Academic literature on the topic 'Civilisation et archéologie du proche-orient ancien'

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Journal articles on the topic "Civilisation et archéologie du proche-orient ancien"

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Leibovici, Jacques. "Les télécommunications au premier millénaire av. J.-C. au Proche-Orient ancien." Cahiers d'histoire 31, no. 2 (November 6, 2013): 113–32. http://dx.doi.org/10.7202/1019286ar.

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Abstract:
L’information dans l’Antiquité circulait par courrier, mais aussi par transmissions de signaux sonores ou lumineux. Après une étude documentaire des récits attestant la transmission d’informations par de tels médias au Levant aux premiers millénaires av. J.-C., l’auteur a démontré que les logiciels actuels de conception des réseaux de télécommunications peuvent suggérer des sites-relais dans le cadre étudié. Les limites techniques adéquates sont prises en compte. Il en a déduit des modèles de réseaux. Ces hypothèses ont été validées sur le terrain. Cette approche, par une synthèse originale de l’archéologie et des télécommunications, a permis de définir une méthode de préprospection en archéologie.
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Bromberger, Christian. "Iran." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.108.

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Abstract:
Entre les mondes arabe (Irak, États du Golfe…), turc (Turquie, Azerbaïjan, Turkmenistan) et européen (par la trouée du Caucase et de la mer Caspienne), l’Iran forme un ensemble distinct dont la population est fortement attachée à sa spécificité. Cette forte originalité au sein du Moyen-Orient, les Iraniens la doivent à leurs origines symbolisées par leur langue, le persan, une langue indo-européenne, à la doctrine religieuse qu’ils professent en majorité, le chiisme, qui s’oppose au principal courant de l’islam, le sunnisme, enfin, paradoxalement, à leur forte occidentalisation due à un courant d’échanges continus depuis la fin du XIXème siècle et que n’a pas interrompu la Révolution islamique. Ces trois constituants de l’identité iranienne sont contrebalancés par des facteurs de division de la société, plus ou moins accusés selon les époques. Le premier constituant de l’identité iranienne, revendiquée par la population, c’est l’ancrage du pays dans une histoire plurimillénaire, la conscience d’appartenir à un des plus anciens États du monde, de la continuité d’une civilisation qui a su assimiler les envahisseurs successifs. Les Iraniens sont d’origine aryenne. Irân-vej, en langue pehlevi, l’ancienne langue iranienne parlée sous les Sassanides (224-651 ap. J.-C.), c’est le pays des Aryens. Les occidentaux ont préféré, à travers l’histoire, le nom qu’avaient donné les Grecs au pays, « Perse », du nom de la grande tribu qui avait fondé l’Empire achéménide au VIème siècle avant J.-C. Diplomates et voyageurs utilisèrent le mot « Perse » jusqu’en 1935 quand l’empereur Reza chah imposa le nom officiel d’Iran, déjà utilisé dans la population, et récusa le nom de Perse qui connotait des légendes anciennes et ancrait le pays dans un passé folklorique. Encore aujourd’hui les occidentaux ont tendance à utiliser « Perse » quand ils se réfèrent à des aspects valorisants (archéologie, cuisine, poésie…), réservant « Iran » pour évoquer des thématiques plus inquiétantes (Révolution, terrorisme). Venus des steppes froides d’Asie intérieure, les Iraniens sont, à l’origine, des nomades indo-européens qui se sont fixés, aux IIème et au Ier millénaires avant J.-C sur le haut plateau( entre 800 et 1000 mètres) entouré de montagnes qui constitue la majeure partie de l’actuel Iran. Le genre de vie qui a dominé jusqu’aux invasions turco-mongoles (XIème-XIIIème siècles) était celui d’agriculteurs sédentaires pratiquant de courts déplacements pastoraux à l’intérieur des vallées. Les invasions médiévales ont entraîné la « bédouinisation » (X. de Planhol) de populations jusque là sédentaires si bien que l’Iran est devenu le plus grand foyer mondial de pastoralisme nomade. Ces bouleversements au fil de l’histoire, précédés par la conquête arabe au VIIème siècle, n’ont pas fait disparaître pour autant la langue persane ni fait refluer un folklore spécifiquement iranien. La nouvelle année (noruz) que célèbre la population est une année solaire qui débute à l’équinoxe de printemps et compte 365 jours. La vie en Iran est ainsi rythmée par deux calendriers antagonistes, le calendrier solaire pour le quotidien et le calendrier lunaire musulman pour les cérémonies religieuses. Noruz est aussi fêté dans les anciennes possessions et l’aire d’influence de l’Iran (sarzamin-e Iran : le « territoire » de l’Iran, Iran-e bozorg : le grand Iran) où le persan, sous l’appellation dari en Afghanistan et tajik au Tajikistan, est une langue officielle. La prise en considération de l’unité et du fort sentiment national iraniens ne doit pas masquer l’hétérogénéité et les facteurs de division au sein du pays. Et tout d’abord la diversité ethno-linguistique. Si environ 85% de la population parle le persan, ce n’est la langue maternelle que de 50% des locuteurs. D’importantes minorités occupent les marges du pays : au nord-ouest, les Turcs azeri, qui forment environ 20% de la population iranienne ; à l’ouest les Kurdes ; au sud, des Arabes ; au sud-est les Baloutches. Cette diversité ethno-linguistique se double d’une diversité religieuse, chez les Baloutches, une partie des Kurdes et une partie des Arabes qui sont sunnites. Les revendications identitaires de ces minorités se déclinent avec une intensité très variable, se bornant tantôt à des manifestations culturelles, prenant parfois un tour plus politique avec des demandes d’autonomie ou encore s’accompagnant d’actions violentes (ainsi au Baloutchestan et dans une moindre mesure au Kurdistan). S’ajoutent à ces différences culturelles et à ces revendications identitaires de forts contrastes en matière de genre de vie. La vie paysanne, en net déclin (on ne compte plus que 26% de population rurale selon le recensement de 2016), se caractérise par de fortes traditions communautaires, notamment pour la gestion de l’eau amenée traditionnellement des piémonts par des galeries drainantes souterraines (les qanât). Les pasteurs nomades forment de grandes tribus (tels, au sud de l’Iran, les Bakhtyâri et les Qashqa’i) qui se singularisent par rapport aux Bédouins des déserts du Moyen-Orient par les traits suivants : il s’agit d’un nomadisme montagnard menant les pasteurs et leurs troupeaux des plaines vers les sommets au printemps et inversement à l’automne ; les tribus regroupent des centaines de milliers d’individus soumis à des « chefferies centralisées » (J.-P. Digard) et ont formé des états dans l’État rigoureusement hiérarchisés. Mais c’est le mode de vie urbain qui est depuis une quarantaine d’années majoritaire. La ville avec son bâzâr, sa grande mosquée, ses services est particulièrement valorisée. La population de Téhéran (9 millions d’habitants) et de son agglomération (15 millions) a crû considérablement depuis le début du XXème siècle (environ 200 000 habitants en 1900). Banlieues et cités périphériques regroupent des « paysans dépaysannés » (P. Vieille) (pour un exemple de ces cités périphériques voir S. Parsapajouh). La ville elle-même est fortement stratifiée socialement. Ainsi, à Téhéran, s’opposent un nord riche où réside une bourgeoisie occidentalisée et les quartiers populaires et pauvres du sud de la ville. Le second constituant de l’identité iranienne, c’est le chiisme. Ce courant religieux remonte aux premiers temps de l’islam quand il fallut choisir un successeur au prophète. Les chiites, contrairement aux sunnites, optèrent pour le principe généalogique et choisirent pour diriger la communauté le gendre et cousin de Mohammed, Ali (shi’a signifie partisan - de Ali). Selon les dogmes du chiisme duodécimain, la version du chiisme dominante en Iran, seuls les 12 imam-s (Ali et ses descendants) ont pu exercer un pouvoir juste et légitime. Le douzième imam a disparu en 874 et dans l’attente de la parousie de cet « imam caché » toute forme de gouvernement est nécessairement imparfaite. Ce dogme prédispose à une vision critique du pouvoir. Au cours de l’histoire certains ont préféré cultiver de l’indifférence à l’égard de la vie politique et se réfugier dans la spiritualité, d’autres au contraire faisant fond sur les virtualités contestataires du chiisme ont prôné une opposition au pouvoir, voire un gouvernement dirigé par les clercs, comme l’ayatollah Khomeyni et ses partisans le firent lors de la révolution islamique (1979-1980) – ce qui est une innovation dans le chiisme duodécimain. La constitution de la République islamique a entériné cette position doctrinale en institutionnalisant le velayat-e faqih « la souveraineté du docte ». C’est lui, le « guide », qui exerce le pouvoir suprême et auquel sont subordonnés le Président de la République et le gouvernement. Un autre trait original du chiisme duodécimain est l’exaltation du martyre ; celle-ci trouve son origine dans l’ « histoire-mythe » de la passion du troisième imam, Hoseyn, tué, avec la plupart des membres de sa famille, dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade (sunnite), Yazid, en 680 à Kerbala, dans l’actuel Irak. La commémoration de ce supplice s’exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois de l’année musulmane), jour de achoura (anniversaire de la mort de Hoseyn) : processions de pénitents se flagellant, prônes, cantiques et mystères rappellent ce drame. Cette tradition martyriste et les rituels qui lui correspondent sont un véritable ciment de la culture populaire. Le mythe de Kerbala, opposant bourreaux et victimes, exaltant le sacrifice de soi a été, dans l’histoire de l’Iran moderne et singulièrement lors de la révolution islamique, une grille de lecture de la réalité socio-politique et un modèle d’action pour la lutte. Un troisième composant de l’identité iranienne, c’est l’occidentalisation, entretenue par une diaspora de deux à trois millions d’individus installés, pour la plupart, aux Etats-Unis. Le sport est un des révélateurs les plus vifs de cette occidentalisation, voire de la mondialisation de la société iranienne. Le sport traditionnel en Iran, c’est la lutte qui s’adosse à la pratique coutumière du zourkhane (littéralement maison de force) où l'on s'adonne, dans un cadre de sociabilité conviviale, à divers exercices athlétiques. Or, aujourd’hui, le football détrône la lutte ; des joueurs sont recrutés par des clubs européens, des entraîneurs étrangers sont appelés à diriger l’équipe nationale qui brille dans les compétitions internationales et suscite un engouement sans pareil. Des revendications s’expriment dans les stades ou autour des matchs de football. Il en est ainsi des revendications féminines. Contraintes à une tenue stricte, soumises à des inégalités de droits (en matière d’héritage, de divorce, de voyage, etc.), les femmes sont aussi interdites dans les stades où se déroulent des compétitions d’hommes, en particulier lors des matchs de football. La contestation de cette interdiction est devenue un leitmotive des revendications féminines et à chaque grand match des femmes tentent de s’introduire dans le stade. Le football est sans doute un des domaines où la tension est la plus vive entre le régime islamique, soucieux de la séparation des sexes, de la discipline et de la bienséance prude, et la « société civile » urbaine plus ouverte aux modes de vie occidentaux. Les rituels de moharram tels qu’ils sont pratiqués par les jeunes dans les grandes villes d’Iran témoignent aussi de cette quête de modernité. L’évocation du drame de Karbala suscite une sincère affliction chez ces jeunes mais ils l’expriment à travers des attitudes et des moyens nouveaux : le matériel utilisé, la retransmission du rituel sur un écran géant, les manifestations juvéniles torse nu, qui rappellent celles des jeunes supporters dans les stades de football européen ou encore des adeptes de rave parties, le chantre s’apparentant à un DJ spectaculaire… tout cela emprunte à une culture mondialisée, et parfois underground. Ces exemples, parmi bien d’autres, montrent la complexité des manières d’être dans le monde iranien tiraillées entre modèles nationaux, religieux et mondiaux
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Dissertations / Theses on the topic "Civilisation et archéologie du proche-orient ancien"

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Badinjki, Oubayda. "Histoire de la civilisation ancienne du monde arabe. Les figurines masculines en terre cuite en Syrie et au Liban au Néolithique et aux âges du Bronze. Etudes de cas." Thesis, Lille 3, 2019. http://www.theses.fr/2019LIL3H020.

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Abstract:
Pourquoi les figurines masculines ? Parce que les archéologues spécialistes des terres cuites ont ciblé d’une façon générale les figurines zoomorphes et, parmi les figurines anthropomorphes, les représentations de femmes. On ne trouve jusqu’à maintenant aucun catalogue exhaustif et détaillé des figurines masculines en terre cuite. Dans ce vaste champ d’investigation, j’ai sélectionné deux périodes. La préhistoire, pour remonter aux origines et réfléchir sur la création des figurines masculines en terre cuite. Et les âges du Bronze, période faste s’il en est pour ce type de production. Cette thèse porte donc sur l'étude des figurines masculines en terre cuite(figurinesmodelées, moulées, et moule). L’objectif de cette étude est de faire un corpus de figurines masculines en terre cuite, car il n’en existe pas de corpus satisfaisant, de les classifier, de les analyser techniquement, artistiquement, et de les interpréter, et enfin de publier les figurines inédites conservées au musée du Louvre. Les problématiques sont les suivantes : les figurines étaient-elles utilisées comme jouets, comme éléments décoratifs ou comme amulettes ? Doivent-elles être mises en rapport avec des coutumes ou des rites religieux ? Comment peut-on interpréter la découverte defigurines masculines dans des temples, dans des tombes et dans les maisons ? Quelle que soit la technique qui leur a permis de se répandre, la question générale est toujours la même : à quelle fin l’artisan ou l’usager les destinait-il ?Les réponses pourront varier en fonction de la chronologie, puisque le sujet couvre une très longue période ; en fonction des lieux et des contextes archéologiques, et aussi bien sûr en fonction de la typologie, car les figures masculines peuvent présenter différentes attitudes (assises/debout), différents gestes, différents types de vêtements, d’attributs (en particulier des armes). Les chercheurs ont proposé une grande variété d’hypothèses, parfois sur la base de comparaisons ethnographiques, ou d’un rapprochement avec les traditions littéraires ou artistiques. Sans aucun doute, quel que soit le rôle de ces figurines, elles ont été considérées comme des objets importants dans la vie quotidienne au cours de l'époque néolithique, comme la poterie, les outils de pierre et d'autres objets « utilitaires », et des objets importants, notamment dans les activités religieuses et magiques, au cours de l’âge du Bronze.Le plan est le suivant : typologie et répartition régionale, matériau et techniques de fabrication (modelage et moulage), spécificités des figurines masculines, contexte archéologique et fonctions plausibles, avec l’apport de l’iconographie
Why male figurines? Because archaeologists specializing in terracotta have generally targeted zoomorphic figurines and, among anthropomorphic figurines, representations of women. Until now, there is no exhaustive and detailed catalog of terracotta male models. In this vast field of investigation, I have selected two periods : Prehistory, to go back to the origins and think about the creation of terracotta male figurines, and the Bronze Age, the apogee time for this type of production. This thesis deals so with the study of terracotta male figurines (modeled figurines, molded figures and molds). The objective of this study is to make a corpus of terracotta male figurines, because there is no satisfactory body of work, to classify them, to analyze them technically, artistically, and to interpret them, and finally publishing the unpublished figures preserved in the Louvre Museum.The research problems are the following : the figurines were used as toys, as decorative elements in homes, or as amulets? Should they be related to religious customs or rites? How can one interpret the discovery of male figurines in temples? in tombs and houses, whatever thetechnique that has allowed them to spread, the general question is always the same : for what purpose did the craftsman or the user make them? The answers vary according to the chronology, since the subject covers a very long period. According to the places and archaeological contexts and of course depending on the typology, because male figures may have different positions (sitting/standing), different gestures, different types of clothing, attributes (especially weapons). Researchers have proposed a wide variety of choices, sometimes on a hypothetical basis, ethnographic comparisons, and reconciliation with literary, artistic or funerary traditions. Undoubtedly, whatever the role of these figurines, they were considered important objects in everyday life during the Neolithic period, such as pottery, stone tools and other "utilitarian" objects, and important objects, especially in religious and magical activities, during the Bronze Age
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Gerun, Yvan. "Le véhicule et son iconographie au Proche-Orient ancien du IVème au début du premier millénaire avant J.C." Thesis, Strasbourg, 2015. http://www.theses.fr/2015STRAG061.

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Abstract:
L’apparition du véhicule s’inscrit dans l’espace géographique du Proche-Orient ancien qui joue un rôle de premier plan dans la domestication, le dressage et le contrôle des grands mammifères. Dès les origines, à la fin du IVème millénaire, une iconographie se développe en lien étroit avec l’idéologie royale qui s’exprime sous la forme de rites collectifs. La fonction sociale du véhicule est donc privilégiée au dépend d’un rôle dans le transport dont l’importance reste incertaine. Une composante religieuse paraît souvent présente en arrière plan avec, en particulier, la présence de modèles réduits en terre cuite au rôle probablement votif. La production de ces représentations se poursuit au moins jusqu’au premier millénaire avant J.C. avec des thèmes constants : chasse, domination, ennemi piétiné. Un apogée, dans la variété des scènes et des supports, se situe aux DA IIIb. La production globale reste assez irrégulière et semble associée à des sites spécifiques, souvent dans des périodes d’apogée politique
The appearance of the vehicule in the Ancient Near East occurs in a space who is a leader for the taming, the training and the control of the big mammals. From the origins, at the end of the 4th millennium, an iconography develops linked with royal ideology (with social rituals). The social function is more important than the transport function. There is always a link with religion. Probably terracotta models have a votive function. There are numerous vehicles in the iconography at least until the first millennium BC. The themes are : hunting, domination, trampled enemy. There is a peak of quality in the ED IIIb. Globally the production is irregular: in some powerful estates
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Guyot, Frédéric. "Evolution des sociétés prédynastiques et contacts interrégionaux en Egypte et au Levant sud (fin du 5e et première moitié du 4e millénaire)." Thesis, Paris 1, 2014. http://www.theses.fr/2014PA010623.

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Abstract:
Cette étude se propose d’apporter des éléments pour une analyse de l’évolution des cultures prédynastiques et sud levantines, entre la fin du 5e et la première moitié du 4e millénaire (4300-3300 avant notre ère). En Egypte, cette période commence au début du Prédynastique, lorsque des groupes d’agro-pasteurs se sédentarisent peu à peu le long de la vallée du Nil et dans le Delta. Elle se termine par l’avènement d’une société hiérarchisée et la mise en place des conditions préalables à l’apparition de l’Etat au début du 3e millénaire. Au Levant sud, cette période s’étend de la fin du Chalcolithique au début du Bronze Ancien I. A travers l’examen d’un matériel inédit (le mobilier céramique de Tell el-Iswid dans le Delta du Nil, l’habitat de Bir es-Safadi dans le Néguev nord) et la réévaluation de données publiées (notamment l’architecture de Tuleilat Ghassul au sud de la vallée du Jourdain et la nécropole de Minshat Abou Omar en Basse Egypte), cette étude a pour but d’apprécier dans quelle mesure le développement des sociétés de Haute Egypte, de Basse Egypte et du Levant sud, a été affectée par les contacts interrégionaux. Il s’agit d’évaluer quelles innovations techniques ou quelles influences d’ordre économique et social, ces échanges ont pu véhiculer. Il s’agit également de préciser la forme et les modalités de ces contacts (échanges de proche en proche ou réseaux à longue distance), aussi bien que les agents de leur organisation. Cette analyse permettra en outre de porter un regard nouveau sur le processus d’uniformisation de la culture égyptienne, qui s’est déroulé peu de temps avant l’unification politique du pays
This study intends to provide elements for an analysis of the evolution of Predynastic and Southern Levant cultures, between the end of the 5th and the middle of the 4th millennium (4300-3300 BC). In Egypt, this period starts at the beginning of the Predynastic era, when groups of agro-pastoralists settled gradually along the Nile Valley and the Delta. It ends with the advent of a hierarchical society and the setting of the conditions conductive to the emergence of State at the beginning the 3rd millennium. In the Southern Levant, this time frame extends from the end of the Chalcolithic to the beginning of the Early Bronze Age I. Through the analysis of an unpublished material (the Predynastic pottery from Tell el-Iswid in the Nile Delta, the dwellings of the Chalcolithic settlement of Bi r es-Safadi in the Northern Negev), and the reappraisal of published data (the architecture of Tuleilat Ghassul in the South of the Jordan Valley or the Minshat Abu Omar cemetery in Lower Egypt for example), this study aims to assess to what extent the development of societies in Upper Egypt, Lower Egypt and the Southern Levant was affected by interregional contacts. The issue is to estimate what kind of technical innovations, economic or social influences, these exchanges could have conveyed. The purpose is also to provide details on the modality of these contacts and the organization of these exchanges (down-the-line or long distance networks). This will lead us to propose a new approach to the homogenisation process of the Egyptian culture, which took place shortly before the political unification of the country
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Ali, Cheikhmous. "Recherches sur les représentations architecturales dans la glyptique du Proche-Orient ancien." Phd thesis, Université de Strasbourg, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00869944.

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Abstract:
Les représentations architecturales que nous donne à voir la glyptique du Proche-Orient ancien constituent une source primordiale d'informations sur l'art de bâtir dans cette région du IVe au Ier millénaire av. J.-C.,car les édifices, généralement en briques crue, sont la plupart du temps mal conservés. Le but de cette recherche est donc de recenser tous les motifs architecturaux présents sur sceaux ou sur empreintes et de les réunir dans un corpus qui sert de base à une vaste exploration de l'architecture mésopotamienne à travers son iconographie, les bâtiments trouvés en fouille, les formes du pouvoir qu'ils manifestent et l'ethnographie. Notre réflexion s'articulera autour de trois axes. D'une part, nous mènerons une étude analytique consistant à décomposer chaque façade pour évaluer la fiabilité des éléments iconographiques dont elle se compose (ouvertures, décors muraux, toits, etc.) et déterminer s'ils reflètent une réalité architecturale. Cette analyse est fondée sur des comparaisons avec des représentations attestées sur d'autres supports (plaquettes,tablettes, bas-reliefs, maquettes, etc.), mais aussi avec des vestiges architecturaux découverts en fouille et des exemples d'architecture traditionnelle. D'autre part, nous recomposons chaque façade pour établir une typologie formelle, confronter les figurations glyptiques à l'architecture réelle et définir dans quelle mesure nous pourrions les exploiter pour restituer certains monuments, tout ou partie (au moins l'une des élévations,la forme du toit, etc.), mis au jour sur des sites archéologiques. Enfin, face aux lacunes et aux incertitudes concernant la fonction de certains monuments antiques (civile, religieuse ou militaire), les sceaux et les empreintes sur argile, en grand nombre pour certaines périodes, sont susceptibles de nous fournir des éléments de réponse. Ce travail de recherche comprend trois tomes :Tome 1, Texte - Tome 2, Façades iconographiques accompagnées de leur fiche analytique, le tout gravé sur un CD-ROM- Tome 3, Planches.
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Mehmedi, Rijad. "Recherches sur les ivoires du Proche-Orient ancien (Âge du Bronze - Âge du Fer) : les documents égyptisants et leurs sources égyptiennes." Thesis, Strasbourg, 2013. http://www.theses.fr/2013STRAG036.

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Abstract:
L’objet de cette thèse est l’étude d’un groupe d’ivoires, trouvés dans plusieurs sites du Proche-Orient ancien, connu sous le nom d’ivoires égyptisants. Nous avons examiné les différentes interprétations possibles, quant à l’origine et la signification de ces objets, en examinant les sources bibliographiques à notre disposition. Sans proposer une révision fondamentale des hypothèses présentées jusqu’à aujourd’hui, ce travail, en se fondant sur des témoignages archéologiques, iconographiques et textuels, essaye de mettre en évidence les différentes voies de transmission des motifs iconographiques égyptiens dans le répertoire iconographique du Proche-Orient ancien et cela notamment dans l’art de l’ivoire. Après une discussion générale sur l’ivoire et sur les différentes sources dont disposaient les artistes de l’antiquité, nous sommes arrivés à la conclusion que les ivoires égyptisants étaient le produit des artistes locaux du Proche-Orient ancien, qui se sont inspirés de l’art égyptien,soit à travers les échanges commerciaux, soit à travers les objets égyptiens trouvés dans plusieurs sites du Levant. Quant à l’interprétation de ces motifs, nous pensons que les artistes du Proche-Orient ancien ont représenté les objets de culte égyptien sans forcément comprendre la signification religieuse ou symbolique que ces motifs représentaient pour les Égyptiens. Ceci dit, ces artistes n’ignoraient pas complètement le message général attaché à ces objets ; ils ont adopté et adapté l’iconographie égyptienne en suivant les conventions de l’art proche-Oriental selon leur besoin du moment
The purpose of this thesis is the study of a group of ivories found in several sites of the ancient Near East, known as egyptianizing ivories. We studied various interpretations as to the origin and meaning of these objects by consulting the bibliographic sources at our disposal. Without proposing a fundamental revision of the hypotheses made so far, this study, based on archaeological, iconographical and textual evidence, tries to highlight the different routes of transmission of the Egyptian iconographic motifs into the iconographical repertoire of the Ancient Near East, with a special emphasis on the art of ivory carving. After a general discussion on the ivory and the various sources available to the artists of antiquity, we concluded that the egyptianizing ivories were the product of local artists of the ancient Near East, that were inspired by the Egyptian art, either through trade or through the Egyptian artefacts found at several sites in the Levant. As for the interpretation of these motifs, we believe that the artists of the Ancient Near East have represented Egyptian cult objects without necessarily understanding the religious or symbolic meaning that these motifs had for the Egyptians. That said, these artists were not completely unaware of the general message attached to these objects; they have adopted and adapted the Egyptian iconography by following the conventions of the ancient neareastern art according to their needs
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Dermech, Sarah. "L'utilisation des couleurs au Proche-Orient néolithique et chalcolitique (env. 12000 - 3000 av. J.-C.)." Thesis, Strasbourg, 2018. http://www.theses.fr/2018STRAG027.

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Abstract:
Ce travail explore l’utilisation des couleurs à la fin de la préhistoire au Proche-Orient, incluant le Levant Nord et Sud, les Hautes vallées et la Mésopotamie, de la fin de l’Epipaléolithique à la fin du Chalcolithique (env. 12000-3000 av. J. C.). Cette longue période témoigne d’innovations techniques et d’évolutions sociales inédites : sédentarisation, développement de l’agriculture et de l’élevage, invention de la céramique et urbanisation. Notre objectif a été d’explorer la manière dont ces différentes cultures ont mis en œuvre les couleurs en contexte architectural et funéraire. Quels sont les rapports que ces sociétés entretiennent avec les matériaux colorés et les matières colorantes, locaux ou importés ? Quels sont les changements observés dans l’utilisation des couleurs ? Qu’expriment ces changements ? Peut-on les mettre en relation, et de quelle manière, avec les évolutions technologiques et sociales propres à chaque période et culture ? Est-il possible de reconnaitre des systèmes et des dynamiques à différentes échelles — site, région, culture – et sur le temps long ? L’approche diachronique et la mise en perspective des résultats sur plusieurs millénaires montrent une utilisation dynamique des couleurs, variant selon les périodes et les aires géographiques, et apportent un nouvel éclairage à la compréhension des sociétés de la fin de la préhistoire en Orient
This study focuses on the use of colors during the last stages of prehistory in the Near East, encompassing the Northern and Southern Levant, the Upper Tigris and Euphrates valleys and Mesopotamia, from the end of the Epipalaeolithic to the end of the Chalcolithic (ca. 12000-3000 cal. BC).This long period witnessed technical innovations and unprecedented social evolutions : sedentarization, development of agriculture and herding, invention of pottery and urbanization. Our aim was to explore how these different cultures have implemented colors in their architecture and their burials. What are these societies’ relationships to colored materials, local or imported ? How the use of colours changes ? What does it tell us about these societies ? Can we -and how- correlate them with technical and social developments specific to each culture ? Is it possible to recognize systems and dynamics at different scales – site, region, culture – and over the long term ? Data have been synthetized according a diachronic approach and put into perspective over several millennia. They show a dynamic use of colors, varying according to periods and geographical areas, and bring a new light to the understanding of these societies at the end of prehistory in the Near East
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Badel, Émilie. "Les bitumes archéologiques : exploitation et façonnage en Mésopotamie, au Khuzestân et en Arabie orientale du Néolithique à l'âge du Bronze ancien (du milieu du VIè au IIIè millénaires av. J.-C.)." Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H032.

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Abstract:
Des matériaux hydrocarbonés façonnés par l'homme ont abondamment été découverts sur les sites du Proche-Orient ancien. Ces matériaux incluent du bitume visqueux suintant le long des rivières ou sur les falaises, des calcaires bitumineux, des sables bitumineux et des asphaltites. Le champ d'utilisation est vaste et regroupe plusieurs qualités physicochimiques mises à profit : adhésivité, imperméabilisant, conservation, poids, couleur noire, matière malléable ou sculptable. L'étude des modes d'exploitation et du cadre technique, menée sur un cadre chronologique couvrant le milieu du 6e au 3e millénaires av. J.-C. en Mésopotamie, au Khuzestân et en Arabie orientale, a permis d'apporter de nouvelles données sur la dynamique culturelle des sociétés proche-orientales. Cette approche axée sur l'homme et la matière n'avait jamais été entreprise auparavant sur ce matériau. Cette recherche est fondée sur un corpus de 4021 bitumes répartis sur 101 sites archéologiques. Les objets et fragments ont été classés suivant leur domaine d'utilisation permettant ainsi d'identifier plusieurs aires techniques. L'étude technologique, réalisée grâce à une approche pluridisciplinaire (archéométrie, ethnographie, épigraphie, expérimentation), restitue des chaînes opératoires pour l'exploitation des bitumes visqueux ou solides. Les textes cunéiformes de la fin du 3e millénaire témoignent de métiers dédiés au façonnage des bitumes, de leur prix et d'une hiérarchisation des sites au sein de leur exploitation. Les modèles de diffusion des techniques identifiés dans cette recherche mettent en évidence l'existence de foyers d'invention dans presque tout l'ensemble du Proche-Orient ancien
Man-shaped hydrocarbonated materials have been widely discovered in ancient Near East archaeological sites. These materials include viscous bitumen seeping along rivers and cliffs, bituminous limestones, bituminous sands and asphaltites. Adhesiveness, impermeability, conservation, weight, dark color, ductility or sculptability are among the variety of physico-chemical characteristics which allow for a large scope of use. Research on bitumen exploitation methods and corresponding technical framework covers a timeframe from mid 6th to 3rd millennia B.C. over Mesopotamia, Khuzistan and Eastern Arabia. This study, focusing on man and bitumen materials, was never performed before and provides new valuable insights in relation to Near East societies cultural dynamics. We gathered and brought together a comprehensive and organized database composed of 4021 bitumen items from 101 different archaeological sites. The bitumen pieces, artifacts and fragments are presented following their scope of use thus allowing the identification of technical fields. The technological study was based on a pluridisciplinary approach including archeometry, ethnography, epigraphy and experimentation; it brings to light viscous or solid bitumen exploitation operational chains. Cuneiform texts from end of 3rd millennium testify bitumen professions and occupations, bitumen prices and a hierarchy of sites within their exploitation. The techniques spreading models identified in our research highlight the existence of invention spots in almost all ancient Near East
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Davin, Laurent. "La parure du Natoufien ancien en contexte funéraire : reconstitution des chaînes opératoires à Mallaha (Eynan), Israël." Thesis, Paris 1, 2019. http://www.theses.fr/2019PA01H046.

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Abstract:
À la fin de l'Épipaléolithique levantin, au début de la culture natoufienne (14 900-13 700 cal. BP), certaines communautés de chasseurs-cueilleurs se sédentarisent. La formation des premiers hameaux témoigne d'une nouvelle organisation de l'espace habité qui intègre la population des défunts. Les représentations artistiques et les parures apparaissent en quantité et en diversité exceptionnelles à l’échelle de la Préhistoire du Levant. Dans certains hameaux, une partie de la population inhumée a été enterrée avec de la parure mais ces assemblages ont rarement été étudiés et parfois même, jamais été inventoriés. Or, la parure découverte en contexte funéraire pourrait livrer des informations de premier plan sur l’organisation de la société natoufienne et le rôle qu’y jouent les individus. L’objectif de ce travail a ainsi été de révéler le potentiel informatif de la parure natoufienne. Pour ce faire, nous avons privilégié une approche non pas fondée sur l’interprétation de la parure comme marqueur d’une pratique funéraire mais plutôt sur son utilisation dans cet ensemble clos dans le temps et l’espace qui est la tombe. La recherche, basée sur le cadre interprétatif initié par M. Vanhaeren et F. d’Errico et une démarche analytique adaptée à l’étude des parures en différentes matières premières (coquillage, os) que nous avons développé, consiste en l’étude des éléments de parure associés à une sépulture primaire car ils offrent un instantané des matières et techniques utilisées à une certaine époque dans la production de parures. À travers un réseau d’inférences pluridisciplinaire relevant à la fois de la taphonomie, de l’archéozoologie, de la technologie et de la tracéologie on reconstitue la chaîne opératoire pour découvrir les comportements impliqués dans l’acquisition, la fabrication et l’utilisation des divers éléments employés dans les parures. Cette démarche permet d’atteindre les étapes de la vie sociale des parures et d’aborder la question de leur rôle dans la société Natoufienne. Nous avons ainsi étudié les parures (1909 éléments) associées à douze sépultures du Natoufien ancien dans le hameau de Mallaha et comparé les résultats avec le mobilier découvert dans les niveaux domestiques de Mallaha et dans les sépultures contemporaines découvertes ailleurs (el-Wad et Hayonim). Ces analyses ont permis de mettre en évidence, pour la première fois, les chaînes opératoires individuelles de parures natoufiennes. Au-delà des principes généraux du fonctionnement de la parure à l’échelle d’un groupe Natoufien, on a pu montrer, pour la première fois, les différences qu’il existe entre plusieurs unités sociales à l’intérieur du groupe. Ces différences tendent à indiquer qu’une partie des habitants de Mallaha a voulu se distinguer des autres et exprimer la particularité de son statut social grâce à sa tradition ornementale
At the end of the Levantine Epipaleolithic, at the beginning of the Natufian culture (14 900-13 700 BP cal.), some hunter-gatherer communities settle down. The formation of the first hamlets testifies to a new organization of the inhabited space that integrates the population of the deceased. The artistic representations and the personal ornaments appear in exceptional quantity and diversity on the scale of the Prehistory of the Levant. In some hamlets, part of the buried population was buried with personal ornaments but these assemblages have rarely been studied and sometimes even never inventoried. However, the personal ornaments discovered in funerary context could deliver important information on the organization of Natufian society and the role played by individuals. The objective of this work was thus to reveal the informative potential of the Natufian personal ornaments. To do this, we favored an approach not based on the interpretation of personal ornaments as a marker of a funeral practice but rather on its use in this closed set in time and the space that is the grave. The research, based on the interpretive framework initiated by M. Vanhaeren and F. d'Errico and an analytical approach adapted to the study of the ornaments in different raw materials (shell, bone) that we have developed, consists in the study of elements of ornaments associated with a primary burial because they offer a snapshot of the materials and techniques used at a certain time in the production of ornaments. Through a multi-disciplinary network of inferences from taphonomy, archaeozoology, technology and traceology, the “chaîne opératoire” is reconstructed to discover the behaviors involved in the acquisition, manufacture and use of various elements used in the ornaments. This approach makes it possible to reach the stages of the social life of the ornaments and to address the question of their role in the Natufian society. We thus studied the personal ornaments (1909 elements) associated with twelve early Natufian burials in the hamlet of Mallaha and compared the results with the elements discovered in the household layers of Mallaha and in the contemporary burials discovered elsewhere (el-Wad and Hayonim). These analyzes made it possible to highlight, for the first time, the individual “chaînes opératoires” of Natufian ornaments. Beyond the general principles of the functioning of the ornament on the scale of a Natufian group, it was possible to show, for the first time, the differences that exist between several social units within the group. These differences tend to indicate that some of the inhabitants of Mallaha wanted to distinguish themselves from others and express the peculiarity of their social status through its ornamental tradition
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Lazzarini, Catherine Marie. "Les tombes royales et les tombes de prestige en Mésopotamie et en Syrie du Nord au Bronze Ancien." Thesis, Lyon 2, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO20023/document.

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Abstract:
Les tombes royales et les tombes de prestige sont spécifiques d’une partie de la communauté détenant un pouvoir régional ou local. Dans le contexte du Bronze Ancien en Mésopotamie et en Syrie, l’étude archéologique a permis de distinguer les tombes de prestige des autres tombes selon trois critères principaux : l’architecture monumentale, la localisation topographique et le matériel funéraire déposés dans les tombes. Ces traits constituent un ensemble de signes complexes intégré dans un discours idéologique. L’étude a eu pour objectif de replacer les pratiques funéraires dans la société et les pratiques rituelles et sociales du pouvoir. Une perspective anthropologique apportée au sujet des tombes royales et de prestige a permis de mettre en évidence comment les pratiques funéraires sont un instrument institutionnel de manipulation idéologique, intégrées dans un discours social et politique structuré. Comme d’autres moments centraux de la société, les pratiques funéraires sont des pratiques rituelles et sociales qui jouent un rôle dans la représentation du pouvoir des élites et la structuration de la communauté. Elles permettent de reproduire et de maintenir l’équilibre social et de justifier le pouvoir des dites élites
The royal tombs and the tombs of prestige are specific of a group detaining a regional power or local power. We have identified archaeological traits in the Syrian and Mesopotamian Early Bronze Age context which could distinguish the prestige tombs from the others. These formal features are the monumental architecture, the specific location of the prestige tombs and the group of graves associated, and the grave goods. The wealth of the deposition and the structure are characteristics of the prestige tombs and it constitutes complex signs integrated in an ideological discourse. Thus, an anthropological perspective has been essential to appreciate the social implication of the elite funerary practices. As others main events in the society, funerary practices of prestige are rituals and social practices which play a role in the representation of the elite power and in the structure of the society. The royal tombs and the tombs of prestige are social instruments of ideological manipulation; the funerary practices are integrated in social discourse through rituals in order to reproduce and maintain social structure and justify the elite power
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Kanhoush, Yasmin. "L’habitat urbain de Syrie au Bronze moyen : analyses technique, fonctionnelle et sociologique." Thesis, Lyon, 2019. http://www.theses.fr/2019LYSE2122.

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Abstract:
Les maisons sont une oeuvre architecturale, certes, mais elles sont aussi le cadre de vie des hommes, le reflet de leurs connaissances techniques, de leurs exigences de confort, de leurs coutumes, de leurs manières de vivre et de leurs rapports avec la mort. Toutefois, ce type de vestiges a souvent été ignoré devant les grands bâtiments prestigieux de plus grand intérêt. D’où vient notre intérêt de mener une étude synthétisée à ce sujet. De plus, l’habitat de Syrie au Bronze moyen n’a fait l’objet, jusqu’à présent d’aucune étude détaillée malgré l’importance stratégique de cette région et celle de la période du point de vue du développement urbain. En effet, la fin du IIIe millénaire (ou Bronze ancien) correspond à un abandon de nombreux sites ou à une réduction très importante de leur taille et de leur complexité, alors que le Bronze Moyen II (entre 1800 et 1500 av. J.-C.), la période qui nous concerne, apparaît une époque florissante.Notre thèse s’articule en deux grandes parties distinctes. La première est consacrée à une analyse approfondie et critique de la documentation disponible issue de 36 sites situés dans quatre régions différentes, à savoir la Syrie du Nord-Ouest, la moyenne vallée de l’Oronte, la moyenne vallée de l’Euphrate et la Syrie du Nord-Est. Cette recherche a été enrichie par des données inédites issues des anciennes fouilles allemandes sur le site de Tell Halawa A sur la moyenne vallée de l’Euphrate et des travaux archéologiques que nous avons menés sur le site de Tell Mishrifeh/l’ancienne Qatna en Syrie occidentale.L’ensemble des données archéologiques disponibles a été exploité (relevés architecturaux, photographies de fouille, notes de terrain, articles déjà parus…), ainsi qu’un certain nombre de données textuelles (notamment celles mises au jour dans le chantier T de Qatna). Ils forment un ensemble d’éléments intéressants pour mieux restituer la volumétrie et l’histoire des maisons antiques.La deuxième partie de nos travaux est fondée sur la comparaison et le croisement des différents résultats obtenus qui nous a permis de mettre au jour les grandes caractéristiques des maisons de cette époque aux plans technique, typologique et fonctionnel. Nous avons mis en évidence les différences régionales et une possible évolution des formes du bâti et de ses usages. Nous avons cherché également, autant que possible, à considérer l’habitat dans son environnement urbain et à restituer à l’architecture domestique sa dimension sociale à travers la hiérarchie et les relations de voisinage qu’elle est susceptible de révéler
Whilst houses are certainly a work of architecture, they are also Man’s lived environment that reflect their technical expertise, home comforts, customs, way of life and their relationship with death. However, this type of vestige is often overlooked in favour of large, prestigious buildings of greater interest. Furthermore, Syria's Middle Bronze Age habitat has not yet been the subject of any detailed study, despite the strategic importance of this region and the period from an urban development perspective. In fact, the end of the third millennium (or Early Bronze) saw the abandonment of many sites, or at least a very significant reduction in their size and complexity, whereas the Middle Bronze II (between 1800 and 1500 B.C.), the period which concerns us, appears to have been a flourishing time.Our thesis is divided into two distinct parts. The first focuses on a thorough and critical analysis of the available materials from 36 sites located in four separate regions, these being Northwest Syria, the Middle Orontes Valley, the Middle Euphrates Valley and Northeast Syria. This research has been enriched by unpublished data from previous German excavations on the site of Tell Halawa A on the Middle Euphrates valley, and archaeological work that we conducted on the site of Tell Mishrifeh / the ancient Qatna in Western Syria.All the available archaeological data has been used (architectural surveys, excavation photographs, field notes, articles already published, etc.), as well as certain pieces of textual data (notably those found in Area T at Qatna). These were interesting points of comparison that helped us to reconstruct more fully the history and the volumetry of the ancient houses.The second part of our work is based on the comparison and cross-referencing of the various results obtained, which enabled us to uncover the main technical, typological and functional characteristics of the houses of that period. We have highlighted regional differences and a possible evolution of the types of buildings and their uses. We have also sought, as far as is possible, to consider housing in its urban environment and to restore the social dimension of domestic architecture through the hierarchy and neighbourhood relations that it is likely to reveal
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Books on the topic "Civilisation et archéologie du proche-orient ancien"

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Benoit, Agnès. Art et archéologie: Les civilisations du Proche-Orient ancien. Paris: Réunion des musées nationaux, 2003.

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