Academic literature on the topic 'Christianisme – Afrique – 20e siècle'

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Journal articles on the topic "Christianisme – Afrique – 20e siècle"

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Nordman, Daniel. "De Quelques Catégories de la Science Géographique Frontière, région et hinterland en Afrique du Nord (19e et 20e siècles)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 52, no. 5 (October 1997): 969–86. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1997.279614.

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Abstract:
Les développements qui suivent, éléments d'un chantier en cours sur les représentations de la géographie dite coloniale, au 19e et au 20e siècle, et au Maghreb*, supposent que l'on admette, à titre provisoire au moins et comme hypothèse de travail, que les frontières ne sont pas, ou n'ont pas été exclusivement, celles qu'édifient pour elles-mêmes les populations des confins lorsqu'elles choisissent des modèles de comportement économique, social ou culturel, lorsqu'elles édifient leur identité régionale, lorsqu'elles vivent, en un mot, leur sentiment d'appartenance territoriale et plus particulièrement leur situation frontalière. D'autres ont élaboré ces configurations, qu'il s'agisse des géographes ou des administrations, ou encore des milieux coloniaux. Pour avoir été imposées de l'extérieur, ces constructions n'en ont pas moins eu des effets durables. Elles sont un fait d'histoire et leurs empreintes doivent être exactement retracées. Elles constituent une variété particulière de catégories géographiques, comme la frontière, la région, l'hinterland. Certaines d'entre elles ont une histoire spécifique, souvent ancienne et même pluriséculaire : c'est le cas de la notion de frontière ; d'autres, comme la deuxième, se sont définies plus lentement sans doute, plus discrètement, avant d'envahir, au 20e siècle, toute une littérature géographique ; la dernière est propre à l'histoire et à la géographie africaines.
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Bouaziz, Ahmed, Ali Hammani, and Marcel Kuper. "Les oasis en Afrique du Nord : dynamiques territoriales et durabilité des systèmes de production agricole." Cahiers Agricultures 27, no. 1 (January 2018): 14001. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2017063.

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Abstract:
Les oasis sahariennes ont connu des changements particulièrement profonds et déstabilisants dans la seconde moitié du 20e siècle, s’accompagnant de transformations sociales, économiques, agricoles et environnementales. Aux oasis phoenicicoles étagées classiques, viennent s’adjoindre de nouvelles extensions ou projets agricoles à travers des initiatives étatiques ou locales. Dans un contexte où les formes d’agriculture les plus modernes et les plus traditionnelles sont juxtaposées, il est pertinent d’analyser à la fois les ruptures et les continuités entre ces différentes formes d’agriculture saharienne. C’est précisément dans le but de contribuer à améliorer et partager les connaissances sur les dynamiques agricoles et territoriales en cours dans les oasis en Afrique du Nord, que nous avons organisé un symposium international à Zagora, oasis de peuplement millénaire. Le présent numéro thématique prolonge cette discussion sur ces dynamiques au sein des anciennes et nouvelles oasis et leurs interrelations avec les modes d’élevage et les activités non agricoles. Les différentes contributions au numéro thématique montrent les risques induits par les changements rapides. Elles dévoilent aussi des oasis bien vivantes, dont la durabilité passe sans doute par la cohabitation d’initiatives diversifiées.
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Salvaing, Bernard. "Missions chrétiennes, christianisme et pouvoirs en Afrique noire de la fin du XVIIIe siècle aux années 1960 : permanences et." Outre-mers 93, no. 350 (2006): 295–333. http://dx.doi.org/10.3406/outre.2006.4205.

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Bromberger, Christian. "Méditerranée." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.106.

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Abstract:
Alors que l’américanisme, l’africanisme, l’européanisme, l’indianisme… sont reconnus, certifiés par des musées ou des sections de musée, des départements universitaires, des chapitres de manuels depuis les origines, l’anthropologie de la Méditerranée est une spécialité récente, prenant corps, sous l’égide des universités britanniques, dans les années 1950. Ce retard est dû, au moins en partie, à l’hétérogénéité du monde méditerranéen partagé entre les façades méridionale et orientale de la mer, qui relèvent, à première vue, de l’étude du monde arabo-musulman, et la façade septentrionale ressortissant de prime abord de l’ethnologie européenne. Le scepticisme, récusant la pertinence d’une anthropologie de la Méditerranée, peut encore trouver des arguments dans l’histoire des civilisations ou dans l’actualité. Contrairement à d’autres régions du monde, l’aire iranienne voisine par exemple, le monde méditerranéen ne forme une unité ni par ses langues ni par ses traditions religieuses. Faut-il rappeler que seul l’Empire romain l’a unifié pendant plusieurs siècles autour du « mare nostrum » en favorisant l’épanouissement d’une culture gréco-latine à vocation universelle et en développant tout autour de la mer des institutions politiques sur le modèle de Rome ? Puis l’histoire de la Méditerranée fut faite de partages, de schismes, de croisades, de guerres entre empires, de conquêtes coloniales qui aboutirent, au terme de péripéties violentes, à la situation contemporaine où coexistent trois ensembles eux-mêmes fractionnés : une Méditerranée latine, catholique, largement laïcisée , partie intégrante de l’Europe occidentale, une Méditerranée balkanique orthodoxe avec ses poches islamiques, une Méditerranée arabo-musulmane. En dépit de ces fractures, des hommes de lettres campèrent, dans les années 1930, une Méditerranée des échanges et de la convivenza, à laquelle donnent crédit des lieux et des épisodes remarquables de l’histoire (l’Andalousie au temps du califat omeyade, la Sicile de Frédéric II, des villes cosmopolites de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle : Istanbul, Smyrne, Salonique, Beyrouth, Alexandrie, Alger, Tanger, Trieste, Marseille, etc.). Des revues (à Marseille, les Cahiers du sud de Jean Ballard, à Tunis Les Cahiers de la Barbarie d’Armand Guibert et Jean Amrouche , à Alger Rivages d’Edmond Charlot et Albert Camus, à Rabat Aguedal d’Henri Bosco) exaltèrent cette « fraternité méditerranéenne » tout autant imaginaire que réelle. Gabriel Audisio fut le chantre le plus exalté de cette commune « patrie méditerranéenne »: « Non, écrit-il, la Méditerranée n’a jamais séparé ses riverains. Même les grandes divisions de la Foi, et ce conflit spirituel de l’Orient et de l’Occident, la mer ne les a pas exaltés, au contraire adoucis en les réunissant au sommet sensible d’un flot de sagesse, au point suprême de l’équilibre ». Et à l’image d’une Méditerranée romaine (il veut « remettre Rome ‘à sa place’ ») il oppose celle d’une « synthèse méditerranéenne » : « À cette latinité racornie, j’oppose tout ce qui a fait la civilisation méditerranéenne : la Grèce, l’Égypte, Judas, Carthage, le Christ, l’Islam ». Cette Méditerranée qui « vous mélange tout ça sans aucune espèce de pudeur », dit-il encore, « se veut universelle ». Avant qu’un projet collectif d’anthropologie n’émerge, des ancêtres de la discipline, des géographes, des historiens, avaient apporté une contribution importante à la connaissance du monde méditerranéen. Maine, Robertson Smith, Frazer, etc. étaient classicistes ou historiens du droit et se référaient souvent aux sociétés antiques de la Méditerranée pour analyser coutumes et croyances ou encore les différentes formes d’organisation sociale (la tribu, la cité, etc.) et leur évolution. Plus tard, dans les premières décennies du XXème siècle, de remarquables études monographiques ou thématiques furent réalisées sur les différentes rives de la Méditerranée , telles celles de Maunier (1927) sur les échanges rituels en Afrique du nord, de Montagne (1930) sur les Berbères du sud Marocain, de Boucheman (1937) sur une petite cité caravanière de Syrie…Géographes et historiens, plus préoccupés par l’ancrage matériel des sociétés que par leur structure ou leurs valeurs, publièrent aussi des travaux importants, synthétiques ceux-ci, sur le monde méditerranéen ; ainsi Charles Parain, dans La Méditerranée, les hommes et les travaux (1936), campe une Méditerranée des infrastructures, celle qui prévaudra jusques et y compris dans les 320 premières pages de la thèse de Fernand Braudel (1949), celle des « ressources naturelles, des champs et des villages, de la variété des régimes de propriété, de la vie maritime, de la vie pastorale et de la vie agricole, des métiers et des techniques ». L’acte fondateur de l’anthropologie de la Méditerranée fut un colloque organisé en 1959 par Julian Pitt-Rivers, Jean Peristiany et Julio Caro Baroja, qui réunit, entre autres, Ernest Gellner, qui avait mené des travaux sur le Haut-Atlas, Pierre Bourdieu, alors spécialiste de la Kabylie, John K. Campbell, auteur de recherches sur les Saracatsans du nord de la Grèce. Cette rencontre, et celle qui suivit, en 1961, à Athènes donnèrent lieu à la publication de deux recueils fondamentaux (Pitt-Rivers, 1963, Peristiany, 1965), campant les principaux registres thématiques d’une anthropologie comparée des sociétés méditerranéennes (l’honneur, la honte, le clientélisme, le familialisme, la parenté spirituelle, etc.) et véritables coups d’envoi à des recherches monographiques s’inscrivant désormais dans des cadres conceptuels fortement charpentés. Les décennies 1960, 1970 et 1980 furent celles d’une croissance rapide et d’un épanouissement de l’anthropologie de la Méditerranée. Le monde méditerranéen est alors saisi à travers des valeurs communes : outre l’honneur et la honte, attachés au sang et au nom (Pitt-Rivers, 1977, Gilmore, 1987), la virilité qui combine puissance sexuelle, capacité à défendre les siens et une parole politique ferme qui ne transige pas et ne supporte pas les petits arrangements, l’hospitalité ostentatoire. C’est aussi un univers où domine une vision endogamique du monde, où l’on prise le mariage dans un degré rapproché, mieux la « république des cousins », où se marient préférentiellement le fils et la fille de deux frères, une formule surtout ancrée sur la rive sud et dans l’Antiquité pré-chrétienne, ; Jocaste ne dit-elle pas à Polynice : « Un conjoint pris au-dehors porte malheur » ? Ce à quoi Ibn Khaldoun fait écho : « La noblesse, l’honneur ne peuvent résulter que de l’absence de mélange », écrivait-il. Aux « républiques des beaux-frères », caractéristiques des sociétés primitives exogames étudiées par Claude Lévi-Strauss s’opposent ainsi les « républiques méditerranéennes des cousins », prohibant l'échange et ancrées dans l'endogamie patrilinéaire. Alors que dans les premières, « une solidarité usuelle unit le garçon avec les frères et les cousins de sa femme et avec les maris de ses sœurs », dans les secondes « les hommes (...) considèrent leurs devoirs de solidarité avec tous leurs parents en ligne paternelle comme plus importants que leurs autres obligations, - y compris, bien souvent, leurs obligations civiques et patriotiques ». Règne ainsi, dans le monde méditerranéen traditionnel, la prédilection pour le « vivre entre soi » auquel s’ajoute une ségrégation marquée entre les sexes, « un certain idéal de brutalité virile, dont le complément est une dramatisation de la vertu féminine », poursuit Germaine Tillion (1966). La Méditerranée, c’est aussi un monde de structures clientélaires, avec ses patrons et ses obligés, dans de vieilles sociétés étatiques où des relais s’imposent, à tous les sens du terme, entre le peuple et les pouvoirs; parallèlement, dans l’univers sacré, les intermédiaires, les saints, ne manquent pas entre les fidèles et la divinité ; ils sont nombreux, y compris en islam où leur culte est controversé. La violence avec ses pratiques vindicatoires (vendetta corse, disamistade sarde, gjak albanais, rekba kabyle…) fait aussi partie du hit-parade anthropologique des caractéristiques méditerranéennes et les auteurs analysent les moyens mis en œuvre pour sortir de ces conflits (Black-Michaud, 1975). Enfin, comment ne pas évoquer une communauté de comportements religieux, en particulier les lamentations funèbres, les dévotions dolorisantes autour des martyrs ? L’« inflation apologétique du martyre » est ainsi un trait commun au christianisme et à l’islam chiite pratiqué au Liban. La commémoration des martyrs fondateurs, dans le christianisme comme en islam chiite, donne lieu à des rituels d’affliction de part et d’autre de la Méditerranée. C’est en terre chrétienne la semaine sainte, avec ses spectaculaires processions de pénitents en Andalousie, ou, en Calabre, ces cérémonies où les hommes se flagellent les mollets et les cuisses jusqu’au sang. Au Liban les fidèles pratiquent, lors des processions et des prônes qui évoquent les tragiques événements fondateurs, des rituels dolorisants : ils se flagellent avec des chaînes, se frappent la poitrine avec les paumes des mains, voire se lacèrent le cuir chevelu avec un sabre. Dans le monde chrétien comme en islam chiite, des pièces de théâtre (mystères du Moyen Âge, ta’zie) ont été composées pour représenter le martyre du sauveur. Rituels chiites et chrétiens présentent donc un air de famille (Bromberger, 1979). Cette sensibilité au martyre dans les traditions religieuses méditerranéennes est à l’arrière-plan des manifestations laïques qui célèbrent les héros locaux ou nationaux tombés pour la juste cause. C’est le cas en Algérie. Toutes ces remarques peuvent paraître bien réductrices et caricaturales, éloignées des formes de la vie moderne et de la mondialisation qui l’enserre. Ne s’agit-il pas d’une Méditerranée perdue ? Les auteurs cependant nuancent leurs analyses et les insèrent dans le contexte spécifique où elles prennent sens. Dans leur généralité, elles offrent, malgré tout, une base de départ, un cadre comparatif et évolutif. Après une période faste, couronnée par un ouvrage de synthèse récapitulant les acquis (Davis, 1977), vint le temps des remises en cause. Plusieurs anthropologues (dont Michael Herzfeld, 1980, Josep Llobera,1986, Joao de Pina-Cabral,1989…) critiquèrent de façon radicale l'érection de la Méditerranée en « regional category » en fustigeant le caractère artificiel de l'objet, créé, selon eux, pour objectiver la distance nécessaire à l'exercice légitime de la discipline et qui s'abriterait derrière quelques thèmes fédérateurs fortement stéréotypés. À ces critiques virulentes venues des centres européens ou américains de l’anthropologie, se sont jointes celles d'ethnologues originaires des régions méditerranéennes, pour qui la référence à la Méditerranée est imaginaire et suspecte, et dont les travaux sont ignorés ou regardés de haut par les chercheurs formés à l’école britannique. Ce sentiment négatif a été d’autant plus accusé sur les rives méridionale et orientale de la Méditerranée que la mer qui, à différentes périodes, reliait est devenue un fossé aussi bien sur le plan économique que politique. Diverses initiatives et prises de position scientifiques ont donné un nouvel élan, dans les années 1990-2000, à l’anthropologie de la Méditerranée. Colloques et ouvrages (par exemple Albera, Blok, Bromberger, 2001) rendent compte de cette nouvelle conjoncture. On se garde désormais plus qu’avant de considérer le monde méditerranéen comme une aire culturelle qui présenterait, à travers le temps et l’espace, des caractéristiques communes stables. Au plus parlera-t-on d’un « air de famille » entre les sociétés riveraines de la mer en raison de contextes écologiques similaires, d’une histoire partagée, de la reconnaissance d’un seul et même Dieu. Cette perspective mesurée rejoint le point de vue de Horden et Purcell (2000), auteurs d’un ouvrage important tirant un bilan critique de l’histoire du monde méditerranéen. Pour eux, qui combinent points de vue interactionniste et écologique, la Méditerranée se définit par la mise en relation par la mer de territoires extrêmement fragmentés, par une « connectivity » facilitée par les Empires. Le titre énigmatique de leur livre, The Corruptive Sea, « La Mer corruptrice », prend dès lors tout son sens. Parce qu’elle met en relation, cette mer serait une menace pour le bon ordre social et pour la paix dans les familles. Cette proximité entre sociétés différentes qui se connaissent fait que le monde méditerranéen s’offre comme un terrain idéal au comparatisme « à bonne distance ». C’est sous le sceau de ce comparatisme raisonné que s’inscrivent désormais les travaux les plus convaincants, qu’ils se réclament explicitement ou non de l’anthropologie de la Méditerranée (voir sur la nourriture Fabre-Vassas, 1994, sur la parenté Bonte éd., 1994 , sur la sainteté Kerrou éd., 1998 et les traditions religieuses, sur les migrations et les réseaux Cesari, éd., 2002, sur le cosmopolitisme Driessen, 2005) Tantôt les recherches soulignent les proximités (Albera, 2005, 2009, Dakhlia, 2008, Dakhlia et Kaiser, 2011), tantôt elles les relativisent (Fernandez Morera, 2016, Bromberger, 2018), tantôt elles insistent sur les aspects conflictuels (Chaslin, 1997). Une autre voie est de considérer le monde méditerranéen, non pas comme un ensemble fait de similarités et de proximités mais comme un espace fait de différences qui forment système. Et ce sont ces différences complémentaires, s’inscrivant dans un champ réciproque, qui permettent de parler d’un système méditerranéen. Chacun se définit, ici peut-être plus qu’ailleurs, dans un jeu de miroirs (de coutumes, de comportements, d’affiliations) avec son voisin. Les comportements alimentaires, les normes régissant l’apparence vestimentaire et pileuse, le statut des images… opposent ainsi des populations revendiquant un même Dieu (Bromberger, 2018).
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Dissertations / Theses on the topic "Christianisme – Afrique – 20e siècle"

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Mensah, Adjévi Hobli. "Religions en contact en Afrique noire : cultes anciens/cultes nouveaux chez les Peda du sud du Togo." Clermont-Ferrand 2, 2000. http://www.theses.fr/2000CLF20013.

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Abstract:
Cette recherche est axée sur l'analyse des faits religieux, anciens et contemporains, chez les Peda du sud du Togo. Elle a pour objectif d'étudier le système religieux traditionnel Peda, tel qui'il se présente aujourd'hui à travers les rites, croyances, symboles et conduites des acteurs religieux. Son ambition est d'expliquer la cohérence et la permanence de ce système et son impact sur les représentations culturelles et les pratiques sociales. Elle souhaite aussi mettre en évidence l'évolution des croyances et pratiques religieuses des Peda depuis l'avénement du christianisme au Togo, montrer les influences réciproques entre la religion traditionnelle et le christianisme et exposer l'apparition des nouveaux mouvements religieux. L'adoption du christianisme après la colonisation, motivée par une idéologie de progrès calquée sur celle de l'Occident contraint les Peda à se tourner vers des institutions sociales inadaptées à leur spiritualité. Du décalage entre l'attachement à une philosophie de la vie héritée de l'ancestralité et l'aliénation produite par l'évangélisation sont nés de nouveaux comportements religieux. Et la perte d'emprise de la religion traditionnelle sur une partie de la société s'est accentuée, s'accompagnant d'une religiosité flottante. Cette étude veut rendre compte des problèmes sociologiques et psychologiques que pose l'affrontement entre le christianisme et la religion traditionnelle en Afrique et souhaite conduire à une meilleure compréhension des comportements religieux actuels des Africains
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Gangnat, Émilie. "Une histoire de la photographie missionnaire à travers les archives de la Société des missions évangéliques de Paris (1880-1971)." Paris 1, 2011. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01581647.

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Abstract:
Dans le contexte missionnaire, parfois mise au service de l'évangélisation, la photographie est principalement diffusée auprès des chrétiens occidentaux afin de les informer des progrès de l' oeuvre. Constitué entre les années 1880 et 1971, le fonds photographique de la Société des missions évangéliques de Paris (SMEP) a été développé pour répondre aux besoins de la mission protestante française. A travers son étude iconographique et plastique, et l' examen de sa diffusion, cette recherche se propose d' analyser les liens qui existent entre mission chrétienne et photographie. Elle souligne la façon dont l'image est associée au texte et mise au service de la propagande missionnaire. Elle met aussi en évidence une historicité propre à la photographie missionnaire qui se développe en trois temps. En proposant un regard original de l' Occident sur l' Afrique, la photographie missionnaire nous permet de mieux comprendre la formation de l'identité donnée à l'Autre à travers l’image
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Lock, Etienne. "Identité africaine et catholicisme : problématique de la rencontre de deux notions à travers l'itinéraire d'Alioune Diop, 1956-1995." Thesis, Lille 3, 2014. http://www.theses.fr/2014LIL30018/document.

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Abstract:
Le XIXe siècle en Afrique noire était non seulement marqué par la l'initiative de la colonisation occidentale, mais aussi par la mission de christianisation. A partir de ce moment jusqu'à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, l'identité africaine signifiée par un mode de vie particulier était définie en opposition aux valeurs chrétiennes. Il était donc impossible d'être chrétien et Africain en même temps. C'est ainsi que beaucoup d'Africains chrétiens s'occidentalisèrent et rejetèrent leurs coutumes considérées comme les œuvres du mal. Dans le contexte colonial, ceci était considéré comme normal.Après la Deuxième Guerre Mondiale, les intellectuels africains initièrent beaucoup de mouvements pour affirmer l'identité africaine: ce fut le commencement de l'émancipation culturelle et politique. Un de ces mouvements fut la Société Africaine de Culture, un mouvement intellectuel fondé par Alioune Diop et se situant dans le prolongement de Présence Africaine qui avait déjà rassemblé des intellectuels africains, antillais et européens. Alioune Diop devint alors le leader de l'émancipation culturelle de l'Afrique.En se consacrant à la figure d'Alioune Diop, la thèse souligne l'importance de la biographie intellectuelle, comme méthode de réflexion en histoire africaine. Elle y est présentée comme une approche qui permet de saisir des aspects qui peuvent échapper à l'intérêt accordé aux événements. Une autre caractéristique de cette réflexion est la place accordée à des archives non organisées et aux interviews dans un travail scientifique. La thèse soutient donc qu'il y a une dimension de l'engagement d'Alioune Diop qui, bien que moins connue, constitue une clé de compréhension de sa vie et de son œuvre. Cet intellectuel africain était en effet attentif à la religion et tout particulièrement au christianisme. Il considérait cette religion comme une réalité qui en Afrique pouvait soutenir le changement de nombreuses situations, pour permettre à ses peuples de trouver leur place dans le monde moderne. Ainsi, dans tous les événements qu'il organisa, la religion chrétienne eut une place particulière. Comme le combat d'Alioune Diop consistait à restaurer la dignité africaine au moyen de la culture, le catholicisme, en tant qu'une expression du christianisme alors portée par la culture occidentale essentiellement, avait une place importante dans ses réflexions. La thèse soutient que l'émancipation de l'identité africaine était aussi une émancipation du christianisme en contexte africain, et donc du catholicisme. Elle démontre que le catholicisme dans sa situation actuelle, comme religion africaine, est largement tributaire de l'engagement d'Alioune Diop et des intellectuels qu'il était parvenu à rassembler autour de lui. Cependant, dans le but de comprendre ceci, certaines questions apparaissent importantes: quel est l'exacte contribution d'Alioune Diop dans la correction des dérives de la rencontre entre identité africaine et catholicisme? Comment s'exprime cette rencontre dans un contexte postcolonial? Quels éléments donnent une signification à l'africanisation du catholicisme au XXe siècle? Toutes ces questions structurent l'orientation de ce travail et ouvrent à de nombreux aspects de l'identité africaine à travers d'importants événements comme les deux congrès des écrivains et artistes noirs (Paris et Rome), les deux festivals mondiaux des arts nègres (Dakar et Lagos), les colloques organisés par Alioune Diop avec d'autres intellectuels africains. Il y a aussi une mise en exergue de certaines questions en rapport avec la religion chrétienne: parmi elles, les plus importantes sont: l'œcuménisme, le dialogue entre les religions de l'Afrique en rapport avec la personnalité africaine et l'héritage colonial et postcolonial
The 19th century in Sub-Saharan Africa was not only marked by the setting up of the European colonialism, but also by the Christian gospel preached in all the colonized territories. From this time until after the World War II, African identity which means the expression of the way of life of the Africans had been considered as an opposite to the Christian values. Clearly, it appeared impossible to be Christian and African at the same time. So, many African Christians had become Occidentalized and rejected their customs as the work of the devil. In a colonial context, this was considered as normal.After the World War II, African intellectuals initiated a lot of movements, in order to restore the African identity in all the issues concerning African peoples: this was the beginning of the emancipation, culturally and politically. One of the most important of those movements was African Society of Culture, an intellectual movement funded by Alioune Diop and situated onward of the movement “Présence Africaine” which had already gathered African, West Indian and European intellectuals. Alioune Diop became practically the leader of the African emancipation in the 20th century. The PhD dissertation, by focusing on the African intellectual Alioune Diop, emphasizes the importance of the biography, put in French “biographie intellectuelle”, as a method in African history. It is presented as a manner to study the African past in order to get to know this past in a way which appears different but very important to discover some details not covered through methods based on events. Another feature of this reflection is the capacity it gives to consider non organized archives and interviews in a scientific work
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Landron, Olivier. "Le renouveau communautaire dans le christianisme français depuis le concile Vatican II." Montpellier 3, 2002. http://www.theses.fr/2002MON30038.

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Iroko, Abiola Félix. "Les Cauris en Afrique Occidentale : du 10e au 20e siècle." Paris 1, 1988. http://www.theses.fr/1988PA010567.

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Abstract:
Les cauris, coquillages marins, appartiennent à la famille des cyprées. Ils sont de deux espèces : la cypraea annulus et la cypraea moneta. Leur aire de distribution est le domaine indo-pacifique. Vers 2000 ans avant J. -C. , ils servaient déjà comme monnaie en Asie, avant leur adoption par l’Afrique occidentale aux alentours du 10e siècle après J. -C. Du 10 au 16e siècle, juifs et arabes étaient pratiquement les seuls a les acheminer de l'océan indien en Afrique subsaharienne, notamment en Afrique de l'ouest. A partir du 16e siècle surtout, les nations européennes s'intéressèrent au commerce des cauris qu'ils ramenèrent de l'océan indien sur les côtes ouest-africaines où ils étaient échangés contre des produits de cru, notamment les esclaves noirs destines a la mise en valeur des plantations américaines. Ils les utilisent également comme lest dans leur navire, à la place du sable. Du 10 au 20e siècle, l’Afrique occidentale a utilisé les cauris dans maints domaines de la vie quotidienne : comme monnaie, objets de culte, de pharmacopée, support matériel de messages épistolaires et de pratiques divinatoires, des a jouer, etc. . . ; les esclaves noirs du nouveau monde ont recréé, à partir des cauris, des aspects du contexte matériel et conceptuel qui était le leur avant leur transplantation dans les Amériques. Le principal enseignement de cette thèse est que l'utilisation des cauris par les populations de l’Afrique de l'ouest a été a l'origine de grandes transformations qui ont valeur de progrès : grâce à eux, il a existé un système bancaire en Afrique précoloniale ; la numération a connu dans la plupart des groupes socio-culturels un développement sans équivalent : dans les sociétés qui n'ont pas utilisé les cauris comme monnaie, le traitement de différentes maladies a fait des progrès grâce à eux. Ils ont été a l'origine d'une profonde transformation des mentalités et des attitudes collectives. La circulation des cauris en tant que monnaie était règlementée avec soin par les coutumes ou le pouvoir royal. Ils étaient un puissant instrument d'administration. Au début du XXe siècle, commence, avec la colonisation, une véritable politique de démonétisation des cauris qui ont, presque partout sauf en de rares endroits, fini par perdre leur valeur monétaire ; néanmoins, les autres usages sont toujours d'actualité. Aucun autre coquillage, marin ou terrestre, n'a connu en Afrique noire une importance comparable à celle des cauris.
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Saaïdia, Oissila. "Catholiques et musulmans sunnites, discours croisés, 1920-1950, approche historique de l'altérité religieuse." Lyon 2, 2001. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2001/saaidia_o.

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Abstract:
Au lendemain de la première guerre mondiale, la domination européenne commence à être remise en cause dans le monde arabo-musulman et en particulier en Egypte et au Maghreb. Au même moment, les missions catholiques font le constat de leur impuissance à obtenir des conversions parmi les musulmans. Dans ce contexte, les discours tenus par les responsables religieux tentent de prendre en compte la nouvelle donne sans pour autant rompre avec le passé. Ce travail s'efforce de repérer les acteurs dont l'autorité n'est pas contestée au sein de leur confession : al-Azhar, le mouvement réformiste autour du Manar, pour l'islam sunnite, congrégations religieuse (dominicains, jésuites et pères blancs) et autorités romaines en ce qui concerne le catholicisme. Une seconde partie s'intéresse plus particulièrement au regard porté par les milieux missionnaires à travers leurs publications et leurs archives privées. Enfin, une troisième partie analyse l'approche musulmane sunnite du christianisme à partir de la revue al-Manar, celle de l'Université d'al-Azhar et d'un cours magistral dispensé par un professeur reconnu de cet établissement. Ces regards croisés éclairent la tentative inédite de dialogue qu'invente en 1941 une association au Caire qui regroupe l'élite musulmane et chrétienne, les Frères de la pureté. Ces années, décisives pour la recomposition des relations inter-religieuses, mettent déjà en évidence les problèmes nés d'un dialogue fondé essentiellement sur la comparaison des doctrines.
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Shongedza, Ignatiana. "L' évolution de l'éducation des femmes en Afrique australe." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010572.

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Abstract:
Notre recherche est une tentative de donner une vision d'ensemble de l'évolution de l'éducation des femmes dans une zone anglophone qui est peu connue en France, l'Afrique australe, comprenant huit pays étudiés : l'Afrique du Sud, le Botswana, le Malawi, le Mozambique, le Lesotho, le Swaziland, la Zambie et le Zimbabwe. Elle nous a permis d'établir les valeurs sociales et culturelles liées à l'éducation des femmes d'Afrique australe à travers l'histoire (avant, pendant et après la colonisation), de présenter les différentes politiques éducatives de chaque pays (scolarisation, formation, alphabétisation, hygiène). Nous avons pu démontrer les corrélations qui existent entre l'éducation des femmes d'Afrique australe et différents paramètres démographiques : migrations, fécondité, éducation des enfants, mariage et santé.
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Montarsolo, Yves. "L'Eurafrique, contrepoint de l'idée d'Europe : le cas français, des origines aux négociations des Traités de Rome." Aix-Marseille 1, 2006. http://www.theses.fr/2006AIX10096.

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Abstract:
L'Eurafrique fut toujours le contrepoint de l'idée d'Europe, tant avec les projets de Valois, Sarraut ou Darlan, typiques d'une "colonisation tardive" qu'avec celui de Senghor, synonyme d'une intégration égalitaire de l'Afrique française dans la CPE. En effet, si la "Vieille Eurafrique" de ces trois personnages fut associée aux aléas européens des années trente et quarante, la "Jeune Eurafrique" du député africain resta liée, dans les années 1952-1953, aux travaux de l'Assemblée "ad hoc". Cette dernière servit de bouc émissaire : accusée de servir les intérêts du "colonialisme second" des Européens et de ceux des "nationalismes indigènes", Bidault la sacrifia. Pourtant, elle resurgit à la conférence de Venise car Defferre avait réussi à en faire une exigence française. Les Six devaient prendre la relève du FIDES, assurer le développement de l'outre-mer et bâtir un marché eurafricain. Il échoua, mais son projet initial aboutit à l'Association des TOM au Marché commun.
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Deville-Danthu, Bernadette. "Education physique, sport, colonisation et décolonisation dans les anciens territoires français d'Afrique occidentale : 1920-1965." Aix-Marseille 1, 1995. http://www.theses.fr/1995AIX10019.

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Abstract:
L'implantation des pratiques physiques et sportives en a. O. F. Est une volonte du colonisateur qui apres la premiere guerre mondiale avait encourage l'education physique et la preparation militaire dans le but d'ameliorer la condition physique des populations autochtones, de les discipliner, d'en faire de loyaux sujets. Mais cette volonte se heurta tres rapidement a l'indifference et au rejet des africains qui preferaient les jeux sportifs et en particulier le football. Les pratiques physiques en a. O. F. Furent alors un terrain d'affrontement entre les colonises et l'administration coloniale. Cette derniere etait opposee au developpement d'un mouvement sportif tel qu'en metropole car elle attribuait aux clubs et aux rencontres sportives un potentiel subversif non negligeable. Cependant, sous la pression internationale et la volonte des africains, elle dut ceder progressivement : n'ayant pu imposer la preparation militaire avant guerre, elle voulut diffuser l'athletisme apres guerre, discipline sportive jugee tres educative. Mais le football devint le sport roi et dans les annees cinquante, un veritable mouvement sportif se developpa en a. O. F. A partir des structures heritees du gouvernement de vichy. Les premiers champions apparurent, principalement en athletisme, en boxe et en football, que la france selectionna avec reticence. Quelques grandes competitions furent developpees a l'echelle de la federation. Mais il fallut attendre les independances et la reduction du mouvement sportif d'a. O. F. Aux cadres nationaux pour voir se developper, avec l'aide de la cooperation francaise, un sport a l'echelle du continent africain.
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Mationgo, MBoungou Sébastien. "L'actualité de l'utopie en Afrique noire contemporaine." Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010724.

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Abstract:
Cette these essaie de reeclairer dans un sens positif et constructiviste, a la fois la singularite du discours utopique mille neuf cent trente a mille neuf cent quatre-vingt-dix, ainsi que l'originalite des concepts specifiques et fondament ecoles de connaissance ou de pensee qui marquent l'invention de ce discours. Elle circonscrit comme champ d'investigatio l'afrique noire contemporaine d'expression francaise, et ce, par la mediation des livres qui composent l'esprit classiqu d'ou se tissent pour celle-ci, ses figures d'heritage. L'utopie dont il est question ici, a pour forme d'expression inte joyeuse. En s'appuyant sur le concept blochien de "non-encore-etre", cette these tente de dechiffrer dans le dynamisme m voies multiples d'esperance, les passages obscurs tant du point de vue des methodes que des buts. Cette tache de reecrit l'investigation de l'interiorite tragique africaine contemporaine. Et la question reflexive et existentielle qui demeure celle qui consiste a liberer l'utopie africaine dite de l'indocilite creatrice et joyeuse, de la capture dogmatique et m l'interiorite tragique. L'enjeu qui se dessine ici, sous la forme d'un etre-ensemble a reconstruire, c'est celui d'un ti l'intellectualite africaine contemporaine. L'existence meme de cette communaute deja existante et a venir, met en crise metaphysique des conditions de possibilites de l'identite africaine, et s'ouvre a elle dans sa modalite utopique reeclai historique, compossible a la rigueur nouvelle d'une pensee sereine de l'alterite. D'ou l'acces gnoseologique et ethico-e memes. Ici, se delegitime d'elle-meme, la vieille et obscure alterite enveloppee de volonte de puissance et d'interiorit l'europe. Les chaines qui tombent ici, sont celles des agirs de la gnose ethnographique -en general- et des confortation metaphysiques des verites anthropologico-culturelles. L'espoir ouvert qui se fait jour dans cette these porte sur l'esqu meditant de facon rigoureuse sur l'autre de nous-memes, s'ouvre par la raison a la positivite lampadaire des tissages hu intrinsequement dignes d'un heritage permanent et compossible des fronts libres de la pensee. Cette philosophie en esqui l'ethique de ce qui pourrait se nommer : le convivialisme des liens elargis. On retrouve remembree ici, une vieille espe africain : l'impossibilite existentielle de ne pas penser l'amitie dans un cadre serein avec l'autre de nous-memes
This thesis attempts to throw a positive and constructive light on the singularity of the utopian discourse of contempor black africa from 1930 to 1990, and, at the same time, on the originality of the specific fundamental concepts of this d and the influence of the schools of knowledge which mark its invention. The domain of investigation is limited to that o contemporary, french-speaking black africa as expressed through the medium of the books which are the foundation of the classical spirit of african intellectual life and in which its heritage is woven. The utopia discussed here is expressed creative and joyous sense of disobedience. By drawing on the blochian concept of the "non-encore-etre" this thesis attem an analysis of the dynamism of this utopia and the multiple forms of hope which it offers. This task of critical re-writ opens an investigation of the tragic interiority of contemporary africa : the existential question which underlies the t concerns the liberation of the african utopia, which we have described as a creative and joyous sense of disobedience, f dogmatic and metaphysical captivity in the logic of this tragic interiority. The stakes which are thus defined, in the f common identity which is still to be rebuilt, are nothing less than the possibility of constructing an intellectual comm contemporary africa. The very existence of this emergent community puts into a crisis of legitimacy the quasi-metaphysic question of the possibility of an african identity, and offers itself, through the modality of an enlightened utopia, as resumption of the historical initiative, now newly possible, of a serene conception of alterity. Hence the gnoseological ethico-existential access to the other of ourselves. Here is revealed the illegitimacy of the old, obscure alterity whic based on the will to power and on the tragic interiority which linked europe and africa. The chains which fall here are the actions of ethnographic gnosis, in general, and, more specifically, of the dogmatic and metaphysical confrontations anthropologico-cultural truths. The hope which is offered in this thesis concerns the sketch of a joyous philosophy whic
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More sources

Books on the topic "Christianisme – Afrique – 20e siècle"

1

God, hope, and history: Jürgen Moltmann and the Christian concept of history. Macon, Ga: Mercer, 1988.

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Bulliet, Richard W. La civilisation islamo-chrétienne: Son passé, son avenir. Paris: Flammarion, 2006.

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Pray TV: Televangelism in America. London: Routledge, 1990.

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Julien, Eileen. African novels and the question of orality. Bloomington: Indiana University Press, 1992.

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éd, Cahen Michel, and Bonin Hubert éd, eds. Négoce blanc en Afrique noire: L'évolution du commerce à longue distance en Afrique noire du 18e au 20e siècle. Saint-Denis: Société française d'Histoire d'Outre Mer, 2001.

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6

Bruce, Steve. Pray T. V. Routledge, 1990.

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Book chapters on the topic "Christianisme – Afrique – 20e siècle"

1

Van Schuylenbergh, Patricia. "Colonisation belge en Afrique centrale : Aperçu historiographique (1910-2020)." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 87–118. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127892.

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"Notices relatives aux territoires africains sous autorité allemande : Afrique Orientale Allemande (1890-1916) / Notices relatives aux archives d’origine allemande produites dans le cadre de l’occupation de la Belgique durant la Deuxième Guerre mondiale et concernant des sociétés belges actives au Congo et au Ruanda-Urundi." In Belgique, Congo, Rwanda et Burundi : Guide des sources de l’histoire de la colonisation (19e-20e siècle), 1967–72. Turnhout: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.stmch-eb.5.127896.

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