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Journal articles on the topic 'Capitaux extérieurs'

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Bineau, Yannick. "Équilibre extérieur et taux de change réel : apport du modèle de croissance contrainte par la balance des paiements." Articles 84, no. 3 (December 8, 2009): 263–85. http://dx.doi.org/10.7202/038709ar.

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Abstract:
Résumé L’article met l’accent sur les taux de croissance du taux de change réel et de ses déterminants fondamentaux, c’est-à-dire sur leur vitesse d’évolution, alors qu’une large part de ces travaux sur les taux de change porte sur son niveau. Les bases théoriques sont postkeynésiennes. Plus précisément, le modèle de croissance contrainte par la balance des paiements qui a été développé en 1979 par Thirlwall est étendu afin d’incorporer plus particulièrement les flux nets de capitaux de long terme. Le modèle ainsi amendé permet de montrer qu’une économie, qu’elle soit créditrice ou débitrice nette, qui souhaite atteindre une valeur donnée du taux de croissance de son taux de change réel doit prendre en compte une double contrainte sur sa balance des paiements. La première constitue la contrainte d’équilibre de long terme sur le solde des transactions courantes que tous les pays subissent. La deuxième décrit le déséquilibre courant temporaire qui peut exister à moyen terme en raison des flux compensateurs de capitaux. La combinaison des élasticités du commerce extérieur conditionne l’articulation entre ces deux contraintes et les modalités d’ajustement d’une nation à la suite d’un choc sur les flux nets de capitaux dépendent alors étroitement de cette combinaison entre ces deux expressions des comptes extérieurs. Le modèle montre qu’une politique d’appréciation ou de dépréciation du taux change réel doit tenir compte des valeurs prises par les élasticités du commerce extérieur.
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Boucher, Christophe. "Les projets de réforme du système monétaire international." Questions internationales 102, no. 1 (July 23, 2020): 90–97. http://dx.doi.org/10.3917/quin.102.0090.

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Abstract:
Comment le système monétaire international a-t-il évolué au cours des deux derniers siècles et comment peut-il se transformer à l’avenir ? Le règne du dollar a survécu à la fois à la fin de l’étalon or-dollar en 1971 et à la crise financière globale de 2008-2009. Pourtant, le système reste vulnérable en raison des déséquilibres extérieurs et de la très grande versatilité des mouvements de capitaux. Comment réformer ce système ? L’émergence de devises concurrentes avec l’euro puis le renminbi chinois est-elle une opportunité ou une menace pour la stabilité monétaire mondiale ?
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3

Le, Jacques. "Réformes financières et convertibilité des monnaies dans les économies de l'Est." Revue de l'OFCE 34, no. 5 (November 1, 1990): 239–64. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1990.34n1.0239.

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Abstract:
Résumé La réforme des institutions et mécanismes monétaires et financiers, et le passage à la convertibilité des monnaies constituent des éléments essentiels du processus de transition engagé dans les économies de l'Est et de leur ouverture sur les marchés mondiaux des biens et des capitaux. Ces économies étaient en effet caractérisées, jusqu'à récemment, par des régimes monétaires internes dans lesquels la monnaie n'avait qu'un rôle passif de validation des décisions, planifiées centralement, concernant les flux réels, et par un bilatéralisme des paiements extérieurs dû à l 'inconvertibilité des monnaies. Ces modes de régulation monétaire ont engendré de profonds déséquilibres internes et constituent un obstacle majeur au développement des échanges extérieurs. Un bref examen des fonctions essentielles que doit remplir un système monétaire et financier satisfaisant suggère que la réforme monétaire ne peut être menée indépendamment de modifications institutionnelles profondes dans d'autres domaines. L'échec des tentatives de réformes partielles observées dans plusieurs pays de l'Est au cours des deux dernières décennies tend à conforter ce diagnostic. Parmi les enseignements à tirer de ces échecs, l'instauration d'une contrainte budgétaire « dure » pour les principaux acteurs — entreprises et État — apparaît comme un élément déterminant de la réussite du processus de transition. Mais il n'est pas forcément indispensable de mettre en place d'emblée un système complet de marchés financiers. De même, en matière de paiements extérieurs, le passage immédiat à la convertibilité n'est pas toujours souhaitable et pourrait se révéler impraticable pour certains pays. La structure particulière des échanges et paiements extérieurs héritée du Conseil d'assistance économique mutuelle (CAEM, ou COMECON) et les déséquilibres qui pourraient en résulter semblent plaider en faveur de l'institution d'un système régional de paiements. L'usage d'une devise convertible dans les opérations de compensation multilatérale entre pays apparaît souhaitable et Г Ecu européen aurait, pour tenir ce rôle, des atouts évidents.
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Moustier, Philippe. "Des vignobles provençaux dans la ville : Bellet, Cassis, Palette." Sud-Ouest européen 21, no. 1 (2006): 65–75. http://dx.doi.org/10.3406/rgpso.2006.2913.

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Abstract:
=Ces trois vignobles intégrés dans la ville se différencient des autres appellations provençales : surfaces réduites, classement en AOC ancien et production dominante de vins blancs et rouges. Une bonne partie des vins alimente les marchés locaux. Ces vignobles, fréquemment en terrasses, offrent des paysages de qualité et sont un des moyens de prévention des incendies. Au fil des ans, ces appellations sont devenues de véritables vignobles patrimoniaux. En raison de leur situation dans un environnement urbain, leur pérennisation n'est pas forcément acquise : pression foncière, prix des terres, transmission du patrimoine, achats de vignes avec des capitaux extérieurs à l'agriculture. Depuis quelques années, les collectivités territoriales s'impliquent davantage dans la gouvernance des terroirs afin de préserver la rente commerciale mais plus encore, pour maintenir le capital environnemental.
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5

Fouet, Monique. "Le Yen et les échanges extérieurs du Japon." Revue de l'OFCE 33, no. 4 (September 1, 1990): 57–104. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1990.33n1.0057.

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Abstract:
Résumé L'excédent courant du Japon exprimé en dollars s'est amenuisé en 1989. Le renversement de tendance est en fait plus ancien ; mesuré en Yen, il remonte à 1987. Cette évolution est imputable à celle de l'excédent commercial, qui s'est réduit vis-à-vis de toutes les zones partenaires. Les prix des produits primaires exprimés en Yen ont évolué favorablement durant ces années là, tandis que les termes de l'échange en produits manufacturés demeuraient quasiment stables en dépit des fortes variations du taux de change. En définitive, la réduction de l'excédent courant est imputable aux mouvements des volumes de produits manufacturés : forte décélération des exportations, accélération des importations. Les variations du taux de change yen-dollar sont un élément explicatif essentiel de la détérioration des échanges en volume de produits manufacturés depuis 1985, en dépit d'un comportement de marge très actif de la part des exportateurs nippons. Ce comportement est particulièrement marqué dans les biens d'équipement, et transparait encore dans les secteurs soumis à quotas d'importation par les pays occidentaux. Les échanges de produits manufacturés sont marqués par une polarisation rapide, les exportations montant en gamme tandis que les importations concernent des produits banaux. Cette polarisation va de pair avec l'appréciation tendancielle du Yen et est renforcée par les investissements directs effectués à l'étranger par le Japon. Les investissements directs ne constituent qu'une faible fraction des sorties de capitaux. L'ensemble de ces sorties est très supérieur à l'excédent de la balance courante, ce qui explique en partie la dépréciation du Yen de 1988-1989. L'excédent de la balance courante va sans doute s'accroître modérément au cours des prochains trimestres en dépit de la hausse du prix du pétrole. Il s'orientera ensuite durablement à la baisse sous l'effet principalement du commerce de produits manufacturés tandis que le Yen recommencera à s'apprécier lentement.
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Baron, Marie-Laure. "Peut-on rester compétitif sur le marché sans faire appel aux capitaux extérieurs ?" Revue internationale de l'économie sociale: Recma, no. 298 (2005): 75. http://dx.doi.org/10.7202/1021842ar.

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Caire, Gilles, and Cuauhtémoc Calderón Villarreal. "Crise mexicaine de 1995 : les leçons d’une expérience hétérodoxe de stabilisation macroéconomique." Économie appliquée 49, no. 2 (1996): 79–105. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1996.1600.

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Abstract:
L’évolution macroéconomique mexicaine au cours du dernier sexennat présidentiel (1988/1994) met en valeur les contradictions potentielles existant entre politique hétérodoxe de stabilisation, stratégie de croissance durable tirée par les exportations et ouverture à la globalisation du système monétaire et financier national. Après un bref rappel de la logique des plans hétérodoxes, logique découlant du concept d’inflation inertielle, nous montrons que l’abondance des entrées de capitaux extérieurs, résultant des réformes structurelles et de la conjoncture financière internationale, a engendré une double difficulté de financement de l’ajustement entre épargne et investissement, et de réalisation de l’équilibre monétaire. Le mode de gestion choisi, taux de change comme ancre nominale et politique monétaire de stérilisation, allié à un choc politique, a débouché sur la grave crise financière actuelle. Enfin nous concluons sur les trois leçons importantes que l’on peut tirer, selon nous, de l’expérience.
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Etemad, Bouda. "L'Europe et le monde colonial. De l'apogée des empires à l'après-décolonisation." Revue économique 51, no. 2 (March 1, 2000): 257–68. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p2000.51n2.0257.

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Abstract:
Résumé La veille de la seconde guerre mondiale correspond à l'apogée des empires. À cette date, les possessions d'outre-mer de l'Europe atteignent, par leur superficie et leur population, des dimensions sans précédent. L'intensité des liens commerciaux entre métropoles et colonies est à son maximum. Les empires occupent les premiers rangs dans les avoirs extérieurs de l'Europe colonisatrice. Mais ces tendances, amorcées depuis le début du XIXe siècle, s'inversent rapidement après la décolonisation. Sans déclencher toutefois de graves crises dans les économies métropolitaines. Aujourd'hui, quarante ans après leur émancipation politique, les ex-colonies d'Asie, d'Afrique et des Caraïbes ont cessé d'être des partenaires commerciaux de choix et des lieux privilégiés de placement de capitaux pour une Europe en voie d'unification. Par ailleurs, les troubles liés à la décolonisation ont obligé la quasi-totalité des Européens de souche, ainsi que les Européens nés dans ces colonies, à les quitter et à se replier sur les métropoles. Par un autre renversement de tendance, le Vieux Continent est devenu une terre d'émigration pour les ex-sujets d'empire.
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Chagny, Odile, Jacky Fayolle, Olivier Passet, Christine Rifflart, Françoise Milewski, Bruno Coquet, and Hervé Péléraux. "Un horizon conjoncturel dégagé." Revue de l'OFCE 51, no. 4 (November 1, 1994): 5–88. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.51n1.0005.

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Abstract:
Résumé Les économies occidentales connaissent pour la plupart des rythmes de croissance soutenus, mais les écarts de conjoncture sont très accusés. L'optimisme réel s'accompagne d'une grande confusion financière : les changes sont perturbés par les déséquilibres commerciaux ; les taux d'intérêt à long terme ont partout monté fortement, d'abord par crainte de l'inflation aux Etats-Unis, puis par révision des perspectives de croissance en Europe. Le niveau actuel des taux longs reflète la difficulté des appareils de production existants à financer des projets d'investissement mondialement plus nombreux. Cependant les taux réels s'avèrent moins élevés que lors de la reprise précédente, et les capacités financières actuelles des firmes européennes les rendent peu sensibles au coût du capital à l'horizon de la fin 1995. Les interrogations portent donc sur la maîtrise des endettements publics, et sur la capacité des sociétés européennes à supporter les ponctions exercées sur les revenus du travail du fait des taux d'intérêt élevés. Aux Etats-Unis, l'activité est à présent renforcée par la demande étrangère, ce qui implique un nouveau durcissement de la politique monétaire en vue d'interrompre la dérive inflationniste. Un ralentissement est attendu au cours de 1995, initié par la consommation. Le Japon est en reprise, tiré à présent par la consommation. Il tend à renforcer la croissance mondiale. Au Royaume-Uni, investissement et exportations ont accéléré la production et réduit le chômage ; la consommation a surtout bénéficié d'une moindre propension à épargner. Les risques inflationnistes vont continuer à durcir la politique économique, et la croissance se modérera l'an prochain. L'Allemagne se redresse à l'Ouest, grâce aux exportations et au restockage. Le logement et la consommation résistent en dépit des prélèvements fiscaux. Les capacités de production manufacturières retrouveront un niveau normal d'utilisation dès la fin 1994, ce qui stimule l'investissement et fait craindre l'inflation. Cependant le chômage reste élevé et les prix au détail devraient rester calmes. A l'Est, la croissance s'annonce vigoureuse. Les capitaux ont délaissé l'Europe pour privilégier le Japon puis les pays émergents. Les investisseurs japonais reviennent sporadiquement et seraient plus présents en 1995, cependant que les besoins de financement américains se modéreront. Le commerce mondial est entré dans une phase de forte croissance qui se poursuivra l'an prochain. Les pays d'Europe continentale regagneront des parts de marché au détriment du Japon. En France, la reprise de l'activité a été significative au premier semestre 1994. L'optimisme se confirme dans les enquêtes de conjoncture. La reprise est d'autant plus nette qu'elle découle de l'interruption de comportements privés très dépressifs. La croissance du PIB serait de 2,2 % en 1994, le ralentissement puis l'arrêt du déstockage y contribuant pour près d'un point. La reprise de la demande intérieure finale, qui s'opère depuis le deuxième trimestre, s'amplifierait. La consommation des ménages continuerait de progresser. Mais la hausse de l'investissement des entreprises serait encore faible en moyenne annuelle, car surtout marquée au second semestre. La croissance des importations dépasserait celle des exportations, à cause d'un début d'année nettement divergent. En 1995 la croissance atteindrait 3,5 % ; cette consolidation de la reprise est usuelle, mais avec une ampleur plus faible que lors du cycle précédent: les objectifs de désendettement n'ont pas disparu, d'autant que les taux d'intérêt à court terme ont cessé de baisser et que les taux d'intérêt à long terme s'élèvent. Ces mouvements ne sont pas de nature à interrompre la reprise en cours, mais vont en limiter l'accélération. L'investissement des entreprises croîtrait aussi fortement qu'il avait reculé en 1993 ; ce ne sera qu'un rattrapage partiel après trois années de recul. Du fait de l'amélioration rapide de leur situation patrimoniale, les entreprises peuvent à présent satisfaire des besoins d'investissement longtemps différés ; la remontée récente des taux d'utilisation des capacités de production constitue une forte incitation à investir. La consommation des ménages s'amplifierait, portée par davantage de revenus et par une baisse du taux d'épargne. Un restockage interviendrait progressivement, supportant la croissance. Importations et exportations iraient de pair, signe d'une évolution plus synchrone des demandes intérieure et extérieure. En 1994 et 1995, les soldes extérieurs se tasseraient un peu à cause des mouvements de prix, mais l'excédent resterait confortable. Le chômage serait un peu réduit et l'inflation ne s'accélérerait guère. Le déficit public pourra être contenu sans coupe importante dans les dépenses grâce aux recettes de privatisation, mais les déficits sociaux ne pourront l'être sans prélèvements supplémentaires.
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Gaulard, Mylène. "Les dangers du carry-trade : le cas du Brésil depuis la crise des subprimes." Économie appliquée 64, no. 4 (2011): 87–117. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2011.3585.

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Abstract:
Depuis la dernière crise économique mondiale, le Brésil est directement impliqué dans une stratégie de carry-trade, car l’afflux massif d’investissements de portefeuille ainsi que la hausse de l’endettement extérieur privé depuis la deuxième moitié de la décennie 2000 sont renforcés par la création monétaire de la FED. Or, ces capitaux spéculatifs ont non seulement tendance à apprécier la monnaie brésilienne, mais ils sont aussi extrêmement volatiles, et leur départ risquerait de provoquer un éclatement des bulles spéculatives qu’ils ont contribué à former.
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Djalab, Zohra, and Ali Naas Said. "The impact of international capital flows on the economic growth in Algeria during the period 1990-20." les cahiers du cread 39, no. 1 (April 13, 2023): 63–86. http://dx.doi.org/10.4314/cread.v39i1.3.

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Abstract:
This study examined the effect of international capital flows on economic growth in Algeria for the period, 1990 to 2018. This study relied on four core channels of international capital flows which includes foreign direct investment (FDI), official development assistance (ODA), personal remittances (REM), and external debt stock (EXTDS) into Algeria. We found that all channels of international capital flows were not statistically significant in the short and long-run except the foreign direct investment.We result from this study that Algeria needs deep reforms in order to attract more foreign capital, especially creating an appropriate environment In order for these flows to contribute substantially to economic growth. L'étude a examiné l'effet des entrées de capitaux internationaux sur la croissance économique de l'Algérie pour les périodes 1990 à 2018. L'étude a utilisé quatre principaux canaux d'entrées de capitaux internationaux, qui comprennent l'investissement direct étranger (IDE), l'aide publique au développement (APD), les envois de fonds personnels (REM) et le stock de dette extérieure (EXTDS) en Algérie.Nous avons constaté que tous les résultats n'étaient pas statistiquement significatifs à court et à long terme, à l'exception de l'investissement étranger direct.Nous avons appris de cette étude que l'Algérie a besoin de réformes profondes afin d'attirer plus de capitaux étrangers, en particulier en créant un environnement approprié pour que ces flux contribuent de manière substantielle à la croissance économique.
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Baulant, Camille, Virginie Coudert, and Michel Aglietta. "Compétitivité et régime de change en Europe centrale." Revue économique 50, no. 6 (November 1, 1999): 1221–36. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1999.50n6.1221.

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Abstract:
Résumé Les pays d'Europe centrale connaissent une ouverture rapide au commerce international et le plus souvent une appréciation de leur taux de change réel. En construisant un modèle dont les équations sont estimées pour trois pays, la Hongrie, la Pologne et la République tchèque, on montre que la conjonction de ces deux facteurs structurels met en péril la modernisation dans le respect de l'équilibre extérieur. L'inflation est sous contrôle mais doit rester à un niveau assez élevé pour que les entreprises financent l'investissement productif sans recours excessif aux entrées de capitaux. Ces contraintes conduisent à des politiques de taux de change réel guidées par la profitabilité des entreprises.
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Baude, John, Frédéric Busson, Bruno Coquet, Hervé Le, and Frédéric Lerais. "Quand les marchés triomphent : une projection de l'économie mondiale à l'horizon 2002." Revue de l'OFCE 55, no. 4 (November 1, 1995): 95–150. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.55n1.0095.

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Abstract:
Résumé Les années récentes ont été marquées par le triomphe des marchés et la mondialisation croissante des échanges de marchandises et des flux de capitaux. Mais les marchés sont versatiles : leur mimétisme les conduit à des phases d'engouement excessif suivies de replis brutaux. Les gouvernements sont de moins en moins armés devant une instabilité grandissante. Imposant des politiques économiques vertueuses, le triomphe des marchés ne se fera-t-il pas au détriment de la croissance et de l'emploi ? Après la récession des années 1991-93, la plupart des pays de l'OCDE ont retrouvé en 1994-96 une croissance à un rythme de 2,8 à 3%. Toutefois, le déficit de croissancce n'a généralement pas été récupéré. Une croissance plus vigoureuse nécessiterait une forte coordination internationale des politiques budgétaires, monétaires et salariales : celle-ci étant impossible, la plupart des pays doivent se résigner à une croissance trop faible, mais vertueuse. La plupart des pays se trouvent confrontés à un dilemme : accélérer la croissance pour résorber le supplément de chômage ou réduire leur déficit public. Surveillés par les marchés, ils sont vite contraints de choisir des politiques budgétaires restrictives. Les craintes de résurgence de l'inflation, celles des marchés ou celles des Banques centrales, bloquent rapidement toute flambée de croissance. Selon notre projection, la croissance de l'ensemble des pays de l'OCDE serait de l'ordre de 2,8% de 1994 à 1996 ; elle fléchirait à 2,0% en 1997 et 1,2 en 1998, puis remonterait à 2,1 % en 1999 et 2,6 en 2000-2002. Ces fluctuations correspondent à la dynamique de l'investissement productif. Une fois que le taux d'investissement atteindrait un niveau satisfaisant, le rythme de la croissance demeurerait médiocre, en l'absence d'éléments moteurs : les politiques budgétaires resteraient relativement restrictives, le niveau des taux d'intérêt réels à long terme resterait élevé, la consommation des ménages serait bridée par la faiblesse des hausses de salaires; enfin, les importations des zones hors OCDE (Asie peuplée, PECO, CEI, Amérique latine) augmenteraient fortement, mais ces zones exporteraient aussi beaucoup, concurrenceraient les pays développés et n'accumuleraient guère de déficits extérieurs massifs. La croissance des Etats-Unis (2,2 % l'an en moyenne de 1994 à 2002) serait proche de sa croissance potentielle ; le Japon rentrerait dans le rang (2,4 % de croissance annuelle). En Europe, les pays du Sud connaîtraient une croissance plus vigoureuse et plus inflationniste (3,4 % l'an) ; l'Allemagne bénéficierait de l'essor de sa partie orientale (2,9 % de croissance ; 2,3% pour l'Ouest) ; la France, le Royaume-Uni et l'Italie connaîtraient des croissances modérées (2, 1 %). Le taux de chômage européen resterait important, même si sa hausse serait enrayée. Les taux d'inflation restent compris entre 2 et 3% pour la plupart des grands pays de l'OCDE. Les risques d'une forte résurgence de l'inflation dans les grands pays sont très limités, car la croissance est relativement modérée; les pays qui se rapprocheraient du plein-emploi (Etats-Unis, Allemagne) ont des autorités monétaires peu disposées à laisser l'inflation augmenter. L'UEM se ferait en 1999, mais ne regrouperait qu'un noyau dur de pays européens. La plupart des PECO, après avoir connu une chute de production dramatique et touché le fond en 1992 ou 1993, sont en train de remonter la pente à un rythme relativement rapide, et leur taux de croissance devrait atteindre 5 % dans les années à venir. La remontée n'est toutefois pas encore assurée pour la Russie. Au cours des prochaines années, l'essor du commerce international profiterait aux pays du Sud, permettant un rééquilibrage de la croissance à l'échelle mondiale. Mais celle-ci serait encore inégalement répartie entre les différentes régions : l'Asie du sud- est se développerait vivement, tandis que l'Afrique ne parviendrait pas à s'extraire de ses difficultés.
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Le Vigoureux, Fabrice, and Pascal Aurégan. "Comportement et gouvernance des moyennes entreprises familiales au capital ouvert." Revue internationale P.M.E. 23, no. 3-4 (September 28, 2012): 71–93. http://dx.doi.org/10.7202/1012494ar.

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Abstract:
Les moyennes entreprises familiales au capital ouvert, ou adossées, méritent d’être mieux connues et mieux étudiées. Leur comportement stratégique, le plus souvent entrepreneurial, semble pouvoir être expliqué par une structure de propriété particulière, qui combine culture familiale et compétences « externes » issues d’un actionnariat minoritaire impliqué (capital-risque, capital-investissement, groupe financier ou industriel). Cet actionnariat minoritaire irrigue et modifie l’organisation et les orientations de l’entreprise. L’approche cognitive de la gouvernance valorise d’ailleurs ces apports extérieurs comme autant de nouveaux leviers ou de réseaux en faveur de l’innovation en relativisant la dimension disciplinaire des dispositifs de gouvernance.
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Milewski, Françoise. "Les enjeux de l'ouverture à l'Est pour l'économie mondiale." Revue de l'OFCE 34, no. 5 (November 1, 1990): 157–94. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1990.34n1.0157.

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Abstract:
Résumé L'intégration de l'Europe de l'Est au commerce mondial dépend à la fois de l'évolution des économies de l'Est et des comportements des pays de l'Ouest. A l'Est, l'espoir d'améliorer à terme les niveaux de vie des populations repose sur la transformation de systèmes économiques qui ont révélé leur inefficacité. L'introduction du marché, censé résoudre au mieux l'équilibre entre l'offre et la demande, est à l'origine d'un débat important. La forme de la propriété, privée ou publique, ne suffit pas à elle seule à définir l'économie socialiste ou capitaliste. Le mode de régulation qui est associé la définit tout autant, sans être mécaniquement lié à la forme de propriété. Pour passer du socialisme au capitalisme, les dirigeants des économies d'Europe orientale ont dû trancher un débat sous-jacent sur la transition, même si ce débat perdure par ailleurs. Dans tous les pays les mêmes mesures sont prônées ou d'ores et déjà adoptées : développement d'un secteur privé, suppression de la planification imperative, libération des prix, transformation du système bancaire, convertibilité des monnaies. Si le fondement des réformes est unique — instaurer à terme des marchés où s'échangent les biens et services, les actifs financiers et la main-d'œuvre — deux conceptions s'opposent quant à la séquence des réformes : l'approche gradualiste et la thérapie de choc. L'une vise à créer d'emblée la rupture avec le système antérieur, l'autre à introduire l'économie de marché progressivement, dans la crainte d'une désorganisation trop brutale de la production et d'un coût social trop élevé. A court terme, l'impact des réformes est récessif : la production est désorganisée faute de centres de décisions clairement définis ou en l'attente de privatisations potentielles. Les niveaux de vie reculent en raison de la libération des prix et du développement rapide du chômage. Le risque d'hyperinflation, l'incertitude sur l'utilisation des surliquidités existantes et la gravité de la dette extérieure dans certains pays limitent les marges de manœuvre de la politique économique. A moyen terme, on espère l'intégration aux échanges mondiaux, la remontée des niveaux de vie et l'accroissement de la producti- vité du capital, une fois que seront opérants les mécanismes de la nouvelle régulation. Mais la réussite de ce processus de développement dépend autant de la politique des réformes à l'Est que des réactions de l'Ouest. Ceci nécessite d'abord d'amplifier les aides financières de l'Ouest afin de développer les infrastructures et de solvabiliser la demande. Les transferts de technologie liés aux investissements étrangers pourraient alors jouer un rôle clé de confrontation pour les industries désuètes et d'entraînement pour l'ensemble de l'économie. Mais l'incertitude sur l'ampleur et la destination, tant géographique que sectorielle, des transferts de capitaux demeure importante. Le choc de demande que les pays de l'Ouest espèrent de l'ouverture d'un marché de plus de 400 millions d'habitants ne peut être massif à court terme ; la demande potentielle est certes considérable mais la progression des débouchés ne sera pas linéaire. L'éclatement du COMECON devrait précipiter l'intégration au commerce mondial, mais il accélérera aussi la différenciation des pays. La facturation en devises, et non plus en roubles, de l'énergie soviétique aggrave en effet la contrainte extérieure des six pays de l'Est. La crise du Golfe accroît les divergences d'intérêt entre l'URSS, premier producteur mondial de pétrole, et les autres pays d'Europe orientale, dont les ressources pour importer des biens industriels seront amputées par renchérissement de leurs factures énergétiques. Deux conclusions ressortent de l'analyse : la première est que n'apparaissent ni un bloc Est ni un bloc Ouest. A l'Est, les différences entre pays s'accentuent. La mise en œuvre des réformes dépend de la reconnaissance et de l'autorité acquises par les gouvernements actuels des différents pays ; elles ne sont pas homogènes. La croissance économique que l'on peut escompter à moyen terme, une fois surmontée la désorganisation due aux bouleversements des modes de propriété et de régulation, sera plus aisément financée en RDA que dans les autres pays, et parmi ceux-ci, là où l'endettement extérieur est encore modéré. A l'Ouest, la RFA sera le premier bénéficiaire de l'ouverture de l'Est parce qu'elle est déjà le pays le plus engagé dans l'ensemble de la zone. La seconde conclusion porte sur les délais. L'Est fait l'expérience, prévue dans son principe sinon dans son ampleur, d'une réduction drastique du niveau de vie de la population et l'expérience, imprévue, de la réticence des investisseurs privés de l'Ouest à s'engager à l'Est à bref délai et de l'étalement dans le temps des capitaux publics. Or les risques de ruptures sont importants si, rapidement, des signes de redressement économique ne sont pas perçus. Ceux-ci sont la condition nécessaire pour que certains gouvernements conservent leur crédibilité. Le danger de crise sociale est d'autant plus grand dans la présente période où se forgent des comportements individuels et collectifs nouveaux.
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Dessus, Sébastien, Aristomène Varoudakis, and Jean-Claude Berthélemy. "Capital humain et croissance : le rôle du régime commercial." Revue économique 48, no. 3 (May 1, 1997): 419–28. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1997.48n3.0419.

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Abstract:
Résumé La littérature récente n'apporte aucune validation économétrique, sur données de panel, de l'hypothèse selon laquelle le capital humain contribue à la crois­sance. Nous confirmons ce résultat à l'aide d'un échantillon comprenant 83 pays et six périodes entre 1960 et 1990. Cependant, l'estimation sur ces mêmes don­nées de panel de modèles à termes interactifs puis à coefficients variables sug­gère que la contribution de l'éducation à la croissance dépend du taux d'ouverture commerciale. Ce résultat peut s'expliquer par une relation positive entre rémuné­ration du capital humain et ouverture extérieure. Les distorsions qui en résultent dans l'affectation du capital humain aux diverses activités économiques sont sus­ceptibles d'influer sur le taux de croissance.
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Lechevallier, Éric, and Margo Stemmelin. "Du colonial en dehors des archives coloniales ?" French Colonial History 21-22 (December 31, 2023): 313–32. http://dx.doi.org/10.14321/frencolohist.21.22.2023.0313.

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Abstract:
Abstract Margo Stemmelin est doctorante à l'université Paris VIII, rattachée au laboratoire Institutions et dynamiques historiques de l’économie et de la société (IDHES), sous la direction d'Emmanuelle Sibeud. Sa thèse s'intitule « Alger, capitale orientaliste ? Construction d'une capitale savante en situation coloniale (1880–1930) », et s'appuie pour une large part sur le fonds Basset, conservé au sein des archives de l'EHESS depuis 2015. Ce fonds contient la correspondance scientifique, amicale et familiale de René Basset, arabisant et berbérisant ayant dirigé l’École puis la Faculté des Lettres d'Alger de 1894 à 1924. Il est le produit d'un acteur haut placé dans la société et l'administration, et nous dit donc quelque chose de la situation coloniale. Éric Lechevallier, quant à lui, dirige le pôle « publics » du Centre des archives diplomatiques de Nantes (CADN). Il est également doctorant à Nantes université, (Centre de recherches en histoire internationale et atlantique), sous la direction de Michel Catala, où il étudie l'Algérie et ses relations extérieures à l'indépendance, ses réflexions éclairent la dispersion et la diversité des statuts des archives des institutions coloniales, suite aux indépendances. S'appuyant chacun.e sur les documents qu'ils manient au quotidien dans leur travail, ils explorent la diversité de leurs liens avec la colonisation et reviennent, dans cet entretien croisé, sur ce qui fait à leurs yeux la « colonialité » d'un fonds ou d'une archive.
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Hamelin, Louis-Edmond. "La population des Territoires-du-Nord-Ouest au cours des années 1960 et 1970." Cahiers québécois de démographie 7, no. 3 (January 7, 2009): 159–73. http://dx.doi.org/10.7202/600774ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cette étude de la population des Territoires-du-Nord-Ouest (46 386 habitants en janvier 1978) a pour but de dégager des caractéristiques démographiques régionales pouvant servir à l’établissement de projections. Après avoir souligné l’insuffisance du stock statistique et l’utilité de quelques recherches pilotes, nous avons trouvé des concepts appropriés d’analyse : population « permanente », population « courante » (et sous-groupes), classes de peuplement, types et niveaux de chômage… L’histoire récente montre que l’accroissement naturel s’est avéré plus important que les migrations dans l’augmentation des populations. Les mouvements extérieurs commandent toutefois une évolution saccadée : l’accroissement annuel était de 2 706 individus en 1970 mais seulement de 510, trois ans plus tard. Le phénomène de centralité s’exerce au profit de la capitale de Yellowknife (près de 10 000 habitants) qui, depuis dix ans, a capté 63 % de toutes les migrations territoriennes nettes. Le clivage ethnique — Inuit 32 %, Déné 17 %, Métis 4 %, Blancs 47 % — domine la démographie territorienne. Les deux tiers de la population amérindienne habitent des localités de moins de 750 habitants alors que les deux tiers des Blancs sont dans des villes de plus de 3 000 habitants. En 1977, le taux général de dépendance était aussi élevé que 73 %. Malgré l’imprécision des statistiques, une certaine connaissance de la démographie territorienne est possible.
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Guérin, Daniel, Hasan Kirmanoǧlu, and Ahmet Süerdem. "La Turquie : du « populisme permanent » à la montée de l’extrême-droite." Note de recherche 21, no. 2 (January 6, 2003): 123–35. http://dx.doi.org/10.7202/000482ar.

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Abstract:
Résumé Dans cet article, nous examinons le cas de la Turquie qui présente un exemple original en termes des politiques populistes menées depuis l’instauration du régime multipartite en 1950. L’originalité du cas turc réside dans deux aspects bien caractéristiques. Le premier est qu’en Turquie, contrairement aux cas de certains pays de l’Amérique latine, les politiques populistes ont été conduites par les gouvernements conservateurs de centre-droit. Ceux-ci, à travers les réseaux de patronage qu’ils ont organisés, ont bénéficié des relations patron-client qui caractérisent la structure sociale. Les organisations de parti représentaient plus des « partis-machines » que des partis ayant un programme national et une idéologie cohérents. Ils ont ainsi distribué généreusement les ressources qu’ils ont pu facilement obtenir, notamment lors de la période de guerre froide, grâce à la position géostratégique du pays en tant que membre de l’OTAN. Le second concerne le cercle vicieux auquel ont abouti les politiques populistes. Ce cercle vicieux est constitué par le cycle populisme/crise/coup d’État/politiques d’austérité. Mais, avec la fin de la période de guerre froide et le début de l’ère de mondialisation, la Turquie a commencé à éprouver des difficultés à trouver des ressources extérieures, obtenues notamment sous forme d’aide intergouvernementale, pour mener les politiques populistes. Ces ressources ont été remplacées par l’entrée des capitaux à court terme à des taux d’intérêt élevés, ce qui a paradoxalement facilité l’application du populisme mais aggravé ses effets néfastes. Cela a entraîné la montée tant du mouvement islamiste que du mouvement ultranationaliste avec d’importantes tensions sociopolitiques.
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Razafindrazaka, Tinasoa, and Pierre-André Julien. "Le rôle du capital social dans la modernisation d’un écosystème entrepreneurial traditionnel : le cas de la région de Vakinankaratra." Revue internationale P.M.E. 30, no. 3-4 (December 19, 2017): 99–126. http://dx.doi.org/10.7202/1042662ar.

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Abstract:
Cet article s’inscrit dans les travaux s’intéressant au rôle du capital social dans le développement entrepreneurial en s’interrogeant sur sa contribution au basculement graduel d’un écosystème entrepreneurial traditionnel dans un contexte géographique spécifique vers un écosystème plus dynamique et moderne. À l’aide d’une étude de cas unique à multiacteurs, recourant au récit phénoménologique comme méthode d’analyse de données, nous avons observé comment le déploiement de ce capital social, entraînant de nouvelles façons de faire sans cesse renouvelées, a facilité l’émergence d’un système productif laitier qui s’est transformé grâce aux interventions extérieures et aux arrangements construits collectivement par les acteurs entrepreneuriaux vers ce nouvel écosystème entrepreneurial. Sur le plan empirique, nous décrivons la formation et les bénéfices du capital social dans le développement et le maintien d’une configuration productive particulière, malgré le risque d’opter pour des comportements non optimaux que pourrait induire le tissu relationnel local fort sédimenté. En matière de contribution managériale, nos résultats s’arrêtent aux enjeux, aux stratégies et aux modèles pour soutenir les entrepreneurs et l’entrepreneuriat.
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internationale de l'OFCE, Division économie, and Département analyse. "Dans la tourmente financière." Revue de l'OFCE 67, no. 4 (November 1, 1998): 9–99. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1998.67n1.0009.

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Abstract:
Résumé Fin septembre 1998, le ralentissement s'amorce aux Etats-Unis et au Royaume-Uni ; le Japon s'enfonce dans la récession ; l'Europe continentale est en phase de nette reprise. L'extension de la crise financière se traduit par la baisse des Bourses et des taux obligataires dans les pays développés et par la contagion de la crise asiatique à d'autres pays émergents, frappés aussi par la baisse du prix des matières premières. La finance mondiale connaît depuis vingt ans un développement exubérant entrecoupé de crises récurrentes. La croissance mondiale pourrait être durablement affectée par le refus des capitaux d'investir de nouveau dans les pays émergents, par l'instabilité résultant de la globalisation financière et par la surabondance de capitaux demandant des taux de rentabilité trop élevés. Le ralentissement provoquerait une nette détente des taux courts américains. Le yen resterait à un bas niveau. Un certain attentisme monétaire paraît probable en Europe. Le dollar diminuerait jusqu 'à 1,55 DM à la fin de 1999. Une baisse supplémentaire de 5 % réduirait de 0,5 % l'activité en Europe en 1999. La chute des importations des pays émergents pèserait fortement sur la croissance du commerce mondial en 1998-1999. Selon une variante du modèle MIMOSA, la crise asiatique coûterait au total 2,4 % d'activité au Japon en 1999, 1,1 % aux Etats-Unis et 1,4 % en Europe. L'Asie en développement connaîtrait une stagnation de son activité en 1998 suivie d'une croissance de 3 % en 1999. En attendant les effets des plans structurels, la situation conjoncturelle ne cesse de se dégrader et la situation sociale reste extrêmement tendue. L'Amérique latine est fortement secouée par l'amplification de la crise. Les taux d'intérêt ont dû être fortement augmentés et les perspectives de croissance ont été encore revues à la baisse. En Russie, la chute du prix du pétrole a réduit à néant l'excédent commercial et a augmenté encore le déficit public. La chute du rouble provoque le retour d'une inflation galopante. Le PIB devrait se contracter de 5 % en 1998. La plupart des PECO connaissent une croissance vigoureuse, dont les déséquilibres semblent encore soutenables. La récession japonaise s'est encore aggravée depuis le début de l'année, malgré la mobilisation intensive des instruments traditionnels de politique économique. Les autorités n'ont pas su traiter efficacement les problèmes financiers hérités du précédent cycle de croissance. Aux Etats-Unis, la croissance était soutenue par la hausse de la Bourse, la baisse du taux d'épargne et le dynamisme de l'investissement ; ces facteurs se retournant en raison de la baisse du profit des entreprises et de la crise financière. Les exportations continuerait à se contracter. Le retournement resterait néanmoins limité grâce à une politique monétaire plus accommo­dante. Le taux de croissance du PIB serait ramené de 4 % en 1997 à 3,2 % en 1998 et 0,5 % en 1999. L'Europe peut-elle bâtir sa croissance sur son seul dynamisme interne ? Au premier semestre 1998 la contribution externe à sa croissance s'est affaibli mais la demande intérieure a gagné en vigueur. Les assainissements budgétaires sont achevés ; l'inflation ne constitue plus une menace ; les prix de l'énergie et des matières premières et les taux d'intérêt de long terme sont bas. Mais l'Europe souffrirait de la rechute du dollar. Dans la zone euro, la croissance serait de 2,8 % en 1998 et en 1999, ce qui est peu en période de reprise. Avec une reprise de la demande intérieure encore mal affermie, les performances allemandes resterait en retrait. L'Italie souffre de l'importance des ajustements budgétaires récents et d'une contribution particulièrement négative du commerce extérieur. L'économie britannique est soumise à des niveaux élevés de taux d'intérêt et de taux de change. La croissance ralentirait nettement en 1998 et 1999. Le refus du Royaume-Uni d'entrer dans la zone euro avant 2002 trouverait une justification a posteriori dans la persistance de son décalage conjoncturel.
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"Croissance : le secret perdu ?" Revue de l'OFCE 46, no. 4 (September 1, 1993): 99–173. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.46n1.0099.

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Abstract:
Résumé Depuis 1990, la croissance des pays industrialisés est redevenue insuffisante pour contenir la montée du chômage. La reprise annoncée pour 1992 ne s'est guère produite, sauf aux Etats-Unis. Faut-il la prévoir pour 1993 et 1994 ? La remontée du dollar, induite par la diminution du différentiel des taux d'intérêt américain et allemand, devrait freiner l'activité américaine, mais favoriserait la croissance en Europe ; le Japon mène une politique budgétaire et monétaire stimulante ; les taux d'intérêt baissent en Europe tandis que le Royaume-Uni et l'Italie devraient bénéficier du coup de fouet que leur forte dépréciation donnerait à leur commerce extérieur. L'inflation reste contenue tandis que les prix du pétrole et des matières premières sont stables ou diminuent. En sens inverse, une forte reprise de l'investissement est difficile à envisager en raison d'importantes marges de capacités disponibles. La baisse des taux d'intérêts nominaux laisse des taux réels élevés. La consommation des ménages est peu vigoureuse. De nombreux pays mettent en œuvre des politiques budgétaires restrictives. A moyen terme (1994-2000), la croissance moyenne des pays de l'OCDE serait de 2,4 % ; les Etats-Unis, entravés par leurs problèmes budgétaires et une faible productivité, connaîtraient une croissance de 2,2 % ; le Japon ne sortirait que lentement de ses difficultés actuelles (3,3 % de croissance en moyenne). En Europe, l'Allemagne de l'Ouest retrouverait une croissance proche de sa croissance potentielle (2,4 %) ; la croissance de l'Allemagne réunifiée serait alors de 3 % ; le Royaume- Uni bénéficierait d'une certaine reprise après une récession profonde (2,2 % de croissance) ; la croissance française serait de 2,2 %, tandis que l'Italie, freinée par une politique budgétaire rigoureuse, aurait une croissancède 1,9 ?/dpa croissance díTřeste dé la CE sëraifde 2,1 %. Après une baisse de 0,3 % en 1991 et une hausse de 0,3 % en 1992, le PIB mondial augmenterait de 1,6 % en 1993 puis de 3,3 % de 1994 à 2000, ceci reflétant l'essor des NPI et de l'Asie peuplée (Inde et Chine). La croissance des pays de l'Est serait soutenue, mais leur production serait en 2000 inférieure de près de 15 % à son niveau de 1989. La croissance de l'OCDE reste relativement médiocre. La politique économique hésite entre le souci de soutenir la croissance et celui de rétablir les grands équilibres. Après avoir toléré le creusement des défi- cits budgétaires de 1991 à 1993, de nombreux pays mettent en œuvre des politiques de freinage des dépenses publiques et de hausses d'impôts qui brident la croissance. Les taux d'intérêt nominaux sont bas car la croissance et l'inflation sont modérées, mais les taux d'intérêt réels restent élevés comparés au taux de croissance. La consommation des ménages est bridée par la modération salariale et le chômage. Les entreprises se heurtent à la faible croissance de la demande. Les pays européens qui pâtissent d'un fort chômage hésitent pour la plupart à s'engager dans des politiques de dévaluation et de blocage des salaires qui pourraient rétablir leur compétitivité, mais porteraient un rude coup à la construction européenne. Les mesures qui pourraient relancer l'économie mondiale (forte baisse des taux d'intérêt, apports massifs de capitaux au Sud et à l'Est, impulsion budgétaire concertée) ne font pas l'unanimité, ni parmi les gouvernements, ni parmi les économistes. Le secret de la croissance semble perdu.
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