Academic literature on the topic 'Capitalisme – Histoire'

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Dissertations / Theses on the topic "Capitalisme – Histoire"

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Marseille, Jacques. "Empire colonial et capitalisme français : histoire d'un divorce /." Paris : A. Michel, 2005. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb399095101.

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Dutraive, Véronique. "Les fondements de l'analyse institutionnaliste de la dynamique du capitalisme." Lyon 2, 1992. http://theses.univ-lyon2.fr/sdx/theses/lyon2/1992/dutraive_v.

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Abstract:
Il existe, dans la théorie économique, des analyses explicites et des analyses implicites de la dynamique du capitalisme. Le courant institutionaliste (Thorstein Veblen (1857-1929) et John Roger Commons (1862-1945) présente une analyse explicite, originale, mais éclatée de la dynamique du capitalisme. Nous proposons une présentation unifiée de cette analyse à partir des fondements reconstitués d'une pensée institutionnaliste. Nous avons retenu au titre des fondements de la pensée institutuionnaliste : - une approche évolutionniste et institutionnaliste de la dynamique des systèmes économiques qui se manifeste par l'intérêt pour la genèse des formes institutionnelles dominantes - les institutions étant conceptualisées comme un ensemble cohérent et stabilisé d'habitudes de faire et de pensée, de règles et de coutumes qui homogénéisent les comportements des acteurs et s'incarnent dans des structures sociales. L'institution constitue une catégorie causale fondamentales dans l'analyse des phénomènes économiques dans la mesure où les dimensions cognitives et praxéologiques des comportements ont une forte détermination institutionnelle. La dynamique évolutionniste est conceptualisée en termes de conflits entre les comportements et des structures relatives à des logiques insitutionnelles concurrentes ; la résolution de ces conflits se manifeste par la création de nouvelles règles institutionnelles et des formes supérieures de rationalisation des comportements<br>The economic theory gives explicit and implicit analysis of the dynamics of capitalism. Old institutional economics (thorstein Veblen (1857-1929) and John Rogers Commons (1862-1945) presents an explicit, original but split analysis of the dynamics of capitalism. We propose a unified presentation of this analysis from the reconstituted grounds of an institutionalist thought. We have retained as grounds of the institutionalist thought : - an evolutionist and institutionalist approach of the dynamics of the economic systems shown in the interest in the elaboration of the dominant institutional forms. The institutions are conceptualized as a coherent and stabilized set of making and thinking habits, of rules and customs which homogenize the behaviors of the actors and are embodied in social strucutres. The institution constitutes a fundamental causal category of the analysis of economic phenomena. In fact cognitive and praxiological attributes of the behaviours are strongly institutionally determined. The evolutionist dynamics is conceptualized in terms of conflits between behaviours and structures connected with competing institutional logics; the setting of those conflicts shows itself in the creation of new institutional rules and higher forms of behaviours rationalization
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Guien, Jeanne. "Obsolescences : philosophie des techniques et histoire économique à l'épreuve de la réduction de la durée de vie des objets." Thesis, Paris 1, 2019. http://www.theses.fr/2019PA01H207/document.

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Abstract:
La notion d’obsolescence met en jeu notre rapport aux objets et à l’action, nos représentations de l’histoire et du temps. Elle questionne le devenir des techniques, la négativité à l’œuvre dans l’histoire des pratiques. C’est une notion controversée, dont les enjeux sociaux, économiques et écologiques font débat. La controverse actuelle, focalisée sur la notion d’ «obsolescence programmée», tend cependant à réduire l’obsolescence à une pratique dissimulée, sur la base de discours postulant toute sorte de déterminismes historiques. Cette thèse propose d’élargir la réflexion à l’ensemble des produits éphémères et des notions qui les désignent, afin d’étudier l’histoire de leur mise en marché et en discours. Par une enquête historique et philosophique, on montre que la réduction de la durée de vie des objets est depuis deux siècles une pratique courante qui a fait l’objet de théorisations publiques, tantôt critiques, tantôt apologétiques, en Europe et aux États-Unis. L’obsolescence, mise en récit, est traitée tantôt comme une conséquence de l’activité humaine, tantôt comme une loi de l’économie, de la nature ou de l’histoire. Critiquant cette approche, comme celle qui réduit l’obsolescence à un vice caché, cette thèse étudie des objets officiellement conçus, vendus et achetés pour leur durée de vie limitée — les produits jetables — et montre comment la jetabilité a été construite comme une propriété distinctive et valorisante de produits fort divers, et fort utilisés. À partir du cas du gobelet jetable, on analyse la réduction de la durée de vie des objets comme limitation de leur présence au monde, occultation de leur réalité économique, matérielle et environnementale<br>The notion of obsolescence adresses our relationship with objects and human action, our representations of history and time. It challenges technological and social change. It is a controversial topic, raising environmental, economic and social issues.However, focused as it is in France on the notion of "programmed obsolescence”, the current controversy tends to confine the debate to concealed practices, on the basis of considerations conveying a deterministic view of history. This dissertation broadens the scope of reflection and discusses all commercial short-lived products and all the notions used to qualify them. Since they have been on the market for two centuries, we argue on the basis of a historical and philosophical inquiry that shortening the lifespan of objects has been a common and open practice in Europe and the United States. Throughout the XIXth and XXth centuries, obsolescence has been theorized, criticized or promoted publicly in various narratives, which often define it as an effect of human activity, or uses it as a law of economics, nature or history. In order to criticize these approaches and reinforce the demonstration that commercializing obsolescent products has been a public and accepted practice, this dissertation examines the case of objects publicly designed with a limited lifespan : disposable products. We argue that disposability has been constructed as a distinctive and positive feature of a wide range of various products. Through the case study of disposable cups, we ultimately consider some pathways for further research on the shortened lifespan of objects, as devices used to conceal their own social, material and environmental reality
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Dupont, David. "Les compagnies occidentales dans l'économie mondiale : origine institutionnelle des organisations du capitalisme industriel." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/32963.

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Abstract:
La généralisation du salariat, une rationalisation accrue des procédés de fabrication et le décollage d’une économie puisant en elle-même les principaux leviers de sa croissance figurent parmi les phénomènes générés par l’industrialisation au 19e siècle. Embrassant des pans toujours plus nombreux de l’activité économique, cette grande transformation qui colora de manière indélébile plusieurs aspects de la vie en société mena au développement d'importantes organisations capitalistes assujetissant un nombre grandissant de ressources matérielles et humaines à leur mode de fonctionnement. Ces organisations connurent une ascension fulgurante au 20e siècle, préparant le chemin à une transformation en profondeur de la société. La pierre d’assise au déploiement de ces organisations capitalistes fut d’abord une institution, la société par actions (compagnie), dont la présente thèse retrace la genèse. L’institutionnalisation des compagnies s’est étendue sur plusieurs siècles. Les coutours de cette institution furent, à travers le temps, façonnés par cette large trame d’échanges culturels et commerciaux liant entre elles plusieurs parties du globe et dans laquelle les compagnies se sont inscrites. À chaque modification significative de l’institution voit-on en effet que l’insertion des compagnies dans cet univers presque mondial joua un rôle clef, qui mérite d'être davantage souligné, ce à quoi vise la présente thèse. Sans que soient pour autant gommés ces jalons essentiels posés par le monde occidental dans cette aventure, la présente thèse fait ainsi une large place à ces points de vue de « l’histoire globale » qui focalisent leur attention sur les relations entre les civilisations sur le temps long. Ces perpectives ajoutent à l’image qui se dégage d’une institution séculaire, s’étant construite en plusieurs étapes, avant de servir de creuset à la fabrication industrielle des marchandises. De cette genèse de l’institution de la compagnie (des cités-États italiennes du Moyen Âge à l’industrialisation), trois moments ont été distingués, structurant en trois parties la thèse qui débute avec l’époque charnière de l’an mil. Partie 1. Après des siècles d’invasions, l’Europe de l’Ouest offre une image morcelée. Ses foyers de peuplement se sont pour la plupart recroquevillés économiquement et politiquement dans des seigneuries. Tandis que tardent à surgir des pouvoirs tutélaires instituant les cadres propices au commerce de longue distance, les quelques marchands qui s’aventurent à travers les territoires se regroupent en caravanes. Ce sont ces pionniers qui, allant à la rencontre de civilisations riches en trésors (matériels et intellectuels), introduisent en Occident des marchandises exotiques, mais aussi les techniques comptables et financières soutenant l’essor commercial subséquent de l’Europe de l’Ouest. L’institution de la compagnie en tire à première vue son origine. Partie 2. La montée des États absolutistes du régime westphalien conduit à l’encastrement des compagnies dans les politiques mercantilistes des monarchies au moment où l’Occident joue un rôle de plus en plus déterminant au sein des réseaux commerciaux de l’économie mondiale. Les compagnies responsables du transit des marchandises se voient alors assujetties aux visées d’intérêt national (politiques économiques, diplomatiques et militaires, notamment) des États absolutistes avec lesquelles l’objectif de rentabilité aura à composer. Partie 3. Au 19e siècle, la Grande-Bretagne, qui fait l’expérience de l’industrialisation, cherche à se délier des charges de la colonisation et adopte des politiques commerciales de facture plus libérale. Pour les économies subalternes, la nouvelle conjoncture commande un repositionnement. L’économie québécoise incarne alors l’archétype de ces transformations. On y cherche alors de nouveaux moteurs économiques tandis que ses liens commerciaux et impériaux avec la Grande-Bretagne se dénouent. Délier les sociétés par actions de leurs obligations en regard des objectifs concrets visant l’intérêt public apparaîssait comme une avenue prometteuse, qui fut d’ailleurs empruntée. Cette nouvelle formule institutionnelle fournit le terreau dans lequel prit forme une configuration sociale inédite, dominée par de grandes organisations et les principes de gestion qui les animent. L’organisation, en tant que forme sociale, devint ainsi le noeud liant entre eux un nombre croissant de choses et d’acteurs. En resituant l’évolution de l’institution de la compagnie dans la trame générale du commerce mondial, en plus de s’intéresser au procès d’engendrement de la société postmoderne, la présente thèse jette aussi un éclairage sur 1) les origines du capitalisme et sur 2) la montée en puissance de l’Occident dans l’économie mondiale. L’institution de la compagnie constitua en effet autant une manifestation de ces changements qu’un des principaux instruments les ayant rendu possible.<br>The generalization of wage labour, an increased rationalization of manufacturing processes, and the taking-off of an economy that draws from within itself the main propellants of its growth are among the phenomena generated in the 19th century by industrialization. Embracing a growing number of economic activities, this great transformation not only colored indelibly many aspects of life in society, but it also implicated the deployment of important capitalist organizations, which integrated in large numbers material and human resources, subjecting them to their modus operandi. This corporate body, the organization, experienced a meteoric rise in the 20th century, paving the path to a society less structured by the modern state. The building block of the organization was an institution, the company, and it is the genesis of this entity that the present thesis aims to trace. The institutionalization of the organizations of industrial capitalism spanned several centuries. The customs of these institutions were, through time, shaped by the broad framework of cultural and commercial exchanges that linked several parts of the globe and in which the companies were implicated. In each significant shift in the development of the institution, we see that the insertion of companies in this almost global universe played a key role. Without minimizing the importance of the milestones achieved by the Western world in this saga, this thesis attributes a large place to “global history” perspectives, which focus on the relations between civilizations over time. These perspectives add to the image that emerges of a secular institution, built in several stages and then used as a crucible for the industrial manufacture of goods. In this genesis of the institution of the company (from the Italian city-states of the Middle Ages through to industrialization), three key moments were identified, which served to structure this thesis into three parts, beginning with the turning point of the year 1000. Part 1. After centuries of invasions, Western Europe portrays a fragmented image. Its population centers are for the most part economically and politically divided into seigneuries. In the period preceding the emergence of tutelary powers, which established a framework that was conducive to long-distance trade, the few merchants who ventured across the territories formed caravans. It was these pioneers who, while venturing to meet treasure-rich (both material and intellectual) civilizations, introduced not only exotic goods into the West, but also accounting and financial techniques that supported the subsequent commercial development of Western Europe. At first glance, the company’s institution derives its origin from this. Part 2. The rise of the absolutists states of the Westphalian regime led to the intertwining of companies in the mercantilist policies of the monarchies at a time when the West played an increasingly decisive role in the commercial networks of the world economy. This subjected the companies responsible for the transit of goods, as well as their objectives for profitability, to the national interests (economic, diplomatic and military policies, in particular) of the absolutists states. Part 3. In the 19th century, parts of Great Britain were undergoing industrialization, and in seeking to free itself from the burdens of administrating colonies, it adopted more liberal trade policies. For subordinate economies, the new commercial climate forced them to shift their strategies. Quebec’s economy during this period embodied the archetype of this transformation. It was forced to seek new economic engines, as its trade ties with the empire unraveled. The empowerment of corporations, through a disembedding from public policy, appeared to be a promising avenue. This new institutional formula provided the breeding ground for an unprecedented social configuration, dominated by large organizations and the management principles that drive them. The organization, as a social form, would thereafter become the knot that binds together a growing number of entities and actors. By resituating the evolution of the institution of the company in the general framework of world trade, in addition to taking an interest in the generation of postmodern society, this thesis also sheds light on 1) the origins of capitalism and 2) the rise of the West in the world economy. The establishment of the company was as much a manifestation of these changes as one of the main instruments that made them possible.
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Chassaing, Jacques. "Ordres productifs et instabilité des modes de financement : la fragilite financière comme double contrainte." Lyon 2, 2004. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2004/chassaing_j.

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Abstract:
Il s'agit dévaluer les relations entre les formes de la fragilité financière et les ordres productifs et de montrer que la nature de cette fragilité obéit à une structure de double-contrainte. La fragilité financière de l'ordre productif corporatif est la résultante d'un système de réciprocité entre un espace économique stable et un espace politique précaire. Leur articulation obligée mais source d'opposition induit une instabilité chronique. La fragilité financière du capitalisme commercial provient de l'espace économique. Face à la croissance, l'économie rentière s'ouvre à la concurrence pourtant facteur de sa disparition. L'espace légal ne limitant pas les asymétries d'information, l'interaction rente-marché donne sa forme spécifique à la fragilité financière. Le financement du capitalisme émergent s'engage dans la voie de la banque, de ses capacités d'expérimentation et de coordination. L'absence d'un système légal efficient est cependant source d'un hasard moral à l'origine d'une fragilité de l'intermédiation de crédit "côté passif" induisant des paniques. La fragilité financière du capitalisme de maturité présente une dualité. Lorsque l'intermédiation bancaire domine, la croissance favorise une sélection adverse débouchant sur la fragilité de l'intermédiation de crédit "côté actif" source de crises bancaires. Quand le financement de marché se développe, l'asymétrie d'information constitutive du marché en annonce aussi le déséquilibre potentiel par des processus mimétiques de surréaction générant des bulles financières endogènes. Une structure de double-contrainte est toujours mise en évidence pour comprendre les formes historiques de la fragilité financière.
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Andreu, Maurice. "Sur la théorie de la "crise générale du capitalisme", la génèse du concept de "CGC" : contribution à une histoire des idées économiques dans l'Internationale Communiste de 1919 à 1929." Paris 13, 2000. http://www.theses.fr/2000PA131012.

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Abstract:
La thèse étudie la pensée économique des chefs du mouvement communiste entre le moment ou se forme la troisième internationale (la révolution russe et la fin de la guerre mondiale) et celui ou, dix ans plus tard, elle adopte l'expression << crise générale du capitalisme >> pour designer l'état du monde depuis 1914. Les fondateurs de la comintem supposaient que leur action mettrait fin au capitalisme par la force des armes. La base économique de cette hypothèse révolutionnaire était que la concurrence des unperialismes, donc la guerre, entraînait la destruction de la classe ouvrière et qu'une réaction violente de la société ouvrirait le chemin du pouvoir au parti prolétarien, s'il savait s'en servir. L'histoire des idées économiques de l'ic, jusqu'en 1929, montre comment le marxisme peut être utilise pour nourrir une pensée stratégique. S'il s'agit de faire la guerre au capitalisme, il faut comprendre et exploiter toutes les contradictions de la concurrence capitaliste qui divisent la bourgeoisie, qui condensent et polarisent le conflit social et qui provoqueront une crise révolutionnaire. Mais cette pensée n'est cohérente et opérante que si la guerre continue, or elle est suspendue depuis 1919 (et 1921 en Russie). L'hypothèse révolutionnaire de Lénine, maintenue malgré tout en 1919, encore mise en oeuvre en 1920-1921, notamment par Boukharine et Trotsky, se disloque et disparaît de 1922 a 1924 (première section). L'ic reconnaît alors une certaine << stabilisation >> du capitalisme et son projet révolutionnaire mondial semble dans une impasse. Pour en sortir, Boukharine, suivi par Varga, propose en 1928 d'inclure dans une << crise générale du capitalisme >> la période qui préparera la prochaine guerre, même si elle est relativement pacifique et prospère. Cette conception de la cgc appartient à Boukharine. Staline n'en conservera que le nom après sa victoire et le << grand tournant >> de 1929 (deuxième section).
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Thibeault, Régis. "L'essor de l'industrie laitière et du capitalisme agraire au Saguenay, XIXe et XXe siècles." Doctoral thesis, Université Laval, 2002. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28591.

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Abadie, Francis. "De la genèse des institutions économiques du capitalisme : pour une intégration de la psyché humaine à la problématique de la justice sociale." Toulouse 1, 2001. http://www.theses.fr/2001TOU10072.

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Abstract:
Après avoir montré que ni le paradigme holiste, ni le paradigme néoclassique n' expliquaient l' existence du marché, de la coopération et de la firme, l' auteur tente d' endogénéiser ces institutions en articulant la conception de la rationalité proposée par l' Analyse Transactionnelle et la conception de la justice proposée par L. Boltanski et L. Thévenot<br>After showing that both holist and neoclassical paradigms cannot explain the existence of market, cooperation and hierarchy, the author tries to endogenise these institutions connecting the conception of rationality proposed by Transaction Analysis with the conception of social justice proposed by L. Boltanski et L. Thevenot
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Gervais, Pierre. "Marchands et producteurs indépendants de l'économie de marché au capitalisme : le cas de Trenton, New Jersey : 1800-1860." Paris, EHESS, 1993. http://www.theses.fr/1993EHES0020.

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Abstract:
Ce travail analyse un mode d'organisation economique et sociale centre sur l'activite marchande aux etats-unis au debut du xixe siecle, et baptise economie de marche, et montre que les contraintes inherentes a ce mode d'organisation expliquent l'apparition du capitalisme. En economie de marche, les producteurs independants representent 97 a 99% de la population active. Les marchands vivent de monopoles ou oligopoles qu'ils obtiennent en suspendant toute concurrence entre eux. Cette solidarite leur permet d'imposer aux producteurs independants des prix sans rapport direct avec le prix d'equilibre prevu par l'economie classique. Les profits marchands sont trop importants pour etre compatibles avec un fonctionnement normal du marche, la solidarite marchande est seule garante de ces profits, et la confiscation des moyens d'acces au marche par les marchands empeche les producteurs independants de sortir de leur role. La "revolution des transports" est en continuite avec ce passe. Aucune tendance a l'apparition de methodes capitalistes ne se manifeste dans les transports avant 1850. En revanche, leur progres permet aux marchands d'imposer la specialisation des producteurs grace a des avantages concurrentiels favorisant la prise en charge de toute la production par le producteur le mieux place dans chaque branche. Marchands et producteurs ont de plus en plus de mal a gerer cette specialisation menee a un rythme sans cesse plus effrene. Les gaspillages induits amenent finalement certains a rechercher de nouvelles solutions. Le capitalisme permet de cesser de redistribuer aux<br>This research shows that the united states at the beginning of the xixth century was characterized by a specific social and economic system, organized around merchant activity, and which is called here "market economy". Moreover, the constraints of this system explain the birth of capitalism. In the market economy, independent producers represent 97 to 99% of the active population. Merchants live off monopolies or oligopolies, built through the avoidance of any competition between the merchants themselves. This solidarity enables merchants to force independent producers to accept prices not directly related to the equilibrium price postulated by classical economy. Merchant profits are too big to be explainable by the normal workings of the market. While merchant solidarity is the only way to guarantee these profits, and the monopolization by the merchants of all the means of access to the markets help keep independent producers within their own sphere. The "transportation revolution" continues this past. No trend toward modern capitalistic method appears in the transportation business before 1850. The progress of transportation, however, enable merchants to force producers to specialize, because of the increasing influence of competitive advantages. In each branch of production, the best placed group of producers end up taking over the whole production. Merchants and producers alike manage this accelerating specialization with increasing difficulty. The ensuing waste
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Daumalin, Xavier. "Marseille et l'Ouest africain : cycle des oléagineux, attitudes coloniales, capitalisme portuaire : 1841-1956." Paris, EHESS, 1992. http://www.theses.fr/1992EHES0057.

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Abstract:
L'histoire des echanges entre marseille et l'ouest africain entre 1841 et 1956 est marquee par le developpement et le declin du cycle des oleagineux. Grace a des societes qui associent le negoce, l'armement et l'industrie, les arrivages d'oleagineux augmentent de 5 a 127. 000 tonnes entre 1941 et 1881. Mais les marseillais ne sont pas des boutefeux de l'expansion coloniale : leur ideal est fonde sur la recherche d'une modus vivendi avec les chefs locaux. La grande depression des annees 1882-1897 change cette attitude et les marseillais tentent d'enrayer leur declin commercial en pronant la conquete du bahomey. En meme temps, ils renoncent a l'integration industrielle. La troisieme phase du cycle des oleagineux (1898-1929) est celle des occasions perdues : la part de marseille dans le total des exportations d'arachides de l'afrique occidentale chute de 57 % a 21 %. La principale raison de ce declin est a rechercher dans les structures du capitalisme marseillais ou la notion d'innovation se reduit le plus souvent a a recherche d'une economie immediate. La crise de 1929 et l'entree en scene de l'etat modifient les donnees du probleme. L'etat brise la predominance seculaire du cycle des oleagineux et les milieux d'affaires s'interrogent sur l'utilite et le cout des colonies<br>From 1841 to 1956 the history of trading between marseilles and west africa was primarily affected by the development in the oilseed cycle. With the help of integrated firms, oil-seed imports increased from 5 to 127. 000 tons between 1841 and 1881. But the people of marseilles were not the igniters of colonial expansion : their ideal was above all to reach a compromise with the african chiefs. The great slump of 188-1897 changed the tendancy and the marchands in marseilles recommended that dahomey should be placed under french administration. In the same time, they withdrew from integration. The third stage of the oil-product cycle (1898-1929) was a stage of missed opportunities. The fall of this decline was primarily due to the structures of marseilles capitalisme where the innovation consisted simply of finding some immediate saving. The crash of 1929 and the beginning of state intervention resulted in a radical change in the situation. The predominance of the oilseed cycle that had lasted for a century was shattered and the business circles questioned the use and cost of colonization
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