et le froid, le sec et l'humide) avec diverses configurations environnementales et climatiques et avec l'âge, le sexe, les mœurs et le physique. Voyages et échanges entre métropoles et colonies contribuèrent à diffuser, pour ainsi dire, un discours médical à l'origine méditerranéenne dans les deux hémisphères.
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Prévost, Maxime. "Ned Land et l’utopie compensatoire chez Jules Verne: à propos du Canadien de Vingt Mille Lieues sous les mers." British Journal of Canadian Studies: Volume 33, Issue 2 33, no. 2 (September 1, 2021): 153–69. http://dx.doi.org/10.3828/bjcs.2021.11.

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Abstract:
Jules Verne, qui appelait le Canada ‘mon pays de prédilection’, a écrit trois romans canadiens et donné jour à de forts personnages-types canadiens dans ses Voyages extraordinaires. Le mieux connu de ces personnages est Ned Land, l’intrépide harponneur de Vingt Mille Lieues sous les mers, personnage composite des identités française et anglaise, le Verne de 1869 voyant le Canada de l’immédiate post-confédération comme le lieu de la conciliation franco-anglaise. Ned Land se distingue par son amour de la liberté: au fil des décennies, Verne, endossant désormais les récriminations de l’opinion française contre les ‘Anglo-Saxons’, fera de cette caractéristique celle de tous les Franco-Canadiens, son roman Famille-sans-nom (1889) présentant cette fois l’utopie compensatoire (à savoir cette propension vernienne à faire du Canada le lieu de représentations idéalisées allant à l’encontre de l’histoire événementielle) d’une union entre Canadiens français et peuples autochtones.
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Roumier, Julia. "Un mundo de colores: fuerza y significado del cromatismo en los relatos de viajes hispánicos a finales de la Edad Media." Epos : Revista de filología, no. 29 (January 1, 2013): 117. http://dx.doi.org/10.5944/epos.29.2013.15185.

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Abstract:
Se suele subrayar la parquedad de las menciones de colores presentes en los textos medievales. Incluso una especialista de los relatos de viajes medievales franceses llegó a calificarlos de «mundos en blanco y negro». Sin embargo los relatos de viajes hispánicos medievales suelen aludir al cromatismo de numerosos objetos. ¿En qué medida el arte descriptivo de los relatos de viajes descansa en las menciones cromáticas y qué funciones cumplen éstas? ¿Cómo proceden los autores para comunicar al lector las impresiones visuales? ¿qué sensaciones intentan compartir? Más allá del simbolismo, la materialidad de los colores parece un elemento clave que corresponde al interés propio de los Occidentales medievales por las riquezas de los territorios lejanos y los elementos lujosos que las más veces se caracterizaban por unos colores intensos y expresivos.Il est couramment admis que la littérature médiévale n’abonde pas en adjectifs de couleurs. Au sujet des récits de voyages, Christiane Deluz a, par conséquent, parlé d’un monde en noir et blanc, affirmant que les couleurs en sont pratiquement absentes. La nature des descriptions que l’on trouve dans les récits de voyages médiévaux occidentaux tiendrait, selon elle, davantage du croquis ou du plan schématique que du tableau polychrome et détaillé. Il nous semble toutefois que cette affirmation doive être considérablement nuancée en ce qui concerne les récits de voyages médiévaux hispaniques dans lesquels ces précisions jouent un rôle particulièrement important. Au-delà du symbolisme, la matérialité des couleurs est un élément clé qui correspond à l›intérêt des occidentaux du Moyen Âge pour les richesses des territoires lointains.
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Wei, Yin-Xin, Ying-Kit Yung, Michael B. Jackson, and Takashi Sawa. "Some Zygnemataceae (Chlorophyta) of Ontario, Canada, including descriptions of two new species." Canadian Journal of Botany 67, no. 11 (November 1, 1989): 3233–47. http://dx.doi.org/10.1139/b89-403.

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Abstract:
We examined 1455 filamentous algal samples collected from 32 Ontario sites since 1981 and identified 21 Zygnemataceae, including two new species: Spirogyra favosa Wei et Yung sp.nov. and Zygnema lacustre Wei et Yung sp.nov. Of the 21 taxa described in this paper, Zygogonium tunetanum, Temnogametum tirupatiense, Mougeotia quadragulata, and Spirogyra fennica were the important species in the acidic sites, whereas Mougeotia laetevirens, Zygnemopsis stephensiae, and Spirogyra jatobae were common in the circumneutral and alkaline locations. Zygogonium tunetanum was the most important metaphytic alga in lakes with pH 6.8 and lower, proliferating in the littoral areas of acidic Ontario lakes. These data support the view that the taxonomy of Zygnemataceae should place more emphasis on the zygospore wall structures and ornamentations and less emphasis on the dimensions of vegetative cells.
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Sapoznik-Evans, Karlee A. "Des lacunes en historiographie : La Vérendrye dans une perspective de relations homme-femme, de relations raciales et d’esclavage au début du Canada français, 1731-1749." Le dossier 29, no. 2 (November 30, 2017): 457–87. http://dx.doi.org/10.7202/1042269ar.

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Abstract:
De nos jours, le nom de La Vérendrye figure sur de nombreux monuments commémoratifs, rues, parcs, écoles et bourses d’études prestigieuses tant canadiens qu’américains. Cependant, comme l’indique cet article, la documentation qui porte sur ses voyages et ses interactions turbulentes avec les peuples autochtones est incomplète, puisqu’elle est caractérisée par l’absence d’une analyse des échanges raciaux et de ceux entre hommes et femmes, et par une tradition de déni des faits et de création de mythes par rapport au commerce des esclaves chez les Canadiens français. L’examen soigneux de la participation de La Vérendrye au commerce des esclaves, et des façons que ses relations homme-femme et celles avec les peuples autochtones ont caractérisé sa vie entre 1731 et 1749, la période traitée par la présente étude, met en lumière le fonctionnement de la société coloniale française au Canada pendant la période allant du début du dix-huitième jusqu’au milieu de ce siècle. Comme souligné par cet article, les composantes non catholiques et non blanches faisaient partie intégrante de la société et de la culture coloniale du Canada français et exerçaient une influence sur elle. Les expériences de La Vérendrye démontrent que le Canada à cette époque laissait de la place à toutes sortes de complexités, de variantes et de contradictions dans les relations véritables entre hommes et femmes, et la Nouvelle-France était loin d’être une société égalitaire. L’esclavage y existait sous une forme institutionnelle tout comme l’esclavage existait au sud.
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Robert, Lucie. "La Merveilleuse Aventure de Marius Barbeau. Jacques Cartier sous l’éclairage de Bougainville." @nalyses. Revue des littératures franco-canadiennes et québécoise 15, no. 1 (July 23, 2020): 73–93. http://dx.doi.org/10.18192/analyses.v15i1.4762.

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Abstract:
En 1934, l’année même où l’on célèbre le 400e anniversaire de la découverte du Canada, Marius Barbeau, déjà connu pour son travail d’ethnologue, publie un ouvrage intitulé La Merveilleuse Aventure de Jacques Cartier. Cet ouvrage n’est pas une biographie, ni un essai historique. Il se présente comme un montage d’idées et de citations empruntant aux thèses d’Abel Lefranc (1905) qui a soutenu l’hypothèse d’une rencontre entre Rabelais et Jacques Cartier, de même qu’aux thèses de Jean Lefranc (1929), qui fait des voyages de Bougainville vers Tahiti le prolongement voire la reprise de ceux de Jacques Cartier en Amérique. Le présent article s’interroge sur la forme, les idées et la finalité poursuivies par Barbeau dans cet ouvrage qui n’a pas été retenu par sa postérité.
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Andrès, Bernard. "Jacques Grasset de Saint-Sauveur (1757-1810), aventurier du livre et de l'estampe." Zone libre, no. 57 (February 29, 2012): 323–52. http://dx.doi.org/10.7202/1008111ar.

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Abstract:
Des Grasset de Saint-Sauveur, on connaît surtout André (1758-1792), martyr de la Révolution française, béatifié en 1926 et dont un collège porte aujourd'hui le nom. Cet article concerne plutôt son frère aîné, personnage à l'antipode: Jacques Grasset de Saint-Sauveur (1757-1810), dont j'ai esquissé le parcours editorial dans le précédent Cahier des Dix (2002). Le présent article s'arrête à certaines de ses oeuvres en montrant ce qu'elles doivent à l'époque et ce qu'elles introduisent aussi de nouveau dans l'espace littéraire et éditorial (surtout si l'on songe qu'elles sont le fait d'un Montréalais de naissance). On y voit l'importance que cet entreprenant auteur, graveur et compilateur accorde au costume dans ses Encyclopédies des voyages [...], Voyages pittoresques [...], Fastes du peuple français [...], Tableaux cosmographiques [...] et autres Tableaux des principaux peuples [...]. L'article étudie également ce que dit Grasset des Canadiens dans le tome V (Amérique) de l'Encyclopédie des voyages (1796): il n'y est pas question de ses lointains compatriotes francophones, mais des seuls « Sauvages » de l'Amérique, comme si sa perception du Canada (et l'image qu'il veut en donner aux Européens) avait occulté la présence des colons de la province, pourtant implantés là depuis des générations. De plus, l'image qu'il donne des Amérindiens est-elle bien fidèle, où s'inspire-t-elle plutôt d'une tradition antiquisante de l'iconographie concernant ce sujet fort prisé à l'époque? Tout se passe en fait comme si le critère général des publications de Grasset était le «pittoresque». Toutefois, Grasset ne se contente pas de suivre la mode: il témoigne aussi sur certains sujets d'une pensée d'avant-garde, qu'il s'agisse de sa perception des Noirs en Afrique, ou surtout du récit libertin qu'on lui attribue : Hortense ou la jolie courtisane [...]. Dans ce récit rocambolesque sur les mésaventures amoureuses d'une Européenne perdue aux Amériques avec le « nègre Zéphire », peut se lire toute une réflexion sur les mariages interraciaux. Le Blanc n'y impose pas toujours ses valeurs et l'acculturation, pour Grasset, s'effectue aussi bien dans les deux sens. Autant de découvertes qui nous invitent à mieux connaître cet auteur d'origine canadienne dont l'oeuvre mériterait à coup sûr d'être rééditée et systématiquement analysée.
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Hamelin, Louis-Edmond, and Colette Hamelin. "Les carrières canadiennes de Raoul Blanchard et Pierre Deffontaines." Cahiers de géographie du Québec 30, no. 80 (April 12, 2005): 137–50. http://dx.doi.org/10.7202/021795ar.

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Abstract:
Entre 1924 et 1967, ils se sont fait connaître par des voyages, recherches, publications et enseignements en géographie. Entre les deux maîtres, au-delà des analogies faciles, une « différentialité » profonde s'établit et ne s'explique pas par l'âge; elle s'enracine dans la géographie métropolitaine. Alors que l'un file droit au doctorat, l'autre passe par l'ethnologie et l'action sociale. Le premier s'installe à Grenoble et de là va en Amérique du Nord ; l'autre, tantôt fixé en France, tantôt en Espagne, rejoint l'Amérique du Sud ou le Québec et fonde des institutions. Tous deux font de la géographie humaine, l'un à l'intérieur d'un cadre mésorégional, l'autre dans des matières-près-de-l'homme. Au Canada, leur rencontre n'était pas voulue ; ils se sont gênés mais une paix obligée sera à leur honneur. La géographie française ne faisait pas équipe; elle était plutôt bicéphale. Cette conjoncture de « paraposition » a eu l'heureux effet d'offrir un choix aux étudiants. La géographie de l'un apparaît plus orthodoxe, méthodique, homogène, « régiologique » alors que celle de l'autre est plus intuitive, ethnographique, passéiste, illustrée.
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Hauser, Claude. "Faire mémoire du Québec et s’ouvrir à la Francophonie." Recherche 54, no. 2 (September 6, 2013): 289–304. http://dx.doi.org/10.7202/1018282ar.

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Abstract:
Auguste Viatte, professeur franco-suisse de littérature française à l’Université Laval de 1933 à 1949, pionnier de l’histoire des littératures francophones et animateur du mouvement de la France Libre à Québec durant la Seconde Guerre mondiale, découvre le Québec lors des fêtes de Noël 1932 : il relate ce premier voyage dans un récit inédit intitulé « Voyage au Canada ». Établi à Québec dès l’été 1933, il transcrit ses premières impressions après son arrivée dans quelques notes et au travers de ses correspondances. Plus de vingt ans après, de retour en Europe, Viatte entreprend pour la quatrième fois de rédiger ses mémoires, entre 1956 et 1957, sur la base des notes accumulées dans son Journal personnel et ses archives, riches en correspondances. Il intitule ses mémoires jamais publiées « Facettes d’une vie » et y consacre plusieurs longs passages à sa découverte du Québec au début des années 1930. La troisième partie de ce récit, appelé Bonheur du Canada, met en scène dans un style littéraire soigné les souvenirs des premiers voyages effectués par Viatte au Québec, et fait mémoire de sa découverte progressive de la Belle Province. Entretemps, la période de vie la plus foisonnante de l’auteur de ce récit a fait nettement évoluer sa vision de la société québécoise. C’est donc avec l’expérience d’un « retour du Québec », ponctuant une longue période d’acculturation et d’engagement dans son pays d’accueil, que Viatte revient sur ses premières découvertes et sentiments de voyageur découvrant cette terre francophone d’Amérique.
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Westra, Haijo. "Les premières descriptions du Canada par le jésuite Pierre Biard. Du témoignage oculaire à sa réécriture." Tangence, no. 99 (April 12, 2013): 9–17. http://dx.doi.org/10.7202/1015110ar.

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Abstract:
C’est un fait peu connu que, bien avant leur établissement en Nouvelle-France en 1625, les Jésuites avaient inauguré, dès 1611, une première mission en Acadie. En ce sens, parce que la mission acadienne représente la première rencontre des Jésuites avec les peuples autochtones du Canada, elle mérite plus d’intérêt qu’elle n’en a reçu à ce jour. Cet article entend examiner, en les comparant, trois textes en lien avec cette mission. Cette comparaison nous permettra d’observer des différences sémantiques, stylistiques et idéologiques importantes entre les récits, datés de 1612 et 1616, qui sont du père Biard et celui, daté de 1618, qu’on lui attribue et qui pourrait bien être de la main de Philibert Monet, rédacteur à Rome.
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D'Avernas, Eric. "L’imposition de la norme européenne au Canada au dix-septième siècle à travers une perspective écocritique." Voix Plurielles 14, no. 1 (May 5, 2017): 4–16. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v14i1.1542.

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Abstract:
Dans le cadre de l’approche écocritique, il faut voir les humains comme êtres vivants faisant partie d’un rapport symbiotique, complexe et dynamique avec l’environnement qui les entoure. Cette appartenance humaine à une entité beaucoup plus vaste mais toujours vivante est la raison pour laquelle nos actions, volontaires ou involontaires, affectent directement le présent et l’avenir. Avec la colonisation française du Canada au XVIIe siècle, les autochtones commencent à occuper un espace intermédiaire entre le nouvel espace européen et la nature. L’objectif français d’imposer la culture européenne et la religion catholique les force à s’éloigner de leur ancien rapport à l’environnement, et la domination européenne s’affirmant, les autochtones jouent dès lors un rôle secondaire dans l’entreprise de la Nouvelle-France. Dans cet article, j’analyse les Voyages de Samuel de Champlain (Les fondations de l’Acadie et de Québec et À la rencontre des Algonquins et des Hurons, édition critique d’Éric Thierry) et la façon dont la fondation de la Nouvelle-France écarte la norme autochtone. Cette étude s’effectue en trois temps. Je montre d’abord le rapport de Champlain et ses compatriotes à la nature, pour ensuite souligner comment la fondation des habitations européennes nuit à la norme autochtone. Finalement, j’aborde le rôle des autochtones après l’établissement de la Nouvelle-France, qui sont dès lors marginalisés. L’analyse de deux illustrations de Champlain terminera cette étude afin de montrer également comment la nature, à laquelle les autochtones sont étroitement liés selon la perspective de Champlain, se marginalise de la même manière.
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Wise, I. L., and R. J. Lamb. "SEASONAL OCCURRENCE OF PLANT BUGS (HEMIPTERA: MIRIDAE) ON OILSEED FLAX (LINACEAE) AND THEIR EFFECT ON YIELD." Canadian Entomologist 132, no. 3 (June 2000): 369–71. http://dx.doi.org/10.4039/ent132369-3.

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Abstract:
Plant bugs, Lygus Kelton, damage many crops in western Canada (Kelton 1980; Wise and Lamb 1998; Wise et al. 2000), the common species in Manitoba being Lygus lineolaris (Palisot de Beauvois), Lygus borealis (Kelton), and Lygus elisus Van Duzee (Gerber and Wise 1995). Reports of plant bugs on flax, Linum usitatissimum L., are limited to an oviposition study (Painter 1927) and anecdotal descriptions of feeding damage in Canada (Beirne 1972) and Europe (Ferguson and Fitt 1991). In western Canada, flax is grown as an oilseed crop on about 600 000 ha annually (Canada Grains Council 1999). The objectives of this study were to determine (i) the species of plant bugs in oilseed flax, (ii) their ability to complete development in flax, (iii) the number of generations they complete, and (iv) the yield loss they cause.
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Lambert, Claire, and Yves Landry. "La reproduction sociale dans les familles françaises des immigrants partis de l’île de Ré au Canada au XVIIe siècle." Revue d'histoire de l'Amérique française 55, no. 3 (February 11, 2008): 345–79. http://dx.doi.org/10.7202/010414ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cette étude cherche à cerner différents éléments ayant pu influencer la décision de 37 hommes et femmes de quitter la paroisse de Saint-Martin de l'île de Ré en direction du Canada au xviie siècle. Dans la majorité des cas, les émigrants et leurs familles, de souche martinaise, sinon rhétaise, avaient baigné dans un environnement social, économique et religieux spécifique, marqué notamment par la proximité avec le port de La Rochelle. En premier lieu, la société martinaise était profondément conditionnée par la monoculture de la vigne. Même si l'exploitation était le plus souvent de taille réduite et morcelée, les surfaces cultivées étaient en général suffisantes pour en vivre, d'autant que la pratique d'un travail annexe pouvait assurer des revenus complémentaires. Les familles des émigrants n'étaient nullement miséreuses, comme le démontre l'étude des apports au mariage. Mais, dans le but d'éviter un morcellement croissant de l'exploitation à la suite d'un partage égalitaire strict en contexte de saturation du terroir, les familles mirent en place des stratégies visant à sa préservation. Cette situation pouvait engendrer le départ de certains, les émigrants s'excluant alors eux-mêmes du partage successoral. En deuxième lieu, les futurs émigrants ont pu être sensibilisés aux voyages au long cours par suite de l'activité portuaire importante de Saint-Martin. Enfin, l'influence de La Rochelle sur l'île de Ré n'était pas seulement économique, mais également idéologique. Ce bastion de la Réforme véhiculait les idées protestantes auxquelles adhéra une partie de la population martinaise, dont quelques émigrants pour la colonie.
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Bochkov, Andre V., and Terry D. Galloway. "Parasitic cheyletoid mites (Acari: Cheyletoidea) associated with passeriform birds (Aves: Passeriformes) in Canada." Canadian Journal of Zoology 79, no. 11 (November 1, 2001): 2014–28. http://dx.doi.org/10.1139/z01-160.

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Abstract:
Eleven species belonging to four families of cheyletoid mites (Acari: Cheyletoidea) are recorded from several species of passeriform birds from Manitoba, Canada. Descriptions and diagnoses are provided for four new species, and six species are recorded for the first time in Canada: Ornithocheyletia turdi sp.nov. (Cheyletidae) ex Turdus migratorius (Turdidae); Ornithocheyletia prognae sp.nov. ex Progne subis (Hirundinidae); Neocheyletiella microrhyncha (Berlese et Trouessart, 1889) (Cheyletiellidae) ex Hirundo rustica and P. subis (Hirundinidae); Harpyrhynchoides zumpti (Fain, 1972) (Harpirhynchidae) ex Quiscalus quiscula (Icteridae); Syringophilopsis icteri sp.nov. (Syringophilidae) ex Icterus galbula (Icteridae); Syringophilopsis troglodytis (Fritsch, 1958) ex Troglodytes aedon (Troglodytidae); Syringophilopsis dendroicae sp.nov. ex Dendroica coronata (Parulidae); Syringophiloidus minor (Berlese, 1887) (Syringophilidae) ex Passer domesticus (Ploceidae); Syringophiloidus motacillae Bochkov et Mironov, 1998 ex Zonotrichia albicollis (Emberizidae); Syringophiloidus seiuri (Clark, 1964), for which the female is redescribed and the male is described for the first time, ex Seiurus aurocapillus (Parulidae). Syringophilopsis elongatus (Ewing, 1911) (Syringophilidae) is recorded here ex Q. quiscula, and has been previously recorded from the red-winged blackbird, Agelaius phoenicius, in Manitoba.
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FRÝDA, JIŘÍ, ROBERT B. BLODGETT, ALFRED C. LENZ, and BARBORA FRÝDOVÁ. "Jardamarekia enigma, a new Early Devonian tryblidioidean from Royal Creek area (Yukon Territory, Canada), and paleobiogeography of the Early Devonian of northwestern Canada." Zootaxa 2905, no. 1 (June 3, 2011): 57. http://dx.doi.org/10.11646/zootaxa.2905.1.4.

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Abstract:
The Tryblidia (= Monoplacophora) represents the conchiferan class with the fewest Recent taxa in the phylum Mollusca (Haszprunar 2008) and its phylogeny is still poorly known. This group is known already in Cambrian strata (Early Paleozoic) more than 500 Ma ago. Present-day tryblidian species are known mainly from hadal environments (Schwabe 2008, but see also Wilson et al. 2009) in contrast to Paleozoic species, which have been described only from shallow environments of continental shelves of many paleocontinents (e.g., Horný 1962). A typical feature of fossil as well as living tryblidian species is their rarity. The vast majority of species are known only from several specimens (Haszprunar 2008). Furthermore, description of Paleozoic tryblidian molluscs is strongly underrepresented in the literature, despite the existence of diverse material. This is also true for fossils described in the present study based on a diverse silicified molluscan fauna of mostly gastropods collected from Lower Devonian strata of the Royal Creek area, Yukon Territory (Fig. 1) by Alfred C. Lenz and David G. Perry from 1970–1980. Lists of all hitherto described molluscan species as well as detailed information on their age and locality can be found in Lenz (1977a), Blodgett et al. (2001, 2010) and Frýda et al. (2008). Prior to our studies of the Royal Creek tryblidian and gastropod fauna, no descriptions or illustrations were available for Lower Devonian molluscs of north-western Canada, although a short discussion and faunal lists were provided by Blodgett et al. (1988) for Lower Devonian tryblidians and gastropods from the relatively nearby Delorme Formation of Northwest Territories, and early Emsian (late Early Devonian) tryblidians and gastropods from the Mt. Lloyd George area, northeastern British Columbia. The poor knowledge of Paleozoic tryblidians and gastropods faunas of Laurentia (North America) caused difficulties in the evaluation of Early Devonian paleobiogeography (Blodgett et al. 1999). The present paper is focused on the taxonomy of a new Devonian tryblidian limpet, but it provides also useful data for paleobiogeography and biostratigraphy of the Lower Devonian of western Canada.
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Ellison, J., C. Nagamuthu, S. Vanderloo, B. McRae, and C. Waters. "Taux de maladies chroniques au Canada : quel dénominateur utiliser pour l’estimation de l’ensemble de la population?" Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 36, no. 10 (October 2016): 250–57. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.36.10.03f.

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Abstract:
Introduction Les taux de maladies chroniques du Système canadien de surveillance des maladies chroniques (SCSMC) de l’Agence de la santé publique du Canada sont fondés sur les données administratives sur la santé fournies par les ministères de la Santé des provinces et des territoires. Les dénominateurs utilisés pour calculer ces taux reposent sur des estimations de population tirées des dossiers d’assurance-maladie, données toutefois pas systématiquement accessibles à tous les chercheurs. Le recensement de Statistique Canada constitue quant à lui une autre source d’estimation de la taille de la population. Notre étude visait d’abord à calculer les principaux écarts entre les dénominateurs de population à partir des estimations du SCSMC et à partir de celles de Statistique Canada et ensuite à déterminer les causes à l’origine des écarts entre ces sources de données. Méthodologie Nous avons comparé pour 2009 les dénominateurs fournis par le SCSMC et ceux fournis par Statistique Canada. Le dénominateur du SCSMC a été ajusté pour tenir compte des composantes de la croissance (naissances, décès, émigrants et immigrants) tirées des données de recensement de Statistique Canada. Résultats Le dénominateur non ajusté du SCSMC était de 34 429 804 personnes, soit une différence de + 3,2 % par rapport à l’estimation de population de Statistique Canada pour 2009. Après ajustement du dénominateur du SCSMC pour tenir compte des composantes de la croissance, la différence entre les deux estimations s’est trouvé réduite à 431 323 personnes, soit un écart de 1,3 %. L’estimation tirée du SCSMC constitue une surestimation par rapport à celle de Statistique Canada. Le plus grand écart entre les deux estimations relève de la composante de croissance liée à l’immigration, alors que l’écart le moindre provient de la composante de croissance liée à la population émigrante. Conclusion Disposant des descriptions de données par source de données, les chercheurs peuvent choisir quelle estimation de la population utiliser dans leurs calculs des fréquences de maladies.
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Kayastha, Pushpalata, Milena Roszkowska, Monika Mioduchowska, Magdalena Gawlak, and Łukasz Kaczmarek. "Integrative Descriptions of Two New Tardigrade Species along with the New Record of Mesobiotus skorackii Kaczmarek et al., 2018 from Canada." Diversity 13, no. 8 (August 22, 2021): 394. http://dx.doi.org/10.3390/d13080394.

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Abstract:
Two new tardigrade species from a moss sample collected in Canada, one representing Macrobiotus hufelandi complex and the second one belonging to the genus Bryodelphax, are described. Integrative analysis was undertaken based on morphological and morphometric data (using both light and scanning electron microscopy (SEM)) combined with multilocus molecular analysis (nuclear sequences, i.e., 18S rRNA, 28S rRNA and ITS-2 as well as mitochondrial COI barcode sequences). Based on COI sequences, Macrobiotus birendrai sp. nov. is most similar to Mac. canaricus (p-distance 17%), whereas Bryodelphax mareki sp. nov. is most similar to Bry. parvulus (p-distance 16%). Both species differ also from their congeners in some morphological and morphometric characters of adults and/or details of egg chorion. Additionally, a large population of Mesobiotus skorackii was found in the sample and this is the first report of this species outside its terra typica in Kirghizia. The original description of this species was prepared based solely on the morphology and morphometry, therefore, here we provide updated data for this species enclosing morphometric and molecular data for the Canadian population.
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Akman, Dogan D., André Normandeau, Thorsten Sellin, and Marvin E. Wolfgang. "Towards the Measurement of Criminality in Canada." Acta Criminologica 1, no. 1 (January 19, 2006): 135–260. http://dx.doi.org/10.7202/017002ar.

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RésuméMESURE DE LA DELINQUANCE AU CANADA« Mesure de la delinquance au Canada > presente les resultats definitifs d'une replique methodologique de l'etude de T. Sellin et M.E. Wolfgang qui ont valide, il y a quelques annees, un indice de la criminalite pour les Etats-Unis. Le but de la presente recherche vise a mettre au point un indice semblable pour le Canada.Le Bureau federal de la statistique est responsable de la compilation des statistiques criminelles canadiennes. Ces statistiques sont basees sur les rapports annuels des differents corps de police du Canada et la classification des crimes est semblable, dans l'ensemble, au systeme americain communement appele Uniform Crime Reporting.Ce systeme ne tient pas compte, toutefois, de la gravite relative des differentes violations de la loi. Cette carence biaise toute analyse de l'etendue et de la nature de la criminalite dans le temps et dans l'espace. C'est ce qui determina Sellin et Wolfgang, ainsi que les auteurs de la presente etude, a y remedier.L'objectif principal de la recherche est la quantification des elements qualitatifs inherents aux evenements criminels. Aux Etats-Unis, un systeme pondere, fruit de l'analyse des attitudes caracterisant des echantillons d'etudiants universitaires, de policiers et de juges de la Cour juvenile, servit a cette fin.La strategie de la presente etude repose sur un « modele de replique minimum ». Ce modele, legitime par la validite des resultats, des interpretations et des conclusions de la recherche de Sellin et Wolfgang, reprend le dernier stade — qui est aussi le plus essentiel — de l'etude originale. Quatorze versions de delits criminels sont alors retenues afin de developper l'indice final.Les postulats de base qui sous-tendent cet indice sont les suivants:1 ) La mesure de la criminalite et de la delinquance juvenile doit etre fondee sur une echelle de gravite qui reflete les sentiments de la communaute sur la gravite relative des differents delits criminels.2) L'indice doit etre elabore a partir de renseignements detailles, tires des rapports de police et non a partir des etiquettes legales qui sont apposees aux evenements criminels.3) En ce qui concerne la delinquance juvenile: a) les delits commis par les jeunes delinquants le sont independamment du type de cours ou de procedes qui menent a leur jugement; b) l'indice ne doit tenir compte que des violations qui seraient considerees comme criminelles si ces jeunes delinquants etaient des adultes.4) L'indice doit etre fonde sur les delits criminels qui sont de nature a amener rapidement les victimes ou leurs proches a rapporter lesdits evenements a la police.5) L'indice doit etre fonde sur les delits qui sont rapportes d'une facon un tant soit peu constante et qui causent un prejudice explicite aux membres de la communaute, tels que les blessures corporelles, le vol et la perte des biens ou les dommages a la propriete. L'indice exclut: a) les delits impliquant le consentement de la victime et la conspiration; b) les delits dont la decouverte depend surtout de l'activite de la police; c) les delits qui ne sont que des attentats ne produisant aucun dommage corporel ou materiel.6) L'unite de compilation doit etre l'« evenement » pris dans sa totalite et non un seul element, si important soit-il.7) Une echelle de proportions (ratio) est la plus appropriee, particulierement a cause de la qualite cumulative d'une telle echelle.8) Des variables supposement importantes — telles que le type d'armes ou la legalite de la presence du coupable .— n'accroissent pas la gravite des delits et n'entrent donc pas en ligne de compte.L'echantillon canadien est de 2 738 sujets. Des etudiants, des juges, des policiers et des employes de bureau ont participe a cette etude.Les methodes et les techniques employees furent empruntees au domaine de la psychophysique, particulierement aux travaux de S.S. Stevens, de l'Universite de Harvard. Ces travaux etablissent une relation mathematique entre « stimulus » et « perception ».Chaque sujet recut les quatorze descriptions de delits criminels auxquels il attacha des poids numeriques variant selon ses attitudes particulieres. Ces resultats numeriques furent compiles a l'aide de la moyenne geometrique et analyses par les methodes de correlation (r) et de regression (b).Les hypotheses majeures de Sellin et Wolfgang, sur la base de ces resultats, furent reformulees de la facon suivante:Expectative minimumSi les indices de gravite des delits tires de deux populations (sexe, culture, pays) sont confrontes, la relation qui existe entre eux doit etre une fonction ayant la forme Y = aXb (les points traces graphiquement sur papier log-log se placent sur une ligne droite). Il est evident que cette expectative ne s'applique qu'aux delits choisis par Sellin et Wolfgang.Expectative maximumSi les indices de gravite des delits tires d'un grand nombre de populations ou de sous-populations (specialement a l'interieur d'un pays) sont mis en rapport, la relation qui se forme entre eux est une fonction ayant la forme Y = aXb (les points traces graphiquement sur papier log-log se placent sur une ligne droite); de plus, a mesure que le nombre de groupes dans l'echantillon augmente, la pente tend vers 1. De nouveau, ceci ne s'applique qu'aux delits choisis.Les resultats de cette etude confirment la fiabilite et la stabilite de l'indice de Sellin et Wolfgang. Ils permettent l'elaboration d'un indice canadien de gravite des delits qui constitue une mesure raffinee de la criminalite et de la delinquance juvenile, capable de remplacer avantageusement celle utilisee presentement au Canada.
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Pace, Jessica. "“Place-ing” Dementia Prevention and Care in NunatuKavut, Labrador." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 39, no. 2 (October 31, 2019): 247–62. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980819000576.

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Abstract:
RÉSUMÉLe vieillissement de la population autochtone du Canada a mis en évidence l’importance du milieu de vie et de la culture sur la santé et la résilience dans le parcours de vie. La présente étude expose les résultats d’un projet Photovoix portant sur les expériences des Inuits du Sud lors de transitions associées au troisième âge et à la démence au NunatuKavut (Labrador). Dans cette région, la culture et l’environnement naturel occupent une place prépondérante dans les descriptions des activités de promotion de la santé et des trajectoires de soins. Ces facteurs peuvent contribuer au vieillissement en santé, offrir une protection contre le déclin cognitif et favoriser le maintien de l’identité des personnes atteintes de démence. Or, les modes de vie ancrés dans la terre ancestrale font l’objet de fortes pressions. Ces pressions affectent les perspectives des aînés Inuits du Sud de vieillir et d’être soignés « dans leur milieu ». Les résultats de cette recherche reflètent la nécessité d’élaborer des approches de soutien pour les aînés Inuits du Sud désirant vieillir dans leur milieu, en considérant les conceptions culturelles de la personne et les politiques et programmes qui promeuvent l’engagement envers la nature et la culture.
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Namayandeh, A., K. S. Heard, E. A. Luiker, and J. M. Culp. "Chironomidae (Insecta: Diptera) from the eastern Canadian Arctic and subarctic with descriptions of new life stages, a possible new genus, and new geographical records." Journal of Entomological and Acarological Research 48, no. 2 (August 26, 2016): 53. http://dx.doi.org/10.4081/jear.2016.5847.

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Abstract:
Chironomidae larvae constituted the largest proportion of benthic invertebrates collected from 99 rivers stretching from northern Labrador (latitude 58°N) to northern parts of Ellesmere Island (82°N). We describe 92 species of Chironomidae (mainly larval forms) providing new descriptions, a revision for the adult female of <em>Parametriocnemus boreoalpinus</em> Gowin <em>et</em> Thienemann, a possible new genus (larval form only), and 9 larval forms that may represent a new species. In addition, new geographical distribution records are specified for 1 Nearctic species, 6 species in Canada, 10 for Labrador, and 17 for Nunavut. This work contributes to Environment Canada’s International Polar Year output (2007-2009).
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McFaull, SR, M. Frechette, and R. Skinner. "Surveillance aux services d'urgence des blessures associées aux lits superposés : Système canadien hospitalier d'information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT), 1990-2009." Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no. 1 (December 2012): 44–53. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.1.05f.

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Abstract:
Introduction Pour des raisons d'espace, bien des ménages utilisent des lits superposés. La hauteur et l'aménagement de ces lits peuvent présenter un risque de chute et d'étranglement, en particulier pour les jeunes enfants. La présente étude visait principalement à décrire les blessures associées aux lits superposés signalées au Système canadien hospitalier d'information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT) pour la période 1990-2009. Méthodologie Le SCHIRPT est un système de surveillance des blessures et des intoxications en place dans les services d'urgence de plusieurs hôpitaux d'un bout à l'autre du Canada, soit 11 hôpitaux pédiatriques et 4 hôpitaux généraux. Les codes de produits du SCHIRPT et les descriptions fournies ont été utilisés pour extraire les données nécessaires. Résultats Au cours de cette période de surveillance de 20 ans, 6 002 personnes se sont présentées aux services d'urgence d'hôpitaux canadiens pour des blessures associées à des lits superposés. Dans l'ensemble, la fréquence des blessures liées aux lits superposés signalées dans le SCHIRPT est demeurée relativement stable, la variation du taux annuel moyen se situant à -1,2 % (-1,8 % à -0,5 %). Plus de 90 % des blessures associées au lit du haut étaient attribuables à des chutes; les enfants de 3 à 5 ans constituaient le groupe le plus fréquemment en cause (471,2 cas enregistrés dans le SCHIRPT pour 100 000). Conclusion Les services des urgences au Canada continuent de recevoir des enfants présentant des blessures associées aux lits superposés, dont bon nombre sont des lésions importantes. Les mesures de prévention des blessures devraient être axées sur les enfants de moins de 6 ans.
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Andrès, Bernard. "Jacques Grasset de Saint-Sauveur (1757-1810), aventurier du livre et de l'estampe." Zone libre, no. 56 (February 29, 2012): 193–215. http://dx.doi.org/10.7202/1008094ar.

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Abstract:
Des Grasset de Saint-Sauveur, on connaît surtout André (1758-1792), martyr de la Révolution française, béatifié en 1926 et dont un collège porte aujourd'hui le nom. Cet article concerne plutôt son frère aîné, personnage à l'antipode: Jacques Grasset de Saint-Sauveur (1757-1810). Successivement diplomate, polygraphe, illustrateur et graveur, il fut aussi aventurier et quelque peu mystificateur. Montréalais de naissance, Jacques Grasset de Saint-Sauveur a connu sa petite gloire littéraire sous la Révolution et le premier Empire. Il publia un nombre considérable d'encyclopédies de voyages et de costumes, de compilations et de récits libertins, mais aussi d'ouvrages de morale d'inspiration philosophique ou républicaine. II nous intéresse du triple point de vue de l'histoire politique et diplomatique du Canada et de la France, de l'histoire littéraire et de l'histoire de l'art. Pour cerner la personnalité de l'individu, on analyse ici une lettre qu'il adressa en mars 1785 à de Charles Gravier, comte de Vergennes, ministre des Affaires étrangères de France. Cette correspondance contient l'autoportrait de l'aventurier à la recherche d'un mécène, avec toutes les marques d'un jeune caractère déjà bien tranché : esprit d'initiative, audace frisant la présomption, détermination, sens politique et curieux mélange de réalisme et d'extravagance dans la vision du monde. En germe dans ce pli que Jacques Grasset de Saint-Sauveur rédige à 27 ans, se lit déjà toute la carrière de celui qui, sous le Directoire, trouvera plus prudent de perdre la particule et de signer « citoyen Saint-Sauveur », avant de s'acoquiner avec les plus ardents républicains de l'époque. À côté d'André, son père, ancien secrétaire de la Nouvelle-France, devenu consul sous Louis XVI, à côté de son frère cadet, lui-même consul et de l'autre frère, prêtre réfractaire fauché par la Terreur, Jacques Grasset fait tache. C'est cette tache qu'on examine ici à partir d'une simple lettre, avant de revenir, dans une prochaine livraison, sur la bibliographie du mouton noir des Grasset de Saint-Sauveur.
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Villeneuve, Anne-José. "Normes objectives et variation socio-stylistique : le français québécois parlé en contexte d’entrevues télévisées." Arborescences, no. 7 (August 22, 2018): 49–66. http://dx.doi.org/10.7202/1050968ar.

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Abstract:
Les variétés linguistiques nord-américaines se distinguent depuis longtemps de leurs contreparties européennes. Pourtant, les « français d’ici » demeurent stigmatisés puisque souvent associés systématiquement au parler des classes populaires ou à des vernaculaires jugés trop éloignés de la norme fantasmée associée à l’écrit. Or, l’usage québécois oral n’est pas exempt de styles soutenus, dont l’essentiel reste à décrire : plusieurs études ont porté sur le vernaculaire, mais seules quelques-unes se sont penchées sur les usages spontanés en situations plus formelles. Le présent article propose la description d’une norme objective en décrivant l’usage linguistique des élites culturelles et politiques du Québec dans deux contextes d’entrevues télévisées sur les ondes de Radio-Canada. En plus d’étoffer les descriptions existantes du français québécois parlé, la comparaison des deux contextes permet de mesurer la variation stylistique chez les individus. Les résultats de l’analyse de deux variables susceptibles de distinguer l’oral soutenu de l’écrit—l’alternance des auxiliaires et la négation verbale—montrent que les styles observées en contexte d’entrevues télévisées se situent à mi-chemin entre les vernaculaires et le ‘standard’ écrit. En examinant d’une part des normes objectives émanant d’un groupe socio-culturellement valorisé et, d’autre part, la variation socio-stylistique en français québécois du 21e siècle, la présente contribution éclaire la sociolinguistique française et ses applications pédagogiques éventuelles en contexte canadien.
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Stobbs, L. W., R. F. Cerkauskas, T. Lowery, and L. VanDriel. "Occurrence of Turnip Yellow Mosaic Virus on Oriental Cruciferous Vegetables in Southern Ontario, Canada." Plant Disease 82, no. 3 (March 1998): 351. http://dx.doi.org/10.1094/pdis.1998.82.3.351a.

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Turnip yellow mosaic virus (TYMV) has been reported throughout Europe, New Zealand, and Australia. In 1994, this virus was identified in two field plantings of Bok Choi and one planting of Pak Choi (Brassica campestris Chinensis group var. communis) in Durham and Haldimand-Norfolk counties, respectively. In early October, approximately 25% of the plants were infected at each site. Both the striped flea beetle (Phyllotreta striolata (F.)) and the crucifer flea beetle (P. Cruciferae(Goeze)), reported vectors of the virus (1), were present at each site. Infected plants exhibited bright yellow to yellow-green mosaic mottling and often showed chlorotic lesions on the lower leaves. Vein clearing was also seen on several plants. Plants were often coinfected with turnip mosaic virus. Four symptomatic plants were taken from each field site for testing. Spherical virus particles (28 nm) were identified as TYMV by electron microscopy following post-antibody decoration and enzyme-linked immunosorbent assay with the TYMV Agdia test kit. Symptoms were reproduced on both Bok and Pak Choi by mechanical inoculation into healthy plants. Extended host range susceptibility tests with 14 differential hosts were consistent with those reported in the VIDE database (1). This virus, in the presence of the flea beetle vectors, may pose a threat to susceptible traditional cruciferous vegetables grown extensively in this area. Reference: (1) A. A Brunt et al., eds. Plant Viruses Online: Descriptions and Lists from the VIDE Database. Version: 16th January 1997.
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Morin, Nancy R., Luc Brouillet, and Geoffrey A. Levin. "Flora of North America North of Mexico." Rodriguésia 66, no. 4 (2015): 973–81. http://dx.doi.org/10.1590/2175-7860201566416.

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Abstract:
Abstract The Flora of North America north of Mexico treats all native and naturalized vascular plants and bryophytes in Canada, Greenland, St. Pierre et Miquelon, and the continental United States including the Florida Keys and Aleutian Islands (approximately 18 million square kilometers). It provides accepted names, literature citations, basionyms, synonyms, morphological descriptions, habitat, geographical distribution, conservation or weed status, and a discussion of taxonomic issues for approximately 20,000 species. Of the total 30 volumes anticipated, 18 have been published and one is in press, treating 2021 genera and 12,393 species. For the remaining volumes, 763 genera and 5,008 species have been submitted, and 82 of the 144 families have been submitted in full. Completion is anticipated by the end of 2017. The project is managed by the Flora of North America Association. Content from published volumes is available through eFloras and JSTOR and has been provided to the World Flora informatics team.
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Elmhirst, J. F., B. E. Auxier, and L. A. Wegener. "First Report of Box Blight Caused by Cylindrocladium pseudonaviculatum (C. buxicola) in British Columbia, Canada." Plant Disease 97, no. 4 (April 2013): 559. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-10-12-0927-pdn.

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Abstract:
Boxwoods (Buxus spp.) are common woody ornamental hedging plants in Europe and North America, typically propagated by cuttings. In October 2011, shoot dieback and defoliation was observed on Buxus sempervirens ‘Suffruticosa’ (dwarf English boxwood) and ‘Green Balloon’ in outdoor, 10-cm pots at a wholesale nursery in Chilliwack, British Columbia. Circular leaf spots with black rings occurred on leaves and black, water-soaked, cankers girdled the stems and petioles. Leaf and stem samples were collected on November 21, 2011, and incubated for 48 h in a moist chamber at room temperature. In addition to Volutella buxi, a Cylindrocladium species producing conidia on white sporodochia was observed on host tissue under the microscope. Leaves with lesions were surface-sterilized in 10% bleach for 30 to 60 s, rinsed in sterile water, and lesions were cut out and plated on PDA and carnation leaf media. The species was identified as Cylindrocladium pseudonaviculatum Crous, J.Z. Groenew. & C.F. Hill 2002 by comparison of conidia and phialide morphology to published descriptions. Conidia were hyaline, one-septate, cylindrical with rounded ends and 38 to 76 μm (mean 51 μm) × 4 to 6 μm on carnation leaf media and 41 to 66 μm (mean 52 μm) × 4 to 6 μm on B. sempervirens ‘Suffruticosa’ leaves, comparable to the reported range of 40 to 75 × 4 to 6 μm (1,2,3,4). Conidia were produced in clusters on terminal, ellipsoid vesicles at the tips of penicillate conidiophores. Vesicles were 10.2 (7.6 to 12.8 μm) at the widest point, consistent with the 6 to 11 μm reported in (2,3) and tapered to a rounded point; stipe extensions were septate and measured an average of 130 μm (107 to 163 μm) in length to the tip of the vesicle, consistent with the 95 to 155 μm reported in (1), 89 to 170 μm reported in (2), and 95 to 165 μm in (3). Chlamydospores were not observed on host tissue but appeared in older PDA cultures as dark brown microsclerotia. DNA was extracted from single-spore colonies on PDA and the internal transcribed spacer (ITS) region of rDNA was amplified with primers ITS1 and ITS4. The ITS sequence (GenBank Accession No. KC291613) was 100% identical to C. buxicola strain CB-KR001 (HM749646.1) and Calonectria pseudonaviculata strain ATCC MYA-4891 (JX174050.1). In early December 2011, box blight was identified on container-grown B. sinica var. insularis × B. sempervirens ‘Green Velvet,’ ‘Green Gem’, and ‘Green Mountain’ and B. sempervirens L. (common or American boxwood). The pathogen was identified by microscopic examination at three wholesale nurseries in the eastern Fraser Valley and one landscape planting. The isolate has been deposited in the Canadian Collection of Fungal Cultures in Ottawa, Canada (DAOM 242242). References: (1) B. Henricot and A. Culham. Mycologia 94:980, 2002. (2) K. L. Ivors, et al. Plant Dis. 96:1070, 2012. (3) C. Pintos Varela, et al. Plant Dis. 93:670, 2009. (4) M. Saracchi, et al. J. Plant Pathol. 90:581, 2008.
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SHELLEY, ROWLAND M. "Taxonomy of extant Diplopoda (Millipeds) in the modern era: Perspectives for future advancements and observations on the global diplopod community (Arthropoda: Diplopoda)*." Zootaxa 1668, no. 1 (December 21, 2007): 343–62. http://dx.doi.org/10.11646/zootaxa.1668.1.18.

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Abstract:
The modern era in diplopod taxonomy began in 1971 with publication of the Nomenclator Generum et Familiarum Diplopodorum. Along with the internet and electronic communications, this pioneering work catalyzed an increased output of synthetic publications beyond mere species descriptions, thereby leading to accelerating advancements. Significant taxonomic and/or cataloging studies have since occurred in 14 of the 16 established orders, all except Stemmiulida and Siphoniulida. Important faunistic works have appeared on Canada, Mexico, Asian Russia, China, Taiwan, Vietnam, Thailand, Iran, Turkey, central Asia in general, Belgium, Scandinavia, Great Britain & Ireland, Madagascar, and the Comoros, Canary, Cape Verde, and Galapagos Islands. The complete known ranges of four orders, four superfamilies, and 47 families have been mapped along with partial, regional mappings for seven other orders and seven families. With only one resident taxonomist, continental regions of the Neotropics warrant concentrated attention in future years, and emphasis on Chinese millipeds will surely continue because of the discovery of a substantial southeast Asian callipodidan fauna. Taxonomic emphases are needed in the Spirobolidea (Spirobolida), to assess affinities between the 10 component families, and Spirostreptida, to determine taxonomic positions of the suborders Cambalidea & Epinannolenidea. Resolution of the latter may derive from development of the "8th gonopod clade" concept, involving the orders Chordeumatida, Callipodida, Stemmiulida, Polydesmida, & Siphoniulida, and the suborder Spirostreptidea (Spirostreptida). Attributes of the global diplopod community are discussed.
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Sholberg, P. L., S. C. Stokes, and D. T. O'Gorman. "First Report of a New Postharvest Disease of Pear Fruit Caused by Sphaeropsis pyriputrescens in Canada." Plant Disease 93, no. 8 (August 2009): 843. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-93-8-0843a.

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Abstract:
A survey of stored d'Anjou pears was conducted in British Columbia (BC), Canada in January 2006 to determine if Sphaeropsis rot was present in BC as had been reported previously for apples and pears in Washington (1,2). Sphaeropsis pyriputrescens Xiao & J.D. Rogers produces decay similar to Botrytis cinerea that originates from the stem or calyx end. Of 3,614 pears sampled, 55 (1.5%) had symptoms similar to those described for Sphaeropsis rot. Isolations were made from each infected pear onto acidified potato dextrose agar (APDA) dishes and incubated at 20°C for 5 to 7 days. Twenty-seven cultures resembling S. pyriputrescens were induced to produce pycnidia by exposing them to 12-h cycles of alternating light and dark periods at 20°C (1). Conidia extracted from pycnidia were then streaked onto PDA dishes and incubated at 20°C for 12 to 24 h from which single-spore cultures were made. These isolates developed a dense, white-to-cream mycelium that turned yellow over time; black pycnidia were formed on the culture dishes after 4 weeks. Conidia were brown, clavate to subglobose to irregular, and similar in size (16 × 10 μm) to previous descriptions (1). Identification of S. pyriputrescens was confirmed by using DNA sequence data from the β-tubulin and ribosomal genes. Sequences from S. pyriputrescens from Washington (1) were compared with those from BC, Canada. Isolates from Canada shared 99 to 100% sequence homology with those from Washington. Two of the BC isolates (DAOM 238917 and 238918) were deposited in the Canadian Culture Collection, Ottawa, ON and their corresponding sequences were placed in the GenBank database (NCBI, Bethesda, MD) with accession nos. EU156037 and EU156040 (ribosomal gene) and EU156048 and EU 156050 (β-tubulin gene), respectively. Five isolates from different locations in BC and two isolates from Washington were tested for pathogenicity on d'Anjou pears and four apple cultivars (Ambrosia, Fuji, Gala, and Granny Smith). Plugs (3 mm in diameter) removed from 2-week-old cultures were placed into two corresponding wounds on each of five fruit per cultivar. The fruit were then placed at 1 or 20°C for 22 or 7 days, respectively, when the diameters of the decay areas were recorded. All isolates were pathogenic on pears (P = <0.05). Decay lesion diameter was greater at 1°C, ranging from 46.8 to 57.9 mm, than at 20°C, ranging from 32.6 to 44.2 mm. All BC isolates were also pathogenic on the fruit of each apple cultivar (P = <0.05), although at 20°C, decay areas were smaller than on pears, and at 1°C, very little rot developed. Koch's postulates were completed by reisolating S. pyriputrescens from the inoculated pears and apples and identifying the isolates as above. Although S. pyriputrescens was only observed on pears in BC, research in Washington indicates that it is a more serious problem on apples (2). To our knowledge, this is the first documented report of the occurrence of S. pyriputrescens in Canada. References: (1) C. L. Xiao and J. D. Rogers. Plant Dis. 88:114, 2004. (2) C. L. Xiao et al. Plant Dis. 88:223, 2004.
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MARUSIK, YURI M. "Redescription of the Siberian species Pardosa jeniseica (Araneae: Lycosidae)." Zootaxa 4497, no. 1 (October 8, 2018): 141. http://dx.doi.org/10.11646/zootaxa.4497.1.9.

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Abstract:
The male of Pardosa jeniseica, collected in the East-Kazakhstan Area, was first illustrated in Eskov & Marusik (1995). The authorship of the species was given as “Zyuzin, 1991”, because A.A. Zyuzin informed the authors in 1990 that a description of the species was in press. Because no such description ever appeared the authorship was given to Eskov & Marusik, and a single male specimen from East-Kazakhstan is now considered to be the holotype. It is kept in Zoological Museum of the Moscow State University. Esyunin et al. (1999) illustrated and described a female from the Urals thought to be conspecific with P. jeniseica. Conspecifity of the illustrated specimen with P. jeniseica was doubted by Marusik et al. (2000). Kronestedt (2013) was the first to illustrate the epigyne of P. jeniseica and Azarkina & Trilikauskas (2013) provided both verbal and illustrated descriptions of the female, and its epigyne and endogyne. Both sexes taken from one locality were never depicted, nor was peculiar pubescence of the male's leg I. Therefore, I decided to provide detailed illustrations and a verbal description of this species based on specimens from the place considered to be the type locality.Specimens were photographed at the Zoological Museum (University of Turku, Finland) with a Canon EOS 7D camera attached to an Olympus SZX16 stereomicroscope and a SEM JEOL JSM-5200 scanning microscope. Digital images were montaged using Helicon focus 3.10 image stacking software. All measurements are given in millimeters. The following abbreviations are used for leg segments: Fe femur, Pa patella, Ti tibia, Mt metatarsus, Ta tarsus; leg spination abbreviations: d dorsal, p prolateral, r retrolateral, v ventral. Material used in this study is deposited in the Moscow State University (ZMMU) and Zoological Museum of the University of Turku (ZMUT). I thank Seppo Koponen (Turku, Finland) for providing museum facilities and Don Buckle (Saskatoon, Canada) for editing English in the earlier draft of the manuscript.
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Rakow, G., and D. Rode. "AC Vulcan oriental condiment mustard." Canadian Journal of Plant Science 89, no. 2 (March 1, 2009): 325–29. http://dx.doi.org/10.4141/cjps08147.

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Abstract:
AC Vulcan oriental condiment mustard [Brassica juncea (L.) Czern.] was developed from landraces of oriental mustard grown at Lethbridge, AB, in the 1960s. Lethbridge 22A registered in 1974 was the first true yellow breeding oriental mustard cultivar, followed by Domo in 1977, from which Cutlass was selected. AC Vulcan is a single plant selection from Cutlass. Data on the cultivar Forge (not a check cultivar) are provided for comparison because Forge was the predominant cultivar of oriental mustard in western Canada at the time when Cutlass and AC Vulcan were developed. Forge was developed by Mr. John Hemingway of Colman's Food, Norwich, UK. AC Vulcan yielded 3.0% less grain than the check cultivar Cutlass, on average, over 81 station years in 9 yr of condiment Co-op tests 1999–2007, and was well adapted to the mustard-growing areas of the Canadian prairies. AC Vulcan was one day later in maturity than Cutlass and one day earlier than Forge. It was similar in height to Cutlass. It had 0.5% lower fixed oil than Cutlass and 0.3% greater protein content. Forge had very low fixed oil content at 38.9%. AC Vulcan had increased seed weight (2.82 g per 1000 seed) compared with Cutlass (2.73 g per 1000 seed). Forge had low seed weight (2.49 g) per 1000 seed. AC Vulcan had 12.04 mg g seed-1 of allyl glucosinolate; 0.96 mg g seed-1 greater than Cutlass. Green seed counts varied from 0.65% for Forge to 0.84% for AC Vulcan, statistically not different from each other; this was reflected in seed chlorophyll contents. AC Vulcan and Cutlass were resistant to white rust [Albugo candida (Pers.) Kuntze] race 2a, but highly susceptible to race 2v. Forge was highly susceptible to both white rust races. All three oriental mustard cultivars were highly resistant to blackleg disease [Leptosphaeria maculans (Desm.) Ces. et de Not.]. Major goals in oriental mustard breeding are further reductions in fixed oil content and increases in grain yield. Key words: Brassica juncea (L.) Czern., cultivar descriptions, grain yield, seed quality
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Lupien, S. L., B. C. Hellier, and F. M. Dugan. "First Report of Onion Rust Caused by Puccinia allii on Allium pskemense and A. altaicum." Plant Disease 88, no. 1 (January 2004): 83. http://dx.doi.org/10.1094/pdis.2004.88.1.83d.

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Abstract:
In June 2003, uredinial and telial pustules were seen on leaves of accession W6-12755 Allium pskemense B. Fedtsch. originating from Uzbekistan and grown for germplasm increase in Pullman, WA. W6-18947 A. altaicum Pall., originating from Mongolia, displayed similar symptoms in the same garden in June 2000. A. altaicum is a wild onion exploited for food in its native range and is ancestral to A. fistulosum L., bunching onion (2). A. pskemense is a wild perennial sometimes propagated under cultivation (2). Both species have been exploited for research in breeding and systematics of Allium and used to a lesser degree in screening for pest or disease resistance. Clustered, golden orange, amphigenous uredinia were approximately 1 × 0.5 mm and surrounded by stromatic, subepidermal, blackish telia of variable size. Urediniospores (thick-walled, pale orange, echinulate, (25-) 27 to 32 (-34) × (19-) 21 to 25 μm, with as many as 10 scattered, indistinct pores), teliospores (two-celled, smooth, golden brown, 42 to 65 × 18 to 26 μm), and mesospores (27 to 42 × 15 to 21 μm, and approximately 30% as frequent as teliospores) all approximated the description for P. allii Rudolphi (4), but were more strongly congruent with the description of Puccinia blasdalei Diet. & Holw. (1), now considered a synonym (4). Specimens are deposited with WSP, Washington State University, Pullman. P. allii or its synonyms have been recorded from over 30 species of Allium (1,3,4), but to our knowledge, this is the first report of this rust on A. pskemense or A. altaicum. References: (1) J. C. Arthur. Manual of the Rusts in United States and Canada, Hafner Publishing, N.Y., 1962. (2) J. L. Brewster. Onions and Other Vegetable Alliums. CABI, Wallingford, Oxon, U.K, 1994. (3) D. F. Farr et al. Fungal Databases, Systematic Botany and Mycology Laboratory, On-line publication. ARS, USDA, 2003. (4) G. F. Laundon and J. M. Waterston. Puccinia allii. No. 52 in: Descriptions of Pathogenic Fungi and Bacteria. CMI, Kew, Surrey, U.K., 1965.
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Elmhirst, J. F., and N. Verma. "First Report of Anthracnose of Salal Caused by Colletotrichum acutatum in British Columbia." Plant Disease 92, no. 1 (January 2008): 175. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-92-1-0175b.

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Abstract:
Gaultheria shallon Pursh (salal) is a native, Pacific Northwest forest understory plant produced by numerous commercial nurseries as a garden and landscape ground cover. Seed is sown in soilless media in greenhouse plug flats, and seedlings are transplanted into larger pots at 24 to 36 weeks. In October 2005, approximately 30% of 16-week-old G. shallon Pursh (salal) seedlings in a commercial greenhouse in coastal British Columbia, Canada were observed to be dying back. Black, water-soaked, cankers girdled the stems and petioles resulting in seedling necrosis. Cankers extended into the base of affected leaves, and irregular, black leaf spots with concentric rings were observed. A Colletotrichum sp. was isolated on potato dextrose agar (PDA) + 0.005% streptomycin. In May 2006, 160 20-week-old salal seedlings (two- to five-leaf stage) in four plug cell flats of 40 seedlings each were inoculated with a hand atomizer with a mycelial and spore suspension of approximately 1 × 108 CFU/ml (dilution plating) in 100 mL sterile dH2O; 120 seedlings (four flats of 30 seedlings each) were sprayed with water alone. Flats were covered with black plastic for 48 h and then placed randomly in a shaded greenhouse at 14 to 22°C with overhead watering. The percentage of necrotic seedlings with black, water-soaked cankers and leaf spots in the inoculated flats at 1 to 8 weeks was 3.8, 7.6, 8.2, 16.4, 44.9, 62.0, 79.7, and 81.6, consecutively; versus 2.5% at 8 weeks in the noninoculated flats. Infection of the noninoculated seedlings was presumably due to spore splash from irrigation. Both the original isolate used as inoculum and colonies reisolated on PDA from inoculated, surface-sterilized, symptomatic tissues were identified as Colletotrichum acutatum J.H. Simmonds based on morphology (2) and PCR using a species-specific primer (1). Hyaline, aseptate, fusiform conidia, measuring 8 to 16 × 2.5 to 4 μm, were produced in acervuli without setae on plants and in culture. The teleomorph (Glomerella) stage was not observed. To our knowledge, this is the first report of an anthracnose disease of salal. References: (1) S. Freeman et al. Plant Dis. 82:596, 1998. (2) J. E. M. Mordue. No. 315 in: Descriptions of Pathogenic Fungi and Bacteria. CMI, Kew, Surrey, UK, 1971.
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Agostini, A., D. A. Johnson, S. Hulbert, B. Demoz, W. G. D. Fernando, and T. Paulitz. "First Report of Blackleg Caused by Leptosphaeria maculans on Canola in Idaho." Plant Disease 97, no. 6 (June 2013): 842. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-10-12-0956-pdn.

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Abstract:
Canola (Brassica napus L.) is produced in the dryland agriculture areas of eastern Washington State and northern Idaho, often in rotation with cereal cropping systems. Canola is also used as a rotation crop in irrigated circles in the Columbia Basin of Washington and southern Idaho, where potato is the main cash crop. In 2011, 7,700 ha of canola were harvested in Idaho and 4,200 ha in Washington. One of the major diseases of canola around the world is blackleg, caused by Leptosphaeria maculans (aggressive) and L. biglobosa (non-aggressive). Both Washington and Idaho have been considered blackleg-free, and production of canola in Idaho is subject to government regulations. Canola seed originating from outside of Washington and Idaho should have a phytosanitary certificate. This disease is widespread in Canada and the U.S. Northern Plains, Midwest, and South, and is the major disease of canola in these areas. In August 2011, a sample from a canola field in Bonners Ferry, Idaho, was brought for diagnosis to Washington State University. The canola stems showed the typical gray to dark grey lesions with black pycnidia. The pycnidia and conidia were examined microscopically, and found to be similar to descriptions of Phoma lingam, the anamorph of L. maculans (2). Samples were sent to the University of Manitoba for confirmation with PCR. The pathogen was cultured out of stems on V8 juice agar amended with streptomycin and 22 single pynidiospore isolates were made from the cultures. DNA was extracted from the cultures using methods described in Fernando et al. (1) and a multiplex PCR was performed with species-specific primers for L. maculans and L. biglobosa. The reaction should produce a 330-bp amplicon for L. maculans and a 440-bp amplicon for L. biglobosa. Based on this, all 22 isolates were identified as L. maculans. The susceptible cultivar Westar was inoculated with the isolates, by wound inoculating 7-day-old cotyledons with a concentration of 107 spores/ml. Plants were kept in a moist chamber at 23°C. After 14 days, plants were rated for disease with a 0 to 9 scale, where 0 = no infection and 9 = tissue collapse and appearance of pycnidiospores. Isolates with rating ≥5 are considered virulent. All isolates produced a rating of 7 to 9, indicating a high level of virulence. The source of the seed used in the infested fields is not known at this time. This disease is seedborne, and may pose a threat to the two major vegetable and oilseed brassica seed production areas of Washington: the Skagit River valley of western Washington and the Columbia Basin area of central Washington. In addition, the susceptibility of Pacific Northwest varieties of canola and other brassica oilseeds is largely unknown. References: (1) W. G. D. Fernando et al. Plant Dis. 90:1337, 2006. (2) S. Roger Rimmer et al. Compendium of Brassica Diseases, APS Press, 2007.
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Li, X., and G. Schnabel. "First Report of Gray Mold of Blackberry Caused by Botrytis cinerea in South Carolina." Plant Disease 95, no. 12 (December 2011): 1592. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-06-11-0530.

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Abstract:
Botrytis cinerea Pers.: Fr. is a causal agent of gray mold of blackberry but may also affect grapevine, tomato, bulb flowers, and ornamental crops (2). In August 2010, blackberries (Rubus fruticosus and other species) showing gray mold symptoms were found in Longcreek, Six Mile, and Cheddar, SC. Symptomatic blackberry fruit exhibited patterns of brown-to-gray mycelia and conidiophores. Upon isolation, the mycelium grew at a rate of 12.3 mm per day at 22°C on potato dextrose agar, forming pale white-to-gray colonies with concentric rings and conidiophores (less than 12 h of fluorescent light per day). Some isolates formed dark brown sclerotia in the dark after 18 days. The lemon-shaped spores averaged 12 × 9 μm and were consistent with descriptions of B. cinerea. (1) The ribosomal internal transcribed spacer (ITS) ITS1-5.8S-ITS2 region was amplified via PCR from genomic DNA obtained from mycelia using primers ITS1 and ITS4. A BLAST search in GenBank revealed highest similarity (99 to 100%) to sequences from various Botrytis spp. collected in China, Canada, and Spain (GenBank Accession Nos. FJ169666.1, GU934505.1, and EF207414.1). The ITS sequence amplified from the blackberry isolate was submitted to GenBank (Accession No. JN164269). The pathogen was further identified to the species level as B. cinerea using glyceraldehyde-3-phosphate dehydrogenase, heat-shock protein 60 (HSP60), and DNA-dependent RNA polymerase subunit II (RPB2) gene sequences (2) (GenBank Accession Nos. JN164270, JN164271, JN164272). Pathogenicity was confirmed by inoculating three surface-sterilized (soaked in 5% bleach for 15 min), mature blackberry fruit (R. fruticosus) with a conidial suspension (105 spores/ml) of the blackberry isolate. A 20-μl droplet was placed on the fruit; control fruit received sterile water without conidia. After 5 days of incubation at room temperature in an air-tight Magenta box, the inoculated fruit developed typical signs and symptoms of gray mold. The developing spores on inoculated fruit were confirmed to be B. cinerea. All control fruit remained healthy. To our knowledge, this is the first report of B. cinerea on blackberry in South Carolina. The disease must be managed with fungicides to obtain high quality fruit with market-requested shelf life. References: (1) D. F. Farr and A. Y. Rossman. Fungal Databases. Systematic Mycology and Microbiology Laboratory, ARS, USDA. Retrieved from http://nt.ars-grin.gov/fungaldatabases/ , June 17, 2011. (2) M. Staats et al. Mol. Biol. Evol. 22:333, 2005.
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Cardin, L., L. Vincenot, and M. H. Balesdent. "First Report of Pilidium concavum on Bergenia crassifolia in France." Plant Disease 93, no. 5 (May 2009): 548. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-93-5-0548b.

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Abstract:
Bergenia crassifolia (L.) Fritsch (elephant's ears or Siberian tea) (Saxifragaceae) is a perennial rhizomatous plant with pink flowers appearing at the end of winter. Since 1990, large, brown, and necrotic spots have been observed on numerous B. crassifolia plants at the University of Sciences in Nice, France. Spots appeared each year in the spring on newly emerged leaves and enlarged up to 1 to 3 cm in diameter during the summer, sometimes affecting more than half of the leaf surface. Leaves with spots were collected from May to November and placed in a humid atmosphere. Black, sessile, discoid conidiomata developed on the spots and exuded a pink, then brown, spore mass. When a mass was transferred onto a 1% malt agar medium, mycelium grew and then numerous, relatively spherical conidiomata (0.5 to 2.5 mm in diameter) developed and exuded a pink slimy mass, which contained many conidia. The mycelium grown at 24°C in the dark was scarce and pale, pink-beige. Under the light, the fungal culture was much darker with a fluffy mycelium and numerous conidiomata. The base of the conidiomata was dark; conidiophores were hyaline and showed little segmentation. Unicellular, cylindrical, fusiform conidia were hyaline, 5.4 to 8 μm long, and 1.4 to 1.9 μm wide. The morphology and size of conidia were comparable with previous descriptions of Pilidium concavum (Desm.) Höhn. (2,3). The ITS1-5.8S-ITS2 region of two isolates was amplified by PCR with primers PN3 and PN10 according to Mendes-Pereira et al. (1) and sequenced. The 421-nt sequence (GenBank Accession No. FM211810) was 100% identical to that of the P. concavum specimen voucher BPI 1107275 (GenBank Accession No. AY487094). P. concavum was reported to be on stored or rotting leaves or fruits of many dicotyledonous plants (2). To validate Koch's postulates, pieces of mycelium cultures with conidiomata (28 days old) were placed onto the upper surface of leaves of healthy B. crassifolia plants (10 to 12 pieces per plant). The leaf epidermis was previously wounded with a needle and a drop of melted paraffin was poured onto each piece of mycelium to prevent desiccation. Agar plugs without the fungus were placed similarly on wounded leaves of two control plants. Four inoculated and two control plants were incubated in growth chambers at either 24 or 18°C (16 h of light per day, 15,000 lx, 80% humidity). At 24°C, brown spots developed from 90% of the inoculation sites, whereas spots were observed for only 18% of the sites at 18°C. Such spots did not develop on control plants. After 2 months, healthy leaves as well as those with necrotic spots were put in humid chambers. Conidiomata formed after 4 weeks and exuded the same pink mass, which contained numerous conidia and from which the fungus was reisolated. Similar symptoms were also observed in several other locations in France and in botanical gardens in Akureyri (Iceland) and Métis (Canada), from which P. concavum was reisolated. To our knowledge, this is the first report of P. concavum on B. crassifolia. References: (1) E. Mendes-Pereira et al. Mycol. Res. 107:1287, 2003. (2) M. E. Palm. Mycologia 83:787, 1991. (3) A. Y. Rossman et al. Mycol. Prog. 3:275, 2004.
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You, M. P., P. Simoneau, A. Dongo, M. J. Barbetti, Hua Li, and K. Sivasithamparam. "First Report of an Alternaria Leaf Spot Caused by Alternaria brassicae on Crambe abyssinicia in Australia." Plant Disease 89, no. 4 (April 2005): 430. http://dx.doi.org/10.1094/pd-89-0430a.

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Abstract:
Crambe abyssinicia Hochst. is grown sporadically worldwide for its value as a source of high erucic acid industrial oils and secondary commercial products. While there is increasing interest in cropping C. abyssinicia in Australia, for these potentials and also as a source of oil for biodiesel production, currently, there have been no commercial crops of this species. In September 2004, inspection of a small experimental field crop in Beverley, Western Australia indicated the presence of significant leaf spotting just prior to commencement of flowering. The symptoms of this disease included as many as 10 to 15 spot lesions per leaf that were generally rounded and varied between 0.5 to 11 mm in diameter. Clusters of these lesions were often associated with chlorosis of the region of leaves where they occurred. More than 95% of plants inspected showed these symptoms. When affected leaves were incubated in moist chambers, typical conidia of Alternaria brassicae (Berk.) Sacc. were observed. The description of these conidia matched that of the Commonwealth Mycological Institute for this pathogen (1) showing obclavate conidia 105 to 210 μm long and 20 to 30 μm thick, with 11 to 15 transverse septa and 0 to 3 longitudinal or oblique septa, predominantly with a pronounced beak 5 to 8 μm thick extending 0.3 to 0.5 μm of the length of the conidium. Single-spore isolations were made onto potato dextrose agar. Subcultures of these isolates were identified using a polymerase chain reaction (PCR)- based assay (2). This assay involved the use of two sets of A. brassicae-specific primers selected for conventional and real-time PCR. The colonies were confirmed to belong to A. brassicae. In a pathogenicity test to confirm Koch's postulates, single-spore isolates were inoculated onto cotyledons and leaves of 10-day-old C. abyssinicia seedlings. Symptoms on inoculated plants appeared within a period of 14 days of inoculation, matching those found on the affected plants in the field, and A brassicae was reisolated. A. brassicae causes an important worldwide disease of crucifers, for example, it can be a devastating disease of rapeseed and the other cruciferous crops in the United States and Canada. Since A. brassicae has already been reported on other species of crucifers Australia-wide, it may pose a threat to any potential Crambe spp. industry in this country. References: (1) M. B. Ellis No. 162 in: Descriptions of Pathogenic Fungi and Bacteria. CMI, Kew, England, 1966. (2) T. Guillemette et al. Plant Dis. 88:490, 2004.
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Elmhirst, J. F., and E. J. Hudgins. "First Report of Anthracnose of Gaultheria procumbens Caused by Colletotrichum gloeosporioides." Plant Disease 87, no. 6 (June 2003): 751. http://dx.doi.org/10.1094/pdis.2003.87.6.751a.

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Abstract:
In 2001, a stem canker and dieback associated with a Colletotrichum sp. was observed on Gaultheria procumbens L. (wintergreen) seedlings grown from seed in soilless potting mix at four commercial nurseries in coastal British Columbia, Canada. Black, water-soaked lesions developed into tan cankers girdling stems and petioles, and a black rot extended into the base of leaves. In 2002, a Colletotrichum sp. was isolated from similar stem cankers from wintergreen plants. One flat of healthy, 13-week-old seedlings of G. procumbens (one- to three-leaf stage; approximately 380 seedlings per flat) was inoculated with a mycelial and spore suspension of one of the Colletotrichum sp. isolates at 108 CFU/ml using a hand atomizer. The flat was covered with black plastic for 24 h after inoculation and maintained in a growth chamber at 22°C with overhead watering. After 7 days, 98% of seedlings in the inoculated flat were necrotic with abundant sporulation of the Colletotrichum fungus on stem and petiole lesions. Plants in noninoculated flats remained healthy. Reisolation of the fungus from symptomatic tissues confirmed the causal agent to be Colletotrichum gloeosporioides (Penz.) Penz. & Sacc. in Penz, based on morphology (1,2) and polymerase chain reaction (PCR) using the species-specific primer CgInt (3). Cylindrical, hyaline, aseptate conidia measuring 16 to 20 × 4 to 6 μm were produced in acervuli with setae. Perithecia of the teleomorph, Glomerella cingulata, observed on the plants and in culture, measured 100 to 128 μm in diameter and contained acsi measuring 56 to 60 × 8 to 10 μm. Ascospores were hyaline, unicellular, slightly curved, and measured 18 to 20 × 4 to 6 μm. Subsequently, a single-spore isolate of the fungus was used to inoculate 21-week-old seedlings in the greenhouse as described above. Four inoculated and four noninoculated half-flats containing an average of 160 seedlings each were randomized on the greenhouse bench and maintained at 22°C with daily overhead misting. Stem and petiole cankers appeared on 65.1% of inoculated seedlings at 10 days after inoculation (mean of four inoculated half-flats); increasing to 90.5% at 14 days. At 14 days, 5.9% of seedlings in four noninoculated half-flats were also symptomatic, possibly from spore contamination as a result of overhead watering. To our knowledge, this is the first confirmation of the causal agent of wintergreen seedling death in seed propagation nurseries in British Columbia. References: (1) J. E. M. Mordue. Glomerella cingulata. No. 315 in: Descriptions of Pathogenic Fungi and Bacteria. CMI, Kew, Surrey, UK, 1971. (2) B. C. Sutton. The Coelomycetes. CAB International Publishing, New York, 1980. (3) P. Talhinhas et al. Phytopathology 92:986, 2002.
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Robak, J., A. Czubatka, A. Czajka, and U. Smolinska. "First Report of Cabbage Head Rot Caused by Fusarium avenaceum in Poland." Plant Disease 98, no. 12 (December 2014): 1741. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-05-14-0507-pdn.

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Abstract:
Cabbage (Brassica oleracea L. var. capitata L.) is an important crop in Poland. Symptoms of a disease affecting cabbage were observed in 2012 and 2013 both in mid-August during the growing season and during storage in January and February. The disease affected about 30 to 40% of crops grown on ~9,000 ha over three locations: Charsznica in south Poland and Bedlno and Skierniewice in central Poland. Circular, watery lesions ranging from 10 to 60 mm in diameter on the surface of affected cabbage heads included whitish aerial mycelium that developed orange sporodochia in the center of each lesion. After 2 to 3 weeks, infection covered each entire cabbage head. A fungal pathogen was isolated from the orange lesions and from infected internal tissue. After sterilization of the excised tissue in 70% ethanol, the sections were each rinsed twice with sterilized water, dried on sterilized filter paper, and plated onto potato dextrose agar (PDA). Isolations consistently yielded morphologically homogeneous fungal colonies with abundant aerial mycelium that ranged from yellow to brownish yellow. The fungus produced pigmentation that changed the agar medium from dark yellow to brownish-burgundy. The mean colony growth was 66 mm after 7 days at 25°C. The fungus formed macroconidia, but microconidia and chlamydospores were not observed. Macroconidia were slender, slightly falcate, usually 3- to 5-septate, 44.7 to 60.7 × 3.7 to 5.5 μm, and formed in abundant orange sporodochia. On PDA, the isolates lost the ability to form sporodochia. Morphological and cultural features were typical of those of F. avenaceum (Fries) Saccardo (2). Koch's postulates were conducted to establish pathogenicity of each of four of the isolates on cabbage heads of the cv. Jaguar F1 (Bejo Seeds, Poland). The outer leaf of each head was inoculated with an 8-mm-diameter PDA plug colonized by the appropriate isolate (four cabbage heads/isolate), and the heads stored in a growth chamber at 25°C. After 5 to 7 days, lesions similar to those observed on naturally infested cabbage were observed on all the inoculated cabbage leaves. Four cabbage heads treated similarly with water as a control treatment remained symptomless. The experiment was repeated. DNA extracted from two of the four isolates was subjected to a PCR assay with primers ITS5 and ITS4 (4) for species identification based on the ITS1 and ITS2 sequences of ribosomal DNA (rDNA). The two sequences differed by 1 bp in the ITS2 region and had 100% identity with ITS sequences of F. avenaceum Accession Nos. AY147283 and AY147285 in GenBank. The sequences were deposited in GenBank as KM189440 and KM189441. Descriptions of fusarium head rot of cabbage in the United States (1) and Canada (3) were consistent with these observations in Poland. To our knowledge, this is the first report of F. avenaceum causing head rot of cabbage in Poland and in Europe. References: (1) H. R. Dillard and A. C. Cobb. Phytopathology 96:30. 2006. (2) J. F. Leslie and B. A. Summerell. Page 132 in: The Fusarium Laboratory Manual, Blackwell Publishing, Hoboken, NJ, 2006. (3) R. D. Peters et al. HortSci. 42:737. 2007. (4) T. J. White et al. Page 315 in: PCR Protocols: A Guide to Methods and Applications. Academic Press, San Diego, 1990.
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Stanosz, G., D. Smith, and L. Bernier. "First Report of Erysiphe palczewskii Powdery Mildew of Siberian Pea Tree (Caragana arborescens) in Wisconsin and Quebec." Plant Disease 93, no. 12 (December 2009): 1352. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-93-12-1352a.

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Abstract:
Shoots affected by powdery mildew were collected from Siberian pea trees in July 2009 on the University of Wisconsin–Madison campus and on the campus of Université Laval, Quebec City, Quebec. This exotic shrub or small tree is infrequently planted in Wisconsin and three shrubs in a group that were affected are the only examples known on the UW–Madison campus. In Quebec City, Siberian pea tree is more commonly used as an ornamental, often in hedges (as is the case of the affected plants on the Université Laval campus). In both locations, <10% of foliage was visibly affected, but incidence was greater on shoots closer to the ground than on higher shoots. White-to-grayish mycelium was present on leaves and young stems and sometimes completely covered both upper and lower leaf surfaces. Dark brown-to-black chasmothecia were numerous on leaf blades, petioles, and young stems, but were most abundant on lower surfaces of leaves. Morphology of chasmothecia, including appendages with distinctive terminal dichotomous branching, (1) was consistent with descriptions and illustrations of the fungus Erysiphe palczewskii Jacz. (synonym Microsphaera palczewskii) (1–4) thought to be native to Asia, but also known as an invader of Europe where it occurs on the same host. For a sample from Université Laval, mean diameter of chasmothecia was 113 μm, mean appendage length was 185 μm, and barrel-shaped conidia that lacked fibrosin bodies averaged 30 × 14 μm. Asci contained oval, yellow ascospores with mean dimensions of 20 × 12 μm. DNA was extracted from chasmothecia, and nuclear rDNA sequences (633 nucleotides) of the Wisconsin (GenBank Accession No. GQ497277) and Quebec (GenBank Accession No. GQ497276) specimens differed by only one nucleotide. The sequences that were obtained most closely matched GenBank sequences for Oidium spp. (98%) and Erysiphe spp. (97%). Further observations indicated that the same pathogen affected Siberian pea trees planted as ornamentals at several locations separated by ≥15 km in the metropolitan Quebec area. This report extends the eastern known limit of E. palczewskii in the United States, previously known from collections in Alaska (2), Washington (4), Idaho (4), North Dakota (3), and Minnesota (3). To our knowledge, this is the first report of this disease in Canada, and it indicates that the distribution of E. palczewskii is transcontinental. Specimens from Madison, WI and Quebec, QC have been deposited in the U.S. National Fungus Collections (BPI 879152) and the Rene Pomerleau Herbarium of the Canadian Forest Service Laurentian Forestry Centre (QFB-22601). References: (1) U. Braun. Beih. Nova Hedwigia 89:1, 1987. (2) D. A. Glawe and G. A. Laursen. Online publication. doi:10:1094/PHP-2005-1017-01-BR. Plant Health Progress, 2005. (3) D. A. Glawe et al. Online publication. doi:10.1094/PHP-2006-0117-01-BR. Plant Health Progress, 2006. (4) C. Nischwitz and G. Newcombe. Plant Dis. 87:451, 2003.
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Weiner, Irving B. "Speaking Rorschach: Our Method Stands Tall." Rorschachiana 22, no. 1 (January 1997): 1–12. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.22.1.1.

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Abstract:
J’ai eu le grand privilège d’assumer, depuis 1990, la fonction de Rédacteur-en-Chef de Rorschachiana: Yearbook of the International Rorschach Society. Après une période initiale de planification, cinq numéros ont été publiés, et mon mandat se termine avec ce volume de 1997. Je souhaite ici exprimer ma gratitude aux collègues qui m’ont apporté leur aide et aux auteurs qui ont contribué avec tant de grâce. Chacun de ces volumes comporte une introduction intitulée “Parler Rorschach”, où j’ai exprimé quelques idées. J’ai tout d’abord avancé que la connaissance du Rorschach nous conférait un langage commun qui nous permet de communiquer entre nous et de partager notre compréhension de l’évaluation de la personnalité. J’ai engagé les membres de la communauté Rorschach à s’écouter mutuellement comme à se parler, dans le respect des approches bien pensées qui diffèrent de la leur. J’ai suggéré qu’il convenait de considérer les controverses théoriques comme des occasions d’élargir notre horizon plutôt que d’abaisser les points de vue avec lesquels nous ne sommes pas en accord, ou encore de nous retrancher des camps adverses. J’ai plaidé pour une plus grande sensibilité aux différences culturelles et j’ai attiré l’attention sur le fait que, bien que le Rorschach soit universellement applicable comme méthode d’évaluation de la personnalité, la façon dont les gens réagissent aux taches d’encre est en partie influencée par leur héritage personnel. Mes commentaires se sont jusqu’à présent centrés sur les “affaires internes” de la communauté Rorschach, à savoir sur la façon dont les praticiens du Rorschach devaient se parler. Ma dernière variation sur le thème “Parler Rorschach” portera sur nos “affaires extérieures”, c’est-à-dire comment nous devons parler aux autres. Plus précisément, les “affaires extérieures” du Rorschach concernent la question de savoir comment la méthode des taches d’encre est regardée par les praticiens non-Rorschach, les chercheurs, les éducateurs, les hommes politiques et le public en général dont les opinions influencent l’utilisation, l’étude et l’enseignement du Rorschach. La méthode Rorschach a connu une longue histoire de critiques acerbes, et les enthousiastes du Rorschach ont la douloureuse habitude d’entendre des remarques désobligeantes à propos de leur instrument et des attaques gratuites contre leur confiance en lui. Aujourd’hui, alors que l’utilisation du test repose sur des recherches plus solidement établies, qu’elle concerne des champs d’applications plus variés, et connaît une propagation mondiale jamais égalée, on se trouve semble-t-il devant un regain de sentiments anti-Rorschach, tout du moins dans les milieux académiques. Aux Etats-Unis, par exemple, un livre de Dawes (1994) où le Rorschach était qualifié “d’instrument de pacotille” qui “n’est pas valide pour tester quoi que ce soit” a connu un certain succès, tout comme un article de Wood, Nezworski et Stejskal (1996) qui affirment que les concepts fondamentaux sur lesquels repose le Système Intégré sont “erronés”. Aux Etats-Unis, tout comme dans certains autres pays, les psychologues Rorschach ont récemment été confrontés à des difficultés croissantes à obtenir un financement pour leurs recherches et un créneau d’enseignement du Rorschach dans les cursus universitaires. Face aux arguments hostiles et à l’apparente multiplication des obstacles, les membres de la communauté Rorschach pourraient certes se décourager dans leur travail, voire même se demander si, après tout, leur méthode serait moins bonne qu’ils ne le pensaient. A ceux-là je réponds par le titre de mon introduction d’aujourd’hui, que l’on peut étayer par une abondante littérature et transmettre à tout esprit quelque peu ouvert: Notre méthode garde la tête haute. Avant de donner quelques arguments en faveur de cette assertion, je me dois d’expliciter la suggestion que j’avais faite de parler de la “méthode” Rorschach plutôt que du “test” du Rorschach ( Weiner, 1994 , 1995 a ). John Exner, ami intime et président actuel de la Société Internationale du Rorschach, en a pris ombrage. Exner (1997) craint que le respect, si chèrement gagné, pour le Rorschach en tant qu’un instrument psychométrique solide ne soit remis en question par des propositions qui tendraient à faire croire qu’il ne serait pas justifié de considérer le Rorschach comme un test. Je partage tout à fait ses craintes, et je continue à soutenir publiquement l’idée que la respectabilité du Rorschach ne peut être établie que par des recherches aux critères psychométriques rigoureux ( Weiner, 1981 , 1995 ). Il ne fait pour moi aucun doute que, en tant qu’un instrument de mesure standardisé aux propriétés psychométriques connues, le Rorschach répond à tous les critères d’un test. C’est pourquoi, ma préférence pour la désignation du Rorschach comme méthode des taches d’encre n’a rien à voir avec une quelconque critique de ses qualités en tant qu’un test. Bien au contraire, je pense que le Rorschach non seulement est un test, mais qu’il est plus qu’un test, et qu’il serait réducteur de ne le considérer rien que comme un test. Plus qu’un test, le Rorschach est une méthode de recueil de données multidimensionnelle, qui traverse les différentes approches théoriques du fonctionnement de la personnalité et qui prend en compte non seulement ce que les gens disent dans leurs réponses, mais aussi pourquoi et comment ils les disent. Ce sont bien ces caractéristiques qui confèrent sa richesse à la méthode des taches d’encre, et en rendent les résultats applicables à des champs si divers. Pour conclure, je retournerai à mon titre et à la question de savoir en quoi le Rorschach garde la tête haute et pourquoi le partisan de la méthode des taches d’encre n’a nul besoin d’abdiquer face à la bataille professionnelle qu’il lui incombe de mener pour sa défense. Comme je l’ai développé dans trois articles récents, ( Weiner, 1996a , 1996b , 1997 ), l’actuel statut scientifique, clinique et professionnel du Rorschach démontre la vigueur et l’utilité de cette méthode d’évaluation de la personnalité et montre à l’évidence que ses détracteurs sont tout bonnement mal informés. En ce qui concerne son statut scientifique, un instrument de mesure est valable sur le plan psychométrique si (a) des examinateurs dûment formés peuvent se mettre d’accord sur la cotation des variables; (b) l’appréciation de sa fiabilité indique qu’il procure des informations précises; (c) ses corollaires démontrés identifient des buts conformes à ce pour quoi il est valide; et (d) il existe des données normatives concernant les statistiques descriptives dans diverses populations qui permettent de comparer les résultats d’un individu à ceux du groupe de référence approprié. D’abondantes études publiées indiquent que la Méthode Rorschach des Taches d’Encre, surtout lorsqu’elle est administrée et cotée selon le Système Intégré, satisfait pleinement à chacune de ces quatre conditions psychométriques. Le statut clinique d’un instrument d’évaluation est déterminé par le but qu’il sert dans son application pratique. D’abondantes études démontrent que des examinateurs compétents peuvent utiliser les données du Rorschach pour produire des descriptions valides de la structure et de la dynamique de la personnalité; contribuer de façon importante au diagnostic différentiel des troubles psychologiques; aider les psychothérapeutes à définir les objectifs d’un traitement et mettre en évidence d’éventuels obstacles à la progression du traitement, à choisir les modalités thérapeutiques les plus pertinentes, et à surveiller les changements et les améliorations obtenus au cours du temps; et identifier les aspects du comportement qui sont principalement déterminés par des caractéristiques permanentes de la personnalité. Nous savons donc que les informations obtenues à partir du Rorschach peuvent effectivement servir à des fins pratiques importantes et variées. Le statut professionnel d’une méthode clinique se reflète dans sa fréquence d’utilisation et dans l’estime qu’on lui morte. En dépit des craintes alarmistes qui font état d’un déclin dans l’utilisation du Rorschach, des enquêtes réitérées sur les usages en matière de testing aux Etats-Unis, menées depuis 35 ans, ont montré une fréquence élevée et sans éclipse de l’utilisation du Rorschach dans les contextes cliniques, et la très grande majorité des cliniciens continuent à croire que les étudiants en psychologie clinique devraient être compétents dans l’évaluation à l’aide du Rorschach. Dans d’autres endroits du monde aussi, le Rorschach reste un instrument de large utilisation et continue d’attirer les étudiants qui veulent l’apprendre. L’épanouissement actuel de la Société Internationale du Rorschach, l’importance, en nombre et en qualité, de la participation aux congrès internationaux du Rorschach, et le lancement de Rorschachiana, portent aussi témoignage de la vigueur et de la dissémination de la méthode Rorschach. C’est ainsi que le Rorschach garde la tête haute. Notre méthode est bien établie en tant qu’un instrument psychométrique solide qui mesure des dimensions de la personnalité, aide au diagnostic différentiel et contribue aux indications thérapeutiques et à l’évaluation des différents traitement. On voit surgir des quatre coins du monde, à un rythme soutenu, des avancées conceptuelles, empiriques et pratiques, et il ne fait pas de doute que le Rorschach, vieux déjà de 75 ans, entre dans une période de croissance et de maturité en tant qu’un outil qui permet valablement de décrire et comprendre la condition humaine. Dans ce volume de Rorschachiana on trouvera des contributions en provenance du Brésil, du Canada, du Royaume-Uni, d’Italie, d’Espagne, de Suisse, du Venezuela et des Etats-Unis, ce qui porte au nombre de 19 les pays représentés dans les volumes 1993 à 1997.
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Bai, Q. R., S. Han, Y. Y. Xie, J. Gao, and Y. Li. "Veronica sibirica Leaf Spots Caused by Phacellium veronicae, a New Disease in China." Plant Disease 97, no. 12 (December 2013): 1662. http://dx.doi.org/10.1094/pdis-11-12-1052-pdn.

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Abstract:
Veronica sibirica (Veronicastrum sibiricum) is an erect perennial herb, an ornamental, and a traditional Chinese medicine plant distributed mostly in northeastern, northern, and northwestern China. It has dehumidifying and detoxifying properties, and is mainly used for the treatment of cold, sore throat, mumps, rheumatism, and insect bites (4). In June 2008 through 2012, leaf spots of V. sibirica were observed in the Medicinal Herb Garden of Jilin Agricultural University (43°48′N, 125°23′E) and the medicinal plantations of Antu County (43°6′N, 128°53′E), Jilin Province. Leaf spots were amphigenous, subcircular, angular-irregular, brown, and 1 to 10 mm in diameter; they occasionally merged into a larger spot with an indefinite margin or with a pale center and dark border. Pale conidiomata were hypophyllous and scattered on the spots. The conidiophores were 100 to 400 μm high and clustered together to form synnemata 20 to 50 μm in diameter, which splayed out apically and formed loose to dense capitula. Conidiophores occasionally emerged through the stomata individually and produced conidia on the surface of the infected leaves. The conidiogenous cell terminal was geniculate-sinuous with somewhat thickened and darkened conidial scars. Conidia were solitary or catenulate, ellipsoid-ovoid or subcylindric-fusiform, hyaline and spinulose, 4.01 to 7.18 × 11.16 to 20.62 μm with obtuse to somewhat attenuated ends, and slightly thickened, darkened hila. Six isolates were obtained from necrotic tissue of leaf spots and cultured on potato dextrose agar at 25°C. After incubation for 14 days, colony surfaces were white to pinkish. The colony diameter increased by 12 mm after 21 days' incubation. Hyphae were hyaline, septate, and branched. Conidiophores grew individually or fascicularly. The symptoms and morphological characteristics were consistent with previous descriptions (1,2), and the fungus was identified as Phacellium veronicae (Pass.) (U. Braun 1990). The internal transcribed spacer (ITS) region of the nuclear rDNA was amplified using primers ITS4/ITS5 (3). The ITS was identical among all six isolates (HE995799) and 98% identical to that of P. veronicae (JQ920427, HQ690097). Pathogenicity was confirmed by spraying five 1-year-old V. sibirica seedlings with a conidial suspension (106 conidia/ml) of each isolate and five seedlings with sterile water as a control treatment. Plants were grown in the greenhouse at 20 to 25°C and were covered with plastic bags to maintain humidity on the foliage for 72 h. After 15 days, the same symptoms appeared on the leaves as described earlier for the field-grown plants; the control plants remained healthy. The same fungus was reisolated from the leaf spots of inoculated plants. Currently, the economic importance of this disease is limited, but it may become a more significant problem, as the cultivated area of V. sibirica is increasing. To our knowledge, although P. veronicae was recorded on the other species of Veronica (V. austriaca, V. chamaedrys, V. grandis, V. longifolia, V. paniculata, and V. spicata ssp. incana) in Europe (Germany, Denmark, Ireland, Romania) and V. wormskjoldii in North America (Canada) (1), this is the first report of V. sibirica leaf spots caused by P. veronicae in the world, and it is a new disease in China. References: (1) U. Braun. A monograph of Cercosporella, Ramularia and allied genera (phytopathogenic Hyphomycetes) 2, IHW-Verlag, Germany, 1998. (2) U. Braun. Nova Hedwigia 50:499, 1990. (3) D. E. L. Cooke et al. Mycol. Res. 101:667, 1997. (4) Jiangsu New Medical College. Dictionary of Chinese Materia Medica. Shanghai: Shanghai Scientific and Technical Publishers, China, 1977.
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