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Journal articles on the topic 'Codes de déontologie'

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Hampson, Françoise J. "Conscience in Conflict: The Doctor’s Dilemma." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 27 (1990): 203–25. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800003817.

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Abstract:
SommaireCet article examine la réserve faite par les États-Unis en ce qui concerne l’article 10 du Protocole II des Conventions de Genève de 1949, en vue d’éviter que les médecins militaires puissent faire appel à la déontologie médicale d’une telle façon qu’ils mettent en cause l’administration interne des forces armées américaines, y compris l’administration de la justice militaire.Le plan de l’article est le suivant: après avoir expliqué la protection donnée aux fonctions médicales par les Conventions et les Protocoles, l’auteur passe en revue les deux codes de déontologie médicale prévoyant une situation de conflit armé, et suggère qu’ils représentent le contenu reconnu couramment de la "déontologie médicale." Elle précoràse qu’un état indique son acceptation du contenu de ces codes au moyen d’une déclaration interprétative, évitant ainsi les conséquences peu souhaitables d’une réserve.Les situations dans lesquelles il pourrait y avoir un conflit entre la déontologie médicale et un ordre militaire sont examinées dans le cadre du "U.S. Uniform Code of Military Justice." La réserve américaine ne paraît pas nécessaire. Les raisons l’appuyant sont analysées, tenu compte de la décision dansU.S.v.Levy, mais sont jugées insuffisantes.Les effets fâcheux qu’aurait une réserve sont examinés, à la fois isolément et dans le cadre des autres articles traitant des principes de la déontologie médicale et de la réaction prévisible des autres états ratifiant le Protocole.La conclusion de l’auteur est que les États-Unis devraient remplacer leur réserve par une déclaration interprétative.
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Snelling, Paul. "Comparaison des codes de déontologie selon les pays." Soins 62, no. 818 (September 2017): 29–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.soin.2017.06.012.

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Legault, Georges A. "Les codes de déontologie et d'ethique aux confins de l'éthique et du droit." Canadian journal of law and society 11, no. 1 (1996): 1–20. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100004579.

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Abstract:
RésuméComment analyser et comprendre l'importance que prend l'éthique notamment avec la prolifération des codes de déontologie et d'éthique dans notre société? L'auteur nous propose d'analyser ce phénomène social à partir des codes, des discours les légitimant, et de leur application. Cette analyse permet de cerner deux approches en tension dans cette forme de régulation sociale. La première s'inscrit dans la tradition juridique de la sanction des conduites; la seconde propose, malgré le contexte légal de son apparition, une avancée éthique d'actualisation de valeurs partagées. La tension existante entre ces deux modes de régulation sociale de l'activité occupationnelle permet d'éclairer un des aspects de la critique du droit dans la modernité: l'hégémonie du droit sur toute autre forme de régulation sociale.
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Guilhaume, Geneviève. "Ethique et déontologie dans le processus de professionnalisation des coachs." Revue Communication & professionnalisation, no. 6 (July 9, 2018): 11–30. http://dx.doi.org/10.14428/rcompro.v0i6.3423.

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Abstract:
Dans cet article, nous analysons le rôle de l’éthique et de la déontologie dans le coaching, sa contribution à la professionnalisation des coachs et des managers. Le coaching est considéré comme un dispositif communicationnel destiné à transformer les managers en communicants pour de meilleures performances économiques. Les codes de déontologie développés par les associations de coachs sont destinés à promouvoir et à légitimer la profession. A partir des concepts de Ricœur, on peut montrer l’existence d’une éthique de soi dans le coaching, qui, par ses valeurs morales, légitimerait l’action sur la psyché dans le cadre d’une relation de confiance, qui vise à imputer à l’individu la responsabilité de ses actes ; le coach se doit d’intégrer un idéal du Moi, auquel s’identifie le manager coaché. Cette éthique de soi ne se traduit pas toujours par un pouvoir d’agir, les initiatives des managers se retrouvant prises dans des injonctions paradoxales. Le coaching transmettrait bien aux managers un pouvoir de communication, qui consisterait à euphémiser le pouvoir de décision économique du sommet, rendant parfois les coachs et les salariés « responsables » de choix imposés. L’éthique du coaching dépend donc de la sagesse pratique des coachs, issue des convictions et de l’expérience personnelle. In this article, we are offering an analysis of the role of ethics and deontology inside coaching and its contribution to coaches and managers guidance. Coaching is seen as a communicational program, intended to transform managers into communicators, for best economical performances. Deontological codes of coaches’ associations are meant to promote their profession and have it recognized. Based on Ricoeur’s concepts, we can show the existence of a moral code of ethic in the coaching process, which through its moral values, would justify a work on the psyche within the framework of a trust relationship, which aims at giving responsibilities to the individual; the coach must integrate an « ideal of myself », to which the coached manager identifies. This self ethic isn’t always expressed by an empowerment, as the managers’ initiatives are being caught in paradoxical orders. Coaching then would pass on to the managers a power of communication, which would consist in euphemizing the economical power of top, so that the coaches and the employees feel being « responsible » of the choices imposed upon them. Ethical coaching depends, on coaches’ « practical wisdom », issued from convictions and personal experience.
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Smyth, Gemma. "Strengthening Social Justice in Informal Dispute Resolution Processes Through Cultural Competence." Windsor Yearbook of Access to Justice 27, no. 1 (February 1, 2009): 112. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v27i1.4565.

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Abstract:
Professor Voyvodic’s call for cultural competence as an ethical requirement challenges perceptions of the legal profession as inherently and necessarily morally neutral. While lawyers wrestle with the boundaries of ethical mandates, alternative dispute resolution practitioners have adopted their own codes of ethics following very much in the path of the law. Although expanding dispute resolution options for disputants, many theorists have warned of the potential of informalism to undermine natural justice principals. I will argue that the choice to omit any explicit commitment to a “social justice ethic” leaves the practice of ADR vulnerable to these decades-old arguments that informalism erodes protections for marginalized populations. As such, I will argue that mediators must call for an explicit social justice mandate in their codes of conduct, training and practices to cement the place of informal processes as equitable – not just efficient – options for settlement. In doing so, informal processes, particularly mediation, may increase discourse in civil society about human rights, thus strengthening their congruence with lived realities of citizens.L’appel que fait la professeure Voyvodic en faveur de compétence culturelle comme exigence éthique lance un défi aux avocats de considérer la compétence culturelle comme étant centrale à leur rôle professionnel, et conteste les suppositions de neutralité morale qui sont centrales à la pratique juridique traditionnelle. Pendant que les avocats débattent les frontières de mandats éthiques, ceux et celles qui s’intéressent au règlement extrajudiciaire de conflits (REC) ont adopté leurs propres codes de déontologie qui, suivant de près les sentiers du droit, omettent généralement toute mention de justice sociale, de compétence culturelle ou de droits de la personne. À mon avis, le choix d’omettre un engagement explicite envers la compétence culturelle et la justice sociale expose la pratique du REC aux arguments vieux de plusieurs décennies que l’informalisme ronge les protections pour les populations marginales. Ainsi je soutiendrai que les médiateurs doivent exiger un mandat explicite de justice sociale dans leurs codes de déontologie, leur formation et leurs pratiques afin de cimenter la place des processus informels comme alternatives équitables – et non seulement efficaces – de règlement de conflits. De cette façon, les processus informels, surtout la médiation, pourraient devenir des lieux importants de discours au sujet des droits de la personne qui reflètent mieux les défis envisagés par les membres les plus vulnérables de la société.
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Chappoz, Yves, Thierry Côme, Philippe Dorbaire, and Pierre-Charles Pupion. "Valeurs et régulation de systèmes universitaires : l’élaboration des codes de déontologie en France et dans les pays du CAMES." Gestion 2000 32, no. 5 (2015): 39. http://dx.doi.org/10.3917/g2000.325.0039.

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Garant, Patrice. "L’adjudication des contrats gouvernementaux sous les feux de l’enquête Gomery : pour une gestion efficace et éthique de la publicité gouvernementale." Colloque : L'État en marche, transparence et reddition de comptes 36, no. 4 (October 31, 2014): 831–53. http://dx.doi.org/10.7202/1027173ar.

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Abstract:
L’enquête Gomery sur les commandites et la publicité gouvernementales n’oblige pas à revoir le cadre juridique de l’adjudication des contrats gouvernementaux. Les contraintes actuelles ne sont pas trop rigides et ne gênent pas l’efficacité. Le régime juridique du contrat administratif est bien connu : nous en donnons un aperçu. Un seul texte a dû être modifié au cours de la crise provoquée par le scandale, l’Annexe Q de la Directive du Conseil du Trésor concernant les contrats de publicité. L’ensemble des règles peuvent prévenir le laxisme au détriment de la primauté de l’intérêt public et d’une pratique éthique. Ces règles peuvent assurer la transparence et l’imputabilité dans le cas des types de contrats sensibles où le choix du cocontractant exige une appréciation de la qualité plutôt que de la quantité, ou si ce choix implique un élément de confiance personnelle. Pourquoi tant se préoccuper de cette question ? Il faut évidemment éviter les dérapages du genre de celui que racontent de long en large le Rapport Gomery et ceux de la Vérificatrice générale du Canada. Elle est toutefois encore de grande actualité : la presse faisait état en avril 2006 de coûteuses irrégularités au ministère de la Défense dans l’octroi des contrats de services informatiques; le 12 mars, elle faisait état de pratiques irrégulières qui persistent au ministère fédéral de l’Industrie. L’encadrement de l’adjudication des contrats de publicité ou commandites par le Règlement et l’imposante Directive du Conseil du Trésor nous paraît adéquat et susceptible de prévenir de nouveaux dérapages. Mais les meilleurs textes appliqués par des personnes peu scrupuleuses ou à l’éthique faible ne pourront à eux-mêmes enrayer le scandale que nous ont décrit les différents rapports. En outre, il ne faut pas négliger les dispositions à caractère pénal, ainsi que les codes de déontologie censés connus des agents publics et fonctionnaires à l’époque du scandale des commandites.
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Goldschmidt, Jona, and Loretta Stalans. "LAWYERS’ PERCEPTIONS OF THE FAIRNESS OF JUDICIAL ASSISTANCE TO SELF-REPRESENTED LITIGANTS." Windsor Yearbook of Access to Justice 30, no. 1 (February 1, 2012): 139. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v30i1.4363.

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Abstract:
How much assistance should a trial judge provide a self-represented litigant [SRL] before the judge’s impartiality will be reasonably questioned? This question has been of continuing concern to both the bench and bar ever since the rise of the pro se litigation movement in the late 1990s, particularly in the context of “mixed” cases involving an SRL and a represented party. Case law and ethics codes provide inconsistent decisions and vague guidelines for judges, who must balance their duty to provide reasonable assistance with their duty to ensure a fair trial for all parties. This paper reports the results of a survey administered to 210 Canadian family law practitioners who were presented with 16 hypothetical scenarios involving an SRL and a represented party. Respondents indicated their views regarding the impartiality and helpfulness of the trial judge in each scenario, involving various procedural defaults by the SRL and different forms of judicial assistance or lack thereof. The results indicate that lawyers' perceptions of a judge's impartiality are affected, inter alia, by the favourability of the outcome for the SRL, and whether the assistance provided dealt with procedural or substantive matters. Future research is needed to determine whether a consensus can be established regarding perceptions of lawyers, lay persons, and judges regarding which forms of assistance are reasonable and required, permissible, or impermissible.Jusqu’à quel point un juge de première instance peut-il venir en aide à une partie qui se représente elle-même sans que son impartialité puisse raisonnablement être mise en doute? Cette question ne cesse de préoccuper les juges et les avocats depuis l’essor qu’a pris le phénomène de l’autoreprésentation à la fin des années 1990, en particulier dans le contexte des cas « mixtes », impliquant une partie qui se représente elle-même et une partie représentée par un avocat. La jurisprudence et les codes de déontologie fournissent des décisions contradictoires et des lignes directrices vagues aux juges, qui doivent trouver un équilibre entre leur devoir de fournir une aide raisonnable et leur obligation d’assurer un procès équitable à toutes les parties. Le présent article expose les résultats d’une enquête réalisée auprès de 210 spécialistes du droit de la famille du Canada, auxquels on a soumis 16 scénarios hypothétiques impliquant une partie se représentant elle-même et une partie représentée par un avocat. Les répondants ont indiqué leur point de vue quant à l’impartialité et à l’aide accordée par le juge de première instance dans chacun des scénarios. Les scénarios comportaient diverses erreurs de procédure commises par la partie se représentant elle-même et différentes formes d’aide judiciaire ou l’absence d’aide de cette nature. Les résultats indiquent que la façon dont les avocats perçoivent l’impartialité d’un juge est affectée, entre autres, par la mesure dans laquelle l’issue est favorable pour la partie se représentant elle-même et par le fait que l’aide a porté sur des procédures ou sur des questions de fond. Il faudra d’autres recherches pour déterminer si un consensus peut être atteint relativement à la façon dont les avocats, les non-initiés et les juges perçoivent les formes d’aide qui sont raisonnables et requises, autorisées ou interdites.
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De la Broise, Patrice. "La lutte pour la reconnaissance ?" Revue Communication & professionnalisation, no. 1 (May 5, 2013): 33–50. http://dx.doi.org/10.14428/rcompro.vi1.233.

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Abstract:
À travers un dispositif textuel à caractère déontique, cette communication interroge l’agentivité de codes professionnels, chartes et autres manifestes dans leur contribution performative à la professionnalisation des communicateurs. L’appareillage déontique qui sert une professionnalisation aux prises avec la multiplicité de métiers relevant de secteurs, champs et fonctions multiples, sert également la reconnaissance des associations, syndicats et autres représentants qui revendiquent leur légitimité de porte-parole. Par-delà un corpus documentaire restreint, cette communication interroge la manière dont des regroupements professionnels contribuent à une régulation interne et externe de leurs métiers et fonctions de référence. Ce faisant, l’analyse ouvre sur la lecture dynamique d’une structuration « par défaut » (législatif et réglementaire) où la segmentation n’opère pas seulement sur le mode de la différenciation de territoires à géométrie variable et la revendication de leur souveraineté, mais aussi par un travail d’accompagnement et d’encadrement des professionnels en exercice. Cette contribution constitue donc une invitation à poursuivre, dans l’espace francophone, l’analyse dynamique d’une professionnalisation disputée par de multiples instances représentatives, sur différents modes rhétoriques (juridique, déontologique, militant, casuistique…) et services (édition, événements, formation, conseil…) aux professionnels.
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Tanovich, David M. "Learning to Act Like a Lawyer: A Model Code of Professional Responsibility for Law Students." Windsor Yearbook of Access to Justice 27, no. 1 (February 1, 2009): 76. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v27i1.4564.

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Abstract:
Law students are the future of the legal profession. How well prepared are they when they leave law school to assume the professional and ethical obligations that they owe themselves, the profession and the public? This question has led to a growing interest in Canada in the teaching of legal ethics. It is also led to a greater emphasis on the development of clinical and experiential learning as exemplified in the scholarship and teaching of Professor Rose Voyvodic. Less attention, however, has been placed on identifying the general ethical responsibilities of law students when not working in a clinic or other legal context. This can be seen in the presence of very few Canadian articles exploring the issue, and more significantly, in the paucity of law school discipline policies or codes of conduct that set out the professional obligations owed by law students. This article develops an idea that Professor Voyvodic and I talked about on a number of occasions. It argues that all law schools should have a code of conduct which is separate and distinct from their general University code and which resembles, with appropriate modifications, the relevant set of rules of professional responsibility law students will be bound by when called to the Bar. A student code of conduct which educates law students about their professional obligations is an important step in deterring such conduct while in law school and preparing students for ethical practice. The idea of a law school code of professional responsibility raises a number of questions. Why is it necessary for law schools to have their own student code of conduct? The article provides a threefold response. First, law students are members of the legal profession and a code of conduct should reflect this. Second, it must be relevant and comprehensive in order to ensure that it can inspire students to be ethical lawyers. And, third, as a practical matter, the last few years have witnessed a number of incidents at law schools that raise serious issues about the professionalism of law students. They include, for example, the UofT marks scandal, the Windsor first year blog and the proliferation of blogs like www.lawstudents.ca and www.lawbuzz.ca with gratuitous, defamatory and offensive entries. It is not clear that all of this conduct would be caught by University codes of conduct which often limit their reach to on campus behaviour or University sanctioned events. What should a law school code of professional responsibility look like and what ethical responsibilities should it identify? For example, should there be a mandatory pro bono obligation on students or a duty to report misconduct. The last part of the article addresses this question by setting out a model code of professional responsibility for law students.Les étudiants et étudiantes en droit constituent l’avenir de la profession juridique. Comment bien préparés sont-ils lorsqu’ils quittent la faculté de droit pour assumer leurs obligations professionnelles et éthiques envers eux-mêmes, envers la profession et envers le public? Cette question a mené à un intérêt grandissant au Canada à l’enseignement de l’éthique juridique. Elle a aussi mené à plus d’emphase sur le développement de formation clinique et expérientielle tel que l’exemplifie le savoir et l’enseignement de la professeure Rose Voyvodic. Toutefois, moins d’attention a été consacrée à identifier les responsabilités éthiques générales d’étudiants et étudiantes en droit lorsqu’ils n’oeuvrent pas dans une clinique ou dans un autre contexte légal. Cela se voit dans les faits qu’il y a très peu d’articles canadiens qui portent sur la question, et, de plus grande importance, qu’il y a pénurie, au sein de facultés de droit, de politiques disciplinaires ou de codes déontologiques qui présentent les obligations professionnelles d’étudiants et étudiantes en droit. Cet article développe une idée que j’ai discuté avec la professeure Voyvodic à un nombre d’occasions. Il soutient que toutes les facultés de droit devraient avoir un code déontologique séparé et distinct du code général de leur université et qui ressemble, avec les modifications appropriées, à l’ensemble pertinent de règlements de responsabilité professionnelle que devront respecter les étudiants et étudiantes en droit lorsqu’ils seront reçus au barreau. Un code déontologique étudiant qui renseigne les étudiants et étudiantes au sujet de leurs obligations professionnelles est une étape importante pour dissuader une telle conduite pendant qu’ils sont à la faculté et pour les préparer en vue d’une pratique fondée sur l’éthique. Le concept d’un code de responsabilité professionnelle pour une faculté de droit soulève un nombre de questions. Pourquoi est-ce nécessaire que les facultés de droit aient leur propre code déontologique? L’article répond en trois temps. D’abord, les étudiants et étudiantes en droit font partie de la profession juridique et un code déontologique devrait refléter cela. Deuxièmement, il doit être pertinent et compréhensif afin d’assurer qu’il puisse inspirer les étudiants et étudiantes à être des avocats qui suivent les normes d’éthique. Et troisièmement, d’ordre pratique, au cours des quelques dernières années, on a été témoins d’un nombre d’incidents à des facultés de droit qui soulèvent des questions importantes en rapport avec le professionnalisme d’étudiants et d’étudiantes en droit. Ils incluent, par exemple, le scandale au sujet de notes à l’université de Toronto, les blogues de la première année à Windsor et la prolifération de blogues tels que www.lawstudents.ca et www. lawbuzz.ca contenant des commentaires injustifiés, diffamatoires et offensifs. Il n’est pas clair si tous ces comportements seraient captés par des codes déontologiques universitaires dont la portée se limite souvent au comportement sur campus ou aux événements sanctionnés par l’université. Quel aspect devrait présenter un code de responsabilité professionnelle pour une faculté de droit et quelles responsabilités éthiques devrait-il identifier? Par exemple, devrait-il y avoir une obligation pro bono impérative pour les étudiants et étudiantes ou le devoir de rapporter une mauvaise conduite. La dernière partie de l’article porte sur cette question en présentant un modèle de code de responsabilité professionnelle pour les étudiants et étudiantes en droit.
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Stewart, Kristine. "Comparative Ethics: In Theory and Practice." Proceedings of the Annual Conference of CAIS / Actes du congrès annuel de l'ACSI, October 21, 2013. http://dx.doi.org/10.29173/cais605.

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Abstract:
This paper is a historical and cross-cultural examination of library ethics codes and policy documents from Argentina, France, Egypt, and Japan. This paper examines both the documents themselves as well as the cultures from which they sprung. Common themes as well as unique components of these codes are identified.Cet article est un examen historique et interculturel des codes de déontologie et des politiques relatives aux documents en vigueur dans des bibliothèques en Argentine, en France, en Égypte et au Japon. On y examine à la fois les documents ainsi que la culture dont ils sont issus. On y relève les thèmes communs ainsi que les éléments uniques.
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Loneux, Catherine. "Communication institutionnelle : codes de déontologie et usage spécifique de la notion de crise." Communication et organisation, no. 16 (November 1, 1999). http://dx.doi.org/10.4000/communicationorganisation.2261.

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"Journée d'étude Isidora-ADBS. La responsabilité juridique des professionnels de l'information-documentation et les codes de déontologie." Documentaliste-Sciences de l'Information 44, no. 3 (2007): 237. http://dx.doi.org/10.3917/docsi.443.0237.

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Massé, Raymond. "Morale." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.019.

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Dans toutes les sociétés, à toutes les époques, l’homme porte des jugements de valeurs sur des pratiques individuelles ou collectives qu’il estimera bonnes ou mauvaises, justes ou injustes, honorables ou déshonorantes, vertueuses ou vicieuses, honnêtes ou malhonnêtes. Il pourra s’agir de ses propres comportements, de ceux d’autres membres de sa société ou ceux d’autres sociétés. La morale réfère alors aux conceptions du bien et du mal, du juste et de l’injuste, de l’acceptable et du répréhensible, à ce qui est noble ou infâme, louable ou blâmable dans ces comportements humains. Elle réfère en fait à l’ensemble des normes et des règles qui serviront de balises permettant à l’individu de transposer ces conceptions idéalisées dans des pratiques morales (Massé 2015). Ces jugements seront construits à partir de la perception du non respect de normes relevant tantôt de lois divines et de prescriptions ou d’interdits religieux, tantôt de conventions proprement sociales ou de principes séculiers liés à la conception de la nature humaine. Toutes les normes sociales ne sont pas des normes morales (même si l’inverse est vrai). Certaines normes sociales régissant les interactions au sein d’une société se mueront en normes morales dès lors que des valeurs fondamentales (ex. : justice, honnêteté, sincérité, responsabilité, respect de la vie) seront en cause. La morale n’est donc pas confinée au champ du religieux. Si les pères de l’anthropologie de la fin du XIXe siècle tel Edward Taylor et James Frazer niaient toute aptitude à la pensée morale chez les peuples «primitifs» animistes, réservant la morale aux cultures reposant sur le monothéisme (seules jugées aptes à développer de véritables systèmes moraux), Émile Durkheim et Lucien Lévy-Bruhl resitueront la morale dans le champ du social. Les moralités sont dès lors considérées comme des produits des interactions sociales telles qu’elles sont incarnées dans la culture. Ainsi, pour Durkheim, les faits moraux sont parties intégrantes de tous les autres domaines sociaux (ex. religion, parenté, économie). Pour agir moralement, il faut agir d'après les fins de la société et au nom de la cohésion sociale. Après avoir documenté la pluralité des morales, soulevé la question du relativisme et redéfini les faits moraux comme faits sociaux, l’anthropologie défendra l’idée qu’ «il n’y a pas de peuple qui n’ait sa morale» (Durkheim, 2005[1903]), voire que l’homme, dans toutes les sociétés, est fondamentalement un philosophe apte au jugement et au raisonnement moral (Radin, 1957[1927]). Dans la foulée de la « science des mœurs » à laquelle Lucien Lévy-Bruhl (1903) convie la discipline, il est suggéré (Edel et Edel, 1968) que la morale étudiée par l’anthropologie recouvre l’étude « des règles choisies pour enjoindre et interdire (c'est-à-dire un ensemble de commandements), des traits de caractères valorisés ou à éviter (vertus et vices); des buts et de moyens (idéaux et valeurs instrumentales); un concept englobant de communauté morale et un ensemble de qualifications définissant une personne responsable; une sélection plus ou moins précise de termes et de règles linguistiques du discours moral; […] et, impliqués dans tous ces éléments, certaines perspectives existentielles et visions de l’homme, de ses outils, de sa place dans la nature, de la condition humaine » (Edel 1962 : 69). L’analyse descriptive comparative devrait alors cohabiter avec un souci pour la recherche de possibles universaux moraux (Linton 1952 ; Hatch 1983), alors que d’autres souligneront les limites et les dangers d’un relativisme moral radical (Macklin 1999). Si la morale se décline en autant de variantes qu’il existe de cultures, l’anthropologie n’en reconnaît pas moins divers types de morales à l’intérieur de chaque société. En particulier, l’individu évolue au carrefour de morales institutionnelles et d'une morale de sens commun. Les morales institutionnelles sont celles qui offrent des systèmes explicites de normes morales. Celles des grandes religions en sont les prototypes avec des règles et des normes à respecter et des vertus à promouvoir. Celles proposées, ailleurs, par les autorités religieuses et politiques, ou indirectement à travers les vertus des héros traditionnels ou de certaines divinités, en sont d’autres exemples. Tout comme, d’ailleurs, les morales véhiculées par les institutions publiques nationales ou internationales ou les corporations professionnelles, généralement sous la forme de codes de déontologie ou de codes d’éthique. Toutefois, l’intérêt de l’anthropologie se porte tout autant sur la morale vécue au quotidien, ce que Mikael Lambek désigne comme l’« éthique ordinaire » soit une éthique « relativement tacite, plus ancrée dans les accords communs que dans la règle, dans la pratique plutôt que dans la connaissance ou les croyances, et survenant sans attirer l’attention sur elle » (Lambek, 2010 : 2). Cette morale ordinaire n’est pas qu’une question de règles et des normes à suivre, d’analyse rationnelle de ce qui est bien ou mal. Elle s’exprime aussi sous forme d’une morale de sens commun, soit un habitus qui permet à l’individu d’agir la plupart du temps de façon moralement appropriée sans analyse éthique préalable de leurs pratiques ou décisions. Elle constitue une forme de morale incorporée que Jarret Zigon définit comme un ensemble de «dispositions incorporées [déterminant] un mode quotidien d’être au monde pour l’individu» (Zigon, 2008 : 164). L’anthropologie contemporaine de la morale a pris ses distances avec plusieurs des postulats classiques de l’anthropologie culturaliste (Massé 2015). Notons d’abord un premier postulat empiriste qui faisait de la morale un ensemble fini, stable, saisissable empiriquement à travers ses principaux fondements (normes, valeurs, vertus). Ensuite, un postulat rationaliste qui la ramenait à un système cohérent de normes à travers lequel évolue l’individu doté d’une capacité de raisonnement moral. L’anthropologie de l’éthique (voir entrée « éthique »), analysera tout particulièrement la place de la liberté, de l’agentivité et de l’esprit critique dans la définition des postures morales. Le postulat, encore, voulant que la morale ait une influence directe sur l’individu sans interférences avec les facteurs sociaux et politiques (la morale n’est pas qu’un fait de culture). Et surtout, le postulat essentialiste voulant que tous les membres d’une société adhèrent, indifféremment, à ce système de normes morales. Rejetant ces postulats, la morale est aujourd'hui considérée comme un ensemble de normes et de règles en évolution constante au travers desquelles l'individu navigue et négocie une position morale adaptée aux divers contextes et circonstances. Surtout, la morale est abordée comme lieu de pouvoir. Dans toute société, elle est promue par certains groupes d’intérêt (par exemple religieux, sexuels, de classe, ethniques). L’anthropologie de la morale s’intéressera ainsi aux usages sociaux et politiques de la morale. Bref, une anthropologie des moralités devra s’intéresser tout autant à l’identification de ceux qui la définissent et s’assurent de l’application, qu’à l’analyse de la distribution sociale (inégalitaire) des interdits, des responsabilités et de l’application des règles morales aux diverses catégories sociales (Howel 1997).
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Cobo Suero, Juan Manuel. "Universidad y ética profesional." Teoría de la Educación. Revista Interuniversitaria 15 (November 13, 2009). http://dx.doi.org/10.14201/3051.

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Abstract:
RESUMEN: En el marco del derecho a la formación permanente, la formación en ética profesional representa un paso en la educación moral de las personas, cuyo espacio más lógico de aprendizaje coincide con la formación profesional inicial (en la universidad, diremos en adelante tomando la parte por el todo). En lo que respecta a la relevancia de este aprendizaje, a la importancia social de la ética profesional hay que añadir su importancia para la realización y el vivir con sentido del profesional. Para la elucidación de los principios/ valores de esta ética profesional hay que acudir a dos fuentes: la tradicional de los filósofos éticos y pensadores afines y la de los colectivos de profesionales que elaboran los códigos éticos o deontológicos. De la conjunción de ambas resultan cinco principios/ valores principales: 1) dignidad, libertad, igualdad y derechos humanos, 2) justicia conmutativa y social, 3) autonomía profesional y deontológica, 4) beneficencia y 5) responsabilidad profesional. La enseñanza-aprendizaje de la ética profesional interpela al conjunto del profesorado, lo que no excusa de su inclusión como asignatura en los planes de estudio. Para esta asignatura se proponen cuatro bloques de contenidos y algunas sugerencias metodológicas. El artículo termina con algunas informaciones sobre la enseñanza de la ética profesional en la universidad española.ABSTRACT: Within the framework of Continuing Education, the study of professional Ethics appears as a natural step towards the moral development of every person. This should logically happen at the start of professional formation (within the University, as will be explained later in more detail). The importance of this type of learning bears upon the social aspects of professional Ethics and also upon the personal meaning of professional activity. To clarify the principles and values of professional Ethics we must study two sources: the traditional work of philosophers of Ethics and related thinkers, and the contributions of people involved in the professions, who develop ethical norms and codes of conduct. The interaction of both sources brings up five main principles or values: 1) Personal dignity, freedom, equality and human rights, 2) Social and commutative justice, 3) Professional autonomy and codes of behavior, 4) Beneficence, 5) Professional responsibility. Teaching and learning professional Ethics involves the entire Faculty, but this fact does not imply its absence as a subject in the academic curriculum. To include it as a specific topic, four main areas to be developed are proposed, as well as some methodological guideliness. This paper finally gives some actual information about the teaching of professional Ethics in Spanish Universities.SOMMAIRE: Dans le cadre du droit à la formation tout au long de la vie, la formation en éthique professionnelle represente un pas important vers l'éducation morale des personnes, dont l'espace le plus logique pour l'apprentissage coincide avec la formation professionnelle initiale (dorénavant l'université, tout en appliquant le principe de la partie pour l'ensemble). En ce qui concerne á la valeur de cet apprentissage, á l'importance sociale de l'éthique professionnelle faut-il ajouter son importance pour l'épanouissement personnel et le fait de vivre avec le sens du professionnel. Si l'on veut éclaircir les principes/valeurs de cette éthique professionnelle il faut consulter deux sources: la source traditionnelle des philosophes éthiques et penseurs analogues ainsi que celle des collectifs de profesionnels élaborant les codes éthiques ou déontologiques, dont cinq principes/valeurs principales se sont conjugués: 1) dignité, liberté, égalité et droits de l'homme, 2) justice commutative et sociale, 3) autonomie professionnelle et déontologique, 4) bienfaisance 5) responsabilité professionnelle. L'enseignement-apprentissage de l'éthique professionnelle interpelle l'ensemble des enseignants, étant inéludable son inclusion en tant que matière aux plans d'études. Pour cette matière on propose quatre groupes de contenus et quelques propositions méthodologiques. Finalement, le travail presente des informations sur l'enseignement de l'éthique professionnelle dans l'Université espagnole.
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