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1

van den Bel, Martijn, Thomas Romon, Christian Vallet, and Sandrine Delpech. "Un village « galibi » en Guyane française : le cas du site archéologique d’Eva 2." Recherches amérindiennes au Québec 44, no. 2-3 (June 1, 2015): 127–41. http://dx.doi.org/10.7202/1030974ar.

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Abstract:
Le site d’Eva 2 a livré les vestiges d’un village amérindien de l’époque historique en Guyane française. Le mobilier collecté nous confronte avec une chronologie longue qui s’étale entre 1650 et 1900 de notre ère. En comparant la céramique découverte lors de la fouille et celle des collections de poterie amérindiennes du xixe siècle conservées dans différents musées européens, on observe une ambiguïté chronologique. Ce décalage conduit à l’hypothèse d’une transformation de la céramique produite par les Amérindiens de la bande littorale, nommés Galibis par les premiers colons, au cours de l’époque coloniale et durant le développement d’une production répondant à la demande des colons, notamment tout au long du xixe siècle.
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2

Britton, Alison. "Circuit Céramique aux Arts Décoratifs: La Scène Française Contemporaine." Journal of Modern Craft 4, no. 2 (July 2011): 213–16. http://dx.doi.org/10.2752/174967811x13050332209404.

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3

Derœux, Didier, and Daniel Dufournier. "Réflexions sur la diffusion de la céramique très décorée d'origine française en Europe du Nord-Ouest (XIIIe-XIVe siècles)." Archéologie médiévale 21, no. 1 (1991): 163–77. http://dx.doi.org/10.3406/arcme.1991.993.

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4

Audouze, Françoise, and Claudine Karlin. "La chaîne opératoire a 70 ans : qu’en ont fait les préhistoriens français." Journal of Lithic Studies 4, no. 2 (September 15, 2017): 5–73. http://dx.doi.org/10.2218/jls.v4i2.2539.

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Abstract:
L’article porte sur l’origine et le développement de l’école française de technologie préhistorique. En remontant aux sources, les auteurs montrent comment la chaîne opératoire, concept proposé par A. Leroi-Gourhan, ethnologue et préhistorien, a d’abord été développé par les ethnologues puis appliqué à l’étude du lithique préhistorique en liaison avec eux. La découverte du site de plein air de Pincevent a permis à Leroi-Gourhan de développer ses idées quant à une approche ethnographique d’une occupation préhistorique et les remontages de silex qui restituent les séquences de débitages ont été pour la première fois utilisées de façon systématique. La lecture de ces remontages a conduit à développer le concept de chaîne opératoire. Parallèlement J. Tixier concevait une méthode d’étude spécifiquement adaptée à l’analyse des productions taillées lithiques en s’appuyant sur la lecture de débitages expérimentaux pratiqués par son équipe. La mise en commun des idées développées par Tixier et son équipe et par le laboratoire d’Ethnologie préhistorique de Leroi-Gourhan, la pratique de l’expérimentation, de la taille du silex et des remontages de nucléus a conduit à des développements qui ont porté d’abord sur les techniques et méthodes de taille. Puis cette coopération a permis d’affiner une identification des niveaux de compétence, de l’apprentissage à la haute performance, puis, au delà, une reconnaissance des individus tailleurs à partir de caractéristiques idiosyncratiques de débitage. S’ouvrait ainsi le chemin vers l’analyse du domaine économique et enfin des domaines cognitif et social à partir de l’organisation spatiale d’habitats du Paléolithique supérieur. Le concept et tous les champs de recherche qu’ouvrait son application ont ensuite été adoptés dans d’autres domaines que le lithique : l’os, la céramique, le métal, l’archéozoologie et le funéraire, impliquant le développement de critères appropriés et de techniques d’observation et d’expérimentation adaptées au matériau ou aux pratiques. Tout en s’appuyant sur les acquis, deux démarches récentes portant sur le moyen et long terme ouvrent de nouvelles pistes. Flexibilité, vision dynamique des processus et connexion structurelle de la sphère technique à toutes les dimensions humaines font de la chaîne opératoire une efficace machine à penser les processus de production et leur place dans la société.
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5

Alexandre-Bidon, Danièle. "Paolo Güll L’industrie du quotidien. Production, importations et consommation de la céramique à Rome entre XIVe et XVIe siècle Rome, École française de Rome, 2003, 469 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 60, no. 6 (December 2005): 1336–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900020886.

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6

Cholewa, Joanna. "Cuire et wypalać/wypalić dans la terminologie de la poterie/céramique." Roczniki Humanistyczne 67, no. 8 (November 4, 2019): 119–33. http://dx.doi.org/10.18290/rh.2019.67.8-8.

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Abstract:
CUIRE I WYPALAĆ/WYPALIĆ W TERMINOLOGII GARNCARSTWA I CERAMIKI Celem niniejszego artykułu jest analiza czasownika cuire, kojarzonego przede wszystkim z kuchnią, jako terminu z dziedziny rzemiosła (garncarstwo/ceramika). Jego znaczenie jest następnie zestawione ze znaczeniem polskich odpowiedników: wypalać/wypalić, których brak w terminologii związanej z kuchnią. Analiza umożliwi sprawdzenie, czy znaczenia czasowników z obu języków odsyłają do tej samej rzeczywistości pozajęzykowej. Badanie obejmuje również derywaty nominalne analizowanych czasowników: cuisson dla języka francuskiego i wypalanie/wypalenie/ wypał dla języka polskiego. Znaczenie cuire jako terminu garncarstwa/ceramiki skupione jest na modyfikacji poprzez ciepło oraz w aspekcie użytkowym. Wypalać/wypalić podkreśla znaczenie działania wysokiej temperatury oraz właściwości produktu: solidność i odporność. Cuisson odnosi się do procesu, podobnie jak wypalanie, rzeczownik posiadający dwa synonimy – wypalenie i wypał. Pierwszy z nich stosowany jest rzadko w terminologii garncarstwa/ceramiki, natomiast drugi posiada dodatkowo znaczenie produktu. Cuire et wypalać/wypalić dans la terminologie de la poterie/céramique Le présent article a pour l’objectif d’analyser le verbe cuire, associé surtout au domaine de la cuisine, en tant que terme de l’artisanat (poterie/céramique). Son sens est confronté à celui de ses correspondants polonais : wypalać/wypalić, absents dans la terminologie de la cuisine. L’analyse vise à vérifier si les sens des verbes de deux langues renvoient à la même réalité extralinguistique. L’étude est prolongée sur les dérivés nominaux des verbes analysés : cuisson pour le français et wypalanie/wypalenie/wypał pour le polonais. Le sens de cuire comme terme de la poterie/céramique focalise sur la modification par la chaleur et l’aspect utilitaire. Wypalać/wypalić mettent en valeur l’action de la haute température et les propriétés du produit : la solidité et l’endurance. Cuisson se réfère à un processus, de même que wypalanie, qui a deux synonymes : wypalenie et wypał. Le premier est rare dans la terminologie de la poterie/céramique et le deuxième possède en plus le sens de produit.
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7

Holt, Richard. "Paulo Güll, L'industrie du quotidien: production, importations et consommation de la céramique à Rome entre XIVe et XVIe siècle. Rome: Ecole française de Rome, 2003. ix + 474pp. 46 figures. 9 plates. Bibliography. Index. No price stated." Urban History 32, no. 2 (August 2005): 364–65. http://dx.doi.org/10.1017/s0963926805223209.

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8

Fulford, M. G. "The Triumph of Neptune - S. Gozlan: La Maison du Triomphe de Neptune à Acholla (Botria, Tunisie) 1 Les Mosaïques: étude céramique par Ariane Bourgeois. (Collection de lΈcole Française de Rome, 160.) Pp. xviii+308; 72 figs, 2 folding plans, 103 plates. Rome: École Française de Rome/, Institut National dďArchéologie et dďArt de Tunis, 1992. Paper." Classical Review 44, no. 1 (April 1994): 173–75. http://dx.doi.org/10.1017/s0009840x00291142.

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9

Lund, John. "The Roman pottery of Argos and its trade patterns - CATHERINE ABADIE-REYNAL, LA CÉRAMIQUE ROMAINE D'ARGOS (fin du IIe siècle avant J.-C. - fin du IVe siècle après J.-C.) (Etudes Péloponnésiennes XIII; Ecole française d'Athènes2007). Pp. 342, pl. 78 including 2 in colour. ISBN 2-86958-200-5. EUR. 110." Journal of Roman Archaeology 23 (2010): 728–30. http://dx.doi.org/10.1017/s1047759400003020.

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Baguelin, Isabelle. "La Céramique. La redécouverte d’un vitrail de l’Exposition universelle de 1878 au musée des Monuments français." Histoire de l'art 56, no. 1 (2005): 131–39. http://dx.doi.org/10.3406/hista.2005.3098.

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Bouquillon, Anne. "Les céramiques post-palisséennes de provenance ancienne dans les collections françaises : analyse des glaçures." Technè, no. 47 (June 1, 2019): 90–101. http://dx.doi.org/10.4000/techne.1558.

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Margueron, Jean-Claude. "Yves Calvet & Marielle Pic (dir.), Failaka, fouilles françaises 1984-1988. Matériel céramique du temple-tour et épigraphi." Syria, no. 87 (November 1, 2010): 432–33. http://dx.doi.org/10.4000/syria.828.

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Barbe, Françoise, François Coulon, and Jessica Denis-Dupuis. "Le collectionnisme des xviie et xviiie siècles. Les céramiques post-palisséennes de provenance ancienne dans les collections françaises." Technè, no. 47 (June 1, 2019): 80–89. http://dx.doi.org/10.4000/techne.1538.

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14

Patterson, John R. "Fouilles de L'École Française de Rome a Bolsena (Poggio Moscini) (Mélanges d'archéologie et d'histoire, Supp. vi). Published by L'École Française de Rome. i. P. Gros, Guide des fouilles. Paris, 1981. Pp. 95, 45 text figs, ISSN 0424-2262, ISBN 2-7283-0013-5. - ii. A. Balland, A. Barbet, P. Gros and G. Hallier, Les Architectures (1962–1967). Rome, 1971. Pp. 394, 19 pls. - iii, i. A. Balland, La Céramique Étrusco-campanienne a vernis noir. Paris, 1969. Pp. 168. - iv. C. Goudineau, La Céramique arétine lisse. Paris, 1968. Pp. 396. - v. F.-H. Massa-Pairault and J.-M. Pailler, La Maison aux salles souterraines 1: les terres cuites sous le péristyle. Rome, 1979. Pp, 279, 116 pls. - vi. G. Hallier, M. Humbert and P. Pomey, Les Abords du Forum: le côté nord-ouest (Fouilles 1971–1973). Rome, 1982. Pp. x + 151, numerous illus. ISBN 2-7283-0039-9." Journal of Roman Studies 76 (November 1986): 308–12. http://dx.doi.org/10.2307/300394.

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Bussière, J. "Marques sur lampes et localisation des ateliers - JACQUELINE BONNET , LAMPES CÉRAMIQUES SIGNÉES. DÉFINITION CRITIQUE D'ATELIERS DU HAUT EMPIRE (Documents d'archéologie française n° 13, Paris 1988). 224 pages, 65 figures, 17 tableaux. ISBN 2-7351-0248-3. 215 FF." Journal of Roman Archaeology 3 (1990): 445–48. http://dx.doi.org/10.1017/s1047759400011338.

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Charaf, Hanan. "Review of L. Badre, E. Capet & B. Vitale, Tell Kazel au Bronze Récent. Études céramiques (BAH, 211), Beyrouth: Institut français du Proche-Orient 2018. 252 pp., 195 figs., 59 pls. and 2 plans. ISBN 978-2-35159-740-8." Opuscula. Annual of the Swedish Institutes at Athens and Rome, no. 12 (November 2019): 396–97. http://dx.doi.org/10.30549/opathrom-12-14.

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Gates-Foster, Jennifer. "Amphoras in Egypt, 7th c. B.C-12th c. A.D. - SYLVIE MARCHAND et ANTIGONE MARANGOU (édité par), AMPHORES D’ÉGYPTE DE LA BASSE ÉPOQUE À L’ÉPOQUE ARABE (Cahiers de la céramique égyptienne 8; Institut français d’archéologie orientale, Le Caire2007). 2 vols., pp. 783, many figs., maps and tables. ISBN 978-2-7247-0457-0 (set); ISSN 0259-7381. EUR. 108." Journal of Roman Archaeology 24 (2011): 803–7. http://dx.doi.org/10.1017/s1047759400004062.

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Bechini, Thibault. "L'industrie céramique française et le marché argentin : des échanges commerciaux aux transferts techniques." ABE Journal, no. 8 (September 17, 2015). http://dx.doi.org/10.4000/abe.2715.

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Bechini, Thibault. "L'industrie céramique française et le marché argentin : des échanges commerciaux aux transferts techniques." ABE Journal, no. 8 (September 17, 2015). http://dx.doi.org/10.4000/abe.10864.

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"L’industrie du zirconium, tout made in France." Revue Générale Nucléaire, no. 6 (November 2020): 42–43. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20206042.

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Abstract:
Le zirconium fait partie intégrante de l’assemblage de combustible contenant l’uranium, placé en réacteur nucléaire. Cette activité industrielle mérite d’être soulignée car toutes les étapes de fabrication, qui sont autant d’usines réparties historiquement dans différentes régions, mettent en valeur le savoir-faire français en métallurgie et alimentent aussi d’autres industries (pharmacie, médicale, électronique, céramique, optique, automobile, etc.).
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La Vaissière, Étienne de. "Céramique et peuplement du Chalcolithique à la conquête arabe, Prospections archéologiques en Bactriane Orientale (1974-1978), vol. 2 (Mémoires de la Mission archéologique française en Asie centrale, VIII). Paris, Éditions Recherche sur les Civil." Abstracta Iranica, Volume 22 (May 15, 2001). http://dx.doi.org/10.4000/abstractairanica.37484.

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Béchacq, Dimitri, and Hadrien Munier. "Vodou." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.040.

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Abstract:
Le vodou haïtien compte parmi les religions issues des cultures afro-américaines telles que les différentes formes de candomblé au Brésil, la santería et le palo monte à Cuba ou encore le culte shango à Trinidad. Le vodou partage certains aspects avec ces autres religions nées de la traite et de l'esclavage des Africains, façonné par l'histoire singulière de la société dans laquelle il est s'est formé. Tout au long de l’histoire haïtienne, le vodou a été marqué par des rapports étroits avec le champ politique et religieux. Entre mythe et histoire, à la fois réunion politique et religieuse, la cérémonie vodou du Bois-Caïman est passée à la postérité comme l’événement initiateur de l’indépendance d’Haïti proclamée le 1er janvier 1804. Nées dans le contexte esclavagiste de la colonie française de Saint-Domingue, les pratiques alors assimilées au vodou (fabrication de poisons, danses, assemblées nocturnes, etc.) étaient interdites. Au XIXe siècle, différentes constitutions privilégièrent le catholicisme au détriment du vodou jusqu’au Concordat de 1860 entre Haïti et le Vatican. Si certains dirigeants haïtiens comptaient dans leurs réseaux des serviteurs du culte, d’autres soutenaient les campagnes antisuperstitieuses menées par le clergé. L’Occupation américaine d’Haïti (1915-1934) provoqua un sursaut nationaliste : l’indigénisme et le mouvement ethnologique et folklorique placèrent alors les classes populaires et le vodou au centre d’une refondation culturelle, ce qui fut ensuite récupéré par François Duvalier avec le noirisme (Béchacq 2014a). En 1986, des officiants et des temples vodou furent attaqués à la suite de l’exil de Jean-Claude Duvalier du fait de leur relation étroite, avérée ou supposée, avec la dictature. Deux premières associations de défense et de promotion du culte, Zantray et Bodè Nasyonal furent crées. Un mouvement d’institutionnalisation du vodou se développa dans les années 1990 par des militants souhaitant représenter les pratiquants dans les instances publiques nationales. En 2003, le culte fut reconnu par décret comme « religion à part entière » et en 2008, une fédération d’associations vodou désigna son représentant, Max Beauvoir, comme « Guide Suprême du Vodou » et défenseur du culte contre ses détracteurs (Béchacq 2014b). Le catholicisme, les églises protestantes et plus récemment l’islam entretiennent des relations complexes avec le vodou. Son influence est combattue par les autorités religieuses, notamment protestantes, qui appellent à la lutte contre le vodou, poursuivant ainsi l’œuvre des campagnes antisuperstitieuses catholiques (fin XIXe-milieu XXe siècles). Parallèlement, plusieurs religions peuvent être représentées dans une même famille ; l’adhésion au vodou, comme aux autres cultes, peut constituer une étape dans un parcours religieux, d’autant qu’il existe des similitudes entre vodou et pentecôtisme (glossolalie, transe, etc.). Le vodou est réputé pour être fréquenté majoritairement par des femmes, comme espace de tolérance pour les homosexuels et il existe plusieurs niveaux de rapport au vodou, du client non initié au pratiquant assidu. Si ce culte a pendant longtemps symbolisé la bipolarité socioculturelle haïtienne (pauvres/riches, noirs/mulâtres, campagne/ville, créole/français, etc.), toutes les couches sociales sont aujourd’hui représentées dans le vodou. Les serviteurs sont organisés en familles spirituelles sous l'autorité charismatique d'un oungan ou d'une manbo et liés par une filiation initiatique. De ce fait, et par son mode de transmission principalement oral, le vodou haïtien connaît une grande variabilité d'un groupe à l'autre. Une diversité régionale du vodou se manifeste dans les identités des esprits, les rites, les chants, les rythmes musicaux, la liturgie, l’initiation et dans le rapport à la possession, certains rituels régionaux valorisant des transes plus expressives. Enfin, selon qu'il soit pratiqué en ville, et surtout à Port-au-Prince, ou en milieu rural, lieu de nombreux pèlerinages, le vodou affiche des différences importantes affectant le rapport aux entités, la sophistication des cérémonies ou le rapport à l'environnement. Cette diversité amène certains auteurs à considérer qu'il existe plusieurs vodou (Kerboull 1973). L’essentiel de la liturgie est issu de rites de possessions africains, origine que l’on retrouve dans les noms des lwa (Legba, Danbala, Ogou…), dans ceux de leurs familles ou nanchon (nation), ou encore dans ceux des rituels (Rada, Nago, Kongo...) (Métraux 1958). Pendant la période coloniale, les pratiquants – principalement des esclaves mais également, à différents degrés d’implication, des colons ou des « libres de couleur » – se sont aussi appropriés le catholicisme populaire européen par l'usage des chromolithographies et des prières. Les deux autres influences sont la magie – européenne, diffusée par la circulation de livres, et plusieurs variantes africaines – et la franc-maçonnerie. Par ailleurs, le contact des esclaves avec les premiers habitants de l’île et l’usage d’artefacts taïno (haches polies, céramiques) dans le vodou étant avérés, certains intellectuels y voient la preuve d’une influence sur le culte. L'ensemble de ces influences, sans cesse retravaillées par les dynamiques sociales, a fait du vodou une « religion vivante » (Bastide 1996) parmi les religions afro-américaines. Le vodou fait partie intégrante du pluralisme médical haïtien, aux côtés de la phytothérapie populaire, des doktè fey (docteurs feuilles), de la biomédecine et de certaines églises évangéliques (Brodwin 1996 ; Vonarx 2011 ; Benoît 2015). Pour effectuer leurs trètman (traitements), les praticiens vodou recourent systématiquement à leurs entités, dépositaires du savoir thérapeutique. Les rituels de guérison et les séances de consultation prennent en charge les maux physiques, relationnels et spirituels et comprennent des bains, des prières, des boissons et/ou la confection d'objets magiques (Munier 2013). Ils sollicitent parfois des lieux spécifiques (église, carrefour, cimetière) et des éléments de l’espace naturel (rivière, mer, arbre, grotte). Ces pratiques visent à intégrer le patient dans des collectifs composés d'entités et de pratiquants, reliés entre eux par des échanges mutuels témoignant de la dimension holistique du vodou qui associe étroitement médecine et religion, environnement social et naturel. La diaspora haïtienne – en Amérique du Nord, dans la Caraïbe et en Europe francophone – s’est formée dans les années 1960 et est actuellement estimée à 2 millions de personnes. Ces communautés d’Haïtiens, leurs descendants et leur pays d’origine sont reliés par des réseaux familiaux, économiques, politiques et religieux, dont ceux du vodou (Richman 2005). Ce dernier s’est adapté à de nouveaux environnements urbains et participe de cette dynamique transnationale (Brown Mac Carthey 2001) ; Béchacq 2012). Du fait de son fort ancrage dans la culture haïtienne et de son absence de prosélytisme, le vodou est surtout pratiqué dans ces nouveaux espaces par des Haïtiens et leurs descendants, ainsi que par des Caribéens et des Africains-Américains mais assez peu par d'autres populations.
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23

Auger, Reginald, and Allison Bain. "Anthropologie et archéologie." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.030.

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Abstract:
Les parcours sinueux qu’ont suivis l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord depuis une cinquantaine d’années démontrent des intérêts convergents pour la connaissance et l’explication du comportement humain et cela avec des méthodes de recherche de plus en plus divergentes. L’anthropologie qui a émergé des milieux intellectuels aux États-Unis au XIXe siècle avait pour origine l’intérêt pour la compréhension des populations autochtones de l’Amérique; de cet intérêt pour l’humain, se sont développés des outils pour comprendre le comportement qui se cachait derrière le geste posé. Dès le début, l’anthropologue s’intéressait aux comportements et l’archéologue documentait les traces du geste posé. De cette proximité entre l’anthropologie et l’archéologie qui s’est concrétisée par la création du Bureau of American Ethnology à la fin du XIXe siècle, il était naturel de placer la formation en archéologie au sein de départements d’anthropologie dans les universités aux États-Unis et au Canada. Malgré l’apparence initiale d’un champ unifié et d’un terrain partagé entre l’anthropologie et l’archéologie, la pratique s’est transformée pour devenir tout autre au fil des ans. Au milieu du XXe siècle, l’archéologie commence à remettre en question sa relation avec les interprétations fonctionnalistes des anthropologues (Trigger 2006 : 363-372). La première figure à souligner le problème de l’inéquation entre les résultats de la recherche archéologique et la théorie en anthropologie fut Walter Taylor (1948) dans son livre A Study of Archaeology. Taylor, le relativiste, exposa son penchant pour le particularisme historique dans une approche qu’il identifie comme étant conjonctive; pour ce chercheur iconoclaste, l’historiographie comptait pour beaucoup. L’approche conjonctive consistait à établir des corrélations entre différents types de données dans des contextes historiques et culturels spécifiques afin de faire le pont entre des particularités historiques (les collections archéologiques) et des données anthropologiques. La méthodologie qu’il proposait impliquait la vérification d’hypothèses par l’analyse de la composition et de la structure des collections archéologiques. L’objectif central de cette approche visait à mettre de l’avant des études contextuelles détaillées qui permettraient d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques. Dans sa formulation de l’approche conjonctive en archéologie et la vérification d’hypothèses, Taylor reconnaissait qu’une réflexion critique était nécessaire puisque l'archéologue travaillait dans le présent. En dépit de la richesse des collections archéologiques et constatant le danger qui planait sur l’archéologie si nous avions continué à publier des listes d’attributs de nos objets au lieu d’interpréter la culture matérielle comme étant la trace du comportement humain, dans un geste de médiation entre l’anthropologie et l’archéologie, Binford (1962) publiait son article portant le titre Archaeology as Anthropology. Comme il le signale dans son introduction son article qui faisait suite à un ouvrage venant d’être publié par Willey et Phillips (1958) où l’on mentionne clairement que l’archéologie américaine « c’est de l’anthropologie ou rien du tout ». Ce geste d’éclat dans une période charnière de l’enseignement de l’archéologie dans les universités nord-américaines allait donner naissance à un nouveau paradigme que l’on appela la New Archaeology aussi connue sous le nom d’archéologie processuelle. Un tel changement de paradigme venait en contradiction avec les pratiques européennes en matière d’archéologie préhistorique, notamment celles de l’École de Bordeaux et de François Bordes, son membre le plus influent, qui avait réussi à imposer sa vision sur le sens de la variabilité des outils en pierre du paléolithique moyen (Bordes 1961; 1984). Dans sa thèse de doctorat intitulée The Bordes-Binford Debate: Transatlantic Interpretive Traditions in Paleolithic Archaeology, Melissa C. Wargo (2009) présente une analyse en profondeur des modes de pensée qui diffèrent entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Essentiellement, le raisonnement traditionnel voulait que l’apparition d’une nouvelle culture archéologique (de nouveaux types) puisse signifier la manifestation d’un nouveau groupe de personnes, un groupe ethnique détectable avec les outils de l’archéologie. C’est ce que nous apprenions à la lecture des travaux de François Bordes sur les changements technologiques observés au paléolithique moyen. Lorsque Binford est parvenu à étudier les mêmes collections, il proposa des interprétations toutes autres. Ainsi, alors que pour Bordes, des outils différents représentent des groupes différents; si l’ensemble de l’assemblage ne peut être attribué à un groupe avoisinant, peut-être alors que certains éléments peuvent l’être. Et si de tels parallèles peuvent être établis, l’approche de Bordes a pour corollaire que c’est là le lieu d’origine de la population à l’étude et que nous serions en présence d’une diffusion de traits culturels à partir de la migration d’un groupe ethnique. Pour Binford, la différence dans la composition des assemblages devrait plutôt être interprétée comme étant le résultat d’adaptations; pour ce chercheur, les assemblages archéologiques sont des coffres d’outils adaptés pour une fonction particulière. Nonobstant la grande quantité de statistiques accumulées, Binford, de son propre aveu, admit qu’il fut incapable d’expliquer ce qu’elles signifiaient. En d’autres mots, il avait beaucoup d’information sur le présent mais ne pouvait l’expliquer par manque d’analogie avec le passé. En dépit de ces différences d’opinion, l’utilité de la typologie de Bordes réside dans le fait qu’elle fournissait un langage descriptif; cette typologie a cependant été par la suite rejetée par certains chercheurs qui considéraient que la définition des types de François Bordes était inadéquate parce que trop subjective. Pire encore, Bordes a été accusé d’incorporer dans ses interprétations des hypothèses non vérifiées sur les capacités cognitives des hominidés durant le paléolithique moyen. De nos jours, nos analyses de la technologie visent à remplacer cette approche typologique de Bordes par une méthode s’appuyant sur la combinaison d’attributs dont la description porte davantage sur le comportement. De toute évidence, le débat entre le promoteur de la New Archaeology et la figure de proue de l’archéologie française et son approche taxonomique en pierre a permis de mettre en évidence un malaise profond sur la façon dont le passé devrait être interprété. Ce débat est aussi emblématique de traditions scientifiques différentes entre l’Europe et l’Amérique du Nord. C’est dans ce contexte intellectuel que sont nés des départements d’anthropologie associant l’anthropologie culturelle, l’anthropologie biologique, la linguistique et l’archéologie. Ces quatre champs sont apparus à des moments bien précis de l’histoire des universités nord-américaines mais de nos jours, la réalité de l’anthropologie est devenue beaucoup plus complexe (Bruner 2010). Un étudiant en archéologie peut avoir des besoins de formation en géographie, en histoire, en géologie, en botanique, en biologie, en ethnohistoire, en systèmes d’information géographique, en informatique, etc. alors qu’un étudiant en anthropologie pour atteindre un niveau de compétence élevé pourrait avoir besoin de formation en histoire, en science politique, en sociologie, en art, en littérature, en théorie critique, etc. Malgré que les besoins aient grandement changé depuis la création des départements d’anthropologie, les structures académiques sont demeurées statiques. La protection des départements d’anthropologie dans leur configuration actuelle des quatre champs relève le plus souvent des politiques universitaires. Ainsi, même si les professeurs étaient d’accord qu’il serait intellectuellement plus profitable de scinder ces gros départements, la question de diviser les départements d’anthropologie en unités plus petites qui feraient la promotion de l’interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales n’est pas envisagée dans la plupart des universités nord-américaines (Smith 2011). Au milieu de cette tourmente, se sont développés un certain nombre de départements et de programmes d’archéologie en Amérique du Nord. De là est née une discipline émancipée du joug des structures trop rigides et se donnant un ensemble de méthodes de recherche qui lui étaient propres. La trajectoire conceptuelle empruntée par ceux-ci a permis de remonter au-delà du geste et de la parole en retenant une classe cohérente de concepts explicatifs développés, certes en anthropologie, mais raffinés et adaptés au contact de l’archéologie et d’autres disciplines en sciences humaine et sociales et sciences de la nature. Cette indépendance intellectuelle de l’anthropologie s’est notamment affirmée par des collaborations entre l’archéologie et la philosophie des sciences (Kelly et Hanen 1988; Salmon 1982; Wylie 2002; Wylie et Chapman 2015). La croissance de l’intérêt pour les explications processuelles des données archéologiques chez plusieurs archéologues nord-américains fut motivée par le fait que les néo-évolutionistes en anthropologie mettaient trop l'accent sur les régularités dans les cultures. Les concepts utilisés en archéologie processuelle exerçaient une influence significative sur notre discipline et l’adoption de cette approche théorique était d’autant plus attrayante car les variables proposées se présentaient comme des causes majeures de changements culturels et relativement accessibles à partir des vestiges archéologiques. Cette approche s'intensifia et donna de nouvelles directions aux tendances déjà présentes en archéologie préhistorique. Dans ce changement de paradigme qui donna naissance au courant de la Nouvelle Archéologie en Amérique du Nord et à un moindre degré au Royaume-Uni, l’accent était placé sur la vérification d’hypothèses sur les processus culturels comme outils d’explication du passé. De la position qu’elle occupait comme l’un des quatre sous-champs de l’anthropologie ou encore, de celle de servante de l’histoire, l’archéologie est devenue l’un des plus vastes champs du monde académique (Sabloff 2008 : 28). En plus d’avoir trouvé son ancrage théorique dans les sciences sociales et humaines, l’archéologie, attirée par les techniques et méthodes fraie régulièrement avec les sciences physiques et les sciences de la nature. En se donnant ses propres méthodes de collecte et d’analyse pour l’examen de cultures distinctes et en poursuivant avec des comparaisons interculturelles, la discipline cherchait à mieux comprendre les cultures qui se sont développées à travers le temps et l’espace. Puisque l’objet d’étude de l’archéologie porte sur les traces de groupes humains dans leur environnement naturel et leur univers social, les questions qu’elle se pose sont fondamentales à l’histoire de l’humanité et pour répondre à de telles questions elle s’est dotée de méthodologies d’enquête qui lui sont propres. L’utilisation d’équipements sophistiqués pour déterminer la composition chimique des résidus lipidiques incrustés sur un outil en pierre taillée ou encore, les recherches sur la composition physico-chimique de la pâte d’une céramique sont des techniques visant à répondre à des questions d’ordre anthropologique. Le quand et le comment du passé sont relativement faciles à identifier alors que pour découvrir le pourquoi l’archéologue fait souvent appel à l’analogie ethnographique, une méthodologie issue de l’insatisfaction des archéologues à l’endroit des travaux en anthropologie culturelle (David et Kramer 2001). Une autre méthodologie est celle de l’archéologie expérimentale qui s’intéresse à la fabrication et à l’usage des outils (Tringham 1978), méthode similaires à celle de l’ethnoarchéologie. L’expérimentation à partir d’outils fabriqués par le chercheur et les banques de données provenant d’expérimentations contrôlées servent alors d’éléments de comparaison pour interpréter la forme des assemblages archéologiques (Chabot et al. 2014) est au centre de la méthode préconissée. Le développement de l’ethnoarchéologie durant les années 1970 aurait inspiré Binford (1981) lorsqu’il mit de l’avant l’utilisation de théories de niveau intermédiaire pour établir un lien entre ses données archéologiques et les théories de niveau supérieur sur le comportement. Sa décision semble avoir reposé sur les développements de l’approche ethnoarchéologique et ses propres terrains ethnoarchéologiques chez les Nunamiut de l’Alaska (Binford 1978). D’autres orientations théoriques ont vu le jour au cours des années 1960–1970 et ont fait la distinction entre différentes approches matérialistes par rapport à des schémas évolutionnistes antérieurs. Par exemple, Leslie White (1975) adopta une forme de déterminisme technologique très étroit qui reflétait une croyance en la technologie comme source de progrès social. Julian Steward (1955) envisagea un déterminisme écologique moins restrictif alors que Marvin Harris (1968) y voyait un déterminisme économique encore plus large. Pour ces quelques positivistes le rôle que l’archéologie se devait de jouer était d’expliquer la culture matérielle du passé. Quant à l’archéologue Lewis Binford (1987), il soutenait que l’étude des relations entre le comportement humain et la culture matérielle ne devrait pas être le rôle central de l’archéologie puisque selon lui, les données ne contiendraient aucune information directe sur les relations entre le comportement humain et la culture matérielle. Dorénavant, les données archéologiques se devaient d’être comprises par elles-mêmes, sans avoir recours à des analogies ethnographiques. Cette dernière approche voulait clairement établir de la distance entre l’archéologie, l’anthropologie culturelle, l’ethnologie et peut-être les sciences sociales en général ; son mérite était peut-être, justement, d’éviter les réductionnismes et les analogies rapides entre explications anthropologiques et assemblages archéologiques. Dans la même veine, d’autres remises en question sont apparues durant les années 1980 avec les travaux d’Ian Hodder (1982; 1985) sur la validité des certitudes positivistes qui avaient été le fonds théorique et empirique des adeptes de la New Archaeology. Depuis cette réflexion sur l’essence même de l’archéologie, Hodder a reconnu qu’une position critique est fondamentale face à l’objet d’étude; naquit alors le courant théorique post-processuel en archéologie. Dans son cheminement pour découvrir la signification des vestiges qu’elle étudie, l’archéologie post-processuelle s’appuie sur des études détaillées permettant d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques en exploitant la diversité des sources; cette direction du courant post-processuel en archéologie porte le nom d’archéologie contextuelle. Comme tout changement de paradigme apporte avec lui son lot de détracteurs, l’archéologie post-processuelle a été immédiatement accusée d’une trop grande subjectivité interprétative voire, de déconstructionisme. Les autres orientations placées sous le label archéologie post-processuelle incluent : le structuralisme, le néo-marxisme, l’archéologie cognitive, la phénoménologie, et d’autres encore Ainsi l’individu, l’agent ou l’acteur et son intentionnalité devrait être au centre des interprétations dans la théorie post-processuelle. Nous pouvons conclure que l’examen de la relation entre l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord a permis de constater que, depuis ses débuts, l’archéologie dans cette région du monde a vécu une liaison relativement tumultueuse avec l’anthropologie. Cette condition, souvent problématique, a vu naître, au Canada d’abord, des groupuscules d’archéologues avec des intérêts divergents qui se sont distanciés des paradigmes qui dominaient les départements d’anthropologie pour former des départements d’archéologie ou des programmes d’archéologie autonomes des programmes d’anthropologie. Sur les chemins empruntés ces nouveaux départements sont entrés en relation avec les départements de sciences naturelles, notamment, la géographie, avec laquelle les archéologues ont partagé un ensemble de concepts et de méthodes. Il en a résulté un enseignement de l’archéologie nettement interdisciplinaire et faisant appel à des méthodes quantitatives pour comprendre la culture matérielle dans son environnement naturel et expliquer son milieu culturel à partir de concepts empruntés aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences naturelles.
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