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Journal articles on the topic 'Co-responsabilité'

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Toullec-Théry, Marie, and Gilles Moreau. "Co-enseignement et difficulté scolaire." Revue hybride de l'éducation 4, no. 3 (2020): 55–87. http://dx.doi.org/10.1522/rhe.v4i3.1038.

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Abstract:
Cet article décrit les mécanismes didactiques en jeu dans une situation de co-enseignement en milieu inclusif, où un enseignant de mathématiques et une enseignante spécialisée se partagent, au sein de la même classe, la responsabilité des apprentissages. Les auteurs tentent de comprendre si ce co-enseignement favorise et améliore les apprentissages, et de quelle manière. L’analyse d’une séance avec les outils descriptifs de la théorie de l’action conjointe en didactique met en évidence, à l’aide de représentations graphiques, le partage des responsabilités didactiques entre les enseignants, et les stratégies mises en œuvre pour rendre accessible une situation d’apprentissage en mathématiques.
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Cauli, Marie, Dominique Pestiaux, Jean-François Denef, and Bernard Millette. "La responsabilité sociale en santé : évolution d’un concept. De l’implication individuelle aux enjeux de développement durable." Pédagogie Médicale 22, no. 1 (2021): 33–42. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2021003.

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Abstract:
Contexte et problématique : Le concept de responsabilité sociale en santé (RSS) prend une importance majeure au moment où les systèmes de santé, comme la société en général, vivent un bouleversement inédit sous l’effet d’une pandémie qui remet au centre de nos préoccupations un nécessaire changement de paradigme. Objectif : Cet article offre une courte rétrospective de ce concept en repartant de l’origine et de l’évolution du concept de RS dans l’entreprise, et réinterroge sous l’éclairage des sciences humaines (philosophie, anthropologie, sociologie) la notion de la responsabilité en tant que telle, mais aussi au sein de l’exercice professionnel en santé. Exégèse : Comment intégrer les préoccupations sociales et environnementales dans la pratique médicale au quotidien sans accabler le professionnel de santé du poids d’une responsabilité déjà prégnante ? Plusieurs hypothèses conditionnent ce processus, parmi lesquelles l’instauration d’une pensée systémique, qui rend seule possible une action transformative, un engagement porté sur les valeurs, une co-gestion de l’ensemble des acteurs de santé avec les parties prenantes. Ces hypothèses dessinent les contours d’une définition élargie de la RSS.
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Crothers, John D. "Faute lourde and the Perfectly Drafted Exclusion Clause: A « civil» Response to a « Common » Problem with Special Reference to Contracts for the Provision of Security Services." Les Cahiers de droit 26, no. 4 (2005): 881–920. http://dx.doi.org/10.7202/042694ar.

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Abstract:
Devant la reconnaissance judiciaire accrue des clauses d'exonération clairement rédigées, il est devenu pratiquement impossible d'écarter l’application de telles clauses aux litiges en responsabilité. L'auteur affirme que le monde commercial a besoin de ces clauses, mais souligne qu'il faut également protéger la bonne foi entre les co-contractants afin d'assurer des normes minimales de rendement dans l'exécution des contrats. A cet égard, l'auteur pose le problème suivant : supposons que le demandeur engage une compagnie de sécurité pour protéger son usine contre les risques de vol et de feu. Une clause d'exonération parfaitement rédigée protège la défenderesse, la compagnie de sécurité, contre la responsabilité qu'elle pourrait encourir par sa négligence ou celle de ses préposés dans la garde des lieux. Un gardien de sécurité met feu intentionnellement à l'usine. Est-ce que la compagnie de sécurité est protégée par la clause ? Selon la jurisprudence des provinces canadiennes de common law et celle d'Angleterre, la réponse est affirmative, l'arrêt de principe (Photo Productions v. Securicor) est étudié à cet égard. Au Québec, selon l'auteur, la réponse serait négative : la responsabilité de la compagnie de sécurité serait engagée. L'auteur prétend que cette différence substantielle s'explique par l'histoire et les conceptions théoriques de base qui ont donné lieu aux deux systèmes de droit. L'auteur examine la division retrouvée en common law entre le droit délictuel (tort) et contractuel (contract) par rapport à l'unité théorique de « responsabilité civile » du droit civil québécois. Il constate ensuite que les clauses d'exonération ont été facilement acceptées dans le droit des « contracts » de la common law mais qu'elles ont été jugées sévèrement en droit civil québécois en utilisant la notion de bonnes moeurs et d'ordre public. Malgré les différences entre la common law et le droit civil québécois, les deux systèmes reconnaissent aujourd'hui les clauses de non-responsabilité. L'auteur soumet, cependant, que le droit civil québécois offre la meilleure réponse au problème exprimé ci-haut. Selon lui, lorsque l'exécution négligente d'une obligation contractuelle équivaut à un manque de bonne foi, elle doit donner lieu à la responsabilité civile malgré la clause d'exonération, vu la notion de « faute lourde » développée par la jurisprudence québécoise. Cette notion est comparée favorablement aux notions de fundamental breach de la common law et celle de l'obligation essentielle du droit civil. Après avoir examiné et discuté de la notion de « faute lourde » en étudiant les arrêts québécois avec référence particulière aux contrats de sécurité/surveillance, l'auteur termine son étude en proposant que la common law a besoin de ce genre d'analyse pour redresser le problème des clauses de non-responsabilité parfaitement rédigées en évoluant vers une théorie générale des obligations et de la responsabilité civile.
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Joomaye, Z., P. Perney, J. Ramos, et al. "Hépatite à cellules géantes de l'adulte : responsabilité de la co-infection VIH et VHC." La Revue de Médecine Interne 19 (January 1998): 448. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(98)90161-8.

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Boisvert, Yves. "Quand l’éthique regarde le politique." Hors thème 20, no. 2-3 (2008): 181–201. http://dx.doi.org/10.7202/040280ar.

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Abstract:
Résumé Dans ce texte, l’auteur tente de démontrer que la dynamique contemporaine de transformation des modalités de régulation sociale (qui annonce le déclin de la régulation étatique dite providentielle) ne mène pas au chaos anarchisant appréhendé par certains analystes. Selon l’auteur, cela s’explique par le déploiement d’une nouvel imaginaire politique dit post-moderne qui remet à l’avant scène un discours qui fait la promotion de l’autorégulation et de la co-responsabilité sociale. Cet article veut principalement démontrer comment l’analyse conjointe de deux discours contemporains, sur le déclin de l’État-providence et sur le retour de l’éthique, nous aide à mieux saisir le jeu de transfert de régulation qui marque nos sociétés contemporaines.
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David, Gilbert. "Éléments d’analyse du paratexte théâtral : le cas du programme de théâtre." L’Annuaire théâtral, no. 34 (May 6, 2010): 96–111. http://dx.doi.org/10.7202/041542ar.

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Abstract:
Quelles sont les composantes du programme de théâtre, dans la perspective d’une théorie générale du paratexte théâtral? Après avoir repoussé les catégories de Genette concernant le paratexte littéraire, l’auteur de l’étude propose un autre modèle suivant lequel le programme est divisé en trois champs éditoriaux, sous la responsabilité d’une unique instance auctoriale (le producteur du spectacle) : le co-texte, l’avant-texte et le métatexte. Un tableau synoptique permet en outre de repérer une stratification de ce type particulier de paratexte, selon que les éléments (textuels et/ou visuels) portent sur le spectacle lui-même, sur le producteur (le personnel artistique, technique et administratif) ou sur la diffusion et la réception de la production. La prise en compte de la structure éditoriale du programme de théâtre constitue de la sorte un préalable méthodologique à toute analyse proprement discursive de son contenu.
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Roche, N. "Augmentation du risque d’ostéoporose chez le patient atteint de BPCO : le débat sur une éventuelle co-responsabilité des corticoïdes inhalés n’est pas clos." Revue des Maladies Respiratoires 22 (June 2005): 46–47. http://dx.doi.org/10.1016/s0761-8425(05)72946-6.

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Codsi, Marie-Pierre, Gilbert Sanche, Louise Authier, et al. "Elaboration d’une fiche d’évaluation du stage clinique en médecine de famille : processus et résultat." Pédagogie Médicale 21, no. 2 (2020): 91–99. http://dx.doi.org/10.1051/pmed/2020028.

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Abstract:
Contexte : Depuis l’implantation de l’approche par compétences en formation médicale, divers établissements dans le monde implantent des outils pour évaluer le progrès et les niveaux de maîtrise des compétences. Objectif : Décrire le processus d’élaboration collectif de la fiche d’appréciation du stage clinique (FASC) en médecine de famille et présenter son résultat. Cette fiche relie les activités professionnelles confiables (APC) et les compétences requises pour les réaliser. Méthode : Un groupe de travail mandaté par la direction universitaire du programme, de concert avec les 18 directeurs locaux de programme (DLP) dans les centres où se déroule la formation des résidents, a validé une liste d’APC par sondage. Dans un deuxième temps, lors d’une journée d’atelier, 47 participants (enseignants et DLP) ont décrit les niveaux de maîtrise à observer chez les résidents pour chaque APC. Résultats : Les travaux ont mené à la création d’une nouvelle FASC et d’un Guide de notation qui permettent d’évaluer 11 APC et les 7 compétences reconnues au Canada. L’appréciation des APC se base sur la confiance des enseignants envers le travail des résidents. Cinq « niveaux de confiance dans la délégation de responsabilité » (NiCDeR) ont été définis pour les principales compétences sollicitées par chaque APC. Conclusion : L’utilisation d’un processus de co-construction a permis d’augmenter la validité et la pertinence d’une nouvelle fiche d’évaluation des stages cliniques en médecine de famille et de favoriser son appropriation par les cliniciens-enseignants du programme.
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Zeller, Hans. "Paul Valéry, Cahiers 1894-1914. Édition intégrale établie, présentée et annotée sous la co-responsabilité de Nicole Celeyrette-Pietri et Judith Robinson-Valéry. Paris, Gallimard, t. I, 1987, t. Il, 1988, t. Ill, 1990." Genesis 2, no. 1 (1992): 183–90. http://dx.doi.org/10.3406/item.1992.901.

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Zenck Huerta, María del Carmen, Puiyen Urrutia Camchong, and Ingrid Ríos Rivera. "El desarrollo sostenible como política pública." Regions and Cohesion 8, no. 3 (2018): 45–69. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2018.080304.

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Abstract:
*Full article is in SpanishEnglish Abstract:Quito, the capital of Ecuador, was chosen by WWF in 2016 as one of the most sustainable cities in Latin America, a distinction it shares with Bogotá, Cali, Monteria, San Isidro, Miraflores, Rio de Janeiro, Recife and Belo Horizonte. To reach this recognition, the local governments of these cities implement economic, social and environmental policies that lay the legal foundations for an integrally sustainable and coherent development. This study explores the unique case of Quito, whose decentralized autonomous government implements a local public policy on social responsibility for the promotion of the sustainable development of the territory, based on corporate co-responsibility and citizen participation, incorporating international standards such as the Global Compact Principles, GRI, ISO 26000 and the SDGsSpanish Abstract:Quito, capital de Ecuador, fue elegida por WWF en 2016 como una de las ciudades más sostenibles en América Latina, distinción que comparte junto a Bogotá, Cali, Montería, San Isidro, Miraflores, Río de Janeiro, Recife y Belo Horizonte. Para llegar a este reconocimiento, los gobiernos locales de estas ciudades implementan políticas económicas, sociales y medioambientales que sientan las bases legales para un desarrollo sostenible integral y coherente. Este estudio explora el caso único de Quito, cuyo gobierno autónomo descentralizado implementa una política pública local en responsabilidad social para el fomento del desarrollo sostenible del territorio, sustentada en la corresponsabilidad corporativa y la participación ciudadana, incorporando normas internacionales como los Principios del Pacto Global, GRI, ISO 26000 y los Objetivos de Desarrollo Sostenible.French Abstract:Quito, la capitale de l’Équateur, a été choisie par le WWF en 2016 comme l’une des villes les plus durables d’Amérique latine, une distinction qu’elle partage avec Bogota, Cali, Monteria, San Isidro, Miraflores, Rio de Janeiro, Recife et Belo Horizonte. Pour parvenir à cette reconnaissance, les gouvernements locaux de ces villes mettent en oeuvre des politiques économiques, sociales et environnementales qui jettent les bases juridiques d’un développement durable intégral et cohérent. Cette étude explore le cas unique de Quito, dont le gouvernement autonome décentralisé met en oeuvre une politique publique locale de responsabilité sociale pour la promotion du développement durable du territoire, fondée sur la coresponsabilité des entreprises et la participation des citoyens, intégrant des normes internationales telles que le Pacte Mondial Principes, GRI, ISO 26000 et les ODD.
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Ollivier, Christian, and Luca Paltrinieri. "De la responsabilité individuelle au « vivre ensemble » : une recherche-action sur la sanction à l’école." Articles 48, no. 1 (2013): 35–56. http://dx.doi.org/10.7202/1018400ar.

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Abstract:
Nous rendons compte ici de la conduite d’une recherche-action sur la sanction dans deux classes d’une section BAC Professionnel d’une école de l’environnement de la Chambre de Commerce de Paris. Nous présentons la problématique de recherche à partir d’une perspective historique pour expliciter les présupposés théoriques de notre recherche et des solutions que nous avons esquissées : repenser collectivement les règles du « vivre ensemble » au lieu de réformer tout simplement le système de sanction. Nous décrivons ensuite la co-construction et l’évaluation d’un dispositif de recherche-action basé sur la participation active des étudiants, des enseignants, des chercheurs et qui a pour but de reformuler certaines parties du règlement de l’école.
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Fridman, Richard, Virginie Chan Sui Hing, Marc Doyon, Mistrale Goudreau, and Patrice Garant. "M. A. Banks, K. E. H. Foti, Banks on Using a Law Library, 6th ed., Student Edition, Scarborough, Carswell, 1994, 334 pages, ISBN 0-459-55252-X Brian B. Bruce (sous la direction de), Work, Unemployment and Justice/Le travail, le chômage et la justice, Montréal, Les Éditions Thémis, co-publié par le Canadian Institute for the Administration of Justice, 1994, 502 pages, ISBN 2-89400-045-6 Pierre Paul Côté, Christianne Dubreuil (sous la direction de), La Morale et le droit des affaires (Les journées Maximillien-Caron 1993), Montréal, Les Éditions Thémis, 1994, 448 pages, ISBN 2-89400-034-0 Claude Dallaire, Les dommages exemplaires sous le régime des Chartes, Montréal, Wilson et Lafleur Ltée, 1995, 125 pages, ISBN 2-89127-311-7 H. Patrick Glenn, Monique Ouellette (sous la direction de), Canadian Institute for the Administration of Justice, Culture, Justice and Law (1992)/La culture, la justice et le droit, Montréal, Les Éditions Thémis, 1994, 251 pages, ISBN 2-89400-037-5 Denis Lemay, Dominique Goubau, La recherche documentaire en droit, 1995, 3 éd., Montréal, Wilson & Lafleur Ltée, 1995, 250 pages, ISBN 2-89127-308-7 Pauline Lesage-Jarjoura, Jean Lessard, Suzanne Philips-Nootens, Éléments de responsabilité civile médicale — Le droit dans le quotidien de la médecine, Cowansville, Les Éditions Yvon Blais Inc., 1995, 376 pages, ISBN 2-89073-903-X Lyne Létourneau, L’expérimentation animale : L’homme, l’éthique et la loi, Montréal, Les Éditions Thémis, 1994, 198 pages, ISBN 2-89400-035-9 Ouvrage collectif, Développements récents en droit administratif (1993), 194 pages, ISBN 2-89073-851-5, Développements récents en droit administratif (1994), 240 pages, ISBN 2-89451-000-4, Montréal, Les Éditions Yvon Blais Inc." Revue générale de droit 26, no. 3 (1995): 503. http://dx.doi.org/10.7202/1035890ar.

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"La co-responsabilité budgétaire comparée au budget global." Schweizerische Ärztezeitung 93, no. 18 (2012): 668. http://dx.doi.org/10.4414/saez.2012.00527.

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"La co-responsabilité budgétaire comparée au budget global." Bulletin des Médecins Suisses 93, no. 18 (2012): 668. http://dx.doi.org/10.4414/bms.2012.00527.

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Deschênes, Michelle, and Thérèse Laferrière. "Le codesign d’une plateforme numérique fondé sur des principes au service de l’agentivité des enseignantes et des enseignants en contexte de développement professionnel | Co-Design of a Digital Platform Based on Principles Supporting Teachers’ Agency in the Context of Professional Development." Canadian Journal of Learning and Technology / La revue canadienne de l’apprentissage et de la technologie 45, no. 1 (2019). http://dx.doi.org/10.21432/cjlt27798.

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Abstract:
Les enseignantes et les enseignants du collégial partagent avec les établissements d’enseignement la responsabilité de leur développement professionnel. Cet article a trait au codesign d’une plateforme numérique au service de l’agentivité des enseignants en situation de développement professionnel. Le processus de codesign a inclus le repérage des freins au développement professionnel ainsi que l’identification des buts de niveau motivationnel. Les résultats mettent l’accent sur les buts fonctionnels et opérationnels qui permettent de soutenir les buts de niveau motivationnel.College teachers share with educational institutions the responsibility for their professional development. This article deals with the co-design of a digital platform supporting teachers’ agency in the context of their professional development. The co-design process included the identification of barriers to professional development, as well as the identification of goals at the motivational level. Results emphasize the functional and operational goals supporting motivational goals.
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Errecart, Amaia. "L'innovation sociale : un "faire ensemble" pour "faire monde commun" ? Circulation des discours et construction de représentations." Recherches en Communication 42 (January 9, 2017). http://dx.doi.org/10.14428/rec.v42i42.48323.

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Abstract:
Nous nous intéressons dans ce texte à la dimension sociologique, mais également communicationnelle et discursive de l’innovation sociale. Or, si l’utilisation de cette notion dans la sphère économique et entrepreneuriale a fait l’objet d’un nombre important d’études provenant des champs académique et professionnel – l’innovation sociale y étant fréquemment associée aux politiques de « responsabilité sociale des entreprises », de « développement durable » –, son usage dans la sphère publique et politique a été jusqu’ici moins abordé, particulièrement sous l’angle des discours auxquels elle donne lieu. Nous voulons dans ce texte analyser la manière dont la notion d’innovation sociale, qui est porteuse d’une représentation singulière de l’idée de « monde commun », a émergé dans les discours institutionnels. Nous cherchons donc à appréhender le processus d’institutionnalisation de l’innovation sociale dans les discours. Inscrivant notre recherche en sciences de l’information et de la communication, nous nous appuierons également sur les apports théoriques de la sociologie pragmatique, notamment la grille de lecture proposée par Pierre Dardot et Christian Laval autour du concept de commun, à partir notamment des notions de « co-activité » et de « praxis instituante » (Dardot & Laval, 2014). Notre démarche méthodologique portera sur l'étude d'un corpus comprenant un ensemble de textes institutionnels, analysés à partir de la méthode de l’analyse discursive, choisie pour l’intérêt qu’elle accorde à la dimension rhétorique et argumentative du discours, et pour son ambition critique.
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Fougeyrollas, Patrick. "Handicap." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.013.

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Abstract:
Handicap : nom commun d’origine anglo-saxonne dont l’étymologie proviendrait de Hand in Cap, une pratique populaire pour fixer la valeur d'échange d’un bien. Dans le domaine des courses de chevaux, le handicap vise à ajouter du poids aux concurrents les plus puissants pour égaliser les chances de gagner la course pour tous les participants. Il apparait dans le dictionnaire de l’Académie française dans les années 1920 dans le sens de mettre en état d’infériorité. Son utilisation pour désigner les infirmes et invalides est tardive, après les années 1950 et se généralise au début des années 1970. Par un glissement de sens, le terme devient un substantif qualifiant l’infériorité intrinsèque des corps différentiés par leurs atteintes anatomiques, fonctionnelles, comportementales et leur inaptitude au travail. Les handicapés constituent une catégorisation sociale administrative aux frontières floues créée pour désigner la population-cible de traitements socio-politiques visant l’égalisation des chances non plus en intervenant sur les plus forts mais bien sur les plus faibles, par des mesures de réadaptation, de compensation, de normalisation visant l’intégration sociale des handicapés physiques et mentaux. Ceci rejoint les infirmes moteurs, les amputés, les sourds, les aveugles, les malades mentaux, les déficients mentaux, les invalides de guerre, les accidentés du travail, de la route, domestiques et par extension tous ceux que le destin a doté d’un corps différent de la normalité instituée socio-culturellement dans un contexte donné, ce que les francophones européens nomment les valides. Dans une perspective anthropologique, l’existence de corps différents est une composante de toute société humaine (Stiker 2005; Fougeyrollas 2010; Gardou 2010). Toutefois l’identification de ce qu’est une différence signifiante pour le groupe culturel est extrêmement variée et analogue aux modèles d’interprétation proposés par François Laplantine (1993) dans son anthropologie de la maladie. Ainsi le handicap peut être conçu comme altération, lésion ou comme relationnel, fonctionnel, en déséquilibre. Le plus souvent le corps différent est un corps mauvais, marqueur symbolique culturel du malheur lié à la transgression d’interdits visant à maintenir l’équilibre vital de la collectivité. La responsabilité de la transgression peut être endogène, héréditaire, intrinsèque aux actes de la personne, de ses parents, de ses ancêtres, ou exogène, due aux attaques de microbes, de virus, de puissances malveillantes, génies, sorts, divinités, destin. Plus rarement, le handicap peut être un marqueur symbolique de l’élection, comme porteur d’un pouvoir bénéfique singulier ou d’un truchement avec des entités ambiantes. Toutefois être handicapé, au-delà du corps porteur de différences signifiantes, n’implique pas que l’on soit malade. Avec la médicalisation des sociétés développées, une fragmentation extrême du handicap est liée au pouvoir biomédical d’attribuer des diagnostics attestant du handicap, comme garde-barrière de l’accès aux traitements médicaux, aux technologies, à la réadaptation, aux programmes sociaux, de compensation ou d’indemnisation, à l’éducation et au travail protégé ou spécial. Les avancées thérapeutiques et de santé publique diminuent la mortalité et entrainent une croissance continue de la morbidité depuis la Deuxième Guerre mondiale. Les populations vivant avec des conséquences chroniques de maladies, de traumatismes ou d’atteintes à l’intégrité du développement humain augmentent sans cesse. Ceci amène l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à s’intéresser non plus aux diagnostics du langage international médical, la Classification internationale des maladies, mais au développement d’une nosologie de la chronicité : la Classification internationale des déficiences, des incapacités et des handicaps qui officialise une perspective tridimensionnelle du handicap (WHO 1980). Cette conceptualisation biomédicale positiviste situe le handicap comme une caractéristique intrinsèque, endogène à l’individu, soit une déficience anatomique ou physiologique entrainant des incapacités dans les activités humaines normales et en conséquence des désavantages sociaux par rapport aux individus ne présentant pas de déficiences. Le modèle biomédical ou individuel définit le handicap comme un manque, un dysfonctionnement appelant à intervenir sur la personne pour l’éduquer, la réparer, l’appareiller par des orthèses, des prothèses, la rétablir par des médicaments, lui enseigner des techniques, des savoirs pratiques pour compenser ses limitations et éventuellement lui donner accès à des subsides ou services visant à minimiser les désavantages sociaux, principalement la désaffiliation sociale et économique inhérente au statut de citoyen non performant ( Castel 1991; Foucault 1972). À la fin des années 1970 se produit une transformation radicale de la conception du handicap. Elle est étroitement associée à la prise de parole des personnes concernées elles-mêmes, dénonçant l’oppression et l’exclusion sociale dues aux institutions spéciales caritatives, privées ou publiques, aux administrateurs et professionnels qui gèrent leur vie. C’est l’émergence du modèle social du handicap. Dans sa tendance sociopolitique néomarxiste radicale, il fait rupture avec le modèle individuel en situant la production structurelle du handicap dans l’environnement socio-économique, idéologique et matériel (Oliver 1990). La société est désignée responsable des déficiences de son organisation conçue sur la performance, la norme et la productivité entrainant un traitement social discriminatoire des personnes ayant des déficiences et l’impossibilité d’exercer leurs droits humains. Handicaper signifie opprimer, minoriser, infantiliser, discriminer, dévaloriser, exclure sur la base de la différence corporelle, fonctionnelle ou comportementale au même titre que d’autres différences comme le genre, l’orientation sexuelle, l’appartenance raciale, ethnique ou religieuse. Selon le modèle social, ce sont les acteurs sociaux détenant le pouvoir dans l’environnement social, économique, culturel, technologique qui sont responsables des handicaps vécus par les corps différents. Les années 1990 et 2000 ont été marquées par un mouvement de rééquilibrage dans la construction du sens du handicap. Réintroduisant le corps sur la base de la valorisation de ses différences sur les plans expérientiels, identitaires et de la créativité, revendiquant des modes singuliers d’être humain parmi la diversité des êtres humains (Shakespeare et Watson 2002; French et Swain 2004), les modèles interactionnistes : personne, environnement, agir, invalident les relations de cause à effet unidirectionnelles propres aux modèles individuels et sociaux. Épousant la mouvance de la temporalité, la conception du handicap est une variation historiquement et spatialement située du développement humain comme phénomène de construction culturelle. Une construction bio-socio-culturelle ouverte des possibilités de participation sociale ou d’exercice effectif des droits humains sur la base de la Déclaration des droits de l’Homme, des Conventions internationales de l’Organisation des Nations-Unies (femmes, enfants, torture et maltraitance) et en l’occurrence de la Convention relative aux droits des personnes handicapées (CDPH) (ONU 2006; Quinn et Degener 2002; Saillant 2007). Par personnes handicapées, on entend des personnes qui présentent des incapacités physiques, mentales, intellectuelles ou sensorielles dont l’interaction avec diverses barrières peut faire obstacle à leur pleine et effective participation à la société sur la base de l’égalité avec les autres. (CDPH, Art 1, P.4). Fruit de plusieurs décennies de luttes et de transformations de la conception du handicap, cette définition représente une avancée historique remarquable autant au sein du dernier des mouvements sociaux des droits civiques, le mouvement international de défense des droits des personnes handicapées, que de la part des États qui l’ont ratifiée. Malgré le fait que l’on utilise encore le terme personne handicapée, le handicap ne peut plus être considéré comme une caractéristique de la personne ni comme un statut figé dans le temps ni comme un contexte oppressif. Il est le résultat d’une relation dont il est nécessaire de décrire les trois composantes anthropologiques de l’être incarné : soi, les autres et l’action ou l’habitus pour en comprendre le processus de construction singulier. Le handicap est situationnel et relatif , sujet à changement, puisqu’il s’inscrit dans une dynamique interactive temporelle entre les facteurs organiques, fonctionnels, identitaires d’une part et les facteurs contextuels sociaux, technologiques et physiques d’autre part, déterminant ce que les personnes ont la possibilité de réaliser dans les habitudes de vie de leurs choix ou culturellement attendues dans leurs collectivités. Les situations de handicap ne peuvent être prédites à l’avance sur la base d’une évaluation organique, fonctionnelle, comportementale, identitaire ou de la connaissance de paramètres environnementaux pris séparément sans réintroduire leurs relations complexes avec l’action d’un sujet définissant le sens ou mieux incarnant la conscience vécue de cette situation de vie. Suite au succès de l’expression personne en situation du handicap en francophonie, on remarque une tendance à voir cette nouvelle appellation remplacer celle de personne handicapée. Ceci est généralement interprété comme une pénétration de la compréhension du modèle interactionniste et socio constructiviste. Toutefois il est inquiétant de voir poindre des dénominations comme personnes en situation de handicap physique, mental, visuel, auditif, intellectuel, moteur. Cette dérive démontre un profond enracinement ontologique du modèle individuel. Il est également le signe d’une tendance à recréer un statut de personne en situation de handicap pour remplacer celui de personne handicapée. Ceci nécessite une explication de la notion de situation de handicap en lien avec le concept de participation sociale. Une personne peut vivre à la fois des situations de handicap et des situations de participation sociale selon les activités qu’elle désire réaliser, ses habitudes de vie. Par exemple une personne ayant des limitations intellectuelles peut vivre une situation de handicap en classe régulière et avoir besoin du soutien d’un éducateur spécialisé mais elle ne sera pas en situation de handicap pour prendre l’autobus scolaire pour se rendre à ses cours. L’expression personne vivant des situations de handicap semble moins propice à la dérive essentialiste que personne en situation de handicap. Le phénomène du handicap est un domaine encore largement négligé mais en visibilité croissante en anthropologie. Au-delà des transformations de sens donné au terme de handicap comme catégorie sociale, utile à la définition de cibles d’intervention, de traitements sociaux, de problématiques sociales pour l’élaboration de politiques et de programmes, les définitions et les modèles présentés permettent de décrire le phénomène, de mieux le comprendre mais plus rarement de formuler des explications éclairantes sur le statut du handicap d’un point de vue anthropologique. Henri-Jacques Stiker identifie, en synthèse, cinq théories du handicap co-existantes dans le champ contemporain des sciences sociales (2005). La théorie du stigmate (Goffman 1975). Le fait du marquage sur le corps pour indiquer une défaveur, une disgrâce, un discrédit profond, constitue une manière de voir comment une infirmité donne lieu à l’attribution d’une identité sociale virtuelle, en décalage complet avec l’identité sociale réelle. Le handicap ne peut être pensé en dehors de la sphère psychique, car il renvoie toujours à l’image de soi, chez celui qui en souffre comme celui qui le regarde. Le regard d’autrui construit le regard que l’on porte sur soi mais en résulte également (Stiker 2005 :200). La théorie culturaliste qui met en exergue la spécificité des personnes handicapées, tout en récusant radicalement la notion même de handicap, est enracinée dans le multiculturalisme américain. Les personnes handicapées se constituent en groupes culturels avec leurs traits singuliers, à partir de conditions de vie, d’une histoire (Stiker 2005). Par exemple au sein des Disability Studies ou Études sur le handicap, il est fréquent de penser que seuls les corps différents concernés peuvent véritablement les pratiquer et en comprendre les fondements identitaires et expérientiels. L’exemple le plus probant est celui de la culture sourde qui se définit comme minorité ethno-linguistique autour de la langue des signes et de la figure identitaire du Sourd. On fera référence ici au Deaf Studies (Gaucher 2009). La théorie de l’oppression (Oliver 1990). Elle affirme que le handicap est produit par les barrières sociales en termes de déterminants sociologiques et politiques inhérents au système capitaliste ou productiviste. Les personnes sont handicapées non par leurs déficiences mais par l’oppression de l’idéologie biomédicale, essentialiste, individualiste construite pour empêcher l’intégration et l’égalité. Ce courant des Disability Studies s’inscrit dans une mouvance de luttes émancipatoires des personnes opprimées elles-mêmes (Stiker 2005 : 210; Boucher 2003) La théorie de la liminalité (Murphy 1990). Par cette différence dont ils sont les porteurs, les corps s’écartent de la normalité attendue par la collectivité et sont placés dans une situation liminale, un entre-deux qu’aucun rite de passage ne semble en mesure d’effacer, de métamorphoser pour accéder au monde des corps normaux. Cette théorie attribue un statut anthropologique spécifique au corps handicapé sans faire référence obligatoire à l’oppression, à l’exclusion, à la faute, ou au pouvoir. Marqués de façon indélébile, ils demeurent sur le seuil de la validité, de l’égalité, des droits, de l’humanité. La théorie de l’infirmité comme double, la liminalité récurrente de Stiker (2005). L’infirmité ne déclenche pas seulement la liminalité mais en référant à la psychanalyse, elle est un véritable double. La déficience est là, nous rappelant ce que nous n’aimons pas et ne voulons pas être, mais elle est notre ombre. Nous avons besoin de l’infirmité, comme de ceux qui la portent pour nous consoler d’être vulnérable et mortel tout autant que nous ne devons pas être confondus avec elle et eux pour continuer à nous estimer. Ils sont, devant nous, notre normalité, mais aussi notre espoir d’immortalité (Stiker 2005 : 223)
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