Academic literature on the topic 'Chateaubriand, François René de (1768-1848) – Atala'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Chateaubriand, François René de (1768-1848) – Atala.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Chateaubriand, François René de (1768-1848) – Atala"

1

POPKIN, JEREMY D. "BACK FROM THE GRAVE: MARC FUMAROLI'S CHATEAUBRIAND." Modern Intellectual History 2, no. 3 (October 10, 2005): 419–31. http://dx.doi.org/10.1017/s1479244305000557.

Full text
Abstract:
Marc Fumaroli, Chateaubriand: Poésie et terreur (Paris: Fallois, 2003)Has the time come to revive François-René de Chateaubriand (1768–1848), author of Atala and René, the novels that defined romanticism in France and, above all, of the immense Mémoires d'outre-tombe (“Memoirs from beyond the grave”), perhaps the most ambitious of all French autobiographical projects? What does an eighteenth-century provincial nobleman's son, author of fanciful tales of encounters with North American “noble savages,” apologist for medieval Christianity, and unsuccessful proponent of a Bourbon restoration after 1815, have to say to twenty-first-century readers? The first important study of Chateaubriand's career, the nineteenth-century literary critic Sainte-Beuve's Chateaubriand et son groupe littéraire sous l'Empire, written in 1849, firmly assigned the great romantic author to an earlier phase of French letters. Commenting on the just-published posthumous Mémoires, Sainte-Beuve admitted that the work revealed Chateaubriand's “immense talent as a writer,” but damned the work by saying that “he reveals himself in all his egotistical nakedness.” The distinguished French literary scholar Marc Fumaroli has now set out to reverse these verdicts on the man and the Mémoires.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Byrnes, Joseph F. "Chateaubriand and Destutt de Tracy: Defining Religious and Secular Polarities in France at the Beginning of the Nineteenth Century." Church History 60, no. 3 (September 1991): 316–30. http://dx.doi.org/10.2307/3167470.

Full text
Abstract:
Within ten years of the execution of Louis XVI two general and opposed features of the Old Regime, Catholic Christianity and Enlightenment rationality, were globally idealized by two authors—both of them former aristocrats— François-René de Chateaubriand (1768–1848) and Antoine-Louis-Claude Destutt de Tracy (1754–1836). No two participants in the complex discussion of religion and secularism that took place at the highest levels of government and Parisian intellectual life at the end of the First Republic and during the Napoleonic regime better represented on the one hand unconditional nostalgia for Catholicism, and on the other uncompromising intellectual pursuit of the secular scientific ideal. Though it has become customary to oppose the Neo-Christian intellectuals Chateaubriand, De Maistre, De Bonald, and Ballanche, to the Idéologues Destutt de Tracy, Cabanis, Maine de Biran, and others, I believe that this opposition can be clarified if the extremes represented by Chateaubriand and De Tracy are better defined. In other words, a clear definition of the personal metaphysics—thoughts and feelings—of Chateaubriand and De Tracy should establish the polarities of intellectual temperament that characterized the Napoleonic era.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Chateaubriand, François René de (1768-1848) – Atala"

1

Mello, Melissa Moura. "Atala de F.-R. de Chateaubriand : objet fictionnel pour une pédagogie chrétienne." reponame:Biblioteca Digital de Teses e Dissertações da UFRGS, 2013. http://hdl.handle.net/10183/102194.

Full text
Abstract:
Ce mémoire est composé de deux parties distinctes: dans la première, on fait l’analyse d’Atala, ou Les Amours de deux sauvages dans le désert, ouvrage publié en 1801 et que François-René de Chateaubriand a utilisé pour illustrer sa défense du christianisme. Pour le faire, sont inclus dans cette première partie un résumé de la vie et de l’oeuvre de l’auteur, laprésentation et de brefs commentaires sur les préfaces qui accompagnent les différentes éditions et l’étude narratologique du roman dans le but de comprendre plus profondément le texte ainsi que les sens qu’il produit. Pour parvenir à cette dernière, on fait des considérations sur la théorie de la narratologie en utilisant une bibliographie concernant diverses propositions interprétatives du texte. Dans la deuxième partie, on propose une nouvelle traduction du Prologue de l’ouvrage pour le portugais car la dernière date de 1939. A partir de quelques aspects théoriques et de la comparaison de quelques extraits des traductions, on fait finalement quelques observations sur l’acte de traduction et sur les différences entre les deux textes en portugais en tenant compte de l’étude littéraire faite auparavant.
Esta dissertação é composta por duas partes distintas: na primeira, realiza-se uma análise de Atala, ou Les Amours de deux savages dans le désert, obra publicada em 1801 e a qual François-René de Chateaubriand utilizou para ilustrar sua defesa do cristianismo. Iniciase comum breve apanhado da vida e obra do autor, a apresentação e alguns comentários sobre os prefácios das diferentes edições e o estudo narratológico do romance com o objetivo de buscar uma maior compreensão do texto assim como os efeitos de sentido que produz. Utiliza-se referencial teórico sobre a narratologia, o qual é aplicado para a realização da análise, assim como bibliografia relacionada a diversas propostas interpretativas do texto. Na segunda parte, apresenta-se uma nova tradução para o português do prólogo da obra, visto que a última data de 1939. Com base em alguns aspectos teóricos e a partir da comparação de alguns trechos das duas traduções, são feitas algumas observações sobre o ato tradutório e as diferenças entre as duas traduções levando-se em consideração o estudo literário feito anteriormente.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Lanot, Simon. "Écrire la fin et la mémoire des mondes : une ethnocritique d’Atala, René, les aventures du dernier Abencerage." Electronic Thesis or Diss., Université de Lorraine, 2019. http://www.theses.fr/2019LORR0281.

Full text
Abstract:
La question de la fin des civilisations, des empires ou des systèmes de valeurs, tient une place majeure dans l’œuvre de Chateaubriand. Ses romans brefs, Atala, René et Les Aventures du Dernier Abencerage, écrits pendant la Révolution et l’Empire, évoquent, à travers la figure du « dernier », la fin des sociétés autochtones d’Amérique, de l’Andalousie musulmane, de la France de Louis XIV, mais aussi la fin des communautés jésuites au Nouveau-Monde, celle des provinces françaises et de l’Écosse clanique traditionnelle. En nous appuyant sur les travaux de Vincent Descombes, nous analysons comment l’écriture fictionnelle transforme ces sociétés disparues en mondes, en univers cohérents et structurés par un système de valeurs, une rhétorique et une cosmologie propres. L’intrigue s’élabore sur une « brèche » historique (Hannah Arendt, François Hartog), dans un entre-deux-mondes : cette faille entre deux mondes, cet espace-temps frontalier, n’est pas seulement le cadre de la fiction, c’est aussi son sujet. L’écriture ne vise pas à reconstituer les mondes perdus mais figurer le passage d’un monde à l’autre, ou plus précisément un double passage : celui du lecteur vers les mondes auxquels le texte l’initie, et celui du monde ancien vers le monde nouveau. Les nombreuses descriptions narrativisées de rites (rites chamaniques, islamiques, chrétiens) peuvent être lues comme des clefs pour appréhender ces passages. En explorant l’hypothèse que formule l’ethnocritique d’une homologie possible entre rite et récit, nous étudierons la dimension ritique de cette écriture qui reconfigure des mondes perdus. Ces mondes sont élaborés par l’écriture selon trois voies : l’utopie, l’âge d’or, et ce que nous appelons, en reprenant Daniel Fabre, « le pays du temps ». La notion de « vérité négative » (Lévi-Strauss) nous incite à lire l’utopie comme une critique de l’entreprise coloniale. L’âge d’or comme « mythe politique » (R. Girardet) fait de l’Andalousie mythifiée une réflexion politique sur le despotisme. Enfin, le « pays du temps » regroupe tous ces mondes dans lesquels la perception du temps obéit à une logique autre que celle de la modernité : aussi le récit intègre-t-il les logiques des cultures orales pour percevoir et habiter autrement le monde. Ce sont trois voies pour écrire le monde moderne, mais en « contrepoint » (Edward Saïd). L’écriture de la mémoire des mondes exige une écriture métissée qui intègre des logiques culturelles diverses
The question of the end of civilizations holds a major place in Chateaubriand's work. His novels, Atala, René and The Last Abencerage, written during the Revolution and the Empire, evoke, through the figure of “the last”, the end of the indigenous societies of America, Muslim Andalusia, Louis XIV's France, the end of the Jesuit communities, of the French provinces and traditional Scotland. Drawing on the work of Vincent Descombes, we analyse how fictional writing transforms these disappeared societies into “worlds”, into coherent universes structured by a system of values, their own rhetoric and cosmology. The plot is developed on a historical “gap” (H. Arendt, F. Hartog), in an inter-world : this rift between two worlds, this border space-time, is not only the framework of the fiction, it is also its subject. Writing does not aim to reconstitute lost worlds but to represent the passage from one world to another, or a double passage : that of the reader to the worlds to which the text initiates him, and that of the old world to the new world. The many descriptions of rites (shamanic, Islamic, Christian) can be read as keys to understanding these passages. By exploring the hypothesis formulated by the ethnocriticsm of a possible homology between rite and narrative, we will study the rite dimension of this writing that reconfigures lost worlds. These worlds are developed through writing in three ways: utopia, the golden age, and what we call, using Daniel Fabre's words, "the land of time". The notion of “negative truth” (Lévi-Strauss) encourages us to read utopia as a criticism of the colonial enterprise. The “political myth” of golden age (R. Girardet) reads Andalusia as a myth on the despotic drift of all regimes. The “land of time” includes all those worlds in which the perception of time obeys a logic other than that of modernity: so the narrative integrates the logic of oral cultures to perceive and inhabit the world in a different way. Three ways to write the modern world, but in “counterpoint” (Edward Said). The writing of the memory of the worlds requires a mixed writing that integrates diverse cultural logics
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Lara, Christine. "Pour une théorie de la réception "communo-culturelle" de la lecture : le sujet lecteur commun : réception d'Atala de René de Chateaubriand dans des aires culturelles variées : cas de la Guadeloupe, de la Polynésie et de la métropole." Toulouse 2, 2010. http://www.theses.fr/2010TOU20096.

Full text
Abstract:
Cette étude se propose d’analyser la réception de la lecture au sein d’aires culturelles variées. Mon postulat est que la réception de la lecture par un lecteur empirique, coopératif ou abstrait, se fait à deux niveaux : celui que définissent les théoriciens de la réception de la lecture comme Iser, Eco, Jauss ou Picard, un niveau individuel où le lecteur crée, complète le texte et un autre niveau que je définirai dans la thèse, où la lecture se fait en fonction d’une culture partagée, d’une culture commune. Wolfang Iser, dans L’Acte de lecture (1985), cherche à découvrir ce qui se produit dans l’instance lectrice au moment de sa lecture. Pour ce théoricien, le lecteur est aussi créateur du texte. Il montre que le lecteur réagit aux sollicitations inscrites dans le texte et qui pré-orientent sa réception. Pour lui, l’œuvre organise et dirige la lecture. Elle conduit le lecteur, le guide dans sa lecture de l’œuvre. Pour Umberto Eco, dans Lector in fabula (1989), le lecteur idéal répond à des normes prévues par l'auteur, c’est un lecteur modèle qui coopère pour compléter le texte, « tissu d’espaces blancs, d’interstices à remplir ». Le lecteur coopère ainsi, en actualisant le texte, ce lecteur Modèle est capable de communiquer avec l’auteur qui a glissé pour lui des indices dans le texte. Grâce à sa compétence encyclopédique, le lecteur peut construire sa lecture. Hans-Robert Jauss, quant à lui, dans son ouvrage Pour une esthétique de la réception, qui réunit des textes écrits entre 1972 et 1975, critique l’histoire littéraire qui n’a toujours accordé d’importance qu’à deux instances : l’auteur et le texte. Jauss revendique la participation du lecteur à l’œuvre. Le lecteur prend donc possession du texte en l’actualisant, en l’insérant dans un champ référent défini par ses références personnelles, culturelles, sociales, son propre vécu. Michel Picard, théoricien de la lecture littéraire, dans son ouvrage La lecture comme jeu, (1986) s’intéresse plus particulièrement au lecteur réel, empirique, qui lit avec son corps, celui que nous rencontrerons le plus souvent, au long de cette étude. Le sujet lecteur est au cœur des recherches des théoriciens de la lecture littéraire. Il est la troisième instance de la triade (auteur, texte, lecteur). Ces théoriciens ont défini un premier niveau de la réception, plus personnel, plus individuel, qu’un second niveau que je cherche à mettre en évidence et à théoriser. Ce nouvel aspect de la réception, que je définirai comme communo-culturel, montre que le lecteur réagit aux sollicitations culturelles instaurées dans le texte et apporte les siennes selon l’histoire et la culture de sa communauté, de son peuple. En effet, chaque mot, chaque situation que lit l’élève lecteur, déclenche en lui un phénomène de mémoire culturelle, issu du patrimoine culturel qu’il partage avec sa communauté, de son histoire commune, ancestrale, transmise par sa famille, ses traditions, son vécu quotidien, sa réalité. L’enseignement selon moi doit prendre en compte ce « versant » de l’élève, cette richesse et cette relecture du texte pour lui permettre d’avancer, de se rassurer parfois, et surtout, de s’ouvrir à la lecture des textes littéraires. Annie Rouxel, Gérard Langlade et Marie-José Fourtanier proposent une autre notion de la lecture littéraire « qui s’intéresse à la reconfiguration du texte par le lecteur réel et présente des modes de réalisation pluriels. Il y a donc un déplacement de l’intérêt : du lecteur virtuel au lecteur réel, et, par voie de conséquence, du texte de l’œuvre au texte du lecteur »1. Ce lecteur créatif est aussi celui que nous retrouvons dans nos classes, celui qui, au contact de sa culture, devient le « sujet lecteur commun ». Ce lecteur dépasse le cadre individuel de la réception pour partager une lecture commune avec ceux qui ont le même patrimoine culturel. Le texte devient alors comme un pont culturel entre eux. Ce « sujet lecteur commun » réagit aux stimuli en rapport avec son passé et son histoire : l’interprétation qu’il fait des actions des personnages, des situations, voire du vocabulaire utilisé par l’auteur est ainsi partagée par plusieurs autres élèves lecteurs. Un échange s’établit, des non-dit culturels et historiques sont énoncés individuellement et regroupés au sein des classes. C’est seulement lorsque nous avons constaté que les observations des élèves étaient identiques à plus de soixante pour cent que nous avons élaboré cette notion de « sujet lecteur commun ». Il s’agit d’un lecteur culturel, d’un lecteur multiple en ce sens qu’il représente la réception de presque toute sa communauté. Le lecteur qui entreprend ce voyage au sein de la fiction est persuadé de vivre en réalité des événements qui le marquent. Il pleure, il rit, il se met en colère contre une situation ou contre un personnage, contre Atala, qui s’éloigne de sa culture et porte un crucifix au lieu de l’attrape-rêves, contre Chactas qui a voyagé à Paris et s’est conduit en Européen, renonçant à une partie de lui-même. Mais cette lecture de l’autre, cette lecture de soi est influencée par le patrimoine culturel des élèves, par la situation qu’ils vivent au moment de la lecture. Le lecteur entame une « lecture en ombre ». Ce que j’appelle « lecture en ombre », est le reflet de l’œuvre, cette autre lecture possible, cachée derrière l’ouvrage, lecture infidèle au texte, mais qui naît du texte, un peu comme une ombre et son objet. Le lecteur imagine, tisse un autre texte tout autour de celui de l’auteur. Nous verrons donc au cours de cette analyse, que les élèves lecteurs de divers espaces culturels ont une réception et une perception même des textes, différentes en certains points de celle des autres. C’est une sorte d’identité lectorale commune à une culture. Atala de Chateaubriand est l’œuvre retenue pour démontrer que la lecture d’une œuvre est certes plurielle car elle s’adresse à tous les lecteurs et peut être perçue de différentes manières selon le « liseur », mais aussi communautaire car elle permet à un ensemble culturel de retrouver des éléments connus. C’est un ouvrage qui en dépit de son succès au XIXème siècle, de son influence incontestable sur les œuvres qui lui ont succédé, n’est que peu ou pas étudié à l’école. Cette réflexion utilisera diverses études, de nombreux travaux d’élèves lecteurs ainsi que des documents et enquêtes, comme celle menée auprès de 379 enseignants de lettres d’outre-mer, entre 2007 et 2009. Et nous verrons, tout au long de cette thèse, que la triade définie par les théoriciens : TEXTE-AUTEUR-LECTEUR, aurait à intégrer une nouvelle instance : la COMMUNAUTE PATRIMONIALE, interagissant avec le sujet-commun
This study suggests analyzing the reception of the reading within varied cultural areas. My postulate is that the reception of the reading by an empirical, cooperative or abstract reader, is made at two levels: the one that define the theorists of the reception of the reading as Iser, Eco, Jauss or Picard, an individual level where the reader creates, completes the text and another level than I shall define in the thesis, where the reading is made according to a shared culture, to a common culture. Wolfang Iser, in L’Acte de lecture (1985), tries to discover what occurs in the authority reader at the time of her reading. For this theorist, the reader is also a creator of the text. He shows that the reader reacts to the requests registered in the text and which pre-direct his reception. For him, the text organizes and manages the reading. It leads the reader, guides him in his reading of the text. For Umberto Eco, in Lector in fabula (1989), the ideal reader answers standards planned by the author, he is the model reader who cooperates to complete the text, "tissue of white spaces, chinks to be filled". The reader so cooperates, by updating the text, this Model reader is capable of communicating with the author who slid for him indications in the text. Thanks to his encyclopaedic skill, the reader can build his reading. Hans-Robert Jauss, as for him, in his book Pour une esthétique de la réception, which combines texts written between 1972 and 1975, criticizes the literary history which still granted importance only for two authorities: the author and the text. Jauss claims the participation of the reader in the text. The reader thus takes up the text by updating it, by inserting it into a field referent defined by his personal, cultural, social references, his own lived. Michel Picard, theorist of the literary reading, in his book La lecture comme jeu (1986) is more particularly interested to the real, empirical reader, who reads with his body, the one that we shall meet mostly, during this study. The subject reader is in the heart of the researches for the theorists of the literary reading. He is the third authority of the set of three (author, text, reader). These theorists defined a first level of the reception, more personal, more individual, than a second level for which I try to bring to light and to theorize. This new aspect of the reception, which I shall define as communo-cultural, shows that the reader reacts to the cultural requests established in the text and brings his according to the history and the culture of his community, his people. Indeed, every word, every situation that reads the pupil reader, activates in him a cultural phenomenon of memory, stemming from the cultural heritage which he shares with his community, of his common, ancestral history, passed on by his family, his traditions, sound lived daily, his reality. The teaching according to me has to take into account this "hillside" of the pupil, this wealth and this second reading of the text to allow him to advance, to feel reassured sometimes and especially, to open in the reading of the literary texts. Annie Rouxel, Gérard Langlade and Marie-José Fourtanier propose the another notion of the literary reading “which is interested in the reconfiguration of the text by the real reader and presents plural modes of realization. There is thus a movement of the interest: from the virtual reader to the real reader, and, consequently, from the text of the work to the text of the reader ". This creative reader is the one as well as we find in our classes, the one who, in the contact of his culture, becomes the " subject common reader ". This reader exceeds the individual frame of the reception to share a common reading with those who have the same cultural heritage. The text becomes then as a cultural bridge between them. This " subject common reader " his history reacts to stimuli in touch with his past and: the interpretation that he makes actions(shares) of the characters, the situations, even the vocabulary used by the author is so shared by several other pupils readers. An exchange becomes established, unspoken cultural and historic are individually expressed and grouped together within the classes. It is only when we noticed that the observations of the pupils were identical to more than sixty percent than we elaborated this notion of “subject common reader”. It is about a cultural reader, about a multiple reader in the sense that he represents the reception of almost all his community. The reader who begins this journey within the fiction is persuaded to live in reality events which mark him. He cries, he laughs, he gets angry against a situation or against a character, against Atala, who goes away from her culture and wears a crucifix instead of the trick and dreams, against Chactas who travelled in Paris and behaved in European, giving up a part of himself. But this reading of the other one, this reading of one is influenced by the cultural heritage of the pupils, by the situation which they live at the time of the reading. The reader begins a “reading in shadow". What I call " reading in shadow ", is the reflection of the text, this other possible reading, hidden behind the book, the unfaithful reading to the text, but which arises from the text, a little as a shadow and its object. The reader imagines, weaves the another text everything around that of the author. We shall thus see during this analysis, that the pupils readers of diverse cultural spaces have a reception and a perception of texts, different in certain points of that of the others. It is a kind of identity lectoriale common to a culture. Atala of Chateaubriand is the work retained to demonstrate that the reading of a work is certainly plural because it addresses all the readers and can be perceived by various manners according to the "reader", but also community because it allows a cultural group to find known elements. It is the book which in spite of its success in the XIXth century, of its indisputable influence on the texts which succeeded it, is only few or not studied at the school. This reflection will use diverse studies, pupils-reader's numerous works as well as documents and investigate, as that led with 379 teachers of overseas, between 2007 and 2009. And we shall see, throughout this thesis, that the triad defined by the theorists: TEXT-AUTHOR-READER, would have to integrate a new authority: the PATRIMONIAL COMMUNITY, interacting with the subject-common
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Oye, Allogho Régine-Stéphanie. "Le sublime et l'idée d'énergie dans les Natchez et les Martyrs de Chateaubriand." Toulouse 2, 2008. http://www.theses.fr/2008TOU20002.

Full text
Abstract:
Le XIXe siècle est une époque en rupture avec les conventions classiques et semble marquer le début du monde moderne. Le signe le plus important de cette rupture est la Révolution française, qui a provoqué un bouleversement radical dans la société et donné une orientation nouvelle aux écrits de nombreux écrivains. C’est le cas de Chateaubriand, auquel la Révolution a fourni des images convulsives où se confondent, conformément à l'esthétique du sublime, les catégories du beau et du laid. Que ce soit dans Les Natchez ou Les Martyrs, on retrouve les mêmes scènes d'horreur. Nous sommes plongés dans un univers fascinant et énigmatique, peuplé de personnages à la fois troublants et inquiétants, un univers fort et puissant où se côtoient tous les extrêmes. Les textes romanesques de Chateaubriand sont inspirés du sublime miltonien et burkien. L'énergie, la passion et la violence y dominent le goût esthétique. Notre étude consiste à montrer comment le sublime infernal qui se manifeste simultanément dans les personnages, la nature et l'écriture, est aussi atténué par un sublime merveilleux de la religion. Les personnages de Chateaubriand ont le culte de l'exaltation devant le malheur. L'auteur insiste sur la pratique volontaire du crime, même quand elle est justifiée sur le plan collectif par les guerres. Le vocabulaire du sublime dans ses romans conduit ainsi à une théorie de l'action et de la transgression individuelle. Le plaisir dans le mal n'est plus un paradoxe mais la logique d'une volonté de puissance. A travers ses personnages, Chateaubriand sonde les sombres énergies qui animent l'homme, et dont l'explosion produit un sublime de la terreur. L'auteur a introduit le sujet du crime pour produire, comme l'exige la notion de sublime, un effet choquant et extraordinaire ; il raconte aussi l'intervention du diable qui incarne le Mal dans ce monde romanesque. L'univers des Natchez et des Martyrs est ainsi un monde déréglé et fantastique. Dans Les Martyrs, Chateaubriand aborde des crimes que la société commet, et qui nous font entrevoir l'enfer au dessous de ce monde. Ici, la littérature exprime la réalité du côté obscur de la vie humaine. La survivance du mal s'exprime par des crimes affreux, la violence des conduites et l'exacerbation du désir. La terreur, la force et l'excès sont les moteurs de nos deux romans. La puissance intarissable des scélérats doit toujours les conduire à des états excessifs : la folie et la monstruosité. Pour présenter ces êtres surhumains, il n'y a pas d'autres moyens que de recourir à l'image de monstre, ou encore à celle du feu et de l'enfer qui évoquent des figures presque démoniaques. Cette transgression des lois et des ordres établis rend ainsi possible la création d'un homme absolu dans le mal tel Ondouré, et cette puissance sans limite constitue le caractère essentiel du sublime dans les deux œuvres. Les Martyrs et Les Natchez indiquent ainsi à leur manière que la vérité la plus profonde de l'homme se révèle dans l'émotion et dans les pulsions excessives et non dans l'exercice de la raison et de la sagesse. Cette conception du sublime se manifeste aussi dans la nature, violente dans un premier temps et magnifiée par la suite. Horribles et menaçantes, la mer, la forêt et la tempête éblouissent et hypnotisent car elles contiennent en elles des forces sublimes. Ce sublime monstrueux de la nature inflige ainsi à l'homme la défaite de sa volonté de puissance. Il traduit l'intensité dramatique où l'homme est confronté au vertige de sa faiblesse et de son impuissance face à une nature inhospitalière. A côté de ce sublime monstrueux, se trouve un sublime plus paisible dans les récits. Le sublime se réalise aussi dans l'humilité et la simplicité et dans une pensée chrétienne qui veut concilier humilité et sublime, dévouement et grandeur divine. Dans l'univers chateaubrianesque, la poétique du sublime n'est jamais éloignée d'une interrogation religieuse, qui se limite à une communion avec Dieu. C'est surtout dans Les Martyrs que ce sublime idéal se manifeste. Le sublime y est vécu sur le plan de la morale et de la religion. Il a pour vocation la reconnaissance de la loi divine. Ce sublime idéal conduit aussi à une évocation de la nature, finalement paisible et accueillante. Chateaubriand se change en peintre, car le sublime paisible est d'abord pour lui un enchantement des sens, un faste visuel qui suscite l'activité artistique. Chateaubriand a ainsi orienté le sublime vers le pittoresque. Ainsi, cette notion n'est pas uniquement inscrite dans la violence et ne passe pas toujours par le terrifiant. La nature est le lieu d'une incessante fécondité qui conduit à une rêverie toute sensuelle : le sublime a partie liée avec le plaisir et la grâce tout autant qu'avec la violence et le terrible. Elle est si imprégnée d'humanité que l'auteur confère une finalité morale et sentimentale aux êtres les plus simples : la fleur, l'oiseau, l'insecte témoignent de la vie et de l'unité de la nature. L'élément naturel est peut-être un gouffre, mais Chateaubriand refuse la pensée du chaos, et fait converger ses récits vers une finalité qui est celle de l'harmonie. Néanmoins, bien que Les Natchez et Les Martyrs soient le creuset privilégié de l'idéalisme de la simplicité de leur auteur, la pensée de Chateaubriand reste constamment occupée par le problème du mal, qui ruine sans cesse l'édifice de l'idéalisme humanitaire et religieux
The Nineteenth century is a period which breaks with classical conventions and seems to mark the beginning of the modern age. The most important sign of this rupture is the French Revolution, which brought about a considerable upheaval in society and gave new direction to the work of many writers. That is the case for Chateaubriand, for whom the Revolution produced convulsive images in which the ugly and the beautiful merged into each other, in compliance with the aesthetic of the sublime. The same horrific scenes are found in both Les Natchez and Les Martyrs. We are plunged into a fascinating and enigmatic world, full of characters both disconcerting and upsetting, a powerful world in which all extremes come together. Chateaubriand's novelistic texts are inspired by Milton's and Burke's sublime. Energy, passion and violence override aesthetic taste. Our study consists in showing how the infernal sublime which appears simultaneously in characters, nature and writing, is also attenuated by a supernatural sublime linked to religion. Chateaubriand's characters worship exaltation in the face of misfortune. The author stresses the voluntary experience of crime, even when it is collectively justified by war. The vocabulary of the sublime leads to a theory of action and of individual transgression. The pleasure in evil is no more a paradox but the logic of the desire of power. Through his characters, Chateaubriand fathoms dark energies which animate man, and their explosion produces a sublime of terror. The author introduced the suject of crime to cause an extraordinary and shocking effect, as the notion of sublime requires ; he also tells of the devil's apparition which embodies Evil in his novels, so that the world of Les Natchez and Les Martyrs is a disorded and fantastic one. In Les Martyrs, Chateaubriand tackles crimes that society commits, and which suggest hell beneath our world. The survival of evil shows itself in awful crimes, violent behaviour and the exacerbation of desire. Terror, strength and excess are the driving forces of both our novels. The inexhaustible power of the wicked must always leads them to extreme states of mind : madness and monstrousness. The only means to present these superhuman beings is to use the image of the monster, or else those of fire and hell, which convey quasi-demoniacal characters. This transgression of law and order makes possible the creation of a man absolute in evil, such as Ondouré, and this boundless power constitutes the fondamental feature of the sublime in both works. Les Martyrs and Les Natchez point out in their own way that the most profound truth of man is revealed through emotion and violent pulsions, and not in the use of reason and wisdom. This idea of sublime also appears in nature, first impulsive, then glorified. Horrible and threatening, seas, forests and storms impress and hypnotize because of the sublime forces they contain. This monstruous sublime of nature imposes the desire for power's defeat of man. It expresses the dramatical intenseness in which man is confronted with the vertigo of his weakness and with his helplessness faced with an inhospitable nature. Parallel to this monstruous sublime, a more peacefull sublime can be found in the narration. The sublime comes to be in humbleness and simplicity, as well as in a Christian thought which wants to conciliate humility and sublime, devotion and divine greatness. In Chateaubriand's world, the sublime's poetics are never far from a religious question, in communion with God. This ideal sublime becomes especially apparent in Les Martyrs, where it is lived morally and religiously, and its purpose is to acknowledge divine law. It also leads to the evocation of nature, finally peaceful and welcoming. Chateaubriand becomes a painter, because restful sublime is for him first a delight for the senses, a visual display which causes artistic activity. Chateaubriand thus guided the sublime towards the picturesque. So, this notion does not originate solely in violence and is not always on a par with terror. Nature is the place in which a ceaseless fecondity leads to a particularly sensual reverie : sublime is in league with pleasure and grace as much as with violence and terror. It is so full of humanity that the author gives a moral and sentimental aim to the simplest beings : the flower, the bird, the insect show its vitality and unity. The natural element is perhaps an abyss, but Chateaubriand rejects the thought of chaos, and makes his texts converge at a finality : harmony. Nevertheless, although Les Natchez and Les Martyrs are the privileged crucible of the author's idealism of simplicity, Chateaubriand's thougt remains constantly preoccupied with the problem of evil, which unceasingly ruins the whole structure of humanitarian and religious idealism
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Aureau, Bertrand. "Chateaubriand penseur de la Révolution." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040081.

Full text
Abstract:
Nous analysons ici la pensée de Chateaubriand sur la Révolution française, considérée sous le double aspect d'un épisode de l'histoire évènementielle et d'une période dans l'histoire de la civilisation. A la fois prolongement et renversement de l'Ancien Régime, elle induirait une mutation de la personne humaine, des bases de la vie en société et des principes de la vie politique, ce qui est mis en évidence dans une première partie. Est ensuite étudiée la Révolution-évènement. Comme "philosophe de l'histoire" Chateaubriand rattache son déclenchement et ses tendances à la maturation des idées, qui serait due à la fois aux expériences subies ou tentées sous l'Ancien Régime et au mouvement de la recherche philosophique. Comme historien des évènements, il bâtit son explication en soulignant la place majeure de passions blâmables, dont il cherche les origines et montre le déploiement. Une troisième partie est consacrée à l'analyse providentialiste de la Révolution. Après le rappel des caractères généraux du providentialisme tel qu'il est pensé vers 1830 et par Chateaubriand en particulier, nous montrons que la Révolution comporte pour lui une part satanique, puis qu'elle lui parait explicable dans le cadre d'un plan divin tendant à une expiation et à un perfectionnement de la société. Enfin, nous analysons quatre aspects de l'effort tenté pour clore la Révolution : la contre-révolution militaire, le premier Empire, la Restauration, les idéologies républicaines et socialistes. En considérant ainsi la Révolution dans son développement historique, nous portons un nouveau regard sur ses caractères essentiels qui se révèlent peu à peu.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Csíky, Gábor. "La fascination de la mort dans les Mémoires d'outre-tombe de Chateaubriand." Paris 3, 2002. http://www.theses.fr/2002PA030079.

Full text
Abstract:
La présente recherche comporte deux parties qui se démarquent nettement l'une de l'autre par leur thème et leur méthode. La première, consacrée à la mort dans l'histoire, est placée sous l'égide de la problématique du meurtre, de la mort violente. La deuxième s'intéresse à l'expérience de la mort que ce soit celle de soi, des proches ou des autres. Une problématique commune parcourt la mort dans l'histoire et la mort comme mode de vie : la représentation scriptuaire du passé historique et les témoignages personnels se définissent par rapport à une obsession, ou encore mieux, à une fascination devant la mort. Chacune de ces parties se déroule selon un parcours orienté qui se trouve obéir chaque fois à un rythme ternaire. Ainsi la mort dans l'histoire s'ouvre délibérément sur l'analyse de la période révolutionnaire, de sa naissance criminelle jusqu'à la disparition de ses acteurs ; elle franchit ensuite le stade du règne de Napoléon, en partant de l'exécution du duc d'Enghien pour arriver au tombeau de l'Empereur à Sainte-Hélène ; on passe enfin de ces grandes périodes historiques aux années de la Restauration pour s'arrêter au moment de la mort de Charles X. Le parcours de la triade de soi, des proches et des autres, épouse les trois phases de l'expérience de la mort qui devient un véritable mode de vie ; du stade du savoir extérieur et impersonnel de la mort commune, il passe à la disparition des proches en évoquant les problématiques de la perte et du deuil ; il se termine avec la mort à la première personne, la mort appropriée et intériorisée
The present thesis consists of two parts which are demarcated distinctly by their theme and their method. The first, dedicated to death in history, is placed under the aegis of the problem of murder, of violent death. The second deals with the experience of death whether it affects the self, the relatives or others. A common problem traverses death in history and death as a way of living : the scriptural representation of the historic past and the personal testimonies are defined in comparison with an obsession, or even better, a fascination over death. Both parts are structured according to an orientated trajectory which is found to assume each time a triple rhythme. In this way, death in history begins deliberately with the analysis of the French Revolution, from its criminal birth until the disappearance of its actors ; it goes through the entire reign of Napoléon, from the execution of the duke of Enghien to the tomb of the Emperor at Sainte-Hélène ; it reaches finally the years of the Restauration to stop at the moment of the death of Charles X. The trajectory of the triad of the self, of the relatives and of others, embraces the three phases of the experience of death which becomes a veritable way of life ; from the stadium of the external and impersonal knowledge of common death, it goes through the disappearance of relatives by evoking the problems of loss and of mourning ; it comes to an end with the death in the first person of the appropriated and internalized death
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Morel, Anne-Sophie. "Chateaubriand et la violence de l'Histoire dans les Mémoires d'Outre-Tombe." Lyon 3, 2007. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/in/theses/2007_in_morel_as.pdf.

Full text
Abstract:
La violence informe en permanence l'écriture des Mémoires d'Outre-Tombe et engage tout à la fois l'esthétique du mémorialiste et les lectures de la période retracée par son œuvre. Elle constitue un angle d'approche efficace pour cerner et affiner sa poétique, sa pensée esthétique et politique, et les structures de son imagination replacées dans une perspective historique − mentalités, mythologies, idéologies. La violence révolutionnaire entraîne une déstabilisation et fonde l'ère moderne sur un refus de l'héritage, une perte de l'identité. Expulsé de l'Histoire au niveau de l'événement, Chateaubriand se réinsère dans l'historicité par la voie de l'imaginaire et du fantasme. Le traumatisme révolutionnaire est ainsi à l'origine d'une riche production d'images que l'écrivain développe tout à la fois pour stigmatiser et tenter d'exorciser la violence subie. Parce qu'il a été partie prenante, le mémorialiste élabore des stratégies d'implication ou de protection, inaugurant une écriture spécifique de la violence. Ses représentations plurielles construisent dès lors une vaste fresque qui transfigure les faits historiques pour leur conférer une signification nouvelle, révélatrice de l'idéologie de son auteur, et invitent à des lectures de la violence non seulement dans l'histoire, mais aussi comme principe même de l'Histoire
Violence permeates and informs the writing of the Mémoires d'outre-tombe and brings together both the memorialist's esthetics and his readings from the period as echoed in his works. Thus the theme of violence constitutes a particularly effective approach for defining and refining one's appreciation of Chateaubriand's poetics, his esthetic and political thought, and the constructs of his imagination, all anchored in a historic perspective—states of mind, mythologies, and ideologies. Revolutionary violence brings with it destabilization and grounds the modern era on a rejection of tradition and a loss of identity. Marginalized from History in terms of actual events, Chateaubriand recovers a measure of historical authenticity through his use of the imaginary. Revolutionary trauma is thus at the origin of a rich production of images that the writer develops both to stigmatize and at the same time to attempt to exorcize violence endured. Because he was a participant in history, the memorialist formulated strategies of implication or protection, inaugurating a specific way of writing about violence
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

ZEIDAN, JOSEPH. "Feminite mediatrice et prophetisme dans les memoires d'outre-tombe de francois-rene de chateaubriand." Angers, 1999. http://www.theses.fr/1999ANGE0013.

Full text
Abstract:
Cette these sur les memoires d'outre-tombe propose une interpretation du reel et de l'imaginaire, dans l'oeuvre majeure de francois-rene de chateaubriand, autour d'un theme central : la feminite mediatrice et le prophetisme. L'approche est dialectique, et elle s'ordonne en trois etapes : au prealable, le memorialiste affronte les forces hostiles du reel qui menacent son identite autobiographique et son role historique. Par une ecriture en quete de centre et grace a une esthetique de l'imaginaire, il transcende le neant du reel en ritualisant sa propre ascension dans son monument, assimile a une cathedrale. A partir de cette vision mythifiante, le heros envisage son accomplissement dans la succession des amours reelles qui ont rythme sa vie. Mais son dandysme entraine l'eparpillement de son image dans le temps passionnel. C'est alors que l'artiste totalise ses amours autour d'un ideal feminin, qui se metamorphose jusqu'a sa plenitude finale dans la feminite des elements, incarnee par la nature, la lune, la terre, la mer et la tombe. Cette feminite cosmique devient, pour lui, mediatrice et clef de l'univers. Dans la phase finale, guide par cette mediation, le poete decouvre en lui le pouvoir de la parole prophetique. Degageant de la tradition sa propre autorite, il enseigne a ses contemporains le sens et la finalite de la destinee, avant de leur indiquer le chemin de la perfectibilite qui conduit au divin. En somme, cette approche plurielle dejoue les interpretations systemiques, pour explorer la poetique ouverte de l'imaginaire qui caracterise l'oeuvre.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Veto-Bougeard, Marie-Elisabeth. "Chateaubriand traducteur : de l'exil au Paradis perdu." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040111.

Full text
Abstract:
De ses essais fragmentaires de jeunesse à la traduction intégrale de Paradise lost en 1836, le fait traductif tient dans sa vie un rôle essentiel. Depuis l'exil en Angleterre, et ses traductions d'abord alimentaires, un cheminement le mène des extraits (Contes ossianiques, Beattle, etc. ) jusqu'à Milton qui a exercé sur lui une forte emprise littéraire, politique et religieuse : cette quête de soi qu'est la traduction a sur son œuvre propre des retentissements importants. Mais par sa revendication à provoquer une "révolution dans la manière de traduire", Chateaubriand pose son activité hors du seul domaine de l'expérience personnelle : les caractéristiques de son projet, les comptes, rendus de l'époque et les pratiques des traducteurs antérieurs et postérieurs révèlent de fait son caractère novateur, mais aussi les contradictions de sa position qui reste assez isolée dans cette période charnière pour le fait traductif. Une révolution se produit néanmoins dans sa pratique de traduction, entre le conformisme des débuts et la littéralité surprenante du paradis perdu, littéralité qui se permet aussi, grâce à une stratégie d'effet de calque, des libertés créatrices ; mais la clef de cette traduction réside sans doute dans l'humilité de l'ascèse verbale que s'impose Chateaubriand pour rendre ce texte qui lui est sacré, et qu'il faut relier à un héritage chrétien augustinien de réflexion sur l'esthétique et les pouvoirs de la parole.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Roret, Anne. "Les lieux de mémoire dans les Mémoires d'outre-tombe de Chateaubriand." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040090.

Full text
Abstract:
Dans les "lieux de mémoire" se rencontrent l'espace et le temps : ces lieux sont non seulement des sites géographiques, mais également des images prises dans le temps, des instantanés que la mémoire garde. Nous nous limitons à l’étude, dans les Mémoires d' Outre-tombe, des lieux de mémoire qui protègent l'écrivain et constituent des lieux de vie et de création. Leur cœur est un abri, qu'il soit demeure, lieu architectural ou simple refuge de fortune, et son entourage, la ville ou le village, les bois et les jardins. Les lieux fondateurs sont tout à la fois protecteurs et menaces, de même que les lieux de mémoire secondaires, qui se multiplient pour l'artiste nostalgique de l'ailleurs et du passé. Tous sont présents dans le texte sous forme de petits tableaux animés. Les lieux de mémoire secondaires sont reliés aux premiers par le travail de la mémoire associative, qui tend à rétablir la continuité du temps vécu. Mais tous ces lieux sont menacés dans le temps par l’oubli, la mort, dans l'espace par l’érosion, la séparation, l’exil, l’histoire. La force constructive de l'artiste doit donc s'exprimer également au cœur même de chacune de leurs images : si la mémoire associative, les liens du cœur, les lieux de mémoire ambulants relient les étapes de la vie et des voyages de l'écrivain entre eux, l'enracinement culturel, sentimental, spirituel renforcent aussi chaque image. Percevoir le temps comme continu pourrait être également séjourner à la même place, en épicurien, le regarder se sédimenter, comme en rêvait l’écrivain. Tel est l'art de Chateaubriand qui pare ainsi aux menaces du temps, sans jamais les oublier
Space and time meet in "memory places": these places are not only geographical sites, but they are pictures too, extracted from time, like photographs kept in mind. We have limited our study, in the "Mémoires d'Outre-tombe", to memory places which protect the writer and constitute life and creation spaces. Their heart is a refuge, which may be a residence, an architectural place or a simple shelter, and the town or village, woods and gardens surrounding it. Main places are both protective and fragile, like secondary places of memory which multiply, for the artist nostalgic of somewhere else and past. They are all present in the text, like small lively pictures. Secondary memory places are linked to the first by the associative memory's work which aims to recreate continuity of actual time. But all of these places are in danger of being forgotten, of falling down, being deserted by life, because of death, banishment, moving, historical disorders. . . So the constructive strength of the artist has to appear even in the heart of each picture: if associative memory, links of heart, travelling memory places bind together the writer's stages of life and travels, cultural, sentimental and spiritual roots also make each picture stronger. Perceiving time as continuous could also be staying in the same place, as an epicurean, looking at time sedimenting, as the writer dreamt. So Chateaubriand succeeded in overcoming threats of time's disasters, never forgetting them
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Books on the topic "Chateaubriand, François René de (1768-1848) – Atala"

1

Chateaubriand: Atala, avec une biographie de l'auteur, une présentation de l'oeuvre, les préfaces de 1801 et 1805, une analyse méthodique, des notes, des questions. Paris: Bordas, 1985.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Book chapters on the topic "Chateaubriand, François René de (1768-1848) – Atala"

1

"Chateaubriand, François-René, Vicomte de (1768–1848)." In A New Dictionary of the French Revolution. I.B. Tauris, 2012. http://dx.doi.org/10.5040/9780755622771.ch-0092.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Truc, Jean-Paul. "Mathematical studies in the 18th century, in the work of François René de Chateaubriand." In “DIG WHERE YOU STAND” 6. Proceedings of the Sixth International Conference on the History of Mathematics Education, 143–49. WTM-Verlag Münster, 2020. http://dx.doi.org/10.37626/ga9783959871686.0.11.

Full text
Abstract:
In the 17th century, the youngest son of a noble family would follow a career as an officer in the army or as a priest. It is not surprising that Viscount François René de Chateaubriand (1768-1848) decided to prepare the exam to join l’École navale (Naval Academy), at that time École des gardes de la Marine. In fact, he did not decide this by himself, but followed the steps of his father, Count René-Auguste de Chateaubriand, ship-owner, navigator, and merchant. In this article, we will explore the book Mémoires d’outre tombe, following the young Chateaubriand in different schools, such as the Collège de Dol and the Collège de Rennes. At that time, the mathematician Étienne Bézout (1730-1783) was the almighty examiner for the entrance to l’École Navale. The memories of Chateaubriand introduce us to the way the scholars of the year 1780 studied their “Bézout” to improve their mathematical level. Keywords: Naval Academy, Bézout
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography