Academic literature on the topic 'Capital social (Sociologie) – Évaluation'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Capital social (Sociologie) – Évaluation.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Capital social (Sociologie) – Évaluation"

1

PARENTEAU, René. "Écologisme, débat social et évaluation technologique." Sociologie et sociétés 13, no. 1 (2002): 35–48. http://dx.doi.org/10.7202/001545ar.

Full text
Abstract:
Résumé La généralisation de l'emploi des thèmes spécifiques et découlés de l'écologie dans tous les domaines et à tous les niveaux des questions référant à l'environnement pose un immense problème de pertinence. Ce problème de pertinence concerne d'abord l'ouverture extrêmement élastique du domaine de départ, puis l'inscription de groupes d'énoncés descriptifs dans des paradigmes d'explication, enfin la confusion entre la validité des moyens prédictifs et la valeur des instruments de contrôle. L'écologie présente se constitue difficilement en une économie politique du milieu et en une sociologie politique du vivant.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

HAGAN, John, and Bill MCCARTHY. "La théorie du capital et le renouveau du paradigme des tensions et des opportunités en criminologie sociologique." Sociologie et sociétés 30, no. 1 (2002): 145–58. http://dx.doi.org/10.7202/001325ar.

Full text
Abstract:
Résumé La théorie du capital social est devenue très populaire en sociologie contemporaine. On a cependant accordé beaucoup plusd’attention aux conséquences positives de l’accumulation de capital social qu’aux obstacles et aux échecs rencontrés par ceuxqui tentent d’accéder à de telles ressources et de les développer. S’inspirant du paradigme des tensions et des opportunités dela criminologie sociologique et voulant à étendre les études sur les jeunes des écoles aux jeunes qui vivent dans la rue, cetarticle veut montrer qu’une théorie du capital social de la criminalité peut élargir l’évantail explicatif de la criminologie contemporaine.Pour démontrer notre point, nous passons en revue notre propre recherche sur la criminalité et l’itinérance dejeunes de deux villes canadiennes. Nous montrons qu’une conception du capital social qui s’appuie sur l’anomie fournit uncadre théorique flexible pour explorer et expliquer les différences entre différents milieux d’un même pays et de pays différents.Les problèmes des jeunes de la rue et de la criminalité posent aux chercheurs une série de questions qui méritent uneattention internationale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Morselli, Carlo, and Pierre Tremblay. "Délinquance, performance et capital social : une théorie sociologique des carrières criminelles1." Criminologie 37, no. 2 (2005): 89–122. http://dx.doi.org/10.7202/010706ar.

Full text
Abstract:
RésuméCet article soutient la thèse selon laquelle le capital social des délinquants leur permet d’augmenter de manière significative les revenus qu’ils retirent de leurs activités. La démarche utilisée pour rendre opératoire cette proposition a pour effet de renouveler de différentes façons la sociologie criminelle : il ne suffit pas de savoir si un délinquant « fréquente » d’autres délinquants ou non, il faut mesurer la qualité relationnelle et instrumentale des rapports qu’il entretient avec eux et son aptitude à exploiter les opportunités qu’ils ouvrent ; il ne suffit pas de qualifier les délinquants de « chroniques » ou d’« occasionnels », il faut plutôt se demander si leur trajectoire délinquante est « réussie » ou non ; et, finalement, il ne suffit pas de décrire les trajectoires délinquantes, il faut en resituer l’analyse dans le contexte plus large des parcours individuels et collectifs de mobilité professionnelle. Un des bénéfices marginaux d’une telle approche est de remettre en cause la thèse selon laquelle les délinquants seraient inaptes au « succès » en raison de leur témérité, de leur impulsivité ou de leur présentisme. Les données de l’étude proviennent d’entrevues auprès d’un échantillon de 156 détenus fédéraux dans le cadre d’une enquête qui s’intéressait à leur situation financière durant les trois années qui avaient précédé leur incarcération actuelle.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Wister, Andrew V. "Barry D. McPherson, Aging as a Social Process: An Introduction to Individual and Population Aging. 2nd. ed.Toronto and Vancouver: Butterworths, 1990. pp. 473." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 11, no. 3 (1992): 302–4. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800011521.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉCe livre a pour clientèle les étudiants de baccalauréat universitaire en gérontologie sociale, en sociologie et en psychologie du vieillissement. Il devrait toutefois être lu par quiconque est intéressé par le vieillissement, par les personnes âgées elles-mêmes, ou par la discrimination et les préjugés dont ces dernières peuvent être victimes. L'objectifde ce livre est d'élargir notre conscience et notre connaissance du vieillissement autant au niveau de la structure sociale que de l'individu. En plus d'une introduction approfondie aux méthodes utilisées en gérontologie sociale, McPherson traite des concepts de base jusqu'aux cadres théoriques majeurs, et nous propose une évaluation critique des recherches en gérontologie sociale. Tout en maintenant le cap sur la recherche canadienne, il réfère à une abondante documentation multidisciplinaire provenant d'importantes revues nationales et internationales, de livres spécialisés et de rapports gouvernementaux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Fabiani, Jean-Louis. "Une sociologie transcendentale?" Annales. Histoire, Sciences Sociales 65, no. 6 (2010): 1429–39. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900037513.

Full text
Abstract:
Une des caractéristiques les plus remarquables de la sociologie en tant que discipline réside dans le fait qu’elle n’a jamais cessé d’être refondée depuis ses multiples, et souvent incertaines, fondations. On pourrait dire que son style épistémologique dominant est celui d’une science toujours déjà là et encore à venir, partagée entre d’infinies potentialités cognitives et une situation effective dans le monde social marquée par la puissance des obstacles qui ne cessent de surgir sur le périlleux chemin de la scientificité. L’idée qui prévaut est celle d’une science jeune, même si ses premières mises en forme ont maintenant un siècle et demi. Jean-Claude Passeron a parfaitement analysé une telle disposition dans Le raisonnement sociologique et il est inutile d’y revenir en détail. L’anxiété épistémologique constitutive d’un savoir dévolu aux formes de sociation (Vergesellschaftung), dont on s’efforce de repérer les régularités et les automatismes tout en faisant droit aux émergences et aux disruptions, a suscité un espace permanent de discussion autour des principes fondateurs, de la définition de l’objet et des protocoles d’observation et d’analyse jusqu’aux modèles plus ou moins explicites de l’action qui permettent de rendre compte des motifs des agents et des institutions ou bien qui s’affranchissent de tout recours à la motivation au profit d’une mécanique sociale. Très souvent, le débat tend à devenir scholastique, au sens que Pierre Bourdieu donnait à ce terme, particulièrement dans ses Méditations pascaliennes. On peut voir les choses de deux façons: la première consiste à considérer que la surchauffe épistémologique ainsi produite est un impédiment pour la recherche empirique à base monographique et qu’elle n’est qu’un cruel indicateur de la minceur des enjeux de la sociologie universitaire. La seconde consiste à reconnaître dans cette négociation indéfinie le site propre des sciences sociales, comme le montrent les débats récurrents sur les pouvoirs explicatifs réflexifs de la structure et de l’agencéité, particulièrement dans la sociologie de langue anglaise. On doit ainsi constater que la pluralité théorique est inhérente à la sociologie. Il est frappant que la discipline se soit régulièrement trouvée de nouveaux pères fondateurs. On pourrait dire ironiquement qu’elle compte aujourd’hui plus de fils fondateurs que de pères fondateurs, instituant une sorte de démocratie séminale où tout le monde a sa chance. Proposer son paradigme semble être une épreuve dans le cursus honorum du sociologue, pourvu qu’il ait un peu d’ambition et qu’il fasse montre de bonnes dispositions lexicographiques. Un sociologue produit d’abord un vocabulaire destiné à signifier le niveau de sa créativité conceptuelle. Pas de grande carrière sans lexique indexé sur un nom propre: middle range theory et obliteration by incorporation pour Robert Merton, habitus-champ-capital pour P. Bourdieu, justification-cité-grandeur pour Luc Boltanski et Laurent Thévenot, objets chevelus et non chevelus et acteur-réseau – au sein d’un dictionnaire et d’un arsenal métaphorique proprement stupéfiant – pour Bruno Latour. Il est remarquable que ces lexiques coexistent sans produire aucun effet de babélisme: tous les protagonistes continuent de se comprendre parfaitement, même s’ils parlent des langages ostensiblement antagonistes. Il serait sous ce rapport fécond de mener une enquête sur les profondes mutations subies par le lexique weberien de la légitimité dont P. Bourdieu a intensifié et universalisé l’usage: les vocabulaires de la justification et de l’artification en constituent des transpositions assez fidèles dans des cadres de référence épistémologiquement hétérogènes. Le livre de Cyril Lemieux, Le devoir et la grâce, pourrait être lu comme un exemple supplémentaire de cette volonté de produire un lexique nouveau. Il pourrait avoir pour sous-titre: Projet d’une sociologie grammaticale. Ce ne serait pourtant pas rendre justice à un travail extrêmement stimulant qui ne se réduit jamais à la proposition d’un nouveau vocabulaire des sciences sociales, mais qui prend au sérieux la nécessité de construire un espace commun qui transcende les démarcations institutionnelles et les paradigmes locaux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Lahire, Bernard. "La Variation des Contextes en Sciences Sociales. Remarques épistémologiques." Annales. Histoire, Sciences Sociales 51, no. 2 (1996): 381–407. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1996.410853.

Full text
Abstract:
Au début des années 1970, en France, la sociologie de l'éducation a été marquée par les théories (souvent qualifiées de structuro-fonctionnalistes) de la reproduction. Analyses macro-sociologiques recourant essentiellement aux méthodes statistiques, elles tentent de rendre compte des inégalités scolaires par la position des familles des élèves dans les rapports de production économique ou dans la structure de la distribution du capital culturel (et, en particulier, linguistique). L'institution scolaire se présente alors comme une boîte noire traversée par des flux statistiques d'entrées et de sorties. Elle est un lieu de partage, de division ou encore un lieu de retraduction-reproduction des rapports de force entre groupes ou classes de la formation sociale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Lacroix, Michel. "Littérature, analyse de réseaux et centralité : esquisse d’une théorisation du lien social concret en littérature*." Recherche 44, no. 3 (2004): 475–97. http://dx.doi.org/10.7202/008203ar.

Full text
Abstract:
Résumé Partant de l’hypothèse selon laquelle la sociologie des réseaux offre un cadre théorique plus apte que celui du champ littéraire à l’étude des relations concrètes entre écrivains, nous explorons quelques notions qui, issues de l’analyse des réseaux, offrent un grand potentiel heuristique, dont celles de capital social, de centralité et d’autonomie structurale. Ainsi, le cas des relations entre André Laurendeau et La Relève montre que le premier fut central dans le réseau de la revue, sans jamais y être considéré comme membre à part entière. L’identification de cette centralité extérieure dévoile en retour une caractéristique du travail de sociabilité de Laurendeau, qui noue constamment des liens entre groupes, en se dotant par le fait même d’une autonomie sans égal dans le milieu intellectuel canadien-français de l’époque.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Laurent Thévenot. "Vous avez dit « capital » ? Extension de la notion et mise en question d’inégalités et de pouvoirs de domination." Annales. Histoire, Sciences Sociales 70, no. 01 (2015): 69–80. http://dx.doi.org/10.1353/ahs.2015.0074.

Full text
Abstract:
RésuméLe capital au XXIesièclerepose sur des choix dans la définition du capital, des inégalités de sa distribution et des politiques d’un État social à privilégier pour y remédier. Répondant à la proposition émise par l’auteur de favoriser un dialogue entre l’économie et les autres sciences sociales, l’article éclaire les implications de ces choix. Il retrace la généalogie politique du capital « humain » et « intellectuel » et le développement ultérieur d’autres variables-capital utilisées pour mesurer des types différents d’inégalités et évaluer les politiques devant y faire face. Différenciant les modes d’investissement et de mise en valeur – non uniquement marchands – de ces divers capitaux, il précise les pouvoirs associés à chacun d’eux, leurs prétentions à la légitimité en dépit des inégalités qu’ils causent, ainsi que les dominations qu’ils exercent. Vient en retour une interrogation sur la délimitation qu’a retenue Thomas Piketty d’un ensemble de biens-capitaux d’usages très divers, et sur leur compréhension et leur évaluation sous la seule valorisation marchande.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Charron, Hélène. "Hiérarchie de genre et frontières disciplinaires entre le travail social et la sociologie en France et au Québec avant 1960." Articles 26, no. 1 (2013): 9–30. http://dx.doi.org/10.7202/1016894ar.

Full text
Abstract:
L’auteure se penche sur les impacts du processus de professionnalisation du travail social sur la reconnaissance scientifique de la discipline. Elle compare la situation en France, où le service social ne s’est jamais intégré à la structure universitaire, et au Québec, où le travail social s’y trouve dès la naissance des premières facultés de sciences sociales. À mesure que les professionnelles du travail social acquièrent du capital scolaire et de la légitimité dans le champ des professions, elles en perdent – au moins jusqu’aux années 60 – dans celui de la sociologie, malgré des origines disciplinaires en partie communes. L’inégal ancrage universitaire du travail social français et québécois est un facteur explicatif subordonné aux logiques de genre au coeur de la construction d’identités professionnelles qui éloignent les travailleuses sociales et les travailleurs sociaux du travail théorique et de la « neutralité axiologique », deux conditions de plus en plus incontournables de la légitimité scientifique et de l’autonomie disciplinaire dans le champ universitaire, tant en France qu’au Québec.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Lacroix, Jean-Guy. "Sociologie et transition millénariste : entre l’irraison totalitaire du capitalisme et la possibilité-nécessité de la conscientivité." I. Contexte social et institutionnel, no. 30 (May 2, 2011): 79–152. http://dx.doi.org/10.7202/1002658ar.

Full text
Abstract:
L’objectif de cet article est de tracer un portrait du contexte social de l’actuelle transition et de ce qui est en voie d’émergence et qui lance un défi tant à la sociologie présente qu’à celle des prochaines décennies. Le but est de montrer qu’il y a un changement qualitatif, un passage de la modernité à non pas la postmodernité, mais à une autre forme sociohistorique de rapports sociaux, la « conscientivité ». Pour ce faire, l’auteur analyse quatre tendances sociohistoriques : l’évolution du rapport objectivation-subjectivation; l’évolution du rapport capital-sujet; la transformation du rapport identité-solidarité; et, finalement, le changement du système de valeurs. La thèse que soutient l’auteur est que l’actuelle transition concerne simultanément la possibilité et la nécessité de passer à l’ère de la conscientivité, mais que la probabilité de ce passage est remise en question en raison de la possibilité d’une reproduction élargie du capitalisme qui, ainsi, pousserait ses caractéristiques structurales à un haut degré d’exacerbation, niant totalement la légitimité et la primauté du sujet. La première section est consacrée à la question de la structuration génétique de la situation de transition que l’auteur aborde à travers la dialectique de l’objectivation-subjectivation. Sont ensuite examinés trois modes d’objectivation (celui de la production des objets matériels, celui de la production des objets non matériels et celui de la production des objets intelligents) et leurs conséquences sur le développement des possibilités de subjectivation. Les deux sections suivantes s’intéressent à la problématique de la continuité capitaliste, de ses discontinuités (phases longues d’expansion) et de l’épuisement de la modernité. Après avoir indiqué comment la continuité est brisée par des causes endogènes dues à l’incessant affrontement entre les logiques du Capital et du sujet, l’auteur fait état du développement de la crise du mode de régulation fordien-keynésien, en s’attardant aux causes et aux conséquences de la guerre déclarée par le Capital au sujet, à l’incidence sur la forme de la crise de l’épuisement de la capacité d’absorption de la sphère de la consommation et, finalement, à la croissance des possibilités et moyens d’individuation à travers le déploiement des modes de vie fordien puis fordien-keynésien. La troisième section porte sur la possibilité de passer à un nouveau mode de régulation, la régulation discutée-programmée, qui faciliterait un passage à la conscientivité. Y sont abordées successivement les problématiques suivantes : le surgissement du nouveau paradigme technoéconomique, la programmation, et d’un nouveau mode d’aliénation; la transformation du rapport de concurrence; l’émergence de la forme discutée-programmée de régulation à l’échelle mondiale; la durée de la transition compte tenu de l’allure « irraisonnable » que prend la domination du Capital. Dans la quatrième partie du texte, il est question de la transformation des rapports identitaires et de la forme de la solidarité ainsi que du rôle de la volonté du sujet et de la conscience dans cette transformation. Dans la dernière partie, l’auteur s’emploie à montrer la nécessité de passer à un système de valeurs qui transcende les déterminismes des donnés originaux. En conclusion, l’auteur rassemble un certain nombre de remarques afin de définir la conscientivité.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Dissertations / Theses on the topic "Capital social (Sociologie) – Évaluation"

1

Martin-Caron, Laurence. "Contribution empirique à l'appréciation du capital social dans un territoire." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/29630/29630.pdf.

Full text
Abstract:
La pertinence de l'appréciation du capital social des territoires est déjà reconnue par plusieurs théoriciens/praticiens québécois de l'organisation communautaire et de l'analyse de communauté. Toutefois, aucun outil d'appréciation à la fois efficace, utile à l'intervention, économique et permettant l'objectivation des données ne semble exister au Québec. La présente étude est une contribution empirique à 1'appréciation du capital social dans un territoire. Cette contribution consiste en premier lieu à présenter une synthèse des connaissances théoriques et empiriques actuelles sur le capital social. On y présente les évolutions multiples du terme, la polysémie qui en découle ainsi que les constantes qui, à notre avis, transcendent la plupart des définitions. Pour l'essentiel, la notion de capital social retenue pour l'étude se rapporte aux réseaux sociaux à travers lesquels transigent des normes sociales qui régissent les interactions entre acteurs et la circulation des ressources permettant l'atteinte de buts individuels et collectifs. En second lieu, notre contribution consiste en la création d'un outil de mesure du capital social territorial. Une première version de l'outil fut créée en s'appuyant sur la littérature méthodologique produite depuis trois décennies. Les critères d'efficacité, d'utilité, d'économie des ressources et d'objectivation des résultats ont guidé les choix d'activités de mesure pour l'outil d'appréciation du capital social. L'outil ainsi construit fut expérimenté dans le quartier Saint-Roch de la Ville de Québec. Une version finale de l'outil, enrichie de constats sur les défis à relever dans la pratique, est présentée dans l'étude afin d'outiller les intervenants/chercheurs désirant reconduire 1'expérience dans leur localité. Le troisième volet de notre contribution est l'analyse du capital social du quartier Saint-Roch de la Ville de Québec. En cohérence avec le choix de cadre conceptuel et de méthodologie, un portrait du capital social du quartier a été dressé en quatre sections : (1) la composition sociale de la communauté et le degré d'organisation des groupes sociaux (2) les normes de réciprocité, le contrôle social informel et la confiance chez les groupes sociaux et dans la communauté en général (3) la structure associative de la communauté (4) l'information et la communication chez les groupes sociaux et dans la communauté. La démarche a permis de dresser un portrait des dynamiques sociales influençant les interactions entre différents acteurs du quartier Saint-Roch.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Hentati, Sondès. "Contribution à une analyse des représentations sociales des compétences dans le contexte tunisien: une étude en termes de comparaisons entre acteurs en positionnements social et professionnel différents." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2010. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210065.

Full text
Abstract:
Le monde du travail et de la production a connu bien des bouleversements, parmi lesquels les plus actuels sont ceux survenus sous l’effet incontournable des phénomènes de mondialisation et de globalisation des marchés. En effet cette « nouvelle » ère économique, qui s’installe depuis déjà quelques décennies, impose l’ouverture des frontières, de nouveaux modes de réglementations et d’échanges, ainsi que de nouveaux mécanismes de régulation et d’optimisation des moyens et des ressources. Ces mutations se traduisent également par un déplacement des termes synergiques d’efficacité notamment dans une version soutenue « du capital intellectuel » considéré comme le potentiel déterminant quant aux enjeux actuels de compétitivité. <p><p>Si ces développements relatifs à la thèse du capital humain ne constitue pas en eux-mêmes une innovation ni par rapport à la pensée capitaliste ni par rapport à la logique managériale qui en découle, ils peuvent tout de même être retenus come révélateurs de l’avènement d’une nouvelle vision ou philosophie d’optimisation des richesses intellectuelles et des compétences de l’entreprise ;celle qui confère à la notion de compétence une centralité dans l’explication des avantages compétitifs des organisations voire même des pays.<p><p>Ces termes d’analyse nous placent face à la problématique de l’entreprise utilitaire et compétitive d’aujourd’hui, autour de laquelle les recherches en management stratégique ne cessent d’être focalisées. Ces mêmes termes sous-tendent aussi des préoccupations qui ne peuvent se soustraire à la seule option managériale. En effet la question du statut conceptuel de cette notion de compétence, son interprétation dans la dynamique socioprofessionnelle, sa position comme substrat d’analyses interdisciplinaires … constituent la matière réflexive qui alimente différentes contributions sur la problématique des compétences.<p><p>Au vu de ces angles d’analyses disciplinaires, l’on relève des acceptions et des référentiels aussi diversifiés que riches témoignant du caractère intégratif et évolutif de la notion de compétence par rapport aux constructions socio-économiques des sociétés. Celles-ci paraissent surgir des éléments référentiels distincts des modes de pensée à l’égard des compétences.<p><p>Il serait aussi significatif de vérifier ainsi que les compétences ne sont pas seulement soumises à des considérations objectives, elles sont aussi investies par les schémas socio-psychologiques que se construisent les différents acteurs sociaux. De ce fait, leur analyse à travers l’approche des représentations sociales pourrait rendre compte des mécanismes selon lesquels les individus ou groupes trient, orientent et construisent une vision commune sur cet « objet ».<p><p>A cet égard, comprendre comment cet objet est appréhendé, intériorisé, reconstruit et ancré dans les référentiels sociaux comme « un savoir social partagé » nous a conduits à nous investir aussi bien dans le domaine théorique que dans le domaine expérimental des représentations sociales des compétences<br>Doctorat en Sciences politiques et sociales<br>info:eu-repo/semantics/nonPublished
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Zenou, Benoît Pierre Léon. "Le capital social comme un potentiel d'interaction coopérative : Le cas des relations intergénérationnelles familiales." Montpellier 1, 2009. http://www.theses.fr/2009MON10040.

Full text
Abstract:
A partir d'outils et d'approches issus de différentes disciplines, nous proposons une étude économique du capital social individuel permettant de révéler les enjeux économiques et comportementaux de l'introduction de ce concept dans les modèles économiques. Nous le définissons ainsi comme un potentiel d'interaction coopérative, c'est-à-dire un ensemble de ressources permettant aux agents d'accéder aux ressources de leurs partenaires. A partir d'une investigation de description du lien, nous montrons qu'il constitue une forme de capital puisqu'il fait l'objet d'une accumulation, d'une production et d'une dépréciation. Il permet ou facilite les transferts interpersonnels de ressources en diminuant notamment les coûts de transactions qu'ils impliquent. Nous montrons également qu'il peut faire l'objet d'un transfert en médiatisant une ressource relationnelle et particulièrement dans le cas des relations intergénérationnelles familiales. Les transferts descendants de capital social parental à l'enfant et le stock de capital social initial dont il dispose à sa naissance, lui permettent d'accumuler davantage de capital social non apparenté et de disposer d'avantages socioéconomiques certains. En transférant leur capital social, les parents s'assurent du bien être de leurs enfants et accumulent des créances relationnelles qu'ils pourront mobiliser à la fin de leur vie, pour bénéficier de transferts intergénérationnels temporels ascendants. Notre investigation doit être comprise comme un outil permettant de comprendre ce qui se passe dans une relation et dans les échanges interpersonnels qu'elle permet. Appliquées aux relations intergénérationnelles, nous posons la conceptualisation des liens et du capital social, comme un outil incontournable pour la compréhension des relations, de transferts et du patrimoine de l'agent<br>From tools and approaches of different disciplines, we propose an economic study of individual social capital to reveal the economic and behavioral stakes of the introduction of the concept in economic models. We define it as an interactionnal cooperative potential, ie a set of resources which enables agents to access the resources of their partners. From an investigation of the description of the link, we show that it is a form of capital since it is subject to an accumulation, a production and a depreciation. It enables or facilitates interpersonal resources' transfers including reducing transaction costs which involved. We also show that it can be a transfer in mediatized relationship resource and particularly in the case of intergenerational relationships into families. Descendant transfers of parental social capital to child and the stock of initial social capital available to it at its birth, enables accumulate more social capital and unrelate to have some socioeconomic benefits. By transferring their own social capital, parents ensure the well being of their children and accumulate related debts, which they can mobilize at the end of their life to benefit from ascendant intergenerational "transfers of time". Our investigation must be understood as a tool to comprehend what happens in a relationship between two agents and the exchanges they allow. Applied to intergenerational relations, we are laying the ties and conceptualization of social capital as a tool to understand relations, transfers and heritage of the agent
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Salej, Higgins Silvio Steiner Philippe Raud Cécile. "O capital social como infra-estrutura de iniciativas produtivas estudo de caso de um projeto agroindustrial na Colombia /." [S.l.] : [s.n.], 2008. http://basepub.dauphine.fr/xmlui/handle/123456789/193.

Full text
Abstract:
Thèse de doctorat : Sociologie : Université Paris-Dauphine : 2008. Thèse de doctorat : Sociologie : Universidade federal de Santa Catarina (Brésil) : 2008.<br>La thèse est écrite en portugais. bibliogr.131 ref.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Maurer, Indre. "Soziales Kapital als Erfolgsfaktor junger Unternehmen : eine Analyse der Gestaltung und Entwicklungsdynamik der Netzwerke von Biotechnologie Start-Ups /." Wiesbaden : Westdeutscher Verlag, 2003. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39203854t.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Kourbatoff, MIchel. "Une approche émistémologique de la notion de capital." Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010076.

Full text
Abstract:
Si l'on devait résumer, en quelques mots la problématique générale du capital social, il se pourrait bien qu'on en trouve une première formulation relativement satisfaisante dans les trois courtes citations que nous avons souhaité faire figurer en préambule de cette thèse. Rassurons le lecteur, l'objectif de cette recherche n'est pas d'en proposer une lecture philosophique ou même exclusivement politique mais bien d'en faire un objet· d'analyse économique tout en faisant remarquer que la discussion sur ce thème ne peut échapper à un questionnement sur ce que signifie « vivre ensemble» ou « faire société ». En effet, Aristote nous invite à réfléchir sur ce qu'est la relation, sa fonction et ses finalités. Lévy va plus loin en soulevant la question des richesses auxquelles les relations sociales donnent accès. C'est enfin à travers l'opposition entre les philosophies de Hobbes et de Spinoza sur les fondements du « faire société » que se dévoile sous nos yeux toute la complexité du concept et à laquelle aucune des formalisations théoriques passées, présentes et futures, aussi élaborées soient elles, ne peut encore aujourd'hui échapper. Spinoza, pose en effet indirectement la question du rapport de l'homme avec cette idée de capital social. On l'aura compris, le thème est complexe, il n'est certainement pas nouveau et toute tentative de simplification et de limitation de celui-ci à l'une ou l'autre de ses composantes conduit inévitablement à un appauvrissement et une menace pour la recherche elle-même.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Riziki, Mohamed Abdelaziz. "Sociologie de la diplomatie marocaine." Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010264.

Full text
Abstract:
Dans le cadre de cette étude, nous dressons un portrait sociologique de la diplomatie marocaine, et ce, sur la base de la biographie de 278 personnalités marocaines: ministres des Affaires étrangères et de la Coopération, ministres délégués aux Affaires étrangères, secrétaires d'État aux Affaires étrangères, ambassadeurs, marocains dirigeant une organisation internationale ou régionale, quelques personnalités ayant une influence réelle sur l'appareil diplomatique marocain. Nous nous intéressons en particulier aux origines sociales et familiales des diplomates marocains, à leurs origines géographiques, à leurs études (nature et de lieu de formation), à leur capital culturel, aux langues qu'ils sont en mesure de pratiquer, à leurs relations éventuelles avec le Maghzen ou Makhzen, l'appareil d'État au Maroc, à leurs affiliations ou non à des mouvements politiques (formations partisanes et organisations de défense des droits humains) et à des clubs et autres associations, du Maroc et de l'étranger. Le traitement statistique que nous avons effectué permet de constater que presque tous les diplomates marocains, au lendemain de l'indépendance (1956), étaient d'origine urbaine, surtout de la ville de Fès. Cette prédominance de Fès sur la diplomatie marocaine a été atténuée, mais n'a pas disparu pour autant. D'autres enseignements sont à tirer de ce traitement statistique: importance des solidarités familiales et tribales, prépondérance des lauréats de l'enseignement supérieur français et de l'École nationale d'Administration publique de Rabat, primat des filières «Science politique» et «Administration publique», faveurs accordées par le Palais royal à des diplomates parachutés issus de la bourgeoisie et de l'aristocratie, mais aussi aux membres des partis politiques favorables au régime politique en place, les fameux « partis cocottes-minute», etc. . . De manière générale, le pouvoir royal est considérable en matière de nomination des diplomates. Cela est particulièrement visible dans le choix et la nomination des diplomates n'appartenant pas à la carrière. Sur le plan méthodologique, nous avons opté pour la prosopographie, une démarche qui s'efforce d'identifier les personnalités afin de mieux les «situer» en tant qu'acteurs de la vie sociale, politique et diplomatique du Maroc, en nous intéressant particulièrement à leur personne, à leurs origines et relations sociales.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Lefebvre, Vincent. "L'utilisation et les apports des réseaux formels d'entrepreneurs : propositions théoriques et évaluation : le cas du CJD La Défense." Thesis, Paris, CNAM, 2016. http://www.theses.fr/2016CNAM1063/document.

Full text
Abstract:
Notre thèse s'inscrit dans un contexte français marqué par l'augmentation des réseaux d'entrepreneurs, dont on connaît encore peu le fonctionnement et les bénéfices, la recherche en entrepreneuriat s'intéressant davantage au réseau personnel de l'entrepreneur au détriment de l'analyse des réseaux fermés d'entrepreneurs. Pourtant, leur importance pour la construction et la consolidation du capital social des membres a été soulignée ces dernières années. L'objectif de notre thèse est de proposer un cadre théorique et méthodologique permettant d'évaluer les apports des réseaux formels d'entrepreneurs dans une perspective de capital social. A partir des contributions récentes relatives au réseau de l'entrepreneur, au capital social généré par l'activité de réseautage et à la communauté de pratique, nous présentons un cadre théorique permettant d'étudier les flux de conseils, d'opportunités d'affaires et de ressources tangibles circulant dans les réseaux formels d'entrepreneurs, ainsi que la création de valeur perçue pour les membres. Une méthodologie de recherche mixte (questionnaire sociométrique et entretiens semi-directifs) est mobilisée pour étudier cette problématique dans le cadre du Centre des Jeunes Dirigeants La Defense. Sur l'ensemble des neuf propositions formulées à partir de notre modèle de recherche, quatre sont entièrement validées, deux confirmées partiellement et trois infirmées. Nos résultats indiquent que la position structurale dans le réseau, le contenu et les bénéfices perçus de l'activité de réseautage varient selon le profil des membres (le profil d'entrepreneur, défini sur la base de l'expérience entrepreneuriale et le profil de réseauteur, défini sur la base de l'expérience de réseautage). Nous présentons les implications théoriques, méthodologiques et pratiques de notre recherche pour l'étude des réseaux formels d'entrepreneurs et leur utilisation par les membres<br>In France, an incresing number of entrepreneurial networks have been launched during the last years. However, we know little about their functioning and benefits, as research in entrepreneurship is traditionnally more interested in stidying the entrepreneur's personal network rather that networks of entrepreneurs. Yet their importance to the construction and the consolidation of their members' social capital has been highlighted in recent years. The objective of our thesis is to propose a theoretical and methodological framework for assessing the benefits of formal entrepreneurial networks in a social capital perspective. We articulate three main streams of research relative to the entrepreneur's personal network, to social capital and communities of practice, in ordre to elaborate a theoretical framework for studying the flows of advice, business opportunities and tangible resources circulating within formal entrepreneurial networks as well as the outcomes of these networks in terms of perceived value creation. A mixed research methodology (sociometric questionnaire and semi-structured interviews) is used to study the Centre des Jeunes Dirigeants La Defense. Out of the nine propositions we formulate on the basis of our research model, four are fully validated, two are partially confirmed, and three are rejected. Our results indicate that the structural position in the network, the content and the perceived benefits of networking activities vary according to the members' profile (the entrepreneurial profile, defined on the basis of entrepreneurial experience and the networking profile, defined on the basis of networking experience). We present the theoretical, methodological and practical implications of our research for the study of formal entrepreneurial networks
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Salej, Higgins Silvio. "O capital social como infra-estrutura de iniciativas produtivas : estudo de caso de um projeto agroindustrial na Colombia." Paris 9, 2008. https://bu.dauphine.psl.eu/fileviewer/index.php?doc=2008PA090064.

Full text
Abstract:
The concept of social capital is widely used in the social sciences today. We risk appearing obvious by affirming that the use of the term has created a tower of Babel in research programs. This study is based on a basic distinction: it recognizes that there is a difference between understanding human interactions as a resource at the service of individuals and understanding them within a process of collective action. The first perspective follows the altered trail blazed by micro-economics that seeks to re-found social theory on a basis of individual decision theory. In this sense, I assume that there are interdependent individual choices, however, social mediations that facilitate these choices are considered endogenous to the calculation of individual utility. With this explanatory route, cooperation, if it exists, is a collateral effect for the search for individual interest. The second perspective travels along the neo-structural path, inspired by Simmel, which seeks to capture emergent regularities. That is, it is not programmed by individuals, in repeated of interaction. In this sense, and without denying the strategic action of individuals, it assumes that there are exogenous mediations, pre-fixed and not pre-fixed, which help or hinder the joint production of collective goods or services. According to this explanation, cooperation, if it exists, is the result of organizational arrangements that channel the negotiation and conflict of individual interests. With the latter strategy in mind, an analytical table was constructed to understand the constitution of a productive initiative with small palm oil producers. The extreme conditions found in a context of political violence and illegal economic activities allow submitting the conjecture of social capital to a particular test, understood in a non-instrumental form as the infrastructure of economic production processes. Micro-institutional analysis techniques were combined with social network analysis. It was found that the construction - under the extreme conditions of political violence and illegal economic activities - of a productive arrangement rich in social capital, presupposes that the group implementing the process use a pedagogy that balances input incentives with output costs for the beneficiaries, who depersonalize access to useful information; which considers the spatial proximity of production, homophilic collaboration choices; and the weakness of kinship ties as a mechanism for lateral social control
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

David, Quentin. "Five essays on human and social capital." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2009. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210298.

Full text
Abstract:
Chapter 1: The Determinants of the Production of Research by US Universities<p>Chapter 2: Investment in Vocational and General Human Capital: A Theoretical Approach<p>Chapter 3: Urban Migrations and the Labor Market<p>Chapter 4: Local social capital and geographical mobility<p>Chapter 5: Social Supervision and Electoral Stability on the Geographical Scale in Belgium<br>Doctorat en Sciences économiques et de gestion<br>info:eu-repo/semantics/nonPublished
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Books on the topic "Capital social (Sociologie) – Évaluation"

1

Ponthieux, Sophie. Le capital social. Découverte, 2006.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

John, Field. Social capital and lifelong learning. Policy Press, 2005.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Franke, Sandra. La mesure du capital social: Document de référence pour la recherche, l'élaboration et l'évaluation de politiques publiques. Projet de recherche sur les politiques, 2005.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Kemenade, Solange Van. Social capital as a health determinant : how is it defined? =: Capital social comme déterminant de la santé : comment le définir? Health Canada = Santé Canada, 2003.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Atelier sur le capital social (2003 Lac Meech, Québec). Atelier sur le capital social, juin 2003: Les concepts, la mesure, et les incidences sur les politiques. Projet de recherche sur les politiques, 2003.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Social capital and economic development. Routledge, 2002.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

1950-, Boutilier Robert Gordon, Wheeler David, and Canadian Institute of Chartered Accountants, eds. Stakeholder relationships, social capital and business value creation. Canadian Institute of Chartered Accountants, 2003.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Huysman, Marleen, and Volker Wulf. Social capital and information technology. MIT Press, 2004.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Expert Workshop on the Measurement of Social Capital for Public Policy (2004 Ottawa, Ont.). Expert Workshop on the Measurement of Social Capital for Public Policy: Synthesis report = Atelier d'experts sur la mesure de capital social pour des fins de politiques publiques [ressource électronique] : rapport de synthèse. Policy Research Initiative = Projet de recherche sur les politiques, 2004.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Pécaud, Dominique. Risques et précautions: L'interminable rationalisation du social. Dispute, 2005.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Book chapters on the topic "Capital social (Sociologie) – Évaluation"

1

Bevort, Antoine. "11. Le capital social : une problématique pour la sociologie de l'entreprise comme « forme sociale »." In Le capital social. La Découverte, 2006. http://dx.doi.org/10.3917/dec.bevor.2006.01.0193.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography