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1

Linder-Beroud, Waltraud, Conrad Laforte, and Carmen Roberge. "Chansons folkloriques a sujet religieux." Jahrbuch für Volksliedforschung 38 (1993): 223. http://dx.doi.org/10.2307/849016.

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Bénéteau, Marcel. "Chansons traditionnelles et identité culturelle chez les Francophones du Détroit." Ethnologies 26, no. 2 (October 19, 2006): 201–20. http://dx.doi.org/10.7202/013748ar.

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Abstract:
Résumé Cet article propose une réflexion sur l’évolution de la collecte de faits folkloriques traditionnels sur le terrain. L’auteur a enquêté pendant plus de dix ans sur l’ancien territoire de la colonie du Détroit, c’est-à-dire dans la région de Windsor, à l’extrême sud-ouest de l’Ontario. Étant donné qu’aucun chercheur ne s’était penché sur la tradition orale de cette communauté francophone, la plus ancienne en Ontario, l’auteur voulut d’abord imiter les pionniers de la discipline en collectant les vestiges de la chanson traditionnelle française « avant que tout ne disparaisse ». Mais, en considérant le contexte historique du peuplement de la région et en comparant les résultats d’une étude linguistique sur le même terrain, la collecte de chansons traditionnelles est devenue beaucoup plus qu’une fin en soi. L’article examine donc le rôle de la chanson traditionnelle comme marqueur d’identité culturelle.
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Charest, Marie-Josée. "Chansons de travail, chansons de chômage : une lecture du monde ouvrier pendant la crise à travers l’oeuvre de La Bolduc." Études littéraires 40, no. 2 (September 14, 2009): 57–68. http://dx.doi.org/10.7202/037963ar.

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Abstract:
Résumé Pendant les années 1930, Mary Travers travaille à l’écriture de chansons folkloriques abordant la délicate question du labeur des plus pauvres en période de crise. Elle se dépeint comme une femme au service de la collectivité, elle évoque les hommes forcés au chômage pendant la crise économique et, dans un esprit traditionaliste, elle célèbre le labeur de l’agriculteur, qui, dans ses mots, devient le personnage mythique de « l’ancien temps » idéalisé. Comment se positionne-t-elle dans ses chansons traditionnelles par rapport à une réalité du travail de plus en plus industrialisée ? Comment juge-t-elle l’entrée des femmes sur le marché du travail ? Quelle est son opinion quant aux mesures de l’État alors que les emplois sont rares et que la pauvreté est criante ? Se considère-t-elle comme une femme de carrière, elle qui lance les premiers disques à succès de l’histoire de la chanson québécoise ? Soulevant quelques tabous et en renforçant d’autres, notamment à propos du travail des femmes, elle donne des chansons à l’image du discours social ambiant de son époque, mais se distingue elle-même par son propre métier de chansonnière et la façon dont elle en parle. La situation économique au Québec modifie la perception générale du travail et les textes de Mary Travers répercutent ce débat de façon originale, donnant accès au point de vue d’une femme travailleuse, issue des petits milieux où le travail est un moyen de survie, mais aussi une source de fierté. L’analyse sociocritique des chansons esquisse du même coup le portrait du discours social sur le travail pendant la crise.
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Delâge, Denys. "Chansons du Détroit et les Premières Nations : un essai." Les Cahiers des dix, no. 69 (March 14, 2016): 303–40. http://dx.doi.org/10.7202/1035604ar.

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Abstract:
Mise en dialogue d’un corpus de chansons folkloriques canadiennes- françaises du Détroit recueillies par Marcel Bénéteau avec les récits de voyage chez les nations des Pays d’en Haut de Louis Hennepin (1676-1680 : Iroquois, Illinois, Sioux), Jean-Baptiste Truteau ou Trudeau (1794-1796 : Arikaras, Sioux) et Pierre-Antoine Tabeau (1803-1805 : Arikaras, Sioux). Trois regards : condamnation au nom de la foi, de la raison, nostalgie. Analyse des axes d’articulation et de tensions entre les cultures coloniale et autochtone : parenté, mariage et sexualité, communauté, guerre, psychotropes (tabac et alcool), religion, chant. Une énigme : pourquoi l’absence de chansons d’amour en pays amérindien ? Explication : non pas la montée de l’individu, mais les sources du moi dans les sociétés de type Gemeinschaft ou Geseilschaft.
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5

Bénéteau, Marcel. "L’art perdu de « faire des chansons » : la chanson de composition locale dans la région du Détroit." Cahiers Charlevoix 10 (April 5, 2017): 255–314. http://dx.doi.org/10.7202/1039294ar.

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Abstract:
L’ethnologue Marcel Bénéteau s’intéresse à la chanson de composition locale, un secteur négligé dans le domaine de la chanson folklorique. Le plus souvent créées par des non-professionnels sur des airs connus, les chansons de ce type ont longtemps été considérées par les experts comme étant de facture maladroite, de contenu douteux et de valeur insignifiante comparées aux pièces importées de la France à l’époque coloniale. Conséquemment, les grands folkloristes du Canada français les ont peu recueillies. Pourtant, la facture de telles chansons, qui commémorent des événements locaux, qui mettent en valeur des incidents de la petite histoire et qui commentent les conditions sociales dans les communautés en question, est au coeur même de la démarche folklorique. « Faire des chansons » est une pratique qui engage les gens dans un dialogue avec la tradition et les amène à situer leur vécu dans le contexte plus large d’un procédé transmis d’une génération à l’autre. À partir d’un corpus de chansons locales composées dans la région de Windsor, l’auteur analyse les modalités de cet art de « faire des chansons », depuis l’appropriation et l’adaptation de chants existants jusqu’à la création de nouvelles chansons. De plus, il s’intéresse à la fonction sociale des chansons locales ainsi qu’à leur apport aux études ethnologiques, linguistiques et historiques.
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Lacourcière, Luc. "Les transformations d'une chanson folklorique : du Moine Tremblant au Rapide-Blanc." Articles 1, no. 4 (April 12, 2005): 401–34. http://dx.doi.org/10.7202/055048ar.

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Abstract:
L’enquête ethnographique et folklorique a été 1' une des premières aussi bien que 1'une des plus consciencieuses et des plus systématiques manifestations de la recherche scientifique sur notre milieu. Les formes spontanées de la vie populaire traditionnelle : coutumes, dictons, légendes, contes, chansons, ont été l'objet de répertoires, d'inventaires, de monographies originales dont 1'ensemble constitue un trésor documentaire d'une richesse trop peu connue. L’initiative et le mérite de ces travaux reviennent en très grande partie, depuis vingt ans, à l'Institut de Folklore et aux Archives de Folklore de l'Université Laval et à leur directeur, M. Luc Lacourcière. Dans l'étude qui suit, M. Lacourcière récapitule les avatars' d’une chanson populaire qui a connu récemment une étonnante faveur publique. Sa patiente analyse folklorique décèle, par le recours à l'histoire et à la sémantique, la mystérieuse richesse des apports humains successifs dans 1' élaboration d'un phénomène social apparemment aussi banal qu’une simple chanson.
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Melian, Alexandru. "Les connotations d'un hymne national « Réveille-toi, Roumain »." Chroniques allemandes 10, no. 1 (2003): 231–38. http://dx.doi.org/10.3406/chral.2003.1878.

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Abstract:
L’exposé propose un double aperçu sur le thème en débat : d’une part, la guerre reflétée dans les chansons populaires (la dimension folklorique) et, d’autre part, les connotations guerrières, plutôt révolutionnaires, de l’hymne national roumain (la dimension culte) . Tandis que les premières, — en valorisant la ligne mélodique de doina (une complainte spécifique à la musique populaire roumaine) — exprime la douleur de la séparation, le dor de tous ceux qui sont restés loin, la révolte contre la guerre et contre ceux qui l’ont provoquée, l’hymne national, — dans la tradition des chansons de caserne et révolutionnaires, avec leur rythme de marche — transmet l’hommage à la liberté nationale et l’appel contre la tyrannie, contre l’esclavage. L’analyse du verbe a(se)destepta met en évidence des ouvertures sémantiques qui expliquent la pérennité de cette chanson, devenue hymne national.
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8

De Surmont, Jean-Nicolas. "Les interactions entre l’interprète et son répertoire : de l’interprète-artisan à l’interprète-médiatisé." Articles 3 (April 6, 2010): 49–57. http://dx.doi.org/10.7202/201709ar.

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Abstract:
À travers quelques exemples de chansons de labeur ou de chansons de rogne empruntées à l’histoire de l’activité chansonnière française et québécoise, je montrerai comment la relation au travail sert de point d’appui théorique aux transformations relationnelles qui s’opèrent entre le chanteur et l’objet-chanson. Je montrerai d’abord la fonction symbolique et collective de la chanson : son rôle de vecteur, d’amplificateur des pulsions revendicatrices tout autant que son rôle cathartique. Avant l’avènement de la société industrielle et la société de consommation, c’est l’interprète-artisan (le « faiseur de chanson ») qui joue de sa chanson dans le cadre d’une pratique fonctionnelle et privée. Les bouleversements socio-économiques de la fin du XIXe siècle vont non seulement entraîner la disparition des métiers évoqués dans les chansons de tradition orale mais de surcroît la chanson se médiatise par le biais de salles de spectacles, puis par la radio, le microphone, etc. L’interprète-médiatisé participe à une médiatisation de la chanson, donc à une chanson sortie de son contexte de performance d’origine d’où l’usage péjoratif que nous avons fait du terme folklorique. Si l’on aborde le corpus chansonnier en considérant d’une part la chanson de tradition orale et d’autre part la chanson littéraire, c’est-à-dire à auteur et compositeur connus, et née dans un contexte éditorial, on remarque deux aspects qui les différencient : la nature de la pratique de l’interprète et la fonction du répertoire qu’il chante. Les interactions entre ces deux composantes se doublent d’une médiation évolutive du phénomène chansonnier. Ainsi, entre le milieu du XIXe siècle et le début du XXe siècle, la professionnalisation du métier de chanteur va de pair avec une disparition de la fonction première de la chanson de tradition orale. Si cette chanson, encore transmise oralement au XIXe siècle, accompagne les travaux des champs, les manoeuvres des marins, sa fonctionnalité première disparaîtra avec nombre de métiers. Elle fera place à une médiatisation de la tradition conjointe à une professionnalisation du métier de chanteur ce qui témoigne d’un passage de la sphère des métiers (privée) à la sphère publique et commerciale. Le travail n’est plus celui d’un interprète-artisan ‒ le marin ou le paysan qui transmet fidèlement le répertoire de la chanson de rogne de générations en générations ‒ mais d’un interprète médiatisé qui restitue la théâtralité du texte chansonnier sans pour autant participer du métier ou du travail qu’il décrit. On assiste ainsi à un changement de modi operandi des phénomènes chansonniers. Dans le présent travail, je m’attarderai à monter quelques exemples des phénomènes chansonniers caractéristiques des relations entre la tradition orale et le travail.
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9

Linder-Beroud, Waltraud, and Conrad Laforte. "Le Catalogue de la Chanson folklorique francaise. V: Chansons breves (les enfantines)." Jahrbuch für Volksliedforschung 36 (1991): 179. http://dx.doi.org/10.2307/847684.

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Linder-Beroud, Waltraud, and Conrad Laforte. "Le Catalogue de la chanson folklorique francaise. VI. Chansons sur des timbers." Jahrbuch für Volksliedforschung 31 (1986): 180. http://dx.doi.org/10.2307/848342.

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Pichette, Jean-Pierre. "Le Chercheur de trésors ou l’influence d’un livre." Cahiers Charlevoix 7 (April 10, 2017): 85–141. http://dx.doi.org/10.7202/1039324ar.

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Abstract:
Sept décennies après la parution du Romancero du Canada, un livre capital de Marius Barbeau qui figure certes en bonne place au palmarès franco-ontarien des oeuvres marquantes de la première moitié du xxe siècle, Jean-Pierre Pichette en donne une relecture attentive. Il fait voir comment la substance de l’anthologie – cinquante chansons de tradition orale –, son ordonnance thématique et le contenu des commentaires dévoilent les intuitions profondes et les positions théoriques qui animent l’anthropologue, en particulier sur l’origine française et la haute qualité de la tradition canadienne. Comparant les influences opposées admises par l’auteur – Ernest Gagnon au Canada et George Doncieux en France –, il montre la problématique originale du projet que portait Barbeau à partir de ses nombreux terrains. D’autre part, considérant que Barbeau signale les recherches de ses prédécesseurs au Canada, rappelle ses propres enquêtes, présente son réseau de collaborateurs, évoque ses rencontres avec ses informateurs et décrit ses efforts de diffusion de la chanson populaire, il établit que cette oeuvre de maturité s’avère, bien plus qu’un simple florilège, un « traité » discret sur la chanson populaire au Canada français et, en outre, qu’elle prépare son grand « répertoire de la chanson folklorique française au Canada ». Le soin que l’auteur apporta à sa publication, la fortune de cette « oeuvre de haute vulgarisation scientifique » et « l’influence » qu’elle exerça sur de nombreux collaborateurs et disciples confirment la place privilégiée de ce livre fondateur, tant dans la carrière de l’auteur que dans l’histoire de l’ethnologie française au Canada.
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Jutras, Monique. "Chansons folkloriques à sujet religieux. Conrad LAFORTE et Carmen ROBERGE, (Québec, Les Presses de l'Université Laval, 1988; Ethnologie de l'Amérique française [tome IX], pp. xii + 388. ISBN 2-7637-7155-6)." Ethnologies 11, no. 1-2 (1989): 85. http://dx.doi.org/10.7202/1081578ar.

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Nicolaisen, W. F. H., Conrad Laforte, and Tom Cheesman. "Ballades et chansons folkloriques. Actes de la 18e session de la Commission pour l'etude de la poesie de tradition orale (Kommission fur Volksdichtung) de la S. I. E. F. (Societe internationale d'ethnologie et de folklore)." Jahrbuch für Volksliedforschung 36 (1991): 166. http://dx.doi.org/10.2307/847674.

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Echiffre, Capucine. "Les conceptions de la chanson dans les présentations françaises du Volkslied : des années 1830 à la fin du siècle." Romantisme 200, no. 2 (June 15, 2023): 104–12. http://dx.doi.org/10.3917/rom.200.0104.

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Abstract:
La chanson populaire allemande commence à être importée en France à partir des années 1830, parallèlement au développement de l’intérêt pour la chanson en général. Chez les médiateurs germanistes, les conceptions de celle-ci s’élaborent à la croisée des théories allemandes et des représentations des folkloristes français, issues du reste de la pensée d’outre-Rhin. Dans ce cadre, la notion de chanson est presque entièrement réduite à ses formes folkloriques. Des points de divergence existent cependant, explicables en grande partie par les enjeux spécifiques – idéologiques et politiques – que comporte un tel objet dans la France des années 1830 jusqu’à la fin du siècle. Or, bien qu’appartenant aux classes dominantes, comme les spécialistes des traditions françaises, les médiateurs sont moins impliqués sur le plan politique et contribuent ainsi à éclairer, en creux, les motivations profondes de leurs confrères.
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Rohrich, Lutz, and Theo Staub. "L'Enfer erotique de la chanson folklorique francaise." Jahrbuch für Volksliedforschung 30 (1985): 200. http://dx.doi.org/10.2307/848819.

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Linder-Beroud, Waltraud, and Conrad Laforte. "Survivances medievales dans la chanson folklorique. Poetique de la chanson en laisse." Jahrbuch für Volksliedforschung 31 (1986): 181. http://dx.doi.org/10.2307/848343.

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Deschênes, Donald. "La chanson locale acadienne : une expression artistique folklorique." Francophonies d'Amérique, no. 5 (1995): 11. http://dx.doi.org/10.7202/1004522ar.

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Courtin, Hélène. "Les personnages masculin et féminin dans la chanson folklorique bulgare." Revue des études slaves 60, no. 2 (1988): 439–44. http://dx.doi.org/10.3406/slave.1988.5761.

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Perron, Mathieu. "Jacques Labrecque et la diffusion de la chanson traditionnelle : Quand le répertoire folklorique prend des airs d’opéra." Ethnologies 26, no. 2 (October 19, 2006): 79–105. http://dx.doi.org/10.7202/013744ar.

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Abstract:
Résumé Cet article rend compte du parcours de Jacques Labrecque (1917-1995), un diffuseur de la chanson folklorique québécoise. De la fin des années 1930 au début des années 1990, Labrecque chante un répertoire d’inspiration traditionnelle sur plusieurs scènes québécoises et étrangères, délaissant graduellement l’image de l’artiste lyrique au profit de celle d’un personnage coloré évoquant la tradition. Au cours de sa carrière, Labrecque entretient des rapports tantôt étroits et tantôt plus conflictuels avec le milieu artistique, avec l’institution universitaire — dont il s’approprie les travaux — ainsi qu’avec divers organismes gouvernementaux. L’analyse de sa trajectoire met aussi en lumière l’ambiguïté du terme « folkloriste » tel qu’il est utilisé dans l’usage courant pour désigner des chanteurs au profil similaire à celui de Labrecque. Son répertoire est brièvement présenté, de même que son travail d’édition sonore.
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Lefebvre, Marie-Thérèse. "Marius Barbeau." Les Cahiers des dix, no. 59 (March 7, 2011): 89–125. http://dx.doi.org/10.7202/045755ar.

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Abstract:
Durant sa carrière au Musée national (1911-1942), Marius Barbeau joua un rôle de mentor auprès des compositeurs et interprètes classiques afin de diffuser dans le milieu savant le répertoire folklorique qu’il avait enregistré et transcrit. S’inspirant des modèles proposés par le médiéviste Jean Beck et les interprétations d’Yvette Guilbert, il proposa des formules de concert visant à rejoindre l’élite intellectuelle et s’inséra dans le milieu des compositeurs classiques de son époque. À partir de 1939, l’engouement créé par le phénomène de La Bonne Chanson de l’abbé Charles-Émile Gadbois modifie la perception du folklore auprès du public. La diffusion de la collection originale du Musée quitte alors les salles de concert et passe désormais par le milieu universitaire où Barbeau entreprend à l’invitation de Luc Lacoursière, à partir de 1942, une seconde carrière au Centre des archives folklore de l’Université Laval.
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Taloș, Ion. "Folclor literar și istorie. Pe marginea unor studii recente." Anuarul Muzeului Etnograif al Transilvaniei 32 (December 20, 2018): 165–86. http://dx.doi.org/10.47802/amet.2018.32.10.

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Abstract:
Dans le présent article, nous nous proposons de montrer que les recherches consacrées à l’oralité roumaine représentent une contribution indispensable au patrimoine culturel national, à côté de l’archéologie, de l’histoire ou de la philologie. Proches l’une de l’autre, ces trois disciplines partagent parfois certaines méthodes d’analyse, poursuivant en fin de compte un but commun : l’acquisition d’un savoir approfondi du passé comme du présent des Roumains. Ainsi, dans la ballade Miorița, comme d’ailleurs dans d’autres ballades, plaintes et contes roumains, on retrouve un rite funéraire ignoré par d’autres aires scientifiques : il s’agit du rite des « funérailles suspendues » (à des piliers ou à des plateformes). Grâce à la découverte d’autres rites funéraires, on a pu démontrer qu’il existe en Roumanie deux foyers folkloriques situés dans les régions plus vastes des Carpates, là où la population locale avait fui les invasions des populations migratoires. Toujours dans le folklore roumain, on retrouve soit des informations concernant la conquête romaine de la Dacie, soit des thèmes latins adaptés, comme par exemple le combat d’un jeune homme avec un lion (Virtus Romana), évoquant la passion des empereurs Antonins (96-192) pour la chasse aux lions. On examine également des rapprochements possibles entre la Divine Comédie de Dante et la ballade roumaine Le Soleil et la Lune, de même qu’entre la chanson de geste française La Chanson de Roland et la ballade populaire Miorița. Les résultats de ces recherches justifient pleinement, à notre avis, une collaboration plus étroite entre les spécialistes des trois aires d’expertise mentionnées ci-dessus.
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Bénéteau, Marcel. "Identité régionale et appartenance culturelle : la chanson folklorique française du sud-ouest de l’Ontario." Francophonies d'Amérique, no. 5 (1995): 67. http://dx.doi.org/10.7202/1004530ar.

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Bec, Pierre. "Prétroubadouresque ou paratroubadouresque ? Un antécédent médiéval d'un motif de chanson folklorique. Si j'étais une hirondelle..." Cahiers de civilisation médiévale 47, no. 186 (2004): 153–62. http://dx.doi.org/10.3406/ccmed.2004.2880.

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Handayani, Sri. "La chanson folklorique enfantine comme media de l’apprentissage interculturel et du transfert des valeurs morales." Digital Press Social Sciences and Humanities 3 (2019): 00040. http://dx.doi.org/10.29037/digitalpress.43313.

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Abstract:
<p class="MsoNormal" style="text-indent:0in">Children's folk song is an example of cultural products that has several goals in its creation. Aside from entertaining, this type of song also aims to transfer moral values or character building to children. Thanks to its moral values, this type of song is a potential medium as a media of character learning and also intercultural learning. This article aims to propose a compilation of Javanese children's folk songs translated into French intended not only for Indonesian learners who learn French, but also for French speakers who learn Indonesian language. The research focused on the process of translating the Javanese folk songs into French. This process is an assimilation of two different cultures by accentuating on the promotion of the culture of origin through the language. The future big goal is to make traditional songs better known around the world. After applying the developmental research approach, seven Javanese children's folk songs have been translated into French: <i>Gundhul pacul, Padhang mbulan, Menthok-menthok, Dhondhong opo salak, Sluku-sluku bathok, Lir ilir</i>, and <i>Siji lor otelu</i>. Each song has its value and also contains cultural elements. A booklet and a CD containing the translation of Javanese children's folk songs into French is the final product of this research that could be used in intercultural learning and at the same time character building</p><p> </p>
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Cousin, Bernard. "Conrad Laforte, Survivances médiévales dans la chanson folklorique. Poétique de la chanson en laisse, Québec, Presses de l'Université Laval, 1981, x-300 p." Annales. Histoire, Sciences Sociales 40, no. 2 (April 1985): 428–31. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900079804.

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Thériault, Gisèle. "Labelle, Ronald avec la collaboration de Paul Steffler. Chansons folkloriques françaises de Terre-Neuve. 42 chansons recueillies sur la presqu’île de Port-au-Port. Moncton, Université de Moncton, Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne, 2010, 71 p. ISBN 978-1-897214-20-6 Labelle, Ronald avec la collaboration de Paul Steffler. Contes traditionnels français de Terre-Neuve. 13 contes recueillis sur la presqu’île de Port-au-Port. Moncton, Université de Moncton, Chaire de recherche McCain en ethnologie acadienne, 2010, 72 p. ISBN : 978-1-897214-21-3." Rabaska: Revue d'ethnologie de l'Amérique française 9 (2011): 284. http://dx.doi.org/10.7202/1005926ar.

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Hopkin, David. "Les religieux et la culture vernaculaire en Europe : un aperçu et un exemple." Port Acadie, no. 24-25-26 (October 31, 2013): 424–49. http://dx.doi.org/10.7202/1019149ar.

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Abstract:
Le rôle joué par les religieux tant dans la collecte que dans la valorisation des traditions orales n’est pas spécifique à la Bretagne ni au Canada francophone : les religieux sont tout aussi présents parmi les folkloristes et ethnographes d’autres régions de l’Europe. Et les mêmes questions peuvent être posées sur leur implication dans la culture populaire : leur investissement a-t-il à voir avec leur vocation religieuse (ou était-ce simplement un résultat fortuit chez une personne cultivée au fait des tendances littéraires qui vit en étroite relation avec la culture rurale) ? Comment ont-ils surmonté l’hostilité religieuse pour certains éléments douteux de la culture populaire, et l’association du populaire et de la superstition ? Y avait-il notamment des réseaux cléricaux autour des savoirs populaires qui diffusaient des modèles de comportement en matière de collecte ? Y avait-il une conception spécifiquement catholique ou protestante de la valeur du folklore ? Comment la position d’autorité des prêtres au sein de la communauté a-t-elle influé sur leur pratique de collecte ? Comment ont-ils répondu à la politisation de la religion ? Quel est l’impact de toutes ces considérations sur les matériaux qu’ils ont recueillis et sur la façon dont ils les ont diffusés auprès du public ? Après un court résumé de la place des religieux dans la collecte folklorique en Europe depuis le dix-huitième siècle, ce chapitre considère trois motifs qui ont poussé les religieux à s’intéresser à la culture vernaculaire : le sens du merveilleux ; le problème de survivances païennes, et les savoirs linguistiques au service des missions. Pour conclure on prend l’exemple du père Louis Pinck, l’un des religieux les plus redoutables dans le Reichsland Elsass-Lothringen, et personnage controversé dans l’histoire mouvementée de l’Alsace et de la Lorraine entre les deux guerres. Si les cinq volumes du Weisen Verklingende de Pinck sont l’un des grands monuments de la collecte de la chanson folklorique en France au xxe siècle, leur forme doit beaucoup à l’influence de ses préoccupations religieuses et sacerdotales. La Lorraine présente un point commun avec la Bretagne et le Canada francophone : la politique linguistique y a également été au centre des activités de collecte.
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Kehler, Robert. "Le Catalogue de la chanson folklorique française. Vol. V: Chansons brèves (Les enfantines). Conrad LAFORTE (Québec, Les Presses de l'Université Laval, 1987; Les Archives de Folklore, No. 22. Pp. xxxii + 1017, texts, maps, biblio., index. ISBN 2-7637-7125-4)." Ethnologies 9, no. 1-2 (1987): 125. http://dx.doi.org/10.7202/1081441ar.

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Floc'h, Joseph Le, Gérard Carreau, and Gerard Carreau. "Dictionnaire biographique des collecteurs de l'ancienne chanson folklorique française ainsi que de ses publicistes et théoriciens (contenant quelques éléments biographiques) -- (1830-1930 environ)." Revue de musicologie 85, no. 1 (1999): 139. http://dx.doi.org/10.2307/947010.

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Verreault, Claude. "Voyage en Acadie et autres pérégrinations nord-américaines de Geneviève Massignon : l’Amérique française vue par une « Française de France » au milieu du XXe siècle." Terrains 3 (April 6, 2010): 59–69. http://dx.doi.org/10.7202/201710ar.

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Abstract:
Née à Paris le 21 avril 1921, Geneviève Massignon est décédée prématurément le 9 juin 1966, à l’âge de 45 ans. Fille de l’islamologue Louis Massignon, filleule de l’écrivain Paul Claudel, elle a grandi dans un milieu d’intellectuels. Après avoir obtenu une licence ès lettres classiques à la Sorbonne, elle suivra après la guerre les conférences d’Albert Dauzat à l’École des Hautes Études, alors que ce dernier s’apprêtait à lancer le chantier du nouvel atlas linguistique de la France par régions. Intéressée à la fois par la linguistique et le folklore, elle est fascinée par l’Acadie, dont elle avait entendu parler par le violoniste Arthur Leblanc, une connaissance de la famille, ainsi que par son frère Yves Massignon qui avait commencé une étude de géographie humaine sur la haute vallée du fleuve Saint-Jean, cours d’eau qui marque la frontière entre le Nouveau-Brunswick, le Québec et l’État américain du Maine. Grâce à une bourse du ministère français des Affaires étrangères, Geneviève Massignon séjournera en Acadie en 1946-1947 pour y effectuer des enquêtes linguistiques et folkloriques qui donneront lieu à deux thèses de doctorat soutenues à l’Université de Paris. Intitulée Les Parlers français d’Acadie et publiée en 1962, sa thèse principale constitue une étude remarquable à tous égards, pour laquelle Massignon a d’ailleurs obtenu la Médaille de l’Académie canadienne-française en 1963. Consacrée à la chanson populaire, sa thèse complémentaire ne sera publiée qu’en 1994. De retour en France en 1947, Geneviève Massignon se consacrera à la préparation et à réalisation de l’Atlas linguistique et ethnographique de l’Ouest. À l’occasion de son séjour en Acadie en 1946-1947, Geneviève Massignon en a profité pour traverser le Canada d’est en ouest puis pour se rendre en Louisiane, ce qui lui a permis de se faire une meilleure idée de ce que l’on appelle maintenant la francophonie nord-américaine. À partir des impressions qu’elle a rapportées de son voyage en Acadie et de ses autres pérégrinations nord-américaines, je me propose, dans cet article, de dégager la vision que cette « Française de France », comme elle s’est elle-même qualifiée, a eue de l’Amérique française de l’époque.
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Deschênes, Donald. "Poétiques de la chanson traditionnelle française. Classification de la chanson folklorique. De Conrad Laforte, deuxième édition. (Sainte-Foy : Presses de l’Université Laval, coll. « Archives de folklore », n° 26, 1993. 205 p., bibliographie, ISBN : 2-7637-7320- 6.)." Ethnologies 19, no. 2 (1997): 137. http://dx.doi.org/10.7202/1087686ar.

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Hautecoeur, Jean-Paul. "Variations et invariance de l'Acadie dans le néo-nationalisme acadien." Articles 12, no. 3 (April 12, 2005): 259–70. http://dx.doi.org/10.7202/055537ar.

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Abstract:
On se représente trop souvent l'Acadie comme une société «monolithique», «unidimensionnelle», «non pluraliste», un peu comme la survivance d'un antique modèle de société hiérarchique où la transmission des traditions est rigoureusement contrôlée par des grands-prêtres ou des dignitaires initiés par la « patente », et méthodiquement rythmée par les rites et cérémonies du calendrier occulte. Une telle image constituée par analogie ressemble trop au type-idéal pour rendre compte de cette formation historique originale qu'est la société acadienne. Elle est aussi trop conforme, par certains côtés, aux canons d'une idéologie unitariste pour ne pas être soumise à la critique. Cette première représentation à laquelle se rattachent de nombreuses variations est très optimiste dans le sens où elle constitue un objet fini, non contradictoire, non problématique : la société existe en soi, tel est son modèle. Une deuxième représentation, moins « savante » que l'autre, consiste à définir l'Acadie comme un souvenir et à ne voir en l'Acadie actuelle qu'un terrain vague parsemé des débris d'une histoire malheureuse. Il resterait quelques ilôts acadiens au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Ecosse où on parle encore un français archaïque et où l'on continue à filer et à chanter, comme dans la chanson. Ce sont eux qui justifiaient que la province du Nouveau-Brunswick se déclare bilingue alors qu'elle était renommée pour son loyalisme à la couronne britannique... Cette image, trop pessimiste, à laquelle se rattachent aussi de nombreuses variations, a des relents de l'idéologie anglo-canadienne intégratrice qui nie à l'autre toute existence autonome pour, au mieux, en faire une originalité « culturelle » à préserver. Acadie traditionnelle, Acadie folklorique : deux stéréotypes — on pourrait en trouver d'autres — dont on découvre vite l'étroite filiation avec des formations idéologiques connues et qui ont tous deux pour conséquence de surdéterminer au départ le terrain sémantique ou de brouiller momentanément le champ d'investigation au « regard prolongé » (celui du sociologue, journaliste, homme politique, etc.). La société acadienne est en soi une certaine configuration de rapports sociaux dont il ne sera pas question dans cet article. Elle existe aussi pour soi dans les diverses théories qu'en ont les acteurs et groupements d'acteurs sociaux. Contrairement à la théorie ou idéologie dominante, j'emploie théories au pluriel et c'est précisément de l'aventure de l'idéologie contestataire de l'idéologie officielle qu'il sera question. L'existence même du discours discordant d'intellectuels et leaders étudiants détruit la théorie simplificatrice selon laquelle la société serait un consensus et ses leaders nationaux les « chefs naturels » incontestés. Il existe deux discours visant à définir les finalités et objectifs de la société globale qui ont en commun une grande cohérence et la même prétention à faire l'unanimité des consciences. La différence est que l'un vise à protéger et perpétuer une certaine lecture de la tradition et une certaine pratique de la culture, et comme tel il a la légitimité, alors que l'autre vise à changer lecture et pratique de la culture pour donner à la société un nouveau destin. Celui-ci n'a pas comme dans d'autres formations sociales la légitimité que pourrait lui conférer l'affiliation à un club, un parti, un syndicat ou tout autre groupement organisé et reconnu : il est tenu pour sauvage, quand il n'est pas tout simplement nié comme tel. Mon propos est le suivant : observer et comprendre le rapport des jeunes idéologues au signe Acadie ou Acadien, en suivre l'itinéraire pour retracer la genèse du projet collectif tout neuf de l'annexion de « L'Acadie » au futur Québec indépendant. Le contenu proprement dit de ce projet m'importe peu ; m'intéresse sa genèse en rapport avec le signe d'identité collective. Mon hypothèse était la suivante : il fallait que les étudiants conservent le signe, qu'ils lui donnent un sens explicite et positif pour faire entrer leur discours dans l'histoire ou pour lui donner des chances objectives de devenir collectif. Mieux : afin que le discours gagne la cohérence nécessaire pour entrer en concurrence avec le discours traditionnel, il devait faire du signe Acadie son centre. Le symbole primordial devait assurer la liaison entre l'ancien et le nouveau : il devait continuer d'être le lieu de l'échange entre le caché et le manifeste, entre la langue et la parole, entre la culture et les traditions. J'ai distingué, dans l'évolution du rapport des nouveaux idéologues au signe Acadie, trois moments qui reproduisent à peu de choses près trois étapes successives de la praxis collective des étudiants de l'Université de Moncton : le Ralliement de 1966, les «événements» de '67-'69, la «répression» de '70-'71. Je n'ai retenu pour ce travail que les exemples les plus significatifs, sélectionnés à partir d'un fichier systématique de la production idéologique acadienne de ces dernières années. Beaucoup de documents annexes ou connexes ne seront pas reproduits ici.
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