Academic literature on the topic 'Chevreaux – Croissance'

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Journal articles on the topic "Chevreaux – Croissance"

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Alexandre, G. "Croissance pré-sevrage des chevreaux en Guadeloupe." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (May 1, 1991): 57–62. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9232.

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Abstract:
La croissance des chevreaux dépend étroitement de la production laitière de leur mère, en particulier pendant les 40 premiers jours, où les coefficients de corrélation sont les plus élevés (0.7 à 0.9). En effet les chevreaux élevés par des mères recevant un haut niveau alimentaire (fourrage et complément) ont un GMQ (0-40 jours) supérieur (83 g/j + 18 vs 53 + 17, P < 0.001) à celui de ceux dont les mères ne recoivent que le fourrage vert. Pour un niveau d'alimentation lactée comparable, quelque que soit la saison d'élevage, les jeunes qui reçoivent en plus du lait et du fourrage, un aliment concentré (0.86 UFL et 115g PDIN/kg, distribué ad libitum à partir de la 3e semaine) ont une croissance (GMQ 40-85j) supérieure de l'ordre de 40 %, améliorent leur poids au sevrage de 16 à 20 % et réduisent leur taux de mortalité de 28 à 0 %. Les facteurs de variation liés au stade d'allaitement et à l'effet indirect de la saison sont présentés et discutés. Dans un troupeau expérimental en élevage semi-intensif sur prairie, deux conduites principales sont mises en parallèle. Les résultats montrent que le chevreau Créole présente un bon potentiel de production : son poids de naissance (1,5 kg) est multiplié par 4,6 à 5,7 au moment du sevrage à 85 jours.
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Alexandre, G. "Elevage à l'herbe des chevreaux Créole après le sevrage." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (May 1, 1991): 99–104. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9228.

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Abstract:
Plusieurs essais concernant l'amélioration de l'élevage à l'herbe des chevreaux Créole après leur sevrage sont menés avec le Pangola (Digitaria decumbens). En zone humide et en stabulation libre, les niveaux d'ingestion très faibles sont en étroite relation avec le taux de MS du fourrage (15 % à 22) et induisent des croissances très médiocres (respectivement 14 et 8 g/j). Une étude menée au pâturage en zone sèche, selon 3 pressions de pâturage différentes, avec des chevrettes en croissance montre que, pour des quantités de Pangola "utile" proposées par animal et par jour (830, 1030 et 1770 g de MS de feuilles), la croissance observée durant 10 semaines est de 37, 46 et 52 g/j. Une comparaison entre le Pangola et le Pangola-Siratro (Macroptilium artropurpureum) est menée avec des mâles en croissance (8,5 à 20 kg). Le chargement varie de 900 et 1400 kg/ha de l'entrée à la sortie du système. Aucune différence n'est apparue, les GMQ moyens obtenus sont respectivement 51.7 + 26.0 g/j et 44.3 + 18.4 g/j (P > 0.05). Les facteurs de variations sont discutés. Le pâturage en avant des jeunes chevrettes sevrées leur permet d'avoir un meilleur choix alimentaire : elles ont deux fois plus de fourrage à leur disposition. En conséquence, la croissance est meilleure que celle des témoins (+ 44,9 vs + 30,7 g/j).
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Dhollander, S., S. Kora, M. Sanneh, Matar Gaye, S. G. A. Leak, D. Berkvens, and S. Geerts. "Parasitoses des chèvres Naines de l’Afrique de l’Ouest et de ses croisements avec la race Saanen dans un système d’agriculture zéro-pâturage en Gambie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 1-2 (January 1, 2005): 45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9939.

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Abstract:
L’étude a concerné l’élevage de 20 chèvres Naines de l’Afrique de l’Ouest (NAO) et 15 croisements Saanen x NAO au sein d’un système d’agriculture zéro-pâturage intensif dans une zone peu à moyennement infestée de mouches tsé-tsé en Gambie. Pendant une période d’une année, des échantillons ont été prélevés mensuellement pour déterminer le nombre d’oeufs d’helminthes, le nombre d’oocystes de coccidies par gramme de matières fécales, les valeurs de l’hématocrite et les trypanosomoses des chèvres. Des nombres élevés d’oocystes ont été trouvés pendant la période de septembre à décembre, entraînant une mortalité présevrage de 20 p. 100 chez les deux races. Les animaux ont été modérément infestés par les helminthes du milieu de la saison des pluies jusqu’au début de la saison sèche. Des trypanosomoses n’ont été détectées ni chez les NAO ni chez les chèvres croisées lors de l’utilisation de la technique du buffy coat. Les poids moyens à la naissance des chevreaux et des NAO ont été respectivement de 2,4 et 2,0 kg. Le taux de croissance des chevreaux croisés a été significativement plus élevé que celui des chevreaux de race locale. Les taux de croissance présevrage des chevreaux croisés et des NAO ont été respectivement de 114,75 et 65,57 g/jour, tandis que les taux de croissance postsevrage ont été de 58,82 et 36,41 g/jour. Le taux de croissance rapide des chèvres croisées comparé à celui des NAO indique que l’élevage de croisements Saanen x NAO dans un système zéropâturage peut accroître la productivité. Une hygiène stricte dans les abris des chèvres est cependant indispensable pour éviter l’apparition de foyers de coccidiose.
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Atoui, Ahlem, María Jesús Carabaño, Moldi Abdennebi, and Sghaier Najari. "Poids des chevreaux de la population locale Sud tunisienne dans des conditions d’aridité : impacts lors des procédures de sélection." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 74, no. 2 (June 21, 2021): 121–26. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36375.

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Abstract:
La nature et la distribution des phénotypes quantitatifs représentent une connaissance de base pour l’application des méthodologies génétiques dans les plans de sélection des animaux domestiques. Afin d’illustrer l’action de facteurs non génétiques d’aridité sur la distribution phénotypique des performances individuelles de la croissance des chevreaux de la population locale élevés dans des conditions restrictives et irrégulières, 945 chevreaux issus de 285 chèvres et 19 boucs, nés durant la période 1998–2014, ont été étudiés par l’analyse des distributions des poids jusqu’à 150 jours d’âge. La dispersion des poids représentait une expression collective des génotypes des chevreaux dans les conditions de l’étude avec des variations dues à la fois aux effets génétiques et environnementaux. L’hypothèse de la normalité n’a été vérifiée qu’aux âges de 10 jours et 30 jours quand les chevreaux étaient surtout nourris sous la mère et n’étaient pas directement dépendants des ressources alimentaires du parcours aride. Durant une année défavorable, les performances enregistrées ont suivi une distribution particulière expliquée par le fait que les chevreaux performants ont été incapables d’extérioriser leur supériorité. Par conséquent, le milieu aride a réduit les performances de la population caprine locale. En outre, il a limité l’expression de quelques génotypes fortement productifs. Cette spécificité de l’action du milieu aride incite à un approfondissement indispensable pour ajuster les méthodes de sélection aux conditions des milieux restrictifs et des groupes génétiques adaptés.
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Naves, Michel, A. Menendez Buxadera, G. Alexandre, and Nathalie Mandonnet. "Etude comparative sur la méthodologie d’estimation des poids à âges types avant sevrage appliquée aux caprins Créoles producteurs de viande." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, no. 1 (January 1, 2001): 81. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9810.

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Abstract:
La mise en oeuvre d’un programme de sélection chez les ruminants allaitants nécessite un modèle de contrôle de performances pour l’enregistrement des poids et la mesure de la croissance. Un tel schéma a été mis au point en France chez les ovins ; en revanche, il n’existe pas de système pour les caprins allaitants. Cette étude examine les possibilités d’application de la méthodologie standard mise au point chez les ovins à viande, dans le cadre de la population rustique de caprins Créoles élevés aux Antilles françaises. Elle s’est appuyée sur la base de données individuelles de croissances accumulées au Domaine expérimental de Gardel en Guadeloupe depuis près de 20 ans, sur un total de 6 211 chevreaux jusqu’au sevrage. Différentes méthodes d’estimation des poids à âges types (10, 30 et 70 jours) ont été testées, en comparaison avec la méthode standard développée pour les ovins allaitants en France. Enfin, la variabilité des performances de croissance obtenues a été précisée afin d’établir les premières références d’un contrôle de croissance appliqué aux caprins Créoles. Les conditions d’application et les limites du schéma sont discutées dans le cadre de la population caprine Créole.
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ALEXANDRE, G., G. AUMONT, J. FLEURY, J. C. MAINAUD, and T. KANDASSAMY. "Performances zootechniques de la chèvre Créole allaitante de Guadeloupe. Bilan de 20 ans dans un élevage expérimental de l’INRA." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 7–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3973.

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Abstract:
Dans la zone Caraïbe, les chèvres sont principalement élevées pour la viande en système allaitant. Peu de références bibliographiques portent sur la caractérisation des chèvres locales en milieu tropical. Cette étude présente une synthèse des performances zootechniques de la chèvre Créole allaitante en Guadeloupe dans un troupeau expérimental de l’INRA. Le troupeau est conduit toute l’année au pâturage de façon intensive (conduite de la reproduction, prophylaxie, fertilisation, irrigation, charge animale). Les performances de reproduction ont été analysées à partir d’une banque de données portant sur 599 femelles ayant réalisé 1904 mise bas. La première mise bas intervient à 17,2+3,1 mois et l’intervalle moyen entre mise bas est de 8,5 mois. Le taux moyen de fertilité est souvent supérieur à 90 %. La taille moyenne de la portée est de 2,1 chevreaux par mise bas. Plus de 80 % des mise bas donnent des portées d’au moins 2 chevreaux nés vivants et 95 % des mise bas n’ont jamais eu de morts nés. La taille de la portée augmente régulièrement avec le rang de mise bas jusqu’à la 5ème, de 50 % depuis la première. Les caractéristiques de la production laitière sont décrites à partir de 145 lactations estimées par la méthode ocytocine dans différents essais d’alimentation. La production laitière moyenne ajustée pour les principaux facteurs de variation est de 792+206 g/j. Les courbes de production présentent un pic de lactation précoce, en 2ème semaine de lactation, et de faible niveau : 550 et 1020 g/j pour les chèvres allaitant des simples et des doubles respectivement. Le taux butyreux moyen est de 5 %. Les performances de croissance avant sevrage ont été analysées sur 6375 chevreaux. Les données présentées sont ajustées pour les principaux facteurs de variation du modèle&nbsp;: le sexe, la taille de la portée, le rang de mise bas, l’année et la saison de mise bas. Le taux de mortalité moyen est de 15,7 %. Les poids à la naissance et au sevrage (réalisé à un âge moyen de 82+15 j) sont de 1,73+0,34 kg et 7,75+1,76 kg respectivement. Ils varient selon la taille de la portée et le sexe : 15 % de différence entre les simples et les multiples et 10 à 8 % de variation entre mâles et femelles. Le gain moyen quotidien entre 10 et 30 jours (GMQ10-30) et le GMQ40-70 sont de 84,3 + 25,9 et 65,7 + 24,0 g/j respectivement. Il apparaît que la chèvre Créole se classe parmi les meilleurs génotypes tropicaux à viande du fait de ses grandes capacités de reproduction, ses qualités maternelles et les niveaux de croissance présevrage observés.
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CHEMINEAU, P., A. GRUDE, and H. VARO. "Mortalité, poids à la naissance et croissance de chevreaux créoles nés en élevage semi-intensif." Annales de Zootechnie 34, no. 2 (1985): 193–204. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19850205.

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Gaddour, A., S. Najari, M. Ouni, and M. Ben Hamouda. "Productivité de génotypes caprins de race pure et par croisement dans les oasis du Sud tunisien." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 61, no. 3-4 (March 1, 2008): 203. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9990.

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Abstract:
La comparaison des races pures caprines et des génotypes issus de croisement d’absorption de la chèvre locale par des races amélioratrices a pour but de déterminer les meilleurs génotypes caprins qui permettent la valorisation des ressources des oasis. L’étude des performances individuelles de croissance des chevreaux de la population locale, des races Alpine, Damasquine et Murciana- Granadina est insuffisante pour conclure sur l’intérêt génétique et économique lors du choix de la race amélioratrice. La présente étude a permis d’établir des indices bioéconomiques pour évaluer la productivité des groupes génétiques purs et croisés. L’indice viande a corrigé les performances de la croissance par le poids métabolique des adultes et les taux de productivité numérique. L’analyse des indices, élaborés à partir d’un fichier de données de seize campagnes de contrôles des performances, a conduit à des évaluations des génotypes assez différentes de celles établies à partir des comparaisons des performances individuelles. Il est nécessaire d’élaborer des indices plus complets, qui permettent de mieux considérer la productivité ainsi que les charges de l’élevage caprin intensif, et de les appliquer à l’ensemble des données afin de répondre aux objectifs génétiques et économiques du projet de croisement d’absorption de la population caprine locale.
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ALEXANDRE, G., G. AUMONT, J. FLEURY, O. COPPRY, P. MULCIBA, and A. NEPOS. "Production semi-intensive au pâturage de caprins à viande en zone tropicale humide : le cas des cabris Créoles sur pangola (Digitaria decumbens) en Guadeloupe." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 43–53. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3976.

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Abstract:
Dans la Caraïbe, le mode de production animale le plus répandu est l’élevage au pâturage. Différents travaux menés sur l’exploitation du pangola (Digitaria decumbens) par les chèvres Créoles à viande en Guadeloupe sont présentés. Le troupeau est conduit toute l’année au pâturage de façon intensive (conduite de la reproduction, prophylaxie, fertilisation, irrigation, charge animale). La production de chèvres en système allaitant valorise le système fourrager testé (1385 kg de sevrés/ha) et le système intensif permet l’expression du potentiel de ce génotype performant. L’augmentation du chargement de 1390 à 1980 kg de poids vif par hectare ne s’accompagne pas de baisses des performances de reproduction et d’allaitement mais d’une augmentation de la mortalité pré-sevrage de 7 à 10,5 %. Un mode de gestion rotatif basé sur l’âge de repousse du fourrage n’a pas permis d’améliorer la qualité pastorale du fourrage offert mais a sans doute accru le parasitisme gastro-intestinal des jeunes sous la mère. Une réduction notable des apports de concentrés aux mères (près de 46 % d’énergie totale) a pu être appliquée sans altérer leurs performances zootechniques. Les performances à l’herbe des jeunes en croissance sont de près de 37 g/j de croissance du sevrage jusqu’à l’âge de 11 mois. L’élevage des chevreaux mâles ou femelles sur pâturage intensif de pangola produit en moyenne 1130 kg de croît/ha/an. Un enrichissement de la prairie en légumineuse n’a pas permis d’augmenter de façon sensible la croissance des jeunes boucs. Un mode de pâturage en avant de jeunes chevrettes au sortir du sevrage a permis d’améliorer leurs résultats d’élevage. Les méfaits de l’intensification fourragère sont discutés : mauvaise maîtrise agronomique des pâtures, accumulation de biomasse fourragère résiduelle, dégradation progressive de la valeur pastorale des prairies, augmentation de l’incidence parasitaire. L’intérêt de promouvoir une intensification raisonnée des systèmes de pâturages tropicaux est présenté.
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Mbayahaga, J., S. N. M. Mandiki, J. L. Bister, R. Paquay, L. Bangirinama, and R. Branckaert. "Production et composition du lait de la chèvre locale burundaise et croissance des jeunes au pis." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 4 (April 1, 1994): 405–10. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9080.

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Abstract:
La production et la composition du lait de 31 chèvres locales burundaises ont été déterminées au cours des 84 premiers jours de lactation. Parallèlement, la croissance de 44 nouveau-nés a été étudiée. Le faible rendement laitier de la chèvre locale (440 g/j) est cependant fort variable d'après les individus (167 à 881 g/j). La production laitière culmine entre la 2è et la 3è semaines de lactation et diminue en pente douce par la suite. Elle s'accroît avec l'augmentation du nombre de jeunes allaités et le poids de la mère (p < 0,05) et non avec la parité. Le lait de la chèvre burundaise est plus pauvre en éléments nutritifs que celui des autres races tropicales notamment en matière grasse (3,1 g %) et en lactose (2,8 ± 1,67 g %). Les poids des chevreaux à la naissance (1,54 ± 0,29 kg) et à 28 jours (3,05 ± 0,70 kg) sont faibles comparés à ceux d'autres races caprines tropicales. En revanche, les jeunes ont une meilleure efficience alimentaire au cours du premier mois post-natal (6,04). Leurs faibles performances pondérales pourraient donc être dues à la faible production laitière des mères et/ou à la déficience énergétique dans le lait. Une amélioration génétique de cette production est possible.
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Dissertations / Theses on the topic "Chevreaux – Croissance"

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Brassard, Marie-Ève. "L'alimentation à base de concentrés ou de pâturage affecte la digestion, la croissance de même que la qualité de la carcasse et de la viande du chevreau." Doctoral thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/34001.

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Abstract:
Le premier objectif de cette thèse était d’évaluer l’effet de différentes vitesses de dégradation de l’énergie et de la protéine au niveau du rumen sur la prise alimentaire, le bilan azoté, la synthèse de protéines microbiennes dans le rumen (PMic) ainsi que la cinétique des nutriments chez le chevreau en croissance. Huit chevreaux Boer ont été distribué dans un dispositif expérimental en carré latin avec le type de grains (orge vs maïs) en parcelle principale (carré). La dégradabilité de l’énergie (grains traités vs non traités) et la dégradabilité de la protéine [tourteau de soya (TS) vs tourteau de soya chauffé (TSC)] dans le rumen formant les parcelles secondaires selon un arrangement factoriel des traitements 2 × 2. L’orge a été roulé et le maïs a été craqué. Les chevreaux recevant le maïs ont eu une excrétion urinaire de purines plus importante lorsqu’ils recevaient le TS plutôt que le TSC alors que le contraire a été observé avec l’orge (P ≤ 0,01). Le grain non traité couplé au TS a permis une plus grande excrétion de purines que lorsque couplé au TSC alors que la dégradabilité de la protéine dans le rumen n’a eu aucun effet lorsque le grain était traité (P ≤ 0,03). Les résultats de cette expérience ont montré que la synthèse de PMic pourrait être maximisée en combinant des grains lentement fermentescible (maïs ou grains entiers) avec une source de protéines rapidement dégradables (TS) dans le rumen. Avec l’orge, un grain plus rapidement fermenté dans le rumen, une synthèse de PMic supérieure a été observée lorsque couplée à une source de protéines lentement dégradables (TSC). Chaque céréale a des caractéristiques particulières. Ainsi, la seconde expérience de cette thèse a été réalisée afin de comparer les effets du maïs et de l’orge sur les performances de croissance, la qualité de la viande et le profil en acides gras (AG) du gras musculaire. Vingt-quatre chevreaux Boer ont été séparés en blocs selon leur poids et assignés à l’un des traitements qui consistaient en différentes proportions orge:maïs dans le concentré : 1) 100:0, 2) 50:50 et 3) 0:100. Quinze de ces chevreaux (n = 5 chevreaux/traitement) ont été abattus. L’ajout d’orge dans le concentré a provoqué une augmentation linéaire de la consommation de concentré (P < 0,01) et une tendance à l’augmentation du gain moyen quotidien (GMQ; P = 0,08). Les qualités de la carcasse et de la viande n’ont pas été influencées par les traitements et une viande de bonne qualité a été obtenue. Les proportions d’AG n-3 et n-6 ont augmenté de façon linéaire (P < 0,01), alors que le ratio AG n-6/n-3 a diminué de façon linéaire (P < 0,01) avec l’inclusion de maïs dans la ration. Finalement, la race est aussi un paramètre connu pour influencer la production et la qualité de la viande. Le but de la dernière expérience de cette thèse était d’évaluer l’effet de la race et du régime alimentaire sur la croissance, les caractéristiques de la carcasse et la qualité de la viande chez le chevreau. Quarante chevreaux de race bouchère (Boer) ou laitière (Alpine et Saanen) ont été séparés en blocs selon leur poids et nourris avec une ration à base de pâturage en rotation intensive ou une ration à base de concentrés. Les chevreaux de race bouchère ont eu un GMQ supérieur aux chevreaux de race laitière (P < 0,01), alors que le régime alimentaire n’a pas eu d’effet sur la croissance des chevreaux des deux races. Pour la majorité des découpes, les chevreaux de race bouchère ont accumulé plus de gras et moins de muscle lorsqu’ils recevaient la ration à base de concentrés plutôt qu’à base de pâturage alors que ces paramètres étaient peu influencés par le régime alimentaire chez les chevreaux de race laitière (régime × race, P ≤ 0,07). Les chevreaux nourris de la ration à base de concentrés avaient un potentiel glycolytique inférieur menant à un pH ultime supérieur de la viande ainsi qu’un ratio n-6/n-3 presque 4 fois plus grand que celui des chevreaux au pâturage (P < 0,01). Ce ratio a été 1,4 fois plus grand pour les chevreaux de race laitière comparé aux chevreaux de race bouchère (P < 0,01). Le pâturage en rotation intensive a permis un gain de poids moyen quotidien semblable à celui obtenu avec la ration à base de concentrés, une accumulation de gras interne moins importante dans la carcasse et une viande de bonne qualité. De plus, les chevreaux de race laitière représentent une alternative intéressante afin de produire de la viande de chèvre.
It has been suggested that microbial protein synthesis in the rumen would be optimized when dietary carbohydrates and proteins have synchronized rates and extent of degradation. The first objective of this thesis was to evaluate the effect of varying ruminal degradation rate of carbohydrates and nitrogen sources on intake, nitrogen balance, microbial protein yield in the rumen, and digestive kinetics of nutrients in the rumen of growing kids. Eight Boer goats were used. The treatments were arranged in a split-plot Latin square design with grain sources (barley or corn) forming the main plots (squares). Grain processing methods (rolled barley and cracked corn vs unprocessed grains) and levels of protein degradability [untreated soybean meal (SBM) vs heat-treated soybean meal (HSBM)] formed the subplots in a 2 × 2 factorial arrangement for a total of eight dietary treatments. Kids fed corn had higher excretion of purine derivatives (PD) when coupled with SBM compared with HSBM and the contrary occurred with barley-fed kids (P ≤ 0.01). Unprocessed grain offered with SBM led to a higher PD excretion than with HSBM whereas protein degradability had no effect when processed grain was fed (P ≤ 0.03). Results of this experiment with high concentrate diets showed that microbial N synthesis in the rumen could be maximized in goat kids by combining slowly fermented grains (corn or unprocessed grains) with a highly degradable protein supplement (SBM). With barley, a more rapidly fermented grain, a greater microbial protein synthesis in the rumen was observed when supplementing a low degradable protein (HSBM). Each cereal used in animal feeding has distinct characteristics. Therefore, the second experiment of this thesis was conducted to compare the impact of corn and barley on growth performance, meat quality, and muscle fatty acid (FA) composition of goat kids. Twenty-four Boer males were blocked by body weight (BW) and allotted randomly within block to one of three experimental diets. Treatments consisted in varying ratios of barley to corn in the concentrate: 1) 100:0, 2) 50:50, and 3) 0:100. Fifteen randomly selected kids (n = 5 kids/treatment) were slaughtered to evaluate carcass traits and meat quality. Inclusion of barley in diet linearly increased concentrate intake (P < 0.01) and tended to increase average daily gain (ADG; P = 0.08). There was no significant difference on carcass traits and meat quality among dietary treatments, and overall good meat quality was obtained. Proportions of n-3 and n-6 FA increased linearly (P < 0.01), whereas the n-6/n-3 FA ratio linearly decreased (P < 0.01) in meat fat as corn inclusion increased in the diets. Finally, breed is a parameter also known to influence meat production and quality. The aim of the last study of this thesis was to evaluate the effects of breed and feeding regimen on growth performance, carcass characteristics, and meat quality of male goat. Forty meat (Boer) or dairy (Alpine and Saanen) goat kids were blocked within breed according to BW. Kids within each block were then randomly allotted to intensive rotational grazing or a concentrate-based diet. Meat kids had a greater ADG than dairy kids (P < 0.01), but feeding treatments did not affect growth rate. For most of the primal cuts, meat kids accumulated more fat and less lean when they were fed concentrate in comparison with pasture, whereas these parameters were less influenced by dietary treatments in dairy kids (feed × breed, P ≤ 0.07). Pasture-fed kids had higher glycolytic potential resulting in lower meat ultimate pH. However, Warner-Bratzler shear force was higher for grazing kids compared with concentrate-fed kids (P < 0.01). Concentrate-fed kids showed an almost 4-fold greater n-6/n-3 FA ratio in meat fat compared with pasturefed kids, whereas this ratio was 1.4-fold greater for dairy kids in comparison with meat kids (P < 0.01). Intensive rotational pasture allowed similar average daily gain in comparison with concentrate-based diet, less internal fat accumulation in the carcass, and good meat quality. Furthermore, dairy breeds represented a valuable alternative for producing goat meat.
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OUEDRAOGO, LUANGA CHARLES. "Influence de la torrefaction du soja sur ses caracteristiques physico-chimiques et sa valeur nutritionnelle chez le rat en croissance et chez le chevreau preruminant." Rennes, Agrocampus Ouest, 1997. http://www.theses.fr/1997NSARB090.

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Abstract:
Notre travail de these a eu pour but d'etudier l'effet de la torrefaction sur les caracteristiques des graines de soja et d'en evaluer les consequences nutritionnelles chez le rat en croissance et le chez le chevreau preruminant. Lors de la torrefaction, la denaturation des proteines s'est accompagnee d'un brunissement et d'une fluorescence a 440 nm, caracteristiques des bases de schiff. L'activite antitrypsique, l'immunoreactivite de la glycinine et celle de la -conglycinine ont ete influencees par la variete de soja. Elles ont diminue avec l'augmentation de la duree du chauffage de meme que la solubilite des proteines et la fluorescence du tryptophane. Chez le rat en croissance, du soja torrefie a 100\c pendant 15 (rsf15) ou 25 (rsf25) min, a ete substitue a la caseine comme source unique de proteines. La croissance, le coefficient d'efficacite proteique et l'efficacite alimentaire ont ete significativement plus faibles avec l'aliment rsf15, malgre une consommation identique de ms et de mat. Le coefficient d'efficacite proteique et l'efficacite alimentaire ont ete superieurs de 17% et de 13% avec rsf25 comparativement a rsf15. Le poids relatif du pancreas a ete superieur de +25% avec rsf15. Dans la derniere partie de notre travail, nous avons mesure les effets du remplacement des proteines du lait par celles de farines de soja torrefie sur la digestibilite, et les reponses zootechniques et immunologiques chez le chevreau preruminant. Dans le regime temoin, les poudres de lait ecreme et de lactoserum apportaient 95 et 5% des proteines, respectivement. Dans les regimes a base de soja, 45% des proteines provenaient du soja torrefie a 100\c pendant 10 (rsf10) ou 30 (rsf30) min, le reste etant apporte par les poudres de lait ecreme et de lactoserum (45 et 10% respectivement). La digestibilite a ete mesuree pendant 4 jours entre les ages moyens de 34 et 48 jours. La croissance des chevreaux des lots rsf10 et rsf30 a ete de 80 et de 90% de celle du lot temoin, respectivement. La digestibilite apparente de l'azote a ete la plus faible avec rsf10. Elle a augmente entre les ages de 34 et 48 j de 0,90 a 0,93 de 0,66 a 0,68 et de 0,70 a 0,80 pour les lots temoin, rsf10 et rsf30 respectivement. Des tests cutanes directs realises a l'aide des extraits de soja apres 5 semaines de regime ont revele des reactions retardees a l'extrait de rsf10 uniquement dans le lot rsf10. En conclusion, la torrefaction entraine une denaturation des proteines. La teinte et les bases de schiff predisent correctement l'evolution de la teneur en lysine. Le soja convenablement torrefie peut constituer une source de proteine acceptable dans l'alimentation du rat et de celle du chevreau preruminant. Cependant chez ce dernier, une amelioration de la digestibilite du soja par une optimisation des traitements serait necessaire pour envisager des taux de substitution plus eleves.
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