Academic literature on the topic 'Citations anglaise'

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Journal articles on the topic "Citations anglaise"

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Spear, Thomas C. "La plume bifide, le coeur québécois. L’usage de l’anglais chez les écrivains québécois francophones." Globe 4, no. 1 (February 11, 2011): 71–91. http://dx.doi.org/10.7202/1000602ar.

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Abstract:
Le titre de cet essai est tiré d’une campagne provinciale de 1995 dont les objectifs étaient de sensibiliser la population envers les nouveaux citoyens d’origines diverses, tous au « coeur québécois ». Cet essai souligne le caractère bilingue (francophone/anglophone) des auteurs québécois et le recours fréquent à l’anglais dans leurs textes d’une façon beaucoup moins conflictuelle depuis les années 1980. Divers exemples servent à montrer comment les auteurs ont dépassé la notion du Québécois « pure laine ». D’autres citations incorporant des phrases et/ou expressions en anglais (et à propos de la langue anglaise) démontrent une connaissance de cette langue autrefois si ennemie. Plus assurés du statut de la langue « québécoise » depuis la Révolution tranquille, les auteurs sont également plus à l’aise avec l’emploi de l’anglais dans leurs textes. Dans les exemples étudiés ici, nous constaterons que les expressions anglaises utilisées par ces auteurs bifides - au « coeur québécois » - exigent tout de même un lecteur bilingue.
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Partington, Alan. ""Unusuality" and Rhetorical Effect : A Machine-Assisted Investigation of the Language of Newspaper Headlines." Meta 43, no. 3 (October 2, 2002): 454–55. http://dx.doi.org/10.7202/003795ar.

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Abstract:
Résumé On fait ici état d'une étude de 2 500 manchettes tirées de la presse de langue anglaise : les considérations portent sur les mécanismes de modifications de citations et d'expressions toutes faites afin de produire des formulations "inusitées" dans la langue.
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3

Nadeau1, France, Philippe Mongeon, and Vincent Larivière. "Les influences disciplinaires de la criminologie (1991-2014)." Criminologie 51, no. 1 (May 9, 2018): 17–53. http://dx.doi.org/10.7202/1045307ar.

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Abstract:
Au cours de son histoire, la criminologie a été influencée par de nombreuses disciplines. Elle est d’abord marquée, au début du xxe siècle, par la sociologie positiviste aux États-Unis et par la psychiatrie en Grande-Bretagne, avant d’être fortement influencée par des courants critiques issus de la sociologie. Puis, à partir des années 1990, elle s’ouvre à nouveau aux perspectives de différentes disciplines. Basée sur les références citées par un ensemble de revues de criminologie principalement de langue anglaise, cette étude analyse la place qu’y ont occupée les différentes disciplines entre 1991 et 2014. Il en ressort que les articles de criminologie sont de plus en plus interdisciplinaires, avec 65 % des articles de 2014 citant plus de trois disciplines. Au sein de ces articles, la proportion des références occupée par la psychologie est en progression, au détriment des références faites aux sciences sociales et au droit. Lorsqu’on examine les références citées par les revues et l’affiliation de leurs auteurs, on observe que 42 % des revues étudiées ont un profil interdisciplinaire alors que 22 % s’inscrivent dans une perspective sociocriminologique, 22 % sont centrées sur la psychologie et 4 % sur le droit. L’analyse du réseau de citations de ces revues montre enfin que les revues centrales de la discipline ont des influences disciplinaires variées : des revues ancrées dans la criminologie et les sciences sociales y côtoient des revues interdisciplinaires ainsi que des publications centrées sur la psychologie.
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Verley, Patrick. "La révolution industrielle anglaise: une révision (Note critique)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 46, no. 3 (June 1991): 735–55. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1991.278973.

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Abstract:
Dans sa leçon inaugurale à Cambridge M. M. Postan notait que «the penalty of being sufficiently concrète to be real is the impossibility of being sufficiently abstract to be exact » . Entre la description de chaque arbre, voire de chaque feuille, et l'explication de la forêt, E. A. Wrigley, qui fait cette citation, a délibérément choisi la seconde. Les années 1960 avaient vu l'éclosion de plusieurs synthèses, qui se voulaient alternatives à la seule interprétation véritablement structurée, celle de Marx, mais qui, avec d'autres mots, posaient le problème du développement aux mêmes niveaux de l'analyse économique: le plan macro-économique, l'approche en termes de facteurs de production — capital et travail — et de genèse du progrès technologique. Les travaux de Rostow, Bairoch, Landes, logiques et structurés, apportaient aux historiens la satisfaction de croire avoir compris ce qu'avait été la révolution industrielle. Dans l'optimisme suscité par l'atmosphère de croissance économique de cette décennie, correspondant avec un siècle d'écart à celle de la période de gestation du Capital, qui théorisait les mécanismes d'un accroissement illimité des forces productives, ces approches se fixaient comme but de définir les préalables nécessaires à l'industrialisation; une fois le processus démarré, sa continuation paraissait tellement évidente qu'il n'était pas besoin de l'analyser. Sans que soient ici évoqués les problèmes de l'industrialisation continentale et extra-européenne, indissociables pourtant de l'étude du cas britannique, mais qui ne sont pas l'objet de l'ouvrage de E. A. Wrigley, la multiplication des recherches depuis une vingtaine d'années a conduit à une totale remise en cause des belles évidences d'antan; et l'ambiance plus morose des années de dépression économique ne pouvait que faire naître des questions sur le processus de croissance et faire perdre au schéma de référence keynésien, voire marxiste, sa séduction.
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Cornut, Jérémie, and Stéphane Roussel. "Canadian Foreign Policy: A Linguistically Divided Field." Canadian Journal of Political Science 44, no. 3 (September 2011): 685–709. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423911000540.

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Abstract:
Abstract. This study analyses the French-language scholars' place in Canadian foreign policy. More precisely, it measures and compares their productions in French and in English (output) and the citations to this output (impact) in works by English-language scholars. The output is measured using the Canadian Foreign Relations Index. Then a representative sample of bibliographies taken from books and articles written by English-language scholars and published between 1997 and 2007 is analyzed. Various conclusions on the place of French and French-language scholars in the field are drawn from these data, including their small contribution to Canadian foreign policy and the absence of citations to works in French by English-language scholars. Political implications of the results are discussed.Résumé. Cette analyse examine la place des chercheurs francophones dans l'étude de la politique étrangère canadienne. Plus précisément, elle mesure et compare leurs publications en français et en anglais (la production) et les citations tirées de cette production (l'incidence) que l'on retrouve dans les travaux des chercheurs anglophones. La production est mesurée à l'aide du Canadian Foreign Relations Index. Puis un échantillon représentatif de bibliographies de travaux anglophones publiés entre 1997 et 2007 est analysé. Ces données permettent de tirer diverses conclusions sur la place du français et des chercheurs francophones dans ce champ d'étude. Il apparait, notamment, que la contribution des francophones au domaine de la politique étrangère canadienne est réduite et que les chercheurs anglophones ne citent pratiquement jamais les travaux en français. Les auteurs dégagent, en conclusion, les conséquences politiques de ces résultats.
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Roux-Faucard, Geneviève. "Intertextualité et traduction." Meta 51, no. 1 (May 29, 2006): 98–118. http://dx.doi.org/10.7202/012996ar.

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Abstract:
Résumé Le sens d’un texte ne se constitue pas uniquement dans sa relation à l’auteur et au lecteur (lecteur implicite, lecteur réel), mais aussi dans sa relation à d’autres textes. Rencontrées dans un texte à traduire, les traces intertextuelles (citations, allusions, références) posent un problème spécifique. Cette difficulté est particulièrement sensible lorsque le texte cité par l’original n’est pas familier à la culture d’accueil. Le traducteur peut se voir amené à intervenir par des pratiques explicitatives, risquant alors de modifier l’effet produit ou visé. Une autre solution consiste à privilégier la fonction du lien intertextuel ou à effectuer une adaptation. Par le jeu de l’intertextualité, chaque texte prend sa place à l’intérieur d’un vaste réseau. La seconde partie de l’article montre que le texte traduit y a, lui aussi, sa place, qui n’est pas la même que celle de son texte directeur. Le traducteur doit accepter cette donnée qui, loin de limiter la valeur d’une traduction, fait d’elle un texte vivant, autonome, et constitue peut-être la condition d’existence d’une « grande » traduction. Cette étude s’appuie sur différents exemples empruntés à la littérature allemande (Kafka, Fontane, Zweig), avec plusieurs traductions françaises et anglaises.
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7

Bühler, Nolwenn. "Procréation médicalement assistée." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.043.

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Abstract:
L’expression « procréation médicalement assistée (PMA) » est utilisée pour désigner les techniques médicales permettant la manipulation des gamètes – ovules et sperme – hors du corps humain dans le but d’engendrer un nouvel être humain, et, par extension, le domaine de la médecine qui a pour but de traiter l’infertilité. Les techniques de base comprennent l’insémination de sperme, la fécondation in vitro (FIV), ainsi que la congélation de gamètes ou d’embryons. En ouvrant les processus biologiques de la procréation à l’intervention médicale et à la contribution biologique de tiers – par exemple dans le don de sperme, d’ovules ou la grossesse pour autrui (GPA) – elles ouvrent des possibilités inédites de division du travail reproductif. On parle également de Nouvelles Techniques de Reproduction (NTR) (Tain 2015) ou de Techniques de Reproduction Assistée (TRA) en référence au terme anglais Assisted Reproductive Technologies (ART) (Courduriès et Herbrand 2014) pour désigner ces techniques. Depuis la naissance du premier « bébé éprouvette » en 1978 en Grande-Bretagne, leur liste ne cesse de s’étendre, marquant ainsi une technologisation croissante des processus de création de la vie humaine, mais également sa normalisation et standardisation (Franklin 2013a), ainsi que son inscription dans un marché globalisé de la procréation en pleine expansion (Waldby et Mitchell 2006). Dès ses débuts, l’anthropologie s’est intéressée aux différentes représentations qui entourent la création de la vie, ainsi qu’à son organisation sociale et à sa régulation. Cet intérêt s’est manifesté dans l’étude de la parenté, domaine ayant occupé une place centrale dans la discipline au point qu’il en est devenu un emblème. Dès les travaux de Lewis Henry Morgan (1871) sur les systèmes de parenté et la distinction qu’il établit entre systèmes classificatoires et descriptifs, on trouve les traces d’un questionnement sur ce qui fonde les liens de parenté et la place des liens de sang. Comment comprendre, toutefois, que la contribution physiologique masculine à la procréation n’apparaisse pas comme nécessaire au fondement de la paternité chez les Trobriandais étudiés par Malinowski (2010) ? Cette question qui a généré un débat de plusieurs décennies sur l’« immaculée conception (virgin birth) » et la supposée ignorance des peuples dits « primitifs » quant aux « faits de la vie (facts of life) » (Delaney 1986 ; Franklin 1997) montre à quel point l’étude de la parenté s’est construite sur une distinction implicite entre les faits biologiques de la procréation et les catégories sociales et culturelles de la parenté. Cette distinction se retrouve également au cœur de la célèbre analyse de Levi-Strauss (1949) sur les interdits et prescriptions qui régulent le choix de partenaires reproductifs et qui marqueraient le passage même de la nature à la culture. L’anthropologue américain Schneider (1984) a critiqué la distinction implicite entre parenté sociale et biologique qui sous-tend l’étude classique de la parenté, en montrant à quel point elle est façonnée par le modèle de parenté prévalant aux États-Unis. Cependant, l’apport majeur des travaux anthropologiques plus anciens à l’étude de la procréation médicalement assistée est de montrer que le biologique n’est jamais suffisant à faire des enfants, ou en d’autres termes que la procréation est toujours assistée, et que les systèmes de parenté et l’institution du mariage figurent parmi les premières techniques de reproduction permettant de diriger la transmission de la substance reproductive (Franklin 2013a). En suivant la critique de Schneider et sous l’impulsion des études féministes qui se développent dans les années 1970, les études de la parenté prennent alors une nouvelle orientation plus critique, en se rapprochant des études sur le genre, et en mettant la reproduction au cœur de la recherche anthropologique. L’essor de la procréation médicalement assistée auquel on assiste dans les années 1980 contribue grandement à ce renouvellement en raison des questions qu’elle pose pour ces domaines d’études. On distingue généralement deux grandes phases dans l’orientation des recherches sur la PMA (Thompson 2005). Ces techniques ont, dans une première phase qui couvre grosso modo les années 1980 et le début des années 1990, suscité beaucoup de débats. Elles ont été fortement critiquées tant dans les milieux féministes français (Testard 1990 ; Lesterpt et Doat 1989), qu’anglo-saxons (Spallone et Steinberg 1987). La critique produite dans cette première phase peut se lire à la lumière des débats générés par le mouvement féministe des années 1970 sur les inégalités entre les hommes et les femmes, la problématique médicalisation du corps des femmes et plus généralement l’invisibilisation de leur travail reproductif (Tabet 1985). Elle met notamment en avant le risque d’exploitation et de contrôle du corps des femmes soumises à l’injonction normative à la maternité (Rouch 2002). Elle vise également la fausse promesse faite par la PMA d’apporter une réponse médicale à l’infertilité, tout en dissimulant des taux de succès très bas et en parlant d’infertilité « de couple », alors que toutes les interventions ont lieu sur le corps des femmes (Van der Ploeg 1999). Si la critique féministe demeure présente, une attention croissante à la complexité de la PMA et de son vécu se développe dans une deuxième phase qui couvre grosso modo la deuxième moitié des années 1990 et les années 2000. En effet, alors que le recours à la PMA s’est de plus en plus normalisé, ces techniques ne cessent d’interroger les catégories de parenté et les représentations de la création de la vie qui semblent le plus tenues pour acquises. Ce qui est mis en avant c’est la dimension paradoxale de la PMA, notamment en raison de sa capacité à reproduire du même et imiter la nature, tout en produisant de l’entièrement nouveau (Franklin 2013b ; McKinnon 2015). Par exemple, ces techniques sont mises au service de la parenté génétique, et tendent à la naturaliser, mais la dénaturalisent également en mettant en lumière le travail nécessaire à sa réalisation (Thompson 2005). Ce faisant, elles déplacent et brouillent les frontières entre nature et culture, privé et public, local et global, passivité et agentivité, offrant ainsi un terrain fertile au développement de la réflexion anthropologique. Actuellement, deux grandes lignes de recherche se développent. La première – les New Kinship Studies ou Nouvelles Études de la Parenté – poursuit le questionnement de l’anthropologie de la parenté. Ces études cherchent, d’une part, à comprendre comment les techniques de procréation médicalement assistée troublent la distinction entre nature et culture et contribuent à transformer la notion même du biologique (Strathern 1992 ; Franklin 2013a). Elles investiguent, d’autre part, l’émergence de nouvelles configurations familiales rendues possibles par ces techniques. Elles s’interrogent notamment sur les transformations des conceptions de la maternité, de la paternité, et du modèle familial bilatéral, en se penchant sur les expériences vécues des couples ou sur les appareils juridiques qui les encadrent (Porqueres i Gené 2009). La division de la maternité entre ses dimensions éducative, gestationnelle et génétique, rendue possible par le don d’ovules et la GPA, est particulièrement discutée (Kirkmann 2008). La question de l’anonymat des donneurs de sperme et donneuses d’ovules (Konrad 2005) et de la ressemblance (Becker et al. 2005) font aussi l’objet d’analyses socio-anthropologiques, ainsi que, de manière émergente, les communautés de « frères » et « sœurs » qui peuvent se constituer autour d’un même donneur (Edwards 2015). De plus, tout un pan de la recherche s’intéresse aux manières de faire famille dans les couples gays, lesbiens, et trans, et à la manière dont le modèle de famille hétéronormatif est renforcé ou au contraire, contesté et transformé (Mamo 2007 ; Herbrand 2012). Une deuxième lignée de recherche – l’étude sociale de la reproduction – se focalise plutôt sur la médicalisation de l’expérience reproductive et de l’infertilité et sur ses conséquences pour les femmes. Elle s’interroge sur sa stratification (Ginsburg et Rapp 1991) et met en lumière l’imbrication de processus situés à différents niveaux allant du corporel – niveau cellulaire, génétique – au culturel, historique et structurel – comprenant par exemple l’État, le marché, et la religion (Almeling 2015). Adoptant une perspective globale et sortant du cadre national, tout un pan de recherche s’intéresse à la circulation des gamètes, des donneurs et donneuses, des couples en recherche d’enfants et à la constitution d’un marché et d’un « tourisme » de la reproduction (Waldby et Mitchell 2006 ; Kroløkke 2012). Cherchant à remédier à la focalisation générale des études sur les femmes, un nombre croissant de recherches se penche sur les expériences masculines de l’infertilité et de la PMA (Inhorn 2004). Finalement, suivant le développement récent de techniques permettant de congeler des ovules, d’anticiper la baisse de la réserve ovarienne et de préserver la possibilité d’avoir un enfant génétique dans le futur, on assiste à l’émergence d’études focalisant sur la biomédicalisation de l’infertilité liée à l’âge (Martin 2010 ; Baldwin et al. 2014 ; Bühler 2014 ; Waldby 2015). Alors que la technologisation de la procréation ne cesse de s’étendre, comme le montre la récente naissance d’un bébé conçu grâce à une technique de transfert mitochondrial, appelée couramment « FIV à trois parents » (génétiques) (Couzin-Frankel 2016), elle continue à aiguiser la réflexion anthropologique en offrant un « miroir au travers duquel nous pouvons nous regarder » (traduction de la citation en épigraphe, Franklin 2013a :1).
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Dissertations / Theses on the topic "Citations anglaise"

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Oziol, Nathalie. "La langue des condamnés dans le théâtre shakespearien." Thesis, Montpellier 3, 2020. http://www.theses.fr/2020MON30020.

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Abstract:
Aux XVIème et XVIIème siècles, il existait une tradition du dernier discours prononcé par le condamné à mort sur l’échafaud en Angleterre. On attendait de lui un aveu en bonne et due forme, par lequel il devait exprimer sa repentance et demander pardon au roi. Cette pratique s’inscrivait dans un cadre idéologique politique mais aussi religieux, sur l’art de bien mourir (ars moriendi). Or, s’il convenait de bien parler, dans son lit de mort comme sur l’échafaud, il s’avère qu’au théâtre, en revanche, la langue du condamné shakespearien s’affranchit des règles que l’autorité voudrait lui imposer. Il entre alors dans un rapport de force avec le pouvoir, usant de sa langue comme arme verbale. En outre, le théâtre est un lieu où l’on voit se construire une relation de l’individu à la mort en général et à sa mortalité en particulier. En se donnant à voir comme un martyr et une victime de violence illégitime, le condamné reprend la main sur sa mort. Si le discours du condamné permet de créer une véritable esthétique de l’horreur sur scène, il révèle en même temps le désir d’être commémoré par la postérité. La langue du condamné est donc un pré-texte aux discours à venir, elle est le point de départ d’une mythologie des discours de condamnés
In the early modern English period, the convicted were expected to deliver a proper speech on the scaffold. They were supposed to confess and repent for their crimes and to beg for the king’s forgiveness. This tradition was part of a wider political and religious ideology on the art of dying, or ars moriendi. But the Shakespearean condemned characters go against the rules, so that they get involved in a physical as well as a verbal conflict with the authority. Their speech and their tongue become weapons in a struggle for life and survival. Besides, the theatre stage is the place where the individual builds a relationship with death in general, with one’s own mortality in particular. As they represent themselves as martyrs and victims of illegitimate and immoral violence, the condemned characters regain control on their destiny. The last dying speech creates a real esthetics of dramatic horror around death, but it also suggests the character’s desire to be remembered and commemorated through ages. The language used by the condemned is a pre-text as it originates a mythology of last dying speeches
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Books on the topic "Citations anglaise"

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Pewdiepie. Ce livre vous aime. Vanves: Hachette heroes, 2015.

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2

Davidson, Lance. The ultimate reference book: The wit's thesaurus. New York: Avon Books, 1994.

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3

Wylie, Betty Jane. Men!: Quotations about men, by women. Toronto: Key Porter Books, 1993.

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4

The concise Columbia dictionary of quotations. New York: Columbia University Press, 1989.

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5

Elizabeth, Knowles, ed. The Oxford dictionary of phrase, saying, and quotation. New York: Oxford University Press, 1997.

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6

Reflections for busy educators: 180 affirmations to help you through the school year. Thousand Oaks, Calif: Corwin Press, 1995.

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7

Colombo, John Robert. New Canadian quotations. Edmonton, Alta: Hurtig, 1987.

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8

John, Bartlett. Bartlett's familiar quotations. Boston, Mass: Little, Brown, 2002.

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9

John, Bartlett. Bartlett's familiar quotations: A collection of passages, phrases, and proverbs traced to their sources in ancient and modern literature. Edited by Kaplan Justin. Boston: Little, Brown, 2002.

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10

John, Bartlett. Bartlett's Familiar Quotations. New York: Little, Brown and Company, 2002.

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More sources

Book chapters on the topic "Citations anglaise"

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Popineau, Joëlle. "Chapitre 12 Wenn wir uns selbst fehlen, fehlt uns doch alles : la notion de manque dans la citation de J. W. von Goethe. Étude comparative linguistique des traductions françaises et anglaises." In L’expression du manque à travers les langues, 343–80. De Gruyter, 2021. http://dx.doi.org/10.1515/9783110727609-012.

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