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Journal articles on the topic 'Chevreaux – Croissance'

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Alexandre, G. "Croissance pré-sevrage des chevreaux en Guadeloupe." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (May 1, 1991): 57–62. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9232.

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Abstract:
La croissance des chevreaux dépend étroitement de la production laitière de leur mère, en particulier pendant les 40 premiers jours, où les coefficients de corrélation sont les plus élevés (0.7 à 0.9). En effet les chevreaux élevés par des mères recevant un haut niveau alimentaire (fourrage et complément) ont un GMQ (0-40 jours) supérieur (83 g/j + 18 vs 53 + 17, P < 0.001) à celui de ceux dont les mères ne recoivent que le fourrage vert. Pour un niveau d'alimentation lactée comparable, quelque que soit la saison d'élevage, les jeunes qui reçoivent en plus du lait et du fourrage, un aliment concentré (0.86 UFL et 115g PDIN/kg, distribué ad libitum à partir de la 3e semaine) ont une croissance (GMQ 40-85j) supérieure de l'ordre de 40 %, améliorent leur poids au sevrage de 16 à 20 % et réduisent leur taux de mortalité de 28 à 0 %. Les facteurs de variation liés au stade d'allaitement et à l'effet indirect de la saison sont présentés et discutés. Dans un troupeau expérimental en élevage semi-intensif sur prairie, deux conduites principales sont mises en parallèle. Les résultats montrent que le chevreau Créole présente un bon potentiel de production : son poids de naissance (1,5 kg) est multiplié par 4,6 à 5,7 au moment du sevrage à 85 jours.
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2

Alexandre, G. "Elevage à l'herbe des chevreaux Créole après le sevrage." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (May 1, 1991): 99–104. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9228.

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Abstract:
Plusieurs essais concernant l'amélioration de l'élevage à l'herbe des chevreaux Créole après leur sevrage sont menés avec le Pangola (Digitaria decumbens). En zone humide et en stabulation libre, les niveaux d'ingestion très faibles sont en étroite relation avec le taux de MS du fourrage (15 % à 22) et induisent des croissances très médiocres (respectivement 14 et 8 g/j). Une étude menée au pâturage en zone sèche, selon 3 pressions de pâturage différentes, avec des chevrettes en croissance montre que, pour des quantités de Pangola "utile" proposées par animal et par jour (830, 1030 et 1770 g de MS de feuilles), la croissance observée durant 10 semaines est de 37, 46 et 52 g/j. Une comparaison entre le Pangola et le Pangola-Siratro (Macroptilium artropurpureum) est menée avec des mâles en croissance (8,5 à 20 kg). Le chargement varie de 900 et 1400 kg/ha de l'entrée à la sortie du système. Aucune différence n'est apparue, les GMQ moyens obtenus sont respectivement 51.7 + 26.0 g/j et 44.3 + 18.4 g/j (P > 0.05). Les facteurs de variations sont discutés. Le pâturage en avant des jeunes chevrettes sevrées leur permet d'avoir un meilleur choix alimentaire : elles ont deux fois plus de fourrage à leur disposition. En conséquence, la croissance est meilleure que celle des témoins (+ 44,9 vs + 30,7 g/j).
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Dhollander, S., S. Kora, M. Sanneh, Matar Gaye, S. G. A. Leak, D. Berkvens, and S. Geerts. "Parasitoses des chèvres Naines de l’Afrique de l’Ouest et de ses croisements avec la race Saanen dans un système d’agriculture zéro-pâturage en Gambie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 1-2 (January 1, 2005): 45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9939.

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Abstract:
L’étude a concerné l’élevage de 20 chèvres Naines de l’Afrique de l’Ouest (NAO) et 15 croisements Saanen x NAO au sein d’un système d’agriculture zéro-pâturage intensif dans une zone peu à moyennement infestée de mouches tsé-tsé en Gambie. Pendant une période d’une année, des échantillons ont été prélevés mensuellement pour déterminer le nombre d’oeufs d’helminthes, le nombre d’oocystes de coccidies par gramme de matières fécales, les valeurs de l’hématocrite et les trypanosomoses des chèvres. Des nombres élevés d’oocystes ont été trouvés pendant la période de septembre à décembre, entraînant une mortalité présevrage de 20 p. 100 chez les deux races. Les animaux ont été modérément infestés par les helminthes du milieu de la saison des pluies jusqu’au début de la saison sèche. Des trypanosomoses n’ont été détectées ni chez les NAO ni chez les chèvres croisées lors de l’utilisation de la technique du buffy coat. Les poids moyens à la naissance des chevreaux et des NAO ont été respectivement de 2,4 et 2,0 kg. Le taux de croissance des chevreaux croisés a été significativement plus élevé que celui des chevreaux de race locale. Les taux de croissance présevrage des chevreaux croisés et des NAO ont été respectivement de 114,75 et 65,57 g/jour, tandis que les taux de croissance postsevrage ont été de 58,82 et 36,41 g/jour. Le taux de croissance rapide des chèvres croisées comparé à celui des NAO indique que l’élevage de croisements Saanen x NAO dans un système zéropâturage peut accroître la productivité. Une hygiène stricte dans les abris des chèvres est cependant indispensable pour éviter l’apparition de foyers de coccidiose.
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4

Atoui, Ahlem, María Jesús Carabaño, Moldi Abdennebi, and Sghaier Najari. "Poids des chevreaux de la population locale Sud tunisienne dans des conditions d’aridité : impacts lors des procédures de sélection." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 74, no. 2 (June 21, 2021): 121–26. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36375.

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Abstract:
La nature et la distribution des phénotypes quantitatifs représentent une connaissance de base pour l’application des méthodologies génétiques dans les plans de sélection des animaux domestiques. Afin d’illustrer l’action de facteurs non génétiques d’aridité sur la distribution phénotypique des performances individuelles de la croissance des chevreaux de la population locale élevés dans des conditions restrictives et irrégulières, 945 chevreaux issus de 285 chèvres et 19 boucs, nés durant la période 1998–2014, ont été étudiés par l’analyse des distributions des poids jusqu’à 150 jours d’âge. La dispersion des poids représentait une expression collective des génotypes des chevreaux dans les conditions de l’étude avec des variations dues à la fois aux effets génétiques et environnementaux. L’hypothèse de la normalité n’a été vérifiée qu’aux âges de 10 jours et 30 jours quand les chevreaux étaient surtout nourris sous la mère et n’étaient pas directement dépendants des ressources alimentaires du parcours aride. Durant une année défavorable, les performances enregistrées ont suivi une distribution particulière expliquée par le fait que les chevreaux performants ont été incapables d’extérioriser leur supériorité. Par conséquent, le milieu aride a réduit les performances de la population caprine locale. En outre, il a limité l’expression de quelques génotypes fortement productifs. Cette spécificité de l’action du milieu aride incite à un approfondissement indispensable pour ajuster les méthodes de sélection aux conditions des milieux restrictifs et des groupes génétiques adaptés.
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5

Naves, Michel, A. Menendez Buxadera, G. Alexandre, and Nathalie Mandonnet. "Etude comparative sur la méthodologie d’estimation des poids à âges types avant sevrage appliquée aux caprins Créoles producteurs de viande." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 54, no. 1 (January 1, 2001): 81. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9810.

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Abstract:
La mise en oeuvre d’un programme de sélection chez les ruminants allaitants nécessite un modèle de contrôle de performances pour l’enregistrement des poids et la mesure de la croissance. Un tel schéma a été mis au point en France chez les ovins ; en revanche, il n’existe pas de système pour les caprins allaitants. Cette étude examine les possibilités d’application de la méthodologie standard mise au point chez les ovins à viande, dans le cadre de la population rustique de caprins Créoles élevés aux Antilles françaises. Elle s’est appuyée sur la base de données individuelles de croissances accumulées au Domaine expérimental de Gardel en Guadeloupe depuis près de 20 ans, sur un total de 6 211 chevreaux jusqu’au sevrage. Différentes méthodes d’estimation des poids à âges types (10, 30 et 70 jours) ont été testées, en comparaison avec la méthode standard développée pour les ovins allaitants en France. Enfin, la variabilité des performances de croissance obtenues a été précisée afin d’établir les premières références d’un contrôle de croissance appliqué aux caprins Créoles. Les conditions d’application et les limites du schéma sont discutées dans le cadre de la population caprine Créole.
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ALEXANDRE, G., G. AUMONT, J. FLEURY, J. C. MAINAUD, and T. KANDASSAMY. "Performances zootechniques de la chèvre Créole allaitante de Guadeloupe. Bilan de 20 ans dans un élevage expérimental de l’INRA." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 7–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3973.

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Abstract:
Dans la zone Caraïbe, les chèvres sont principalement élevées pour la viande en système allaitant. Peu de références bibliographiques portent sur la caractérisation des chèvres locales en milieu tropical. Cette étude présente une synthèse des performances zootechniques de la chèvre Créole allaitante en Guadeloupe dans un troupeau expérimental de l’INRA. Le troupeau est conduit toute l’année au pâturage de façon intensive (conduite de la reproduction, prophylaxie, fertilisation, irrigation, charge animale). Les performances de reproduction ont été analysées à partir d’une banque de données portant sur 599 femelles ayant réalisé 1904 mise bas. La première mise bas intervient à 17,2+3,1 mois et l’intervalle moyen entre mise bas est de 8,5 mois. Le taux moyen de fertilité est souvent supérieur à 90 %. La taille moyenne de la portée est de 2,1 chevreaux par mise bas. Plus de 80 % des mise bas donnent des portées d’au moins 2 chevreaux nés vivants et 95 % des mise bas n’ont jamais eu de morts nés. La taille de la portée augmente régulièrement avec le rang de mise bas jusqu’à la 5ème, de 50 % depuis la première. Les caractéristiques de la production laitière sont décrites à partir de 145 lactations estimées par la méthode ocytocine dans différents essais d’alimentation. La production laitière moyenne ajustée pour les principaux facteurs de variation est de 792+206 g/j. Les courbes de production présentent un pic de lactation précoce, en 2ème semaine de lactation, et de faible niveau : 550 et 1020 g/j pour les chèvres allaitant des simples et des doubles respectivement. Le taux butyreux moyen est de 5 %. Les performances de croissance avant sevrage ont été analysées sur 6375 chevreaux. Les données présentées sont ajustées pour les principaux facteurs de variation du modèle&nbsp;: le sexe, la taille de la portée, le rang de mise bas, l’année et la saison de mise bas. Le taux de mortalité moyen est de 15,7 %. Les poids à la naissance et au sevrage (réalisé à un âge moyen de 82+15 j) sont de 1,73+0,34 kg et 7,75+1,76 kg respectivement. Ils varient selon la taille de la portée et le sexe : 15 % de différence entre les simples et les multiples et 10 à 8 % de variation entre mâles et femelles. Le gain moyen quotidien entre 10 et 30 jours (GMQ10-30) et le GMQ40-70 sont de 84,3 + 25,9 et 65,7 + 24,0 g/j respectivement. Il apparaît que la chèvre Créole se classe parmi les meilleurs génotypes tropicaux à viande du fait de ses grandes capacités de reproduction, ses qualités maternelles et les niveaux de croissance présevrage observés.
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CHEMINEAU, P., A. GRUDE, and H. VARO. "Mortalité, poids à la naissance et croissance de chevreaux créoles nés en élevage semi-intensif." Annales de Zootechnie 34, no. 2 (1985): 193–204. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19850205.

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Gaddour, A., S. Najari, M. Ouni, and M. Ben Hamouda. "Productivité de génotypes caprins de race pure et par croisement dans les oasis du Sud tunisien." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 61, no. 3-4 (March 1, 2008): 203. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9990.

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Abstract:
La comparaison des races pures caprines et des génotypes issus de croisement d’absorption de la chèvre locale par des races amélioratrices a pour but de déterminer les meilleurs génotypes caprins qui permettent la valorisation des ressources des oasis. L’étude des performances individuelles de croissance des chevreaux de la population locale, des races Alpine, Damasquine et Murciana- Granadina est insuffisante pour conclure sur l’intérêt génétique et économique lors du choix de la race amélioratrice. La présente étude a permis d’établir des indices bioéconomiques pour évaluer la productivité des groupes génétiques purs et croisés. L’indice viande a corrigé les performances de la croissance par le poids métabolique des adultes et les taux de productivité numérique. L’analyse des indices, élaborés à partir d’un fichier de données de seize campagnes de contrôles des performances, a conduit à des évaluations des génotypes assez différentes de celles établies à partir des comparaisons des performances individuelles. Il est nécessaire d’élaborer des indices plus complets, qui permettent de mieux considérer la productivité ainsi que les charges de l’élevage caprin intensif, et de les appliquer à l’ensemble des données afin de répondre aux objectifs génétiques et économiques du projet de croisement d’absorption de la population caprine locale.
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ALEXANDRE, G., G. AUMONT, J. FLEURY, O. COPPRY, P. MULCIBA, and A. NEPOS. "Production semi-intensive au pâturage de caprins à viande en zone tropicale humide : le cas des cabris Créoles sur pangola (Digitaria decumbens) en Guadeloupe." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 43–53. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3976.

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Abstract:
Dans la Caraïbe, le mode de production animale le plus répandu est l’élevage au pâturage. Différents travaux menés sur l’exploitation du pangola (Digitaria decumbens) par les chèvres Créoles à viande en Guadeloupe sont présentés. Le troupeau est conduit toute l’année au pâturage de façon intensive (conduite de la reproduction, prophylaxie, fertilisation, irrigation, charge animale). La production de chèvres en système allaitant valorise le système fourrager testé (1385 kg de sevrés/ha) et le système intensif permet l’expression du potentiel de ce génotype performant. L’augmentation du chargement de 1390 à 1980 kg de poids vif par hectare ne s’accompagne pas de baisses des performances de reproduction et d’allaitement mais d’une augmentation de la mortalité pré-sevrage de 7 à 10,5 %. Un mode de gestion rotatif basé sur l’âge de repousse du fourrage n’a pas permis d’améliorer la qualité pastorale du fourrage offert mais a sans doute accru le parasitisme gastro-intestinal des jeunes sous la mère. Une réduction notable des apports de concentrés aux mères (près de 46 % d’énergie totale) a pu être appliquée sans altérer leurs performances zootechniques. Les performances à l’herbe des jeunes en croissance sont de près de 37 g/j de croissance du sevrage jusqu’à l’âge de 11 mois. L’élevage des chevreaux mâles ou femelles sur pâturage intensif de pangola produit en moyenne 1130 kg de croît/ha/an. Un enrichissement de la prairie en légumineuse n’a pas permis d’augmenter de façon sensible la croissance des jeunes boucs. Un mode de pâturage en avant de jeunes chevrettes au sortir du sevrage a permis d’améliorer leurs résultats d’élevage. Les méfaits de l’intensification fourragère sont discutés : mauvaise maîtrise agronomique des pâtures, accumulation de biomasse fourragère résiduelle, dégradation progressive de la valeur pastorale des prairies, augmentation de l’incidence parasitaire. L’intérêt de promouvoir une intensification raisonnée des systèmes de pâturages tropicaux est présenté.
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Mbayahaga, J., S. N. M. Mandiki, J. L. Bister, R. Paquay, L. Bangirinama, and R. Branckaert. "Production et composition du lait de la chèvre locale burundaise et croissance des jeunes au pis." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 4 (April 1, 1994): 405–10. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9080.

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Abstract:
La production et la composition du lait de 31 chèvres locales burundaises ont été déterminées au cours des 84 premiers jours de lactation. Parallèlement, la croissance de 44 nouveau-nés a été étudiée. Le faible rendement laitier de la chèvre locale (440 g/j) est cependant fort variable d'après les individus (167 à 881 g/j). La production laitière culmine entre la 2è et la 3è semaines de lactation et diminue en pente douce par la suite. Elle s'accroît avec l'augmentation du nombre de jeunes allaités et le poids de la mère (p < 0,05) et non avec la parité. Le lait de la chèvre burundaise est plus pauvre en éléments nutritifs que celui des autres races tropicales notamment en matière grasse (3,1 g %) et en lactose (2,8 ± 1,67 g %). Les poids des chevreaux à la naissance (1,54 ± 0,29 kg) et à 28 jours (3,05 ± 0,70 kg) sont faibles comparés à ceux d'autres races caprines tropicales. En revanche, les jeunes ont une meilleure efficience alimentaire au cours du premier mois post-natal (6,04). Leurs faibles performances pondérales pourraient donc être dues à la faible production laitière des mères et/ou à la déficience énergétique dans le lait. Une amélioration génétique de cette production est possible.
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Barazi, Aminatou Aliou, Mahamadou Chaibou, Ousseini Mahaman M. Mouctari, and Moussa Elhadji Nouhou. "Effet de la supplémentation des rations par un additif alimentaire sur la croissance pondérale et le rendement carcasse des chevreaux Roux de Maradi au Niger." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 6 (January 17, 2020): 2487. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i6.5.

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Missohou, Ayao, Grégoire Nahimana, Simplice Bosco Ayssiwede, and Mbacké Sembene. "Elevage caprin en Afrique de l’Ouest : une synthèse." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no. 1 (July 4, 2016): 3. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31167.

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Abstract:
L’Afrique de l’Ouest, avec 37,2 % du cheptel caprin continental, est l’un des principaux bassins d’élevage de cette espèce au rôle socio-économique parti­culièrement important. La chèvre est élevée dans des zones agroécologiques et dans des systèmes variés, mais elle est surtout présente dans les régions les plus arides où elle joue un rôle de subsistance et de sécurisation des systèmes agraires de premier plan. Les systèmes d’élevage sont surtout traditionnels (pas­toral, agropastoral et sédentaire) et accessoirement périurbains. La productivité des élevages caprins est faible. L’âge à la première mise bas est en moyenne de 15,3 mois pour un intervalle entre mises bas moyen de 295,8 jours et une prolificité de 1,46. Celle-ci est cependant plus élevée chez la chèvre naine où elle peut atteindre 1,85. La mortalité présevrage des chevreaux est très élevée et constitue l’une des principales contraintes de l’élevage caprin en Afrique de l’Ouest. Elle est due aux pneumopathies, en particulier à la peste des petits ruminants, et aux parasitoses gastro-intestinales. Les performances de croissance sont également faibles avec des poids moyens à 12 mois d’âge ne dépassant 20 kg que chez quelques rares types génétiques. Pour améliorer la productivité en élevage caprin il a été proposé : a) de réduire la mortalité présevrage en met­tant un accent particulier sur la lutte contre les parasitoses gastro-intestinales, b) de mettre en place une complémentation stratégique basée sur une utilisa­tion digestive optimale d’aliments grossiers, et c) de développer des programmes d’amélioration génétique faisant appel à la gestion communautaire de base dans un contexte socioprofessionnel renforcé.
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Omotosho, B. O., M. N. Bemji, K. Bamisile, M. O. Ozoje, M. Wheto, A. M. Lawal, B. O. Oluwatosin, O. S. Sowande, I. J. James, and O. A. Osinowo. "Comparative study of growth patterns of Kalahari Red goats and West African dwarf goats reared in Southwest Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020): 213–26. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1334.

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Abstract:
This study focused on comparing growth traits (body weights at birth, 3-month weaning and 6-month post-weaning) as well as growth curves of Kalahari Red (KR), a newly introduced goat breed in Nigeria and West African Dwarf (WAD) goat semi-intensively managed. Data on growth traits and weekly live weights were collected from 124 kids consisting of 61 KR and 63 WAD goats. The data were subjected to least squares analysis of variance to evaluate the effects of breed, sex, season, birth type and parity. The results showed that KR kids exceeded WAD kids in body weights at birth (2.30±0.06 kg vs 1.56±0.06 kg), 3-month weaning (8.88±0.57 kg vs 3.88±0.20 kg) and 6-month post-weaning (13.97±0.86 kg vs 5.05±0.37 kg). Corresponding pre-weaning average daily gain (ADG) estimates were 84.44±2.44 g and 31.73±1.16 g and post-weaning ADG were 61.88±1.81g and 24.84±1.21 g. Growth patterns of the two breeds were described using four different non-linear models: Brody, Gompertz, Logistic and Von Bertalanffy. Models were compared using parameter estimates (asymptotic weight 'A', integration constant 'B' and rate of maturity 'k'). Model with good fit was adjudged using coefficient of determination (R2) and residual mean squares (RMS). The KR goats had higher parameter estimates than WAD goats. Von Bertalanffy model had the highest 'A' estimates (24.24±0.94 kg vs 11.99±0.54 kg for KR and WAD goats). Gompertz had highest 'B' and 'k' estimates (5.37±0.20 vs 3.38±0.09) and (0.19±0.01 vs 0.13±0.01) for KR and WAD goats. All four growth models generally had R2 exceeding 99% and low RMS, hence giving good fit to the observed growth data. They can be used to implement feeding and management decisions that will optimize productivity. Information on superior growth performance of the Kalahari Red goat can be utilized to further investigate genetic improvement of the indigenous West African Dwarf population through crossbreeding. Cette étude s'est concentrée sur la comparaison des traits de croissance (poids corporel à la naissance, sevrage à 3 mois et 6 mois après le sevrage) ainsi que les courbes de croissance du Kalahari Red (KR), une race de chèvre nouvellement introduite au Nigéria et West AfricanDwarf (WAD) chèvre gérée de manière semi-intensive. Des données sur les traits de croissance et le poids vif hebdomadaire ont été collectées auprès de 124 chevreaux comprenant 61 chèvres KR et 63 chèvres WAD. Les données ont été soumises à une analyse des moindres carrés de la variance pour évaluer les effets de la race, du sexe, de la saison, du type de naissance et de la parité. Les résultats ont montré que les enfants KR dépassaient les enfants WAD en poids corporel à la naissance (2.30 ± 0.06 kg vs 1.56 ± 0.06 kg), au sevrage de 3 mois (8.88 ± 0.57 kg vs 3.88 ± 0.20 kg) et 6 mois après le sevrage (13.97 ± 0.86 kg contre 5.05 ± 0.37 kg). Les estimations correspondantes du gain quotidien moyen (ADG) présevrage étaient de 84.44 ± 2.44 g et 31.73 ± 1.16 g et l'ADG post-sevrage était de 61.88 ± 1.81 g et 24.84 ± 1.21 g. Les modèles de croissance des deux races ont été décrits à l'aide de quatre modèles non linéaires différents :Brody, Gompertz, Logistic et Von Bertalanffy. Les modèles ont été comparés à l'aide d'estimations de paramètres (poids asymptotique « A », constante d'intégration « B » et taux de maturité « k »). Le modèle avec un bon ajustement a été évalué en utilisant le coefficient de détermination (R2) et les carrés moyens résiduels (RMS). Les chèvres KR avaient des estimations de paramètres plus élevées que les chèvres WAD. Le modèle de Von Bertalanffy présentait les estimations « A » les plus élevées (24.24 ± 0.94 kg contre 11.99 ± 0.54 kg pour les chèvres KR et WAD). Gompertz avait les estimations « B » et « k » les plus élevées (5.37 ± 0.20 vs 3.38 ± 0.09) et (0.19 ± 0.01 vs 0.13 ± 0.01) pour les chèvres KR et WAD. Les quatre modèles de croissance avaient généralement un R2 supérieur à 99% et un RMS faible, ce qui correspondait bien aux données de croissance observées. Ils peuvent être utilisés pour mettre en œuvre des décisions d'alimentation et de gestion qui optimiseront la productivité. Les informations sur la performance de croissance supérieure de la chèvre rouge du Kalahari peuvent être utilisées pour étudier plus avant l'amélioration génétique de la population indigène de nains d'Afrique de l'Ouest par croisement.
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BAS, P., Annie ROUZEAU, and P. MORAND-FEHR. "Poids et métabolisme des réserves lipidiques au cours de la croissance du chevreau." Reproduction Nutrition Développement 25, no. 1B (1985): 275–85. http://dx.doi.org/10.1051/rnd:19850218.

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DRIANCOURT, M. A., P. PHILIPON, M. TERQUI, G. MOLENAT, B. MIRMAN, C. LOUAULT, M. AVDI, J. FOLCH, and Y. COGNIE. "Possibilités de l’immunisation contre les stéroïdes pour améliorer les performances ovulatoires et la taille de la portée des ovins et caprins." INRAE Productions Animales 3, no. 1 (February 3, 1990): 31–37. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.1.4358.

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Abstract:
L’immunisation active (par vaccination) ou passive (par injection de sérum) contre un stéroïde ovarien, l’androsiènedione, permet d’améliorer les performances de reproduction et de production dans la plupart des races ovines et certaines races caprines. Le taux d’ovulation est augmenté sans variabilité excessive (il dépasse rarement deux). Ceci s’accompagne d’une augmentation de la taille de la portée, par augmentation du pourcentage de jumeaux, d’autant plus importante que la race traitée est naturellement peu prolifique. La fertilité n’est pas affectée si on respecte strictement les conditions d’emploi (délai minimum de 3 semaines entre la deuxième vaccination et la mise à la lutte). Les poids à la naissance ne diffèrent pas, à taille de portée identique, entre agneaux et chevreaux nés de mères immunisées ou non. Les croissances et l’apparition de la puberté des jeunes issus de mères immunisées sont presque identiques à celles des témoins.
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