Academic literature on the topic 'Colonies françaises – Afrique – 20e siècle'

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Journal articles on the topic "Colonies françaises – Afrique – 20e siècle"

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Sirois, Geneviève, Martial Dembélé, and Olivier Labé. "La pénurie de personnel enseignant du primaire en Afrique subsaharienne francophone : quels progrès depuis les indépendances?" Éducation et francophonie 45, no. 3 (May 28, 2018): 13–34. http://dx.doi.org/10.7202/1046415ar.

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Abstract:
Un demi-siècle après les indépendances, les pénuries de personnel enseignant représentent toujours un obstacle majeur à la scolarisation primaire universelle dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, et plus particulièrement dans les anciennes colonies françaises, où la situation est jugée critique. Pour comprendre ce qui explique cette situation, nous proposons de remonter dans le temps et d’adopter une perspective comparative. Nous avons cherché à comprendre pourquoi les pénuries de personnel enseignant sont un phénomène persistant dans un échantillon de huit pays anciennement colonisés par la France. Il ressort de nos analyses que la décennie 1980-1990, marquée par la mise en oeuvre des programmes d’ajustement structurel, a connu un important ralentissement des progrès des pays pour assurer une offre suffisante d’enseignantes et enseignants pour scolariser un maximum d’enfants. Quant à la période 2000-2015, associée aux objectifs de l’Éducation pour tous, elle a été marquée par une diminution des pénuries d’enseignants. Il apparaît toutefois que les pénuries persisteront dans l’ensemble des pays à l’étude d’ici 2030, notamment en raison des taux de croissance élevés de la population d’âge scolaire et des besoins créés par l’attrition du personnel enseignant.
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Dissertations / Theses on the topic "Colonies françaises – Afrique – 20e siècle"

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N'Dombi, Pierre. "L'administration publique de l'Afrique équatoriale française de 1920 à 1956 : histoire d'un Etat providence colonial." Aix-Marseille 1, 1995. http://www.theses.fr/1995AIX10018.

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Abstract:
Apres la guerre de 1914-1918, certains hommes politiques condamnerent la politique coloniale de la france qui avait subordonne la mise en valeur des colonies a leurs seules capacites financiedevant les carences du capital prive, l'etat francais se chargea, par l'administration interposee, de l'outillage economique de l'afrique equatoriale francaise. Mais l'etat ne joua qu'un role suppletif : il crea des conditions propices a la mise en valeur et non de l'assurer directement. . L'administration publique fit faire des etudes dont elle mit les resultats aux entrepreneurs prives. Au profit des crises economiques de 1930 et de 1952, elle accorda des examptions fiscales, des primes, des subventions et controla les reseaux de transport. Cette these analyse les interventions de l'administration publique en tant qu'etat-providence colonial dans les domaines economique et social en afrique equatoriale francaise, de 1920 a 1956
After the 1914-1918 war, some politicians condemned the colonial policy of france for having made the development of colonies dependent on their individual financial means alone. Faced with the deficiencies of private capital, the government of france undertook the economic tooling of french equatorial africa through administrative intervention. However, the state played only a complementary role : it established conditions favourable for development without creating it directly. The public administration ordered studies the put the results to private entrepreneurs. To alleviate the economic crises from 1930 to 1952 it granted tax exemptions, bonuses and subsidies, and controled transportation networks. This thesis analyses the 1920 to 1956 involvement of the public administration acting as a colonial welfare state in economic and social fieds in french equatorial africa
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Tchikaya, Odile. "Le contrôle de la main d'oeuvre dans les colonies françaises au XXe siècle : l'exemple de l'A.E.F. de la première guerre mondiale à l'aube des indépendances (1914-1960)." Nice, 2011. http://www.theses.fr/2011NICE0031.

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Abstract:
Après la première Guerre mondiale, la France rencontre des difficultés économiques importantes. Il faut reconstruire la métropole dévastée mais les moyens financiers manquent. De ces difficultés économiques naît une politique d’exploitation des colonies françaises, notamment celles du territoire l’A. E. F. , (le Gabon, le Moyen-Congo, l’Oubangui-Chari et le Tchad) induisant leur mise en valeur. Le 21 avril 1921, le ministre des colonies, Albert Sarraut, dépose un projet de loi en ce sens. Ce vaste programme de développement requiert une main-d’œuvre importante. Or, l’administration coloniale se heurte à la déficience démographique du territoire qui s’accroît avec la pratique du travail forcé, obligeant les travailleurs à déserter les chantiers. Pour résoudre ces difficultés, l’administration coloniale applique le décret du 4 mai 1922 instituant le régime de la main-d’œuvre indigène dont le contrôle est assuré par une institution spécialisée, créée par l’arrêté du 24 juillet 1936 : « l’inspection du travail et de la main-d’œuvre indigène ». Intervenue tardivement, elle ne parvient pas à remplir sa mission première : « le contrôle de l’application de la législation du travail ». La paralysie de la politique d’exploitation de la main-d’œuvre conduit le gouvernement à abolir par la loi du 11 avril 1946 le travail forcé ou obligatoire dans les territoires d’Outre-mer. En outre, pour l’effectivité du contrôle de la main-d’œuvre, par le décret du 24 août 1946, il place l’inspection du travail sous « l’autorité directe » du gouverneur général, lui permettant ainsi d’exercer ses missions en toute autonomie. Les efforts de l’administration ne sont pas vains. Influencés par les organisations syndicales et les partis politiques, les travailleurs outre-mer réclament la mise en place d’un véritable Code du travail. Aussi, le 17 octobre 1947 est promulgué le Code du travail des territoires d’Outre-mer appelé « Code Moutet ». Toutefois, le Code est inadapté aux colonies et ses dispositions sont très insuffisantes. Il ne sera donc pas appliqué. Or, l’exigence d’un cadre juridique adapté aux relations de travail Outre-mer est affirmée par les députés africains qui veulent une législation sociale, en accord avec les réalités coloniales. De ce fait, le 15 décembre 1952 est adopté le « Code du travail des territoires d’Outre-mer », largement inspiré de la législation métropolitaine. Le Code est « garant de la paix sociale ». Néanmoins, il intervient juste avant l’adoption de la loi-cadre du 23 juin 1956 permettant aux colonies d'être plus autonomes vis-à-vis de la métropole. Ainsi à l’aube des indépendances, chaque colonie de l’A. E. F. établit elle-même ses propres institutions pour organiser le travail à travers des principes de cohésion sociale et de liberté
After the First world War, the France has significant economic difficulties. It is necessary to rebuild the devastated metropolis but there is not enough financial means. Because of these economic difficulties was born a politic of exploitation of the French colonies, including those of A. E. F. (French Equatorial Africa) territory, (Gabon, Middle Congo, Oubangui-Chari and Chad) inducing their development. On April 21, 1921, the Minister of colonies, Albert Sarraut, filed a Bill to that effect. This extensive development programme requires a large labour force. However, the colonial administration faces demographic weakness of the territory which increases with the practice of forced labour, forcing workers to flee the work sites. To resolve these difficulties, the colonial administration applies the Decree of May 4, 1922, establishing the system of indigenous labor which the control is provided by a specialized institution, created by order of 24 July 1936: «inspectorate of work and indigenous workforce". Intervened belatedly, it fails to fulfill its primary mission: "the control of the application of labor legislation". The paralysis of the exploitation of workforce policy led the Government to abolish the forced or compulsory labor by the Act of April 11, 1946 in overseas territories. In addition, for the effectiveness of the control of the workforce, by the Decree of August 24, 1946, it puts inspectorate of work under "direct authority" of the Governor General, allowing it to exercise its missions independently. The efforts of the administration are not sufficient. Influenced by the trade unions and political parties, workers of the colonies want the establishment of a genuine Code of work. That’s why, on October 17, 1947 is promulgated the Code work in the territories of overseas called "Code Moutet". However, the Code is inadequate to the colonies and its provisions are very inadequate. It will therefore not applied. However, the requirement of a legal framework adapted to work overseas relations is asserted by African parliamentarians who want a social legislation, in accordance with the colonial realities. As a result, on December 15, 1952 is adopted the "Code of the work of the overseas territories", largely inspired by the Metropolitan legislation. The Code is "guarantor of social peace. " Nevertheless, it is adopted shortly before the framework law of 23 June 1956 that allows colonies to be more autonomous with respect to the metropolis. Thus at the dawn of independence, each colony of A. E. F. Develops its own institutions in order to organize work through principles of social cohesion and freedom
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Goeh-Akué, N'buéké Adovi. "Finances publiques et dynamique sociale en Afrique Noire sous influence française : le cas du Togo (1920-1980)." Paris 7, 1992. http://www.theses.fr/1992PA070109.

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Nsoudou, Carine. "L' émergence de cultures politiques au Cameroun (1918-1961) : étude comparée des zones sous administration française et britannique." Paris 1, 2008. http://www.theses.fr/2008PA010696.

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Abstract:
Cette thèse identifie et explore un certain nombre de cultures politiques qui émergent entre 1918 et 1961 dans les territoires camerounais sous administration française et britannique, principalement à travers l'étude du pétitionnement. Elle examine d'abord les positions qu'adoptent les Camerounais face à la période allemande et aux régimes coloniaux imposés par les Français et les Britanniques. Elle analyse ensuite comment s' opère, après la Deuxième Guerre mondiale, une modification du rapport au politique durant une décennie marquée par des développements politiques et institutionnels majeurs. Enfin, elle montre la radicalisation des comportements et des positions politiques au cours des années précédant l’indépendance des deux territoires. L' étude de ces phénomènes permet de saisir le poids des conjonctures, des contextes coloniaux et des processus de socialisation politique dans le développement d'attitudes, de conceptions et de représentations sociopolitiques distinctes.
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Ridha, Shili. "Milieux d'affaires et activité minière coloniale : les mécanismes de l'emprise des structures : (le cas de quelques mines du Centre-Ouest tunisien 1900-1956)." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA01A002.

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Ould, M'Bareck Sleimane. "Chaikh Sidiyya Baba et les élites musulmanes maures face à la pénétration coloniale française 1900-1924." Toulouse 2, 2004. http://www.theses.fr/2004TOU20020.

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Abstract:
Décidément le temps des chaikh-s n'est pas près d'être " révolu ", et étudier l'histoire contemporaine de la Mauritanie est impossible à qui ignore tout de la famille Sidiyya. La religion musulmane et ses dignitaires avaient largement dominé le débat durant la période coloniale. En Mauritanie, une famille s'est particulièrement distinguée par la finesse politique, intellectuelle et religieuse de ses dirigeants, et particulièrement de Chaikh Sidiyya Baba. Son implication dans la colonisation de la Mauritanie nous a donné l'occasion d'avoir un regard sur l'ensemble de l'élite musulmane maure en Mauritanie. Résistance, collaboration, ou accommodation sont tour à tour évoqué ici. Ce travail offre l'occasion de comprendre la problématique des relations entre musulmans et non musulmans dans les terres de l'islam mais aussi une projection sur leur cohabitation en Occident aujourd'hui
Definitly the time of the chaikh-s is not ready to be gone by yet and studying the modern (contemporaneous) history of Mauritania is impossible if one ignores all about the Sidiyya Family. The islamic religion and its dignitries had widely overwhelmed the discussion during the colonial period. In Mauritania, a certain family had been singularized by the political, intellectual and religeous wisdom of its leaders, in particular Chaikh Sidiyya Baba. His involvement in the colonization of Mauritanie has provided us an opportunity to have a view on islamic elite of moorish origin in Mauritania. Resistence, collaboration or accomodation are mentionned here one next to the other. This work tries to understand the question of the relationshps between muslim and non-muslim lands white giving a prospect on those between the cohabitation between Islam and the West today
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Deville-Danthu, Bernadette. "Education physique, sport, colonisation et décolonisation dans les anciens territoires français d'Afrique occidentale : 1920-1965." Aix-Marseille 1, 1995. http://www.theses.fr/1995AIX10019.

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Abstract:
L'implantation des pratiques physiques et sportives en a. O. F. Est une volonte du colonisateur qui apres la premiere guerre mondiale avait encourage l'education physique et la preparation militaire dans le but d'ameliorer la condition physique des populations autochtones, de les discipliner, d'en faire de loyaux sujets. Mais cette volonte se heurta tres rapidement a l'indifference et au rejet des africains qui preferaient les jeux sportifs et en particulier le football. Les pratiques physiques en a. O. F. Furent alors un terrain d'affrontement entre les colonises et l'administration coloniale. Cette derniere etait opposee au developpement d'un mouvement sportif tel qu'en metropole car elle attribuait aux clubs et aux rencontres sportives un potentiel subversif non negligeable. Cependant, sous la pression internationale et la volonte des africains, elle dut ceder progressivement : n'ayant pu imposer la preparation militaire avant guerre, elle voulut diffuser l'athletisme apres guerre, discipline sportive jugee tres educative. Mais le football devint le sport roi et dans les annees cinquante, un veritable mouvement sportif se developpa en a. O. F. A partir des structures heritees du gouvernement de vichy. Les premiers champions apparurent, principalement en athletisme, en boxe et en football, que la france selectionna avec reticence. Quelques grandes competitions furent developpees a l'echelle de la federation. Mais il fallut attendre les independances et la reduction du mouvement sportif d'a. O. F. Aux cadres nationaux pour voir se developper, avec l'aide de la cooperation francaise, un sport a l'echelle du continent africain.
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Morando, Laurent. "Les instituts coloniaux et l'Afrique : 1893-1940 : ambitions nationales, réussites locales." Aix-Marseille 1, 2001. http://www.theses.fr/2001AIX10062.

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Abstract:
Certains " grands ancêtres étrangers " sont des références pour les Instituts coloniaux français qui, sauf celui de Nancy, sont des associations privées. Le premier Institut colonial est créé à Marseille en 1893 grâce au concours de la Chambre de Commerce. Son but est de développer la recherche scientifique et l'enseignement colonial pour permettre une mise en valeur rationnelle de l'Empire. Deux autres Instituts sont fondés à Bordeaux et à Nancy (1901 et 1902). Durant la Grande Guerre, ils remplissent un rôle d'expertise auprès du gouvernement pour le ravitaillement de la métropole en produits coloniaux, notamment les arachides de l'A. O. F. L'Institut colonial français est fondé à Paris en 1920. Il a une ambition nationale. Les années 1920 voient les dernières créations en France et en Europe : Nice (1927), Le Havre (1929), Amsterdam (1926). Si les années 1920 constituent l'âge d'or des Instituts coloniaux, les années 1930 sont une période de crise et de mutations. Les grandes Expositions coloniales organisées par la Chambre de Commerce de Marseille en 1906 et 1922 ont pour but de présenter l'Empire au grand public. La propagande coloniale des Instituts est multiforme : expositions permanentes, temporaires, stands dans diverses foires, conférences, propagande scolaire. Son efficacité reste limitée. L'administration refuse d'étendre aux grandes Chambres de Commerce le recrutement des administrateurs coloniaux réservé à l'École coloniale de Paris. Elles fondent alors un enseignement colonial supérieur destiné à former les cadres économiques nécessaires à la mise en valeur de l'Empire. Cet enseignement répond le plus souvent aux besoins locaux grâce à un contenu pratique et un corps enseignant stable et compétent. Certains Instituts créent des services de documentation et de recherche scientifique et technique au service des entreprises adhérentes. Cette action locale et pratique rencontre un vif succès. Les Instituts les plus actifs participent aux grands débats doctrinaux, notamment douanier, concernant la mise en valeur de l'Empire.
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Mindemon, Kolandi Laorewa. "Histoire économique du Tchad, 1924-1960." Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010674.

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Abstract:
Le Tchad, dernier territoire conquis de l'AEF en 1900, fut, pendant la colonisation, confronté à de multiples problèmes économiques pour son développement lié aux caprices des autorités. En effet, le commerce traditionnel du bétail se faisait avec les colonies anglaises du Soudan et du Nigeria. La politique coloniale décida d'orienter l'économie et les transports vers les colonies françaises de l'AEF et d'amputer la colonie de sa population et de ses revenus au profit des autres territoires. De 1924 à 1934, le Tchad n'était simplement qu'une source d'approvisionnement de la métropole. La seconde guerre mondiale renforça la colonisation en imposant la construction de la route stratégique et la production agricole. Il fallut attendre 1947? Grace au FIDES, pour voir se construire des routes, des bâtiments d'école et de santé. Mais la formation des cadres ne démarra qu'à la veille de l'indépendance en 1960. Pendant 36 ans, le Tchad demeura peu et inégalement développé par rapport aux autres colonies de l'AEF et au territoire lui-même.
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Ouattara, Katiénéffooua Adama. "Autorités politiques précoloniales et États : le cas des chefs Koya de Mankono dans le Nord-ouest de la Côte d'Ivoire (1888-2001)." Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010588.

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Abstract:
Apres l'implantation des Mandé-Koya dans la région de Mankono dans le Nord-Ouest de la Côte d'Ivoire vers la fin du XVIIIe siècle, le Koyadougou connut un rayonnement sous l'impulsion de sa chefferie. Au moment où il consolidait ses acquis politiques, il devint un des enjeux de Samori. Face à l'avancée des troupes françaises, celui-ci entra en contact dans sa fuite avec le monde Koya qu'il domina. A la chute du conquérant en 1899, les troupes françaises occupèrent le Koyadougou qui après l' occupation samorienne allait connaître les affres de la colonisation. Face au choc colonial, la chefferie Koya fut dépouillée de son autorité et son pouvoir politique fut aliéné. Cependant, grâce à sa capacité d'adaptation à travers des mécanismes de collaboration, elle réussi à survivre à cette brutale agression. Au lendemain des indépendances, les chefferies africaines considérées comme des institutions dépassées vacillaient sur leurs bases face à un Etat postcolonial champion de la« modernité » triomphante. Mais, les chefs locaux savaient parfaitement qu'ils exerçaient encore une influence considérable sur les populations et qu'entre les deux pouvoirs se dessinaient des rapports nouveaux, plus proches de l' interpénétration que de l'opposition avec en filigrane une interrogation : comment la chefferie peut-elle s'intégrer afin d'améliorer le développement économique et social des populations?
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Frémeaux, Jacques. Intervention et humanisme: Le style des armées françaises en Afrique au XIXe siècle. Paris: Economica, 2006.

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Intervention et humanisme: Le style des armées françaises en Afrique au XIXe siècle. Paris: Economica, 2005.

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