Dissertations / Theses on the topic 'Collectionneurs et collections – Bretagne (France)'

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Allano, Mylène. "Peintures italiennes en Bretagne : collections d'aujourd'hui, goûts d'hier." Rennes 2, 2005. http://www.theses.fr/2005REN20002.

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Abstract:
La Bretagne est riche d'un patrimoine méconnu, constitué de près d'un millier de peintures italiennes couvrant la vaste période du XIIIe au XIXe siècle. Ces tableaux, qui se trouvent pour l'essentiel dans les musées mais aussi dans quelques édifices religieux et hôtels de ville, sont l'héritage d'un passé qui va au-delà de la Révolution, période à laquelle les biens des émigrés et du Clergé sont saisis pour entrer dans le domaine public. En réalité, c'est à partir du XVIIe siècle et sous l'impulsion de la gravure que la Bretagne découvre la peinture italienne. Mais il faut attendre le XIXe siècle et l'éclosion d'une nouvelle génération de collectionneurs particuliers pour que l'acquisition de tableaux italiens se répande. La pratique croissante du don, contemporaine de l'essor des musées, vient dès lors enrichir les fonds publics, au même titre que les envois et dépôts d'œuvres par l'État
Britanny is wealthy of an underestimated inheritance, constituated of about a thousand Italian paintings that cover the large period from the XIIIth century to the XIXth century. Those pictures, that can be mostly found in museums but also in some religious buildings and town halls are a legacy from a past going before the French Revolution - a time in which emigrants and Clergy's possessions were seized to be given to the public domain. In fact, it is from the XVIIth century on, and under the boost of engraving that Britanny has been discovering Italian painting. Nevertheless, it is necessary to wait for the XIXth century and the forming of a new generation of private collectors for the picture acquisition to spread. The increasing practice of donation and, at the same time, the blossoming museums, enriched the public collections, and the State's sendings and depositings
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Aubert, Gauthier. "La noblesse, le pouvoir et le savoir dans la Bretagne des Lumières : le président de Robien : (1698-1756) : gentilhomme et savant en son siècle." Rennes 2, 2000. http://www.theses.fr/2000REN20019.

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Abstract:
Dans la Bretagne du XVIIIe siècle, réputée peu ouverte aux Lumières, un homme est souvent présenté comme une brillante exception : le président de Robien (1698-1756). Parlementaire fortuné, issu d'une vieille lignée de l'aristocratie provinciale, il fut collectionneur, antiquaire et naturaliste, et sa renommée dépassa les frontières de la Bretagne. A travers l'étude de ce personnage, le présent travail se propose de chercher les voies de la pénétration des Lumières dans les milieux dominants bretons, en confrontant le cas Robien à son environnement, notamment grâce aux inventaires après décès des élites bretonnes de son temps. La première partie est consacrée aux chemins qui ont conduit Robien vers la grandeur provinciale, par l'étude de sa famille, de sa fortune, de sa fonction, de sa vie matérielle et de son rayonnement dans la société de son temps. La seconde partie se propose de rechercher comment Robien envisagea les différents champs du savoir, par l'étude de ses écrits,de sa pratique de la curiosité, du rôle qu'il entendait jouer dans la république des lettres, et de la place qu'il occupa dans celle-ci. Ainsi par le biais du président de Robien, est proposée une approche des rapports entre Noblesse, Pouvoir et Savoir dans un espace périphérique de l'Europe des Lumières. Enfin, ce travail s'achève par l'étude de la destinée posthume de la destinée, aujourd'hui incontournable, du patrimoine breton
In 18th century Brittany, not renowned for being open to new ideas, a man stands out : President de Robien (1698-1756) a wealthy member of Brittany's High Judicial Court, descended from an ancient family of provincial aristocracy, he was a collector, an antique lover and a naturalist and his fame reached beyond the limits of Brittany. Through a study of this dignitary, this work aims at analysing how the ideas of the Enlightenment made their way into the Breton ruling circles by comparing Robien with his environment, in particular thanks to the death inventories of the Breton elites of this age. The first part is devoted to the ways and means that led to the rise of Robien in his province, through a study of his family, his fortune, his office, his standard of living and his influence on the society of his time. The second part deals with Robien's attitude towards the different fields of learning through an analysis of his writings, his use of intellectual curiosity, and the role he meant to play in the literary republic as well as the place actually had within it. Thus, through Robien is suggested an approach of the relationship between the Nobility, Power and Learning on the periphery of Europe Enlightenment. As a conclusion, this work will study the posthumous fate of this dignitary, part and parcel of Brittany's heritage, whose importance is indisputable today
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Hervieu, Maïder. "Un « curieux de papier » dans la Bretagne des Lumières : étude de la collection d'estampes du président Christophe-Paul de Robien (1698-1756)." Thesis, Rennes 2, 2022. http://www.theses.fr/2022REN20001.

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Abstract:
Figure incontournable de la vie culturelle et intellectuelle rennaise de la première moitié du XVIIIe siècle, Christophe-Paul de Robien comptait au nombre des grands érudits et collectionneurs provinciaux de son temps. Amoureux des arts et des belles-lettres, passionné de sciences et d'antiquités, ce parlementaire breton constitua au sein de son hôtel particulier rennais un cabinet de curiosités d'une incroyable diversité. L'image, et en particulier l'image imprimée, occupaient une place de grande importance au cœur de ses pratiques curieuses. S'inscrivant dans une démarche encyclopédique d'accession à l'ensemble du savoir universel, le président de Robien put trouver dans l'estampe le support idéal capable de combler ses désirs de possession tant matériels qu'intellectuels. Aujourd'hui dispersée entre le musée des Beaux-Arts de Rennes, le musée de Bretagne et la bibliothèque des Champs Libres, cette collection d'estampes méritait donc une complète reconstitution afin de saisir au mieux les multiples intentions ayant contribué à son élaboration. Cette étude s'attardera également sur les rapports entretenus par le magistrat avec l'illustration scientifique et la pratique de mise en images qu'il put avoir pour ses propres manuscrits
Unmissable figure in Rennes' cultural and intellectual life in the first half 18th century, Christophe-Paul de Robien was one of the great provincial scholars and collectors of his time. Amatory of arts and belles-lettres, passionate about sciences and antiquity, this Breton parliamentarian set up inside of his mansion in Rennes an incredibly diversified cabinet of curiosities. The image, and in particular the printed image, occupied a great importance at the heart of his curiosity practices. As part of an encyclopedic process of access to all of universal knowledge, the president de Robien was able to find in the print the ideal medium able to fulfilling his desire for possession, both material and intellectual. Today scattered between the Musée des Beaux-Arts in Rennes, the Musée de Bretagne and Les Champs Libres's library, this collection of prints therefore deserved a complete reconstruction in order to capture the several intentions that contributed to its development. This study will also focus on the relations maintained by the magistrate with scientific imaging and the illustration practice that he may have had for his own manuscripts
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Gouthe, Glenn. "Xavier de Langlais et la langue bretonne : création, sauvegarde, transmission : étude de la place du breton dans la vie d’une personnalité bretonne du XXe siècle." Thesis, Rennes 2, 2021. http://www.theses.fr/2021REN20051.

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Abstract:
En quoi Xavier de Langlais participa-t-il à la vie et à la survie de la langue bretonne au cours du XXe siècle ? Personnalité bretonne, membre des Seiz Breur, il est un témoin direct des bouleversements touchant alors le breton et entraînant peu à peu son déclin. Son activité artistique, comme ses peintures, ses gravures, ses illustrations ou encore ses fresques font sa notoriété en Bretagne et au-delà. Son œuvre en langue bretonne et en faveur de celle-ci est moins connue. Cette étude tente de comprendre le lien qu’il a entretenu avec la langue bretonne et son militantisme pour celle-ci. Il fit la démarche d’apprendre la langue bretonne au sein d’une famille non-brittophone. Il composa poésies, romans, nouvelles, pièces de théâtre. Il participa activement aux principales revues littéraires de l’époque telles que Gwalarn ou Dihunamb. Il s’intéressa à la langue de son environnement en pays vannetais en collectant chansons, contes, locutions, proverbes sur le terrain, dans la région de Surzur. Il s’engagea pleinement dans une réforme orthographique devenue indispensable à ses yeux afin que la langue puisse être enseignée dans le système scolaire et ainsi permettre une transmission aux générations futures
How did Xavier de Langlais participate in the life and survival of the Breton language during the 20th century? Breton personality, member of the Seiz Breur, he is a direct witness of the upheavals then affecting the Breton language and gradually leading to its decline. His artistic activity, such as his paintings, engravings, illustrations and even his frescoes have made him famous in Brittany and beyond. His work in the Breton language and in favour of it is less well known. This study attempts to understand the link he had with the Breton language and his activism in favour of it. He took it upon himself to learn the Breton language in a non-breton-speaking family background. He composed poems, novels, short stories, plays. He actively participated in the main literary journals of the time such as Gwalarn or Dihunamb. He took interest in the language of his environment in Vannes country by collecting songs, tales, phrases, proverbs in the field, in the region of Surzur. He fully embarked on a spelling reform which had become essential in his eyes so that the language could be taught in the school system and thus allow a transmission to future generations
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Marion, Michel. "Collections et collectionneurs de livres au XVIIIe siècle." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040157.

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Abstract:
Essentiellement basée sur le dépouillement des catalogues de vente de livres conservés à la Bibliothèque nationale cette thèse est destinée à reconnaître le milieu des collectionneurs de livres, à étudier leur comportement social, par leurs alliances matrimoniales, la reproduction sociale, leur mode d'habitat, essentiellement parisien, l'état de leur fortune ou de leur revenus. Naturellement, la structure des collections est envisagée, tant de façon globale que par groupes sociaux et par tranches décennales, tout comme sont examinées l'actualité des collections, la part de la production étrangère, et la place des langues vivantes. Les outils de la collection, c'est à dire les bibliographies, la presse périodique, et bien entendu les ventes tant par les libraires que dans les ventes publiques sont examinées. Enfin de prix du livre, neuf et de seconde main est évalué : son importance permet alors de dire que collectionner est un privilège réservé à bien peu
In the Bibliotheque Nationale, in Paris, auction books catalogues are kept and also preserved: they are the basement of the present thesis. Book collectors, in their social condition, marriages, parents and locations, especially in the head town, are presented. Estates and royalties are evaluated too. Collections themselves are also presented, so in their global part than in their secular variations. Foreign editorial production, knowledge of European and nexs, which collectors used to study production are the aim of an analysis, so too the public auctions: books are very expensive. So we may say that collecting books is an advantage that only few could have
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Henry-Virly, Vanessa. "Les intailles et les camées dans les collections en France au XVIIIème siècle." Rennes 2, 2010. http://www.theses.fr/2010REN20044.

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Abstract:
Produits depuis le IVème millénaire avant notre ère, les intailles et les camées ont été utilisés comme ornements, talismans ou comme objets de propagande politique. Ils ont aussi servi de signature aux individus ou aux administrations. Ces pierres gravées ont toujours été recherchées et acquises pour constituer des collections. La France au XVIIIème siècle ne fait pas exception. Aussi nous nous sommes posé la question de la place accordée aux intailles et aux camées dans les collections de l’époque. Cette thèse est une recherche sur le goût et la considération pour les pierres gravées ainsi que sur leurs collectionneurs. Avec l’étude de la presse, d’ouvrages, de catalogues de vente parus en France à cette période, les gravures sur pierres fines apparaissent à la fois comme des objets d’art, des outils de connaissance mais aussi comme supports de représentations sociales. A titre de comparaison, le répertoire de F. Lugt recense 33 ventes en France durant ce siècle. Notre recherche a permis pour la première fois de retrouver plusieurs centaines de collectionneurs. Potentiellement chacun d’entre eux peut maintenant faire l’objet d’une étude approfondie, dans laquelle sera déterminée la part entre goût personnel et conventions sociales. Nous avons déjà étudié certains d’entre eux : la princesse Palatine, la comtesse de Verrue, Mariette ou encore Caylus. Pour y parvenir cette thèse a demandé la création d’outils fondamentaux jusque là inexistants pour la suite du développement de la recherche dans ce domaine de l’histoire des collections. Elle est une première étape nécessaire, un premier état des lieux dans l’étude du goût pour les intailles et les camées en France au XVIIIème siècle
Since the fourth millennia B. C. , cameos and intaglios have been made and used as ornaments, as talismans, or as means of political propaganda. Private individuals and administrations have also used them as seals, and from the very outset, these engraved stones have been sought after by collectors. Eighteenth-century France is no exception to this demand. This thesis sets out to determine the role and status of cameos and intaglios in the collections of the period, to identify the individuals who collected them and to evaluate the part personal taste or social conventions played in the constitution of such collections. The study of the press, publications and auction catalogues from this era in France, reveals that engraved gemstones are considered as objets d’art, as research tools and as a medium for social representation. Aside from the Répertoire of F. Lugt which catalogues 33 auctions of this type, there has been few publications in this area of the history of collections. Research carried out in this thesis has resulted in the discovery of several hundred collectors of glyptic art. Potentially, each of these individuals may now be the subject of further study using the research tools and resources developed as an integral part of this thesis. The uses to which these tools may be put is demonstrated in the analysis of several collectors including: Mariette, Caylus, the Princess Palatine and the Countess de Verrue. This thesis is the first investigation of its kind in this field and aims to contribute to the development of research on cameos and intaglios in eighteenth-century France
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Notteghem, Emilie. "Parcours d’objets de dévotion : mémoire, esthétique, culture (France, XIXème-XXIème siècles)." Paris 10, 2007. http://www.theses.fr/2007PA100069.

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Abstract:
Alors que s’effondre l’observance des obligations cultuelles, se multiplient les initiatives de patrimonialisation des traces matérielles de la culture chrétienne -collectionneurs privés, associations, musées d'art sacré. La recherche questionne pour une part les modalités de détachement de la religion catholique à l’âge adulte: ces objets sont mobilisés pour supporter une mémoire biographique et culturelle. L’autonomisation du registre esthétique permet la neutralisation de leur valeur cultuelle; néanmoins ils peuvent acquérir une nouvelle fonctionnalité rituelle qui prolonge ou transpose des usages domestiques de la coutume chrétienne. D’autre part, les officiants religieux, au tournant de deux mouvements institutionnels d’injonction patrimoniale, ecclésial et étatique, révèlent la quasi-impossibilité de faire des musées d’art sacré laïcs, et la grande difficulté à manipuler la catégorie des objets liturgiques; l’action muséographique paraissant impuissante à réanimer comme culture un « patrimoine commun »
While cultual obligations are fading away, initiatives from private collectors, associations, sacred art museums to preserve Christian material heritage are growing. First, this study investigates individuals’ ways to distance themselves from Catholicism, in adulthood: objects are used to hold together a biographic and cultural memory. The autonomy of aesthetic from religion neutralizes objects’ cultual value; however they may acquire new ritual functions which extend or transpose domestic use of Christian traditions. Secondly, this study sheds light on religion officers’ position, caught in between two institutional movements of heritage summons – either ecclesiastical or governmental. This analysis leads to the conclusion that it is extremely difficult to work with liturgical objects and quasi-impossible to make non-religious sacred art museums. Museography seems to be helpless to resuscitate as a culture the so-called “shared heritage”
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Viellard-Cazaumayou, Sophie. "La circulation des objets océaniens en Occident : contribution à une analyse anthropologique du marché de l'art primitif en France." Paris, EHESS, 2005. http://www.theses.fr/2005EHES0190.

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Abstract:
Le marché de l'art primitif n'a pas retenu l'attention de la recherche anthropologique. Pourtant son étude enrichit non seulement la connaissance des collections en France mais elle permet de saisir le processus de valorisation d'un objet de curiosité en oeuvre d'art. Plus encore, elle offre une approche différente des systèmes d'échange,. Les objets océaniens qui circulent en Occident se révèlent alors propices à la compréhension de la spécificité de ce marché. La médiatisation croissante tout au long du 20ème siècle a enregistré l'émergence de ces objets sur le marché de l'art et dans les ventes publiques en particulier. Les discours émis par les acteurs qui ageissent sur ce terrain constituent aussi un corpus d'information permettant de saisir le manipulation de ces objets. Celle-ci se percoit dans la multiplications des références qui s'imposent dans l'authentification et la raréfaction mais ces dernières traduisent également une quête de l'objet destiné à devenir une chose gardée. Ce bien devenu inaliénable en occident est parfois un bien culturel fondateur d'une identité en Océanie. Se pose alors le problème de la légitimité de la possession et de la restitution de l'objet
Until recently, the anthropology research hasn't paid much attention to the tribal art market. Yet the study enriches, not only the knowledge of the french collections but also grasping the process of the value from the "curios" to art. Furthermore, we can see a different approach of exchange system. South Sea objets circulating in the Occident are useful for the understanding of tha market specificity. The growing media coverage in the 20 th century showed the emerging of these goods in the art market and especially in the auctions. The speeches of the actors specializing in that field also bring a multitude of informations to grasp the commercial manipulation of these items. This is discernible in the multiplication of references linked to the authenticity and rarefaction of the object. In addition, these also bring the collectors to keep the object as a sacred thing. However, item which became inalienable in Occident is sometimes underlying goods of oceanian identity and culture. This increases the problem of legitimacy of the possession and restitution of this object
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Trébosc, Delphine. "Confronter l'art : les collections de raretés de la Renaissance française." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010573.

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Abstract:
L'étude aborde les cabinets de raretés de la Renaissance française en tant que lieux d'exposition artistique et créations produisant un effet visuel intentionnel. Elle ambitionne de comprendre pourquoi et comment on exposait des oeuvres d'art dans des collections éclectiques et s'attache à déterminer les conditions et les modalités de la rencontre et du mélange des oeuvres et objets d'art modernes et antiques, des artefacts exotiques, des spécimens naturels et des instruments en leur sein. Ce travail comprend une analyse de leurs contenus, formes d'agrégation et déterminations socioculturelles et structurelles. Il examine ensuite la dimension formelle du cabinet de raretés, lieu où s'exprime une poétique de la variété, et isole, chez certains d'entre eux, une fonctionnalité cognitive spécifique aux arts plastiques, puis explore la piste d'un mode éclectique du savoir sur l'art ainsi que son rôle dans le processus d'autonomisation de l'art et du jugement esthétique.
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Meyer, Anne-Doris. "Le "musée personnel" de la collection privée au Musée public : parcours de l'objet d'art en France au XIXème siècle." Strasbourg 2, 2001. http://www.theses.fr/2001STR20001.

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Abstract:
Apres la revolution francaise, le musee et la collection privee se developpent simultanement, mais en donnant lieu a deux interpretations distinctes. Le musee devient le lieu de la formation de l'histoire de l'art en tant que discipline scientifique. Le classement des objets par ecoles et par periodes est la tache principale des premiers historiens d'art. L'enumeration progressive et raisonnee ducatalogue de musee correspond alors a cette demarche scientifique. De meme, la rationalisation des pratiques museographiques permet la visualisation des series. La collection privee se construit en dehors de l'histoire de l'art. Contrairement au conservateur, le collectionneur n'est pas le gardien de l'objet d'art mais son proprietaire. Il classe ses objets selon ses choix personnels et peut s'ecarter des criteres scientifiques. La collection privee ne s'enurnere ni ne se raisonne. Ses evocations sont litteraires, artistiques ou poetiques. Le musee personnel se situe entre ces deux interpretations de l'objet d'art. Lorsqu'un collectionneur et/ou un artiste legue a l'etat ses objets/son uvre afin qu'ils soient conserves indivis et en l'etat, il cree un musee public, qui fixe le souvenir d'une collection privee. Ces musees nous renseignent aujourd'hui sur les facons d'habiter au xixe siecle en reproduisant l'etat des interieurs du siecle precedent. Mais les temoignages museographiques contemporains de la creation des musees personnels revelent qu'au musee, le decor de l'uvre d'art est alors aussi important que l'uvre elle-meme. Plus que la restitution d'un interieur de collectionneur, les musees personnels restituent un etat ancien de la museographie qui permet de degager la facon generale dont une societe pense le musee. Enfin, la museographie developpee par les musees personnels fait appel aux sentimems et a la memoire du visiteur et non a sa reflexion. Sous des dehors affectifs et simples, cette museographie detourne en fait le spectateur de l'uvre d'art.
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Sarmant, Thierry. "La république des médailles : numismates et collections numismatiques à Paris du XVIIe au XIXe siècle." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010580.

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Abstract:
Comme la république des lettres, la république des médailles vécut son Age d'or aux XVIIe et XVIIIe siècles. Paris fut alors l'un des centres les plus brillants de l'activité numismatique européenne, en particulier sous le règne personnel de louis XIV. Cependant, cette république ne fut jamais un réseau organisé. La nation métallique n'eut jamais de centre ni de tête. Aucune collection, pas même celle du roi de France, ne put tenir ce rôle. En revanche, dans le premier quart du XVIIIe siècle, l'académie royale des inscriptions, y jouit un moment d'une sorte de magistère savant. La cohésion de cette petite république découla d'une communauté d'usages et de conceptions. Les mêmes livres de médailles circulaient dans toute l’Europe, les médailliers s'ordonnaient suivant les mêmes principes. L'alliance entre collectionneurs et savants fut aussi un fort ciment la république des médailles fut respublica curiosa autant que litteraria. La collection de médailles était toujours accompagnée d'un certain nombre de livres de médailles. Le cabinet de médailles était le complément ou l'ornement d'une bibliothèque. C'est donc avec la bibliophilie que la curiosité numismatique offre le plus de ressemblance : même alliance du souci esthétique et du souci intellectuel, même valeur du savoir empirique pour la recherche, même importance du sens du toucher, même attention portée à la notion d'exemplaire. Les grandes césures de l'histoire de la numismatique se placent dans les années 1660, où la science des médailles prit son indépendance, dans les années 1720-1730, où la curiosité numismatique cessa d'être à la mode, dans les années 1770, où la génération de Pellerin apporta un regard nouveau sur les monnaies, et dans les années 1830, enfin, où la numismatique trouva les pôles d'attraction qui sont encore les siens. Tenu longtemps pour une époque secondaire, le XVIIIe siècle fut, au contraire, un moment essentiel, le vrai grand siècle de la république des médailles
Like the republic of letters, the republic of medals lived his golden age in XVIIth and XVIIIth centuries. Then, Paris was one of the most important centres of European numismatical activity, particularly during the reign of Louis XIV. This republic was neither a coherent structure, nor an organised network. The metallical nation never had any centre or head no collection, not even the king's one, could play this part. However, in the first quarter of the XVIIIth century, a body, the academie royale des inscriptions, was something like a senate of this republic. In fact, the republic of medals'cohesion came from a community of uses and conceptions. The same books of medals circulated all over europe the cabinets were ordinated according to the same principles. The alliance between collectors and scientists was a strong cement too the republic of medals was respublica curiosa as well as litteraria. Coin collection was always linked with books of medals the medal cabinet was a complement and an ornament for a library so, numismatic curiosity presents a great likeness with book collection : same alliance of aesthetic worry and of intellectual one, same value of empirical knowledge for research, same importance of the sense of touch, same attention to the notion of exemplary. The great steps of the history of numismatics are 1660, when the science of medals became independent, years 1720-1730, when numismatical curiosity faded away, years 1770, when the pellerin generation brought decisive transformations to method and a new point of view on coins, and, finally, the years 1830, when numismatics found the centres it yet conserves : big Parisian merchants, revue numismatique, soon société francaise de numismatique, cabinet des médailles. Long seen as an uninteresting period of numismatics' history, XVIIIth century was, in fact, an essential moment, and the true grand siecle of the republic of medals
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Tillerot, Isabelle. "Jean de Jullienne et les collectionneurs de son temps : un regard singulier sur le tableau." Paris 10, 2005. http://www.theses.fr/2005PA100107.

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Abstract:
L'objet de cette thèse porte sur l'articulation entre art ancien et art moderne dans les collections parisiennes de la première moitié du XVIIIe siècle. Sont étudiés la place de Jean de Jullienne au sein du groupe de collectionneurs auquel il est lié, dans ses implications culturelles, financières et économiques, puis, dans un deuxième temps, le fonctionnement de la collection, son rôle envers les artistes vivants, et sa présentation. Sont examinés enfin les enjeux et les fins de la collection, ainsi que les significations dont l'œuvre peinte se pare une fois qu'elle est insérée dans le champ de la collection
This thesis concerns the relationship between ancient and modern art in Parisian collections of the first half of the 18th century. It studies the place of Jean de Jullienne within a group of collectors in his circle, in its cultural, financial and economic implications, as well as the function of the collection, the role it played for living artists, and issues of display. Finally, it examines the stakes of the collection and its ends, as well as the signification of painted works of art within the space of the collection
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Tokpassi, Hervé. "Les parlementaires bordelais et les arts au XVIIIème siècle : architecture et collections." Bordeaux 3, 2009. http://www.theses.fr/2009BOR30008.

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Abstract:
Par leur position sociale, les parlementaires constituaient la catégorie la plus influente et l’une des plus riches au XVIIIème siècle. Ils jouissaient également d’un prestige culturel qui les plaçait dans l’élite cultivée du Siècle des Lumières. Ce travail vise à établir les rapports que les parlementaires bordelais entretinrent avec les arts et les milieux artistiques. La première partie évoque le Parlement de Bordeaux et le mode de vie de la noblesse robine notamment à travers la fortune de ses membres et la place du groupe parlementaire au sein des grands foyers intellectuels et culturels bordelais. La seconde partie est consacrée à l’étude du patrimoine bâti. Elle fait état des réalisations architecturales que commanditèrent les magistrats, grands bâtisseurs dont les imposants hôtels particuliers richement parés et les prestigieux châteaux viticoles, conservent encore le témoignage de leur puissance. La dernière partie se propose d’analyser le cadre de vie mobilier et les différentes collections rencontrées chez Messieurs du Parlement, qui montrent leur goût et traduisent les sensibilités artistiques de cette classe d’humanistes éclairés. L’étude s’achève par la mise en évidence d’un éventuel mécénat parlementaire
Through their social position, the members of Parliament were the most influential and the richest class in the eighteenth-century. They also had the cultural prestige that allowed them to be in the well educated elite of the Age of Enlightenment. This work is to establish the relationship between the members of the Bordeaux Parliament and the artistic environment. The first part discusses the Bordeaux Parliament and the robine nobility’s lifestyle specifically through the fortune of his members and the place of the parliamentary group within the cultural and intellectual elite of Bordeaux. The second parts deals with the study of the architectural heritage. It states the architects achievements financed by the magistrates "master builders", whose imposing, private, and richly adorned hotels plus the prestigious chateaux, still represent their power at the time. The last part analyses the furniture design and style and the different collections of the Members of Parliament, that show the taste and the artistic sensibilities of this enlightened class. The study ends by identifying a possible patronage from the members of Parliament
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Zmelty, Nicholas-Henri. "L'affiche illustrée en France (1889-1905) : naissance d'un genre ?" Amiens, 2010. http://www.theses.fr/2010AMIE0007.

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Abstract:
"L'affiche illustrée, depuis que Jules Chéret a créé le genre, est devenue une véritable oeuvre d'art. " Cette phrase résume à elle seule le credo partagé par un ensemble d'artistes, de critiques, de marchands et de collectionneurs qui, au tournant du XIXe et du XXe siècle, furent les acteurs de "l'affichomanie". La thèse propose de compléter les connaissances sur ce phénomène en le décrivant selon une approche socio-historique alimentée par des sources encore peu exploitées, avec le souci de poser la question de la position de l'affiche par rapport aux autres champs de la création artistique de son temps. L'objectif est donc d'articuler histoire de la réception et analyse esthétique.
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Rolland, Frédéric. "Les collections privées de films de cinéma en support argentique en France." Versailles-St Quentin en Yvelines, 2009. http://www.theses.fr/2009VERS008S.

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Abstract:
Les aléas de la conservation des films (dans le cadre de l’industrie du cinéma) ont abouti à ce qu’un nombre considérable de films ait disparu. Alors que des cinémathèques et centres d’archives audiovisuels institutionnels se sont multipliés et qu’ils disposent de fonds importants, il existe parallèlement en France de simples amateurs, collectionneurs de films en support argentique, qui disposent parfois de titres rares ou uniques dans tous les formats. Au-delà des films d’édition, face à un contexte légal souvent hostile à leur passion, leurs activités et leur existence même restent méconnues. La connaissance des ressources dont ils disposent s’avère malgré tout souhaitable sur le plan patrimonial mais aussi fonctionnel alors que le processus de transition technique de la chaîne de fabrication et de diffusion du cinéma photochimique vers le numérique s’est amorcé depuis quelques années. La numérisation des fonds répertoriés devrait rester pour longtemps incomplète et de nombreux films resteront invisibles. Les collectionneurs privés pourraient collaborer plus avant avec les institutionnels et les ayants-droit à la préservation du patrimoine cinématographique français
The vagaries of film preservation (within the film industry) has led to a considerable number of films to vanish. While film and audiovisual archives institutions have multiplied and they have significant funds, there are at the same time in France amateurs, collectors of silver film prints, which sometimes have rare or unique titles in all formats. Beyond release films, specialized for amateur market, face a legal environment often hostile to their passion, their activities and even their existence are unknown. Knowledge of available resources is still desirable in terms of heritage but also functional when the transition process chain engineering manufacturing and distribution of photochemical film to digital began last few years. The digitization of holdings listed should remain incomplete for long and many films will be invisible. Private collectors could further collaborate with institutions and rightholders to the preservation of French cinema
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Cordier, Samuel. "Tendances et particularismes des collections provinciales au XVIIIe siècle : l'exemple du nîmois Jean-François Séguier." Paris, Muséum national d'histoire naturelle, 2005. http://www.theses.fr/2005MNHN0059.

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Abstract:
Comment collectionne-t-on dans la province française au XVIIIe siècle ? L’étude de la biographie et de l’œuvre du nîmois Jean-François Séguier (1703-1784), permet de mesurer l’apport d’un collectionneur provincial dans la France des Lumières et le monde scientifique européen. Dans une période où les collections passent progressivement de la curiosité à la rationalité, les échanges entre Paris et les réseaux scientifiques de province contribuent à un enrichissement réciproque. Connu pour ses travaux d’antiquaire, Séguier est également un naturaliste dont l’œuvre traduit de manière précise les changements de goût, d’intérêt ou l’évolution du regard porté sur la nature au XVIIIe siècle. Le rapport entre les collections et l’état des connaissances, abordé à travers les pratiques naturalistes, montre que les échanges sont intenses et les transferts d’informations entre les botanistes européens rapides et constants. En contact avec Linné, avec les botanistes du Jardin du Roi à Paris, et ceux de Montpellier, Séguier est un chercheur de son temps. Les témoignages de visiteurs, contemporains de Séguier, permettent de reconstituer l’aménagement des différentes pièces d’une maison-musée qui se démarque nettement des cabinets de curiosité et où s’invente le cosmopolitisme des Lumières. En ouvrant sa porte, en proposant une image originale de son savoir, Séguier attire de nombreux visiteurs et crée des formes inédites de sociabilité. Notre étude permet de souligner les effets puissants de ces mobilités
How do people build collections in the French province during the 18th century ? The study of Jean-François Séguier’s (1703-1784) biography and masterpiece, allows us to measure the contribution of a provincial collector in the age of Enlightenment to France and to the scientific European world. At a time when collections are less and less an object of curiosity and become increasingly rationally organised, exchanges between Paris and the scientific networks contribute to mutual enrichment. Known as for his works upon antiquities, Séguier is also a naturalist whose masterpiece accurately reflects the changing envision of nature during the 18th century. The link between collections and the state-of-the-art reflects the intensity of exchanges and constant information transfers between European botanists. In touch with Linnaeus, with the botanists of the “ King’s Garden ” in Paris, and with those in Montpellier, Séguier is a modern researcher of the 18th century. Testimonies from contemporary visitors enable us to reconstruct the setting up of the different rooms of an historical House, which clearly contrasts with the Cabinets of curiosities and where the cosmopolitism of the Enlightenment took its roots. By opening his door and proposing an unique image of his knowledge, Séguier attracts numerous visitors and invents new modes of socializing. Our study underlines the strong impact of those exchanges
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Marandet, François. "Marchands et collectionneurs de tableaux à Paris (1710-1756) : les acteurs et les mécanismes de circulation de la peinture dans la première moitié du 18ème siècle en France." Paris, EPHE, 2009. http://www.theses.fr/2009EPHE4016.

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Abstract:
Au cours de la première moitié du 18ème siècle, en France,l'identité des grands négociants et leur rôle dans la constitution des plus riches collections de tableaux (le Régent, Pierre Crozat, la comtesse de Verrue et le prince de Carignan) restent aujourd'hui très mal connus. La redécouverte de nombreux documents d'archives sur les marchands (dont le livre de compte) permettent de restituer certaines transactions majeures de l'histoire du commerce d'art parisien. A la fin du règne de Louis XIV, des joailliers comme Pierre Le Tessier de Montarsis furent conduits à négocier un certain nombre d'oeuvres capitales (Raphaël, Poussin, Véronèse) tandis que certains maîtres-peintres tels André Tramblin et Pierre Testard commencèrent à jouer le rôle sans précédent auprès des collectionneurs. Passées les années 1720, les marchands de tableaux d'origine nordique, tels Joseph-Ferdinand Godefroid, devinrent les conseillers des plus grands amateurs d'art. Reconnus pour leurs dons de restaurateurs, ces marchands flamands promurent les "petits maîtres nordiques" alors que les oeuvres dites classiques tombaient dans une certaine désaffection. Le phénomène s'observe à l'occasion de la liquidation du cabinet La Chataingeraye (1733) et en 1742 lorsque le roi Louis XV fit acheter une quarantaine de tableaux anciens. Le catalogue de vente fit progressivement son apparition et c'est avec ce nouvel outil commercial que le mercier Gersaint tenta de s'affirmer. A partir des années 1740, des souverains germaniques tels Auguste III et Frédéric II achetèrent en grand nombre des tableaux sur le marché parisien. Le phénomène déclina avec le début de la Guerre de Sept ans en 1756
In France, during the first half of the eighteenth century, the role played by art dealers in the formation of the greatest collections of painting (the Regent, Pierre Crozat, Countess de Verrue, prince of Carignano) remains an obscure matter. The discovery of the account book of an art dealer and of many other archival documents enables us to reconstitute some of the most important transactions of the art market. At the end of the reign of Louis XIV, jewelers like Le Tessier de Montarsis negotiated for the Regent and Pierre Crozat a series of fundamental works art (by Raphaël, Veronese, Poussin), while some "maîtres-peintres" like André Tramblin and Pierre Testard started playing a growing role in the exchanges. After 1720, dealers who came from the Netherlands and who had established themselves in Paris, especially Joseph-Ferdinand Godefroid, were now advising the most famous collectors. Renowned for their gifts as restorers, Flemish dealers promoted Northern genre scenes while the "classical taste" (Poussin, Titian, Tintoretto) fell into some kind of disgrace. The phenomenon can be seen when the collection of La Chataigneraye was auctioned (1733) and when some forty pictures were acquired to enrich the collection of Louis XIV (1742). The auction catalogue was now gradually spreading out and it is through this commercial tool that a mercier like Gersaint tried to develop his business. After 1740, german sovereigns turned more and more to the parisian art market, especially kings Augustus III and Frederic II. In 1756, the beginning of the war of the Seven Years was to put an end to this more european period of the markert of art
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Witkowski, Martine. "François Ier amateur d'art : les collections royales dans la première moitié du XVIe siècle." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040078.

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Abstract:
Cette thèse montre l'aspect artistique du règne de François 1er. Elle présente en premier lieu le roi en tant qu'amateur d'art (le mot collectionneur n'existant pas à la renaissance) et mécène. Les collections royales sont ensuite étudiées : collections de peintures, de sculptures, de tapisseries, le mobilier, la bibliothèque, la collection d'armes, les bijoux, l'orfèvrerie, les petites antiquités, les médailles, les gemmes et les curiosités naturelles. La conclusion insiste sur le rôle primordial de François 1er dans la renaissance française, et sur le devenir de ses collections dont une partie a pu être préservée jusqu'à nos jours
This study shows the artistic aspect of Francis 1's reign. It presents first the king as a connoisseur (the word collection didn't exist at the renaissance time) and as a mecene. The royal collections are then studied: collections of paintings, sculptures, tapestries, the furniture, the library, the arms' collection, the jewels, the silverware, the small antiquities, the medals, the gems and the natural curiosities. In conclusion we insist on the important role of Francis i in the French renaissance and on what happened to his collections a part of which could be preserved until today
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Castelluccio, Stéphane. "L'hôtel du Garde-Meuble de la Couronne et les collections royales d'objets d'art, 1774-1798." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040135.

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Abstract:
Cette étude sur l'hôtel du Garde-Meuble de la Couronne de 1774 à 1798, actuel Hôtel de la Marine place de la Concorde, comprend trois parties; les directeurs au XVIIIe siècle, le décor et le mobilier de leur appartement et les collections royales. Les Fontanieu possédaient la charge d'intendant des meubles de la Couronne depuis Louis XIV. Pierre Elisabeth (1767-1784), cultivé et amateur, connaissait bien le milieu artistique parisien. Thierry de Ville d'Avray (1784-1792) était l'aboutissement de l'ascension sociale de sa famille par l'achat de charges. Moins cultivé que son prédécesseur, il géra le Garde-Meuble en administrateur. Pour la réalisation de son appartement, Fontanieu fit appel aux artisans des équipes royales. Ils réalisèrent un des plus beaux ensembles du début des années 1770. Thierry agrandit l'appartement et choisit un mobilier plus spectaculaire. Pour eux, la richesse des décors reflétait le prestige de leur administration. Réunies par Louis XIV par goût et pour témoigner de l'éclat de sa couronne, les collections d'objets d'art quittèrent Versailles au XVIIIe siècle, par l'indifférence de Louis XV. Exposées au public au Garde-Meuble à partir de 1776, elles témoignaient du faste de la monarchie. La Révolution les intégra au patrimoine national mais les considéra comme une réserve de bibelots. Malgré son prestige, à son apogée au XVIIIe siècle, la Révolution refusa au Garde-Meuble le rôle de musée pour le cantonner à la stricte gestion du mobilier. Il devint l'actuel Mobilier national
This research about the hotel du Garde-Meuble de la Couronne from 1774 to 1798, now the French navy headquarters place de la Concorde at Paris, is made up three parts: the directors at the XVIIIe century, decoration and furniture of their apartment and the royal collections. The office of intendant des meubles de la Couronne belonged to the Fontanieu's family since Louis XIV. Pierre Elisabeth (1764-1784), cultured and art lover, knew very well the Parisian artistic sphere. Thierry de Ville d'Avray (1784-179z) was the result of the social ascension of his family with offices. Less cultured than his predecessor, he managed the garde-meuble as an administrator. For the realisation of his apartment, Fontanieu appeal to the royal craftsmen. They realized one of the most beautiful decoration of the beginning of the 1770's. Thierry extended the apartment and choose spectacular furniture. For them, sumptuousness of the apartment reflected the administration's prestige. Collected by Louis XIV by pleasure and for ostentation, the royal collections of objets d'art left Versailles during the XVIIIth century by the lack of interest from Louis XV and Louis XVI. Exhibit at the Garde-Meuble since 1776, the collections showed the monarchy's pomp. The revolution considered them as national patrimony, but they became a reserve of curios. The prestige of the garde-meuble was at the height in the XVIIIth century, but the Revolution did not accept it was a museum: the Garde-Meuble had just to manage the furniture: it became the present French Mobilier national
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Daugeron, Bertrand. "Apparition-Disparition des Nouveaux mondes en histoire naturelle : Enregistrement-Epuisement des collections scientifiques (1763-1830)." Paris, EHESS, 2007. http://www.theses.fr/2007EHES0071.

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Abstract:
La compréhension de la liquidation des artefacts humains des collections du Muséum d'Histoire naturelle (1797) nécessite de relier objets et savoirs. Il s'agira de voir en quoi les conditions de production politique des objets scientifiques, mises au jour dans les expéditions maritimes et les saisies révolutionnaires, affectent les classifications naturalistes. Pour cela, deux séries correspondent : d'une part celle de la dimension cognitive des collections autour des questions de méthode, pour un savoir naturaliste qui classe avec et au travers d'objets, et d'autre part, un entre-deux colonial, depuis la perte des possessions de l'Amérique jusqu'à la prise d'Alger qui explore le Pacifique et l'annexe. Exclure les objets des Autres ordonnerait le temps long de l'histoire de la nature, tout en reléguant le primitif aux marges de l'Histoire, voué à disparaître ou à être colonisé. Car derrière ce grand partage d'expulsion, le regard sur l'Autre se renverse, passant du sauvage au primitif
The comprehension of the relegation of the human artifacts from the collections of the Museum d'Histoire naturelle (1797) requires connecting objects and knowledge. This issue understands better how the conditions of political production of scientific objects, revealed during the maritime expeditions and the revolutionary seizures, affect classifications. Two series will be connected : on the one hand the cognitive dimension of the collections raised by methodological problems, from a naturalist point of view which classifies through objects and, on the other hand, from the loss of the American possessions until the catch of Algiers, a colonial interval, which explores the Pacific and colonize it. The exclusion of the man-made objects would structure the deep time of the history of nature, while relegating the primitive in the margins of History, condemned to vanish or to be colonized. Behind this relegation, the vision of the Other changes turning from the savage into the primitive
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Barreteau, Frédérique-Edwige. "La pratique et le goût d'un collectionneur d'estampes à Nantes, durant la seconde moitié du XIXème siècle : Thomas Dobrée (1810-1895)." Rennes 2, 2007. http://www.theses.fr/2007REN20010.

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Abstract:
Thomas Dobrée (1810-1895), héritier d'une famille de négociants nantais, a rassemblé une collection de trois mille cinq cent cinquante-cinq estampes du XVe au XIXe siècles principalement des écoles du Nord, avec une prédilection pour l'école française du XVIIe siècle et une passion pour Dürer et Rembrandt. Ces gravures ont été, dans leur grande majorité, acquises lors des ventes aux enchères de l'hôtel Drouot et à l'étranger de 1850 à 1880, par l'intermédiaire de marchands d'estampes parisiens de renoms : Vignères, Clément et Loizelet. Dobrée était le concurrent de célèbres amateurs tels que Dutuit, Rothschild, Behague, etc. La force du fonds nantais réside dans la grande qualité des œuvres obtenues, dans leurs provenances prestigieuses et dans la richesse des sources manuscrites inédites conservées au sein des cinq cents catalogues de ventes aux enchères, certains annotés, annotés, présents dans la bibliothèque précieuse du musée Dobrée. Ces données remarquables permettent de comprendre les mécanismes de la formation d'une collection d'estampes durant la seconde moitié du XIXe siècle, en mettant en exergue la pratique d'un amateur et les goûts qui ont résidé à ses choix et de les confronter à ceux de ses contemporains
Thomas Dobrée (1810-1895), heir to a family of Nantes traders, gathered a collection of three thousand two hundred and fifty five prints from XVe to XIXe centuries mainly schools of North, with a predilection for the French school of the XVIIe century and a passion for Dürer and Rembrandt. These engravings in their majority were acquired at the time of the auction sales of the Drouot hotel and abroad of 1850 to 1880, via merchants of reputations : Vignères, Clément and Loizelet. Dobrée was in competition famous amateurs such as Dutuit, Rothschild, Behague, etc. The force of the Nantes funds lies in the great quality of works obtained, in their prestigious sources and the richness of the handwritten sources preserved within the five hundred catalogues of auction sales, some annotated, present in the invaluable library of the Dobrée museum. These new data make it possible to understand the mechanisms of the formation of a collection of engravings during the second half of the XlXe century, by putting forward the practice of an amateur and the tastes which chaired its choices and to confront them with those of its contemporaries
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Maget, Antoinette. "Enjeux et évolutions du collectionnisme public : les collections d'antiquités égyptiennes de Berlin, de Londres et de Paris)." Paris 11, 2008. http://www.theses.fr/2008PA111029.

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Weil-Curiel, Moana. "Recherches sur Louis Hesselin (1602-1662), ses résidences et ses collections." Paris, EPHE, 2001. http://www.theses.fr/2001EPHE4038.

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Abstract:
Louis Hesselin est un de ces grands amateurs parisiens du XVIle siècle dont l'existence réelle avait fini par disparaître derrière une notoriété certaine, mais devenue imprécise au gré des différents auteurs qui mentionnaient son existence. Ayant constaté qu'en dépit de cette réputation, il n'avait fait l'objet jusqu'ici d'aucune étude sérieuse, c'est cette lacune que nous avons souhaité combler, et les recherches que nous présentons ici, fondées pour l'essentiel sur de très nombreux docoments d'archives inédits, nous ont perrnis de révéler chez Louis Hesselin un individu à la personnalité riche et complexe, profondément original tout en étant pleinement le produit de son époque. Homme de culture mais peu versé dans la politique, il sut néanmoins occuper rapidement une position stratégique au contact direct de la persorme royale, privilège insîgne qui n'est pas le moindre de ses paradoxes. Aprés avoir précisé sa singulière biographie, puisqu'il benéficia très tôt, dans une existence dédiée pour l'essentiel aux plaisirs, d'importants moyens financiers, et tenté d'expliquer sa durable impunité, nous avons consacré la deuxième partie de notre étude à ses diverses résidences (deux hôtels, une maison de campagne, un château), aujourd'hui disparues. Là encore, exception faite de la première et la plus modeste, elles se distinguent par l'ingéniosité de leurs aménagements, créations auxquelles le nom de Le Vau est depuis toujours attaché. Dans une troisième partie, nous avons étudié l'aspect sans doute le plus personnel sinon le plus original de notre personnage, celui du Louis Hesselin collectionneur et mécène. En effet, nos recherches nous ont non seulement permis d'enrichir le premier aspect, celui du "curieux" aux goûts multiples qui faisait depuis longtemps sa réputation, mais aussi d'en établir un second, celui du mecènat. Cette action qui est habituellement le fait de personnages plus illustres distingue une nouvelle fois Hesselin de la plupart de ses contemporains.
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Miranda, Mendoza Ileana. "L' économie du patrimoine écrit : le marché des autographes." Paris 1, 2010. http://www.theses.fr/2010PA010078.

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Abstract:
La présente thèse s'intéresse au marché de l'autographe, elle tente de fournir les bases qui permettront au lecteur de comprendre le fonctionnement général du marché, elle décrit les divers éléments qui le constituent et fournit un ensemble d'analyses statistiques qui visent à répondre à la question suivante: comment est construit le prix de vente d'un autographe ? Il s’agit d’un problème novateur ; le coeur du travail porte sur le développement d’analyses statistiques, notamment par l’utilisation de l’Analyse exploratoire de données (AED) qui permet d’identifier le comportement des données sans a priori sur les résultats. Grâce à ces analyses, on a pu constater la grande variabilité du comportement des prix de vente des autographes, et d’identifier l’influence de certaines variables testées telles que l’auteur, le nombre de pages, le type de documents et la rareté, entre autres. Par ailleurs, on a pu identifier certains effets qui jouent un rôle significatif sur l’établissement des prix de vente, telles que la notoriété de l’auteur, les effets anniversaire et les effets de mode.
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Verbeke, Karine. "Le Monnayage médiéval alsacien du VIe au XIIIe siècle, à travers les collections numismatiques de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg et de la Ville de Strasbourg." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2001. http://www.theses.fr/2001STR20035.

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Abstract:
Les travaux menés dans le cadre de ce mémoire portent sur l'histoire du monnayage du territoire du diocèse de Strasbourg, depuis l'époque des premières traces d'une activité monétaire sous les souverains mérovingiens, jusqu'à l'avènement de la monnaie municipale strasbourgeoise à la fin du XIIIe siècle. .
The subject of this paper is the history of the Alsatian coinage within the territory of the diocese of Strasbourg, from the first traces of a monetary activity under the Merovingian sovereigns, to the advent of a municipal currency in Strasbourg at the end of the XIII. Th century. .
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Mercier, Cyril. "Les collectionneurs d'art contemporain : analyse sociologique d'un groupe social et de son rôle sur le marché de l'art." Phd thesis, Université de la Sorbonne nouvelle - Paris III, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00831145.

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Abstract:
Cette thèse a pour principal objectif d'analyser l'existence des groupes de collectionneurs d'art contemporain en France au niveau régional (l'exemple de la région Languedoc-Roussillon sera approfondi) et au niveau national de 1980 à nos jours. Il s'agira de cerner les contours et l'organisation de ce groupe social, d'en comprendre les caractéristiques communes ainsi que la sociabilité qui lui est propre et les interactions entre ses membres. La compréhension des modes de différenciation et d'éventuelle hiérarchisation du groupe des collectionneurs d'art contemporain peut nous aider à comprendre les mécanismes qui sous-tendent les décisions et, notamment la dimension d'impulsion dans l'achat d'œuvres d'art. Certains des collectionneurs devenant des leaders dans leur groupe social, leur poids économique, mais aussi social, et leur implication sur le marché de l'art à différents niveaux leur offrent la possibilité d'influer sur la cote des artistes d'art contemporain, ce qui sera analysé dans ce travail de thèse. le marché de l'art contemporain est un marché financier et spéculatif. Il s'apparente, par de nombreux aspects, aux marchés économiques classiques et peut faire l'objet de placements dont il conviendra de faire ressortir les logiques. Par ailleurs certaines caractéristiques semblent indiquer qu'une part de similitude existerait entre le groupe social des collectionneurs et celui de la grande bourgeoisie. Ce travail doit nous permettre de mieux comprendre les interactions entre ces deux groupes. La méthodologie employée pour ce travail sollicitera un certain nombre d'outils propres aux sciences sociales et humaines : l'entretien compréhensif, l'enquête quantitative, l'étude documentaire et l'enquête de notoriété, l'immersion et l'observation participante.
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Hattori, Cordélia. "Pierre Crozat (1665-1740), un financier collectionneur et mécène." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040237.

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Abstract:
Pierre Crozat (1665-1740), financier, est avant tout connu pour ses activités de collectionneur et de mécène. Protecteur d’Antoine Watteau, ami de Rosalba Carriera, commanditaire de Charles de la Fosse et de Pierre II Legros, son hôtel parisien, rue de Richelieu, élevé par J. -S. Cartaud, fut un lieu de rendez-vous pour les amateurs, les connaisseurs, les collectionneurs et les artistes. Les peintres de l'académie, les artistes étrangers de passage à Paris, Bachaumont, Caylus ou Mariette s'y retrouvaient au cours des réunions hebdomadaires et consultaient la très nombreuse collection de dessins. Les artistes venaient y étudier et copier les feuilles des grands maitres. Ils pouvaient également voir chez Pierre Crozat, ses collections de peintures, d'estampes, de sculptures, de pierres gravées et quelques objets de curiosités. Une grande bibliothèque, riche en ouvrages sur l'art était aussi à leur disposition. Pierre Crozat fut par ailleurs un grand amateur de l’Italie où il se rendit une fois, pour négocier l'acquisition de la collection de la reine de Suède pour le régent. Il resta en contact avec Florence, Rome, notamment l'académie de France dirigée par Charles Poerson puis Nicolas Vleughels, et Venise plus particulièrement. En Angleterre, le duc de Devonshire fut un de ses correspondants. Parmi les activités de Pierre Crozat et de son cercle de connaisseurs, dont les deux références furent Roger de Piles et Giorgio Vasari, le projet de la publication d'un recueil, qui pour la première fois associait le texte et l'image fut entrepris. Mais il resta inachevé. L'hôtel Crozat fut comme une académie et joua un rôle majeur auprès des amateurs-connaisseurs et des artistes dans les trente premières années du XVIIIe siècle
Pierre Crozat (1665-1740) is a financier famous for his activities as a collector and patron. Protector of Antoine Watteau, friend of Rosalba Carriera, patron of Charles de la Fosse and Pierre II Legros, his Parisian hotel, rue de Richelieu, built by J. -S. Cartaud, was a rendez,-vous place for amateurs, connoisseurs, collectors and artists. The painters of the royal academy, the foreign artists coming to Paris, Bachaumont, Caylus or Mariette met together during the weekly assemblies organized by Pierre Crozat, and studied the great collection of drawings. The artists also came to study and copy the sheets of great masters. They also could see Pierre Crozat's collections of paintings, etchings, sculptures, engraved stones and some 'objets de curiosités". A large library, with many books on art, was also available. Besides, Pierre Crozat, was a lover of Italy, where he went once to negotiate, for the regent, the collection of paintings of the queen of Sweden. After his return to France, he kept some relations with Firenze, Rome (especially with the academic de France directed by Charles Poerson and Nicolas Vleughels), and Venice. In England, the duc of Devonshire became one of Pierre Crozat's correspondents. Among the activities of Pierre Crozat's circle of connoisseurs - to which theorical references were R. De piles and C. Vasari writings - began a project of a "recueil d'estampes" which particularity was to mix a text and illustrations for the first time. But it stayed unfinished. The hotel Crozat was like an academy, and had a very important place for the amateurs connoisseurs and for the artists of the beginning of the XVIIIth century
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Pety, Dominique. "Collection et écriture : les Goncourt en leur temps." Paris 3, 2001. http://www.theses.fr/2001PA030098.

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Abstract:
Pendant toute la deuxième moitié du XIXe siècle, les frères Goncourt ont été des amateurs d'art, collectionneurs de l'art français du XVIIIe siècle et japonisants. Il faut réinterpréter leur oeuvre littéraire à la lumière de leur collection. Pour la remettre en contexte, nous avons d'abord procédé à une étude historique. La collection au XIXe siècle est au coeur d'un conflit de valeurs : tiraillée entre richesse et stérélité de l'ancien, elle révèle l'angoisse d'un temps confronté à la difficulté de créer du nouveau. Les Goncourt entendent conjurer cette angoisse en faisant de la collection, telle qu'elle se déploie dans la maison-musée, une oeuvre d'art supérieure. .
During the second half of the 19th century, the Goncourt brothers have been lovers and collectors of 18th century French art and Japanese art. Their literary works must therefore be reinterpreted in the light of their art collections. To put them back into context, we first proceed to a historical study. 19th century collecting deals with conflicting values, remmants of the past being either considered as a fertile heritage or as a deal weight, which reveals the anxiety of a period confronted with the hardship of creating something new. The Goncourt brothers overcame this anxiety by uniting their collections into an single work of art in the overwhelming space of their home and private museum. .
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Huang, Shu-Lin. "La promotion de la peinture de paysage en France, de Roger de Piles à la création du grand prix de Rome de paysage historique (1708-1817) : théoriciens, amateurs, peintres & État." Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010513.

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Abstract:
Avant 1750, la réception de la peinture de paysage en France s'apparente à celle du goût pour le "rubénisme". Le paysage sert à réévaluer les sujets et l'esthétique des peintres nordiques jugés inférieurs aux maîtres italiens. La promotion de De Piles contribue à définir une nouvelle méthode d'éducation artistique et à élargir aussi le marché de l'art. La tentative a une portée institutionnelle et commerciale. La situation évolue au début du XIXe siècle. Un nouveau système réévalue la division des genres picturaux et le statut des genres mineurs. La création du grand Prix de Rome, paysage historique, augmente sa portée académique par la réception du genre au sein du système des Beaux-arts. Le programme du concours met trop d'accent sur le style, l'évocation historique et laisse trop peu de place à la liberté personnelle du paysagiste. La vision de l'Académie est ébranlée par les critiques du Salon jouant tantôt le soutien tantôt l'adversité. Cette atmosphère ambigue͏̈ crée une instabilité de la promotion de l'Etat. Si la voie du réalisme s'ouvre, la grande place accordée au paysage au XIXe siècle est redevable de la promotion entreprise en faveur du genre depuis De Piles.
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Banguiam, Kodjalbaye Olivier. "Les officiers français : constitution et devenir de leurs collections africaines issues de la conquête coloniale." Thesis, Paris 10, 2016. http://www.theses.fr/2016PA100045/document.

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Abstract:
Consacrée aux collections africaines des officiers coloniaux français, cette recherche soulève la question de l’exploration et de la conquête de l’Afrique à la fin du XIXè siècle et au début du XXè siècle. Parmi les explorateurs envoyés par les pays européens pour coloniser les populations africaines figurent des hommes de couches sociales et de professions différentes. On peut citer, par exemple, les missionnaires, les administrateurs, les militaires. Il est privilégié ici l’étude de l’action coloniale des officiers français engagés dans une série de régions (Mali, Sénégal, Congo, Tchad, République Centrafricaine…). Lors des missions d’exploration, ces hommes y découvraient un éventail d’objets (armes, instruments de musique, objets d’utilité quotidienne, objets rituels…) qu’ils collectaient sous l’incitation des instructions reçues en France avant leur départ. Il convient d’étudier les provenances géographiques et les conditions d’acquisition de ces objets afin de dégager la particularité des collections rassemblées par les officiers. Au terme de leurs périples, ceux-ci rapportaient en France ces collections qu’ils offraient aux musées comme le Musée de l’Homme et le Musée de l’Armée. Aujourd’hui, le Musée du Quai Branly conserve de précieux dossiers sur ces militaires (Archinard, Brazza, Marchand, Tilho…) ainsi que les traces de leurs dons. Après avoir répertorié environ 1500 objets dont l’histoire est indissociable à celle de la colonisation de l’Afrique, on déduit que ces oeuvres constituent un véritable héritage colonial permettant d’analyser la vision européenne et la perception des militaires français par rapport à la culture matérielle africaine. Par ailleurs, l’étude de cet acquis colonial peut révéler le degré de civilisation des populations locales qui avaient fabriqué et utilisé les articles concernés à la fin du XIXè siècle et au début du XXè siècle
This research concerns the French officers contribution during the colonization of Africa and the quality of the african objects that they collected. It aims to study the exploration and the conquest of Africa at the end of the 19th century and the beginning of the 20th century. During this period, European countries sent in the different parts of the continent many explorers to colonize the population. Those explorers had different social classes and jobs. Among them, there were, for example, religious persons, administrators and soldiers. It is the colonial action of the French officers in the different countries of Africa (Mali, Senegal, Congo, Chad, Central Africa Republic…) that is studing. During the exploration travel, the colonial officers discovered in those countries different kinds of objects. According of the instructions they received in France before their travel, they collected the local objects as the arms, the royal objects, the music objects, the cooking objects, the objects of the traditional ceremony. It’s interesting to study where the objects provided and the conditions of the collect. It’s a best way to know the particularities of the result of the officers discoveries. At the end of the journey in Africa, the officers brought to France the result of the collect and offered the objects to the French museums as the Musée de l’Homme, the Musée de l’Armée. Today, the Musée du Quai Branly is conserving the documents about the exploration travels of many officers (Archinard, Brazza, Marchand, Tilho, Lenfant…) and some of the objects they had collected for studying the customs of the African populations. We interroged about 1500 objects they had collected. The history of those objects is associated to the Africa colonization history. Nowadays, those objects constitute a colonial heritage and permit to analyze the European vision and the military perception about the African material culture and to know the degree of the civilization of the African populations who made and used those objects in Africa at the end of the 19th century and the beginning of the 20th
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Gayet, Gwenn. "Le manoir de Kerazan et ses propriétaires : Architecture, décor inérieur et collections." Thesis, Clermont-Ferrand 2, 2014. http://www.theses.fr/2014CLF20004.

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Abstract:
Le domaine de Kerazan, ensemble encore méconnu, fut légué à l’Institut de France par Joseph-Georges Astor en 1929. Situé en plein cœur du Pays Bigouden, sur la route de Pont-l'Abbé à Loctudy, le manoir de Kerazan est aujourd'hui l’un des fleurons de l’art de vivre au XIXe siècle, en sud Finistère. S’étalant du XVIe siècle à 1934, toute une collection d’arts décoratifs imprègne le manoir : toiles de maîtres régionaux, meubles bretons ou encore faïence de Quimper font vivre ce bâtiment comme ils font vivre le passé. Cet ensemble éclectique fut composé par une famille de trois collectionneurs : Joseph Astor II, Maire de Quimper de 1870 à 1886, conseiller général (de 1877 à 1895) et premier Sénateur républicain du Finistère, élu en 1890, et qui le restera jusqu’à son décès, en 1901. Son fils, Joseph-Georges Astor, docteur en droit, compléta la collection familiale tout au long de sa vie, avant de léguer - sous certaines conditions - l’ensemble de la collection à l’Institut de France. Dernier membre de cette famille de collectionneurs, beau-frère de Joseph Astor II et oncle de Joseph-Georges Astor, Georges Arnoult fut élu Député de la seconde circonscription de Quimper de 1876 à 1885. Le manoir et son domaine, connurent de très amples modifications, depuis la fin du XVe siècle à nos jours, et c’est ce que nous allons aborder ici, par le prisme de différentes disciplines, à savoir : histoire politique, histoire sociale et histoire des arts.Ce fut donc sous l’action de plusieurs familles et collectionneurs que le manoir fut modifié : tant dans son architecture, que dans ses décors intérieurs. Enfin, nous analyserons, l’histoire du goût au travers de l’exemple de la constitution de la collection de Kerazan. Peintures, mobiliers et objets quotidiens demeurés en l’état méritent-ils l’appellation de « collection bretonne » ? Quels étaient les objectifs de cette collection, quelles impulsions peuvent en être dégagées, et quels processus avons-nous pu déceler ? Ces derniers peuvent-ils être comparés à d’autres collections ?
The domain of Kerazan, still an underestimated set, was bequeathed to the Institute of France by Joseph-Georges Astor in 1929. Placed right in the heart of the Bigouden County, between Pont-l'Abbé and Loctudy, the manor house of Kerazan is today one of the jewels of the lifestyle in the XIXth century, in South Finistère. Spreading out from the XVIth century to 1934, a whole collection of decorative arts fills the manor house: paintings of regional masters, Breton furniture or still earthenware of Quimper make this building live as they make the past live. This eclectic set was made by a family of three collectors: Joseph Astor II, Mayor of Quimper from 1870 to 1886, member of the “General Council” (from 1877 to 1895) and first republican Senator of Finistère, elected in 1890 until he died in 1901. His son, Joseph-Georges Astor, Doctor of Law, continued the family collection throughout his life, before bequeathing - under certain conditions - the whole collection to the Institute of France.Last member of this family of collectors, brother-in-law of Joseph Astor II and uncle of Joseph-Georges Astor, Georges Arnoult was elected Member of Parliament of the second district of Quimper from 1876 to 1885.The manor house and its domain, have known very important modifications, since the end of the XVth century up to nowadays, and that is what we are going to study here, thanks to various subjects, that is to say : political history, social history and art history.Thus, the manor house was changed thanks to several families’ and several collectors’ actions in its architecture and also in its internal decoration. Finally, we will analyze, the history of taste through the example of the constitution of the collection of Kerazan. Do paintings, furniture and daily objects deserve the name of " Breton collection "?What were the goals of this collection, which trends can be observed, and which processes could we identify ? Can the latter be compared with other collections ?
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Joyeux, Hélène. "Un certain "esprit de collection" : les collectionneurs d'art français du monde de la mode (XXe-XXIe siècles)." Thesis, Paris 1, 2020. http://www.theses.fr/2020PA01H040.

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Abstract:
Depuis l’invention de la haute couture à la fin du XIXème siècle, jusqu’à aujourd’hui, le milieu de la mode est l’un des secteurs professionnels qui concentre le plus de collectionneurs. Dès lors, on peut se demander s’il existe un collectionnisme propre aux collectionneurs du milieu de la mode, et si tel est le cas, comment il s’est structuré et de quelle façon il a évolué. Si celui-ci est le premier axe choisi pour rendre compte de ces relations, il n’est pas le seul car il ne peut se comprendre sans aborder, plus largement, d’autres formes de collaborations entre les acteurs de ces milieux. Le collectionnisme s’inscrit en effet dans un ensemble de relations entre grands couturiers, ou dirigeants de groupes de luxe, artistes, marchands, galeristes, journalistes, critiques, photographes, clients d’un secteur comme de l’autre.… etc. Pour ce faire, nous avons choisi trois exemples de collectionnisme, qui ont en commun d’avoir marqué leur époque, le champ de la mode et celui de la collection : ceux de Jacques Doucet, du couple Pierre Bergé-Yves Saint Laurent et de Bernard Arnault à travers la marque et la fondation Louis Vuitton. Cette thèse se propose donc d’analyser le collectionnisme du point de vue du collectionneur mais aussi, à inscrire ces collections à la fois dans leurs époques respectives, dans leur filiation, dans l’histoire de l’art et l’histoire de la mode
Since the invention of haute couture at the end of the XIXth century until today, the fashion world has been one of the professional sectors where the collectors are the most numerous. This raises the question of whether there is a specific type of collectionnism among the fashion collectors, and if so, how is it structured and how has it evolved. If this is the first line of research chosen to analyze these relationships, it is certainly not the only one but it cannot be understood without addressing, more widely other forms of collaboration between all the peripheral creative actors in this field. Indeed, collectionism is part of the network of relationships between leading fashion designers, or leaders of luxury goods companies, artists, art dealers, gallery owners, journalists, critics, photographers and clients of both sectors, etc. To do so, we have chosen three examples of collectionism that have in common the fact that they have marked their era, contemporary fashion and the ‘spirit’ of collection: those of Jacques Doucet, the couple Pierre Bergé and Yves Saint Laurent and Bernard Arnault through the brand Louis Vuitton and the Louis Vuitton Foundation. This thesis proposes to analyze and explore collectionism from the point of view of the collector but also, to place these collections at the same time in their respective era, in their filiations, in the history of art and fashion history
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Jouves, Barbara. "La conservation et la restauration des tableaux des collections privées à Paris (1789-1870)." Thesis, Paris 1, 2019. http://www.theses.fr/2019PA01H070.

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Abstract:
Préoccupés par la conservation de leurs collections de peintures, les amateurs d’art parisiens font appel, entre 1789 et 1870, aux restaurateurs de tableaux, ces derniers relevant d’une profession qui, à la même époque, se définit indépendamment de celles du marchand, de l’expert ou même du peintre. Si le restaurateur intervient sur les œuvres du particulier, il joue, par ailleurs, pour l’amateur, un rôle de guide dans sa connaissance, voire dans son apprentissage, des procédés picturaux. Progressivement, cette prise en compte de la matérialité de l’œuvre contribue à intégrer le collectionneur au sein des commissions muséales en tant que conseiller, avant qu’il n’acquière un statut privilégié au musée à partir des années 1860 par le legs de ses œuvres
Concerned about the conservation of their art collections, in the years between 1789 and 1870, Parisian amateurs called upon the services of painting restorers, who, at that time, belonged to a profession considered quite separate from that of art dealer, expert or even painter. While the restorer worked on paintings belonging to private collectors, he also acted as a guide for the latter, broadening their knowledge of Ŕ or even teaching them about Ŕ pictorial techniques. This understanding of the materiality of artworks gradually contributed to collectors being invited into museum committees as advisors, before they acquired a privileged status in museums, from the 1860s onwards, by bequeathing their collections
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Ferey, Vanessa. "La collection ethnographique du cabinet d’Histoire naturelle du Muséum national de Versailles 1767 – 2007 : trajectoire et interprétations des patrimoines de l’Amérique du Nord." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA083.

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Abstract:
La muséologie développée en France et en Amérique du Nord, bien qu’ayant été explorée par les chercheurs en muséologie, a encore peu exploité la richesse informative des collections françaises d’Amérique du Nord. L’histoire de la collection de la famille Fayolle, ayant donné naissance au cabinet de Sérent à Versailles, a été étudiée sur l’ensemble de la période de la Nouvelle-France jusqu’à nos jours afin de contribuer aux recherches futures des historiens de l’art et des conservateurs français. L’origine privée de cet ensemble raisonné datant de 1767 a été explorée pour favoriser une écriture plus objective de l’histoire des musées de France, dont celle de l’éphémère Muséum national de Versailles. Ce rassemblement d’objets s’est révélé comme un cas d’école issu du développement et de la culture de la muséologie française au contact d’une culture matérielle nord-américaine singulièrement conservée dans l’espace du « musée » en France. Les pratiques de formation ont été abordées à partir d’une histoire institutionnelle française en considérant cette collection comme un patrimoine muséographique nord-américain. Une histoire effective des lieux, mais également des acteurs de ce patrimoine a été rédigée à partir d’archives et de documents redécouverts ou majoritairement inédits. Le rôle majeur des interactions individuelles et sociales au sein des environnements muséaux, dans l’interprétation du phénomène de collection française dans les territoires américains, a ainsi été réaffirmé. L’analyse jusqu’en 2007 de l’exposition des objets de ce cabinet en tant qu’élément patrimonial de la muséographie française, a témoigné de l’existence d’un continuum culturel entre la France et l’Amérique du Nord. Sur la période étudiée (1767-2007), une praxis franco-américaine de la muséologie a été mise en évidence à travers la diversification des milieux professionnels et universitaires de la muséologie française. De plus, des logiques muséales propres aux espaces de collection nord-américaine en France sont apparues. Ces conclusions caractérisant la collection Fayolle, témoignent d’une théorisation partagée de la discipline qu’est la Muséologie
The museological relations developed between France and North America have been explored by researchers in museology but these have hardly exploited the wealth of information contained in the French collections of North American objects. The history of the making of the Fayolle Collection, which gave birth to the Cabinet of Sérent at Versailles has been studied over a period starting with New-France and going as far as our present days, in order to gather material that could be of help to future research by art historians and French curators. The private origin of this collection dating 1767 has been explored at length to favour a more objective writing of the history of the museums in France, among which that of the short-lived Versailles National Museum. This collection has proved to be a case study of the development and culture of French museology in contact with a North American material culture, exceptionally preserved in the space of French museums. Its collecting practices have been approached not only from the point of view of a French institutional history but also considering it as a North American museographical heritage. An actual history of the places, but also a descriptive work of the actors of this heritage has been written using archives and documents either rediscovered or mostly unpublished. The major role played by individual and social interactions within museum environments in the interpretation of French collecting in American territories has been reaffirmed. The analysis going as far as 2007 of the exhibition of the objects of this cabinet as a patrimonial element of French museography has testified to the existence of a cultural continuum between France and North America. Over the period of time under study a French-American praxis of museology has been revealed through the diversification of professional and academic circles of French museology. Moreover museum logics specific to spaces devoted to North American collections in France have appeared. Those conclusions characterize the Fayolle collection, a witness to a shared theorization of the field that is Museology
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Herrmann, Simone. "Harry comte de Kessler (1868-1937) et la France : études sur la réception de l'art français dans l'Allemagne de Guillaume II." Paris 1, 2002. http://www.theses.fr/2002PA010552.

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Abstract:
Fils d'un banquier allemand et d'une mère issue de la noblesse irlandaise, Harry Kessler grandit à Paris, puis en Angleterre et en Allemagne. Il s'installe à Berlin où il fréquente l'avant-garde artistique et se passionne pour l'art moderne français tout en collaborant à la revue " Pan ". Un fabuleux héritage, légué par son père, lui permet de créer une collection d'art moderne d'une qualité exceptionnelle. Il vit entre Berlin, Londres et Paris où il fréquente les cercles néo-impressionnistes et symbolistes. De 1903 à 1906, Kessler, directeur du musée grand-ducal de Weimar, permet à ces groupes d'artistes non confirmés d'exposer leurs oeuvres. Lui même présente dans son domicile la plus grande partie de sa collection privée. Il favorise ainsi, avant la première guerre mondiale, la rencontre de l'avant-garde de la culture allemande et de la culture française ainsi que celle entre artistes, collectionneurs, marchands de tableaux, hommes de musée et hommes d'affaires. Kessler devient ainsi le meilleur imprésario de l'art français, en contradiction avec la politique officielle de Guillaume II. Lié d'amitié à un grand nombre d'artistes, ses visites lui permettent de suivre la production de ses protégés, parmi eux, en premier lieu, Auguste Rodin et Aristide Maillol. Certains passages de son journal et sa correspondance échangée avec des artistes français, éditée pour la première fois dans le cadre du présent travail, montrent l'importance du rôle d'intermédiaire culturel que joua Kessler entre 1895 et 1914 dans l'histoire de l'art franco-allemand et illustrent un chapitre intime de la complicité entre mécène et artiste.
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Pavot, Bénédicte. "A "pretty general taste for pictures" : the social construction of artistic value in eighteenth-century London (1685-1805)." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070139.

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Abstract:
Cette thèse propose d'examiner la perception de la peinture au cours du long dix-huitième siècle en Grande-Bretagne et d'étudier comment les différents discours aboutirent à la construction d'une valeur culturelle. La légitimité du goût pour la peinture fut une question qui obsédait tant les collectionneurs que les prédicateurs s'insurgeant contre le luxe, alors que des Britanniques issus de la classe aisée s'enthousiasmaient pour cet art dont le pays n'avait pas la tradition d'excellence. Reposant sur des fondements ni tout entièrement moraux, ni tout entièrement esthétiques, la valeur de la peinture telle qu'elle était exprimée par le spectateur britannique ne se défit jamais d'une logique commerciale -celle des agents, des marchands, mais aussi celle des artistes eux-mêmes, occupés à redéfinir leur profession et à promouvoir une École anglaise de peinture. Par leur statut d'intermédiaires, par le biais des ventes et des expositions, les acteurs du marché de l'art contribuèrent à créer un espace de sociabilité dans les capitales européennes : cette thèse en examine le pan londonien. Par la promotion de la pratique du dessin en amateur, ou de la collection à petite échelle, ils mirent la peinture à la portée d'un plus grand public, redéfinissant sa valeur pédagogique. L'espace de conversation des connaisseurs érudits, élargi au public amateur est celui du marché de l'art — un marché qui reposait sur la promotion du plaisir mais aussi de l'instruction que le public pouvait retirer de la peinture, et qui traduit ainsi bien l'épistémologie socioculturelle proprement britannique tant sensualiste qu'empiriste qui se développa au cours du long dix-huitième siècle
The purpose of this dissertation is to examine how painting was perceived throughout long eighteenth century in Great Britain, and to study how the notion of cultural value veloped from the different discourses triggered by pictures. The legitimacy of a taste for ainting was a question that preoccupied both collectors and preachers declaiming against iuxury, and it became more pressing in the face of a growing interest for pictures in the well-off British middling sort. Neither moral nor aesthetic values could account entirely for the value of painting as it was construed by the British spectator, for it included a commercial component, influenced as it was by the agents, the merchants, as well as the artists themselves, busy redefining their profession and promoting a British School of painting. Operating as middlemen to bring pictures and public together, through public sales and exhibitions, the actors of the art market contributed in creating a space of sociability in European capitals — the case of London will particularly occupy this dissertation. By promoting the amateur practice of drawing, or collecting on a small-scale, they put paintings within the reach of a larger public and redefined their pedagogical value. The space of conversation inhabited by the virtuosi was enlarged to accommodate for the eighteenth¬century public, and its boundaries were those of the art market — a market that was keen to promote not only the pleasure, but also the instruction the public could gain from pictures -an aspect that conveys the socio-cultural epistemology proper to the British long eighteenth century, both sensualist and empiricist
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Guichard, Charlotte. "Les amateurs d'art à Paris dans la seconde moitié du XVIIIe siècle." Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010617.

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Abstract:
Cette thèse étudie l'émergence de la figure de l'amateur, qui s'impose dans la seconde moitié du XVIIIe siècle comme un maillon essentiel dans le passage du système monarchique des arts au marché de l'art du XIXe siècle. L'amateur n'est pas seulement un collectionneur, c'est une figure plurielle, constituée par un faisceau de pratiques et de représentations. Constituée dans un jeu entre le statut académique d'amateur honoraire, la circulation des œuvres, la diffusion de la commande privée et les pratiques mondaines de l'image, l'amateur devient une figure-clé de l'espace artistique parisien. Promue par le mouvement de réforme académique des années 1740, qui dispense un modèle régulateur du public, la figure de l'amateur cristallise les polémiques sur les fondements du jugement de goût et sur la définition des pratiques patriotiques dans le domaine artistique, qui accompagnent la naissance de l'espace public de l'art à Paris. Parallèlement, le développement des collections est au cœur de la figure de l'amateur: les collections servent de support à des pratiques d'expertise, de sociabilité et de publication du nom. Ces réputations individuelles naissent dans des cercles restreints et locaux, et dans l'espace du marché de l'art. Au siècle des Lumières, les amateurs incarnent alors la mise en ordre, artistique ou savante, du monde des objets tandis que l'esthétique de la collection témoigne des appropriations privées des œuvres. Enfin, la diffusion des arts au sein des élites sociales et l'apparition de sociabilités artistiques et mondaines favorisent l'essor des pratiques artistiques non professionnelles. L'amateur est aussi un artiste amateur.
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Fouquet-Rehault, Yolande. "Le Maître du Cardinal de Bourbon : l’Atelier d’un maître flamand de la fin du XVè siècle." Rennes 2, 2010. http://www.theses.fr/2010REN20051.

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Abstract:
L’étude porte sur le Maître du Cardinal de Bourbon, un peintre-enlumineur de la fin du XVè siècle. Trois approches traditionnelles et complémentaires ont permis de répondre à des questions fondamentales ayant trait à sa localisation, son statut et son activité artistique et de prouver son originalité. L’approche iconographique est basée sur la comparaison d’un type d’images ou sur des extraits d’images, destinés à isoler les principaux thèmes sélectionnés par l’artiste. L’étude stylistique se penche sur les caractéristiques de son art d’origine flamande et sa manière de s’intégrer dans le paysage artistique français. Enfin, l’étude historique s’attarde sur les rapports de l’artiste avec les commanditaires et leur intérêt pour l’art en général et ce peintre-enlumineur en particulier
This study is about the Maître du Cardinal de Bourbon, a painter-illuminator of the end of the XVth century. Three traditional and complementary approaches are used to answer the undamental questions relative to his localisation, his status and his artistic activity and to discover his part of originality. The iconographic approach, based on compared images or on extracts, aims at isolating the main themes selected by the artist, whereas the stylistic study leans on the main characteristics of his art of flemish origin and his way of integrating the French artistic landscape. Finally, the historical study pays more attention to the artist’s relationship with the commanditors and their private motivation for art in general and this illuminator in particular
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Ouellet, Pierre-Olivier. "Circulation, usages et fonctions des oeuvres d'art par les civils et les militaires en Nouvelle-France." Thesis, Rennes 2, 2013. http://www.theses.fr/2013REN20059.

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Abstract:
La formation de collections d'objets d'art constitue en Europe, au début du XVIIe siècle, une nouvelle habitude de la part des mécènes et des connaisseurs. Avec la diffusion de la pratique du collectionnisme dans la seconde moitié du XVIIe siècle et le développement du goût pour les tableaux en France -lesquels deviennent de plus en plus accessibles sur le marché-, un nombre grandissant de particuliers possèdent des oeuvres d'art sans pour autant être de grands collectionneurs. Coïncidant avec les débuts de la colonisation de la Nouvelle-France, nous pouvons nous demander quelécho a eu l'effervescence de ce goût au Canada. Il s'agit donc de retrouver la trace des divers objets d'art conservés dans les domiciles en Nouvelle-France, le long de la vallée laurentienne, de comprendre comment ils y ont circulé, quels étaient leur quantité et leur nature dans les intérieurs domestiques, puis quels rôles ils jouaient dans la société d'alors. Notre thèse examine donc les relations entre les particuliers et les oeuvres d'art en Nouvelle-France. Nous pensons que l'objet d'art ne s'inscrit pas d'emblée dans une classe ontologique propre où l'art suffit à l'art. Ainsi, en plus des discours légitimés sur l'art, nous devons aussi tenir compte des autres perspectives de compréhension et de modes de perception de l'oeuvre au sein de la civilisation des XVIIe et XVIIIe siècles. De fait, dans le cadre quotidien de la Nouvelle-France, l'oeuvred'art, si elle constitue un objet esthétique, ne se limite pas à ce rapport. Ainsi, ce qui est examiné porte sur la variété des compétences des laïcs de l'époque, c'est-à-dire la façon dont ils utilisent et perçoivent les images
At the beginning of the seventeenth century, in Europe, collecting art objects became a new habit for the patrons and the connoisseurs. The spread of the practice of collecting art in the second half of the seventeenth century, associated to the development of a taste for paintings in France – which are becoming increasingly available on the market – made a growing number of individuals buying art without being great collectors. Coinciding with the beginning of the colonization of the New France, we can ask if this taste for art also spread in Canada. This thesis traces the various works of art kept in homes of New France, along the St. Lawrence Valley. It tries to understand how these pieces of art circulated, how many there was, what was their variety in each domestic interior and what roles they played in the society. Furthermore, we examine therelationship between the individuals and the works of art in New France. We believe that the art object does not fall immediately into a clean ontological class where art is simply art. In addition to legitimate discourses on art, we think we must consider other perspectives for understanding the works of art in the seventeenth and the eighteenth centuries. In fact, the work of art is not considered simply as an aesthetic object in the everyday’s life of the New France. This thesis therefore examine how citizens interpreted art images and how they used the various art objects
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Subra, Danielle. "Le baron Nicolas-Joseph Marcassus de Puymaurin,collectionneur et mécène en Languedoc au siècle des Lumières." Thesis, Montpellier 3, 2019. http://www.theses.fr/2019MON30057.

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Abstract:
L’histoire des collectionneurs toulousains reste encore à faire. Bien que quelques articles aient été épisodiquement consacrés à l’un ou l’autre des grands noms de la collection, ils restent très ponctuels et incomplets. Si Robert Mesuret a réuni et publié en 1972 l’ensemble des livrets des Salons de l’Académie Royale de peinture de Toulouse, il faut attendre 2002, l’exposition au Musée Paul Dupuy et le catalogue de jean Penent pour avoir une vue synthétique de la collection à Toulouse au XVIIIe siècle. Cependant en 2003, dans son ouvrage Les grands collectionneurs Pierre Cabanne choisit pour illustrer la figure du collectionneur provincial du XVIIIe siècle le baron de Puymaurin. Il écrit : « Mais le collectionneur toulousain le plus important est le baron de Puymaurin qui très jeune, ramena d’Italie l’amour des arts » et conclut ainsi : « L’inventaire de biens de Puymaurin, un an après sa disparition, décrit l’intérieur de son hôtel et de son contenu, la Chambre jaune, le Salon doré, le Cabinet, les meubles, les tableaux et la bibliothèque ; celui d’un des derniers collectionneurs provinciaux du XVIIIe siècle pendant la tourmente révolutionnaire ». Dans son sillage, nous allons donc consacrer notre étude au baron de Puymaurin. De sa naissance en 1718 à sa mort en 1791, nous retracerons l’itinéraire de cet esprit curieux, éclectique et entreprenant, à la fois mélomane, négociant, académicien, syndic général du Languedoc et collectionneur. Nous ferons également étape dans ses différents lieux de vie avant d’aborder l’analyse de ses collections au travers des inventaires après décès, sources précieuses de renseignements. La composition de sa bibliothèque, ainsi que celle de ses cabinets laisse entrevoir la diversité des centres d’intérêts de cet érudit, et permet d’en définir les goûts, de même que les livrets du salon et le catalogue de la vente d’une partie de son cabinet, après sa disparition. Nous nous intéresserons ensuite à ses activités au sein des différentes Académies auxquelles il appartenait, ainsi qu’à son rôle de mécène auprès du peintre Jacques Gamelin en particulier, dont il fut le « découvreur » et le plus ardent défenseur. La collection du baron de Puymaurin a été dispersée après son décès. Pour terminer nous tenterons de retracer les pérégrinations de ces œuvres, dispersées aujourd’hui tant dans des collections particulières que dans des musées, en France voire à l’étranger
The story of the collectors from Toulouse is still to be done. Whereas some articles were occasionally devoted to one or another famous names in the collection, they remain very limited and uncompleted. Nevertheless, Robert Mesuret gathered and published all the booklets about the Salons of the painting Royal Academy of Toulouse in 1972. We have to wait until 2002 the exhibition in the Paul Dupuy museum and the catalog by Jean Penent to get a synoptic vision of the collection as it was in Toulouse in the 18th century. But, in 2003, in his book : Les grands collectionneurs. Pierre Cabanne chose the character of the provincial collector during the 18th century : the Baron of Puymaurin. He wrote : “ but the most important collector from Toulouse is the Baron of Puymaurin, who, when he was very young, brought back from Italy the love of arts” and he concluded : “ the stocklist of Puymaurin’s belongings, made a year after his death, describes the inside of his hotel and its content : the yellow bedroom, the gilded lounge, the Cabinet, the furniture, the paintings and the library, that was one of the last provincial’s of the 18th century during the revolutionary trouble. On his tracks, we are going to dedicate our study to the Baron of Puymaurin. From his birth in 1718 to his death in 1791, we will retrace the life story of this curious, eclectic and resourceful mind. He was at the same time a music lover, businessman, academician, general mayor of the Languedoc county and a collector. We will, as well, stop in the diverse living places before making an analysis of his collections through the stocklists made after his death. These are precious sources of information. The content of his library as well as the one of his cabinets open to the diversity of the centers of attention of this erudite person. They allow at the same time to find a definition of his tastes, like the booklets of the lounge and the catalog of the sale of some items of his cabinet, after his death. Then, we will study the content of his activities inside the academies he belonged to and the part he played as a sponsor of the painter Jacques Gamelin among others. He was his discoverer and the eager defender. The Baron of Puymaurin’s collection was spread all over after his death. At last, we will try to retrace the travels of these works scattered in personal collections and in French or foreign museums
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Rusque, Dorothée. "Le dialogue des objets : fabrique et circulation des savoirs naturalistes : le cas des collections de Jean Hermann (1738-1800)." Thesis, Strasbourg, 2018. http://www.theses.fr/2018STRAG017.

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Abstract:
Dans le sillage des problématiques posées par l’anthropologie historique du savoir et par les travaux sur la matérialité des pratiques savantes, la thèse questionne la dimension cognitive des collections d’histoire naturelle de Jean Hermann (1738-1800). Dès 1762, le naturaliste crée un riche cabinet ouvert aux trois règnes de la nature. Il est associé à une bibliothèque et à un jardin botanique dont il a la charge en tant que professeur de botanique de l’université de Strasbourg. Les trois formes de collections lui servent d’équipement pour la recherche et pour l’enseignement. L’objet de l’enquête est de cerner le rôle des objets dans la production et la circulation des savoirs naturalistes. Il s’agit également d’observer la construction sociale d’une figure savante. Le travail met au jour l’importance de l’économie d’échange des objets dans la constitution des collections et le rôle du dialogue des objets - échantillons, livres, images – dans le processus d’observation. Le dispositif visuel qu’est le cabinet est au centre de la fabrique du savoir. Les collections contribuent aussi à l’émergence d’une science publique, elles sont des supports d’enseignement et elles attirent de nombreux visiteurs
Following the issues raised by the historic anthropology of the knowledge and the material turn, the thesis questions the cognitive dimension of the collections of natural history of Jean Hermann (1738-1800). From 1762, the naturalist created a rich cabinet composed of objects from the three kingdoms of nature. The cabinet was associated with two other forms of collections: a library and a botanical garden, which he managed as professor of botany of the university of medicine from 1783. All three forms of collections were used as his equipment for research and teaching. The investigation shall determine the role of objects in the production and the circulation of the naturalistic knowledge. Its objective is also to observe the social construction of a learned figure. The study points out the importance of the economy of exchange of objects in the constitution of collections and the role of the dialogue between objects - samples, books, images – in the visualization process. The visual device of the cabinet is at the core of the process of knowledge making. Collections contributed to the emergence of a public science; they were media of teaching and attracted numerous visitors
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Cavalié, Hélène. "Pierre Germain dit le Romain (1703-1783). Une vie à l'ombre des orfèvres du roi." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040280.

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Abstract:
L’orfèvre parisien Pierre Germain dit le Romain (Villeneuve-lès-Avignon, 1703-Paris, 1783), connu pour apublication des Éléments d’orfèvrerie, eut une carrière originale, passant sa jeunesse dans les ateliers d'orfèvres du roi,chez Thomas Germain (1726-1729), puis après un séjour à Rome (1729-1733), chez Jacques Roëttiers (1733-1736) avantde devenir apprenti chez Nicolas Besnier en 1736, et maître en 1744. Travaillant pour Roëttiers jusque vers 1755-1756,devenu grand messager juré de l’université, amateur d’estampes, il publie en 1748 le plus vaste recueil d’orfèvrerie dutemps, les Éléments d'orfèvrerie, cent planches de modèles religieux et civils de style rocaille, gravés par Bacquoy etPasquier, repris et copiés jusqu’au XIXe siècle jusqu’à l’étranger. Il publie aussi en 1751 un court Livre d'ornemens.Installé quai des orfèvres, à La Garde Royale, il produit peu, 1410 kg d’argent jusqu’à sa mort, de beaux ou simplesobjets. Quelques acquéreurs sont connus : Joseph Ier de Portugal en sous-traitance pour François Thomas Germain (1755-1756, 1765), les Wal de Baronville (1761-1763), les Wandalin Mnisech (1762-1764), la princesse des Asturies encollaboration avec Philippe Caffieri et Thomas Chancellier (1765), les Rocheblave (1777), le comte d’Artois et laprincesse de Ligne (1782). L’étude s’élargit aux artistes côtoyés : à Paris, ses maîtres Germain, Roëttiers, Besnier, sonconfrère Denys Frankson, ses apprentis Ange Joseph Aubert et Pontaneau ; à Avignon, les Clerc, Mézangeau et ClaudeImbert, ses parents les architectes J.-B. et François Franque et le menuisier facteur d’orgues Charles Boisselin ; àMarseille, les Durand, les Giraud et son neveu Antoine Germain
The Parisian silversmith Pierre Germain the Roman (1703-1783). A career near the silversmiths of the king. The Parisian silversmith Pierre Germain the Roman (Villeneuve-lès-Avignon, 1703-Paris, 1783), known for his book the Éléments d’orfèvrerie, had an original career. During his youth he worked for the silversmiths of the king, Thomas Germain (1726-1729); and after some time in Rome (1729-1733), worked for Jacques Roettiers (1733-1736) and as an apprentice for Nicolas Besnier from 1736. Master in 1744, he kept working for Roettiers until 1755-1756. Great messenger of the University, fond of engravings, he published in 1748 the largest book of models of the time, Élémentsd’orfèvrerie, 100 plates of rococo religious and civil silverware, engraved by Bacquoy and Pasquier, reprinted and copied until the 19th century in France and abroad (London, Turin). He also published in 1751 a short Livre d’ornemens. Installed quai des orfèvres, he had a small production, 1410 kg of silver up to his death, beautiful or simple objects,including orders for Joseph I of Portugal under contract for François Thomas Germain (1755-1756, 1765), for the Wal de Baronville family (1761-1763), the princess of Asturias in collaboration with Philippe Caffieri and Thomas Chancellier (1765), the Wandalin Mnisech (1762-1764), the Rocheblave (1777), the count of Artois and the princess of Ligne (1782). This study also covers artists he knew well: in Paris, his masters Germain, Roettiers, Besnier, his collegue Denys Frankson, his apprentices Ange Joseph Aubert and Pontaneau; in Avignon, the Clerc and Mézangeau families and Claude Imbert, his parents the architects J.-B. and François Franque, the organ builder Charles Boisselin; in Marseille, the Durand and Giraud families and his nephew Antoine Germain
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Lacroix, Laurier. "Le fonds de tableaux Desjardins : nature et influence." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp03/NQ36285.pdf.

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Segreto, Nora. "Collectionner sous le Second Empire : l’exemple du Musée Rétrospectif de 1865." Thesis, Sorbonne université, 2021. http://www.theses.fr/2021SORUL002.

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Abstract:
En 1865, seulement un an après sa fondation, l’Union Centrale des Beaux-Arts Appliqués à l’Industrie organise sa première exposition, intitulée Musée Rétrospectif. Environ 250 collectionneurs y participent en prêtant une sélection de leurs objets d'art. À l'époque des premières expositions universelles et au moment d'une nouvelle phase de développement industriel, commercial et social, l'État français avait compris que seuls les arts pouvaient garantir à la France le plus grand succès international. En fait, le but des collectionneurs à l’exposition de 1865 était, avant tout, d’instruire les industriels français. Ceux-ci devaient, afin de gagner des prix aux expositions universelles, prendre inspiration des œuvres d’art pour réaliser leurs produits industriels. Mais puisque l’exposition était publique, le but était aussi d’éduquer le plus large public à l’art, de proposer un modèle esthétique et de canaliser les choix esthétiques des visiteurs qui étaient également des consommateurs de la gamme supérieure et qui auraient pu donc ensuite acheter les objets produits sous base industrielle inspirés des œuvres qu’ils avaient admirées à l’exposition. Les collectionneurs du « Musée Rétrospectif » ont été des acteurs sociaux dominants à cette époque, grâce au fait d’avoir compris et représenté la vocation didactique, pédagogique et éducative du Second Empire et du XIXème siècle
In 1865, just one year after its foundation, the Union Centrale des Beaux-Arts Appliqués à l’Industrie organized its first exhibition called Musée Rétrospectif. About 250 collectors took part in it with a selection of their art objects. At the times of the first universal exhibitions, during a new phase of industrial, commercial, and social development, the State understood that only arts could offer a guarantee for France to achieve the highest international success. In fact, the declared aim of the collectors involved in the exhibition was suggesting the French industrialists that winning a prize at the universal exhibitions was possible only if they could inspire their products from the art works. However, since the exhibition was public, there were also some other aims: educating the public to arts, proposing an aesthetic paradigm, and channelling the aesthetic choices of the visitors. Actually, most of them were also among the consumers of high-end products, who could later be interested in buying industrial and light manufacture products inspired by the art works they had admired at the art exhibition. The collectors of the Museé Rétrospectif have been not only among the most important social actors of their times, but they could be considered those who interpreted in the best way the pedagogical and educational vocation of the Second French Empire and the 19th century
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Brugeat, Céline. "Quand l'Amérique collectionnait des cloîtres gothiques : les ensembles de Trie-sur-Baïse, Bonnefont-en-Comminges et Montréjeau." Thesis, Toulouse 2, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU20036.

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Abstract:
Trois cloîtres attribués aux couvents de "Trie-sur-Baïse", "Bonnefont-en-Comminges" (aux Cloisters, New York) et "Montréjeau" (Paradise Island, Bahamas) furent remontés outre-Atlantique au cours du XXe siècle. L'installation moderne de tels monuments en Amérique nous incitent à nous intéresser à ce goût, exprimé dés le début du XXe siècle, pour l’architecture médiévale. Selon les premières attributions, les pierres proviendraient d'abbayes des Pyrénées centrales, dont les vestiges furent dispersés au cours de l'Histoire. Les troubles des guerres de Religion, l’abandon progressif des établissements par les communautés religieuses, l’aliénation de leur temporel pendant la Révolution portèrent un coup sévère à l’intégrité des bâtiments monastiques ; mais, de la période post-révolutionnaire jusqu’au début du XXe siècle, ce sont bien les discrètes transactions entre particuliers et antiquaires, qui firent disparaître de la mémoire collective l’origine même des pierres, particulièrement celles des cloîtres en marbre, convoitées pour leur décor. Identifier leur provenance fut l'enjeu majeur de cette étude. Ces marbres sculptés présentent un programme iconographique riche et varié : les ensembles de "Bonnefont-en-Comminges" et de "Montréjeau" proposent un décor de feuillage stylisé tandis que celui de "Trie-sur-Baïse" expose des scènes figurées originales. Mener une analyse de ces sculptures a permis de les restituer dans leur contexte architectural originel
Three cloisters attributed to the monasteries of "Trie-sur-Baise", " Bonnefont-en-Comminges" (the Cloisters, New York) and "Montréjeau" (Paradise Island, Bahamas) were purchased by American collectors and rebuilt, during the XXth century, in North America. The modern assembly of such monuments generates interest on the taste of these American amateurs, from the beginning of XXth century, for medieval European architecture. While respectively attributed to the monasteries of "Trie-sur-Baise", "Bonnefont-en-Comminges" (the Cloisters, New York) and "Montréjeau" (Paradise Island, Bahamas), the initial attribution states that the stones were from central Pyrenees monasteries, whose ruins were scattered throughout ancient times : the Hundred-year war as well as the wars of religion, the gradual desertion of religious institutions by their communities during the XVIIth and XVIIIth centuries and, at last, the alienation of their properties during the Revolution seriously damaged the integrity of monastic buildings. However, during the post-revolutionary period until the early XXth century, many discrete transactions between individuals and antique dealers further took away the stones real origin from the collective memory, especially cloisters sculptures coveted for their ornament. Identifying the cloisters provenance was the main subject of this study. The three carved marbles present various iconography ; while the "Bonnefont-en-Comminges" and "Montréjeau" ensembles both show stylized foliage ornaments, the "Trie-sur-Baise" cloister depicts original figurative scenes. Carrying out an in-depth study of these sculptures made it possible to accurately associate the cloisters to their original architectural set and production context
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Cordera, Paola. "Dal museo delle cose al Musée Imaginaire : materiali per la (ri)costituzione del Museo di arti decorative e industriali di Frédéric Spitzer (1815-1890)." Thesis, Paris 1, 2014. http://www.theses.fr/2014PA010691.

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Abstract:
Cette étude cible la reconstitution de la collection du marchand amateur Frédéric Spitzer, avec son milieu social, culturel, politique dans une perspective qui était européenne au XIXe siècle et qui est aujourd’hui devenue globalisée et participative. Vendue aux enchères en 1893, cette collection constitua un cas exemplaire parmi les collections de son époque, caractérisée par des liens très étroits entre collection, étude, nouvelle production d’objets d’art, communication et divulgation. Forcément abordé selon une perspective multidisciplinaire et transnationale et des sources documentaires largement inédites, la microstoria de Spitzer a été réécrite dans le sillage de la multiple identité, de ses nombreux déplacements dans le cadre européen et de ses relations avec les principaux représentants du milieu culturel européen. Sa collection et les objets d’arts qui la composaient ont été ici étudiés avec leur scénario d’origine, c’est-à-dire l’hôtel particulier où ils étaient installés et les rites sociaux et la vie privée dans les salons de réception se prolongeaient dans les salles du musée, en affichant référence à l’esprit de la Renaissance italienne dans une sorte de Gesamtkunstwerk. Un inventaire raisonné a été finalement rédigé à fin de reconstituer l’unité d’origine de la collection et d’accéder d’une manière objective et consciente aux possibles lectures et interprétations du projet unitaire à vocation encyclopédique et taxonomique conçu par Frédéric Spitzer, en devenant un possible support pour la valorisation du patrimoine culturel et de la mémoire collective actuelle
This study focus on the reconstruction of the collection of the art dealer Frédéric Spitzer (1815-1890), by reconsidering the role of his collection within the 19th century European frame and its meaning in the present culture within contemporary cultural dynamics at a global scale. Auctioned in 1893, his collection was considered an exemplar model of his era, marked by strong links between collection, studies, new production of art, communication and disclosure items. Reconsidered according to a multidisciplinary and a transnational perspective and based on unpublished documents, the Spitzer’s microstoria has been rewritten in the wake of his multiple identity, his European travels and his relations with the key figures of the European cultural world. His collection and his art’s objects have been studied here within their original frame, being on display in Spitzer’s mansion in Paris where social rites and private life in the reception rooms were extended into the museum, showing reference to the spirit of the Italian Renaissance in a kind of Gesamtkunstwerk. A reasoned inventory was finally compiled in order to rebuild the lost unity of the museum according to the Spitzer’s encyclopedic and taxonomic spirit in order to contribure and understand its complexity as a research support tool and as a device of information for the cultural heritage and the present mémoire collective
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Fuccia, Laura de. "Collezionisti francesi di pittura veneziana nel Seicento." Paris, EPHE, 2007. http://www.theses.fr/2007EPHE4151.

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Zambon, Alessia. "L. F. S. Fauvel (1753-1838) : les découvertes d'antiquités en Grèce à la fin du XVIIIè et au début du XIXè siècle." Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010603.

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Abstract:
La période comprise entre la publication Histoire de l'art antique de' Winckelmann (1764) et l'indépendance grecque (1830) constitue une charnière dans la redécouverte de la Grèce par Ie monde occidental. Comment a-t-on procède a l'exploration du pays, a son illustration et a la recherche d'antiquités ? Ce travail vise à répondre a ces questions par l'analyse des travaux du peintre français Louis François Sébastien Fauvel (17531838) Ses papiers contiennent de nombreuses informations sur ses fouilles et recherches en Orient, ainsi que plus de 2000 dessins (vues pittoresques, travaux cartographiques, études architecturales). L'analyse de cette documentation permet de situer l’œuvre et les idées de Fauvel par rapport à ses contemporains et prédécesseurs et son apport à l'archéologie naissante. L'examen de ses réseaux d'échange et de sociabilité permet enfin de. Mettre en valeur sa contribution a la constitution des collections d'antiquités et a la redécouverte de l'art grec en France.
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Goëssant, Elodie. "George Watson-Taylor, Esq, MP (1771-1841) : collectionneur de peintures dans l’Angleterre Regency." Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040135.

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Abstract:
Bien que peu connue, la collection Watson-Taylor fut indiscutablement l’une des plus importantes des années 1820 en Angleterre. Elle se distingue par la personnalité particulière de son inventeur qui réunit entre 1803 et 1821 une collection prestigieuse digne des grands ensembles aristocratiques. Cependant, la fortune de George Watson-Taylor reposant sur le marché du sucre de canne aux Antilles, instable et en déclin, il subit un revers de fortune en 1832 l’obligeant à vendre tous ses biens. Il acquit près de trois cent vingt tableaux parmi lesquels de nombreux chefs-d’œuvre aujourd’hui conservés dans les musées du monde entier. La recherche sur cette collection et ce personnage interroge de nombreux aspects de l’histoire de l’art et des collections à cette période charnière, notamment la question de la spéculation, du connoisseurship, du marché de l’art, du rôle du mécénat dans l’affirmation de l’école britannique de peinture dans son pays et à l’international. Elle s’intéresse également au mouvement historiciste de cette époque encore empreinte de la pensée et de l’esthétique romantique, mais aussi aux questions identitaires propres à l’émergence de nouvelles élites. Autant de sujets liés à un contexte très riche mêlant patriotisme, débat sur l’abolition de l’esclavage et réforme de la vie politique. Elle ouvre une nouvelle fenêtre sur le passage d’un collectionnisme d’Ancien Régime hérité du Grand Tour à un collectionnisme victorien davantage tourné vers l’art national et contemporain. Cette thèse a pour but d’analyser une collection célébrée puis oubliée et de déterminer sa place dans l’histoire du goût et des collections en l’Angleterre à la fin de la période Regency
Even if it isn’t well-known nowadays, the Watson-Taylor collection was indisputably one of the most important collections of the 1820s in Great Britain. It distinguished itself by the distinctive personality of its founder who assembled between 1803 and 1821 a collection as prestigious as great aristocratic ones. However, George Watson-Taylor’s wealth resting on the instable and declining West Indian sugar market, he suffered a reversal of fortune in 1832, forcing him to sell all his properties. He acquired nearly three hundred and twenty paintings including many masterpieces now exhibited in museums all over the world. Research on these collection and figure questions many aspects of the history of art and collections at this pivotal period, in particular issues like speculation, connoisseurship, art market, the role of patronage in the recognition of the British school of painting in its own country and internationally. It also treats of the historicist movement, still tinged with Romantic thought and aesthetic in that period, and of the identity issues related to the emergence of new elites. Many topics linked to a very rich context involving patriotism, debate about the abolition of slavery and political reform. It provides new information about the passage between the ways of collecting inherited from the Grand Tour, and the Victorian ones more focused on national and contemporary art. This doctoral thesis aims to analyze a celebrated then forgotten collection and to determine its place in the history of taste and collecting in Great Britain at the end of the Regency era
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Seniuta, Isabella. "Histoire du Eye Club : les valeurs de la photographie : Paris-New York (1960-1989)." Thesis, Paris 1, 2020. http://www.theses.fr/2020PA01H004.

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Abstract:
Cette thèse s’interroge sur l’invention d’une formule : The Eye Club. Inventée par l’historienne américaine Eugenia Parry, elle désigne un regroupement actif dans les années 1960-1990 composé de : Pierre Apraxine, Hugues Autexier, François Braunschweig, Françoise Heilbrun, André Jammes, Gérard Lévy, Harry Lunn, Philippe Néagu, Alain Paviot, Richard Pare, Sam Wagstaff et Robert Mapplethorpe. Ces douze figures vivent entre la France et les États-Unis et sont rattachées par plusieurs facteurs culturels et temporels. Ce «club» n’est pas à proprement parler un cercle de sociabilités, c’est une constellation, une nébuleuse faite de positionnements culturels épars et de projets artistiques divers. La question principale qui a guidé cette enquête est la suivante : en quoi ce Eye Club et ses acteurs, pris individuellement, ont-t-ils contribué à réévaluer la valeur commerciale, esthétique et institutionnelle, de la photographie dans les années 1960-1990 entre Paris et New York ? La chronologie démarre avec les engagements d’André Jammes dans le monde de la photographie au tournant des années 1960 et se termine en 1989, l’année de la mort de Mapplethorpe. L’enquête réalisée dans les archives et auprès des acteurs a fait émerger des noms connus, et d’autres, qui sont demeurés dans les coulisses de l’histoire. Cette étude se propose de lever le voile sur un réseau interdépendant d’acteurs, dont les intérêts communs pour la photographie ont permis de créer le marché de la photographie, tel que nous le connaissons aujourd’hui, et son institutionnalisation. Le premier volume de la thèse propose, dans une perspective transatlantique, une réflexion sur ce regroupement à partir des images et des correspondances. Le second volume rassemble vingt-quatre entretiens réalisés au cours des cinq années de recherche. D’abord avec les figures du Eye Club (Pierre Apraxine, Françoise Heilbrun, Richard Pare et Alain Paviot), puis avec les familles des acteurs du Eye Club et enfin avec diverses personnalités du monde photographique (Frish Brandt, Peter Bunnell, Denis Canguilhem, Sylviane De Decker, Viviane Esders, Patrick Faigenbaum, Philippe Garner, Maria Morris Hambourg, Susan Kismaric, Hans Peter Kraus Jr., Harold Jones, Baudoin Lebon, Eugenia Parry, Françoise Reynaud, Samia Saouma et Daniel Wolf). Ensemble, les deux volumes esquissent une histoire de rencontres entre des passionnés de photographie qui s’est principalement articulée sous une forme orale entre la France et les États-Unis dans les années 1960-1980
This thesis questions the invention of a phrase : The Eye Club. Invented by the American historian Eugenia Parry, it has been designating a grouping active in the 1960s-1980s composed of : Pierre Apraxine, Hugues Autexier, François Braunschweig, Françoise Heilbrun, André Jammes, Gérard Lévy, Harry Lunn, Philippe Néagu, Alain Paviot, Richard Pare, Sam Wagstaff and Robert Mapplethorpe. These twelve characters lived between France and the United States and are connected and related by several cultural and temporal factors. This grouping is not, strictly speaking, a circle of sociability, it is rather a constellation or a nebula made of scattered cultural positions and diverse artistic projects. The main question that guided this survey is the following: in what way does the Eye Club and its individual actors contributed to the re-evaluation of the commercial, aesthetic and institutional value of photography between the early 1960s and the late 1990s among Paris and New York ? The chronology begins with André Jammes' involvement in the world of photography and ends in 1989, the year of Mapplethorpe's death. An inquiry of archives and key players has brought to light some well-known names, and others that remained in the shadow of history. This study aims at unveiling an interdependent network of actors, whose common interests in photography have made it possible to establish, in one generation, the photography market as we know it today. The first volume of the thesis offers, from a transatlantic perspective; an investigation and analysis of this based on photographs and correspondences. The second volume brings together twenty-four interviews conducted over my five years of doctoral research. First with the main protagonists of The Eye Club (Pierre Apraxine, Françoise Heilbrun, Richard Pare and Alain Paviot), then with the families of The Eye Club and finally with various personalities from the world of photography (Frish Brandt, Peter Bunnell, Denis Canguilhem, Sylviane De Decker, Viviane Esders, Patrick Faigenbaum, Philippe Garner, Maria Morris Hamburg, Susan Kismaric, Hans Peter Kraus Jr, Harold Jones, Baudoin Lebon, Eugenia Parry, Françoise Reynaud, Samia Saouma and Daniel Wolf). Together, the two volumes sketch a history of encounters between photography enthusiasts that has, up to now, been mainly articulated in oral form between France and the United States in the 1960s and 1980s

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