Academic literature on the topic 'Centrales syndicales'

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Journal articles on the topic "Centrales syndicales"

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GAGNON, Mona-Josée. "Les femmes dans le mouvement syndical québécois." Sociologie et sociétés 6, no. 1 (September 30, 2002): 17–36. http://dx.doi.org/10.7202/001271ar.

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Abstract:
Résumé Cet article essaie de faire le point, à la lumière de ressources bibliographiques très limitées, sur la place des femmes dans le mouvement syndical québécois et sur l'idéologie véhiculée par les centrales syndicales en rapport avec la condition féminine. Prenant appui sur une brève revue des idéologies sociétales québécoises concernant la femme (1940-1970), on passe en revue les trois centrales syndicales québécoises, particulièrement la C.S.N. et la F.T.Q., mais aussi la C.E.Q., sous l'angle idéologique ainsi que politique (présence des femmes). Cette démarche se complète de considérations générales sur la syndicalisation des femmes québécoises et sur leur militantisme, ainsi que sur l'attitude en général des structures et dirigeants syndicaux du Québec en regard du travail féminin. Des hypothèses sont posées visant à expliquer les orientations différentes des deux centrales ouvrières, C.S.N. et F.T.Q., dans l'expression de leur préoccupation vis-à-vis de leurs membres féminins. On identifie enfin les choix fondamentaux s'offrant présentement aux centrales syndicales (protectionnisme ou égalitarisme) et on souligne la nécessité de combler leur retard à intégrer la dimension féministe à leur réflexion politique ainsi qu'à leur pratique syndicale.
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Delmas, Corinne. "Le renouvellement paradoxal de la pratique syndicale : l’exemple des dimensions mentales de la santé au travail." Revue multidisciplinaire sur l'emploi, le syndicalisme et le travail 9, no. 1 (April 12, 2016): 23–50. http://dx.doi.org/10.7202/1036127ar.

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Abstract:
La diffusion des questions de santé mentale au travail dans les organisations syndicales et les entreprises mobilise les registres scientifiques et les univers académiques et professionnels. L’enjeu d’une proximité renforcée avec les salariés et le terrain a nécessité un renouvellement des pratiques syndicales. Cette rupture est parfois explicitement recherchée, comme le montre l’Observatoire du stress et des mobilités forcées à France Télécom, qui illustre la volonté de produire une information crédible et des discours audibles dans d’autres univers sociaux. Occupant un double positionnement, syndical et scientifique, et contribuant à la promotion d’une expertise des risques psychosociaux, il atteste les collaborations entre chercheurs et militants, ce souci de proximité et les nouvelles pratiques syndicales. Son action et les résistances rencontrées montrent en même temps combien cette rupture expose les syndicats à des tensions entre deux dimensions centrales de l’activité syndicale : d’une part, entre action et compréhension des situations et, d’autre part, entre droit individuel et droit collectif. Ces tensions, les limites de l’expertise des risques psychosociaux et la publicisation ambiguë des questions de stress et de souffrance révèlent les difficultés persistantes à penser et à agir sur le travail.
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Bélanger, Paul. "Mutations du syndicalisme québécois : hypothèse en vue d'une recherche." Articles 9, no. 3 (April 12, 2005): 265–79. http://dx.doi.org/10.7202/055407ar.

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Abstract:
Le syndicalisme québécois présente une particularité notable: alors qu'ailleurs au Canada, depuis 1956, à toutes fins pratiques le pluralisme syndical a fait place à l'unité, au Québec l'adhésion des ouvriers est partagée entre deux grandes centrales syndicales : la CSN et la FTO. On peut sous-estimer l'importance de ce phénomène en soulignant que la CSN s'est progressivement dégagée d'une idéologie traditionaliste pour s'adapter à une situation industrielle moderne et qu'elle se rapproche ainsi des positions de la FTQ: il ne resterait entre elles que les différences secondaires que la tendance naturelle des organisations à survivre empêcherait de surmonter. Mais une telle explication rendrait difficilement compte de la rivalité intersyndicale et du dynamisme de chacune des centrales; surtout elle laisserait entrevoir que la CSN n'a pas contribué à la transformation du Québec, qu'elle a même été un obstacle au changement, à la remorque du mouvement irréversible vers la modernisation. Si, au contraire, le pluralisme syndical au Québec a un sens, il ne peut se comprendre que relié à l'ensemble de la situation historique québécoise. Il n'est pas suffisant de parler de contexte et de rappeler la culture nationale des Canadiens français; il faut faire ressortir les principaux éléments constitutifs de la société québécoise et surtout essayer d'en esquisser les rapports. Les éléments de la situation sont connus: il s'agit de ce que plusieurs auteurs québécois ont nommé: le social, le national et l'industrialisation. Et l'examen de l'évolution du syndicalisme québécois apparaît fécond pour apercevoir les types de rapports qui se sont établis et s'établissent aujourd'hui entre eux. C'est donc à partir des orientations des syndicats et de leurs transformations que nous découperons des périodes dans cette évolution. Notre hypothèse veut que dans un passé récent l'existence de plusieurs centrales syndicales était liée à la relative autonomie du nationalisme et de l'industrialisation; que la « Révolution tranquille » peut être définie comme un effort, partiellement réussi, de gérer la tension entre la modernisation et le nationalisme; et que l'avenir du Québec n'est pas indifférent à la façon dont les centrales syndicales vont lier, dans leurs orientations, les trois éléments: modernisation, nationalisme et socialisme.
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Adib, Sherazad. "Et elles, qu’en pensent-elles? Table ronde sur les comités de condition féminine." Notes d'action 19, no. 1 (February 15, 2007): 129–46. http://dx.doi.org/10.7202/014066ar.

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Abstract:
Et elles, qu’en pensent-elles? Elles, ce sont ces femmes qui animent les comités de condition féminine (CCF) des trois plus grandes centrales syndicales du Québec. Les CCF sont vieux déjà de plus de 30 ans. Trois femmes ont accepté de se prêter à un exercice rétrospectif et analytique, indispensable pour mettre le présent numéro de Recherches féministes en perspective. Il s’agit de : Marie-France Benoît, de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), responsable depuis 1998 du CCF/CSN ; Carole Gingras, de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec FTQ), responsable depuis plus de vingt ans du CCF/FTQ; et Chantal Locat, de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), responsable depuis novembre 2004 du CCF/CSQ.
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LIPSIG-MUMMÉ, Carla, and John LIPSIG-MUMMÉ. "Le néocolonialisme syndical : corporations multinationales, stratégie syndicale et Tiers-Monde." Sociologie et sociétés 6, no. 2 (September 30, 2002): 115–44. http://dx.doi.org/10.7202/001443ar.

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Abstract:
Résumé La montée des corporations multinationales pose de nouveaux et de sérieux problèmes au syndicalisme international. Cet article traite de la stratégie syndicale élaborée en particulier par Charles Levinson et par les Secrétariats professionnels internationaux à Genève. Leurs recommandations impliquent une réorganisation complète des centrales syndicales nationales et internationales afin de mettre sur pied des fédérations industrielles internationales vraiment capables de faire face aux corporations multinationales. Après un résumé de ces recommendations stratégiques, l'article passe à l'analyse et à la critique de cette stratégie et surtout de ses implications sur les rapports de force au sein du mouvement syndical mondial. On discute ensuite de l'impact de cette stratégie sur les objectifs, les structures et les tactiques du syndicalisme du Tiers-Monde.
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Gallerani Corrêa, Ellen. "O SINDICALISMO DE TRABALHADORES RURAIS COMO OBJETO DE DISPUTA E COMO AGENTE DE CONSTRUÇÃO DE CENTRAIS SINDICAIS NO BRASIL (2003-2017)." Caderno CRH 34 (June 25, 2021): 021004. http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v34i0.42338.

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Abstract:
<p>Durante os governos do Partido dos Trabalhadores (PT), o número de centrais sindicais cresceu no Brasil e uma acirrada competição por representatividade se estabeleceu entre elas. Este artigo tem como objetivo analisar como essa concorrência se manifestou no movimento sindical por meio do estudo de caso do sindicalismo de trabalhadores rurais, enfatizando as mudanças ocorridas na Confederação Nacional dos Trabalhadores Rurais Agricultores e Agricultoras Familiares (Contag), a principal entidade sindical desse segmento. A investigação foi realizada por meio de entrevistas com dirigentes e assessores sindicais, análise de documentos e imprensa sindical e observação de eventos de entidades selecionadas. Concluímos que a criação de novas centrais sindicais e a possibilidade de obter o seu reconhecimento legal nos anos 2000 estimularam alianças e rupturas no sindicalismo de trabalhadores rurais, as quais levaram à formação de novas entidades rurais e retroalimentaram o processo de criação de centrais.</p><p><strong>RURAL WORKERS’ UNIONISM AS AN OBJECT OF DISPUTE AND AS AN AGENT FOR THE CREATION OF UNION FEDERATIONS IN BRAZIL (2003-2017)</strong><br /><br />During the Worker’s Party (Partido dos Trabalhadores – PT) governments the number of union federations grew in Brazil, establishing a fierce competition<br />for representation between them. This article analyzes how this competition manifested in the labor movement by the case study of rural workers’<br />unionism, emphasizing the changes that occurred in the Confederação Nacional dos Trabalhadores Rurais Agricultores e Agricultoras Familiares (Contag), the main union entity in this segment. The study comprised interviews with union leaders and advisors, analysis of documents and union press and observation of events from selected entities. We conclude that the creation of new federations and the possibility of obtaining their legal recognition in the 2000s promoted alliances and ruptures in rural workers’ unionism, leading to the formation of<br />new rural entities and fed back into the process of creating union federations.</p><p>Keywords: Union Federations. Rural Unionism. Rural Workers. Rural Social Movements. PT Governments.</p><p><strong>LE SYNDICALISME DES TRAVAILLEURS RURAUX </strong><strong>COMME OBJET DE DISPUTE ET COMME </strong><strong>AGENT DE CONSTRUCTION DES CENTRALES </strong><strong>SYNDICALES AU BRÉSIL (2003-2017)</strong></p><p><strong></strong>Sous les gouvernements du Parti des travailleurs (Partido dos Trabalhadores – PT), le nombre de centrales syndicales a augmenté au Brésil et une<br />concurrence féroce pour la représentation s’est établie entre elles. Cet article analyse comment cette concurrence s’est manifestée dans le mouvement<br />syndical à travers une étude de cas du syndicalisme des travailleurs ruraux, en soulignant les changements survenus au sein de la Confederação Nacional dos Trabalhadores Rurais Agricultores e Agricultoras Familiares (Contag), la principale entité syndicale de ce segment. La recherche a été menée par le biais d’entretiens avec des dirigeants et des conseillers syndicaux, d’une analyse de documents et de la presse syndicale et de l’observation des événements des entités sélectionnées. On conclut que la création de nouvelles centrales syndicales et la possibilité d’obtenir leur reconnaissance légale dans les années 2000 ont stimulé les alliances et les ruptures dans le syndicalisme des travailleurs ruraux, ce qui a conduit à la formation de nouvelles entités rurales et a alimenté « en retour » le processus de création de centrales.</p><p>Mots-clés: Centrales Syndicales. Syndicalisme Rural. Travailleurs Ruraux. Mouvements Sociaux. Ruraux. Gouvernement du PT.</p>
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Dagneau, Georges-Henri. "La fusion des centrales syndicales aux yeux des patrons." Relations industrielles 12, no. 1-2 (February 17, 2014): 23–31. http://dx.doi.org/10.7202/1022578ar.

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Abstract:
Sommaire Le patronat ne peut rester indifférent devant le fait de la fusion CMTC-CCT. Aussi cet article a-t-il pour but de faire connaître d'une façon succinte une réaction patronale sur le sujet. L'auteur considère que la nouvelle centrale devra tenir compte de deux principes fondamentaux: le respect de la liberté et le respect de la loi. Il expose les critères à l'aide desquels pourra être vérifiée la fidélité à ces principes.
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Savage, Larry. "Quebec Labour and the Referendums." Canadian Journal of Political Science 41, no. 4 (December 2008): 861–87. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423908081067.

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Abstract:
Abstract.The Quebec labour movement's decision to withdraw its support for Canada's federal system in the 1970s and instead embrace the sovereignist option was unquestionably linked to the intersection of class and nation in Quebec. In this period, unions saw the sovereignist project as part of a larger socialist or social democratic societal project. Because the economic inequalities related to ethnic class, which fuelled the labour movement's support for sovereignty in the 1970s, were no longer as prevalent by the time of Quebec's 1995 referendum, organized labour's continued support for the sovereignist option in the post-referendum period cannot adequately be explained using the traditional lens of class and nation. This paper employs an institutional comparative analysis of Quebec's three largest trade union centrals with a view to demonstrating that organized labour's primary basis for supporting sovereignty has changed considerably over time. While unions have not completely abandoned a class-based approach to the national question, they have tended to downplay class division in favour of an emphasis on Quebec's uniqueness and the importance of preserving the collective francophone identity of the nation. Party–union relations, the changing cultural, political and economic basis of the sovereignist project and the emergence of neoliberalism in Quebec are offered as key explanatory factors for the labour movement's shift in focus.Résumé.La décision du mouvement syndical québécois de retirer son soutien du système fédéral, dans les années 1970, et d'embrasser l'option souverainiste, a été liée incontestablement à l'intersection de classe et nation au Québec. Dans cette période, les syndicats ont vu le projet souverainiste en tant qu'élément d'un plus grand projet de société à caractère social démocratique ou socialiste. Toutefois, puisque les inégalités économiques associées à la classe ethnique qui avaient poussé le mouvement syndical dans le camp de la souveraineté n'étaient plus aussi prononcées lors du référendum de 1995, l'analyse traditionnelle de classe et nation ne peut plus expliquer le maintien de sa position souverainiste durant la période postréférendaire. Cet article se fonde sur une analyse comparative et institutionnelle des trois plus grandes centrales syndicales québécoises en vue de démontrer que les motifs premiers de l'appui syndical au projet souverainiste ont changé considérablement avec le temps. Même si les syndicats n'ont pas complètement abandonné l'approche militante surla question nationale, ils ont relégué les divisions de classes au second plan et plutôt mis l'accent sur le caractère distinct du Québec et sur l'importance de préserver l'identité francophone collective de la nation. Les relations entre les syndicats et les partis politiques, la base culturelle, politique et économique du projet souverainiste, et l'introduction du néolibéralisme au Québec sont présentées en tant que facteurs principaux expliquant l'évolution de la position syndicale à l'égard de la question nationale.
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Dion, Gérard. "Les groupements syndicaux dans la province de Québec (1955)." Relations industrielles 11, no. 1 (February 19, 2014): 1–24. http://dx.doi.org/10.7202/1022667ar.

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Abstract:
Sommaire L'auteur présente ici le premier d'une série d'articles sur le syndicalisme dans la province de Québec. La fusion des centrales syndicales qui se réalisera en 1956 ne fera pas disparaître le caractère particulier des groupements originels ni les tendances qui se manifestent dans leur évolution. Ce premier article est surtout d'ordre factuel.
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Noiseux, Yanick. "Syndicalisme et travail atypique : l’évolution des prises de position des grandes centrales québécoises1." Revue multidisciplinaire sur l'emploi, le syndicalisme et le travail 8, no. 2 (October 20, 2014): 84–100. http://dx.doi.org/10.7202/1027058ar.

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Abstract:
En parcourant l’historique des revendications, des orientations et des prises de position des grandes centrales québécoises au cours des trente dernières années, force est de constater que celles-ci se sont d’abord cantonnées dans une position défensive visant à contrer la progression du travail atypique. Longtemps à la remorque d’autres organisations de la société civile lorsqu’il s’est agi de défendre aussi les intérêts des travailleurs s’exerçant sur les marchés périphériques du travail, les centrales ont lentement pris acte des transformations fondamentales des marchés du travail et de l’obligation d’agir « malgré et avec » les changements. Au tournant du millénaire, les centrales se sont progressivement tournées vers des stratégies plus variées cherchant à prendre en compte les besoins différenciés des travailleurs atypiques. Plutôt que de simplement combattre la prolifération de l’emploi atypique, les centrales syndicales insistent désormais sur l’amélioration des situations dans lesquelles se retrouvent ces travailleurs. Le principe général d’égalité de traitement affirmant qu’à travail égal il faut un salaire égal sera progressivement reformulé de manière à répondre aux nouvelles formes que prend l’emploi. Des efforts significatifs ont été faits afin de recruter de nouveaux membres parmi les travailleurs atypiques, notamment dans le secteur tertiaire privé où abonde l’emploi à temps partiel ainsi qu’auprès de travailleurs temporaires. Contrairement aux idées reçues, les centrales se sont aussi mobilisées afin d’organiser collectivement de nombreux groupes de travailleurs autonomes. Le fait que les grandes centrales syndicales du Québec se soient finalement prononcées pour l’interdiction totale des clauses de disparité de traitement en fonction du statut d’emploi constitue également une avancée importante. Cela dit, la persistance de ces clauses « orphelin » a un impact considérable sur la capacité du syndicalisme à affirmer sa raison d’être et apparaît aujourd’hui comme un enjeu majeur, notamment pour les nouvelles générations de travailleurs.
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Dissertations / Theses on the topic "Centrales syndicales"

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Santos, Ariovaldo de Oliveira. "La crise syndicale au Brésil : les centrales face aux transformations du monde du travail." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010666.

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Abstract:
Cette étude analyse le processus d'ascension et déclin du syndicalisme brésilien au cours des dernières vingtaine d'années. Cela est analyse en retenant l'attention sur les centrales qui se constituent depuis 1983 : centrale unique des travailleurs (CUT), CGT-centrale, CGT- confédération, force syndicale, centrale, autonome des travailleurs (CAT). D'une situation caractérisée par la réalisation de luttes offensives, au cours de laquelle des avancées sociales concrètes ont été obtenues pour l'ensemble des travailleurs, le syndicalisme est entre dans une période d'échecs successifs. Notre étude a pour titre la crise syndicale au Brésil : les centrales face aux transformations du monde du travail et il est divisée en six chapitres titres par ordre : le syndicalisme entre résistance et transformation (chapitre 1); les centrales au Brésil : un parcours d'unité et de rupture (chapitre 2); la close syndicale et les centrales (chapitre 3); le syndicalisme clans la crise (chapitre 4); le socle commun du syndicalisme brésilien contemporain 1978-1996 (chapitre 5); les centrales dans la crise. Des essais de réponse (chapitre 6). L'hypothèse principale que nous développons tend à démontrer que cette crise du syndicalisme ne doit pas simplement être imputée à l'existence d'une multiplicité de centrales. L'élément principal à analyser concerne les transformations économiques et politiques opérées dans le pays depuis la fin de la décennie 1980, c'est-à-dire l'arrivée au pouvoir de gouvernements identifies ou follement imprégnés des politiques " néolibérales "; une plus forte insertion du pays dans le mouvement de globalisation et de modernisation de l'économie; les difficultés des centrales pour apporter une réponse satisfaisante aux " nouveaux défis "
This study analyses the proces of improvement and decline of the Brazilian syndicalism in the last 20 years. This analysis takes as the principal reference the central unica dos trabalhadores (CUT), CGT-confederacao, CGT-central, forca sindical and the central autonoma dos trabalhadores (CAT). We e studied how the situation changed from an offensive struggle to a defensive one. Our study has as the title : the syndical crisis in Brazil: the central worskers and the transformations in the word's work. This study is divided in six chapitles. 1- The syndicalism between resistence and transformations ; 2 - The centrals in Brazil. An evolution with unification and ruptures ; 3- The syndical crisis and the centrals 4- The syndicalism inside the crisis : 5- The common bases for contempory Brazilian's syndicalism ; 6- The centrals usered in the crisis : the essays of answering. Our principal hypothesis is that the crisis by syndicalism is not only motived by a variety of syndical centrals. The principal reasons is concerned to the economic and political transformations that arrived after the end of 1980's. The most important caracteristics must be resumed by : the politic power took by neoliberal governements, or at least influenced by these idea ; an stronger insertion country in global economie ; and, at last, the difficulties faced by the centrals of having good solutions to the "new problems"
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AraÃjo, Liana Souto. "DO PLANFOR AO PNQ: o que muda na PolÃtica de FormaÃÃo da Central Ãnica dos Trabalhadores no contexto do Governo Lula." Universidade Federal do CearÃ, 2007. http://www.teses.ufc.br/tde_busca/arquivo.php?codArquivo=1020.

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Abstract:
O presente trabalho insere-se no conjunto de pesquisas que vem sendo realizado sobre as transformaÃÃes do mundo do trabalho e suas implicaÃÃes para a luta sindical dos trabalhadores no Brasil e, mais especificamente, sobre o movimento sindical cutista. Tomamos como objeto de anÃlise crÃtica a participaÃÃo do sindicalismo cutista na execuÃÃo e legitimaÃÃo da PolÃtica Nacional de QualificaÃÃo Profissional do Governo Luiz InÃcio Lula da Silva tomando como campo empÃrico a sua execuÃÃo no Estado do CearÃ. O objetivo do trabalho à examinar a relaÃÃo que a Central vem estabelecendo com o Governo Federal e sobre a continuidade/descontinuidade da orientaÃÃo neoliberal na administraÃÃo da PolÃtica de FormaÃÃo Profissional. Ao fazer uma retrospectiva histÃrica da Central Ãnica dos Trabalhadores buscamos acompanhar o movimento da Central na sua mudanÃa de rumo e na adoÃÃo de novas prÃticas e estratÃgias de luta, identificando os elementos objetivos e subjetivos que estÃo na base da sua opÃÃo nos anos 90 por um sindicalismo de participaÃÃo e negociaÃÃo afastando-se da perspectiva classista e de oposiÃÃo ao capital que marcou a sua origem. Pretendemos destacar o carÃter ideolÃgico do discurso que confere centralidade à educaÃÃo e à qualificaÃÃo profissional na contemporaneidade e que tem forte influÃncia sobre os trabalhadores levando-os a incorporar a responsabilidade individual pelo seu desemprego. O referido discurso emanado dos organismos multilaterais, especialmente do Banco Mundial, ao mesmo tempo, que desvia a discussÃo da lÃgica destrutiva do sistema amenizando os conflitos sob a promessa da empregabilidade para os que se qualificarem, abre ainda as portas para os empresÃrios do campo da educaÃÃo. Com a ascensÃo de Luiz InÃcio Lula da Silva à PresidÃncia da RepÃblica em 2002, a CUT de moderada passou a assumir uma postura de colaboraÃÃo e de submissÃo ao Governo dando prosseguimento e aprofundando a polÃtica macroeconÃmica dos governos anteriores. A orgÃnica integraÃÃo entre a CUT e o Governo resultou num âcasamento sem sobressaltoâ entre a corrente majoritÃria, a ArticulaÃÃo Sindical, e as alianÃas feitas pelo PT e do seu entÃo candidato com o capital e Vice-Presidente, um legitimo representante da classe patronal. Mais burocratizada e desconexa do movimento dos trabalhadores, a CUT, ao contrÃrio do enfrentamento âcrÃticoâ ao Governo FHC, no atual Governo, aposta no Pacto Social. Chega-se à conclusÃo que o PNQ nÃo traz inovaÃÃes em relaÃÃo ao PLANFOR do Governo FHC. O estudo revela que as aÃÃes de âqualificaÃÃo social e profissionalâ executadas em 2003, ano que tomamos como referÃncia temporal para a anÃlise empreendida, nÃo sofreram alteraÃÃes em termos metodolÃgicos, polÃticos ou pedagÃgicos se comparadas Ãs do PLANFOR. Fica demonstrado que o Governo Lula assume, de forma clara, uma postura coerente com os interesses do grande capital, corta gastos na Ãrea social e restringe ainda mais os direitos historicamente conquistados pelos trabalhadores. A adoÃÃo da polÃtica macroeconÃmica, aliada Ãs reformas, aprofunda e radicaliza o programa neoliberal herdado do Governo FHC. No campo da educaÃÃo, esse Governo prima pelo aprofundamento do processo de privatizaÃÃo.
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Samaniego, M. Augusto. "Les stratégies syndicales de la "Central Unica de Trabadores de Chile" et l'action socio-politique des salariés (1953-1973)." Paris 8, 1998. http://www.theses.fr/1998PA081405.

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Abstract:
La these est une analyse des strategies de la 'central unica de trabajadores de chile' (cut) entre 1953 et 1973 depuis la perspective des interrelations entre le syndicalisme et les projets de changements anticapitalistes qui se disputaient l'appui de la societe. L'histoire de la cut est a replacer dans le contexte du processus d'epuisement du modele d'accumulation capitaliste dependante qui supposait le retrecissement des possibilites de l'economie pour repondre a la croissante demande sociale, pendant la phase de l'industrialisation | substitutive d'importations. Les projets politiques globaux declanchent une intervention sociale active encadre par la cut. Les projets anticapitalistes seron le resultat de la dinamique du bloc de la gauche et de la radicalisation de la democratie chretienne. La gauche ('unidad popular', 1970-1973) integrait, en fait, deux projets differents: a) le 'gradualiste' du parti communiste et du president allende; b) le'rupturiste' du parti socialiste et d'autre groupes plus petits. La conclusion propose une synthese sur l'epuisement des strategies de la cut en correlation avec la crise nationale, le coup d'etat, la dictature militaire et le remaniement du capitalisme chilien
The histoty of the cut (single chilean labor union federation) runs parallel to the exhaustion of a model of dependant capitalist accumu- lation (1953-1973). Methodologically,the analysis includes : a) the interaction between the party system and the unionized world;b) the interaction between cut's strategies and forms of organization. The cut promoted anti-capitalist changes. However,modernization implied new callenges linked to transition from pre-taylorism to taylorism within dominant oligopolic companies. The atomization of small and mid- size companies as well as unions increased. Though,so dis the cut, representing up to a 40% of the country labor force. Therefore,this dissertation discussed the history of the anticapitalist radicalization of chilean unionism during the gobal projects implemented by the political center (christian democratic party, since 1964) and the left (unidad popular, from 1970 until 1973). The collapse of the cut's l'union unity" strategies, within a national crisis context is analized in relation to the clash between the "gradualist" and"rupturist" strategies within the unidad popular coalition. As to unionism, the central object of analysis is the process of workers' participation in the management of social property area of the economy (aps : 1970-1973)
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Dubois-Ouellet, Sarah Pier. "Comment les syndicats locaux agissent-ils de manière significative sur les conditions de travail et d'emploi qui influencent la santé et la sécurité du travail? : le point de vue d'élus nationaux et sectoriels et de conseillers d'une centrale syndicale québécoise." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27458.

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Abstract:
Les quelques études québécoises portant sur l'action syndicale en prévention en santé et sécurité du travail (SST) et sur le contenu de la section dédiée à la SST des conventions collectives traitent essentiellement des comités paritaires SST, de l'action des représentants à la prévention et de la fourniture d'équipements de protection individuelle. Ainsi, elles ne permettent pas de bien connaître les autres moyens utilisés par les syndicats pour agir en prévention, et les leviers et obstacles qui y sont associés. Or il s'agit de questions liées directement au débat sur la revitalisation syndicale. Ce mémoire s'intéresse donc à la manière dont les syndicats locaux agissent pour influer sur les conditions de travail et d'emploi affectant la SST. La recherche vise à comprendre la place de la prévention en SST et ce qui l'influence, à identifier les leviers et les obstacles à l'action syndicale en prévention en SST, et à déterminer des pistes d'actions susceptibles de la renforcer. Le recueil des données s'est fait par le biais de 11 entrevues semi-dirigées avec des élus siégeant à des instances syndicales nationales ou sectorielles et avec des conseillers, provenant tous de syndicats affiliés à une grande centrale syndicale québécoise. Il s'agit de la première phase d'une étude plus vaste devant se poursuivre auprès de syndicats locaux particulièrement actifs. La présente étude, basée sur le point de vue d'élus nationaux et sectoriels et de conseillers en contact régulier avec un grand nombre de syndicats locaux, présente la variabilité de la place de la prévention en SST et les facteurs l'expliquant. Elle décrit un répertoire d'actions syndicales pour agir en prévention. On observe que celles-ci transcendent les moyens traditionnels identifiés dans la littérature scientifique et élargissent le périmètre des actions au-delà des CSS. On note la concurrence entre les tâches de défense des travailleurs accidentés et celles de prévention, étant donné les difficultés reliées au processus d'indemnisation. Enfin, l'étude documente les ressources de pouvoir utilisées par les syndicats locaux, ainsi que leurs leviers et obstacles, sur la base de l'expérience des répondants dans leurs contacts avec ceux-ci. Les souhaits formulés par les répondants permettent d'identifier des pistes d'action pour le développement de l'action préventive dans les milieux de travail et quant au soutien que la centrale et ses structures sectorielles peuvent y apporter.
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Spasova, Slavina. "Professionnalisation à travers la socialisation internationale et les "usages de l'Europe". Le cas des organisations syndicales en Bulgarie, KNSB et KT Podkrepa, après 1989." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2015. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/217119.

Full text
Abstract:
Comment appréhender l’acteur syndical dans le changement des cycles historiques et « le passage, à la fin des années 80, d’une conjoncture économique à une autre, d’une forme syndicale à une autre ». (Mouriaux, René dans Launey, Michel 1990). En se passionnant par ce questionnement notre thèse de doctorat se penche sur l’étude de cas de la construction de l’acteur syndical et son rôle dans l’espace politique, économique et social en Bulgarie après 1989. Un pays qui à l’orée de l’instauration du régime communiste (fin 1940) ne compte qu’une poignée de travailleurs industriels. Cependant jusqu’au milieu des années 1945, malgré les aléas liées aux différents régimes autoritaires, des Fédérations syndicales bulgares s’organisent souvent avec de l’aide étrangère. En outre, elles sont également divisées selon des lignes idéologiques des débats politiques et syndicaux internationaux. Par la suite, au début de l’instauration du régime communiste, il s’agissait de « créer » les travailleurs industriels. Les syndicats avaient des fonctions de « courroie de transmission » du Parti à l’image des syndicats soviétiques, principalement liées à leur « encadrement » à travers la fourniture de services sociaux (gestion des allocations sociales, les bases de repos, etc.) mais également la « surveillance de la productivité » à travers la « compétition socialiste ». Après la chute du régime communiste la question de la survie des anciens et la construction de nouveaux syndicats et de leur rôle se pose dans toute la région de l’ancien Bloc de l’Est. Ainsi, visant à dépasser les dichotomies analytiques en termes de force/faiblesse (due principalement aux cause externes structurelles) longuement présentes dans les recherches sur les syndicalismes en Europe centrale et orientale, notre thèse présente une tentative de saisir la complexité de la construction et le rôle des deux Confédérations bulgares, KNSB et KT Podkrepa. Le fil conducteur de notre recherche, à travers la méthode de process- tracing, questionne la professionnalisation de ces organisations à travers la socialisation internationale et les « usages de l’Europe » sur la scène nationale. De nouveau, comme dans le passé du syndicalisme bulgare, les influences étrangères paradigmatiques et matérielles, sont primordiales. Dans une perspective pluridisciplinaire prenant comme base heuristique les néo-institutionnalismes sociologique et discursif - au carrefour de la sociologie des professions, et des littératures sur la socialisation internationale et les « usages de l’Europe » – notre travail tend à saisir la complexité du processus de la création et la transformation du syndicalisme dans un contexte politique, économique et social en pleine mutation. Conçue de telle manière notre recherche permet de concevoir les interactions entre le niveau européen (international) et le niveau national notamment à travers les outils conceptuels des usages de l’Europe. La trame de notre analyse est la professionnalisation conçue en tant que « construction sociale » (Larson 1977) qui est principalement le résultat des mécanismes de la socialisation internationale et de ses usages au niveau national. Nous l’appréhendons à travers les trois dimensions qui sont le « projet professionnel », la conflictualité sur le monopole de la compétence (Abbott 1988) et l’élaboration d’un code éthique commun de valeurs. Comme le souligne Larson, « [t]he core of the professionalization project is the production of professional producers ». (1977: 50) Ainsi, sommes- nous concentrée sur les paradigmes principaux et les acteurs qui les véhiculent. Quels sont les idées et les intérêts et les environnements institutionnels dans ce processus mais surtout quelles en sont les principales interactions? Quels en sont les résultats ?Notre analyse repose sur un matériau empirique de 93 entretiens semi-directifs avec des leaders syndicaux et d’autres acteurs concernés dans de processus effectués lors de trois terrains de recherche entre 2012 et 2014. Ses entretiens sont complétés par 72 questionnaires concernant le profil et les attitudes envers leur travail syndical des leaders de tout l’échelon de l’organisation. En outre, nous avons analysé les documents programmatiques, des archives personnelles et de la littérature grise provenant des deux Confédérations. Notre analyse a décelé deux grandes périodes dans ce processus :la période de la construction du syndicalisme moderne bulgare (1989-1997) et la période de consolidation institutionnelle (1997-2015). Nos principaux résultats démontrent que pendant la première période la professionnalisation du syndicalisme bulgare est principalement fonction de la socialisation internationale (à travers les mécanismes d’apprentissage et persuasion et « socialisation anticipatrice » (Merton 1957) d’avant 1989) des principaux dirigeants de deux Confédérations. Une constellation de contacts personnels, syndicaux (Confédération Internationale des syndicats libres (CISL), CES, AFL-CIO, FO, FGTB) et des environnements socialisateurs (OIT, FMI) y sont présents pour pourvoir de l’aide matérielle et idéationnelle. Toute en exemplifiant leurs propres modèles syndicaux, la majorité de ces organisations véhiculent le paradigme de la « coopération tripartite ». Les usages cognitifs, stratégiques et de légitimation de ces contacts de la part des syndicats bulgares sont primordiaux dans la légitimation interne (organisationnelle) et pour consolider les relations entre les deux Confédérations. En outre ses usages deviennent la principale arme cognitive et stratégique dans le rapport de force avec les différents gouvernements principalement pour institutionnaliser le tripartisme. Celui-ci est perçu par les deux Confédérations comme la condition sine qua non de la réussite de la transition politique et économique bulgare dans laquelle, elles voient leur rôle en tant que syndicalisme de « coopération ». La seconde période, s’ouvre avec leur admission dans la CES et la période d’adhésion à l’UE. Les acteurs syndicaux étrangers et les mécanismes de la socialisation internationale subsistent, mais se transmettent d’une manière institutionnalisée, les syndicats en faisant usage pour leur consolidation interne et rôle dans le processus décisionnel. Le paradigme européen du Dialogue social devient primordial dans le discours et les actions syndicales. Comme le souligne un acteur syndical « « […] si quelque chose n’allait pas bien, nous les menacions [les gouvernements] d’aller le dire à l’Union Européenne ». Pendant cette période nous avons démontré l’hypothèse que bien que l’UE n’a que peu de compétences en matière de politique sociale, les deux Confédérations syndicales ont réussi à faire usage des différentes ressources et contraintes du niveau européen afin de consolider, institutionnaliser et légitimer leur rôle dans le système politique bulgare. Les syndicats se saisissent et interprètent les exigences communautaires en la matière principalement pour renforcer leur capacité « instituante » (représentativité institutionnelle) et créer « une nouvelle surface institutionnelle ». Nous pouvons conclure qu’au niveau interne, la professionnalisation s’exprime dans l’apprentissage à tous les niveaux d’un nouveau paradigme :celui du dialogue social (bipartite, local et d’entreprise) et son institutionnalisation à ces différents niveaux organisationnels. Au niveau externe, la professionnalisation s’exprime dans l’institutionnalisation de différentes formes de participation et de droits. Au cours de cette seconde période, les dimensions de la professionnalisation :le projet professionnel, la conflictualité sur le monopole de la compétence et enfin l’intégration de nouveaux codes d’éthique et de valeurs s’expriment principalement à travers la quête de la part de l’acteur syndical de l’institutionnalisation de son rôle. Le « projet professionnel » des deux Confédérations pendant cette période s’exprime dans le fait de « monopoliser l’accès au métier » au niveau national à travers le renforcement de l’institutionnalisation de la représentativité syndicale et la négociation de dispositions législatives éliminatoires pour les « concurrents ». En outre, les Confédérations à travers les usages cognitives, stratégiques et de légitimation de l’Europe sont à la base de la création de plusieurs institutions, certaines par mimétisme du niveau européen. Finalement, elles arrivent à transformer des exigences de l’acquis, perçues comme contraintes. En l’occurrence, la législation européenne en matière d’information et consultation des travailleurs est remaniée et transposée selon leur intérêt. Il s’agit dans la majeure partie des cas du maintien d’une situation de fait (forme de représentation uniquement syndicale) dans les entreprises. Celle-ci peut également être lue à travers la grille de la professionnalisation « monopolisation d’éléments spécifiques du métier» au niveau de l’entreprise. Nous avons montré la capacité d’action de l’acteur syndical qui ressort gagnant de ces vingt-cinq ans concernant sa reconnaissance institutionnelle (représentativité institutionnelle). Néanmoins, n’est-il pas également perdant concernant sa reconnaissance dans l’essence même du syndicalisme :la représentation des travailleurs (représentativité identitaire). Et quid d’autres groupes sociaux ?Nous avons inscrit notre thèse dans la littérature qui se concentre sur l’agency syndical, nous avons tenté de rendre à cet acteur les logiques d’action qui lui étaient propres pour s’adapter et faire usage des ressources et même des contraintes internationales/ européennes. Nous avons développé les réflexions d’Ost (2009) sur la professionnalisation et la socialisation avec des homologues étrangers à travers un cheminement théorique au niveau méso, institutionnel afin de saisir l’acteur syndical en Bulgarie. Dans cette perspective, les résultats de notre travail font écho à des conclusions recherches similaires menées auparavant. Comme celles de Meardi(2000) sur la socialisation internationale au sein des Comités d’entreprise européens ou sur le cas des syndicats roumains de Pilat (2007). Notre étude communique également avec les conclusions de Bohle et Grescovits (2012) sur la construction des idéaux-types des capitalismes en Europe centrale et orientale concernant l’importance primordiale de « political agency » ,y compris des syndicats. La théorisation de la part de Bohle et Grescovits, du capitalisme bulgare en tant que "non –régime" et l’existence d’intérêts économiques oligarchiques explicitent quelque part l’importance primordiale pour les syndicats bulgares de l’institutionnalisation de leur rôle et des relations professionnelles en général. Les deux Confédérations bulgares participent à la « création » du capitalisme bulgare à travers l’institutionnalisation du modèle tripartite. L’acteur syndical y est le principal instigateur et moteur de ces institutions tripartites. Dans cet ordre d’idées, il serait intéressant dans une perspective plutôt d’économie politique de mener une analyse sur les exigences économiques de l’UE et le rôle des syndicats. Comme le souligne Meardi (2000), le paradoxe des structures de dialogue social en tant que « soft law » consiste en le fait qu’ils ont accompagné des décisions économiques relevant de « hard law ». Enfin, cette étude s’inscrivant dans son historicité propre, marquée principalement par le contexte de l’intégration européenne de la Bulgarie mais également de la crise économique, pose des questions plus larges sur les idées programmatiques mais également philosophiques véhiculé dans ces pays par syndicalisme européen. Un syndicalisme européen qui était une partie inhérente de la construction européenne. La question qui se pose et que la Confédération européenne des syndicats se pose est celle de « leur relation future » et d’un « éventuel divorce » entre l’intégration européenne et les syndicats. Qui plus est, dans un contexte d’allégations sur un éventuel « Brexit », des employeurs britanniques montrent leur attachement à l’Europe. Dans cette perspective, nous pensons que notre recherche peut présenter des pistes de réflexions sur comment étudier un acteur très peu analysé :le patronat. D’autant plus, qu’il n’était presque pas analysé en Europe centrale et orientale. En l’occurrence, comment s'est-il transformé dans un pays comme la Bulgarie, dominé longtemps par des intérêts économiques souterrains ?En l’occurrence, la professionnalisation des organisations patronales, et leur rapport et usages de l’Europe peut représenter une contribution importante pour comprendre une des facettes de l’intégration européenne et les évolutions des capitalismes européens.
Doctorat en Sciences politiques et sociales
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Corrêa, João Guilherme de Souza. "Sindicalismo cidadão e economia solidária : uma análise da experiência política da Central Única dos Trabalhadores (CUT) /." Marília, 2014. http://hdl.handle.net/11449/121876.

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Abstract:
Orientador: Giovanni Antônio Pinto Alves
Banca: Edilson José Graciolli
Banca: Patrícia Vieira Trópia
Banca: Henrique Tahan Novaes
Banca: Francisco Luiz Corsi
Resumo: O trabalho que o leitor tem em mãos é uma análise crítica sobre as transformações na estratégia política da Central Única dos trabalhadores (CUT) que a levaram a promover práticas em economia solidária através de entidades criadas exclusivamente para isso. A modalidade de ação sindical chamada sindicalismo cidadão praticada pela entidade e influenciada sobremaneira por sua tendência política mais preeminente foi responsável por consolidar nos anos 2000 a primazia pela participação política em espaços institucionais na sociedade e na estrutura do Estado e por avançar na prática de prestação de serviços sociais paralelamente ao Estado e dentro da concepção dos serviços e entidades "públicos não estatais" e do "terceiro setor", comuns no momento neoliberal. No que tange a prestação de serviços, a Agência de Desenvolvimento Solidário (ADS) foi criada para atuar na política de emprego, auxiliando no fomento de alternativas de trabalho e renda para trabalhadores fora do mercado formal, sob a forma predominante de cooperativas. A justificativa política para tais ações escora-se no movimento de economia solidária da América Latina que, em geral, diz buscar ativar um tipo de envolvimento da sociedade civil marcado por outra racionalidade econômica, distinta da capitalista. No nível da elaboração teórica se soma a proposta da CUT um residual discurso socialista reconfigurado segundo a versão de Paul Singer, que advoga a necessidade de construção dos "implantes socialistas" para a realização da transição pacífica à nova sociedade transformada. A partir dessa compreensão, o socialismo seria alcançado sem a necessidade de se contrariar interesses de classe e sem eliminar o próprio capital, bastando que os empreendimentos econômicos cooperativos praticassem internamente a gestão democrática e estabelecessem relações econômicas tendo a justiça e a solidariedade por base...
Abstract: The work that the reader has at hand is a critical analysis about the transformations in the political strategy of the Central Union of Workers (CUT), which led it to promote solidarity economy practices by entities created solely for this. The mode of union action called "citizen unionism" practiced by the entity and influenced greatly by its most prominent political trend was responsible for consolidating in the 2000s the primacy of political participation in institutional spaces in society and the structure of government and for advancing the practice of provision of social services in parallel to the state and within the design of services and entities "nonstate public" and the "third sector", common in the neoliberal moment.Regarding the provision of services, the Solidarity Development Agency (ADS) was created for acting on employment policy, assisting in the promotion of alternative employment and income for workers outside the formal market, under the predominant form of cooperatives. The policy justification for such actions anchor in the solidarity economy movement in Latin America in general, says seeking activate a type of involvement of civil society marked by another, distinct economic rationality of capitalist. At the level of theoretical elaboration of the proposal adds a residual CUT socialist discourse reconfigured according to the version of Paul Singer, who advocates the necessity for the construction of "socialist implants" for the realization of a peaceful transition to the new society transformed. Starting this understanding, socialism would be achieved without the need to counteract class interests and without eliminating the capital itself, just that cooperative economic ventures internally to practice democratic management and establish economic relations with justice and solidarity on the basis that from its generalization in society, contaminate capitalist ...
Doutor
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Corrêa, João Guilherme de Souza [UNESP]. "Sindicalismo cidadão e economia solidária: uma análise da experiência política da Central Única dos Trabalhadores (CUT)." Universidade Estadual Paulista (UNESP), 2014. http://hdl.handle.net/11449/121876.

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Abstract:
Made available in DSpace on 2015-04-09T12:28:08Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2014-11-24Bitstream added on 2015-04-09T12:48:10Z : No. of bitstreams: 1 000813558.pdf: 771735 bytes, checksum: 3b65a790bb34bd0014b4d327d8e4ce97 (MD5)
O trabalho que o leitor tem em mãos é uma análise crítica sobre as transformações na estratégia política da Central Única dos trabalhadores (CUT) que a levaram a promover práticas em economia solidária através de entidades criadas exclusivamente para isso. A modalidade de ação sindical chamada sindicalismo cidadão praticada pela entidade e influenciada sobremaneira por sua tendência política mais preeminente foi responsável por consolidar nos anos 2000 a primazia pela participação política em espaços institucionais na sociedade e na estrutura do Estado e por avançar na prática de prestação de serviços sociais paralelamente ao Estado e dentro da concepção dos serviços e entidades “públicos não estatais” e do “terceiro setor”, comuns no momento neoliberal. No que tange a prestação de serviços, a Agência de Desenvolvimento Solidário (ADS) foi criada para atuar na política de emprego, auxiliando no fomento de alternativas de trabalho e renda para trabalhadores fora do mercado formal, sob a forma predominante de cooperativas. A justificativa política para tais ações escora-se no movimento de economia solidária da América Latina que, em geral, diz buscar ativar um tipo de envolvimento da sociedade civil marcado por outra racionalidade econômica, distinta da capitalista. No nível da elaboração teórica se soma a proposta da CUT um residual discurso socialista reconfigurado segundo a versão de Paul Singer, que advoga a necessidade de construção dos “implantes socialistas” para a realização da transição pacífica à nova sociedade transformada. A partir dessa compreensão, o socialismo seria alcançado sem a necessidade de se contrariar interesses de classe e sem eliminar o próprio capital, bastando que os empreendimentos econômicos cooperativos praticassem internamente a gestão democrática e estabelecessem relações econômicas tendo a justiça e a solidariedade por base...
The work that the reader has at hand is a critical analysis about the transformations in the political strategy of the Central Union of Workers (CUT), which led it to promote solidarity economy practices by entities created solely for this. The mode of union action called citizen unionism practiced by the entity and influenced greatly by its most prominent political trend was responsible for consolidating in the 2000s the primacy of political participation in institutional spaces in society and the structure of government and for advancing the practice of provision of social services in parallel to the state and within the design of services and entities nonstate public and the third sector, common in the neoliberal moment.Regarding the provision of services, the Solidarity Development Agency (ADS) was created for acting on employment policy, assisting in the promotion of alternative employment and income for workers outside the formal market, under the predominant form of cooperatives. The policy justification for such actions anchor in the solidarity economy movement in Latin America in general, says seeking activate a type of involvement of civil society marked by another, distinct economic rationality of capitalist. At the level of theoretical elaboration of the proposal adds a residual CUT socialist discourse reconfigured according to the version of Paul Singer, who advocates the necessity for the construction of socialist implants for the realization of a peaceful transition to the new society transformed. Starting this understanding, socialism would be achieved without the need to counteract class interests and without eliminating the capital itself, just that cooperative economic ventures internally to practice democratic management and establish economic relations with justice and solidarity on the basis that from its generalization in society, contaminate capitalist ...
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Amorim, Ivan Gerage. "Cidadania dos trabalhadores e as centrais sindicais no Brasil." Universidade Presbiteriana Mackenzie, 2010. http://tede.mackenzie.br/jspui/handle/tede/991.

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Abstract:
Made available in DSpace on 2016-03-15T19:33:33Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Ivan Gerage Amorim.pdf: 1385879 bytes, checksum: 5e00ab126cf08500aad43b4fe6ab3cf9 (MD5) Previous issue date: 2010-09-01
Fundo Mackenzie de Pesquisa
The history of social rights in Brazil is linked to itself with the development of citizenship.The achievement of some of the guarantees in terms of positive these rights requires greater understanding of the labor organization in the country in the fight for better conditions of life and work. In this sense, unions related to the process of expanding the protection and realization of social rights, in particular the protection of workers and participate in these boards and other public spaces. Thus, this paper aims at analyzing the social and political factors that have contributed to the formal recognition of the Unions in the Brazilian legal system, although the understanding of issues such as citizenship, freedom of association and human rights are required.
A história dos direitos sociais no Brasil vincula-se com o próprio desenvolvimento da cidadania. A conquista de algumas das garantias em termos de positivação destes direitos pressupõe uma maior compreensão acerca da organização operária no país na luta por melhores condições de vida e de trabalho. Neste sentido, as Centrais Sindicais se relacionam com o processo de ampliação da tutela e efetivação dos direitos sociais, em especial as de proteção aos trabalhadores e de participação destes em colegiados e demais espaços públicos.Assim, a presente dissertação tem por escopo a análise dos fatores sociais e políticos que contribuíram com o formal reconhecimento das Centrais Sindicais no ordenamento jurídico brasileiro, embora a compreensão de temas como cidadania, liberdade sindical e direitos humanos frente ao processo de integração regional se façam necessários.
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Walsh, Élizabeth. "Régionalisme et convergence des politiques : l'influence d'un réseau syndical dans l'élaboration des politiques du travail par le Mercosul." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25358/25358.pdf.

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Nique, Franz Walter Francisco. "Faire ou non parti ? : la Centrale des Travailleurs Argentins en quête d’une stratégie politique face au néo-libéralisme (1991-2013)." Thesis, Paris 1, 2019. http://www.theses.fr/2019PA01D060.

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Abstract:
Décembre 2002, la Centrale des Travailleurs Argentins (CTA) décide de constituer un Mouvement Politique, Social et Culturel. Tout laisse croire que la Centrale va créer un parti politique. L’ambition est de proposer une alternative de gauche à la crise économique et sociale qui affecte le Pays depuis un an. Paradoxalement, ce n’est qu’à partir de 2006 que commence la construction partisane alors qu’un gouvernement de gauche dirige le Pays et que tous les indicateurs socio-économiques se sont améliorés. Pourquoi la CTA hésite à faire parti en 2002 ? Pourquoi le fait-elle en 2006 alors que la crise est déjà passée ? De quelle façon le parti est-il construit ? L’objectif de cette thèse est de déchiffrer cette énigme à travers la compréhension du jeu d’interdépendances constitué entre syndicats, mouvements sociaux et partis politiques. Deux hypothèses sont ici défendues. D’une part, pendant les années 1990, la stratégie de contestation des politiques néolibérales a amené la CTA à se positionner à l’intersection de différents univers sociaux, en nouant de multiples relations avec des syndicats, des mouvements sociaux et des partis politiques. En raison de la densité de ces réseaux et de l’intensité des interactions entre ses composants, un milieu multisectoriel que nous désignerons par l’expression «milieu oppositionnel» s’est alors formé. La stratégie de construction partisane se trouve toutefois entravée du fait des jeux concurrentiels livrés à la fois au sein de la Centrale et du milieu oppositionnel. D’autre part, les stratégies partisanes menées par les syndicalistes sont en réalité le résultat d’un habitus clivé. Leur reconversion dans le champ politique est partielle, de même qu’ils résistent à adopter des pratiques et les logiques propres au jeu politique, au risque de compromettre la viabilité électorale du parti. La démonstration s’appuie sur une enquête socio-ethnographique menée pendant trois séjours de terrain réalisés entre 2011 et 2015
December 2002, the Argentinean Workers’ Union (Central de Trabajadores Argentinos, CTA) decides to form a Political, Social and Cultural Movement. Everything suggests that the Central will create a political party. The ambition of the actors is to propose a left-wing alternative to the economic and social crisis that has affected the country for a year. Paradoxically, it is only from 2006 that a partisan construction begins whilst a left-wing government leads the Country and all the socio-economic indicators have improved. Why is the CTA reluctant to join in 2002? Why is it doing it in 2006 when the crisis is already behind? How is the party built? The objective of this thesis is to decipher this enigma through the understanding of the game of interdependencies between unions, social movements and political parties. Two hypothesis are defended. During the 1990s, the strategy of challenging neoliberal policies led the CTA to position itself at the intersection of different social universes, forging multiple relationships with unions, social movements and political parties. Because of the density of these networks and the intensity of the interactions between its components, a multi-sectoral environment, that we will call the "oppositional milieu", has been formed. It is because of the competitive games played both within the Central and the oppositional milieu, that the partisan construction strategy is hindered. The second hypothesis holds that partisans’ strategies led by trade unionists are the result of a cleaved habitus. Their reconversion into the political field is partial and they resist to adopt practices and logics specific to the political game, at the risk of compromising the electoral viability of the party. The demonstration is based on a socio-ethnographic survey conducted during three field trips conducted between 2011 and 2015
Dezembro de 2002, a Central dos Trabalhadores Argentinos (CTA) decide constituir um Movimento Político, Social e Cultural. Tudo indica que a Central criará um partido político. Sua ambição é de propor uma alternativa de esquerda como saída para a crise econômica e social que afeta o País depois de um ano. Paradoxalmente, apenas em 2006 começa a construção partidária, quando já existe um governo de esquerda e que todos os indicadores socioeconômicos melhoraram. Por que a CTA hesita em construir seu partido em 2002? Por que ela decide de fazê-lo em 2006 quando a crise já foi deixada para trás? De que maneira o partido é construído? O Objetivo desta tese é resolver este enigma através da compreensão do jogo de interdependências constituído entre sindicatos, movimentos sociais e partidos políticos. Duas hipóteses serão defendidas. Por um lado, durante os anos 1990, a estratégia de contestação das políticas neoliberais conduziu a CTA à posicionar-se na intersecção entre diferentes universos sociais, estabelecendo múltiplos vínculos com sindicatos, movimentos sociais e partidos políticos. Em razão da densidade destas redes e da intensidade das interações entre seus componentes, formou-se um meio multi-setorial que designaremos “meio oposicionista” (milieu oppositionnel). A estratégia de construção partidária é entravada pelos jogos concorrenciais encetados tanto no âmago da Central quanto nas redes do meio oposicionista. Por outro lado, as estratégias partidárias desenvolvidas pelos sindicalistas são condicionadas por um tipo de habitus clivado. Sua reconversão no campo político é parcial, de maneira que eles resistem a adaptar práticas e logicas próprias ao jogo político, pondo em risco a viabilidade eleitoral do partido. A demonstração está baseada em uma pesquisa sócio-etnográfica conduzida ao longo de três trabalhos de campo realizados entre 2011 e 2015
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Posas, Mario. Las centrales de trabajadores en Honduras. [Tegucigalpa?]: Friedrich Ebert Stiftung, 1986.

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Histoire de la FTQ: 1965-1992, la plus grande centrale syndicale au Québec. Montréal: Québec/Amérique, 1994.

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Matos, Leonardo Rabelo de. Centrais sindicais: E as perspectivas de reforma sindical brasileira. Rio de Janeiro: Câmara Brasileira de Jovens Escritores, 2007.

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Matos, Leonardo Rabelo de. Centrais sindicais: E as perspectivas de reforma sindical brasileira. Rio de Janeiro: Câmara Brasileira de Jovens Escritores, 2007.

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Costa, Sílvio. Tendências e centrais sindicais: O movimento sindical brasileiro, 1978-1994. Goiânia, GO: Editora da Universidade Católica de Goiás, 1995.

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Léonce, Pelletier, Centrale de l'enseignement du Québec, and Enseignement, eds. Les souvenirs de Laure Gaudreault: Une chronique du journal l'Enseignement, 1966-1967. [Sainte-Foy]: Centrale de l'enseignement du Québec, 1996.

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Costa, Fernando. Centrais sindicais e sindicatos no Brazil dos anos 90: O caso Niterói. Niteói, RJ: Editora da Universidade Federal Fluminense, 2002.

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Garcés, Mario. FOCH, CTCH, CUT: Las centrales unitarias en la historia del sindicalismo chileno. Santiago, Chile: Educación y Comunicaciones Ltda., 1988.

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M, Augusto Samaniego. Les stratégies syndicales de la "Central Unica de Trabajadores de Chile" et l'action socio-politique des salariés (1953-1973). Lille: Atelier national de reproduction des thèses, 2001.

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démocratiques, Centrale des syndicats. CSD: 15 ans de progrès, d'engagement, de démocratie, de solidarité. Montréal: Centrale des syndicats démocratiques, 1987.

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Book chapters on the topic "Centrales syndicales"

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Membreño, Roland, and Elsa Guerrero. "“Maquila” et organisation syndicale en Amérique centrale." In Genre et économie : un premier éclairage, 303–5. Graduate Institute Publications, 2001. http://dx.doi.org/10.4000/books.iheid.5460.

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Bekken, Jon, and Mario Martín Revellado. "Spanish Firemen and Maritime Syndicalism, 1902–1940." In Writing Revolution, 103–18. University of Illinois Press, 2019. http://dx.doi.org/10.5622/illinois/9780252042744.003.0007.

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Abstract:
This chapter describes how Spanish firemen and Hispanic anarcho-syndicalists built a strong presence in the maritime industry in the opening decades of the twentieth century. They exchanged publications and developed interpersonal networks to sustain a culture of resistance across the Americas. Hispanic seaman played a major role in the Atlantic Coast maritime trade, primarily as firemen (fogoneros) working on ships sailing out of U.S. ports. Many fogoneros had experience in militant unions overseas, having fled persecution in Cuba or Spain. Firemen, though ill-paid, were central to the operation of coal-fired steamships, providing electricity to the ship as well as powering its engines. This chapter also examines the Strike of 1912.
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Murton, Galen, and Tulasi Sharan Sigdel. "Stuck on the side of the road." In Highways and Hierarchies. Nieuwe Prinsengracht 89 1018 VR Amsterdam Nederland: Amsterdam University Press, 2021. http://dx.doi.org/10.5117/9789463723046_ch02.

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Abstract:
This chapter examines rural road development in Nepal to understand how the purported benefits of new transport mobilities in fact reinforce longstanding social hierarchies, create conditions for the consolidation of centralized elite power and capital accumulation, and reproduce terms of marginality and precarity for vulnerable populations in highland Nepal. The authors posit that road development in Nepal functions as a ‘liberal mode of governance’ (Duffield 2008) whereby both private and public actors territorialize national space and articulate a new but still uneven future for Nepal. More broadly, this chapter aims to illuminate how non-state actors working in peripheral and rural regions – such as transport syndicates and development contractors in Nepal – help to materialize the capitalist and bureaucratic objectives of central state authorities through liberal practices of infrastructure development.
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Kirk, Neville. "What Kind of Socialism?" In Transnational Radicalism and the Connected Lives of Tom Mann and Robert Samuel Ross. Liverpool University Press, 2017. http://dx.doi.org/10.5949/liverpool/9781786940094.003.0004.

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Abstract:
While chapter two presents a general picture of the transnational world in which Mann and Ross operated and their place and influence within it, chapters three to seven identify and explain their contributions to specific aspects of this world. Chapters three and four (Part Two) concentrate upon their most important contribution- to the nature and development of socialism, including socialist syndicalism, in Australia, New Zealand, Britain and, albeit to a lesser extent, the wider world. Chapter three highlights the shared nature of Mann’s and Ross’s socialism in Australia up to 1908 and the eclecticism of the influences upon their thought, combined with the central influence of Marx and their enduring commitment to the peaceful Social Revolution.
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