To see the other types of publications on this topic, follow the link: Canard de barbarie.

Journal articles on the topic 'Canard de barbarie'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 37 journal articles for your research on the topic 'Canard de barbarie.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

BAEZA, E., N. RIDEAU, P. CHARTRIN, S. DAVAIL, R. HOO-PARIS, J. MOUROT, G. GUY, et al. "Canards de Barbarie, Pékin et leurs hybrides : aptitude à l’engraissement." INRAE Productions Animales 18, no. 2 (May 15, 2005): 131–41. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.2.3516.

Full text
Abstract:
Le canard de Barbarie présente une meilleure aptitude à la stéatose hépatique que le canard Pékin qui présente un engraissement périphérique au niveau des tissus adipeux et musculaires plus important. En effet, la lipogénèse hépatique est plus efficace chez le canard de Barbarie. Par contre, sa capacité à exporter les lipides hépatiques est inférieure. Par ailleurs, l’activité de la lipoprotéine lipase est également plus faible chez le canard de Barbarie, en particulier en fin de gavage, ce qui favorise le retour des triglycérides sanguins vers le foie. Les canards hybrides, hinnies et mulards présentent toujours des valeurs intermédiaires à celles des espèces parentales pour l’ensemble de ces paramètres à l’exception de la capacité d’ingestion et du poids du foie gras pour lesquels ils bénéficient d’un effet d’hétérosis.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Josée Bernice HOUESSIONON, Finagnon, Gabriel Assouan BONOU, Gbénagnon Serge AHOUNOU, Mahamadou DAHOUDA, Tossou Jacques DOUGNON, Guy Apollinaire MENSAH, Sallou BANI KOGUI, and Issaka YOUSSAO ABDOU KARIM. "Caractéristiques de l’élevage du canard de Barbarie dans les zones agro-écologiques du Sud-Bénin." Journal of Applied Biosciences 145 (January 31, 2020): 14862–79. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.145.3.

Full text
Abstract:
Objectif : L’élevage du canard de Barbarie est moins développé au Bénin comparativement aux poulets et à la pintade. L’objectif de l’étude est de caractériser cet élevage dans le Sud du Bénin. Méthodologie et résultats : Ainsi, une enquête a été réalisée de Juin 2015 à Août 2016 dans 213 élevages de canard de Barbarie répartis dans trois zones agro-écologiques: dépression, pêcheries et terres de barre. L’élevage de canard de Barbarie est pratiqué par plusieurs catégories socio-professionnelles dont l’âge varie de 39 à 42ans. Il est plus pratiqué par les hommes dans les zones des pêcheries (67,86 %) et des terres de barre (78,50 %) et plus par les femmes (59,55 %) dans la zone de dépression (p<0,05). Les éleveurs de canard sont majoritairement non scolarisés et la plupart des élevages ont été créés entre 2000 et 2016. La proportion des aviculteurs qui élèvent les canards de Barbarie en divagation dans la zone de dépression (90,91 %) est significativement plus élevée (p<0,05) que celles des zones des pêcheries (52,38 %) et des terres de barre (63,55 %). Les éleveurs qui distribuent des céréales, des sous-produits agricoles et des restes de cuisine aux canards dans la zone de dépression (100 %) et dans la zone des pêcheries (95,24 %) sont plus fréquents (p<0,05) que ceux de la zone des terres de barre (69,16 %). La fréquence des éleveurs de la zone de dépression (31,82 %) qui font l’élevage des canards de Barbarie pour la vente et l’auto consommation est inférieure (p<0,05) à celles des zones des pêcheries (57,14 %) et des terres de barre (67,29 %). Dans la zone des terres de barre, la proportion des éleveurs (63,21 %) qui soigne les canards est supérieure (p<0,05) à celle des zones des pêcheries (46,43 %) et de dépression (36,36 %). A l’exception de l’alimentation, les canards ne sont pas exigeants pour l’habitat ; ils croissent mieux et résistent plus aux pathologies comparativement aux poulets dans les trois zones de l’étude. Conclusion et application : L’élevage des canards de Barbarie dans le Sud du Bénin est de type familial avec une diversité observée dans le mode d’élevage, l’alimentation et le suivi sanitaire dans les différentes zones agro écologiques. Les résultats contribueront à la mise en place d’un programme d’amélioration des systèmes d’élevage. Mots clés : Elevage ; Canard de Barbarie ; Zone agro-écologique ; Bénin ABSTRACT Background and objective: Muscovy duck breeding is less developed in Benin compared to chickens and guinea fowl. The study aimed to characterize this breeding in South-Benin. Methodology and results: A survey was carried out from June 2015 to August 2016 in 213 Muscovy duck farms in three agro-ecological zones: depression, fisheries and bar lands. The Muscovy duck breeding is practiced by several socio-economic professional categories whose age varies from 39 to 42 years. It is more practiced by men in fisheries (67.86%) and bar lands (78.50%) zones and more by women (59.55%) in depression zone (p<0.05). Duck farmers are largely out-of-school persons and most of the farms were created between 2000 and 2016. The proportion of poultry producers who breeds Muscovy ducks in free range in depression zone (90.91%) is significantly higher (p<0.05) than those in fisheries (52.38%) and bar lands (63.55%) zones. Breeders giving cereals, by-products and kitchen leftovers in depression zone (100%) and in fishery zone (95.24%) are more frequent (p<0.05) than those in bar lands area (69.16%). The frequency of breeders in depression zone (31.82%) who rear Muscovy ducks for sale and self-consumption is lower (p<0.05) than those in fisheries (57.14%) and in bar lands (67.29%) zones. In bar lands zone, the proportion of breeders (63.21%) who gives ducks medical care is higher (p<0.05) than that of fisheries (46.43%) and depression (36.36%) zones. Frequencies of breeders treating ducks by self-medication in bar lands (50.47%) and fisheries (40.24%) zones are higher (p<0.05) than that of depression (4.55%). A part from feeding, ducks are not exigent for habitat; they grow better and are more resistant to pathologies compared to chickens in the three study areas. Conclusion and application: The Muscovy duck breeding in the three agro-ecological zones is of family type with a diversity observed in the farming method, feeding and health monitoring in the different agro-ecological zones. The results will contribute to set a program improving the breeding systems. Keywords: Breeding; Muscovy duck; Agro-ecological zone; Benin.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Salichon, MR, G. Guy, D. Rousselot, and JC Blum. "Composition des 3 types de foie gras : oie, canard mulard et canard de Barbarie." CrossRef Listing Of Deleted DOIs 43, no. 2 (1994): 213–20. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19940210.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Salichon, MR, G. Guy, D. Rousselot, and JC Blum. "Composition des 3 types de foie gras : oie, canard mulard et canard de Barbarie." Annales de Zootechnie 43, no. 2 (1994): 213–20. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19940210.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

BAEZA, E. "La viande de canard : production et principales caractéristiques." INRAE Productions Animales 8, no. 2 (April 22, 1995): 117–25. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.2.4118.

Full text
Abstract:
Après évaluation de l’importance économique de la viande de canard en France (production de 128 000 tonnes en 1993), les principales caractéristiques de cette viande de volaille sont décrites. Le canard de Barbarie représente l’essentiel de cette production, du fait d’un fort développement de ses masses musculaires et d’un engraissement moindre que le canard Pékin. La viande de canard est maigre, comme celle du poulet (2% de lipides dans le filet) et riche en acides gras polyinsaturés. Elle se distingue des autres viandes de volailles par sa couleur rouge. En effet, les muscles de canard sont constitués essentiellement de fibres musculaires rouges (70 à 90% dans le filet). Cette particularité structurale détermine en partie les caractéristiques technologiques et organoleptiques de la viande (pH, couleur, tendreté, jutosité, flaveur).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

BRUN, J. M., M. M. RICHARD, C. MARIE-ETANCELIN, R. ROUVIER, and C. LARZUL. "Le canard mulard : déterminisme génétique d’un hybride intergénérique." INRAE Productions Animales 18, no. 5 (December 18, 2005): 295–308. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.5.3534.

Full text
Abstract:
Le mulard, qui assure plus de 90 % de la production française de foie gras, est un hybride intergénérique entre le canard de Barbarie et la cane commune. L’hybride réciproque (canard commun x cane Barbarie) ne présente pas d’intérêt zootechnique. Depuis les années 80, le mulard est obtenu par insémination artificielle, avec un taux de fertilité voisin de 70 % à condition d’inséminer les canes deux fois par semaine à cause de la courte durée de la période fertile en hybridation. L’article envisage d’abord les aspects zoologiques de cette hybridation (cytogénétique, accouplement, fertilisation et développement embryonnaire, stérilité des hybrides). Il aborde ensuite, d’un point de vue zootechnique, les performances de reproduction de la cane commune mère du mulard (ponte, fertilité et durée de la période fertile, éclosabilité) et les caractères du mulard (croissance, couleur du plumage, comportement, efficacité alimentaire, composition corporelle, aptitude au gavage et qualité des produits). L’objectif est d’abord de décrire les spécificités de cet hybride relativement aux espèces parentales et lorsque c’est possible (présence de l’hybride réciproque), d’interpréter ses performances en fonction des contributions parentales. Il s’agit ensuite de réaliser une synthèse sur les estimées des paramètres génétiques des caractères des mulards dans les populations parentales et des corrélations génétiques entre performances en pur et en croisement. Ces paramètres conditionnent les possibilités d’amélioration du mulard par sélection génétique dans ces souches. Enfin, sont présentés des éléments de génétique moléculaire (marqueurs génétiques, cartographie comparée).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Guy, G., D. Rousselot-Pailley, and D. Gourichon. "Comparaison des performances de l'oie, du canard mulard et du canard de Barbarie soumis au gavage." Annales de Zootechnie 44, no. 3 (1995): 297–305. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19950308.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

GUEMENE, D., G. GUY, L. MIRABITO, J. SERVIERE, and J. M. FAURE. "Bien-être et élevage des palmipèdes." INRAE Productions Animales 20, no. 1 (March 6, 2007): 53–58. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2007.20.1.3435.

Full text
Abstract:
Différentes espèces et génotypes d’oie et de canards domestiques sont élevés en France à des fins de production de foie gras et/ou de viande. La production d’oie est marginale et les espèces les plus concernées sont respectivement le canard de barbarie (canard à rôtir) et le canard mulard mâle (production de foie gras et de viande). Les conditions d’élevage des palmipèdes ont beaucoup évolué et une grande diversité de systèmes de production coexiste. Les soucis de «&nbsp;bien-être&nbsp;» associés à l’élevage des canards sont, pour l’essentiel, liés aux conditions d’élevage (claustration, cage, densité, sol, accès à l’eau) et au recours à l’épointage et au dégriffage pour prévenir les blessures et les conséquences du picage. La production de foie gras focalise toutefois la majorité des critiques. Pourtant, les données de la littérature et les résultats des travaux conduits, avec des approches expérimentales variées, ne valident pas les arguments permettant d’affirmer que cette pratique nuit gravement au bien-être des palmipèdes, au sens où elle serait source de pathologies, lésions, stress et de douleur. L’élevage en cage individuelle empêche les canards d’adopter certaines postures et d’exprimer certains comportements considérés comme des priorités comportementales, mais l’hébergement collectif idéal reste à mettre au point. Dans ce but, des investigations complémentaires sont entreprises et devraient contribuer à l’amélioration de l’état de bien-être des palmipèdes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

LECLERCQ, B., H. De CARVILLE, and G. GUY. "Pertes de poids du canard de Barbarie mâle lors du jeûne avant abattage." INRAE Productions Animales 2, no. 5 (December 10, 1989): 353–56. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.5.4429.

Full text
Abstract:
Au cours de deux essais on a mesuré la perte de poids vif de canards de Barbarie en fonction de plusieurs paramètres : présence ou absence d’abreuvement, pesée en cages de transport ou individuelle, température ambiante. Les animaux ont été mis à jeun pendant 8 heures puis placés en cages de transport. La reproductibilité des pertes au cours des 8 premières heures de jeûne est médiocre. En revanche les pertes de poids en cages sont très reproductibles. Elles peuvent être considérées comme linéaires en fonction du temps ; la décroissance étant de 0,20 % par heure. Une température ambiante de l’ordre de 20°C accentue ces pertes par rapport à celle de 10°C. L’abreuvement n’exerce aucune influence significative.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

HOUESSIONON, Finagnon Josée Bernice, Gabriel Assouan BONOU, Gbénagnon Serge AHOUNOU, Mahamadou DAHOUDA, Tossou Jacques DOUGNON, Guy Apollinaire MENSAH, Sallou BANI KOGUI, and Issaka YOUSSAO ABDOU KARIM. "Caractéristiques de l’élevage du canard de Barbarie dans les zones agro-écologiques du Sud-Bénin." Journal of Applied Biosciences 145 (January 29, 2020): 14862–79. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.v145.3.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

VIGNAL, A., C. DIOT, C. MOLETTE, M. MORISSON, T. FARAUT, M. RAO, F. PITEL, V. FILLON, and C. MARIE-ETANCELIN. "Génomique des canards." INRAE Productions Animales 26, no. 5 (December 19, 2013): 391–402. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3168.

Full text
Abstract:
La démocratisation des outils de la génomique et plus particulièrement du séquençage à haut débit a permis le séquençage du génome du canard commun. Des projets complémentaires sont déjà initiés pour prolonger et exploiter au mieux ces premiers acquis. En tout premier lieu, il s’agit de poursuivre la description de la structure du génome et d’en exploiter les connaissances : cartes d’hybrides irradiés pour ordonner la séquence le long des chromosomes ; génomique comparée avec le génome de la poule pour bénéficier des connaissances sur ce génome modèle ; recherche de SNP (Single Nucleotide Polymorphism) pour les études et la gestion de populations ; carte génétique pour la détection des QTL (Quantitative Trait Locus). La première détection de QTL influençant les performances du mulard, réalisée à l’aide de marqueurs microsatellites chez la cane commune, sera complétée par une seconde étude utilisant des marqueurs SNP développés spécifiquement et permettant une bien meilleure couverture du génome. Par ailleurs, il est important de réaliser une annotation fonctionnelle du génome, ce qui peut être abordé par le séquençage de transcrits. A terme, le génome annoté sera utilisé pour analyser son expression dans différents tissus et/ou conditions d’élevage, la connaissance des modèles de transcrits et de protéines facilitant les études en transcriptomique et protéomique. Le canard mulard, produit du croisement de la cane commune avec le canard de Barbarie, devra également être étudié en raison de son intérêt agronomique, lié à ses performances exceptionnelles dans la filière des palmipèdes gras.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

LECLERCQ, B., and H. De CARVILLE. "Aliments de finition du canard de Barbarie : effets de leurs teneurs en protéines brutes sur les performances et la qualité de carcasse." INRAE Productions Animales 1, no. 2 (May 11, 1988): 129–31. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.2.4444.

Full text
Abstract:
On a comparé, chez le caneton de Barbarie mâle, les effets de régimes de finition (56-84 jours) présentant des teneurs différentes en protéines brutes (130 à 170 g/kg). Des performances satisfaisantes sont obtenues avec une concentration située entre 140 et 150 g par kg. Toutefois, des apports excédentaires tendent encore à améliorer la vitesse de croissance à raison de 0,55 g de gain de poids (56-84 jours) par g supplémentaire de protéines ingérées. Les teneurs en protéines brutes des aliments n’ont exercé aucun effet significatif sur l’état d’engraissement ni sur les rendements en parties comestibles à haute valeur commerciale (filets, cuisses + pilons).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

LEMIERE, Stéphane. "ACTUALITÉS SUR LA PATHOLOGIE VIRALE DU CANARD DE BARBARIE CAIRINA MOSCHATA EN ÉLEVAGE PROFESSIONNEL DE CHAIR – EXEMPLE DE LA PARVOVIROSE." Bulletin de l'Académie vétérinaire de France, no. 1-4 (2013): 206. http://dx.doi.org/10.4267/2042/51799.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

BABILE, R., A. AUVERGNE, P. DELPECH, and O. MEIRIEU. "Evolution de la consommation de maïs au cours du gavage et incidence sur la production de foie gras chez le canard de Barbarie." Annales de Zootechnie 36, no. 1 (1987): 73–84. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19870107.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

LECLERCQ, B., and C. BEAUMONT. "Etude par simulation de la réponse des troupeaux de volailles aux apports d’acides aminés et de protéines." INRAE Productions Animales 13, no. 1 (February 18, 2000): 47–59. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2000.13.1.3768.

Full text
Abstract:
Plusieurs modèles de simulation de réponse aux teneurs des aliments en acides aminés ou protéines, ainsi que d’estimation des besoins sont décrits et appliqués à trois productions&nbsp;: le poulet de chair en croissance, le canard de Barbarie en finition et la poule pondeuse. Ces modèles conduisent à l’estimation de besoins et de performances proches de ce qui est observé expérimentalement. Ils permettent une approche objective du besoin économique, défini comme la teneur permettant de minimiser le coût alimentaire du gain de poids. Il est ainsi possible de prévoir les effets probables de la sélection sur les besoins nutritionnels des espèces considérées. Chez les volailles de chair, la vitesse de croissance influence peu le besoin en acide aminé (exprimé en g par kg d’aliment). Au contraire les lipides corporels sont, avec l’efficacité énergétique d’entretien, l’un des facteurs déterminants ; plus les animaux sont maigres ou efficaces, plus ils exigent des régimes enrichis en acides aminés. Chez la poule pondeuse, ce sont les performances de ponte qui rendent le mieux compte de l’élévation des recommandations. Dans tous les cas, l’optimum économique, teneur en acides aminés de l’aliment permettant de minimiser le coût alimentaire, est très proche de la teneur permettant d’atteindre les performances maximales.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

GUY, G., and L. FORTUN-LAMOTHE. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 5 (December 19, 2013): 387–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3167.

Full text
Abstract:
Ce numéro de la revue INRA Productions Animales contient un dossier consacré aux dernières avancées de la recherche sur le foie gras. En effet, la démocratisation de la consommation de ce produit haut de gamme a été permise notamment par les efforts de recherche et développement sur l’élevage des palmipèdes à foie gras et la maîtrise de la qualité du produit. Ce dossier est l’occasion de faire en préalable quelques rappels sur cette belle histoire ! Un peu d’histoire La pratique du gavage est une tradition très ancienne, originaire d’Egypte, dont les traces remontent à 2 500 avant JC. Elle avait pour objectif d’exploiter la capacité de certains oiseaux à constituer des réserves énergétiques importantes en un temps court pour disposer d’un aliment très riche. Si les basreliefs datant de l’ancien empire égyptien attestent de la pratique du gavage, il n’existe pas de preuves que les égyptiens consommaient le foie gras ou s’ils recherchaient la viande et la graisse. Ces preuves sont apparues pour la première fois dans l’empire romain. Les romains gavaient les animaux avec des figues et pour eux le foie constituait le morceau de choix. Le nom de jecur ficatum, signifiant « foie d’un animal gavé aux figues », est ainsi à l’origine du mot foie en français. La production de foie gras s’est développée dans le Sud-ouest et l’Est de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles avec le développement de la culture du maïs. Le foie gras est aujourd’hui un met inscrit au patrimoine culturel et gastronomique français (article L. 654-27-1 du code rural défini par la Loi d’Orientation Agricole de 2006). Le contexte de la production de foie gras Avec près de 72% de la production mondiale en 2012, la France détient le quasi monopole de la production de foie gras. Les autres pays ayant des productions significatives sont la Hongrie et la Bulgarie en Europe Centrale, avec environ 10% pour chacun de ces pays, mais aussi l’Espagne avec 3% de la production. L’Amérique du nord et la Chine représentent les deux autres pôles de production les plus significatifs, mais avec moins de 2% du marché. La production française a connu un essor considérable, sans doute le plus important de toutes les productions agricoles, passant de 5 880 tonnes en 1990 à plus de 19 000 tonnes en 2012. A l’origine, le foie gras était principalement obtenu par gavage des oies, longtemps considérées comme l’animal emblématique de cette production. Aujourd’hui, le canard mulard, hybride d’un mâle de Barbarie (Cairina Moschata) et d’une cane commune (Anas Platyrhynchos), est plus prisé (97% des palmipèdes gavés en France). En France, l’oie a vu de ce fait sa part relative pour la production de foie gras diminuer, et c’est la Hongrie qui contrôle 65% de la production mondiale de foie gras d’oie. Toutefois, cette espèce ne représente que 10% de la production mondiale. La France est également le principal pays consommateur de foie gras avec 71% du total, l’Espagne se classant au second rang avec environ 10%. Compte tenu de son image de produit de luxe et d’exception, le foie gras est consommé un peu partout dans le monde lors des repas de haute gastronomie. Les grandes avancées de connaissance et l’évolution des pratiques d’élevage L’amélioration des connaissances sur la biologie et l’élevage des palmipèdes à foie gras a permis de rationnaliser les pratiques d’élevage et d’améliorer la qualité du produit. Plusieurs laboratoires de recherche et structures expérimentales, ayant leurs installations propres et/ou intervenant sur le terrain, ont contribué à l’acquisition de ces connaissances : l’INRA avec l’Unité Expérimentale des Palmipèdes à Foie Gras, l’UMR Tandem, le Laboratoire de Génétique Cellulaire, la Station d’Amélioration Génétique des Animaux et l’UR Avicoles, l’Institut Technique de l’AVIculture, la Ferme de l’Oie, le Centre d’Etudes des Palmipèdes du Sud Ouest, le LEGTA de Périgueux, l’ENSA Toulouse, l’ENITA Bordeaux et l’AGPM/ADAESO qui a mis fin en 2004 à ses activités sur les palmipèdes à foie gras. Aujourd’hui ces structures fédèrent leurs activités dans un but de rationalité et d’efficacité. Les avancées des connaissances et leur transfert dans la pratique, associés à une forte demande du marché, sont à l’origine de l’explosion des volumes de foie gras produits. Ainsi, la maîtrise de la reproduction couplée au développement de l’insémination artificielle de la cane commune et à la sélection génétique (Rouvier 1992, Sellier et al 1995) ont permis la production à grande échelle du canard mulard adapté à la production de foie gras. En effet, ses géniteurs, le mâle de Barbarie et la femelle Pékin, ont fait l’objet de sélections spécifiques basées sur l’aptitude au gavage et la production de foie gras de leurs descendants. La connaissance des besoins nutritionnels des animaux et le développement de stratégies d’alimentation préparant les animaux à la phase de gavage ont également été des critères déterminants pour la rationalisation d’un système d’élevage (Robin et al 2004, Bernadet 2008, Arroyo et al 2012). La filière s’est par ailleurs structurée en une interprofession (le Comité Interprofessionnel du Foie Gras - CIFOG) qui soutient financièrement des travaux de recherches et conduit des actions (organisation de salons du foie gras par exemple) visant à rendre accessibles toutes les avancées de la filière. Ainsi, l’amélioration du matériel d’élevage (gaveuse hydraulique et logement de gavage) a engendré des gains de productivité considérables (Guy et al 1994). Par exemple, en 20 ans, la taille d’une bande de gavage est passée de deux cents à mille individus. Enfin, la construction de salles de gavage, dont l’ambiance est parfaitement contrôlée autorise désormais la pratique du gavage en toute saison. Des études ont aussi permis de déterminer l’influence des conditions d’abattage et de réfrigération sur la qualité des foies gras (Rousselot-Pailley et al 1994). L’ensemble de ces facteurs a contribué à ce que les possibilités de production soient en cohérence avec la demande liée à un engouement grandissant pour le foie gras. Les pratiques d’élevage actuelles Aujourd’hui, le cycle de production d’un palmipède destiné à la production de foie gras comporte deux phases successives : la phase d’élevage, la plus longue dans la vie de l’animal (11 à 12 semaines chez le canard ou 14 semaines chez l’oie) et la phase de gavage, d’une durée très courte (10 à 12 jours chez le canard ou 14 à 18 jours chez l’oie). La phase d’élevage se décompose elle même en trois étapes (Arroyo et al 2012). Pendant la phase de démarrage (de 1 à 4 semaines d’âge) les animaux sont généralement élevés en bâtiment clos chauffé et reçoivent à volonté une alimentation granulée. Pendant la phase de croissance (de 4 à 9 semaines d’âge), les animaux ont accès à un parcours extérieur. Ils sont nourris à volonté avec un aliment composé de céréales à 75% sous forme de granulés. La dernière phase d’élevage est consacrée à la préparation au gavage (d’une durée de 2 à 5 semaines) grâce à la mise en place d’une alimentation par repas (220 à 400 g/j). Son objectif est d’augmenter le volume du jabot et de démarrer le processus de stéatose hépatique. Pendant la phase de gavage les animaux reçoivent deux (pour le canard) à quatre (pour l’oie) repas par jour d’une pâtée composée à 98% de maïs et d’eau. Le maïs est présenté soit sous forme de farine (productions de type standard), soit sous forme d’un mélange de graines entières et de farine, soit encore sous forme de grains modérément cuits (productions traditionnelles ou labellisées). En France, on distingue deux types d’exploitations. Dans les exploitations dites en filière longue et de grande taille (au nombre de 3 000 en France), les éleveurs sont spécialisés dans une des phases de la production : éleveurs de palmipèdes dits « prêt-à-gaver », gaveurs ou éleveurs-gaveurs. Ce type de production standard est sous contrôle d’un groupe ou d’une coopérative qui se charge des opérations ultérieures (abattage, transformation, commercialisation ou diffusion dans des espaces de vente à grande échelle). Il existe également des exploitations en filière courte qui produisent les animaux, transforment les produits et les commercialisent directement à la ferme et qui sont généralement de plus petite taille. Ces exploitations « fermières » ne concernent qu’une petite part de la production (10 à 15%), mais jouent un rôle important pour l’image de production traditionnelle de luxe qu’elles véhiculent auprès des consommateurs. Pourquoi un dossier sur les palmipèdes à foie gras ? Au-delà des synthèses publiées précédemment dans INRA Productions Animales, il nous a semblé intéressant de rassembler et de présenter dans un même dossier les avancées récentes concernant la connaissance de l’animal (articles de Vignal et al sur le séquençage du génome du canard et de Baéza et al sur les mécanismes de la stéatose hépatique), du produit (articles de Théron et al sur le déterminisme de la fonte lipidique du foie gras à la cuisson et de Baéza et al sur la qualité de la viande et des carcasses), ainsi que les pistes de travail pour concevoir des systèmes d’élevage innovants plus durables (article de Arroyo et al). L’actualité et les enjeux pour demain La filière est soumise à de nombreux enjeux sociétaux qui demandent de poursuivre les efforts de recherche. En effet, pour conserver son leadership mondial elle doit rester compétitive et donc maîtriser ses coûts de production tout en répondant à des attentes sociétales et environnementales spécifiques telles que la préservation de la qualité des produits, le respect du bien-être animal ou la gestion économe des ressources. Ainsi, la production de foie gras est parfois décriée eu égard à une possible atteinte au bien-être des palmipèdes pendant l’acte de gavage. De nombreux travaux ont permis de relativiser l’impact du gavage sur des oiseaux qui présentent des prédispositions à ce type de production : la totale réversibilité de l’hypertrophie des cellules hépatiques (Babilé et al 1998) ; l’anatomie et la physiologie des animaux de même que l’absence de mise en évidence d’une élévation du taux de corticostérone (considéré comme marqueur d’un stress aigu) après l’acte de gavage (Guéméné et al 2007) et plus récemment la mise en évidence de l’aptitude à un engraissement spontané du foie (Guy et al 2013). Le conseil de l’Europe a toutefois émis des recommandations concernant le logement des animaux qui préconisent, la disparition des cages individuelles de contention des canards pendant le gavage au profit des cages collectives. Par ailleurs, il recommande la poursuite de nouvelles recherches pour développer des méthodes alternatives au gavage. Parallèlement, à l’instar des autres filières de productions animales, la filière foie gras doit aussi maîtriser ses impacts environnementaux (voir aussi l’article d’Arroyo et al). Les pistes de recherches concernent prioritairement la maîtrise de l’alimentation, la gestion des effluents et des parcours d’élevage. Il reste donc de grands défis à relever pour la filière foie gras afin de continuer à proposer un produitqui conjugue plaisir et durabilité.Bonne lecture à tous !
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

ROUVIER, R. "L’amélioration génétique en France : le contexte et les acteurs - Les Palmipèdes." INRAE Productions Animales 5, HS (December 29, 1992): 39–43. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4259.

Full text
Abstract:
Les palmipèdes utilisés pour les productions d’oeufs, de viande, de foie gras, sont de plusieurs races, espèces et genres : oie grise pour le foie gras ; oie blanche pour la viande ; cane commune pour la production d’oeufs de consommation ou d’oeufs embryonnés (Sud-Est asiatique et Chine), ou utilisée comme mère de l’hybride mulard à gaver (Europe), et à rôtir (Taïwan et Sud-Est asiatique) ; Barbarie pour la viande (mâle pour la découpe, canette à rôtir) et Barbarie mâle pour le gavage. L’hybride mulard issu du croisement intergénérique entre le père Barbarie et la mère cane commune est exploité. L’amélioration génétique, en fonction des objectifs, peut exploiter les différences dans les caractéristiques biologiques et zootechniques. La diversité génétique est encore grande au niveau mondial. En France, la filière s’est organisée, notamment pour les canards. La production de viande de canards, principalement de Barbarie, est de 100 000 tonnes en 1989, celle de viande d’oie n’est que de 9 000 tonnes. La production de canards gavés (85 % sont des mulards mâles) s’est fortement développée (12 millions de canards en 1989, produisant 5400 tonnes de foie gras et les magrets) ; celle de foie gras d’oie reste stationnaire. Une inter-profession Palmipèdes gras s’est constituée (CIFOG). Les sélectionneurs se sont orientés comme en sélection avicole, par la sélection de souches spécialisées paternelles et maternelles à utiliser en croisement pour obtenir les animaux commerciaux. Des stations de l’INRA apportent leur concours, en collaboration, pour la méthodologie de la qualification des reproducteurs et sur le plan expérimental pour l’analyse et l’exploitation de la variabilité génétique. Des programmes de coopération scientifique internationale ont été établis, pour une meilleure connaissance de la variabilité génétique. Une structure de concertation scientifique collective (le Comité Scientifique National des Palmipèdes Gras) fonctionne depuis 1985.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Silverstein, Paul. "The Cultivation of “Culture” in the Moroccan Amazigh Movement." Review of Middle East Studies 43, no. 2 (2009): 168–77. http://dx.doi.org/10.1017/s2151348100000628.

Full text
Abstract:
In the opening sequence of a 2008 documentary, Ni Sauvage, Ni Barbare (Neither Savage Nor Barbaric), co-produced by Québecois and Moroccan television, the director Roger Cantin introduces his subjects over images of art, ritual, and nature that alternate between northern Canada and northern Africa: Fouad Lahbib is a painter from Morocco. He is Berber, he is Amazigh, he is an autochthon from North Africa. Florent Valiant is a singer from Quebec. He is Innu, he is Amerindian, he is an autochthon from North America. At first glance, they come from completely different cultures. Their ancestral lands are far apart, separated by an ocean; they don’t look at all alike. One people travels by rivers and through immense forests. The other lives with heat and drought. What do these two men, Fouad Lahbib and Florent Vallant, have in common? They belong to marginalized cultures whose extinction was precipitated, whose assimilation was desired, and whose language and customs were silenced. Were they really savages and barbarians? Or simply people who approach the world with a spirit of harmony, sharing, and solidarity? Meeting each other for the first time, Fouad Lahbib and Florent Vallant will learn with us how much all men are alike, wherever they may live.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

LECLERCQ, B. "Les rejets azotés issus de l’aviculture : importance et progrès envisageables." INRAE Productions Animales 9, no. 2 (April 17, 1996): 91–101. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.2.4038.

Full text
Abstract:
Cet article propose des estimations des rejets azotés pour les différentes filières avicoles&nbsp;: poulets de chair, dindonneaux, pintades, canards de Barbarie, poules pondeuses. Ces estimations, ainsi que des analyses des études expérimentales sur l’emploi des acides aminés "industriels", permettent d’évaluer les conséquences d’une réduction des apports protéiques sur les rejets d’azote. Avec les acides aminés actuellement commercialisés on peut estimer une réduction des rejets de 10 à 20 %. Des progrès plus importants seraient réalisables si l’on disposait de valine, d’isoleucine et d’arginine à des prix raisonnables. L’incidence économique de l’usage de ces nouveaux acides aminés peut être estimée par nos calculs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Chapman, Colin J., C. Sean Blaney, and David M. Mazerolle. "Wintercresses (Barbarea W.T. Aiton, Brassicaceae) of the Canadian Maritimes." Canadian Field-Naturalist 133, no. 2 (November 17, 2019): 118. http://dx.doi.org/10.22621/cfn.v133i2.2235.

Full text
Abstract:
We conducted a review of herbarium collections of the Wintercress genus (Barbarea W.T. Aiton) from the Maritime provinces. Most specimens previously determined to be the regionally rare native species Erect-fruit Wintercress (Barbarea orthoceras Ledebour) are in fact the uncommon exotic Small-flowered Wintercress (Barbarea stricta Andrzejowski). The latter species is here reported as new to Atlantic Canada, where it is scattered but widespread in the three Maritime provinces. Only three collections (two from New Brunswick and one from Nova Scotia) were confirmed as B. orthoceras. Its known range extent and area of occupancy in the Maritimes has been significantly revised, and B. orthoceras is now considered potentially extirpated in New Brunswick and extremely rare in Nova Scotia. One collection from Nova Scotia was referred to another rare exotic species, Early Wintercress (Barbarea verna (Miller) Ascherson), which represents the first record for the Maritimes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Foronda, P., J. C. Casanova, E. Figueruelo, N. Abreu, and C. Feliu. "The helminth fauna of the barbary partridgeAlectoris barbarain Tenerife, Canary Islands." Journal of Helminthology 79, no. 2 (June 2005): 133–38. http://dx.doi.org/10.1079/joh2005277.

Full text
Abstract:
AbstractThe helminth fauna of the barbary partridge (Alectoris barbara) in Tenerife Island (Canary Archipelago) was studied from 2001 to 2002, as there were no records of helminths from this host in the Canary Islands. Seven helminth species were identified: two cestodesChoanotaenia infundibulumandLyruterina nigropunctata, and five nematodesAonchotheca caudinflata,Baruscapillaria obsignata,Eucoleus annulatus,Ascaridia galliandHeterakis gallinarum.Lyruterina nigropunctata,A. galli and E. annulatusare recorded for first time inA. barbara. An analysis of available data onAlectorisspp. reveals the importance of intermediate hosts such as arthropods and earthworms in the diet of partridges. Terrestrial helminths are dominant species, with monoxenous and heteroxenous species being present in similar numbers in differentAlectorisspecies along their geographical distribution. Helminth species found in Tenerife fromA. barbaraare poor indicators of the host colonization from North Africa because these helminths are species that are commonly found in fowl with a cosmopolitan distribution.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Mattoo, Deepa, and Sydele E. Merrigan. "“BARBARIC” CULTURAL PRACTICES: CULTURALIZING VIOLENCE AND THE FAILURE TO PROTECT WOMEN IN CANADA." International Journal of Child, Youth and Family Studies 12, no. 1 (March 12, 2021): 124–42. http://dx.doi.org/10.18357/ijcyfs121202120086.

Full text
Abstract:
The introduction of Bill S-7, the Zero Tolerance for Barbaric Cultural Practices Act, in 2015 garnered major critical attention across Canada. Amid an already tense climate of anti-immigrant sentiment in the post-9/11 era, the title chosen for the bill by the Conservative-led government catalyzed xenophobia, perpetuated the “us versus them” rhetoric, and culturalized violence. While originally touted as an opportunity to enhance protection for girls and women against the “foreign” horrors of polygamy, early and forced marriage, and “honour”-based killings, Bill S-7 instead fanned the flames of xenophobia on a mass level, failed to protect women, and, in fact, created higher risk of harms for women who are victims of gender- or family-based violence. In this commentary, we provide an overview of Bill S-7, the amendments to legislation made as a result of its passing, and some of its many problematic elements. We address the barriers to disclosing violence in racialized communities and subsequently provide suggestions on how to effectively address gender- and family-based violence in Canada in an effort to support survivors and prevent further harm.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

BABILE, R., G. MATHERON, and B. POUJARDIEU. "La production de foie gras de canards mâles de Barbarie : relation entre la croissance et la production de foie." Annales de Zootechnie 37, no. 4 (1988): 219–32. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19880401.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Gravelle, Timothy B. "Friends, Neighbours, Townspeople and Parties: Explaining Canadian Attitudes toward Muslims." Canadian Journal of Political Science 51, no. 3 (February 7, 2018): 643–64. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423917001470.

Full text
Abstract:
AbstractThe 2015 Canadian federal election campaign put into focus relations between Muslim communities in Canada and wider Canadian society, featuring debates around banning the niqab, and a “barbaric cultural practices” hotline. At the same time, challenges in relations between Muslims and majority-group Canadians were not a new development in 2015: they had in the past faced periodic strains due to terrorism-related events, and attacks targeting Muslims in Canada. The Canadian case is in fact reflective of a challenge in intergroup relations facing several Western democracies. In light of this, what accounts for majority-group Canadians’ attitudes toward Muslims in Canada? Drawing on data from the 2011 and 2015 Canadian Election Studies and theories linking outgroup perceptions to intergroup contact (friends), local demographic context at both the micro-level (neighbours) and meso-level (townspeople), and political factors (parties), this article seeks to explain why majority-group Canadians hold alternately positive or negative views of Muslims.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Gaucher, Megan. "Monogamous Canadian Citizenship, Constructing Foreignness and the Limits of Harm Discourse." Canadian Journal of Political Science 49, no. 3 (September 2016): 519–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423916000810.

Full text
Abstract:
AbstractThe Zero Tolerance for Barbaric Cultural Practices Act (2015) targets immigrants suspected of engaging in polygamy. While polygamy is already illegal in Canada and non-immigrant polygamous arrangements exist within Canadian borders, the framing of polygamy as a foreign practice portrays this familial arrangement as a threat to Canadian national values. Effects on women and children have traditionally provided a convincing argument for state regulation of polygamy; however, the combination of state under—and over—enforcement suggests that relying solely on a harm framework inadequately captures the complexities of state treatment. In this paper, I argue that the state's primary motivations for defending monogamy are not necessarily rooted in the avoidance of harm but in the preservation of a particular type of citizenship.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Hutchison, Jessica. "“It’s Sexual Assault. It’s Barbaric”: Strip Searching in Women’s Prisons as State-Inflicted Sexual Assault." Affilia 35, no. 2 (December 11, 2019): 160–76. http://dx.doi.org/10.1177/0886109919878274.

Full text
Abstract:
Rationale: In the era of the #MeToo movement, sexual assault has emerged from the shadows to become a dominant topic of public and scholarly conversation. Yet women in prison have largely been left out of these conversations, particularly as it relates to their experiences of being strip searched. Method: Five cisgender women were interviewed about their experiences being strip searched while imprisoned in Canada. Findings: Findings demonstrate that strip searching is a form of sexual assault. Women were unable to say “no” to being strip searched due to power imbalances and fear of serious consequences. Experiences of prior sexual victimization made being strip searched particularly harmful. Discussion: This study shows that structural violence occurring behind prison walls is a replication of structural violence occurring in the community. That strip-searching policies and practices are developed and implemented by the state necessarily means it is state-inflicted sexual assault. I theorize that strip searching is not understood as sexual assault because imprisoned women are relegated to a class of subhumanness for which humane treatment is not required. Implications: Implications for reducing the harms of strip searching are discussed, aimed at moving toward the abolishment of strip searching as a practice in women’s prisons.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Baudonnet-Lenfant, C., A. Auvergne, and R. Babilé. "Influence de la durée de jeûne avant l'abattage et du poids à la mise en gavage des canards de Barbarie sur la composition chimique hépatique." Annales de Zootechnie 40, no. 3 (1991): 161–70. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19910303.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Bilson, Geoffrey. "Canadian Doctors and the Cholera." Historical Papers 12, no. 1 (April 20, 2006): 104–19. http://dx.doi.org/10.7202/030823ar.

Full text
Abstract:
Résumé Après avoir brossé un rapide tableau de l'état de l'enseignement de la médecine au Canada au dix-neuvième siècle et avoir abordé la question des problèmes de définition des critères d'entrée dans la profession, l'article décrit l'attitude des médecins canadiens vis à vis le choléra. Il semble que les coordonnées du débat se soient inscrites autour des mêmes pôles qu'en Europe où s'opposaient ceux qui croyaient que le choléra était le produit d'une épidémie et ceux qui arguaient qu'il était propagé par contagion. Les traitements eux-mêmes semblaient peu différer de ceux qui étaient donnés en Europe. La réaction du public devant la confusion démontrée au cours du débat et la brutalité des traitements semblent leur avoir causé autant de tort qu'en Europe. Ainsi la concurrence demeura forte avec les praticiens clandestins qui offraient des modes de traitement moins barbares afin de mieux plaire à la clientèle. Le combat de la profession médicale contre le choléra a joué un rôle important dans l'acquisition d'une crédibilité professionnelle auprès du public.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Thompson, Grant L., Terrence H. Bell, and Jenny Kao-Kniffin. "Rethinking Invasion Impacts across Multiple Field Sites Using European Swallowwort (Vincetoxicum rossicum) as a Model Invader." Invasive Plant Science and Management 11, no. 3 (September 2018): 109–16. http://dx.doi.org/10.1017/inp.2018.22.

Full text
Abstract:
AbstractEuropean swallowwort [Vincetoxicum rossicum (Kleopow) Barbarich] is found in the northeastern United States and southeastern Canada. It forms dense growth patterns that reduce plant and insect biodiversity, and lab assays show that it produces allelopathic compounds that affect microbial activity. Consequently, we hypothesized that V. rossicum alters soil microbiome composition and activity in invaded habitats, which may impact ecosystem properties and processes. We sampled soil from a similar time point within a growing season at each of five sites in New York State where V. rossicum was both present and absent. We measured bacterial and fungal microbiome composition, available soil nitrogen (N), soil respiration (CO2 flux), and soil extracellular enzyme activities. Microbial composition varied across field sites, but only fungal composition was affected by invasion. No significant differences were found between the invaded and uninvaded plots at any of the sites for available soil ammonium, nitrate, or respiration, though extractable N varied greatly between sites. Microbial hydrolytic extracellular enzyme activities suggest decreased protein degradation and increased oxidative enzyme activity with V. rossicum invasion, which is relevant to soil N and carbon cycling processes. Although V. rossicum impacted rhizosphere microbial composition and activity, it was not associated with large perturbations in ecosystem function when examined across multiple invasion sites during this short-term study.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Goja, Bojan. "Maestro di Pico i iluminacije u inkunabuli De Civitate Dei (Nicolas Jenson, Venecija, 1475.) u samostanu Sv. Duje u Kraju na Pašmanu." Ars Adriatica, no. 4 (January 1, 2014): 235. http://dx.doi.org/10.15291/ars.497.

Full text
Abstract:
The Franciscan Monastery of St Domnius at Kraj on the island of Pašman houses an incunable edition of Augustine’s The City of God (De Civitate Dei) which was printed in Venice by Nicolas Jenson in 1475. The incunable features beautiful Renaissance multi-coloured illuminations painted in tempera, sepia, ink and water colours while gold foils and gold dust were used on fol. 17 (the page number is not original but was subsequently added in pencil; this folio contains the beginning of Book 1) and a number of other folios. The illumination on fol. 17 consists of two phytomorphic initials, a decorative border and independent figural scenes while a number of other folios are decorated with phytomorphic initials of the littera notabilior type, the height of which corresponds to two lines, painted in red or blue. The top and left margin of the first page of Book 1 are filled with a decorative border terminating in trilobes on each end. The ornamental scheme of the border consists of a band made up of five thin lines which undulates in a spiral and thus forms circles. These are filled with flowers, leaves and berries painted in blue, green and cyclamen purple but also with gold stylized burdock flowers (Lat. Arctium lappa; some scholars call them gold dots, that is, bottoni dorati). The remaining fields are filled with bent scrolls. In the upper left corner of the frame is a goldfinch. The initial I, composed of phytomorphic motifs in blue, green and cyclamen purple and their shades, is painted against a gold background of the rectangular field situated at the beginning of the text column on the left-hand side. Inside the decorative border, placed at the height which corresponds to the centre of the initial, is a medallion with the bust of St Augustine depicted in the open sky with elongated white clouds and no other details. The illusion of the spatial depth was achieved through the use of tonal gradations: the shades of blue are darker at the top and lighter in the lower half of the sky. St Augustine is dressed in a white robe and a red cloak with a black hood. He is wearing a white mitre with a horizontal and perpendicular band highlighted with gold dust. The shadows and folds of his clothes were articulated with black and white lines. His right hand is pointing to the open book which was painted at the height of his chest. The fingers on his right hand are elongated and thin. St Augustine’s gold nimbus was painted as a full circle the left half of which was outlined in white and the right half in black. St Augustine is directing his gentle and sad gaze upwards. His head is slightly bent. His round and bony head is marked by the large round eyes with prominent sclera and dark circles underneath while the arched eyebrows are thinner at their ends. The nose is small and the mouth is turned downwards. The plasticity of the face and its complexion were articulated with white and pink shades. The trimmed dark beard is depicted with short lines in lighter and darker shades. The ornamental frame which fills the top margin corresponds to the one in the left margin but was decorated more modestly because the miniaturist placed the scroll bearing the printer’s name and the scroll identifying the text as belonging to Book 1 at the centre of the frame which left only the beginning and the end of the frame to be decorated. The scroll with the printer’s name is emphasized by a golden burdock flower at the top of the frame and a golden teasel flower (Lat. Dipsacus fullonum) at the bottom. The lower margin features two symmetrical angels, rendered in a somewhat imprecise drawing, who kneel on the ground painted in the shades of green and brown. The physiognomy of the angels is similar to that of St Augustine. Their round heads have small eyes and noses, shaded circles under the eyes and arched eyebrows. The mouths are depicted as thin lines with pronounced ends and are further accentuated by a dot beneath the lower lip. The plasticity of their faces was achieved through the tonal gradation of pink and white. The angels’ hair, ochre in colour and highlighted with gold dust, is thick and short and covers the tops of their heads like a helmet. The outspread wings were painted in dark and light shades of blue. Two wide red scrolls with white highlights emerge symmetrically from behind the angels at their waist height. Wavy tendrils and gold stylized teasel flowers extend from the red scroll. The angels hold a laurel wreath between them. The colour of the circular field inside the wreath is cyclamen purple. The wreath is formed by three rows of leaves which are bound by four regularly spaced ties. The leaves’ edges and tips were painted in light and dark shades of green. Inside the wreath is a Renaissance crest surrounded by thin white wiggly tendrils with sprouting leaves. The shield, in the shape of a horse’s head, is divided horizontally into the dark blue upper half and the red lower half. It features a gold lion with his mouth wide open who is facing right and holding a tree with his front paws. The tree’s pyramidal top is decorated with small dots indicating leaves and fruit. The shield’s right half is outlined in white and the left one in black. The second text column on the first page of Book 1 is decorated with the painted initial letter G. It consists of phytomorphic motifs in blue, red, yellow and cyclamen purple and their shades. Two small leaves are attached to the initial on its left-hand side. As is the case with the crest, the initial was additionally decorated with elegant white tendrils sprouting leaves and highlighted with gold dust. The background is also gold while the rectangular field around the initial is outlined in a thin black line. Two wavy tendrils and two gold stylized teasel flowers emerge from the corners of the frame on the left-hand side while a green leaf appears at the centre. Apart from these illuminations and initials on fol. 17, the incunable contains other initials, one for the beginning of each of the remaining twenty one book, and all of them consist of blue, green and cyclamen pink phytomorphic motifs painted against a gold background inside a black rectangular frame. The plasticity of these initials was achieved through tonal gradation and the use of yellow while thin white undulating tendrils with variations in width and highlights in gold dust enriched the decoration. Some sentences in the text were emphasized by numerous initials in red or blue of the littera notabilior type the height of which corresponds to two lines of the text. The illuminations of this incunable edition of the De Civitate Dei belong to north Italian or Venetian Renaissance painting and they demonstrate numerous significant similarities with the works of the well-known Venetian miniaturist whom the scholarly literature identified as Maestro del Plinio di Giovanni Pico della Mirandola (Maestro del Plinio di Pico or, more commonly, Maestro di Pico). The attribution of the illuminations in this incunable to Maestro di Pico, who may have been helped by his workshop and assistants especially during the painting of the decorative frame and initials, is based on the figure of St Augustine and the angels who support the crest. Their features display the same typology which characterizes the works of Maestro di Pico. Identical angels appear in the bottom margin of Brunetto Latini’s Il Tesoro (Gerardus de Lisa, Treviso, 1474; Cambridge, Mass., Harvard, Houghton Library, Inc. 6459, c. 7). The figure of St Augustine shows pronounced similarities with the figure of a Dominican monk, set inside the initial O of the littera historiata type, in Nicolaus de Auximo’s Supplementum (Franciscus Renner et Nicolaus de Frankofordia, Venice, 1474; Biblioteca Marciana, Inc. Ven. 494, c.2). Identical angels and putti can be found in the bottom margins of Strabo’s Geographica (Minneapolis, Univ. of Minnesotta Library, Ms. 1460/f St., c.1), and in two copies of Pliny’s Historia Naturalis (Venice, N. Jenson, 1472, Paris, Bibliothèque Nationale, Vèlins 498 and Venice, N. Jenson, 1472, San Marino, CA, Huntington Library, n. 2289). A beautiful comparative example is the Biblia Latina (Franciscus Renner & Nicolaus de Frankfordia, 1475, Dallas, Texas, Southern Methodist University, Bridwell Library) and its first page which has a similar composition to that in the incunable from Kraj. The figure of St Jerome, depicted inside a littera historiata provides a plethora of specific Morellian details which are essential for the attribution of the illuminations in the incunable from Kraj to Maestro di Pico. Striking similarities in the depictions of saints, phytomorphic initials and decorative frames can also be found in two psalters (one in Venice, Biblioteca Querini Stampaglia, Inc. 6, the other in Siena, Biblioteca S. Bernardino del Convento dell’Osservanza) and in the first page of the Psalms in a breviary from Paris (Bibliothèque Ste-Geneviève, OE XV 147 Rés). Similar saints and angels all of which belong to the same figural typology were used to decorate three copies from the Commissioni series made for Doge Agostino Barbarigo (Commissione del doge Agostino Barbarigo a Girolamo Capello, 1487, Venice, Bib. Del Museo Correr, MS Cl. III. 33 (fig. 15); Commissione del doge Agostino Barbarigo a Paolo di Canale, 1489, Paris, Bibliothèque Nationale, Lat. 4729, c.2, and Commissione del doge Agostino Barbarigo a Tommaso Loredano, 1490, Paris, Bibliothèque Nationale, Lat. 4730, c.1). Further parallels can be found in the illuminations of a breviary from Augsburg (c. 1480, Universitätsbibl., Cod. I.2.2o 35) the first page of which has a lettera istoriata with the figure of St Paul whose physiognomy closely resembles that of St Augustine in the incunabule from Kraj, while the bottom margin features centrally placed angels which are identical to those at Kraj. Equally important comparative material is found in three Paduan incunables (Biblioteca del Seminario Vescovile) which contain illuminations attributed to Maestro di Pico. The distinctive features of the angels, putti and saints as well as the type of decoration used in the margins of these incunables also demonstrate striking similarities with the illuminations from Kraj. Other examples include Lattanzi’s Opera (Giovanni da Colonia and Johannes Manthen, Venice, 1478; Forc. M. 3.2), Jacopo da Varagine’s Legenda aurea (Gabriele di Pietro, Venice, 1477, with a likely contribution of his workshop; Forc. M. 2.22) and Cipriano’s Opera (Vindelino da Spira, Venice, 1471; Forc. K. 2.12). On the basis of the comparative analyses outlined above and the similarities which have been noted, it can be concluded that the illuminations in the incunable of St Augustine’s De Civitate Dei (Nicolas Jenson, Venice, 1475), housed in the Monastery of St Domnius at Kraj, were painted by the well-known Venetian Renaissance miniaturist Maestro di Pico. Regardless of the possible input of his workshop and assistants during the painting process of the decorative frame and initials, these illuminations help expand the catalogue of Maestro di Pico’s works and represent valuable contribution to the painting in Renaissance Dalmatia.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Beran, Carol L., Joseph A. Boudreau, Alison Braley, Ross Cameron, Julián Castro-Rea, Leslie Choquette, Howard Cody, et al. "Sue Sorensen, ed.,West of Eden: Essays on Canadian Prairie LiteraturePhillip Buckner, ed.,Canada and the British EmpireRobert B. Kristofferson,Craft Capitalism: Craftworkers and Early Industrialization in Hamilton, Ontario 1840–1872Michael M. Brescia and John C. Super,North America: An IntroductionAilsa Henderson,Nunavut: Rethinking Political CultureJohn G. Reid, with contributions by Emerson W. Baker,Essays on Northeastern North America, Seventeenth and Eighteenth CenturiesStephen Brooks,Canadian Democracy, 6th ed. Lindsey McMaster,Working Girls in the West: Representations of Wage-Earning WomenMarilyn Corsianos,Policing and Gendered Justice: Examining the PossibilitiesAndrew D. Irvine and John S. Russell, eds.,In the Agora: The Public Face of Canadian PhilosophyDonna Coates and Sherrill Grace, eds.,Canada and the Theatre of WarThibault Martin and Steven M. Hoffman, eds.,Power Struggles: Hydro Development and First Nations in Manitoba and QuebecRobert O'Brien, ed.,Solidarity First: Canadian Workers and Social CohesionDominique Clement,Canada's Rights Revolution: Social Movements and Social Change 1937–82Victor Konrad and Heather Nicol,Beyond Walls: Re-Inventing the Canada–United States BorderlandsAndré Loiselle,Denys Arcand's Le Déclin de l'empire américain andLes Invasions barbares Patricia E. Roy,The Triumph of Citizenship: The Japanese and Chinese in Canada, 1941–67 William J. Turkel,The Archive of Place: Unearthing the Pasts of the Chilcotin PlateauNora Foster Stovel,Divining Margaret Laurence: A Study of Her Complete WorksPatricia I. McMahon,Essence of Indecision: Diefenbaker's Nuclear Policy, 1957–1963." American Review of Canadian Studies 39, no. 4 (November 13, 2009): 438–76. http://dx.doi.org/10.1080/02722010903319152.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Gambarato, Renira Rampazzo. "Objetos desejados de Denys Arcand." Rumores 5, no. 9 (June 18, 2011). http://dx.doi.org/10.11606/issn.1982-677x.rum.2011.51232.

Full text
Abstract:
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Arial;"><span style="font-size: 14px;">Esse artigo apresenta uma taxonomia para analisar objetos em filmes e aplica essa metodologia ao trabalho do diretor canadense Denys Arcand. Essa categoria de estudo busca identificar e analisar como os objetos cotidianos mais representativos são usados nos filmes. Este artigo avalia os três filmes seguintes: Le déclin de l´empire américain (O declínio do Império Americano, 1986), Les invasions barbares (As invasões bárbaras, 2003) e L’âge des ténèbres (A era da inocência, 2007). Esta pesquisa foi desenvolvida na Concordia University (Montreal, Canadá) e teve apoio do Foreign Affairs and International Trade do Canadá (DFAIT).</span></span></p>
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Stojanova, Christina. "The Bon, the Bad and the Others." Kinema: A Journal for Film and Audiovisual Media, April 10, 2008. http://dx.doi.org/10.15353/kinema.vi.1193.

Full text
Abstract:
The Bon, the Bad and the Others: Some Remarks on the Phenomenal Success of Bon Cop, Bad Cop in Quebec This article discusses some aspects of the phenomenal box-office success in Quebec of Bon Cop, Bad Cop directed by Eric Canuel, released in 2006. Let me first refer to some statistics: within nine weeks or so from its release in early August of 2006, Bon Cop, Bad Cop was a few thousand dollars short of equalling the box-office success of Porky's, the all-time Canadian box office success from the early 1980s, a raunchy Florida-set sex-comedy that made 11.2 million in Canada. Ninety percent of the box-office, however, came from the home province ticket sales of Bon Cop, Bad Cop, leaving far behind such recent viewers' darlings as Les Boys from 1997, La grande seduction and Les invasions barbares, both from 2003 and above all, Seraphin, the historical drama from...
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

David, J. C. "Ramularia armoraciae. [Descriptions of Fungi and Bacteria]." IMI Descriptions of Fungi and Bacteria, no. 161 (July 1, 2004). http://dx.doi.org/10.1079/dfb/20056401606.

Full text
Abstract:
Abstract A description is provided for Ramularia armoraciae. Information is included on the disease caused by the organism, its transmission, geographical distribution, and hosts. DISEASE: Pale leaf spot of horseradish (Armoracia rusticana). HOSTS: Alliaria petiolata, Arabis sp., Armoracia rusticana (= A. lapathifolia; Cochlearia armoracia[Armoracia rusticana]; Nasturtium armoracia; Rorippa armoracia), Barbarea orthoceras, B. praecox, B. vulgaris, Brassica vulgaris, B. stricta, B. elongata, B. nigra, B. rapa, Bunias orientalis, Capsella bursa-pastoris, Cochlearia officinalis, Farsetia sp., Hesperis matronalis, H. sibirica, H. tristis, Raphanus raphanistrum, Rorippa palustris, Thlaspi sp. (Brassicaceae). GEOGRAPHICAL DISTRIBUTION: AFRICA: Kenya. NORTH AMERICA: Canada (Alberta, British Colombia, Manitoba, New Brunswick, Ontario, Prince Edward Island, Quebec, Saskatchewan), USA (Alaska, California, Colorado, Connecticut, Delaware, Florida, Iowa, Illinois, Indiana, Massachusetts, Maine, Michigan, Missouri, Mississippi, Montana, North Dakota, Nebraska, New Hampshire, New Jersey, New York, Ohio, Oregon, Pennsylvania, Texas, Utah, Washington, Wisconsin, Wyoming). ASIA: Afghanistan, Armenia, Republic of Georgia, India (Jammu & Kashmir), Japan (www.nt.ars-grin.gov/fungaldatabases), Kabardino-Balkaria, Kazakhstan, Kirghizia, Russia (Far East; Siberia), South Korea (SHIN & BRAUN, 1996), Turkey [= Asia Minor]. EUROPE: Austria, Belgium, Bulgaria, Czech Republic, Denmark, Estonia, Finland, France, Germany, Hungary, Great Britain, Ireland, Italy, Latvia, Lithuania, Netherlands, Norway, Poland, Romania, Russia, Slovak Republic (www.nt.ars-grin.gov/fungaldatabases), Sweden, Switzerland, Ukraine, Yugoslavia. TRANSMISSION: By wind and rain-splash dispersal of conidia. The fungus overwinters as sclerotia in the dead leaves or in leaf material that falls from the leaves resulting in shot-holes. The sclerotia produce new conidiophores and conidia in the spring (CHUPP & SHERF, 1960; DRING, 1961).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Servais, Olivier, and Frédéric Laugrand. "Missionnaire." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.018.

Full text
Abstract:
Le terme « missionnaire » renvoie au terme chrétien : « missio », envoyé. Le missionnaire désigne dans la tradition chrétienne celui qui est envoyé par l’Esprit Saint annoncer l’Évangile en dehors des terres de chrétienté. Par extension, ce concept traduit la figure d’un prosélyte institué par une religion. En anthropologie, le mot renvoie à une pluralité de contextes et de sens. C’est avec la Renaissance et la « découverte du Nouveau Monde » que plusieurs récits missionnaires acquièrent le statut de véritables textes ethnologiques. À cette époque, alors qu’un nombre croissant de récits sont publiés ou traduits en Europe ayant pour thèmes les coutumes des peuples non évangélisés, la découverte des Amériques et de populations qui ne figurent pas dans les textes bibliques obligent les théologiens, les écrivains, les chroniqueurs et autres voyageurs, à repenser l’altérité et à formuler de nouvelles interprétations à partir des catégories existantes. Les récits d’André Thevet, de Jean de Léry, par exemple, attestent de cette révolution conceptuelle en ce sens que ces auteurs, pour la première fois, vacillent. Ils en appellent à la transformation de soi et à la conversion du regard. Cette ouverture restera toutefois de courte durée et assez marginale. Avec les conquêtes coloniales, en effet, les récits missionnaires se multiplient et s’ils se diffusent jusque dans le grand public où ils concurrencent les récits de voyage, leur contenu montre la ténacité de l’ethnocentrisme et surtout celle du complexe de supériorité des peuples européens. Il faut attendre le milieu du XXe siècle, sous les effets combinés de la décolonisation et du concile Vatican II pour que les esprits évoluent lentement vers une plus grande tolérance. Entre temps, un nouveau genre est apparu et s’est développé: celui des récits ethnologiques en bonne et due forme. Un peu partout sur la planète, les ethnologues sont rapidement partis en croisade contre les entreprises missionnaires, criant à la déculturation, à la contamination chrétienne et rappelant au monde la diversité des cultures et des traditions, mais sans interroger assez leur propre entreprise et le sens de leurs actions ou de leurs enquêtes. Sur ce point, de nombreuses chroniques missionnaires s’avèrent anthropologiquement très riches pour saisir la diversité des cultures et leurs caractéristiques. Pour se limiter aux Amériques et à une période plus ancienne, citons ces textes encyclopédiques que nous livrent Fray Bernardino de Sahagun (1981 [1730]; voir aussi León-Portilla 2002; José de Acosta (1979 [1590]); Fray Alonso de Benavides (1954 [1630]); ou encore, les monographies de Jean de Léry (1980 [1578]); d’André Thevet (1983 [1557]); de Martin Dobrizhoffer (1967 [1784]). La richesse de ces ouvrages dépasse le plan strictement ethnographique. Claude Lévi-Strauss (1955 : 84) ne s’y est pas trompé lorsqu’il considère L’histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, publiée par le pasteur genevois Jean de Léry, en 1578, comme « le bréviaire de l’ethnologue ». Comme l’illustre encore le cas du jésuite José de Acosta, c’est par l’expérience du voyage, par celle de la distance de soi et de l’altérité que des missionnaires ont découvert, bien avant Jean-Jacques Rousseau et les philosophes du XVIIIe siècle, l’universalité de la barbarie, de la guerre et de l’ethnocentrisme ou encore les limites de la pensée cartésienne. Fermin del Pino-Diaz (1992 : 323) cite avec raison une déclaration du père d’Acosta qui évoque celle de Montaigne dans Des Cannibales et dont, selon lui, tout anthropologue actuel pourrait s’enorgueillir: « La rudesse des barbares n’est pas produite par la nature mais par l’éducation et les coutumes ». En somme, c’est donc bien avant que l’ethnologie émerge comme discipline scientifique, que des missionnaires ont su conjuguer universalisme et relativisme. Rétrospectivement, chaque époque et chaque congrégation a son lot de missionnaires ethnologues. Leurs chroniques s’avèrent ethnographiquement beaucoup plus riches que les récits des voyageurs et des explorateurs. Alfred Métraux (1963) affirme que pour leurs observations méticuleuses sur les peuples du Brésil, les pères capucins Claude d’Abbeville (1614 [1963]) et Yves d’Évreux appartiennent à ceux qu’il nomme les « grands précurseurs de l’ethnographie française » qu’a connu le tournant des XVIe et XVIIe siècles. Les siècles suivants, de nombreux missionnaires ethnologues se retrouvent du côté des jésuites : Brébeuf en Nouvelle-France (Laflèche 1999; Reichler 2004), plusieurs jésuites au Paraguay (Saignes 1985), d’autres dans les Pays d’en Haut et au Canada (Servais 2005). Avec l’entreprise coloniale et l’époque du « réveil missionnaire », le XIXe siècle semble ouvrir une période de régression. Un examen plus attentif laisse pourtant apparaitre là encore des cas de missionnaires ethnologues et ce, dans la plupart des régions du monde : salésiens en Amazonie, missionnaires anglicans dans le Nord canadien, etc. Il n’en demeure pas moins vrai que la plupart des missionnaires de l’époque se détournent de l’ethnographie pour produire des récits de propagande où l’autre est réduit à un faire-valoir. Les récits de mission deviennent ainsi les pièces maitresses d’un travail d’édification et d’un système de propagande, d’un prosélytisme qui ne s’essoufflera vraiment qu’au milieu du XXe siècle, avec la promotion d’une pensée œcuménique et d’un respect des cultures. Plusieurs revues d’anthropologie du XXe siècle émanent encore d’œuvres missionnaires : il en va ainsi d’Anthropos, une revue fondée par le père Schmidt, d’Anthropologica, la revue canadienne d’anthropologie née en 1955, d’une collaboration entre des missionnaires oblats et des anthropologues, etc. Les missionnaires se montreront enfin de précieux experts sur le plan de l’étude des langues, produisant d’innombrables encyclopédies et dictionnaires. La décolonisation ne fera pas disparaitre pour autant les récits de missionnaires ethnologues. Les exemples de Philippe Chanson (2010) dans les Antilles, de Jacques Dournes (1955) au Vietnam et d’Éric de Rosny (1981) au Cameroun montrent, par ailleurs, comment le missionnaire peut être profondément transformé par l’expérience ethnographique (Burridge 1975; Laugrand et Servais 2013). Certains chercheurs ont tenté de problématiser ces contributions missionnaires en les comparant aux démarches ethnographiques et anthropologiques. Claude Blanckaert (1985: 12) a opposé « l’observation participante » des ethnographes à « la participation observante » des missionnaires, mais il faut bien admettre que les termes s’inversent à l’occasion. De nos jours, les anthropologues ne cessent de (re)découvrir toutes les ressources ethnohistoriques et ethnolinguistiques de ces journaux de bord tenus par les missionnaires européens ou indigènes, catéchistes ou évangélistes, répondant tantôt à la demande d’information de l’autorité institutionnelle de leur congrégation, tantôt à leur propre quête et curiosité. Souvent isolés, certains missionnaires ont sans doute obéi à leur passion personnelle, quitte à refouler leurs enquêtes ethnographiques comme l’illustre le cas du révérend E.J. Peck qui a préféré rester dans l’ombre mais répondre aux requêtes que lui faisait Franz Boas (Laugrand, Oosten et Trudel 2006). D’autres ont voulu suivre les incitations de leurs supérieurs et trouver des pierres d’attente ou des valeurs évangéliques dans les traditions qu’ils découvraient. Pour d’autres enfin, le décodage des cultures répondait à des stratégies de conversion et de communication interculturelle. On connait depuis longtemps la formule : « comprendre pour être compris ». De la traduction des catéchismes ou de la Bible en langue vernaculaire, à la production de traités savants sur la parenté ou la religion primitive, en passant par l’élaboration érudite de dictionnaires qui sont parfois de véritables encyclopédies, plusieurs missionnaires ethnologues ont apporté une contribution majeure à l’émergence de la discipline ethnologique. Même si la question des modes de lecture et des outils d’analyse de ces récits missionnaires fait encore débat méthodologique et épistémologique entre historiens, anthropologues et missiologues. Plusieurs missionnaires ont considérablement contribué aux débats anthropologiques : pensons à l’œuvre singulière du père Joseph-François Lafitau (1983 [1724]) sur la parenté (Duchet 1976; De Certeau 1985; Motsch 2001) ou encore aux travaux de Jacques Leenhardt (Naepels et Solomon 2007). Comme Leenhardt, d’autres figures missionnaires comme Aupiais et Leroy (Mary 2010) se sont mis à l’école des grands maitres de cette discipline savante et universitaire, et notamment de Marcel Mauss. En retour, leurs expériences du terrain et leur production écrite, en concurrence avec celles des administrateurs et d’autres observateurs, ont forgé bien des catégories de l’anthropologie religieuse et symbolique. Missionnaires et anthropologues partagent enfin une position de médiateurs, condamnés à devenir des transfuges ou à concilier les règles que leur groupe d’appartenance impose, avec les expériences et les catégories des autres souvent issus de mondes fort différents.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Gandsman Ari, Vanthune Karine. "Génocide." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.098.

Full text
Abstract:
Si le but premier de l'anthropologie est de faire de notre monde un endroit sans danger pour les différences humaines, tel que l’affirma Ruth Benedict, le génocide, qui a pour but ultime l'élimination systématique de la différence, pose un problème urgent pour la discipline. Au cours des dernières décennies, le rôle et les responsabilités éthiques de l'anthropologue vis-à-vis des groupes auprès desquels il mène ses recherches ont fait l’objet de nombreux débats –dont entre autres ceux conduits par Scheper-Hughes (1995), qui plaide pour un engagement militant des chercheurs au nom d’une responsabilité morale, et d’Andrade (1995), qui argue pour leur neutralité afin de préserver leur objectivité. Toutefois, dans le contexte du génocide, de tels débats n’ont pas leur place, l'anthropologue ne pouvant en être un observateur détaché. L’anthropologie du génocide n’est apparue que vers la fin des années 1990, avec la publication d’Annihilating Difference (2002) de Laban Hinton. Plus généralement, les anthropologues ne s'intéressèrent pas à la violence étatique avant leur intérêt croissant pour le discours et la défense des droits humains, à partir des années 1980. Dès lors, ils s’éloignèrent de l'étude à petite échelle de communautés relativement stables, pour se concentrer sur des objets de plus grande échelle comme l’État, les institutions ou les mouvements transnationaux. Ce changement d’approche eut pour effet de dé-essentialiser le concept de culture, complexifiant du même coup l’analyse des différences humaines et de leur construction et leur réification pour fins d’annihilation. Les approches anthropologiques du génocide en historicisent et contextualisent le concept, en en faisant remonter les origines aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, lorsque les atrocités commises par l'Allemagne nazie furent décrites par Winston Churchill comme « crime sans nom ». Raphael Lemkin, un juriste polonais-juif, inventa le néologisme en combinant genos, le préfixe grec pour « gens », avec cide, le suffixe latin pour « meurtre » (Power 2002). Il fut adopté par le droit international en 1948, via la Convention des Nations Unies sur la prévention et la répression du génocide, qui le définit comme une série d'actes « commis dans l’intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel ». Bien que les anthropologues n’abordassent pas directement le génocide nazi, beaucoup furent impliqués dans ce dernier. L’anthropologue Germaine Tillion, qui fut internée dans le camp de concentration de Ravensbrück après avoir été capturée comme membre de la résistance française, en publia même une étude ([1945] 2015). Le mouvement d’autocritique de la discipline a amené nombre d’anthropologues à relire, au travers du prisme du génocide, la complicité de leurs prédécesseurs avec les projets coloniaux de l’époque. L'« ethnologie de sauvetage », par exemple, a été dénoncée comme ayant problématiquement eu pour prémisse la disparition inévitable et rapide des peuples autochtones. Nancy Scheper-Hughes (2001) a à ce titre analysé la relation ambivalente qu’eut Alfred L. Kroeber avec Ishi, alors présumé dernier survivant d’un peuple décimé. L'anthropologie biologique et physique a pour sa part été accusée d’avoir accordé une crédibilité scientifique à des idéologies racistes ayant légitimé des génocides, comme ce fut le cas en Allemagne nazie. Plus insidieux est le fait que des théories anthropologiques aient pu être appropriées par des promoteurs de discours de différenciation et d’haine raciale, comme par exemple les théories hamitiques, inspirées des études linguistiques et mythologiques de l’indo-européen, qui furent plus tard mobilisées pour justifier le génocide rwandais. La plupart des études anthropologiques contemporaines sur le génocide en examinent l’après. Les anthropologues se concentrent notamment sur la manière dont les génocides sont remémorés et commémorés, en particulier en termes de construction de « la vérité » dans le contexte de projets dits de « justice transitionnelle », ou en relation avec le legs à plus long terme de cette violence, qui peut toucher plusieurs générations. Ce type d’études se centre généralement sur l’expérience des victimes. Quelques travaux, néanmoins, étudient les origines des génocides, et portent alors leur regard sur leurs auteurs –comme ceux de Taylor (1999) sur le Rwanda, ou de Schirmer (1998) sur le Guatemala– et se penchent sur la question du passage à l’acte et de la responsabilité individuelle (Terestchenko 2005 ; Kilani 2014). Ce type d’études prend ce faisant très au sérieux le problème éthique de la représentation du génocide, tel que le décria Adorno, quand il qualifia de barbare l’écriture de poésie après Auschwitz. Si représenter le génocide se présente comme une injonction morale, demeure le danger de le mystifier ou de le normaliser. C’est pourquoi la plupart des anthropologues qui analysent ce phénomène essaient d’être fidèles à l’appel de Taussig (1984) d’« écrire contre le terrorisme ». Ils reconnaissent toutefois les limites de toute approche compréhensive de ce phénomène, le témoin idéal du génocide, comme l’ont souligné Levi (1989) et Agamben (1999), étant celui qui ne peut plus parler. La définition du génocide continue de faire l’objet de débats importants parmi ses spécialistes, dont les anthropologues. Si les cibles d’un génocide sont généralement perçues comme constituant un groupe ethnique ou religieux aux yeux de ses protagonistes, Lemkin avait initialement prévu d'y inclure les groupes politiques. Or ces derniers furent exclus de la définition de la Convention en raison d'objections soulevées notamment par l'Union soviétique, à l'époque engagée dans l’élimination des présumés opposants politiques au régime stalinien. De nombreux chercheurs continuent de plaider pour que la définition du génocide ne fasse référence qu’à la seule intention d'éliminer des personnes sur la base de leur présumée différence raciale. D'autres, cependant, s’opposent à cette restriction de la définition, suggérant au contraire de l’élargir afin d'y inclure les catastrophes écologiques, par exemple, ou la destruction systématique d'identités culturelles, telle que le projetât le système des pensionnats indiens au Canada (Woolford 2009). Si élargir le sens du génocide risque de diluer sa spécificité au point de le banaliser, reste qu’une définition trop stricte du phénomène peut faciliter la contestation d’allégations de génocide pour quantité de meurtres de masse –et dès lors entraver sa prévention ou punition. C’est pourquoi Scheper-Hughes (2002), par exemple, plaide plutôt pour la reconnaissance de « continuums génocidaires ». Selon elle, démontrer le potentiel génocidaire des formes de violence quotidienne et symbolique par le biais desquelles les vies de certains groupes en viennent à être dévaluées, peut contribuer à la prévention de ce type de violence de masse. Un autre sujet de controverse concerne le particularisme de l'Holocauste, tantôt conçu comme un événement historique singulier qui défie toute comparaison, ou comme un phénomène d’extermination de masse parmi d’autres ayant eu pour précurseurs des génocides antérieurs, comme le génocide arménien. Une autre question est de savoir si un génocide ne peut se produire que dans un contexte où ses victimes sont sans défense, ce qui rendrait dès lors l’utilisation de ce concept inadmissible dans des situations où les victimes ont eu recours à la violence pour se défendre. De nombreux travaux anthropologiques ont d’ailleurs remis en cause la nature exclusive des catégories de victime, d’auteur ou de spectateur dans des situations de violence extrême, et ce étant donnée la « zone grise » identifiée par Levi (1989) et discutée par Agamben (1999) –soit ce matériau réfractaire, dans des situations de violence de masse, à tout établissement d'une responsabilité morale ou légale, l’opprimé pouvant devenir l’oppresseur, et le bourreau, une victime. Ce faisant, la plupart rejettent une conceptualisation purement relativiste du génocide, et dénoncent la mobilisation de ce concept pour justifier des programmes politiques racistes ou anti-immigration – comme c’est aujourd’hui le cas en Amérique du Nord et en Europe, où certains groupes fascistes d’extrême droite revendiquent être les victimes d’un « génocide blanc » pour légitimer des politiques xénophobes. La question de qui a l’autorité de qualifier des actes de violence comme constituant un génocide, et au nom de qui, demeure –tel que le démontre Mamdani (2009) dans sa critique du mouvement « Sauver le Darfour ». Qualifier tout phénomène de violence de masse de « génocide » n'est pas qu’un acte de description. Il constitue d’abord et avant tout une action politique qui implique un jugement éthique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Fiorani, Valeria Piacentini. "RICERCHE STORICO-ARCHEOLOGICHE DELL’UNIVERSITÀ CATTOLICA DI MILANO SUL DELTA DELL’INDO (2010-2018)." Istituto Lombardo - Accademia di Scienze e Lettere - Rendiconti di Lettere, May 5, 2020. http://dx.doi.org/10.4081/let.2018.648.

Full text
Abstract:
Historic-Archaeological Research of the Catholic University of the Sacred Heart of Milano on the Indus Delta (2010-2018). The following text is only an abridged note on the excavations at Banbhore and some significant extra-moenia surveys carried out by the Italian Team within the Institutional framework of a “Pak-French-Italian Historical and Archaeological Research at Banbhore” on the basis of a Licence issued by the competent Pakistani Authorities (2010-2015 - Coordinator of the Project Dr Kaleemullah Lashari), and, some later, within a new institutional asset: a “Memorandum of Understanding” (MoU) signed in the 2017 between the Director General of the Department of Antiquities of Sindh (Manzoor A. Kanasro) and the Magnifico Rettore of the Catholic University of the Sacred Heart of Milan (Prof. Franco Anelli). Aims of the said MoU are: (a) historical-archaeological research-work at Banbhore and Rani Kot; (b) training (theoretical and on the job) to selected students and officers of the DAS. The Italian group works under the sponsorship of the Italian Ministry for Foreign Affairs (now Ministry for Foreign Affairs and International Cooperation/MAECI). Scientific director for the Italian Team is Prof. Valeria Piacentini, member of the Board of Directors of the Research Centre CRiSSMA of the Catholic University. In the following dissertation I won’t linger on the debated issue about the identification of the site of Banbhore with historic sites on the Indus delta (the historical Mihrān river) mentioned and described in the written sources of the past. Too many respected scholars and archaeologists have entered this debate since the end of the 19th Century, for which I refer to a well-known exhaustive literature. In the “50s of the previous century, Leslie Alckok – then official to the Department of Archaeology of Pakistan – carried out some preliminary excavations, followed by Dr Rafique Mughal and F.A. Khan. This latter carried out a systematic and extensive archaeological campaign of several years between the “50s and the “60s, well backed by one of the most authoritative Pakistani historians, N.A. Baloch. Khan brought to light extraordinary archaeological and architectural evidence, but, unfortunately, his excavation-notes have gone lost and little or nothing has been published. Thence, our research-work had to start from nothing. First of all and most urgent was an updated planimetric and altimetric study of the site by kite-photos: a massive wall of c. 1,4 km with 55 towers, 7 posterns, and major and secondary accesses to the citadel (2010-2012 by Y. Ubelman, S. Reynard, A. Tilia), regularly updated with advanced technologies (A. Tilia). Then, in collaboration with Dr M. Kervran, head of the French Team, we undertook an accurate study of the bastions and the shapes of its towers (squared, U-shaped, circular), which has brought to envisage three main occupational phases of the intra-moenia area: 1. Indo-Parthian/Indo-Kushan phase (c. III-II Century b.CE – III-IV Century CE); 2. Sasanian/Indo-Sasanian phase (c. III-IV Century – early VIII Century CE); 3. Islamic phase (VIII – XII/early XIII Century CE). Decay and/or abandonment and end of any settled life on the site can be dated around the XII-early XIII Century, due to attacks and pillaging by Turco-Mongol nomadic tribes, and/or the deviation of this branch of the Indus delta and consequent filling of the harbour, or both. Archaeological evidence come to light confirms the historical information. Our third aim (2010-2015) was to arrive to a first chronological panorama of the site through levels in stratigraphy and the assemblage of pottery and other significant evidence with the individual levels (N. Manassero – A. Fusaro – A. Tilia). Deep trenches were excavated (T/7 and T/9 on the Italian side; T/1 on the French side near the western portion of the bastions skirting the Hindu Temple. These brought to the very early Sasanian period or late Indo-Parthian (c. II-III Century CE), then the water-table invaded the trenches preventing us to go deeper; however, drillings (T/9) have allowed to go deeper for c.1,8 mt of shards …thus reaching a much earlier occupational phase. The question about an Hellenistic occupation at the bottom of the site (Arrian’s harbour of Alexander) is still unanswered… a dream…but the importance of Banbhore has induced to take it seriously and include it within our priorities. Ours and the French trenches have also produced significant information on the architectural panorama of the site for its earlier periods of life. A main N-S and E-W road axis was traced. The site was organised in insulae, each insula with its pits of organic and inorganic refusals, densely built along narrow roads by small mono-nuclear houses, roofed, bases in local stones and the elevation in unbacked bricks. Interesting the presence of refusals of some crafts, as if each building had at the same time the function of “home” and workshop. The refusals shew activities of ivory-working (T/1,T/4, T/9), and other crafts carried out “within the bastions of the citadel”, such as glass, shells and mother of pearl, alloys and various metallurgic activities, too, and so on. Significant the presence of a wealth of clay-moulds. T/5 has produced a clay-mould nearly intact in its shape. No less interesting, in the deeper layers, the presence of a well arranged organisation of the hydraulic resources (small canals, little domed cisterns in roughly cut local stones, wells..: T/9). One element of the site attracted our attention: the so called “Partition Wall”. It has a North-South direction; then, it bends Eastwards, including the Mosque and the Eastern lagoon, but cutting out the majestic Southern Gate. So far, it had been interpreted as a Wall that had a “religious” or “social” function to separate – after the Islamic conquest – the Muslims from the non-Muslim inhabitants of the site. Manassero dedicated the 2014 Field-Season to investigate: T/7 and T/8 were the trenches that gave a new profile to this structure and to the general occupational organisation of the citadel during its last period of life. The round-shaped tower in mud-bricks and the walls on both sides show that they had been hurriedly erected in a late phase of the life of the citadel (around the end of the X – early XI Century CE). They had been built on the top of pre-existing buildings either abandoned and collapsed or hastily flatted-down, likely to defend this eastern portion of the site and its Mosque by some human ravage that had succeeded to open a breach in the lower western bastion leaving the higher north-eastern area exposed to attacks (the skeleton found by Dr Kervran on her portion of the wall, and Khan’s skeletons with arrow-heads in their skulls and chests). According to F.A. Khan’s excavations and what he left us in his little booklet that so far – printed and re-printed – is the guide for visitors to Banbhore, in the eastern portion of the site during the latest stage of its life still stood beautiful palaces, the Friday Mosque, markets, and an eastern gate where a staircase (still in situ in the 2015) brought to a lagoon at the foot of the eastern bastions and to the river. At the end of this first stage of our historical and archaeological research-work, the identification of the site of Banbhore with the historic Sasanian/Indo-Sasanian fortified harbour-town seemed quite feasible. When we resumed our field-work in the 2017, we decided to go deeper in this direction. In the meantime, Dr Manassero had resigned due to personal choices of life. Dr Simone Mantellini bravely accepted to be our Field-Director for the archaeological sector. T/9 had unearthed an imposing Building (Building 1) running along the East-West road-axis, parallel to a second Building (Building 2). The road – wide about 5 meters – must have been a major road, that had played a central role within the general architectural urban asset of the site. Building 2 had the typical structure of the local houses: base in rough stones, elevation in mud-bricks. Excavations of Building 1 produced fillings well flatted and an endless chronological procession of floors in row mud, likely the re-occupation of an important palace during the last phase of the occupational life of Banbhore. The material (pottery and others) associated with the various levels in stratigraphy (Dr A. Fusaro) confirmed the dating of the dug portion from c. the early XIII to the XI Century CE. Historically speaking, it makes sense: chronicles of the time report about the invasion of Lower Sindh by the Seljuks (second half of the XI Century CE); they indulge on the assaults against the walls of its great harbour-town named Daybul, its long siege concluded with a peace-treaty that fixed the border with Makrān at Gwadar and gave to Daybul an autonomous status (nāḥiya) within the Seljuk dominion of Qāvurd-Khān ibn Chaghrī Beg. More interesting was the copious filling with ivory refusals. Along Building 2, were found semi-worked shells, glass, iron and brass rivets, iron instruments, alloys, coins and other. This induced to think to a late quarter of work-shops outside the Partition Wall, built on previous buildings. Lastly, some surveys extra-moenia and in the Lahiri Bandar and Mullah-ka Kot islands have revealed a close connection and interaction between these spaces and the citadel. Around the bastions: the remains of a densely settled area and a well organised regulation of the waters and the territory, rock quarries, urban quarters, dwellings, cairn-tombs (some of them re-used), an artificial lake of sweet water delimited to the south by a “barrage”, wells, and a vast so called “industrial area” to the north-northwest of the bastions, pottery kilns and others completed the image of a urban asset at least for a given span of time. Architectural and archaeological evidences have regularly been graphically, photographically and topographically documented (A. Tilia). Archaeometric analyses on the job (pottery, metals, alloys, coins…) and in Italy (ivory, glass, clay-moulds, shards…) have provided precious support and new elements to the archaeological work. We are now confronted with the plan of a positive shahristān. Banbhore is no longer only a fortified citadel. Written sources in Arabic and Persian confirm this feature. After the Jan.-Feb. 2018 field-season, the Islamic occupational phase of Banbhore and the “archaeological park” surrounding it enhanced this image: a positive fluvial and maritime system stemmed out, a well-fortified system and harbour-town, a centre of mercantile power, production and re-distribution of luxury goods, an international centre of pilgrimage and religious learning, too, outlet to the sea of the capital-city of the moment. For the forthcoming field-seasons, it was decided to concentrate the attention on the sector where the North-South axis crosses the East-West one. In particular: to further investigate Building 1; to look for the ivory-workshops that must be there around – given the copious pieces so far brought to light and used as refilling (more than 9.000 fragments) and some fragments of rough ivory (specialist of the Italian Team G. Affanni); to organise a deep-trench in the Pakistani sector (T/11), in order to resume Manassero’s investigations on the urban and architectural features of the pre-Islamic phases...and (why not?) try to overcome the water-table problem with the technological support offered by the Bahrya University of Karachi…the much dreamed quest of Alexander the Macedonian’s port. All in all and to conclude. Nowadays, at the end of this first stage of historical and archaeological research-work in collaboration with the DAS, the identification of the site of Banbhore and its surrounding area with the Sasanian/Indo-Sasanian and the Early-Islamic well-fortified harbour-town of Daybul/Debol can be confirmed. No other site with the characteristics described by the written sources of the time (chronicles, geographies, travelogues…plus Marco Polo and some significant Genoese archival documents) has so far come to light on the Indus deltaic region. Conversely, still un-answered are other queries: Banbhore can be identified also with the great harbour of Alexander the Macedonian? Or with the Barbaricum/Barbarikon/Barbariké, harbour-town of Parthian rulers or local lords of “Skuthia”, also mentioned in the Periplus Maris Erythraei? Or again with Dib/Deb, harbour mentioned in a Parthian-Manichaean text? Or again the Dibos of Greek sources? Or the Dêbuhl/Dêphul of an Arminian text à propos of the Prophet Mani? Wishful thinking; however, these queries represent some amongst the ambitious aims of our future research-work.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography