Academic literature on the topic 'Caractères chinois'

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Journal articles on the topic "Caractères chinois"

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Niederer, Barbara. "L'image de la femme à travers les caractères chinois." Langage et société 53, no. 1 (1990): 5–26. http://dx.doi.org/10.3406/lsoc.1990.2490.

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Calvet, Louis-Jean. "Lacan et l’écriture chinoise : un inconscient structuré comme une écriture ?" Nouvelles perspectives en sciences sociales 9, no. 1 (March 27, 2014): 269–86. http://dx.doi.org/10.7202/1024045ar.

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Abstract:
À la veille d’un voyage en Chine qu’il devait entreprendre en 1974, et qu’il ne fera pas, Jacques Lacan aurait, selon plusieurs témoignages, dit qu’il voulait étudier l’inconscient chinois qui serait structuré comme une écriture. À partir de cette formule on présentera d’abord les rapports entretenus par le psychanalyste avec le signe saussurien, les énantiosèmes et les anagrammes. D’autre part, Lacan avait étudié le chinois et il avait en outre travaillé au début des années 1970 avec François Cheng sur des textes classiques (Laozi, Mencius, Shitao). Il était donc parfaitement placé pour s’interroger sur la linéarité de la langue et sur les rapports entre graphie et phonie, différents dans les systèmes alphabétiques et dans le système chinois. Sa connaissance de la langue semble l’avoir mené à postuler que si la matière centrale de la psychanalyse était le signifiant phonique, le problème se posait peut-être différemment pour le chinois, d’où l’hypothèse que, pour Lacan, les Chinois rêvaient peut-être en caractères.
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Vandermeersch, Léon. "De la divination à l'écriture : comment sont nés les caractères chinois." Savoirs et clinique 15, no. 1 (2012): 32. http://dx.doi.org/10.3917/sc.015.0032.

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4

Maréchal, Chrystelle. "Trois mille ans de simplification des caractères chinois – du processus spontané aux mesures normatives." Études chinoises 32, no. 2 (2013): 41–65. http://dx.doi.org/10.3406/etchi.2013.1494.

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Bussotti, Michela. "Francesco Carletti, cultures marchandes et savoirs de l’Orient à la fin du XVIe siècle." Cuadernos de Historia Moderna 48, no. 2 (November 28, 2023): 513–37. http://dx.doi.org/10.5209/chmo.88074.

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Abstract:
Le marchand florentin Francesco Carletti parcourut le monde au début du XVIIe siècle: cet article donne un aperçu des informations qu’il recueillit et des “connaissances” qu’il développa pendant et après son séjour en Asie de l’Est et du Sud. Trois types de sources liées à ce marchand ont été analysés: les Relations anonymes (dont au moins une lui est attribuée); les textes manuscrits des Ragionamenti publiés à titre posthume en 1701 (Ragionamenti di Francesco Carletti fiorentino sopra le cose da lui vedute ne’ suoi viaggi, sì dell’Indie Occidentali e Orientali come d’altri paesi), et les notes en italien sur un atlas chinois qu'il avait ramené à Florence. Ces textes interdépendants révèlent que le marchand italien était informé des navigations et du calendrier des voyages océaniques, qu’il était intéressé par les produits exotiques et par la métrologie, mais également qu’il était attiré par la culture de ces royaumes, en particulier par la culture chinoise écrite dont les “caractères hiéroglyphiques” étaient connus dans d’autres pays d’Asie de l’Est.
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Bauer, Robert S. "WRITTEN CANTONESE OF HONG KONG." Cahiers de Linguistique Asie Orientale 17, no. 2 (March 12, 1988): 245–93. http://dx.doi.org/10.1163/19606028-90000305.

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Abstract:
Dans une première partie, sont examinés les rapports du cantonais écrit avec les différents registres du cantonais parlé, en particulier sur le plan lexical, ainsi que l'impact du vocabulaire anglais.La deuxième partie analyse des textes de cantonais écrit afin d'en identifier les conventions orthographiques et les tendances favorisant l'apparition d'un syllabaire exploitant les valeurs phonétiques tant des caractères chinois que des lettres latines.La troisième partie décrit les contextes dans lesquels apparaît le cantonais écrit. Enfin la dernière partie étudie l'attitude de la communauté de Hong Kong vis-à-vis de l'avenir de la langue cantonaise après 1997.
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Datong, Huo. "Deux procédés de la pensée inconsciente. Une étude comparative sur les rêves et les caractères chinois." La clinique lacanienne 6, no. 1 (2003): 59. http://dx.doi.org/10.3917/cla.006.0059.

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Landry-Deron, Isabelle. "Le Dictionnaire chinois, français et latin de 1813." T’oung Pao 101, no. 4-5 (December 7, 2015): 407–40. http://dx.doi.org/10.1163/15685322-10145p05.

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Abstract:
The first printed dictionary from Chinese to a Western language, the Dictionnaire chinois, français et latin, published on the orders of Emperor Napoleon I, was prepared under the direction of Chrétien-Louis De Guignes (1759–1845) and came off the press of the Imprimerie impériale de Paris in 1813. It was based on what was regarded as the best manuscript dictionary compiled by the missionaries in China, the Hanzi xiyi by the Italian Franciscan, Basilio Brollo (1648–1704). Chinese characters were printed using the “Buis du Régent”, a unique set of mobile types engraved in wood, completed in Paris in 1740, the history of which is retraced at the beginning of the article. The sources and characteristics of the 1813 Dictionnaire are then examined, as well as the scholarly rivalries that accompanied its production and the criticism to which it was subjected after its appearance. Le Dictionnaire chinois, français et latin, premier dictionnaire imprimé du chinois dans une langue occidentale, préparé sur ordre de l’empereur Napoléon Ier et sous la responsabilité de Chrétien-Louis De Guignes (1759–1845), sortit des presses de l’Imprimerie impériale de Paris en 1813. Il se basait sur ce qui était considéré comme le meilleur dictionnaire manuscrit rédigé par les missionnaires en Chine, le Hanzi xiyi du franciscain italien Basilio Brollo (1648–1704). Les caractères chinois furent imprimés avec les “Buis du Régent”, un ensemble unique en Europe de types mobiles dont la gravure sur bois avait été achevée en 1740 et dont l’histoire est retracée au début de l’article. Les sources et les caractéristiques du Dictionnaire de 1813 sont ensuite examinées, ainsi que les rivalités entre savants qui en accompagnèrent l’émergence et les critiques auxquelles il fut en butte après sa parution.
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Kim, Hye-Rim. "A Study of Cultures Using Chinese Characters and their Impact on Translation Studies." FORUM / Revue internationale d’interprétation et de traduction / International Journal of Interpretation and Translation 1, no. 1 (April 1, 2003): 13–40. http://dx.doi.org/10.1075/forum.1.1.02kim.

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Abstract:
Les études de traduction doivent viser à devenir une science comportementale. Autrement dit, la recherche de la méthodologie de traduction ou la présentation de la théorie de traduction aura une signification seulement si elle est capable de remplir le rôle auxiliaire à l’activité de traduction. Ainsi les études de traduction chercheront à soulever les questions liées aux travaux de traduction et y proposer des solutions. C’est donc dans ce contexte que cette thèse propose de présenter une méthodologie qui pourra être appliquée à l’interprétation et à la traduction du coréen et du chinois — deux langues qui utilisent en commun les caractères chinois — en soulevant les difficultés qui existent, en les classifiant et en les conceptualisant. Pour cela, en se basant sur les nombreux textes de conférence, les difficultés de traduction dues à l’usage des lettres chinoises ont été traitées en profondeur à travers: (1) l’analyse de la déverbalisation, (2) la compréhension et la reproduction du texte langue, et (3) la redéfinition du nom propre. A partir de cette analyse, cette thèse élabore une stratégie pour exclure toute intervention de la culture linguistique à travers: (1) la traduction basée sur une connaissance correcte, (2) l’amélioration de la capacité linguistique, (3) l’établissement de la terminologie spécialisée, et (4) l’approche éducative.
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Lamarre, Thomas. "L'empire des figures. Aux frontières de l'écriture japonaise." Anthropologie et Sociétés 22, no. 3 (September 10, 2003): 107–26. http://dx.doi.org/10.7202/015561ar.

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Abstract:
Résumé L'empire des figures. Aux frontières de l'écriture japonaise Ce texte explore les rapports entre écriture et culture nationale. Contrairement à la théorie utilitaire qui domine nos sciences linguistiques en ce qui concerne les caractères chinois dans l'écriture japonaise, nous suivons les théories de Karatani, Lyotard et Derrida, afin d'évoquer l'« étoilement » du signe, et dans des registres différents : son et marque, parler et voir, discours et figure. Pourtant, même si on arrivait à situer un tel étoilement hors du logocentricisme de l'Occident, l'étoilement comme tel n'est pas nécessairement déconstructif ou déconstruit. Il peut à son tour offrir un régime productif de surcodage japonais. Les écrits de Tanizaki Jun'ichirô et Mori Ôgai nous permettent de démontrer et d'analyser de tels effets. Mots clés : Lamarre, études coloniales, écriture, identité nationale, Japon
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Dissertations / Theses on the topic "Caractères chinois"

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Delforges, Régine. "Les caractères chinois : combinatoire et système de formes." Lyon 3, 1986. http://www.theses.fr/1986LYO31017.

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Abstract:
A tout caractere chinois consiste en une combinaison d'un nombre precis de traits fondamentaux definis et ordonnes par le code d'ecriture. La logique combinatoire de curry et schonfinkel, permet d'etendre aux ideogrammes, son application linguistique aux mots alphabetiques. Lettres latines et traits fondamentaux seront traites, formules analogiquement par la theorie des combinateurs: lettres, traits en sont les elements symbolises par les minuscules a,b,c. . . Les combinateurs symbolises par les majuscules i. K. W. B. C, agissent sur les arguments (a,b,c. . . Et ou i,k,w. . )par identification,elimination, redoublement, composition ou permutation. Une suite initiale (c. Ki) abcde donne la suite terminale cbde, tout comme sur le mot horse, (c. Ki) horse donne le mot rose. Analogiquement, par l'action des combinateurs sur la suite ordonnee des traits d'un caractere, s'obtient un caractere de combinaison ordonnee differen te. B par degre de complexite croissante, les caracteres transcrivent un concept par les relations topologiques,semantiques et ou phonetiques des elements pictogramme:relation topo-semantique des traits,de type geometral. Logogramme:relation semantique,non phonetique des elements. Confiance,prononce xin,est transcrit par la relation de sens entre homme, ren,et parole,yan. Les ideophonetiques:relation semantique et ou phonetique des elements: disserter,lun,a pour radical semantique
A) every chinese charactec consists of a combination of a precise number of basic strokes which are defined and ordered by the writing code. The combinatory logic of curry and schonfinke allows its linguistic application to alphabetically spelled words to be extended to ideograms. Latin letters and basic strokes will be treated and formulated analogically in terms of the theory of combinators : letters and strokes are the elements of this theory and are symbolised by the lower case letters a,b,c,. . . . . The combinators, symbolised by the capital letters i. K. W. B. C. , modify the arguments (a,b,c,. . . And or i,k,w. . . . ) through identification, elimination, reduplication, composition or permutation. An initial string (c. Ki) abcdegives a final string cbde, just as for the word horse (c. Ki) horse gives the word rose. By analogy, through the application of cominators to the ordered sequence of strokes of a character, another character is obtained with a differently ordered combination. B) as they become increasingly complex, the characters represent a concept according to the topological, semantic and-or phonetic relationships between their components: pictorgram : geometral topo-semantic relationship between the strokes. Logogram : a non-phonetic, semantic relationship of the components. Trust, pronounced xin, is transcribed by the sense relationship between man, ren, and word, yan. Ideophonetics : semantic and or phonetic relationship of the components : to argue
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Bottéro, Françoise. "Sémantisme et classification dans l'écriture chinoise : étude du système de classement par clés du Shuowen Jiezi jusqu'au Système des 214 Clés." Paris, EHESS, 1992. http://www.theses.fr/1992EHES0313.

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Abstract:
Il s'agit d'une étude sur les problèmes de classement et de sémantisme dans l’écriture chinoise. Elle a été menée en retraçant les origines et l’évolution du système de classement par clés, afin d'aider a mieux comprendre les rapports entre clés et semies dans les caractères chinois. Depuis le XVII ème siècle (mei yingzuo dans le dictionnaire zihui), on classe les caractères, dans les dictionnaires chinois, notamment par la méthode dite des 214 clés. Ces clés représentent un ensemble d’éléments graphiques qui entrent dans la composition des caractères. Certaines consistent en de simples traits dénues de sens, tandis que d'autres sont en fait des caractères, plus ou moins composes et plus ou moins indépendants. Leur rôle est avant tout classificatoire. Cependant, du fait que la grande majorité d'entre elles correspond le plus souvent a des éléments sémantiques, elles sont souvent confondues avec des derniers - comme si le classement qu'elles permettent était avant tout, voire uniquement, fonde sur la signification. Or, toutes les clés ne sont pas des éléments sémantiques et tous les éléments sémantiques ne sont pas des clés. Il était donc utile de voir comment est ne et a évolué ce système, afin d'en percevoir mieux le sens. Tel est le problème auquel on s'est attaque.
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Maréchal, Chrystelle. "Etudes d'étymologie graphique chinoise à la lumière de données comparatives." Paris, EHESS, 1997. http://www.theses.fr/1997EHES0002.

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Abstract:
L'objectif principal de cette etude est de revoir l'etymologie d'un certain nombre d'ideo-pictogrammes archaiques dans le cadre de l'approche graphique. Selon nous, bon nombre d'etymologies chinoises sont faussees en raison du prejuge phonetique, dans le sens ou un composant iconique peut se voir attribuer une valeur purement phonetique sans que l'on prenne simultanement en consideration sa fonction semantique. Etant donne l'inconvenient des analyses traditionnelles, nous attirons l'attention sur la motivation semantique dans la creation graphique et sur l'importance de l'identification du referent-objet de ce que l'on a coutume d'appeler l'indicateur phonique. Notre approche s'est averee pertinente puisqu'elle a permis de reveler des faits nouveaux a propos de l'origine de certains des caracteres traites. Cette these est divisee en 3 parties. Dans la partie i, nous remettons en cause l'analyse traditionnelle de la formation d'ideo-phonogrammes tels que yuan "source", tou "tete" et shi "temps" et proposons nos propres interpretations en nous appuyant sur des donnees chinoises et indo-europeennes. Dans la partie ii, nous presentons 2 groupes d'ideo-pictogrammes dont les etymologiesgraphiques sont controversees. Dans le premier groupe, nous abordons des termes se rapportant a des detenteurs de pouvoir celeste et terrestre : shen "dieu", di "souverain du ciel", huang "empereur", wang "roi" et zu "ancetre (masculin)". Le second groupe concerne la paire apparentee fang "region, carre" et pang "cote" ; le point important dans cette controverse est l'identification du referent-objet commun a ces deux graphies apparentees, une beche. La partie iii est consacree a la ramification graphique survenue lors de l'explosion lexicale qui, bien documentee dans le premier dictionnaire etymologique, le shuowen jiezi, a eu lieu au debut de notre ere. Des dizaines de caracteres classes sous 3 radicaux, si "soie", zhu "bambou" et bel "cauris", sont etudies. Il a ete montre que l'on pouvait extraire d'interessantes informations sur le plan financier et socioculturel par la voie graphique et que les resultats etaient directement lies a l'etude de la semantique historique.
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Ginhoux, Jean-Claude. "Approche lexicologique et syntaxique de la langue vietnamienne classique en écriture démotique (Nôm) : à partir de textes traduits du chinois classique (文 言 Văn ngôn)." Paris, INALCO, 2008. http://www.theses.fr/2008INAL0023.

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Abstract:
Cette thèse se veut une approche globale de la langue classique vietnamienne dans ses dimensions lexicale et syntaxique. En l’absence d’études dans une langue européenne sur ce sujet, qui nous aurait fourni un point de départ, il nous est apparu qu’une approche portant sur une problématique visant à dégager les lois syntaxiques du vietnamien classique à partir des traductions de textes chinois en vietnamien et la comparaison du texte original et de sa traduction constituaient la voie la plus sûre et la plus simple. Les conditions que devaient remplir ces traductions ont été dégagées et qualifiées de « minimales ». Il s’agit de traductions en vietnamien classique de textes de chinois classique obéissant à des modifications minimales du texte chinois qui permettent de rendre un texte chinois dans un vietnamien correct. La propriété commune au chinois et au vietnamien classiques d’être des langues isolantes et monosyllabiques dont la structure syntaxique est assurée par les mots-outils nous autorisait une telle approche. Ainsi, par exemple, dans ce vers pris au hasard chez Nguyên Trai 朋 碎 市 所 益 蒸 民 , bằng tôi nào thửa ích chưng dân, «quelle est l’utilité d’un homme comme moi pour peuple?», la question est de savoir quels rôles jouent les mots-outils 朋, 所, 蒸 rendus respectivement par bằng, thửa, chưng. En l’absence de référence, c’est-à-dire, en l’occurrence, d’un texte chinois dont ce vers serait la traduction, il paraît difficile de répondre à un tel questionnement. Notre hypothèse de recherche est, donc, que si ce vers était la traduction d’un vers chinois, les trois mots-outils vietnamiens 朋, 所, 蒸 rendraient vraisemblablement des mots-outils chinois dont la fonction dans la phrase chinoise devrait permettre d’inférer celle des mots-outils vietnamiens dans la phrase vietnamienne. Le corpus de textes chinois et de leur traduction en vietnamien, de périodes différentes, à savoir du quinzième siècle et seizième siècle, confère à notre étude une valeur diachronique qui nous a permis d’aborder certains aspects de l’évolution de la langue vietnamienne. La question de la formation des caractères proprement vietnamiens ou Nôm a été abordée dans une double perspective : Perspective chronologique d’abord qui décrit les tâtonnements des premiers traducteurs vietnamiens chargés de rendre leur propre langue à partir de caractères chinois qui n’étaient pas forcément adaptés à la phonétique vietnamienne. Cette période que nous avons qualifiée de pré-classique s’est traduite, dans le domaine lexical, d’abord par une forme de bissyllabisme relatif, abandonnée ultérieurement, et ensuite par un recours très important aux emprunts au détriment de la création de nouveaux caractères proprement vietnamiens. Perspective heuristique, enfin qui a démontré que la problématique de formation des caractères Nôm – qui devait se développer après les tâtonnements de la période pré-classique - était la même que celle qui avait sous-tendu celle des caractères chinois. On a pu conclure que caractères chinois ou vietnamiens relevaient, formellement, d’une structurre commune. Les caractères Nôm ne sont qu’une extension à l’usage du vietnamien des caractères de type chinois. Rien n’aurait interdit à la langue chinoise d’en user si le besoin s’en était ressenti, rien n’interdirait la compilation d’un dictionnaire commun qui serait celui d’une extension maximale du domaine des caractères chinois
A global approach of the classic vietnamese language through its lexical and syntaxic dimensions. In the absence of any studies in european language on this subject, which might have provided us a starting point, we assumed that an approach aiming to extricate the syntaxic laws of classical vietnamese from vietnamese translations of chinese texts and the comparaison of this texts to each others constituted the simplest and surest approach. The conditions required for these translations were first identified and qualified as "minimal". Indeed, these texts are translations of classical chinese texts in classical vietnamese, complying to minimal modifications of the chinese text, giving back, however, a text in a correct vietnamese. Moreover, the classical chinese and vietnamese common quality of being analytic and monosyllabic languages, whom semantic structure is insured by function words, allowed us this kind of approach. For exemple, in the verse taken randomly from Nguyên Trai, 朋 碎 市 所 益 蒸 民, bằng tôi nào thửa ích chưng dân, "what is the usefulness of a man like me for the people?", the question is to know what is the role of the function words 朋, 所, 蒸 translated respectively by bằng, thửa, chưng. In the absence of any reference, the question cannot be answered. Our word hypothesis is that if this verse were the translation of the chinese verse, these function words 朋, 所, 蒸 would be the translation of chinese function words whom function in the chinese sentence would allow us to infer the corresponding one in the vietnamese sentence. Furthermore, the choice of chinese texts, that had been translated at different periods (XVth and XVIth centuries), gave to our study a diachronic value, that allowed us to address several aspects of vietnamese language evolution. The question of the vietnamese characters formation or Nôm was addressed with two perspectives: a chronological perspective first, complemented by a heuristic perspective. In the chronological perspective, we described the initial attemps of the first vietnamese translaters, that were supposed to express their own language from chinese characters, that were not necessarily suited to the vietnamese phonetic. This period, that we qualified as pre-classical, is characterized lexically by a form of relative bisyllabism, abondoned latter on, and by a important use of borrowings, that were detrimental to the creation of new proper vietnamese characters. The heuristic perspective showed us that the problematic of Nôm characters formation (that should have developed after the initial attemps of the pre-classical period) was the same problematic as the one underlying the formation of the chinese characters. We can conclude that vietnamese or chinese characters belong to a common corpus. Finally, Nôm characters are just an extension of chinese characters for the use of vietnamese language. Nothing would have forbidden to the chinese language to use Nôm characters if needed. Also, practically speaking, this study will favor the compilation of a common dictionnary which would be that of a common language
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Allanic, Bernard. "Les corpus de caractères et leur dimension pédagogique dans la Chine ancienne et contemporaine." Paris, INALCO, 2003. http://www.theses.fr/2003INAL0006.

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Abstract:
L'analyse des manuels de chinois langue première utilisés en Chine pour l'enseignement élémentaire révèle la permanence d'une même approche didactique, en usage pendant près de 2000 ans, visant l'entraînement intensif à la reconnaissance d'environ 1500 caractères nécessaires pour accéder à la lecture. Nous fondant sur cette approche, nous avons mis au point une liste de 1440 caractères dont la connaissance est la plus utile aux étrangers pour accéder à la lecture des documents authentiques. Puis, nous avons pris exemple sur la "méthode d'enseignement regroupé des caractères" élaborée à partir de 1958 par l'école primaire expérimentale Beiguan (province du Liaoning), pour opérer une classification didactique de ces 1440 caractères fondamentaux en fonction de leurs composants graphiques. Cela a abouti à l'identification de 360 " primogrammes " dont la maîtrise préalable par les apprenants permettrait d'optimiser la mémorisation des caractères complexes qu'ils composent
The analysis of school books used in China for nearly 2000 years for the teaching of Chinese language at elementary level reveals the same pedagogical principle : an intensive training for the recognition of approximately 1500 basic characters. Based upon that fact, we have elaborated a list of the 1440 most useful characters for foreign students who wish to reach quickly the first level of reading comprehension of authentic Chinese documents. In the second part, we have introduced a method created in 1958 at the school of Beiguan (in the Liaoning province), called "regrouped character teaching ", which complies with the rules of the graphic composition of characters and the way a student can memorize them. Therefore, we have classified the 1440 characters in order to create a sub-list of 360 items, that we have coined " primogrammes ", which are both common graphic components in complex characters, and autonomous characters
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Song, Weiyi. "L'intersinographie : une étude de l’acquisition de l’écriture des caractères chinois par des apprenants francophones." Thesis, Aix-Marseille, 2017. http://www.theses.fr/2017AIXM0223.

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Abstract:
Cette thèse porte sur l’intersinographie, notion construite sur le modèle d’« interlangue », pour caractériser les connaissances "intermédiaires" des apprenants en matière d’écriture en langue étrangère. Nous étudions la dynamique du développement des compétences graphiques chez des apprenants francophones du chinois comme langue étrangère. Nous abordons une question cruciale pour la didactique et l’apprentissage de la langue chinoise (mandarin). En effet, à la différence des langues à écriture alphabétique, le développement d’une compétence graphique en chinois a des spécificités qui ne se réduisent pas à la transcription de la langue parlée. Cela tient évidemment à la nature de l’écriture chinoise. La maîtrise de cette dernière requiert des processus pédagogiques particuliers. Peu de travaux ont été consacrés au développement d’une compétence graphique en langue étrangère et encore moins aux compétences liées à la sinographie. Cette thèse s’articule autour d’une étude de la maîtrise de l’exécution graphique. Afin de dresser une liste des productions graphiques non conformes, nous avons établi trois corpus auprès d’apprenants du chinois langue étrangère : un corpus graphique général, un test de la graphie de 100 caractères et un corpus relevé auprès d’adolescents apprenant le français. Suite à nos études quantitatives et qualitatives (suivi des évolutions individuelles), validées par des analyses statistiques, nous proposons une démarche d’enseignement dite d’« arborescence sinographique (字树, zìshù) ». A l’heure de la digitalisation de l’information et des savoirs, cette thèse propose des pistes de réflexion originales en matière de didactique des sinogrammes
This thesis focuses on intersinography, a concept built on the "interlanguage" model, to characterize the learner’s "intermediate" knowledge of writing in a foreign language. We study the dynamics of the development of graphic competences in French-speaking learners of Chinese as a foreign language.We address a crucial question for didactics and learning Chinese (Mandarin). Unlike languages written in an alphabet system, the development of the graphic skills necessary for writing Chinese characters is partially distinct from the learning of spoken Chinese. This is obviously due to the nature of Chinese logograms. Mastery of reading and writing in Chinese requires specific pedagogical processes, distinct from those of oral language.Little work has been devoted to the development of graphic competence in a foreign language, in particular to sinography. This thesis is based on a study of the mastery of graphical execution.In order to draw up a list of non-conforming graphic productions, we have built three corpora among learners of Chinese as a foreign language: a corpus of writings from adolescents (the adolescent corpus), a test for diagnosing written competency (the 100-character test), and a general-use corpus of character writings (the general graphic corpus).Following our quantitative and qualitative studies (follow-up of individual evolutions), and validated by statistical analyzes, we propose a method of teaching called the "sinographic tree (字树, zìshù)". In the age of the digitization of information and knowledge, this thesis proposes unique reflection on the teaching of the sinograms
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Qi, Chong. "Néologie et terminologie : analyse et classification des emprunts lexicaux en chinois." Paris, EHESS, 1997. http://www.theses.fr/1997EHESA020.

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Abstract:
Le phenomene d'emprunt pose, en chinois, des questions specifiques et d'une grande importance pour la lexicologie. C'est a la lumiere du mode de formation graphique des emprunts en chinois que nous avons choisi d'examiner les phenomenes d'emprunt; la specificite des emprunts chinois tient aux contraintes de leur notation ecrite. La litterature linguistique relative a l'emprunt est liee soit a l'etymologie, dans une perspective diachronique, soit a la neologie, dans une perspective synchronique, avec une finalite lexicale et souvent socio-linguistique et ethnologique. Un des propos majeurs de notre travail a ete de decaler la problematique de l'emprunt et elargir le champ d'etude de l'emprunt, afin de la relier aux questions relatives a l'ecriture. Cette these est constituee de deux parties. Dans la premiere partie, nous traitons de l'emprunt lexical en diachronie. Nous etablissons une periodisation qui nous permet de distinguer quatre vagues d'emprunts de l'epoque han a nos jours et insistons plus particulierement sur l'introduction d'une quantite considerable d'emprunts japonais a la fin du 19eme siecle et au debut du 20eme. Nous analysons la transformation grammaticale et la derivation semantique des emprunts et procedons a une etude analogique avec la derivation morphologique de la theorie generativiste, afin de montrer l'importance du semantisme et de la motivation dans l'emprunt. Nous observons que la transposition affixale et l'abreviation expliquent l'evolution de la morphologie des emprunts en chinois et que la tendance au glissement de l'emprunt phonetique vers l'emprunt semantique est un phenomene de sinisation et de normalisation des emprunts. Dans la deuxieme partie, nous abordons le probleme de la nature des emprunts et de leur nouvelle classification, ainsi que les criteres et les effets de la transcription phonetique et le phenomene socio-linguistique dans les emprunts semantiques. En suivant le mecanisme de la creation des caracteres chinois, nous remarquons que la classification des emprunts chinois en emprunts phonetiques, semantiques, mi-semantiques mi-phonetiques et phonetiques a charge semantique correspond analogiquement aux systemes jiajie , huiyi, xingsheng et zhuanzhu de formation des caracteres chinois. Selon cette analyse typologique et morphologique, le processus et le mecanisme des principes de formation de l'ecriture sont consta
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Bailblé, Oliver. "Analyse diachronique et synchronique des emprunts chinois en coréen." Paris, EHESS, 2010. http://www.theses.fr/2010EHES0167.

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Abstract:
La lexicologie coréenne est caractérisée par beaucoup d'éléments exogènes qui se sont intégrés pour devenir, peu à peu, des composantes intrinsèques à la langue. La première vague de ce que l'on appelle les «emprunts linguistiques » a été, et avant tout chinoise, et elle s'est réalisée à travers l'écriture des caractères. La première partie de notre étude s'attardera donc sur les grandes phases d'emprunts chinois dans la péninsule coréenne, s'étendant de la période des quatre commanderies chinoises de la dynastie Han jusqu'à la politique de purification menée par Kim II-Sông dans les années 1960. Dans une deuxième partie, nous procéderons à une analyse synchronique des termes sino-coréens ce qui nous permettra de comprendre davantage comment ces mots d'origine chinoise ont évolué au sein du coréen moderne. Une analyse lexicologique, une étude des emprunts domaine par domaine nous renseignera en particulier sur la nature des influences culturelles chinoises mais aussi japonaises. La troisième partie traitera des défis auxquels sera confrontée la langue parlée en Corée du Sud. Tout d'abord, préparer la réunification linguistique des deux Corée, qui ont depuis plus d'un demi-siècle des politiques linguistiques radicalement différentes. Et enfin et cela y est directement lié, essayer de réguler la surexposition lexicale de termes anglo-saxons à laquelle est confronté la langue parlée à Séoul. Contrairement aux apparences, nous verrons que l'écriture chinoise est en train de revenir au premier plan au sein des emprunts linguistiques. N'en déplaise aux puristes de Corée du Nord et de Corée du Sud, il n'est pas dit que les emprunts chinois appartiennent à un lointain passé
Korean lexicology is characterized, by many foreign elements that have gradually become integral components of the language. These characters were actually used as a means to represent Korean phonology, as the Korean language lacked its own writing system. Chinese characters were also the essential elements which permitted the enlargement of the Korean lexicography and brought to Korean a large quantity of Dew words which were lacking in the language. The first part of the present study examines the major phases of Chinese borrowings on the Korean peninsula. In the second part, this study will proceed to a synchronic analysis of Sino-Korean words which will allow us to understand how these words of Chinese origin have evolved in modem Korean. A lexical analysis, in particular a study of loan words by subject area, will allow us to observe the nature of Chinese cultural influences as well as Japanese influences. The third part will address the challenges facing the spoken language in South Korea and the future linguistic reunification of the two Koreas, countries which have been, for more than half a century, following radically different linguistic policies. Finally, this study examines attempts to moderate the overexposure to English lexicology, which the language spoken in South Korea is currently facing. Contrary to appearances and perceived notions, we see that the Chinese language and its writing system are returning to the forefront of language borrowing. Despite what the language purists of North and South Korea may wish, it cannot be said that Chinese language borrowings are a thing of the distant past
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Yan, Helai. "Le langage chinois (oral et écrit) et ses relations avec l'Inconscient : une réflexion sur la praxis psychanalytique en chinois." Paris 13, 2012. http://www.theses.fr/2012PA131017.

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Abstract:
Cette étude analyse le langage chinois (oral et écrit) et ses relations avec la psychanalyse, particulièrement avec un concept essentiel de la psychanalyse : l’Inconscient. Le langage chinois (oral et écrit) est des traits distinctifs dans lesquels les épreuves sont trouvées pour soutenir que le langage fait la nature de l’humain, l’être parlant. Mais, la langue chinoise est une langue monosyllabique et isolante, l’équivoque ( homonyme) est ainsi un phénomène très répandu dans la langue orale. Après avoir examiné des cas cliniques psychanalytiques classiques, nous avons montré que c’est justement le signifiant équivoque qui joue un rôle important dans la pratique de la psychanalyse. Avec le modèle de la bande de Moebius, nous avons fixé le signifiant équivoque sur le point de torsion de cette bande, c’est ce point qui permet l’échange entre le Conscient et l’Inconscient. Le caractère chinois se compose de traits graphiques issus d’un système complet et s’organise bien selon une logique indépendante de la langue. Orale. Bien qu’il ne transcrive pas de phonème, chaque caractère chinois correspond à une syllabe phonétique. Et même si l’équivoque existe aussi dans le caractère chinois, celui-ci suscite et précise ce que la langue orale fait entendre, et il est aussi un prolongement de la langue orale par la dimension de la vision. Dans la pratique clinique psychanalytique, pour un analysant, il est possible d’interpréter un ou des caractères chinois particuliers pour lui et de trouver les autres sons et les autres sens qui sont probablement les choses reliées aux inscriptions invisibles de l’inconscient de cet analysant, et ces choses sont difficiles à trouver dans sa parole. Enfin, nous avons aussi étudié le corps humain en tant que l’ensemble de zones érogènes, des signes en corps, des caractères représentant des énigmes presque impossibles à décrypter. Un caractère (caractère chinois, dans le sens de « difficile à déchiffrer ») est ainsi une représentation du corps humain, qui est incarné par le signe invisible intérieur, comme une bande de Moebius qui lui est propre.
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Lin, Chi-Miao. "Typologies sinographiques et incidences didactiques." Lyon 3, 2007. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/out/theses/2007_out_lin_cm.pdf.

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Abstract:
Parmi les capacités cognitives, le geste classificatoire est primordial. Il sert à mieux appréhender la connaissance, afin d'en faciliter la mise en mémoire et de faciliter à terme l'identification ultérieure de nouvelles connaissances. Face aux sinogrammes à mémoriser, l'apprenant de chinois a besoin également de ce geste classificatoire, afin de les penser et les classer en vue de les acquérir. Or, les typologies sinographiques existantes — orthodoxes (Liushu) ou modernes — manquent de cohérence et ne sont donc pas pertinentes pour l'apprentissage et l'enseignement. Notre abord de cette problématique repose sur la théorie constructiviste, une typologie sinographique adaptée pour la didactique en L2 se devant de revêtir un caractère évolutif et immuable : cette typologie doit répondre au fait que la perception sinographique de la part de l'apprenant évolue au fur et à mesure de l'apprentissage et dépend du profil pédagogique de chacun. Ces hypothèses sont vérifiées dans le cadre de cette recherche par une investigation sur les questions de mémorisation des sinogrammes chez les apprenants en L2. En prenant appui sur un cadre théorique constructiviste et sur les résultats de l'investigation vérifiant les hypothèses, cette thèse propose une déclinaison typologique de la sinographie dans une perspective didactique. L'esprit central de cette typologie est de se placer du point de vue de l'apprenant tout en gardant la grammatologie comme cadre référentiel
In human cognition, classifying plays a central role to group and categorize knowledge. The learner of Chinese as a second language does rely on given or self-made classifications to analyze, memorize and acquire Chinese characters. However both the existing orthodox classification of Chinese characters — the so-called Liushu — and more recent ones have been conceived from a grammatological point of view. As such, they are neither coherent nor relevant from a learner's perspective. Built upon the cognitive theory of constructivism, we address the question of the finding of sinographic typologies that accounts for two hypotheses related to the sinographic learning process: first its evolving nature and second its dependency to the learner's pedagogical profile. These hypotheses are investigated in the light of an experimental study of memorizing Chinese characters by L2 students. Based on experimental results and on the constructivism theory, a new sinographic typology is proposed and its didactic impacts on the teaching of Chinese characters is analyzed
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Books on the topic "Caractères chinois"

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Yi men xin xue ke: Xian dai Han zi xue = Yi men xin xueke : xiandai Hanzixue. Beijing: Yu wen chu ban she, 2000.

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2

Morel, Paul. Le champ du signe: Étymologie et analyse d'un millier de caractères chinois. Paris: Librairie You-Feng, 2005.

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3

Le champ du signe: Etymologie et analyse d'un millier de caractères chinois. Paris: Editions You-Feng, 2005.

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4

Weng, Zhongfu. Dictionnaire pratique chinois-franc̜ais: Avec transcriptions pinyin et zhuyin : caractères simplifiés et non-simplifiés. Paris: Librairie You Feng, 2000.

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5

Alleton, Viviane. L' Écriture chinoise. 4th ed. Paris: Presses universitaires de France, 1990.

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6

Liu, Jianyu. Zi shu zi liao ku de li lun, shi jian yu ying yong. Beijing Shi: Zhonghua shu ju, 2021.

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7

L' écriture chinoise: Le défi de la modernité. Paris: Albin Michel, 2008.

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8

4 xiao shi xue hui wu bi zi xing. Shanghai: Shanghai ke xue pu ji chu ban she, 2003.

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9

Gao, Jianqun. Gu dao tian ji. China: Wen Lian, 1998.

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panda, Jieante. Wo de xiao zhu yi: Picture cookbook. Beijing: Zhongguo hua bao chu ban she, 2008.

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Book chapters on the topic "Caractères chinois"

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Nastari-Micheli, Ernesto. "Les caractères chinois, traduction et transcription phonétique — Huang Di Nei Jing, Su Wen, Ling Shu." In Recherches sur les origines et la formation de la médecine traditionnelle chinoise, 11–13. Paris: Springer Paris, 2012. http://dx.doi.org/10.1007/978-2-8178-0190-2_2.

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