Academic literature on the topic 'Canada – Relations extérieures – 20e siècle'

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Journal articles on the topic "Canada – Relations extérieures – 20e siècle"

1

Rouillard, Jacques, and Jean-François Rouillard. "Salaires et productivité du travail au Canada depuis le début du 20e siècle : les travailleurs bénéficient-ils de la croissance économique?" Hors-thème 70, no. 2 (June 30, 2015): 353–80. http://dx.doi.org/10.7202/1031489ar.

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Abstract:
Notre article évalue la croissance des salaires réels des travailleurs au Canada du début du 20e siècle jusqu’à 2013, en considérant à la fois les salaires des travailleurs syndiqués et non syndiqués. Cette évolution est mise en relation avec la hausse de la productivité du travail afin de vérifier la théorie de l’économiste Robert Solow voulant que la croissance des salaires réels progresse au même rythme que la productivité du travail. Nous relevons l’évolution des salaires en trois temps selon les modes dominants de régulation des relations de travail : 1900-1939, 1940-1979 et 1980-2013. La première phase, celle du libéralisme, est marquée par la négociation individuelle des conditions de travail et l’amorce de la syndicalisation. La deuxième se situe dans la mouvance keynésienne et est caractérisée par le militantisme syndical et l’aide de l’État. La troisième, qui s’inscrit dans l’affirmation du néolibéralisme, voit le recul du syndicalisme et de l’appui apporté par les gouvernements. De notre analyse, il ressort que trois importants facteurs influencent la détermination des salaires : 1-la croissance économique ; 2-l’action de l’État ; et 3- le militantisme syndical. Notre recherche montre que les salaires réels moyens des travailleurs au Canada n’ont guère augmenté au-delà de l’inflation depuis les trois dernières décennies malgré un accroissement de la productivité du travail. Ce quasi-gel du pouvoir d’achat des travailleurs est notamment attribuable à des transformations du marché du travail, à l’érosion du rapport de force des salariés dans les entreprises et aux valeurs néolibérales qui s’imposent auprès des gouvernements. En revanche, les années antérieures se présentent sous un tout autre jour puisque les salariés profitent de la croissance économique et de la hausse de la productivité du travail. Depuis la Deuxième Guerre mondiale, leur pouvoir d’achat fait plus que doubler, en même temps qu’ils peuvent bénéficier d’une réduction de leurs heures de travail et de nombreux autres avantages sociaux. Cet avancement est le résultat de la forte croissance économique, de la hausse du taux de syndicalisation et de politiques gouvernementales keynésiennes axées sur la stimulation de la consommation. De 1901 à 1940, les salariés profitèrent également du développement industriel, même si les rapports qui déterminent l’embauche et les conditions de travail sont surtout de nature individuelle basés sur les lois du marché. Au cours de cette période, l’action de l’État demeure marginale, mais des syndicats réussissent à imposer la négociation collective.
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Farr, David M. L. "Presidential Address: The View of History in the Making of Canada’s External Policies." Historical Papers 13, no. 1 (April 20, 2006): 1–17. http://dx.doi.org/10.7202/030473ar.

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Abstract:
Résumé On se propose ici de discuter de la place qu'a tenue l'histoire dans l'élaboration de la politique extérieure du pays en se référant principalement aux années d'après la deuxième guerre mondiale. L'auteur s'arrête d'abord aux "leçons" qui se dégagent de cette histoire, tant celles qui sont issues de la mémoire collective que celles qui résultent d'un événement particulier. Dans le premier groupe figurent l'importance de l'unité nationale, le besoin de faire contrepoids aux Etats-Unis et la conscience grandissante du rôle d'intermédiaire que le pays est appelé à jouer de par la place singulière qu'il a toujours occupée entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis. Au chapitre des événements, l'auteur s'attarde à la dépression des années trente, à l'échec de la Ligue des Nations, aux accords de Munich et aux relations quasi fraternelles que le Canada entretient avec son voisin du sud depuis le début du siècle. Au fil des ans et des événements, un certain style de diplomatie s'est façonné. Ce style, il est empirique et discret, axé sur l'immédiat, préoccupé du juste milieu et reconnu pour sa grande capacité d'adaptation. Maints exemples sont apportés à l'appui de l'une ou l'autre caractéristique et l'auteur conclut en souhaitant que les documents, en particulier ceux qui se rapportent aux affaires extérieures du pays, deviennent de plus en plus accessibles aux chercheurs. Notre connaissance du passé en dépend.
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3

Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Abstract:
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
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Dissertations / Theses on the topic "Canada – Relations extérieures – 20e siècle"

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Hamelin, Patrice. "AMITIÉ, ADMIRATION, DOUTES ET INTÉRÊTS DOMESTIQUES : LES MEMBRES DU CONGRÈS AMÉRICAIN FACE AU CANADA, 1945-1958." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/29160/29160.pdf.

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Chalifour, Jean-René. "Le Canada et le BRIC : l'importance des opportunités de voix dans les organisations internationales." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27917/27917.pdf.

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Therrien, Marie-Josée. "Au-delà des frontières, l'architecture des chancelleries canadiennes, 1930-1992." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1999. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp02/NQ39399.pdf.

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François-Richard, Nathalie. "La France et le Québec, 1945-1967, dans les archives du MAE." Paris 8, 1998. http://www.theses.fr/1998PA081443.

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Abstract:
Entre 1945 et 1960, la direction generale des relations culturelles prend progressivement en main l'organisation et le financement de toutes les manifestations theatrales, musicales, artistiques, ainsi que la diffusion des films et des livres francais. Le gouvernement francais soutient aussi activement, a montreal, les colleges francais stanislas et marie de france et repond aux besoins croissants des universites du quebec en professeurs, charges de mission et bourses. Par contre, le conservatisme tres etroit du premier ministre du quebec, maurice duplessis, et les crises nombreuses de la ive republique francaise compromettent les relations politiques francoquebecoises jusque 1960. Les annees soixante constituent veritablement l'age d'or des relations franco-quebecoises. La revolution tranquille du quebec et la creation de la delegation generale du quebec a paris, l'interet du general de gaulle pour ce "pays" modifient les donnees. Accords ou ententes, d'abord educatifs et culturels, rendent officielle la cooperation bilaterale mais plongent les relations franco-quebecoises dans le contexte plus conflictuel des relations triangulaires paris - quebec - ottawa. Enfin, a partir de 1956, le quai d'orsay axe sa diplomatie vers le tout economique et technique : expositions francaises de montreal de 1963 et 1967, comite france-technique et echanges de stagiaires administratifs (ena) ou techniques. De grandes entreprises francaises ( cge, renault, schneider. . . ) participent au gigantesque effort d'industrialisation et de grands travaux du quebec. En juillet 1967, le "vive le quebeclibre!" du general de gaulle marque la reconnaissance internationale du probleme quebecois. Les accords johnson-peyrefitte de septembre 1967 multiplient par quatre les moyens de la cooperation. 1967 marque donc le couronnement d'une volonte politique francaise d'intensifier et prendre en main des relations qui n'etaient absolument pas a caractere naturellement politique
From 1945 to 1960, the general department for french cultural relations gradually took charge of the organization and financing of all theatrical, musical and artistic events as well as of french films and books circulation. The french government also supported actively stanislas and marie de france french schoools in montreal and answered the universities' increasing needs of teachers, representatives and grants in quebec. On the other hand, narrow-mindedness and conservatism of maurice duplessis, quebec's prime minister, and the ivth republic's numerous crisis jeopardized quebec french political relations until 1960. Quebec french relations really were at their best during the sixties. Quebec's quiet revolution, the opening of quebec's consulate in paris and de gaulle's interest in that "country" brought about change. The bilateral cooperation became official through, first, educative and cultural agreements but then, paris-quebec-ottawa relations grew more bitter. Finally, the french foreign office exlusively centered its diplomacy on economical and technical relations, which resulted in french exhibitions in montreal in 1963 and at the world fair in 1967, french-technical committee and administrative or technical trainees. Big french firms (cge, renault, schneider. . . ) took part in quebec's industrialization and public works. In july 1967, de gaulle's own words "vive le quebec libre !" enabled quebec to be acknowledged in the world. The cooperation means were increased a fourfold thanks to the johnson-peyrefitte agreements in september. Therefore, the year 1967 crowned the french policy to develop more common relations, which were not naturally political
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Saint-Louis, Virginie. "Les organisations non gouvernementales et l'État : leurs relations dans le cadre de la politique canadienne de développement international." Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010289.

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Abstract:
Les organisations non gouvernementales apparaissent à l'heure actuelle comme des acteurs des relations internationales dont le rôle dans l'aide en font la troisième voie officielle d'acheminement de l'assistance internationale. La crédibilité qu'elles ont acquise dans ce domaine s'est traduite par l'entretien de relations plus étroites avec les gouvernements. Dans ce cadre, le canada fut le premier pays de l'OCDE (organisation de coopération et de développement économique à institutionnaliser ses liens avec les ONG en mettant en place au sein de l'agence canadienne de développement international (ACDI) des mécanismes de financement de leurs activités. La présente recherche analyse les relations qui s'élaborent entre les pouvoirs publics et les organisations non gouvernementales. Elle étudie les conditions spécifiques de leur coopération (fondements et formes des relations) et les implications qui en résultent tant pour la politique d'aide publique que pour les organisations elles-mêmes. L'analyse de cette collaboration nous a permis de confirmer deux hypothèses ses principales: - La première avance la complémentarité des aides publique et privée. En effet, pour des raisons structurelles et politiques, les gouvernements sont dans l'incapacité de rejoindre les populations les plus démunies du tiers-monde. Les ONG assurent une diversité géographique et sectorielle de l'aide canadienne et augmentent à faibles coûts la visibilité du Canada dans ces pays ; elles permettent aussi aux pouvoirs publics d'obtenir grâce à des activités d'éducation au développement le soutien de la population canadienne a leur politique de coopération internationale.
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MacFarlane, John. "Ernest Lapointe : Quebec's voice in canadian foreign policy, 1921-1941." Doctoral thesis, Université Laval, 1995. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26356.

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Genest, Philippe, and Philippe Genest. "La construction de l'idée de la souveraineté territoriale par le discours politique : étude de cas du gouvernement du Canada par rapport à l'Arctique." Master's thesis, Université Laval, 2011. http://hdl.handle.net/20.500.11794/22368.

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Abstract:
De toutes les manifestations du réchauffement climatique planétaire, une des plus évidentes est sans aucun doute la fonte de la calotte polaire arctique. À mesure que les glaces pluriannuelles de l’Arctique disparaissent, la dernière frontière géostratégique de la Terre émerge. L’ouverture du mythique passage du Nord-Ouest laisse alors présager l’accès aux ressources naturelles dont regorge l’Arctique et ramène à la vie le fantasme des explorateurs des derniers siècles de raccourcir par plusieurs milliers de kilomètres le passage maritime entre l’Asie et l’Europe. Depuis quelques années, ce scénario a ravivé le débat sur l’Arctique et les questions de souveraineté qui l’entourent, un sujet sensible pour le Canada, notamment en raison de ses significations identitaires. Le théâtre arctique est donc la scène de plusieurs revendications territoriales, mais également de nombreuses spéculations sur la manière dont celles-ci se régleront. Conséquemment, les discours politiques des représentants du gouvernement canadien ont été nombreux dans les dernières années à affirmer haut et fort la vision souveraine du Canada sur sa portion de l’Arctique. Le projet de recherche qui suit vise à étudier le rôle que ces discours jouent dans la construction sociale de la souveraineté du Canada en Arctique.
De toutes les manifestations du réchauffement climatique planétaire, une des plus évidentes est sans aucun doute la fonte de la calotte polaire arctique. À mesure que les glaces pluriannuelles de l’Arctique disparaissent, la dernière frontière géostratégique de la Terre émerge. L’ouverture du mythique passage du Nord-Ouest laisse alors présager l’accès aux ressources naturelles dont regorge l’Arctique et ramène à la vie le fantasme des explorateurs des derniers siècles de raccourcir par plusieurs milliers de kilomètres le passage maritime entre l’Asie et l’Europe. Depuis quelques années, ce scénario a ravivé le débat sur l’Arctique et les questions de souveraineté qui l’entourent, un sujet sensible pour le Canada, notamment en raison de ses significations identitaires. Le théâtre arctique est donc la scène de plusieurs revendications territoriales, mais également de nombreuses spéculations sur la manière dont celles-ci se régleront. Conséquemment, les discours politiques des représentants du gouvernement canadien ont été nombreux dans les dernières années à affirmer haut et fort la vision souveraine du Canada sur sa portion de l’Arctique. Le projet de recherche qui suit vise à étudier le rôle que ces discours jouent dans la construction sociale de la souveraineté du Canada en Arctique.
Of all the manifestations of global warming, one of the most obvious is undoubtedly the melting of the Arctic polar icecap. As the multi-year ices of the Arctic disappear, the last geostrategic frontier of the Earth emerges. The opening of the mythical Northwest Passage foreshadows access to the natural resources which abound in the Arctic, and resuscitates the unrealised desires of past centuries’ explorers to shorten by several thousand miles the sea passage between Asia and Europe. In recent years, this scenario has reignited the debate over the Arctic, as well as issues of sovereignty surrounding it, a sensitive topic for Canada, particularly because of the Arctic’s role in its meanings of identity. The Arctic theatre is therefore the scene of various territorial claims, but also of several speculations as to how they will be settled. As a result, political discourses of Canadian government officials have been numerous in recent years to affirm loud and clear the sovereign vision of Canada on its portion of the Arctic. The following research aims to study the role played by these discourses in the social construction of Canada’s sovereignty in the Arctic.
Of all the manifestations of global warming, one of the most obvious is undoubtedly the melting of the Arctic polar icecap. As the multi-year ices of the Arctic disappear, the last geostrategic frontier of the Earth emerges. The opening of the mythical Northwest Passage foreshadows access to the natural resources which abound in the Arctic, and resuscitates the unrealised desires of past centuries’ explorers to shorten by several thousand miles the sea passage between Asia and Europe. In recent years, this scenario has reignited the debate over the Arctic, as well as issues of sovereignty surrounding it, a sensitive topic for Canada, particularly because of the Arctic’s role in its meanings of identity. The Arctic theatre is therefore the scene of various territorial claims, but also of several speculations as to how they will be settled. As a result, political discourses of Canadian government officials have been numerous in recent years to affirm loud and clear the sovereign vision of Canada on its portion of the Arctic. The following research aims to study the role played by these discourses in the social construction of Canada’s sovereignty in the Arctic.
De todas las manifestaciones del calentamiento global, una de las más obvias es el derretimiento del Ártico. A medida que los hielos plurianuales del Ártico desaparecen, surge la última frontera geoestratégica de le Tierra. El mítico paso del Noroeste hace posible el acceso a los recursos naturales que abundan en el Ártico, y vuelve realidad el sueño de los exploradores de siglos pasados de reducir miles de kilómetros de pasaje marítimo entre Asia y Europa. En los últimos años, este escenario ha intensificado el debate acerca del Ártico y las cuestiones de soberanía que lo rodean, un tema sensible para Canadá, especialmente por el significado identitario. El teatro ártico es entonces el escenario de varias reivindicaciones territoriales, pero también de muchas especulaciones sobre la manera en que éstas serán resueltas. Como consecuencia, en los últimos años han habido diversos discursos políticos por parte de los representantes del gobierno canadiense para reafirmar de manera clara su soberanía en el Ártico. Este proyecto de investigación tiene como objetivo estudiar el papel que éste discurso de soberanía desempeña en la construcción social de la soberanía de Canadá en el Ártico.
De todas las manifestaciones del calentamiento global, una de las más obvias es el derretimiento del Ártico. A medida que los hielos plurianuales del Ártico desaparecen, surge la última frontera geoestratégica de le Tierra. El mítico paso del Noroeste hace posible el acceso a los recursos naturales que abundan en el Ártico, y vuelve realidad el sueño de los exploradores de siglos pasados de reducir miles de kilómetros de pasaje marítimo entre Asia y Europa. En los últimos años, este escenario ha intensificado el debate acerca del Ártico y las cuestiones de soberanía que lo rodean, un tema sensible para Canadá, especialmente por el significado identitario. El teatro ártico es entonces el escenario de varias reivindicaciones territoriales, pero también de muchas especulaciones sobre la manera en que éstas serán resueltas. Como consecuencia, en los últimos años han habido diversos discursos políticos por parte de los representantes del gobierno canadiense para reafirmar de manera clara su soberanía en el Ártico. Este proyecto de investigación tiene como objetivo estudiar el papel que éste discurso de soberanía desempeña en la construcción social de la soberanía de Canadá en el Ártico.
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Riccioli, Michael Arthur. "Les relations anglo-turques 1939-1980." Paris 3, 1994. http://www.theses.fr/1994PA030193.

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Abstract:
A) turquie: les relations anglo-turques ont une longue histoire qui remonte a l'ere des capitulations accordees par la sublime porte a l'angleterre. C'est en 1580 que l'empire ottoman echangea avec l'angleterre les premieres lettres diplomatiques. Les relations anglo-turques reprirent dans les annees trente apres un long travail dans les annees vingt, pour un retablissement de l'amitie brisee par la premiere guerre mondiale. Cette reprise fut concretisee par la signature du traite tripartite anglo-franco-ture le 19 octobre 1939. Tout au long de la deuxieme guerre mondiale, la turquie resta non-belligerante. Entre-temps elle signa un traite de non-agression avec son voisin, la bulgarie et plus tard un autre traite avec l'allemagne nazie. La reunion secrete d'adana entre churchill et inonu devait convaincre le premier britannique de l'etat defavorable dans lequel se trouvait l'armee turque. Il y eut aussi pendant la guerre, l'affaire ciceron concernant des fuites d'informations qui se produisirent a l'ambassade de grande-bretagne a ankara et qui fit surface en 1944. Les renseignements etaient recuperes par les allemands. La periode immediate d'apres-guerre fut marquee par une serieuse deterioration des relations sovieto-turques. B) chypre: en 1959, la conference de zurich et plus tard celle de londres allait transformer chypre en une republique independante au sein du commonwealth. Le 15 juin 1974, le gouvernement de l'archeveque makarios fut renverse et la turquie debarquait a chypre, en tant que garant, sans la participation de la grece et du royaume-uni, les deux autres pays, garants, pour venir au secours de chypriotes turcs. En 1975 ils diviserent l'ile en deux et en 1983, rauf denktas proclama la republique turque du nord de chypre et devint son president. C) les relations anglo-turques ont traverse au fil des siecles de nombreuses turbulences diplomatiques et economiques, mais l'esprit des relations cordiales a toujours su reprendre le dessus. Quant a l'affaire chypriote, l'attitude respective des conservateurs britanniques (protures) et celle des travaillistes britanniques (philhellenes) a ete d'un tres net clivage, du moins jusqu'a la proclamation de la republique de chypre en 1960
A) turkev: the first anglo-turkish relations were established in 1580 between elizabeth i and sultan murad iii. The treaty signed granted certain privileges known as the capitulations. At the outbreak of world war ii, turkey abandoned the policy of association with germany and returned to the older tradition of friendship with great britain and on 19 october 1939, great britain, france and turkey signed a treaty of mutual assistance. Turkey was to adopt an attitude of armed neutrality throughout the war and stood as a "rampart" against a possible german invasion. In the meantime, turkey signed a treaty of non-aggression with bulgaria and later concluded a similar treaty with nazi germany. The secret meeting which took place between winston churchill and ismet inonu in adana was to convince the british government that turkey was not in a position to enter the war. Mention must also be made of the cicero case. Cicero (elyesa bazna) was the valet of sir hughe knatchbullhugessen (the british ambassador to turkey) and he photographed the ambassador's secret documents and sold rolls of film to the germans. On 19 march 1945, the russians denounced the russo-turkish treaty of friendship signed in 1925. B) cyprus: the ottomans conquered the island of cyprus in 1571 and it remained in their hands until 1878 when the administration was turned over to great britain who used it as a base, on condition that the british would contribute to the defence of the ottoman empire against russian attacks. In 1960 cyprus became an independent republic and a member of the commonwealth of nations. In 1974 the cypriot national guard overthrew the government of archbishop makarios and took control of the island, one of the guarantor powers, took action unilaterally (britain had declined a joint intervention) and invaded the island of cyprus to safeguard the lives and interests of the cypriot turks. Cyprus has remained a divided island ever since
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Istasse-Moussinga, Cécile-Marie. "L'Afrique noire dans les relations franco-britanniques de 1940 à 1950." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040175.

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Abstract:
A l'origine des relations franco-britanniques en Afrique noire, il y a le processus de pénétration et d'établissement de ces deux pays sur le continent africain. Jusqu’à la veille de la seconde guerre mondiale, les rapports entre la France et la Grande-Bretagne seront empreints de méfiance. En 1940, l'armistice franco-allemand se traduit en Afrique noire par une division marquant un tournant dans les relations franco-britanniques. Il y aura des rapports de force entre Londres et Vichy en A. O. F- Togo et en cote française des Somalis. Ensuite, les Britanniques s'investiront dans une collaboration de guerre avec la France libre de Charles de Gaulle, en A. E. F - Cameroun. 1942 verra la fin de cette cohabitation ambiguë. Les deux pays entreprendront alors une collaboration coloniale motivée par de nouvelles données idéologiques et politiques. Jusqu’en 1950, les deux pays s'opposeront à ces influences en offrant un front commun ou en octroyant une autonomie limitée à leurs colonies. Cependant, bien qu'elles aient été d'accord pour reconnaitre qu'une collaboration coloniale était nécessaire, la France et la Grande-Bretagne n'auront pas réussi à éviter un certain nombre d'échecs dus aux contradictions et aux réalités de leurs systèmes d'administration
At the beginning of the franco-british relations in black Africa, there was the process of their establishment on the African continent. Until the Second World War, the relations between France and Great Britain were impressed by distrust. . In 1940, the franco-german armistice led to the division of France and its empire. The, Great Britain had to deal with the hostility of the Vichy government in French West Africa and French Somaliland. Meanwhile, in French Equatorial Africa, the government of London established a war collaboration with free France. 1942 marked the end of this ambiguous cohabitation. France and Great Britain were then to undertake a colonial collaboration marked by the new ideological and political influences. Until 1950, the two countries had to fight against these anti-colonial influences by elaborating a common policy to oppose to the United Nations. They also tried to overcome african nationalism by giving little autonomy to their colonies. Although France and Great Britain had recognised that the colonial collaboration was a necessity, they did not prevent some failures due to the realities of their colonial administration systems
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Krapoth, Stéphanie. "France - Allemagne : représentations réciproques du lendemain de la première guerre mondiale au milieu des années 60. Manuels scolaires et journaux satiriques." Besançon, 2000. http://www.theses.fr/2000BESA1003.

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Abstract:
La thèse aborde le thème des relations franco-allemandes sous l'angle des représentations réciproques. A l'étude des manuels scolaires de géographie et d'histoire et de deux journaux satiriques français et allemand, le questionnement porte sur les aspects concrets et les mécanismes sous-jacents, déterminants pour cette "hétéro-imagerie" réciproque, entre 1919 et le milieu des années 1960. Articulée suivant les deux types de sources, l'étude se penche sur quelques thèmes significatifs de la géographie et de l'historiographie scolaires, pour rendre compte des représentations de l'Autre qu'ils recèlent : "portraits de peuples" dans les manuels de géographie ; Germains et Gaulois, Louis XIV et Frédéric II de Prusse, et guerre de 14-18, dans les manuels d'histoire. Le diagnostic final concerne entre autres l'inertie sensible de l'univers des représentations transmises par les manuels. . .
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More sources

Books on the topic "Canada – Relations extérieures – 20e siècle"

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The Japan that can say no. New York: Simon & Schuster, 1992.

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Les mutations de l'économie mondiale du début du 20e siècle aux années soixante-dix. Paris: Ellipses, 2004.

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3

Shenstone, Michael. Accroissement et mouvements de la population mondiale: À l'aube du XXIe siècle. Ottawa, Ont: Ministère des affaires étrangères et du commerce international, 1997.

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4

The decline of the world Communist movement: Moscow, Beijing, and Communist parties in the West. Boulder: Westview Press, 1987.

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5

Mauduy, Jacques. États-Unis, la superpuissance. Paris: Ellipses, 2004.

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6

V, Mulcahy Kevin, ed. Presidents and foreign policy making: From FDR to Reagan. Baton Rouge: Louisiana State University Press, 1986.

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7

Canada. Ministère des affaires étrangères et du commerce international., ed. Le Canada et l'Asie méridionale: Partenaires du XXIe siècle. Ottawa, Ont: Ministère des affaires étrangères et du commerce international, 2001.

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8

Forum on Foreign Policy (Canada). International institutions in the twenty-first century : can Canada help to meet the challenge? : report of the Second Annual National Forum =: Les institutions internationales au XXIe siècle :le Canada peut-il aider à relever le défi? : rapport du deuxième forum national annuel. 1995.

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9

Fondation canadienne pour les Amériques, ed. Vers une nouvelle stratégie mondiale: La politique canadienne dans les Amériques à l'aube du XXIe siècle. Ottawa, Ont: Fondation canadienne pour les Amériques = Canadian Foundation for the Americas, 1994.

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10

Les Etats-Unis, gendarmes du monde : Pour le meilleur et pour le pire. J'ai lu, 2003.

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