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1

Lagny, Michèle. "Le film et le temps braudélien." Cinémas 5, no. 1-2 (February 28, 2011): 15–39. http://dx.doi.org/10.7202/1001002ar.

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Abstract:
À partir de deux exemples, Les Camisards d’Allio (1972) et Stavisky de Resnais (1974), cet article analyse, à travers le fonctionnement de la temporalité filmique, la compétence particulière du cinéma à rendre l’enchevêtrement des temps de l’histoire, dont Braudel a montré le premier la complexité. Le film peut soit, comme Braudel, conserver une forme épique et globale au récit historique, soit, comme le voudrait Rancière, suggérer à l’historien comment raconter « autrement » l’histoire fragmentaire et morcelée d’un monde contemporain qui n’a plus de grands récits mythiques fondateurs.
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2

Maule, Rosanna. "Une histoire sans noms : les femmes et le concept d’auteur dans le cinéma des premiers temps." Cinémas 16, no. 1 (June 12, 2006): 35–58. http://dx.doi.org/10.7202/013050ar.

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Abstract:
Résumé Depuis longtemps au coeur des études cinématographiques, le concept d’auteur reste encore largement inexploré dans les études portant sur le cinéma des débuts. Ce décalage s’explique par le fait que, dans le cinéma des premiers temps, le rapport établi entre sujet et pratique filmique était différent, parce qu’étranger aux stratégies d’énonciation et de réception qu’on trouvera plus tard dans le cinéma « institutionnel ». La plupart des travaux publiés sur ce sujet analysent des figures auctoriales empruntées aux arts « majeurs ». Cependant, le cinéma des premiers temps invite à situer l’auteur dans des contextes culturels différents, et ce projet est primordial pour les féministes étudiant le rôle des femmes dans le cinéma des premiers temps.
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3

Thérien, Gilles. "La Lisibilité au cinéma." Cinémas 2, no. 2-3 (March 8, 2011): 107–22. http://dx.doi.org/10.7202/1001080ar.

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Abstract:
L’article se propose de faire la part théorique entre la réception au cinéma et la lisibilité. Dans un premier temps, ce sont les différents sens de réception qui sont évoqués et leur contexte d’application théorique. On retient en gros une esthétique de la réception et une sociologie de la réception. À cela viendra s’opposer la lisibilité au cinéma. Il s’agit de montrer que tout film doit d’abord être lu comme un objet singulier et complexe qui ne peut être réduit à son résumé mais doit tenir compte du fonctionnement particulier de son imagerie, ce qui déjà distingue considérablement le cinéma de la littérature à laquelle ont d’abord été appliquées les théories de la réception. En ce sens, divers processus de lisibilité sont décrits de façon à restituer au film une lisibilité qui lui est propre. Ces processus s’appuient tous sur l’acte de lecture spécifique qu’oblige le cinéma.
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4

Castro, Teresa. "Les couleurs ornementales du cinéma des premiers temps." 1895, no. 71 (December 1, 2013): 19–31. http://dx.doi.org/10.4000/1895.4766.

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5

ARISTARCO, Guido. "La ville, les possibilités du cinéma et les films." Sociologie et sociétés 8, no. 1 (September 30, 2002): 91–116. http://dx.doi.org/10.7202/001013ar.

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Abstract:
Résumé " Le film est essentiellement différent des autres arts parce que, dans sa vision du monde, espace et temps se confondent : le premier en revêtant un caractère presque temporel, le second, jusqu'à un certain degré, un caractère spatial ". Aristarco après avoir analysé les spécificités du cinéma fait appel à cet art pour chercher " une solution aux problèmes culturels d'existence et de notre situation dans la crise que traverse la ville. L'auteur s'interroge sur les films dits " populaires " qu'il voit comme " le pendant de la spéculation immobilière du cinéma ". Aristarco conclut : " Dans sa forme " épique ", le cinéma peut collaborer (...) au problème de l'urbanisme, à l'explication la plus approfondie possible de la crise qui envahit l'espace de la ville, l'homme et son habitat (...) ".
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6

Larrue, Jean-Marc. "Le cinéma des premiers temps à Montréal et l’institution du théâtre." Cinémas 6, no. 1 (February 25, 2011): 119–31. http://dx.doi.org/10.7202/1000962ar.

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Abstract:
Cet article propose un tableau précis des liens étroits qui unirent le cinéma des premiers temps à l’institution théâtrale montréalaise existante. À cette époque, le cinéma joue un rôle central dans les stratégies d’émergence du théâtre francophone qui s’éloigne alors du théâtre anglophone, son rival issu de la ville de New York, tout autant qu’il joue un rôle d’attrait dans un contexte de vive concurrence. Non seulement cela donne-t-il lieu à des scènes mixtes (théâtrales et cinématographiques), mais également à une interprétation plus profonde de deux arts qui aboutit aux premières manifestations d’un cinéma-théâtre québécois.
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7

Christol, Florent. "Le gore, modalité virale du cinéma hollywoodien." Cinémas 20, no. 2-3 (January 7, 2011): 97–117. http://dx.doi.org/10.7202/045146ar.

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Abstract:
À partir d’une série de films post-hollywoodiens qui font de l’irruption de l’abject un motif privilégié, cet article se propose de mettre en évidence l’existence d’une modalité « virale » qui, se propageant à partir d’un film souche (The Masque of the Red Death de Roger Corman, sorti en 1964), allait infiltrer et contaminer nombre de films à venir. Afin d’éclairer l’émergence de cette modalité, l’auteur revient dans un premier temps sur la logique socioculturelle de décontamination amenée par le puritanisme et sur les thèses développées par Jean Baudrillard sur l’apparition de virus dans un milieu aseptisé. La modalité virale est ainsi présentée comme le symptôme d’une culture qui, à force d’éliminer les « souillures », génère ses propres pathologies. Dans un deuxième temps, cette modalité virale est saisie dans sa dimension métaphorique, comme reflet des soubresauts sociopolitiques qui ébranlent l’Amérique des sixties. À partir de thèses de René Girard, l’apparition du virus dans le cadre du cinéma américain est appréhendée dans sa dimension démystificatrice. Au terme de ce travail, il s’agit de voir en quoi cette modalité peut être envisagée comme une pathologie typiquement filmique. Le film d’horreur « viral » enregistrerait, en effet, la lutte entre un virus et le corps filmique dans lequel il se développe.
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8

Fitzgerald, Lara, and Christopher James Keep. "Barry Lindon démembré : la perte de l’histoire dans le film de Stanley Kubrick." Cinémas 4, no. 1 (December 16, 2010): 23–33. http://dx.doi.org/10.7202/1000108ar.

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Abstract:
Le film Barry Lyndon (1975) de Stanley Kubrick est peut-être l’oeuvre le moins appréciée du directeur américain. Reconnu pour sa valeur artistique, les critiques, néanmoins, condamnèrent Barry Lyndon pour l’opulence exorbitante du décor et pour « sa technique trop perfectionnée ». La présente étude propose de réexaminer l’excès de la méthode de Kubrick. Dans un premier temps, les auteurs établissent de quelle façon Kubrick s’abstient des conventions du cinéma réaliste afin de révéler l’altérité radicale du passé, et, par ailleurs, comment son obsession du détail historique finit par nous éloigner et non pas nous rapprocher du XVIIIe siècle. Étant donné cette impossibilité de re-présenter l’histoire dans la plénitude du présent, les auteurs examinent, dans un deuxième temps, comment Kubrick montre la violence du signe cinématographique. Dans Barry Lyndon, Kubrick opère une « inversion catastrophique » où la proximité de l’événement à l’écran si familière du cinéma réaliste est ressentie comme une intrusion étrange, comme une violente pénétration de l’espace.
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9

Lelièvre, Samuel. "Enjeux interprétatifs de la féminité dans l’écriture de Souleymane Cissé." Cinémas 11, no. 1 (October 26, 2007): 61–76. http://dx.doi.org/10.7202/024834ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Dans tout le cinéma de Cissé se retrouvent deux thèmes : l'Afrique et la femme. Si bien qu'on pourrait considérer que s'y développent des thèses panafricaines ou féministes. Mais à eux seuls ces cadres idéologiques ne permettent pas de saisir la relation qu'entretiennent, selon le Malien, l'Afrique et la femme avec la féminité. Dans un premier temps, cette relation sera abordée à travers la description concrète que fait le cinéaste de la condition des femmes africaines; dans un second temps, elle sera identifiée au passage à un discours plus abstrait du cinéaste sur la condition féminine de l'Afrique. On comprendra ce passage dans la mesure où on aura d'abord considéré l'écriture cinématographique de Cissé sur la féminité comme porteuse d'un sens métaphorique.
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Scheppler, Gwenn. "Tintin et le spectre de Totor." Cinémas 20, no. 1 (February 17, 2010): 135–59. http://dx.doi.org/10.7202/039273ar.

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Abstract:
Résumé L’oeuvre d’Hergé, auteur de Tintin, s’est constituée parallèlement à la période de transition entre le cinéma muet et le parlant. Le cinéma des premiers temps, auquel fut exposé Hergé, n’était d’ailleurs pas aussi silencieux qu’on l’a prétendu puisque, par ses bonimenteurs, il participait à la tradition orale. Constatant que le passage vers un cinéma parlant n’est pas une simple évolution, mais bien une mutation du média cinématographique, on cherche donc à retracer selon quelles modalités la bande dessinée a pu être influencée par cette transformation. Dans cette optique, l’auteur du présent article scrute les traces de l’influence du cinéma oral sur les premiers travaux d’Hergé, et analyse l’évolution de ces travaux à l’aune de la complexité du passage au cinéma parlant. Il montre ainsi dans quelle mesure l’héritage du cinéma oral se manifeste dans les premiers albums de Tintin.
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Gaudreault, André, and Germain Lacasse. "Fonctions et origines du bonimenteur du cinéma des premiers temps." Cinémas 4, no. 1 (December 16, 2010): 132–47. http://dx.doi.org/10.7202/1000116ar.

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Abstract:
Le bonimenteur, cet « explicateur de vues » en direct, est devenu une figure quasi mythique de l’histoire du cinéma des premiers temps. Il avait, semblait-il, laissé peu de traces. Tant et si bien que, sur le plan international, on ne l’a redécouvert qu’il y a une quinzaine d’années. Mais des recherches plus poussées ont permis de découvrir que, sur le plan national, il avait eu une importance plus grande qu’ailleurs. Il s’agira ici d’effectuer un survol historique des origines du bonimenteur, tout en tentant d’expliquer le rôle et les fonctions de cet adjuvant narratif dont on commence enfin à comprendre qu'il fut essentiel, du moins au Québec, pour l’exploitation locale de films qui, presque sans exception, venaient d’ailleurs.
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Sirois-Trahan, Jean-Pierre. "Réception spectatorielle des nouvelles images et cinéma des premiers temps." Sociétés & Représentations 9, no. 2 (2000): 143. http://dx.doi.org/10.3917/sr.009.0143.

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Srour, Némésis. "Les salles de cinéma en Inde, un territoire à conquérir : perspectives historiques." Cinémas 27, no. 2-3 (May 11, 2018): 31–50. http://dx.doi.org/10.7202/1045366ar.

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Abstract:
Les recherches sur l’histoire du cinéma en Inde, et en particulier celles sur le cinéma des premiers temps, attestent d’un manque cruel de sources, d’archives et de conservation des films. Comment documenter alors une histoire peu traitée, celle des salles de cinéma, sur un territoire aussi vaste ? Cet article, nullement exhaustif, cherche à mettre en évidence, de façon diachronique, les grands enjeux de l’exploitation en Inde. Des débuts du cinéma jusqu’à nos jours, une problématique de fond persiste : la conquête des zones rurales et de ses publics. À cette opposition entre territoires urbains et territoires ruraux se superpose, en ville, celle de la distinction entre différentes classes de cinémas. Variant dans la forme, ces analyses montrent toutefois une permanence de problèmes structurels, entre pénurie de salles et fortes disparités territoriales. Le déploiement des multiplexes, et de ses avatars en taille réduite, les miniplexes et les valueplexes, semble ouvrir la brèche des potentialités des marchés ruraux.
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Jonassaint, Jean. "Le cinéma de Sembène Ousmane, une (double) contre-ethnographie." Ethnologies 31, no. 2 (March 9, 2010): 241–86. http://dx.doi.org/10.7202/039372ar.

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Abstract:
Dans un premier temps, cet article brosse brièvement une biographie intellectuelle de Sembène Ousmane pour faire ressortir les rapports entre sa production et sa trajectoire de sujet sénégalais, Ousmane Sembène de son vrai nom, devenu le romancier et cinéaste Sembène Ousmane. Du même coup, à partir d’une lecture de l’évolution des titres de ses romans du français au wolof, du Docker noir (1956) à Xala (1973), il tente d’expliquer son passage de l’écrit à l’écran. Dans un deuxième temps, ce texte montre la cohérence interne de l’oeuvre cinématographique de La Noire de... (1966) à Moolaadé (2004), en passant par Mandabi (1968), Ceddo (1976) ou Camp de Thiaroye (1988). Ces films qui, tous, mettent en scène une crise suite à une rencontre avec l’Autre (ou d’autres), plus spécifiquement l’irruption d’un ou des éléments étrangers dans un corps social jamais un mais multiple, divers dans un procès de confrontation/transformation. Cette double contre-ethnographie, portrait de Soi et portrait de l’Autre, ni Soi ni l’Autre n’étant un, mais multiple, divers/divisé est une poéthique (poétique et éthique) liée à un engagement personnel de l’écrivain-cinéaste pour une redéfinition de l’image de l’Afrique sur les écrans. En ce sens, son travail se fait notamment, du moins implicitement, contre un certain cinéma ethnographique dont Jean Rouch a été la figure de proue avec des documentaires comme Les Maîtres fous (1954) ou Mammy Water (1966).
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Russell, Catherine. "L’historiographie parallaxiale et la flâneuse : le cinéma pré- et postclassique." Cinémas 10, no. 2-3 (October 26, 2007): 151–68. http://dx.doi.org/10.7202/024820ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'historiographie parallaxiale renvoie à la manière par laquelle le cinéma des premiers temps apparaît lorsqu'il est considéré selon la perspective de la fin du XXe siècle. Le présent article traite des parallèles qu'on peut établir entre la première décennie du cinéma et la diversification des médias visuels dans les deux dernières décennies du siècle. Ces similitudes ont été théorisées par les chercheuses féministes Miriam Hansen, Anne Friedberg et Giuliana Bruno, qui ont soutenu que les sphères publiques caractéristiques de ces deux périodes ont engendré une forme de spectatorat très différente de celle que proposait la « théorie du dispositif ». La diversité des médias et des positions de lecture, ainsi que les diverses architectures de réception, semblent renvoyer à un certain modèle de modernité et à un regard qui offre un espace au spectatorat féminin. Le présent article tente de résumer et de rassembler ces théories en insistant particulièrement sur leur valeur à titre d'historiographie du cinéma des premiers temps.
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Musser, Charles. "Le cinéma américain des premiers temps et ses modèles de production." Vingtième Siècle, revue d'histoire 46, no. 1 (1995): 45–64. http://dx.doi.org/10.3406/xxs.1995.3153.

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Carou, Alain, and Matthieu Letourneux. "Le cinéma des premiers temps et le « discours médiatique » du crime." 1895, no. 75 (March 1, 2015): 30–47. http://dx.doi.org/10.4000/1895.4953.

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Barnard, Timothy. "L’opérateur de vues animées : deus ex machina des premières salles de cinéma (suite et fin 1)." Hors dossier 13, no. 1-2 (April 26, 2004): 187–210. http://dx.doi.org/10.7202/007962ar.

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Abstract:
Résumé Dans cet article, l’auteur se penche sur le rôle du projectionniste au temps des premières salles de cinéma, en s’appuyant notamment sur les manuels de projection de l’époque. Grande figure oubliée des histoires du cinéma, le projectionniste n’en demeure pas moins, en effet, l’un des intervenants principaux dans le processus global de production des vues. Par ailleurs, la nature particulière du travail qu’il effectue au moment de la consommation des vues ébranle les thèses dominantes sur la narration et la spectature dans le cinéma des premiers temps et exige que l’on redéfinisse la notion même de « production ». Envisageant les vues animées comme de véritables biens de consommation, l’auteur propose enfin une approche historique et théorique qui fait état de l’hétérogénéité et de la diversité des pratiques durant la période sous observation, qui en est une de transformations.
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Vignaux, Valérie. "Georges Sadoul et l’Institut de filmologie : des sources pour instruire l’histoire du cinéma." Acteurs : Sadoul, Francastel et Kracauer 19, no. 2-3 (June 29, 2009): 249–67. http://dx.doi.org/10.7202/037555ar.

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Abstract:
RésuméGeorges Sadoul, connu pour ses ouvrages fondamentaux d’histoire du cinéma et ses écrits en tant que journaliste, exerçait également des activités d’enseignement. Il collabora entre autres à l’Institut de filmologie pendant plus de dix années. Néanmoins, parmi ses archives personnelles conservées par la Cinémathèque française, seule la retranscription d’une conférence est signalée comme correspondant à une leçon donnée à l’Institut de filmologie. Ainsi, malgré la ténuité des traces, le présent article s’efforce de restituer ce que pouvait être l’enseignement de Georges Sadoul. Dans un premier temps, le parcours de l’historien est brièvement rappelé car il contribue à éclairer ou à expliquer les raisons qui ont conduit à sa collaboration avec l’Institut, puis l’étude du document mentionné plus haut, associé à d’autres textes comparables, permet de retracer les tenants pédagogiques et historiographiques spécifiques à son enseignement en filmologie.
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Sánchez Salas, Daniel. "Analyse d’un écho. La trace de l’explicador dans la sonorisation comique des films muets en Espagne (1933-1950) 1." Cinémas 20, no. 1 (February 17, 2010): 67–90. http://dx.doi.org/10.7202/039269ar.

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Abstract:
Résumé L’avènement du parlant en Espagne durant les années 1930-1940 a donné lieu à une expérience singulière : l’adjonction de commentaires comiques à d’anciennes bandes de l’ère du muet. Cette expérience permet d’étudier l’hypothétique présence de l’explicador au sein d’un contexte historique bien différent de celui de ses origines, le cinéma des premiers temps. S’agit-il d’une simple « réapparition » de l’explicador, ou plutôt d’une hybridation qui aurait bénéficié de l’ère nouvelle du parlant ? L’auteur de cet article tente une réponse en explorant deux voies complémentaires d’analyse : d’abord, en menant l’étude des circonstances de l’apparition de ce type de sonorisation, puis en comparant le discours comique produit par cette expérience avec le discours de l’explicador du cinéma des premiers temps. Cette étude s’appuie sur deux cas emblématiques : les Celuloides rancios (1933) de la compagnie Hispano Foxfilm et les courts métrages de la compagnie Exclusivas Arajol, diffusés dans les années 1940.
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Guido, Laurent, and Laurent Le Forestier. "Un cas d’école. Renouveler l’histoire du cinéma comique français des premiers temps." 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, no. 61 (September 1, 2010): 9–76. http://dx.doi.org/10.4000/1895.3828.

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Sirois-Trahan, Jean-Pierre. "Dispositif(s) et réception 1." Cinémas 14, no. 1 (September 9, 2004): 149–76. http://dx.doi.org/10.7202/008962ar.

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Abstract:
Résumé Cet article questionne les liens entre la notion même de dispositif et la problématique de la réception, de même que les rapports à établir entre « théorie du dispositif » (Baudry, Metz) et cinéma des premiers temps. L’auteur montre comment un certain nombre d’aménagements permettraient l’utilisation du concept de « dispositif » en vue d’une étude heuristique des débuts du cinéma. À cet égard, il développe les notions de « dispositif de réception » et de « dispositif de production », en vue d’avancer de nouvelles propositions sur la transformation du langage cinématographique.
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Gunning, Tom. "Le Cinéma d’attraction : le film des premiers temps, son spectateur, et l’avant-garde1." 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, no. 50 (December 15, 2006): 55–65. http://dx.doi.org/10.4000/1895.1242.

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Vignaux, Valérie. "De quelques signes de main dans le cinéma d’animation français des premiers temps." 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, no. 59 (December 1, 2009): 96–107. http://dx.doi.org/10.4000/1895.3920.

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Cherubini, Jean-Marie. "Les identités de genre dans le cinéma des premiers temps : problématiques d’une approche." 1895, no. 79 (June 1, 2016): 8–31. http://dx.doi.org/10.4000/1895.5162.

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Véronneau, Pierre. "Cinéma ambulant et implantation urbaine : l’activité de William Shaw dans le contexte des Cantons-de-l’Est." Cinémas 6, no. 1 (February 25, 2011): 47–80. http://dx.doi.org/10.7202/1000959ar.

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Abstract:
Le projectionniste ambulant William Shaw, qui a sillonné pendant plus de 30 ans la région des Cantons-de-l’Est, devient dans cette étude le riche cas d’espèce d’une étude plus large des projections ambulantes et des rapports entre le monde rural et urbain autour du cinéma des premiers temps. La ville est alors un lieu de sédentarisation pour les exploitants et un lieu d’arrêt pour les projectionnistes ambulants, tandis que la foire agricole joue le rôle d’interface entre la ville et la campagne et devient le lieu de rencontre privilégié avec le cinéma. Au cours de l’histoire, les projections ambulantes développent des pratiques particulières de plus en plus en décalage avec les pratiques urbaines. Le cas le plus flagrant est la permanence de la projection muette alors que le cinéma devient parlant.
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Cameron, Douglas M. "La représentation des frontières dans le cinéma contemporain : l’imbrication des cultures dans El Mariachi." Analyses 29, no. 3-4 (April 12, 2005): 147–61. http://dx.doi.org/10.7202/501177ar.

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Abstract:
Douglas M. Cameron démontre, avec le film El Mariachi (1992) de Robert Rodriguez, qu'une nouvelle sorte de héros est apparue dans les films réalisés pour l'Amérique latine: le héros postmoderne d'aventures, qui devient écrivain et transcende sa culture sans la perdre. Le film, qui a bien des points communs avec les autobiographies fictionnelles de la littérature contemporaine (celles de Cortàzar, Fuentes ou de certains romanciers québécois), démontre comment un mariachi devient écrivain après avoir été remplacé par les synthétiseurs des cantinas du Mexique. Le mariachi survit au traumatisme causé par la perte de son idéal (emblématique de la vie le long de la frontière américano-mexicaine) en abandonnant l'institution de la cantina et en orientant sa carrière vers un autre espace collectif, le cinéma. Le changement est une réussite du fait que le mariachi a accepté la technologie afin de devenir le narrateur d'un film dont il est le sujet, afin de devenir (probablement) le premier cinéaste- mariachi. Le film, ainsi, offre au public une image du changement qui valorise l'expérience régionale, communautaire, mais qui s'ouvre en même temps à la discussion, aux débats et à la reconfiguration.
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Kessler, Franck. "Regards en creux. Le cinéma des premiers temps et la construction des faits spectatoriels." Réseaux 18, no. 99 (2000): 73–98. http://dx.doi.org/10.3406/reso.2000.2196.

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Raynauld, Isabelle. "Le cinématographe comme nouvelle technologie." Cinémas 14, no. 1 (September 9, 2004): 117–28. http://dx.doi.org/10.7202/008960ar.

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Abstract:
Résumé La « découverte » qui fonde l’avènement d’un média soulève souvent un plus grand intérêt que le contenu transmis par le nouveau média lui-même. En portant son attention sur le cinéma et le multimédia, cet article évalue les impacts de l’avènement d’une technologie nouvelle, en privilégiant une approche comparative et diachronique. On y propose une comparaison entre films des premiers temps et productions interactives récentes, assortie d’une réflexion sur la transparence et l’opacité des médias.
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Le Faou, Lénaïg. "Penser le cinéma des premiers temps dans les années 1940 et 1950 : l’étude des « origines »." 1895, no. 70 (June 1, 2013): 38–53. http://dx.doi.org/10.4000/1895.4673.

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Perraton, Charles, and Nathalie Bouchard. "Montrer, dire et saisir l’espace dans le cinéma des premiers temps : le cas du Great Train Robbery." Cinémas 5, no. 3 (February 28, 2011): 9–27. http://dx.doi.org/10.7202/1001144ar.

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Abstract:
Les deux auteurs retracent ici, à travers une analyse serrée du film The Great Train Robbery (1903), quelles stratégies ont été déployées par le réalisateur E. S. Porter et quelles compétences ont été exigées des spectateurs dans la création d’un nouvel espace filmique. Au coeur des mouvances stylistiques traversant le cinéma des premiers temps, le film émerge du croisement de deux systèmes cinématographiques : l’esthétique de l’attraction et l’esthétique de la narration. Cette hybridité encourage une liberté d’expérimentation de la part du créateur et des spectateurs, elle ouvre à la création d’un contexte encyclopédique inédit et à la production de nouvelles règles de lecture de l’espace filmique.
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Russell, Catherine, and Josée Blanchet. "Jouer aux Indiens : In the Land of the Headhunters ou War Canoes." Cinémas 6, no. 1 (February 25, 2011): 33–46. http://dx.doi.org/10.7202/1000958ar.

Full text
Abstract:
Le film d’Edward Curtis réalisé en 1915 et relatif aux Indiens kwakiutls de l’île de Vancouver est analysé dans la perspective du cinéma des premiers temps (« primitif ») et de l’avant-garde. Le film original, In the Land of the Headhunters, est recontextualisé et comparé à Nanook of the North. Le film restauré, In the Land of the War Canoes, est considéré dans la perspective de l’ethnographie du spectatorat et de la réappropriation, par les aborigènes, des textes colonialistes. En tant qu’allégorie du « paradigme sauvage », l’ethnographie de Curtis est considérée à l’intérieur d’un discours postmoderniste sur la représentation culturelle.
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Chemartin, Pierre, and Nicolas Dulac. "La femme et le type : le stéréotype comme vecteur narratif dans le cinéma des attractions." Cinémas 16, no. 1 (June 12, 2006): 139–61. http://dx.doi.org/10.7202/013054ar.

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Abstract:
Résumé Le cinéma des premiers temps avait largement recours aux stéréotypes, comme en témoigne l’abondance, au sein des vues animées, de figures féminines figées et simplistes. Plutôt que de l’appréhender seulement comme reflet d’une subjectivité, ainsi que le propose l’approche féministe traditionnelle, le stéréotype mériterait également d’être abordé en termes d’efficacité, dans la mesure où il permet d’utiliser un savoir commun au service d’une narrativité minimale. Foncièrement monstratifs, les stéréotypes n’en agissent pas moins à la façon de « vecteurs narratifs ». En cela, ils constituent l’une des matières premières du régime des attractions, inscrivant par-là même les vues animées dans la tradition des institutions de divertissement populaire.
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Lelièvre, Samuel. "Histoire, mémoire, et légitimation politique dans les cinémas africains1." Revue de l'Université de Moncton 40, no. 1 (October 5, 2010): 5–31. http://dx.doi.org/10.7202/044604ar.

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Abstract:
L’objectif de cet article est de rappeler l’importance du ‘rapport à la mémoire’ dans les médias cinématographiques et audiovisuels d’Afrique subsaharienne par opposition aux usages souvent idéologiques qui ont pu être fait d’un ‘rapport à l’histoire’. Dans un premier temps, il s’agit de revenir sur des tentatives de représentations de l’histoire telles qu’elles ont pu apparaître chez des réalisateurs comme Ousmane Sembène, Med Hondo ou Haile Gerima, en considérant ces représentations dans le cadre de discours de légitimation politique. Dans un second temps, cet article veut situer ces discours de légitimation politique au sein de la littérature critique et théorique qui a pu apparaître à propos des cinémas africains depuis les années 70; il s’agit alors de déterminer les limites qui, dans un cadre théorétique englobant un questionnement d’ordre ‘méthodologique-épistémologique’ aussi bien qu’esthétique, doivent être nécessairement assignées à ces discours de légitimation politique. Finalement, dans un troisième temps, il s’agit de revenir sur un certain nombre de films africains réalisés à partir des années 90 dans lesquels un ‘rapport à la mémoire’ est engagé. En conclusion, on considère que, dans les discours sur ces médias, le danger a toujours été plutôt du côté de la légitimation politique de tel ou tel rapport à l’histoire que du côté d’une relation symbolique et esthétique à la mémoire.
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Guido, Laurent. "De l’« opéra de l’oeil » aux « films à sensation » : musique et théâtralité aux sources de l’horreur cinématographique." Cinémas 20, no. 2-3 (January 7, 2011): 13–40. http://dx.doi.org/10.7202/045143ar.

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Abstract:
L’auteur s’interroge sur la théâtralité à l’oeuvre dans le cinéma d’horreur à partir de ses origines scéniques. Il s’attache plus particulièrement aux rapports entre le film et diverses attractions spectaculaires du xixe siècle comme la fantasmagorie ou le mélodrame, en prenant en considération les pratiques comme les discours théoriques liés aux fonctions qu’y occupe la musique. Le texte central Komposition für den Film d’Hanns Eisler et Theodor Adorno, trop souvent réduit à une critique unilatérale de la culture de masse, sert ici de fil conducteur à la réflexion. Différentes stratégies musicales sont identifiées et discutées au regard de leur importance historique et de leurs implications esthétiques : le leitmotiv, la dissonance et la répétition. Si l’article se concentre sur les premières années du xxe siècle — du cinéma des premiers temps au film classique hollywoodien —, il lance tout de même quelques pistes de recherche pour aborder la période postérieure aux années 1960. La singularité profonde d’une « nouvelle horreur », telle qu’on peut la définir en fonction de la réception du public de l’époque, est ainsi partiellement nuancée par sa mise en perspective historique.
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Kolovos, Nikos. "Ο Ορφέας του σκότους (Στον κινηματογράφο του Ζαν Κοκτό)." Σύγκριση 11 (January 31, 2017): 35. http://dx.doi.org/10.12681/comparison.10765.

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Abstract:
Lévénement le plus important de la «vie» d' Orphée fut sa descente dans l'Hadès, à laqualle il se résolut, demeuré inconsolable après la mort de sa bien- aimée Eurydice. La «mort» d' Orphée est le second événement extraordinaire de sa vie. Jean Cocteau s'est limité essentiellement à la description du premier événement pour tourner ses films «Orphée» (1950) et «Le Testament d'Orphée» (1959). Pour Cocteau, le cinéma était poétique par excellence, «un véhicule de poésie», selon ses propres termes. Car l'inventif langage audiovisuel lui donnait la possibilité de dépasser la réalité et de se mouvoir librement dans l'irréalité. Cocteau a vu le mythe secondaire mais universel d'Orphée sous deux angles: a) dans son film «Orphée», comme une série d'ombres rayonnantes et une réunion de corps éphémères. Mais certains d'entre eux traversent le temps du monde d' En-Haut tandis que d'autres se meuvent entre celui-ci et le monde d'En-Bas. Un film qui pourrait être lu comme un étrange film noir mais aussi comme un récit chargé de la parole poétique de Cocteau. b) dans son film «Le Testament d'Orphée», comme une possibilité pour Cocteau lui-même de s'incarner en Orphée. En un poète sensible, mélancolique et inquiet errant entre le monde des Enfers et le monde des vivants, prêt à léguer à l'avenir des poètes sa noble et sage expérience. Par ces deux textes filmiques, Cocteau «a usurpé ou s'est approprié» le mythe d'Orphée. Il en a fait un radeau poétique pour façonner la mer d'ombres qui unit les deux univers, celui d'En-Haut et celui d'En-Bas.«Orphée» est à maints égards une version parodique qui transgresse le mythe archétype. «Le Testament d'Orphée» vient en interprétation authentique et en post-scriptum «narcissique» au film précédent. Mais il s'inscrit aussi comme une destruction de la relation excentrique de Cocteau avec le cinéma.
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Choko, Maude. "Le travailleur derrière le produit artistique : la protection de « l’artiste » dans ses rapports de travail avec les personnes qui retiennent ses services en vertu de l’interprétation donnée à la Loi sur le statut professionnel et les conditions d’engagement des artistes de la scène, du disque et du cinéma." Les Cahiers de droit 58, no. 1-2 (May 17, 2017): 203–39. http://dx.doi.org/10.7202/1039837ar.

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Abstract:
Dans la foulée de la Recommandation relative à la condition de l’artiste de l’Unesco et à la suite de revendications en ce sens par certaines associations d’artistes, le Québec s’est doté d’un régime législatif encadrant spécifiquement les relations du travail des artistes en 1987, soit la Loi sur le statut professionnel et les conditions d’engagement des artistes de la scène, du disque et du cinéma. Ce régime favorise la représentation collective des artistes visés et la conclusion d’ententes collectives de travail établissant des normes minimales de travail. Il est intéressant de s’attarder à l’interprétation que les instances décisionnelles spécialisées chargées de l’application de la Loi ont donné aux différents éléments influençant le champ d’application de celle-ci. Tant la Commission de reconnaissance des associations d’artistes et des associations de producteurs (CRAAAP), de 1987 à 2009, que la Commission des relations du travail (CRT), de 2009 à 2015, ont eu recours à la théorie de l’interprétation des lois pour justifier leur lecture de l’étendue de la protection de la Loi. La présente analyse de cette jurisprudence vise, dans un premier temps, à mettre en lumière comment ces instances ont défini les objectifs de la Loi. Cela permet, dans un second temps, de porter un regard critique sur les choix interprétatifs qu’elles ont faits lors de l’application de la Loi, tant au niveau de la définition de l’objet visé par celle-ci (le travail artistique) que du sujet visé (l’artiste). Le texte dresse un bilan comparatif entre les approches de la CRAAAP et de la CRT, et la mesure dans laquelle leur interprétation respective permet de rencontrer les objectifs que chaque instance considère être ceux de la Loi, alors qu’un récent remaniement des tribunaux du travail a entraîné un nouveau transfert des compétences pour l’application de la Loi vers le Tribunal administratif du travail depuis janvier 2016.
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Lacasse, Germain. "BELLOÏ, Livio, Le Regard retourné. Aspects du cinéma des premiers temps, Québec/Paris, Nota Bene/Méridiens Klincksieck, 2001, 408 p." Cinémas: Revue d'études cinématographiques 13, no. 1-2 (2002): 213. http://dx.doi.org/10.7202/007963ar.

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Le Forestier, Laurent. "Un tournant du cinéma des premiers temps : le passage à la production de masse chez Pathé entre 1905 et 1908." 1895, no. 37 (July 1, 2002): 5–21. http://dx.doi.org/10.4000/1895.222.

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Yumibe, Joshua. "L’espace de la couleur comme espace de jeu dans la littérature enfantine, le cinéma des premiers temps et les fééries." 1895, no. 71 (December 1, 2013): 33–46. http://dx.doi.org/10.4000/1895.4767.

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Rickman, Gregg. "Review: Une Invention du Diable? Cinéma des premiers temps et religion/An Invention of the Devil? Religion and Early Cinema by Roland Cosandey, André Gaudreault, Tom Gunning." Film Quarterly 46, no. 4 (1993): 62. http://dx.doi.org/10.2307/1213178.

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Lecointe, Thierry. "Courses de taureaux Lumière : une vue hors norme en 1898, chaînon essentiel dans la progression narrative du cinéma des premiers temps ?" 1895, no. 80 (December 1, 2016): 50–77. http://dx.doi.org/10.4000/1895.5238.

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Boukala, Mouloud. "Boire et écrire chez Deleuze, Duras, Bukowski et Chinaski : entre création et transgression." Drogues, santé et société 11, no. 1 (February 7, 2013): 29–47. http://dx.doi.org/10.7202/1013886ar.

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Abstract:
Cet article interroge les liens entre l’acte de boire et celui d’écrire en philosophie (Gilles Deleuze), en littérature (Marguerite Duras et Charles Bukowski) et au cinéma (Barbet Schroeder). Son but est double : d’une part, montrer si la prise d’alcool met en oeuvre, catalyse ou favorise d’une quelconque manière l’acte de création et, d’autre part, examiner comment l’alcool, porté à l’écran, traduit à la fois un état du corps et un aspect d’une identité sociale – acceptée ou marginalisée – selon les contextes géographiques (France et États-Unis). La démarche adoptée, résolument comparative, s’inscrit dans le cadre d’une anthropologie des médias. Cette dernière vise la description puis l’analyse de processus situés à l’intersection du ressenti (perçu, vécu) et du représenté. Cet article examine aussi bien les activités (créatrices et prises compulsives d’alcool) que leurs représentations lors d’une entrevue filmée (L’abécédaire de Gilles Deleuze, 1996), de deux émissions de télévision (Apostrophes, 1984 et 1988) et d’une adaptation cinématographique (Barfly, 1987). Pour chaque auteur abordé, une réflexion autour de la dipsomanie est menée. Elle privilégie les activités créatrices par l’écriture en lien avec la prise d’alcool. Dans un premier temps, l’acte de boire est scruté avec minutie afin d’en dégager certaines spécificités (la quantité, l’évaluation, le sacrifice, l’illusion de la création, la résistance), puis l’étude de ces conduites addictives donne à comprendre comment elles affectent l’ensemble des relations sociales de ces auteurs. Pour chaque corpus étudié, des éléments saillants et des enjeux anthropologiques qui ressortent de ces pratiques éthyliques et créatrices sont mis en lumière en vue d’une analyse comparative.
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Laborderie, Pascal. "Âmes d’enfants, un « film-parabole » représentatif de la propagande solidariste en France dans l’entre-deux-guerres." Hors dossier 22, no. 1 (September 15, 2011): 151–73. http://dx.doi.org/10.7202/1005808ar.

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Abstract:
Âmes d’enfants (Jean Benoit-Lévy et Marie Epstein, France, 1928) est un film engagé traitant des conditions de vie des ouvriers et prônant une plus grande intervention de l’État en matière de logement social, notamment par la construction de cités-jardins. D’un point de vue générique, le film s’inscrit dans la lignée des fables moralisatrices empreintes de réalisme social du cinéma des premiers temps. Il s’en écarte néanmoins par son discours social complexe, qui s’appuie sur un mode de lecture comparable à celui d’une parabole. Conciliant les ambitions du monde de l’éducation populaire et les goûts récréatifs du public, il aménage un espace d’échange entre les classes intermédiaires et le monde ouvrier. Cette tentative d’harmonisation des modes d’appréhension culturelle de divers publics trouve son pendant thématique dans l’engagement pour un modèle de société fondé sur la concorde sociale, qui s’inspire de la philosophie solidariste de Léon Bourgeois et qui fut promu par les gauches radicale et socialiste durant le Cartel des gauches.
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Sopocy, Martin. "Review: Catalogue Pathé des Années 1896 à 1914 by Henri Bousquet; Pathé 1900: Fragments d'une filmographie analytique du cinéma des premiers temps by André Gaudreault." Film Quarterly 48, no. 1 (1994): 40. http://dx.doi.org/10.2307/1212924.

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Dufour, Andrée. "Roland Cosandey, André Gaudreault, Tom Gunning, dir., Une invention du diable? Cinéma des premiers temps et religion. An Invention of the Devil? Religion and Early Cinema, Québec-Lausanne, PUL et Payot Lausanne, 1992, 383 p. 48 $." Études d'histoire religieuse 60 (1994): 152. http://dx.doi.org/10.7202/1007071ar.

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Delage, Christian. "Temps de l'histoire, temps du cinéma." Vingtième Siècle, revue d'histoire 46, no. 1 (1995): 25–35. http://dx.doi.org/10.3406/xxs.1995.3151.

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Lacasse, Germain. "Cent temps de cinéma ou le cinéma dans les temps de l’histoire." Cinémas 5, no. 1-2 (February 28, 2011): 57–67. http://dx.doi.org/10.7202/1001004ar.

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Abstract:
L’histoire du cinéma comporte des rythmes, mais le cinéma lui-même n’est qu’un cycle dans l’histoire de la représentation et de la narration. Envisagé dans une histoire de longue durée, à la manière de Fernand Braudel, le cinéma se révèle comme un art optique automatisé, le dernier médium de la modernité qui s’achève.
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Delage, Christian. "Le premier siècle du cinéma." Vingtième Siècle, revue d'histoire 39, no. 1 (1993): 95–96. http://dx.doi.org/10.3406/xxs.1993.2725.

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Habib, André. "Le temps décomposé." Protée 35, no. 2 (February 5, 2008): 15–26. http://dx.doi.org/10.7202/017463ar.

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Abstract:
Une façon d’aborder « l’imaginaire de la ruine au cinéma » consiste à interroger moins la présence de la ruine au cinéma que la ruine du film en tant que tel et les usages singuliers auxquels elle donne lieu. Cet article se penche sur une « poétique des ruines » contemporaine, à l’oeuvre dans la pratique de plusieurs cinéastes expérimentaux qui explorent les possibilités expressives de la pellicule abîmée ou fragmentée, et sur le singulier « goût de l’archive » qui lui est associé, en insistant tout particulièrement sur un film de Bill Morrison, Light is Calling (2003). L’auteur tente d’analyser la relation entre temps, ruines et cinéma, et de réfléchir aux modalités contemporaines d’une nouvelle mélancolie des ruines.
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