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Journal articles on the topic 'Commerce de gros'

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Klomp, Luuk, and Eugène Rebers. "L'évolution structurelle du commerce de gros français." Revue internationale P.M.E. 8, no. 2 (February 16, 2012): 99–118. http://dx.doi.org/10.7202/1008351ar.

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Abstract:
Cet article traite de l’évolution structurelle du commerce de gros français. Pour la période 1978-1989, les changements dans la distribution par taille des entreprises et de la productivité du travail ont été analysés pour les trois secteurs principaux. Dans les commerces de gros non alimentaire (secteur 58) et interindustriel (secteur 59), la tendance est à l’accroissement relatif du nombre d’entreprises opérant à faible effectif. Dans le commerce de gros alimentaire (secteur 57), par contre, la taille moyenne a augmenté. Puis, nous avons examiné si l’existence ou non des effets de taille a causé l’évolution observée dans la distribution par taille des entreprises. Nous avons utilisé la productivité du travail comme critère pour les effets de taille. Les économies d’échelle ont augmenté dans tous les trois secteurs principaux du commerce de gros français. Nous nous étions attendu à ce résultat pour le secteur 57, mais non pas pour les secteurs 58 et 59. De plus, les plus fortes augmentations d’économies d’échelle sont observées dans le secteur 57. Cela s’explique par les différences dans les distributions par taille des entreprises entre le secteur 57, d’une part, et les secteurs 58 et 59, d’autre part.
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2

Lagrange, Nicolas. "Le commerce de gros, une mine d'opportunités." Les dossiers d’alternatives économiques Hors-série 3, HS3 (December 1, 2015): 89. http://dx.doi.org/10.3917/dae.hs3.0089.

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3

Kadjar, Annette. "Les facteurs d'adaptation du commerce de gros depuis 1980." Economie et statistique 303, no. 1 (1997): 81–100. http://dx.doi.org/10.3406/estat.1997.2549.

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4

Kadjar, Annette. "Implantations étrangères : une pénétration plus active dans le commerce de gros." Economie et statistique 326, no. 1 (1999): 139–58. http://dx.doi.org/10.3406/estat.1999.6230.

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5

Ebin, Victoria. "À la recherche de nouveaux «poissons». Stratégies commerciales mourides par temps de crise." Politique africaine 45, no. 1 (1992): 86–99. http://dx.doi.org/10.3406/polaf.1992.5545.

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Abstract:
Les Fall de Sandaga sont une famille de riches commerçants dont la puissance repose sur des réseaux reliant les points de distribution de Dakar, aux communautés mourides immigrées dans les centres internationaux du commerce de gros. Dynamiques, créateurs d’emplois, les Fall entretiennent des relations ambiguës avec l'État sénégalais; l’avenir de celles-ci est conditionné par les possibilités de trouver un équilibre entre le secteur informel, incarné par les Fall, et le secteur moderne, incarné par l'État.
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Glachant, Jean-Michel. "L'électricité en Grande-Bretagne : une industrie privée et un service public partiel." Sociétés contemporaines 32, no. 4 (November 1, 1998): 97–108. http://dx.doi.org/10.3917/soco.p1998.32n1.0097.

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Abstract:
Résumé RÉSUMÉ: La réforme du secteur électrique a été d’emblée la plus radicale ayant jamais touché les «Public Utilities» d’Angleterre. En effet, le gouvernement de M. Thatcher ne s’est pas contenté de privatiser l’électricité, il a simultanément imposé: -la déintégration verticale et horizontale des métiers et des entreprises, -et l’implantation de «marchés ouverts», en amont et en aval du secteur, pour le commerce de gros et de détail. Cependant, dans le fonctionnement concret du secteur électrique anglais, des règles correspondant à un «service public partiel» ont été maintenues pour encadrer les activités de transport et de distribution ainsi que le service aux clients non-éligibles.
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de Pazzis, Henri. "Commerce de gros des fruits et légumes biologiques, une autre manière de voir cette fonction." Pour 227, no. 3 (2015): 163. http://dx.doi.org/10.3917/pour.227.0163.

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Nefussi, Jacques, and Vincent Vicaire. "La dynamique du commerce de gros dans les filières agroalimentaires au cours des années 2000." Économies et Sociétés. Systèmes agroalimentaires 47, no. 1135 (2013): 1895–905. http://dx.doi.org/10.3406/esag.2013.1120.

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Abstract:
Wholesale trade in food chains is present in all markets connecting the various links in the food chain. The visibility of their activity is limited and often reduced to the resale of products in the state when the industry creates value for its innovations. This study aims both to quantify the economic value of wholesale trade and to analyze the dynamics of its component companies : groups, cooperatives, independent businesses.
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Gervais, Pierre. "Crédit et filières marchandes au XVIIIe siècle." Annales. Histoire, Sciences Sociales 67, no. 4 (December 2012): 1011–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900009495.

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Abstract:
RésuméLe crédit marchand au XVIIIe siècle était la principale source de profit des agents économiques. Gérant numéraire, effets de commerce et comptes courants ouverts à leurs clients, des négociants atlantiques, tels Gradis de Bordeaux, qui importait des produits coloniaux (indigo, sucre, café) et exportait vin et farines vers Québec, ouHollingsworth de Philadelphie, un gros marchand de farines et de denrées coloniales, dominaient les marchés locaux grâce à des réseaux de crédit spécialisés intégrant l’échange marchand et des contraintes morales ou sociales. Les analyses weberienne ou en termes d’ Homo oeconomicus de ces activités complexes de crédit conduisent à des anachronismes ; l’auteur propose d’adopter une vision plus historicisée de l’activité économique, des réseaux de crédit et de la recherche du profit à l’époque moderne.
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Parham, Dean. "Les gains de productivité au moyen de l’usage des technologies de l’information : l’expérience australienne." L'Actualité économique 81, no. 1-2 (April 24, 2006): 143–64. http://dx.doi.org/10.7202/012840ar.

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Abstract:
Résumé Cette étude fait appel à un cadre de la comptabilité de la croissance pour comparer la contribution des technologies de l’information à l’accélération de la productivité du travail en Australie et aux États-Unis. En utilisant les États-Unis comme repère, la présente étude attribue jusqu’à 0,3 point de pourcentage de cette accélération de 1 point de pourcentage aux technologies de l’information. Les technologies de l’information n’ont pas eu d’effet net sur l’intensité du capital puisque leur hausse a remplacé les autres formes de capital. La contribution des technologies de l’information est attribuable à la restructuration des entreprises et à l’innovation de produits et procédés qu’elle a rendue possible. Jusqu’ici les gains ont été concentrés dans les services de la distribution (particulièrement le commerce de gros) et des services financiers.
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Bresc, Henri. "Un marché rural: Corleone en Sicile, 1375-1420." Anuario de Estudios Medievales 24, no. 1 (April 2, 2020): 371. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1994.v24.978.

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Abstract:
Le dépouillement de seize registres notariés de Corleone, gros bourg isolé de la Sicile centrale, entre 1370 et 1420, complétés par le re­cueil des coutumes et réglements municipaux, permet d'étudier un marché rural et son intégration au grand commerce international par l’achat de drap, principalement catalan, et la vente réguliere de grandes quantités de froment et de fromage aux marchands de Palerme, de définir ses acteurs, des notables, notaires, prêtres, chirurgiens, tanneurs et drapiers juifs, et de préciser enfin les mécanismes de l'achat anticipé et de la vente à crédit qui le fondent. Absence de professionnalité marchande, capacités techniques des Juifs, participation de tous à l'entreprise agricole caractérisent le mar­ché local sicilien, Corleone se distinguant encore par la filature d'une laine médiocre et le tissage d'un orbace grossier. La conjoncture difficile des années qui suivent le seconde peste favorise en effet l'élevage semi-sauvage et l'exportation de ses produits.
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Eberenz, Rolf. "“Nave” y “nao” en castellano medieval: historia de una sustitución léxica." Anuario de Estudios Medievales 24, no. 1 (April 2, 2020): 609. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1994.v24.993.

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Abstract:
Pendant les derniers siècles du Moyen Âge, on remarque dans les textes espagnols la coexistence des termes nave et nao désignant tous les deux un gros navire de commerce. Mais cette synonymie apparente recèle en réalité une substitution lexicale: le traditionnel nave se voit concurrencé dès la seconde moitié du XIVº siècle par nao, un terme technique des ma­rins du Golfe de Biscaye. La fortune de ce néologisme s'explique sans dou­te par la diffusion des nouvelles techniques de construction naval e dévelop­pées par les riverains de l'Atlantique, techniques qui pénètrent également dans la Méditerranée. Il est intéressant de voir que le mot nao apparaît d'abord dans des écrits gardant un lien étroit avec la navigation; mais an XVe siècle il se trouve de plus en plus dans toute sorte de textes, alors que nave vieillit rapidement et ne s'emploie plus guère que comme terme d'his­toire.
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Hercourt, Jean-Michel. "Toluca, une ville-marché des hauts plateaux mexicains." Cahiers de géographie du Québec 13, no. 30 (April 12, 2005): 333–57. http://dx.doi.org/10.7202/020882ar.

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Abstract:
Avec ses 130 000 habitants, Toluca de Lerdo, capitale de l'Etat de Mexico, n'arrive qu'au 30e rang des villes mexicaines. Cependant, elle a presque doublé sa population en moins de dix ans. Cette brutale augmentation est due en grande partie à l'exode rural, régional ou originaire des Etats voisins. La proximité de Mexico (67 km) bien reliée par rail et par route, le développement récent d'une importante zone industrielle et les activités traditionnelles de services et de commerce sont d'autres facteurs d'expansion démographique. Toluca, en fait, appartient à la couronne de ces villes satellites qui gravitent autour du District Fédéral (comme Pachuca ou Cuernavaca) et qui arrivent difficilement à conserver leur autonomie économique et culturelle. L'étude de son système commercial va révéler la coexistence d'un secteur traditionnel avec une activité mercantile moderne. A partir du « tianguis » ou marché rural précortésien, s'est développée une vie commerciale de gros bourg agricole. Plus récemment, l'apparition de supermarchés, liée à l'implantation d'un puissant réseau bancaire et à la mise en place d'agences fédérales spécialisées dans la commercialisation des denrées agricoles, a fait entrer Toluca dans la vie d'affaires du 20e siècle. La municipalité, par une réglementation stricte de ses marchés, essaie d'en tirer un maximum de recettes en attendant de profiter à plein des rentrées de la zone industrielle.
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Heers, Jacques. "Gênes et l’Afrique du Nord Vers 1450: les voyages «per costeriam»." Anuario de Estudios Medievales 21, no. 1 (April 2, 2020): 233. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1991.v21.1109.

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Abstract:
Toutes les nations maritimes de la rive Nord de la Méditerranée s'intéressent au commerce avec le Maghreb et y exercent diverses activités. Mais toutes n'agissent pas de la même façon et la ville de Gênes semble, dans ce secteur, avoir suivi une politique très particulière. Les trafics entre Gênes et le Maghreb bénéficiaient, au XVème siècle, d'une sorte de paix: peu d'actes de piraterie, peu de représailles, peu de captures d'esclaves; dans Gênes, les esclaves en provenance du Maghreb sont très rares et les marchands ou patrons de navires s'emploient volontiers aux rachats des captifs. L'originalité du système de navigation réside dans les voyages que les notaires appellent «per costeriam»; c’est à dire, de longs pépriples maritimes qui, pour de très gros navires, vont directement d'Angleterre en Orient (ou réciproquement) en lon­geant la côte d'Afrique, sans remonter vers le Nord et faire escale à Gênes: économie de temps et d'argent. Pour ces voyages le parran de navire dispose d'une très grande initiative et assume de grandes responsabilités: navigation, chargements et décharge­ments des balles de marchandises (en particulier des draps englais), mais aussi et surtout ventes de ces produits. Ceci implique un nombre important d'escales sur le littoral du Maghreb (parfois au large d'une simple plage) et, aussi, la fréquentation de nombreux marchés ou de négociants musulmans. Ces trafics «per costeriam» sont de véritables aventures et les capitaines des navires y ont acquis une grande expérience des mers, des côtes, des populations étrangères à leur monde chrétien.
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Veenhof, Klaas R. "Ancient Assur: The City, its Traders, and its Commercial Network." Journal of the Economic and Social History of the Orient 53, no. 1-2 (2009): 39–82. http://dx.doi.org/10.1163/002249910x12573963244205.

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Abstract:
AbstractThe ancient city of Assur was an important emporium and a central place in the trade between Mesopotamia and Anatolia during the nineteenth-eighteenth centuries BC. Its traders exported to Anatolia large quantities of tin and expensive woolen textiles, which were sold for silver and gold, shipped back to Assur. The traders, traveling with donkey caravans, used a network of colonies and trading stations, where they could live and work on the basis of treaties with the local rulers. After a description of Assur’s commercial role, the activities, organization and status of the traders are analyzed. First of those in Anatolia, with reference to the colonial system and the main Anatolian emporia. Next of those in Assur—“merchant-bankers”, investors (in joint-stock funds), wholesale dealers, and moneylenders—and their relations to the “City-Hall”, the economic and financial heart of Assur, and the “City-Assembly”, whose decisions and verdicts reveal elements of a commercial policy and attempts to promote its interests. While the city, whose trade covered a particular circuit of a much wider international network, also had to consider local and international interests, the “colonial” traders were more focused on financial profits, also via the local trade in copper and wool. But the tensions due to diverging interests were restricted and the Assyrians were able to maintain a stable, profitable and highly developed commercial system for more than two centuries.Durant les dixneuvième et dix huitième siècles avant J.-C. la cité-état d’Assur fut un grand centre de commerce. Ses marchands exportaient des quantités d’étain et de laines de prix à l‘Anatolie, les y vendaient contre de l’or et de l’argent, et rentraient chez eux la bourse pleine d’argent. Des caravanes d’ânes, qui assuraient le transport, sillonnaient un réseau de colonies et de comptoirs. Les marchands assyriens pouvaient s’installer là-bas et y mener leur négoce grâce aux traités conclus entre les autorités assyriennes et les princes. La description de la fonction commerciale d’Assur est suivie d’une série d’analyses portant sur les activités des marchands, de leur organisation et de leur statut. Ce sujet cohérent nous mène d’abord en Anatolie pour regarder de près son système de colonies et ses principaux comptoirs. Ensuite à la ville d’Assur, avec ses ‘banquiers-commerçants’, ses investisseurs (des fonds remis aux sociétés commandites), ses commerçants de gros et ses prêteurs. Les relations entretenues par ces quatre groupes avec ‘l’hôtel de ville’ ‐ le cœur battant de l’économie et des finances d’Assur ‐, et ‘l’assemblée municipale’ sont explorées. Les décisions et les verdicts de cette assemblée retiennent notre attention parce qu’on y décèle des traces d’une politique commerciale et des tentatives d’avancer les intérêts commerciaux d’Assur. D’une part il fallait que la ville, dont les opérations commerciales s’étendaient sur un circuit distinct intégré au vaste réseau international, tenait compte aussi des intérêts locaux et internationaux. D’autre part les profits- y inclus ceux provenant du négoce anatolien de la laine et du cuivre ‐ étaitent le point de mire des ‘marchands-colons’. Néanmoins, les tensions dues à ces intérêts divergents étant limitées, durant plus de deux siècles les Assyriens surent maintenir un système de commerce stable, productif, et très sophistiqué.
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Gordon, Robert J. "Pourquoi, pendant que la locomotive de la productivité se mettait en branle aux États-Unis, l’Europe est-elle restée en gare." L'Actualité économique 81, no. 1-2 (April 24, 2006): 47–74. http://dx.doi.org/10.7202/012837ar.

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Abstract:
Résumé Après 50 ans de rattrapage du niveau de productivité des États-Unis, l’Europe accumule du retard depuis 1995. En effet, le taux de croissance de la production horaire n’atteignait, sur le Vieux Continent, que la moitié de celui des États-Unis en 1995-2003 et cet écart annuel a ramené le niveau de la productivité européenne de 94 % du niveau des États-Unis à seulement 85 %. Un cinquième du rattrapage européen (de 44 % à 94 %) effectué dans le demi-siècle précédent a été complètement perdu depuis 1995. Des études désagrégées portant sur les secteurs industriels laissent entendre que la principale différence entre l’Europe et les États-Unis se trouve dans les industries ayant recours aux technologies de l’information (TI), notamment le commerce de gros et de détail, de même que le courtage des valeurs mobilières. Le contraste dans la vente au détail attire l’attention sur les barrières réglementaires et l’aménagement du territoire en Europe empêchant le développement des grands magasins de détail du type de ceux qui ont rendu possible une bonne partie des gains de productivité aux États-Unis. Depuis des décennies, les États-Unis et l’Europe ont choisi des directions opposées en matière de politiques publiques ayant une incidence sur le développement urbain. Les États-Unis ont favorisé des zones métropolitaines à basse densité et fortement dispersées en construisant des autoroutes dans les villes et en étranglant le transport public, en accordant des réductions d’impôts à la propriété résidentielle et en permettant aux gouvernements locaux de maintenir une faible densité d’occupation avec l’imposition d’une taille minimale pour les lots résidentiels. Par contre, les Européens ont choisi des politiques tout autres, en encourageant l’occupation résidentielle de haute densité et les districts commerciaux au coeur des villes, tout en décourageant les installations nouvelles en zones suburbaines et « exurbaines », lesquelles conviennent si bien au développement des grands magasins actuels. La partie centrale de cet article s’inspire d’une récente publication de Phelps (2003) selon laquelle le dynamisme économique est d’une part stimulé par des politiques qui favorisent la concurrence et la souplesse du financement par capitaux propres et d’autre part étouffé par des institutions corporatistes, conçues pour protéger les producteurs en place et empêcher les nouveaux venus de se tailler une place. Certaines valeurs culturelles européennes découragent l’ambition et l’indépendance des adolescents et des jeunes adultes, contrairement à ce qui se passe aux États-Unis. Si la concurrence, le corporatisme et la culture peuvent contribuer à expliquer les divergences transatlantiques dans la croissance de la productivité, elles mettent aussi en lumière, dans les deux continents, des lacunes institutionnelles profondément ancrées et susceptibles de persister. La dernière section de l’article identifie les racines profondes du climat plus favorable à l’innovation aux États-Unis qu’en Europe, notamment le système ouvertement concurrentiel des universités privées et publiques, les subventions gouvernementales accordées aux universités sous la forme d’aide à la recherche en fonction d’une évaluation par les pairs plutôt que par l’entremise de bourses sans conditions libérant les étudiants du premier cycle des droits de scolarité, la prédominance mondiale des écoles de commerce et des sociétés de conseil en gestion des États-Unis, l’excellente protection des brevets, l’infrastructure financière flexible permettant de mobiliser du capital de risque à l’intention des innovations prometteuses, les avantages d’une langue commune, la migration intérieure sans entraves et enfin, un environnement accueillant pour les immigrés hautement qualifiés.
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Bernath, Konrad, and Alain Bertrand. "Les acides gras estérifiés, les stérols et le squalène des enveloppes cellulaires de levure." OENO One 26, no. 1 (March 31, 1992): 41. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1992.26.1.1204.

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Abstract:
<p style="text-align: justify;">Ce travail se propose de doser les acides gras estérifiés, les stérols et le squalène dans deux échantillons d'écorces de levure du commerce de marques différentes.</p>
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KITLV, Redactie. "Book Reviews." New West Indian Guide / Nieuwe West-Indische Gids 77, no. 3-4 (January 1, 2003): 295–366. http://dx.doi.org/10.1163/13822373-90002526.

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Abstract:
-Edward L. Cox, Judith A. Carney, Black rice: The African origin of rice cultivation in the Americas. Cambridge MA: Harvard University Press, 2001. xiv + 240 pp.-David Barry Gaspar, Brian Dyde, A history of Antigua: The unsuspected Isle. Oxford: Macmillan Education, 2000. xi + 320 pp.-Carolyn E. Fick, Stewart R. King, Blue coat or powdered wig: Free people of color in pre-revolutionary Saint Domingue. Athens: University of Georgia Press, 2001. xxvi + 328 pp.-César J. Ayala, Birgit Sonesson, Puerto Rico's commerce, 1765-1865: From regional to worldwide market relations. Los Angeles: UCLA Latin American Center Publications, 200. xiii + 338 pp.-Nadine Lefaucheur, Bernard Moitt, Women and slavery in the French Antilles, 1635-1848. Bloomington: Indiana University Press, 2001. xviii + 217 pp.-Edward L. Cox, Roderick A. McDonald, Between slavery and freedom: Special magistrate John Anderson's journal of St. Vincent during the apprenticeship. Jamaica: University of the West Indies Press, 2001. xviii + 309 pp.-Jaap Jacobs, Benjamin Schmidt, Innocence abroad: The Dutch imagination and the new world, 1570-1670. New York: Cambridge University Press, 2001. xxviii + 450 pp.-Wim Klooster, Johanna C. Prins ,The Low countries and the New World(s): Travel, Discovery, Early Relations. Lanham NY: University Press of America, 2000. 226 pp., Bettina Brandt, Timothy Stevens (eds)-Wouter Gortzak, Gert Oostindie ,Knellende koninkrijksbanden: Het Nederlandse dekolonisatiebeleid in de Caraïben, 1940-2000. Volume 1, 1940-1954; Volume 2, 1954-1975; Volume 3, 1975-2000. 668 pp. Amsterdam: Amsterdam University Press, 2001., Inge Klinkers (eds)-Richard Price, Ellen-Rose Kambel, Resource conflicts, gender and indigenous rights in Suriname: Local, national and global perspectives. Leiden, The Netherlands: self-published, 2002, iii + 266.-Peter Redfield, Richard Price ,Les Marrons. Châteauneuf-le-Rouge: Vents d'ailleurs, 2003. 127 pp., Sally Price (eds)-Mary Chamberlain, Glenford D. Howe ,The empowering impulse: The nationalist tradition of Barbados. Kingston: Canoe Press, 2001. xiii + 354 pp., Don D. Marshall (eds)-Jean Stubbs, Alejandro de la Fuente, A Nation for All: Race, Inequality, and Politics in Twentieth-Century Cuba. Chapel Hill: University of North Carolina Press, 2001. xiv + 449 pp.-Sheryl L. Lutjens, Susan Kaufman Purcell ,Cuba: The contours of Change. Boulder CO: Lynne Rienner, 2000. ix + 155 pp., David J. Rothkopf (eds)-Jean-Germain Gros, Robert Fatton Jr., Haiti's predatory republic: The unending transition to democracy. Boulder CO: Lynn Rienner, 2002. xvi + 237 pp.-Elizabeth McAlister, Beverly Bell, Walking on fire: Haitian Women's Stories of Survival and Resistance. Ithaca NY: Cornell University Press, 2001. xx + 253 pp.-Gérard Collomb, Peter Hulme, Remnants of conquest: The island Caribs and their visitors, 1877-1998. Oxford: Oxford University Press, 2000. 371 pp.-Chris Bongie, Jeannie Suk, Postcolonial paradoxes in French Caribbean Writing: Césaire, Glissant, Condé. New York: Oxford University Press, 2001. 216 pp.-Marie-Hélène Laforest, Caroline Rody, The Daughter's return: African-American and Caribbean Women's fictions of history. New York: Oxford University Press, 2001. x + 267 pp.-Marie-Hélène Laforest, Isabel Hoving, In praise of new travelers: Reading Caribbean migrant women's writing. Stanford CA: Stanford University Press, 2001. ix + 374 pp.-Catherine Benoît, Franck Degoul, Le commerce diabolique: Une exploration de l'imaginaire du pacte maléfique en Martinique. Petit-Bourg, Guadeloupe: Ibis Rouge, 2000. 207 pp.-Catherine Benoît, Margarite Fernández Olmos ,Healing cultures: Art and religion as curative practices in the Caribbean and its diaspora. New York: Palgrave, 2001. xxi + 236 pp., Lizabeth Paravisini-Gebert (eds)-Jorge Pérez Rolón, Charley Gerard, Music from Cuba: Mongo Santamaría, Chocolate Armenteros and Cuban musicians in the United States. Westport CT: Praeger, 2001. xi + 155 pp.-Ivelaw L. Griffith, Anthony Payne ,Charting Caribbean Development. Gainesville: University Press of Florida, 2001. xi + 284 pp., Paul Sutton (eds)-Ransford W. Palmer, Irma T. Alonso, Caribbean economies in the twenty-first century. Gainesville: University Press of Florida, 2002. 232 pp.-Glenn R. Smucker, Jennie Marcelle Smith, When the hands are many: Community organization and social change in rural Haiti. Ithaca NY: Cornell University Press, 2001. xii + 229 pp.-Kevin Birth, Nancy Foner, Islands in the city: West Indian migration to New York. Berkeley: University of California Press, 2001. viii + 304 pp.-Joy Mahabir, Viranjini Munasinghe, Callaloo or tossed salad? East Indians and the cultural politics of identity in Trinidad. Ithaca NY: Cornell University Press, 2001. xv + 315 pp.-Stéphane Goyette, Robert Chaudenson, Creolization of language and culture. Revised in collaboration with Salikoko S. Mufwene. London: Routledge, 2001. xxi + 340 pp.
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Zhang, Xiang. "Investigation of e‐commerce in China in a geographical perspective." Growth and Change 50, no. 3 (June 19, 2019): 1062–84. http://dx.doi.org/10.1111/grow.12307.

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Zeng, Yiwu, Hongdong Guo, Yanfei Yao, and Lu Huang. "The formation of agricultural e‐commerce clusters: A case from China." Growth and Change 50, no. 4 (August 15, 2019): 1356–74. http://dx.doi.org/10.1111/grow.12327.

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Gao, Ping, and Yajun Liu. "Endogenous inclusive development of e‐commerce in rural China: A case study." Growth and Change 51, no. 4 (September 26, 2020): 1611–30. http://dx.doi.org/10.1111/grow.12436.

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Mei, Yan, Danling Mao, Yuhui Lu, and Wei Chu. "Effects and mechanisms of rural E‐commerce clusters on households' entrepreneurship behavior in China." Growth and Change 51, no. 4 (August 19, 2020): 1588–610. http://dx.doi.org/10.1111/grow.12424.

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Vashchuk, Vsevolod, and Taras Kyryk. "CHANGEMENTS DE L’ULTRASTRUCTURE DE LA MUQUEUSE DU GROS INTESTIN LORS D’UNE PANCREATITE AIGUE." Scientific Journal of Polonia University 51, no. 2 (June 14, 2022): 332–36. http://dx.doi.org/10.23856/5139.

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Abstract:
Parmi les patients atteints de pathologie abdominale aiguë qui ont été hospitalisés dans des hôpitaux chirurgicaux, environ 5% sont des patients atteints de pancréatite aiguë. De plus, au cours des dernières décennies, il y a eu une augmentation multiple du taux d'incidence. Selon de nombreuses études dans les pays industrialisés, l'incidence de la pancréatite aiguë est de l'ordre de 200 à 800 nouveaux cas de pancréatite aiguë pour 1 million d'habitants par an. Selon de nombreux chercheurs, l'un des principaux facteurs à l'origine de la pancréatite aiguë sévère est l'invasion de bactéries gram-négatives à partir du côlon, par translocation bactérienne pathologique. Ce mécanisme peut jouer un rôle majeur dans le développement de complications septiques – "la mort commence dans le côlon, qui, dans une pathologie abdominale aiguë, se transforme en un abcès non drainé". L’aticle présente les résultats de l’étude concernant les particularités de l’ultrastructure de la muqueuse du gros intestin chez les malades avec pancréatite aiguë. Sur la base de l’analyse de 75 microphotos il a été constaté que l’épicentre principal des changements destructifs se trouvait dans les couches externes de la muqueuse du côlon. Les changements signalés ont été qualifiés comme les signaux précurseurs du développement de la translocation bactérienne pathologique.
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Cocker, Femi, Jean Bosco Vodounou, and Jacob Yabi. "Cartographie du potentiel en eau souterraine de la basse vallée de l'Ouémé, sud-Bénin (Afrique de l'Ouest)." La Houille Blanche, no. 2 (April 2020): 74–85. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2020018.

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Abstract:
La présente étude est une contribution pour une meilleure connaissance des ressources en eau souterraine de la basse vallée de l'Ouémé dans le souci de favoriser leur gestion efficiente face aux besoins sans cesse grandissants de la population. Elle a pour objectif principal de cartographier les potentialités en eau souterraine de la zone d'étude pour favoriser l'implantation des forages à gros débits en vue d'améliorer l'approvisionnement en eau potable des populations. La base de données utilisée est constituée des images satellitaires, des relevés techniques de forages, des fonds topographiques et des données hydro-climatiques. La combinaison de ces différentes informations par la méthode d'agrégation des critères a permis de générer des indicateurs de disponibilité, d'accessibilité et d'exploitabilité des eaux souterraines. Ces différents indicateurs sont ensuite considérés comme critères et sont combinés suivant la technique d'agrégation par codification en vue de l'élaboration de la carte de potentialité en eau souterraine. Les résultats révèlent que plus des deux tiers (80,4 %) du territoire ont une disponibilité en eau souterraine bonne et excellente avec une exploitabilité excellente (51,87 %) et également une accessibilité de 50,51 %. L'identification des sites potentiels en eau souterraine montre que 66 % de la superficie de la basse vallée de l'Ouémé considérée sont favorables à l'implantation de forages à gros débits. Cela correspond parfaitement à la configuration hydrogéologique du Bénin car le nord de la basse vallée de l'Ouémé annonce déjà la zone de socle où la ressource commence à se faire désirer. Ainsi cette carte de potentialité en eau souterraine peut guider la prise d'une bonne décision pour une gestion efficiente des ressources en eau souterraine.
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Chappe, P., A. Mourey, and J. Manem. "La microflore de boues aérobies acclimatées à des teneurs élevées en graisse." Revue des sciences de l'eau 7, no. 4 (April 12, 2005): 395–404. http://dx.doi.org/10.7202/705208ar.

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Abstract:
Le travail présenté dans cet article a pour but d'isoler les principaux micro-organismes impliqués dans la biodégradation des lipides concentrés dans des réacteurs spécifiques de stations d'épuration des eaux et d'étudier leur action sur ce type de substrat. La microflore d'une boue activée « classique » est comparée à celle de boues acclimatées à des teneurs élevées en lipides selon un nouveau procédé « BIOMASTER® G ». Cela montre un enrichissement en bactéries fortement lipolytiques dans le système à l'équilibre. En effet, la boue activée « classique » ne contient aucun microorganisme fortement lipolytique alors qu'à partir de la boue acclimatée du même site on a pu en isoler, Acinetobacter calcoaceticus et Pseudomonas putida étant les constituants les plus actifs. L'utilisation de bioadditifs du commerce pour l'ensemencement des pilotes au lancement du système ne semble pas apporter d'avantages décisifs puisqu'on ne retrouve pas à l'équilibre les micro-organismes contenus dans ces bioadditifs. Par contre, d'autres microorganismes à pouvoir lipolytique élevé sont détectés tels que Pseudomonas sp., Aeromonas hydrophila et Staphylococcus sp . Le genre Pseudomonas est par ailleurs presque toujours rencontré quelle que soit la boue acclimatée examinée. De même, on peut noter la quasi absence de bactéries Gram positif. Tous les isolats Gram négatif dégradent plus ou moins les acides gras de longueur de chaîne variée. Le seul isolat Gram positif est inhibé ou même tué par les acides gras à chaîne moyenne ou courte et cela peut contribuer à la pauvreté en bactéries Gram positif dans les boues acclimatées. Les genres principaux que nous avons rencontrés, Pseudomonas, Acinetobacter et Aeromonas, sont capables d'assurer à la fois la lipolyse (libération des acides gras) et l'oxydation subséquente des acides gras. L'enrichissement naturel de la microflore lipolytique des boues activées dans le procédé aboutit à une microflore acclimatée capable d'assurer la biodégradation complète des lipides.
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Kerbrat-Orecchioni, Catherine. "(Im)politesse et gestion des faces dans deux types de situations communicatives: petits commerces et débats électoraux." Pragmática Sociocultural / Sociocultural Pragmatics 2, no. 2 (November 1, 2014): 293–326. http://dx.doi.org/10.1515/soprag-2014-0021.

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Abstract:
RésuméL’objectif de cet article est à la fois théorique et descriptif: il s’agit de mettre à l’épreuve le modèle de la politesse comme face work élaboré par Brown et Levinson (1978, 1987) en le confrontant à deux types bien différents d’interactions authentiques se déroulant en France, les échanges commerciaux d’une part (plus précisément, ceux qui se déroulent dans les “petits commerces”) et les débats politico-médiatiques de l’autre (plus précisément, les débats de l’entre-deux-tours des élections présidentielles). Après avoir proposé un certain nombre d’aménagements au modèle “standard” (introduction de la notion de Face Flattering Act venant compléter celle de Face Threatening Act, et des catégories de “non-politesse” et de “polirudesse” venant compléter celles de “politesse” et d’“impolitesse”), on appliquera ces notions et catégories au double corpus d’analyse. La confrontation montre à la fois que celles-ci sont en gros opératoires, mais que leur application ne peut se faire sans la prise en compte des normes en vigueur dans les différents genres discursifs observés, normes qui déterminent de façon décisive la façon dont les locuteurs utilisent et interprètent les ressources que la langue met à leur disposition, en particulier en matière de politesse.
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Pagès, Gaspard. "Productions, commerces et consommation du fer dans le Sud de la Gaule de la Protohistoire à la domination romaine." Gallia 71, no. 2 (2014): 47–67. http://dx.doi.org/10.4000/11q15.

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Abstract:
En Gaule du Sud, si le travail du fer apparaît durant la Protohistoire, la généralisation de cet artisanat s’étend sur la longue durée sous des influences continentales et méditerranéennes, à l’interface des mondes indigènes et classiques. Il s’agit donc ici de discuter des parts des héritages gaulois et de la colonisation romaine dans le développement des débuts de la métallurgie du fer en Gaule méditerranéenne sous la forme d’un état des lieux critique mené à partir de la documentation archéologique disponible. Le raisonnement s’inscrit dans la longue durée, depuis l’apparition des premières pièces ferreuses aux viiie-viie s. av. J.-C. jusqu’à la domination de l’Empire romain, autour de quatre problématiques complémentaires : quelle est la place du fer dans la culture matérielle des différentes sociétés, quelle est l’ampleur des activités de forge installées dans le tissu de peuplement, quelles sont les stratégies d’exploitation des gisements de minerai de fer adoptées et, enfin, quels sont les réseaux et les standards de commercialisation en gros de ce matériau qui se développent dans le Sud de la Gaule entre la Protohistoire et l’Empire romain ?
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Moudenc, Jean-Luc. "La transition écologique se fera à l’échelon local ou ne se fera pas." Administration N° 282, no. 2 (July 10, 2024): 87–89. http://dx.doi.org/10.3917/admi.282.0087.

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Abstract:
Métropole européenne, référence internationale dans les domaines de l’aéronautique et du spatial, Toulouse affiche un dynamisme économique et une qualité de vie qui séduisent chaque année plusieurs milliers de nouveaux arrivants. Terre de prédilection pour les pionniers, Toulouse est le berceau d’une épopée aéronautique, commencée avec l’Aéropostale, poursuivie avec le premier vol du Concorde, et avec l’assemblage de l’A-380, le plus gros avion civil jamais construit. En s’appuyant sur un écosystème industriel, universitaire et entrepreneurial dynamique, Toulouse se tourne vers les filières du futur : numérique, sciences de la santé et du vivant, transports du futur… L’innovation, la recherche et développement, sont au coeur de l’ADN toulousain. Sur ce territoire d’excellence sont dénombrés plus de 22 000 chercheurs, 400 unités de recherche et quelque 120 000 étudiants. La ville rose propose également une vie culturelle intense, une convivialité sans égale, un patrimoine d’exception, une offre sportive portée par des clubs amateurs et d’élite et un cadre de vie qui donne toute sa place à la nature en ville.
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Haller, Séverine, and Marie-Hélène Jeanneret. "Importations parallèles sur le marché automobile européen: une analyse en termes de différenciation verticale." Recherches économiques de Louvain 69, no. 2 (2003): 181–204. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800005625.

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Abstract:
RésuméDes écarts de prix importants sur les marchés automobile européens donnent lieu à des importations parallèles entre les pays de l'Union Européenne. Ce commerce « gris » va-t-il faire converger les prix vers un prix unique, plus concurrentiel ? Cet article a pour objet d'analyser les stratégies de prix d'une firme en monopole sur son marché domestique et en duopole sur un autre marché européen. Le produit est vendu par le biais d'un réseau de distribution exclusive dans les deux pays. La firme peut être concurrencée sur son propre marché par un ou plusieurs arbitragistes tirant partie d'un écart de prix. Nous montrons que lorsque le bien réimporté a une qualité perçue différente du « bien autorisé » et selon l'intensité de la concurrence dans le pays étranger la firme peut avoir intérêt à laisser l'arbitrage (les importations parallèles) se faire et continuer à pratiquer des prix différents entre les deux pays.
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Schroeder, Genevieve, Lauren Rhodes, Tanmoy Laskar, Anya Nugent, Alicia Rouco Escorial, Jillian C. Rastinejad, Wen-fai Fong, et al. "A Radio Flare in the Long-lived Afterglow of the Distant Short GRB 210726A: Energy Injection or a Reverse Shock from Shell Collisions?" Astrophysical Journal 970, no. 2 (July 25, 2024): 139. http://dx.doi.org/10.3847/1538-4357/ad49ab.

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Abstract:
Abstract We present the discovery of the radio afterglow of the short gamma-ray burst (GRB) 210726A, localized to a galaxy at a photometric redshift of z ∼ 2.4. While radio observations commenced ≲1 day after the burst, no radio emission was detected until ∼11 days. The radio afterglow subsequently brightened by a factor of ∼3 in the span of a week, followed by a rapid decay (a “radio flare”). We find that a forward shock afterglow model cannot self-consistently describe the multiwavelength X-ray and radio data, and underpredicts the flux of the radio flare by a factor of ≈5. We find that the addition of substantial energy injection, which increases the isotropic kinetic energy of the burst by a factor of ≈4, or a reverse shock from a shell collision are viable solutions to match the broadband behavior. At z ∼ 2.4, GRB 210726A is among the highest-redshift short GRBs discovered to date, as well as the most luminous in radio and X-rays. Combining and comparing all previous radio afterglow observations of short GRBs, we find that the majority of published radio searches conclude by ≲10 days after the burst, potentially missing these late-rising, luminous radio afterglows.
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Pupier, Paul. "Une première systématique des évaluatifs en français." Revue québécoise de linguistique 26, no. 1 (April 30, 2009): 51–78. http://dx.doi.org/10.7202/603144ar.

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Abstract:
RÉSUMÉLe présent article offre une description synthétique des évaluatifs en français. On commence par caractériser les évaluatifs ou expressions de valeur. Puisque les évaluatifs sont bipolaires et peuvent présenter une gradation dans leur évaluation, il est naturel de vérifier si leur répartition n’est pas identique à celle des antonymes de degré. En fait, elle en est indépendante dans une large mesure. La morphologie dérivationnelle fournit des corrélations plus fortes avec le marquage axiologique. D’abord, il n’existe pas de suffixe axiologiquement positif en français. Ensuite, les suffixes péjoratifs n’opèrent pas tous de la même façon : en gros, la valeur négative peut être introduite par le suffixe ou, au contraire, être héritée du radical. Pour ce qui est des préfixes, leur impact axiologique n’est pas déterminé entièrement par la négation qu’ils expriment. Il y a d’autres marqueurs de l’axiologie que les morphèmes : par exemple certaines constructions, comme la célèbreN de N. Au niveau lexical aussi, le jugement de valeur peut être présupposé ou impliqué par l’usage de certains mots. En axiologie, comme dans d’autres domaines de la linguistique, se pose le problème de la projection des valeurs élémentaires. Nous abordons ce problème à partir de quelques exemples. Enfin, nous reprenons la question de l’ironie, phénomème dont nous avions dû faire abstraction pour fonder nos intuitions axiologiques, et nous montrons que la valeur entre dans la définition même de l’énoncé ironique.
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Bolt, Bruce A. "Inge Lehmann. 13 May 1888—21 February 1993." Biographical Memoirs of Fellows of the Royal Society 43 (January 1997): 287–301. http://dx.doi.org/10.1098/rsbm.1997.0016.

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Abstract:
Dr Inge Lehmann was born on 13 May 1888 at Osterbro by the Lakes in Copenhagen. She grew up and lived much of her long life there, and for over 50 years, on Kastelvej, Copenhagen. The Lehmann family had its roots in Bohemia; the Danish branch had many influential members of high standing, including barristers, politicians and engineers. Inge Lehmann's paternal grandfather laid out the first Danish telegraph line (opened in 1854) and her great grandfather was Governor of the National Bank. Her mother's father, Hans Jakob T0rsleff, belonged to an old Danish family with a priest in every generation. A granddaughter, Anne Groes, was for a while Minister of Commerce. Inge's childhood was a happy one in the peaceful atmosphere of the 1890s. Her father, Alfred Lehmann, was a professor of psychology at the University of Copenhagen who pioneered the study of experimental psychology in Denmark. He was rarely seen except at mealtimes, though sometimes on Sunday he took the family for a walk. (A fund endowed by her estate makes a travel award each year alternatively to a psychologist and a geophysicist.) She had a sister, Harriet.
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Laverdière, Camille, and Pierre Guimont. "De l’origine du néorégionyme Jamésie." Cahiers de géographie du Québec 25, no. 66 (April 12, 2005): 433–40. http://dx.doi.org/10.7202/021532ar.

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Abstract:
Dans toute mise en valeur de régions sises au-delà de l'écoumène, où les accidents géographiques portent peu de noms, il est de nécessité de compléter la choronymie à peine commencée. Des régionymes bien établis, tels Charlevoix, Gaspésie et Mauricie, ou de création relativement récente, tels Estrie, Minganie et Hudsonie, côtoient d'autres régionymes qui viennent à peine d'être proposés, tels Sagamie (de Saguenay et Piécouagami, ou lac Saint-Jean) et Jamésie. Ce dernier nom s'appliquerait aux basses-terres adjacentes à la baie de James, et pour cause; l'adjectif serait jamésien(ne). En 1967, le régionyme Radissonie a été donné au territoire couvrant la baie de James, ses îles et son pourtour jusqu'à la ligne de partage des eaux; le mot s'applique ainsi à une grande portion du Québec, de l'Ontario et du Manitoba. La Jamésie ne recouvrirait donc que la partie centrale de ce vaste ensemble, tandis que l'équivalent québécois correspondrait surtout aux plaines d'argile jadis mises en place au sein des eaux post-glaciaires de la mer de Tyrrell, comme à la moitié orientale de la baie elle-même. Elle s'étendrait du nord de l'Abitibi à la pointe de Louis-XIV, là où débute la mer d'Hudson; vers l'est ou l'intérieur des terres, elle se terminerait au réservoir Boyd-Sakami récemment créé, ou coïnciderait en gros avec la route qui va de Matagami à LG 2.
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E. P., Ita-Nya. "Comparative Assessment of Plant Species and Their Taxa Distribution between the Capital Cities of Akwa Ibom and Bayelsa States, Nigeria." African Journal of Environment and Natural Science Research 7, no. 2 (May 9, 2024): 122–32. http://dx.doi.org/10.52589/ajensr-icmbkjhy.

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Abstract:
The study examined the comparative assessment of plant species and their taxa distribution between the Capital Cities of Akwa Ibom and Bayelsa States, Nigeria. The study established quadrats of 30mx200m along road (transects) in GRAs of Uyo City, Akwa Ibom State and Yenagoa City, Bayelsa State labelled as sampled sites and a quadrat of 100mx100m were established as control sites (secondary forest) at a minimum of 300m from the sampled sites. Descriptive statistics were employed to analyse the data. Findings revealed that that a total of 32 plant individual species types were found in the sampled sites in Uyo while a total of 16 plant individual species types belonging to 13 families were found in Yenagoa. Also, the 32 individual plant species found under the sampled sites belong to 20 families with Arecaceae and Moraceae having the highest species individuals in Uyo Town while 26 individual plant species were identified belonging to 19 families with Apocynaceae and Guthiferae producing the highest numbers of species individuals in Yenagoa. The study can be concluded that there was variation in the plant taxa between Akwa Ibom State and Yenagoa State as the plant composition in the Uyo is more than that of Yenagoa Town suggesting the influence of the level of urbanization and other anthropogenic activities. The study recommended that urban greening activities should commence immediately in the areas where there is a shortage of plant composition.
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Søndergaard, Anne Sofie, Nicolaj Krog Larsen, Olivia Steinemann, Jesper Olsen, Svend Funder, David Lundbek Egholm, and Kurt Henrik Kjær. "Glacial history of Inglefield Land, north Greenland from combined in situ <sup>10</sup>Be and <sup>14</sup>C exposure dating." Climate of the Past 16, no. 5 (October 30, 2020): 1999–2015. http://dx.doi.org/10.5194/cp-16-1999-2020.

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Abstract:
Abstract. Determining the sensitivity of the Greenland Ice Sheet (GrIS) to Holocene climate changes is a key prerequisite for understanding the future response of the ice sheet to global warming. In this study, we present new information on the Holocene glacial history of the GrIS in Inglefield Land, north Greenland. We use 10Be and in situ 14C exposure dating to constrain the timing of deglaciation in the area and radiocarbon dating of reworked molluscs and wood fragments to constrain when the ice sheet retreated behind its present-day extent. The 10Be ages are scattered ranging from ca. 92.7 to 6.8 ka, whereas the in situ 14C ages range from ca. 14.2 to 6.7 ka. Almost half of the apparent 10Be ages predate the Last Glacial Maximum and up to 89 % are to some degree affected by nuclide inheritance. Based on the few reliable 10Be ages, the in situ 14C ages and existing radiocarbon ages from Inglefield Land, we find that the deglaciation along the coast commenced at ca. 8.6–8.3 ka cal BP in the western part and ca. 7.9 ka in the central part, following the opening of Nares Strait and arrival of warm waters. The ice margin reached its present-day position at ca. 8.2 ka at the Humboldt Glacier and ca. 6.7 ka in the central part of Inglefield Land. Radiocarbon ages of reworked molluscs and wood fragments show that the ice margin was behind its present-day extent from ca. 5.8 to 0.5 ka cal BP. After 0.5 ka cal BP, the ice advanced towards its Little Ice Age position. Our results emphasize that the slowly eroding and possibly cold-based ice in north Greenland makes it difficult to constrain the deglaciation history based on 10Be ages alone unless they are paired with in situ 14C ages. Further, combining our findings with those of recently published studies reveals distinct differences between deglaciation patterns of northwest and north Greenland. Deglaciation of the land areas in northwest Greenland occurred earlier than in north Greenland, and periods of restricted ice extent were longer, spanning the Middle and Late Holocene. Overall, this highlights past ice sheet sensitivity to Holocene climate changes in an area where little information was available just a few years ago.
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Mysterud, Iver. "Niko Tinbergen's life and work: a new approach to biology." Social Science Information 46, no. 3 (September 2007): 543–53. http://dx.doi.org/10.1177/0539018407079729.

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Abstract:
English The life and work of the eminent ethologist and Nobel laureate Nikolaas Tinbergen (1907—1988) played an essential role in the introduction of a new approach that is transforming the scientific understanding of animal behaviour, human nature and evolution. This article focuses on an extremely well-written biography of him, Niko's Nature, by Hans Kruuk, one of Tinbergen's former students. Niko's Nature is more than a biography: it is a presentation and an evaluation of the main lines of European ethology and behaviour research in the 20th century up to the 1980s. Tinbergen suffered from depression most of his adult life, and if he had been a child today, he probably would have been diagnosed as hyperactive (ADHD). Tinbergen fits into a pattern of lifelong fatty-acid deficiency. I also discuss other possible causes of his problems (like protein intolerance, vitamin deficiency, genetics and novel environmental factors) and speculate how Tinbergen would have approached such issues if he were alive today. French La vie et l’oeuvre de Nikolaas Tinbergen (1907–1988), éthologue éminent et Prix Nobel, ont été essentielles pour l’apparition d’une approche nouvelle dans la compréhension scientifique du comportement animal, de la nature humaine et de l’évolution. Ce texte commente une biographie de Tinbergen écrite par l’un de ses anciens étudiants Hans Kruuk, Niko’s Nature. Niko’s Nature est plus qu’une simple biographie, il s’agit en fait d’une présentation et d’une évaluation des principaux courants de l’éthologie et de la recherche comportementale en Europe au 20ème siècle, jusqu’aux années 1980. Durant toute sa vie d’adulte, Tinbergen a souffert de dépression et s’il avait été enfant de nos jours, il aurait probablement été diagnostiqué comme enfant hyperactif (THADA). Tinbergen semble correspondre à un schéma de déficience durable en acides gras. L’auteur évoque aussi d’autres pistes explicatives (comme l’intolérance aux protéines, la déficience en vitamines, la génétique, l’apparition de nouveaux facteurs environnementaux) et s’interroge sur la façon dont Tinbergen aurait approché l’étude de ces questions s’il était encore vivant.
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Aryantiningsih, Dwi Sapta, and Linda Suryani. "PENTINGNYA MENUMBUHKAN JIWA ENTERPRENEURSHIP BAGI ANAK PANTI ASUHAN AS-SALAM." Jurnal Graha Pengabdian 3, no. 2 (July 30, 2021): 147. http://dx.doi.org/10.17977/um078v3i22021p147-158.

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Abstrak: Dalam menghadapai revolusi industri 4.0 banyak orang memutar otak untuk mengembang jiwa bisnis (Entrepreneur) guna bisa dapat bertahan hidup dimasa revolusi ini. Entrepreneurship dimana seseorang yang memiliki kemampuan dalam menggunakan sumber daya seperti finansial (money), bahan mentah (materials), dan tenaga kerja (labor), untuk menghasilkan suatu produk baru, bisnis baru, proses produksi, atau pengembangan organisasi usaha. Entrepreneur juga harus mampu membaca peluang tentang keberadaan suatu produk. Produk yang jarang ditemukan di suatu daerah sedangkan konsumen banyak membutuhkan akan menjadikan produk tersebut laris. Salah satu produk yang sedang di cari dan diminiati oleh masyarakat pada masa pandemic Covid-19 adalah minuman tradisional atau jamu. Pada masa pandemic Covid-19 permintaan pasar terhadap minuman jamu melonjak. Kegiatan pengabdian kepada masyarakat dilaksanakan di panti asuhan As Salaam pada bulan Mei sampai Juli 2021 dengan memberikan edukasi dan pelatihan dengan metode tanya jawab dan praktikum. Rangkaian kegiatan pengabdian masyarakat meliputi pemberian edukasi mengenai tanaman jamu, praktikum cara pembuatan jamu dan praktikum pemasaran jamu kunyit asem dengan media online. Evaluasi kegiatan dilakukan dengan pemberian kuesioner untuk menilai pengetahuan yang didapat sedangkan untuk menilai keterampilan, dengan cara anak-anak panti langsung membuat olahan jamu kunyit asam mulai dari penyiapan alat dan bahan sampai dengan pengemasan produk. Hasil dari kegiatan ini yaitu adanya peningkatan pengetahuan anak panti asuhan tentang tanaman jamu, adanya peningkatan kemampuan anak asuh dalam membuat produk olahan jamu kunyit asam dan peningkatan kemampuan anak panti asuhan dalam mendesain flyer untuk promosi produk jamu kunyit asem serta peningkatan kemampuan anak asuh dalam memasarkan produk melalui platform e-commerce yang telah ada. Untuk keberlanjutan dari kegiatan ini dilakukan pendampingan secara berkesinambungan terhadap anak panti dengan membuat whatsapp grop dimana anak panti bisa berdiskusi dengan tim setiap saat, sedangkan untuk pertemuan langsung dilakukan setiap 3 bulan sekali dimana disini dibahas masalah-masalah yang dihadapi dan mencari solusi dari masalah ada. Abstract: In facing the industrial revolution 4.0, many people rack their brains to develop a business spirit (Entrepreneur) in order to be able to survive in this revolution. Entrepreneurship is someone who has the ability to use resources such as finance (money), raw materials (materials), and labor (labor), to produce a new product, new business, production process, or business organization development. Entrepreneurs must also be able to read opportunities about the existence of a product. Products that are rarely found in an area while consumers need a lot will make the product in demand. One of the products that are being sought and liked by the public during the Covid-19 pandemic is traditional drinks or herbal medicine. During the Covid-19 pandemic, market demand for herbal drinks soared. Community service activities are carried out at the As Salaam orphanage from May to July 2021 by providing education and training with question and answer methods and practicum. The series of community service activities include providing education about herbal plants, practicum on how to make herbal medicine and marketing practicum for herbal turmeric tamarind with online media. Evaluation of activities was carried out by giving questionnaires to assess the knowledge gained while to assess skills, the orphanage children directly made preparations of turmeric and tamarind herbs starting from the preparation of tools and materials to product packaging. The results of this activity are an increase in the knowledge of orphanage children about herbal plants, an increase in the ability of foster children in making processed products of herbal turmeric acid and an increase in the ability of orphanage children to design flyers for the promotion of herbal turmeric tamarind products and increase the ability of foster children in marketing products. through existing e-commerce platforms. For the sustainability of this activity, continuous assistance is carried out for orphans by creating a whatsapp group where orphans can discuss with the team at any time, while direct meetings are held every 3 months where the problems encountered and find solutions to existing problems are discussed here.
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THERIEZ, M. "Elevage et alimentation du cerf (Cervus Elaphus). 2. Elevage des jeunes et production de viande." INRAE Productions Animales 2, no. 2 (May 10, 1989): 105–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.2.4405.

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Abstract:
La croissance des animaux, de la naissance à l’âge adulte, ainsi que les caractéristiques de la carcasse des cerfs sont présentées dans cet article. Le jeune faon qui pèse de 8 à 9 kg à la naissance, a une croissance rapide pendant la phase d’alimentation lactée. Cette croissance varie entre 250 et 450 g/j selon le niveau alimentaire de sa mère. Elle dépend également du sexe du faon (+ 20 à + 50 g/j pour les mâles par rapport aux femelles) et de son poids à la naissance (1 kg supplémentaire l’améliore de 5 à 15 g/j). Le sevrage, qui peut être réalisé en septembre ou en novembre, avant ou après le brame, entraîne une chute de croissance de 20 à 50 g/j selon la production laitière de la mère. La croissance restera voisine de 200-250 g/j jusqu’à la fin novembre pour diminuer ou s’annuler de décembre à fin février et reprendre à partir de mars, elle variera entre 150 et 250 g/j au cours de la deuxième année au pâturage. L’apport d’aliment concentré (jusqu’à 1 kg/j) en hiver permet de maintenir un gain quotidien de 100 g/j environ mais, après mise à l’herbe, les animaux ainsi traités ont une croissance réduite d’environ 50 g/j par rapport aux témoins. Le poids atteint au cours du second automne représente 70 à 75 % du poids adulte pour les biches mais 50 % seulement pour les cerfs. Les femelles atteignent leur poids adulte vers 4 ou 5 ans et les mâles poursuivent leur croissance jusqu’à 8-9 ans. Le rendement en carcasse des cerfs d’élevage est élevé (55 à 58 %). Leur carcasse se caractérise par une forte proportion de muscles et très peu de tissu adipeux sauf chez les mâles adultes avant le brame, chez lesquels ce tissu peut dépasser 20 % du poids de carcasse. Le cerf est un animal « tardif » qui ne commence à déposer une quantité importante de gras qu’à partir de 16-18 mois, lorsqu’il a atteint plus de 50 % de son poids potentiel adulte. Les besoins stricts pour la croissance sont voisins de 4 Mcal EM par kg de gain chez le faon de 60 kg, ils atteignent 5 Mcal pour des animaux de 90 kg. Les besoins d’entretien sont relativement plus élevés : 0,2 Mcal EM/kg P0,75. Les manipulations pour regrouper les animaux et les traitements avant abattage peuvent avoir un effet très défavorable sur la qualité de la viande dont les muscles restent à un pH élevé (supérieur à 6) 24 h post-mortem chez les animaux stressés lors de ces opérations.
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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"Accréditation syndicale — Grève illégale du requérant." Jurisprudence du travail 19, no. 2 (January 21, 2014): 271–76. http://dx.doi.org/10.7202/1021323ar.

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Abstract:
Sommaire La Commission des Relations ouvrières décide qu'elle doit refuser l'accréditation syndicale à un syndicat requérant qui contrevient aux prescriptions de l'article 24 de la Loi des Relations ouvrières en déclenchant une grève illégale. Le Syndicat des Employés du Commerce de gros de Montréal, section George Courey and Sons Ltd, requérant de première part, l'Association des Employés de Marchandises sèches en gros de Montréal, requérant de deuxième part, et George Courey and Sons Ltd, mise-en-cause; Commission des Relations ouvrières de Québec, Montréal, le 14 août 1963; Bulletin mensuel d'information, Min. du Travail, Québec, novembre 1963, pp. 106-111; Juge Roger Bisson, vice-président, Me Claude Lonery, commissaire; Me Marius Bergeron, commissaire (dissident).
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Mahyao, A., S. Doumbia, GP Zohouri, and P. Zoungrana. "RENTABILITE DES INVESTISSEMENTS DANS LE COMMERCE DE GROS DES IGNAMES EN MILIEU URBAIN : CAS DES GROSSISTES D’ABIDJAN EN COTE D’IVOIRE." Annales des Sciences Agronomiques 9, no. 2 (June 4, 2009). http://dx.doi.org/10.4314/asab.v9i2.43254.

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Mouzoun, Séraphin. "Écologie et connaissances ethnozoologiques du porc-épic à crête (Hystrix cristata Linnaeus, 1758) dans les réserves de biosphère de la Pendjari et du W au Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 340 (May 15, 2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.340.a31710.

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Abstract:
Le porc-épic à crête (Hystrix cristata Linnaeus, 1758), espèce nocturne de la famille des hystricidés, est le plus gros des rongeurs du Bénin, discret et peu connu. Il est menacé de disparition à cause des pressions (chasse, destruction des habitats). La présente étude s’est concentrée sur l’écologie de l’espèce et les connaissances endogènes des populations riveraines des réserves de biosphère de la Pendjari et du W du Bénin et leur périphérie. Cette thèse vise à identifier les facteurs environnementaux qui influencent la sélection de l’habitat par l’espèce ainsi qu’à apprécier l’importance socioculturelle de l’espèce au sein des communautés locales. La méthodologie était la description de l’habitat, l’inventaire de H. cristata et l’estimation de l’abondance relative par le suivi des traces. Dans ces réserves, l’inventaire de H. cristata a été réalisé à travers la méthode de la « marche de reconnaissance guidée », basée sur les indices de présence. Des visites systématiques dans les milieux indiqués par les informateurs, ainsi que des tournées nocturnes ont été effectuées. Les données ethnozoologiques ont été collectées par le biais d’entretiens individuels auprès de 260 personnes – pêcheurs, chasseurs, tradithérapeutes, exploitants agricoles. – dans 10 villages riverains. L’étude a combiné des données sur l’habitat, les menaces, les relations socio-économiques et le régime alimentaire. La distribution de H. cristata est corrélée avec les types de sol et de végétation. Ceux-ci ont un effet très marqué et déterminant sur la présence de l’espèce dans un milieu. La savane arbustive (47,6 % des sites d’occurrence) et la formation saxicole (37,0 %) sont davantage préférées par l’espèce que la savane arborée (12,1 %) et la galerie forestière (3,3 %). Ces résultats confirment l’existence d’un gradient écologique. Le test de Kruskal-Wallis réalisé indique une différence significative de ces préférences (p = 0,002). L’indice de comptage kilométrique calculé est de 2,85 indices/km. L’espèce évite les altitudes. Quatre catégories d’utilisation de l’espèce sont notées : la plus importante est l’alimentation (100 % des citations), suivie de la pharmacopée (60,3 %), du commerce (24,0 %) et de l’ornement (13,1 %). L’espèce est chassée essentiellement pour la consommation au sein du ménage. Le braconnage est la principale pression exercée sur l’espèce. Des actions sont proposées pour sa conservation et sa préservation.
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Lin, Juan, Han Li, Mingshui Lin, and Chuhai Li. "Rural e‐commerce in China: Spatial dynamics of Taobao Villages development in Zhejiang Province." Growth and Change, September 22, 2021. http://dx.doi.org/10.1111/grow.12560.

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Blais, Louise. "Biopolitique." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.105.

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Abstract:
On doit à Michel Foucault la notion de biopolitique, proposée dès 1974, et dont il en attribuera l’héritage à son maitre, Georges Canguilhem. Depuis, la notion de biopolitique occupe une place non négligeable dans des domaines et disciplines aussi variés que le « management » privé ou public, la santé et les services sociaux, le commerce ou les sciences humaines et sociales (littérature, philosophie, sociologie, anthropologie….). La biopolitique est au cœur des processus de normalisation et de contrôle social. Citons d’emblée Foucault : « Le contrôle de la société sur les individus ne s’effectue pas seulement par la conscience ou par l’idéologie, mais aussi dans le corps et avec le corps. Le corps est une réalité biopolitique ; la médecine est une stratégie biopolitique » (Foucault, 1994 : 210). La biopolitique, soutient Foucault, est une stratégie politique de la gouvernance qu’il faut situer dans le cadre qui l’a vu naitre : l’émergence du libéralisme (Foucault, 2004). La biopolitique désigne le nouvel objet de gouvernance des sociétés libérales depuis deux siècles: la population comme ensemble des gouvernés dans leur existence biologique (Gros et al, 2013). La biopolitique est tout à la fois stratégie politique, outil de savoir/pouvoir et pratique gouvernementale/institutionnelle. Sa tâche, sa responsabilité, son mandat est de s’occuper de la « santé » des populations: natalité, mortalité, morbidité, hygiène, alimentation, sexualité, pollution, pauvreté, comportements… l’air, l’eau, les constructions, les égouts …. Le champ de la santé s’étend alors à l’infini, à travers un panoptique, c’est à dire, ce dispositif qui rend possible l’idée d’un regard englobant portant sur chacun des individus (Foucault, 1994 : 261). C’est en ce sens que, pour Foucault, la médecine ne se réduit pas à la seule figure du médecin; elle est une « stratégie biopolitique » qui se déploie et s’incarne dans un dispositif institutionnel et professionnel indispensable à la gouvernance des sociétés (néo)libérales (Foucault, 1994 : 210). C’est aussi en ce sens que Guillaume le Blanc (2006 :154) soutiendra que : « La médicalisation de la vie humaine est l’évènement majeur de la biopolitique ». De ce point de vue, les études populationnelles et épidémiologiques, dont les premières remontent au 19e siècle (Blais, 2006) prennent toute leur importance comme outils de la gouvernance. D’une part, elles nourrissent les choix et décisions des gouvernants concernant les populations à gouverner, choix et décisions qui sont à la fois d’ordre politique, économique, social et culturel, et qui s’inscrivent dans des rapports de pouvoir. D’autre part, elles modélisent les représentations des populations (des gouvernés) dans leur existence biologique et sociale. La biopolitique est en ce sens un mode de connaissance, à la fois des populations en tant qu’agrégats d’individus, et de soi en tant qu’individu dans la collectivité. La biopolitique est, chez Foucault, un outil qui forge les normes, outil essentiel à la gouvernance et ses instances de pratiques : la justice, bien sûr, mais aussi, et notamment, les institutions de la santé, des services sociaux, de l’éducation, du travail… Elle établit des normes visuelles (les apparences, les comportements, les performances, les existences biologiques…) et discursives (les manières de nommer les choses, de les dire, le dicible, ce qui est recevable, la parole, l’expression, l’argumentation…). Elle modélise les représentations faites de la norme, des représentations autant de l’autre, du différent, de la non-norme, que de soi en tant qu’individu(s) par rapport et en rapport(s) à autrui et sa place dans la collectivité. Comme le souligne le Blanc (2006 :9), chez Foucault la vie est qualifiée par des normes qui sont tout à la fois des normes de savoir et des normes de pouvoir. Toutefois, le contrôle social n’est pas que processus unidirectionnel, hiérarchique ou « top-down », ce qui serait inadéquat pour rendre compte de la complexité de son mode opératoire. Judith Revel (2008 : 28) résume ainsi le fonctionnement de la biopolitique néolibérale et ce qui en fait l’efficacité dans la pensée de Foucault, efficacité dans le sens de « comment ça marche ». Le contrôle social, dit-elle, est « une économie du pouvoir qui gère la société en fonction de modèles normatifs » de l’appareil d’État et ses institutions. En même temps, pour qu’il ne soit pas que répression autoritaire, le contrôle social opère par l’intériorisation de la norme chez les individus, une « pénétration fine du pouvoir dans les mailles de la vie », que Foucault appelait le « pouvoir capillaire ». En tant que mode de connaissance, la biopolitique produit du savoir et donc, selon la formule consacrée, du pouvoir. D’une part, il y a le(s) savoir(s) qui alimente(nt) les gouvernants dans l’exercice du pouvoir. Les classifications et catégories toujours plus différenciées de la biopolitique produisent des individus objectivés d’une population à gérer, l’individu-objet sur lequel agissent les institutions de la gouvernance (Blais 2006). Sur ce point, Foucault rejoint des auteurs comme Illich (1975), Goffman (1968) et Castel (1981, 1979, 1977) qui ont analysé et exposé les effets contreproductifs, stigmatisants, assujettissants ou normalisants de la pensée et des pratiques classificatrices dès lors qu’elles enferment les individus dans des catégories. D’autre part, il y a le(s) savoir(s) qui alimente(nt) aussi les gouvernés dans leur rapport à la norme, dans les manières de l’intérioriser à travers les choix, décisions et pratiques qui tissent toute vie au quotidien. Un savoir qui produit ainsi un individu-sujet, un sujet pensant et agissant. En d’autres termes, le sujet émerge à travers les catégories qui le définissent. La biopolitique renvoie inévitablement à la question de la manière (ou l’art, dirait Foucault) de gouverner (Gros et al, 2013 : 6). À l’ère du numérique, du Big Data, des algorithmes, qui connaissent un essor global depuis la mort de Foucault en 1984, la notion de biopolitique est-t-elle encore un outil d’analyse efficace des modalités de contrôle et de gouvernement des populations? Pour certains, dont Pierre Dardot et Christian Laval (2016), ce passage du gouvernement des corps, c’est à dire à une forme de pouvoir qui s’exerce sur les corps par une surveillance individualisée, au gouvernement de soi-même implique un nouveau mode de gouvernance. Celui qui se met en place s’appuierait moins, argüent-ils, sur les normes et contrôles de la biopolitique, que sur l’idée de la liberté des sujets qu’il s’agit de gouverner par des incitations et mesures les laissant en apparence libres d’agir, en canalisant, voire en manipulant les intérêts des individus et des populations. C’est ce que Foucault appelait la « conduite des conduites ». Dardot et Laval donnent comme exemple de telles mesures celui du code de la route où la liberté est celle du « choix » du chemin et de la destination, mais selon les règles de la route (vitesse, permis, etc). D’autres diront que le pouvoir d’accumulation de masses de données par les Facebook, Google et autres grands joueurs de l’internet dessine un nouvel art de la gouvernance où la surveillance a cédé au profilage. D’un régime de normalisation on passe à un régime de neutralisation, soutient Antoinette Rouvroy (2018 : 63). Et pour Mondher Kilani, la biopolitique détient désormais un « … pouvoir démultiplié de surveillance et d’engloutissement des individus et des conscience,… » (Kilani, 2018 : 292). Il s’agit alors d’étudier les biopolitiques contemporaines là où elles se redéfinissent en permanence (Fassin, 2006 : 40). Si les catégories de la biopolitique ont tendance à objectiver les individus, elles contiennent aussi une source de re-subjectivation. Chez Foucault, le processus de re-subjectivation ne se réduit pas à l’individu : se défaire des marques objectivantes de la pensée et de la pratique classificatrice ne se fait pas seul. La création de nouvelles pratiques arrivent aussi par le bas, comme en témoigne l’impact des mouvements féministes, écologistes, homosexuels, transgenres, de personnes psychiatrisées….. C’est pourquoi Foucault s’intéressait aux micro-pratiques (dans les prisons, les milieux psychiatriques, etc) comme pratiques de liberté et lieux de dé-assujettissement. D’où l’importance pour les sciences humaines et sociales d’étudier et d’exposer les nouveaux modes opératoires de la biopolitique, mais aussi les micro-pratiques de résistance, de liberté, les contre-pouvoirs qui se créent dans les interstices de la société. Car la «vie politique» est constituée d’un débat permanent entre gouvernés et gouvernants (Gros et al, 2013 : 7).
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Hing, Nerilee, Alex MT Russell, Anna Thomas, and Rebecca Jenkinson. "Hey Big Spender: An Ecological Momentary Assessment of Sports and Race Betting Expenditure by Gambler Characteristics." Journal of Gambling Issues 42 (June 20, 2019). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2019.42.3.

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Abstract:
A major obstacle to understanding how expenditure varies amongst people who gamble is the difficulty of obtaining accurate expenditure data from individual gamblers. To overcome the shortcomings of retrospective self-reports, this study used a prospective ecological momentary assessment (EMA) design to capture these data every 24/48 hours. It aimed to examine 1) demographic, psychological, behavioural and contextual characteristics of high-spending sports and race bettors, and 2) the relationship between betting outlay and problem gambling severity. A baseline survey was completed by 320 regular sports bettors and 402 regular race bettors, followed by 15 EMA surveys over three non-consecutive weeks. Higher spending bettors were more likely to: be male, place more of their bets online, have higher disposable incomes, have commenced betting at a younger age, have more accounts with betting operators, and bet when affected by alcohol. The analyses confirmed the strong link between problem gambling severity and financial outlay on betting. Regular sports bettors experiencing gambling problems spent four times more, and those at moderate-risk spent three times more, than their non-problem gambling counterparts. Regular race bettors experiencing gambling problems spent three times more, and those at moderate-risk spent twice as much, as the non-problem gambling race bettors. These results suggest that regulatory and other initiatives that help bettors to limit or reduce their financial outlay on betting should be central to harm minimisation efforts, in order to reduce the growing number of bettors experiencing gambling problems and harm. Résumé Un des principaux obstacles à la compréhension de la variation des dépenses entre les joueurs est la difficulté d’obtenir des données précises sur les dépenses de la part de joueurs individuels. Pour pallier les faiblesses d’auto-évaluations rétrospectives, cette étude visait à utiliser un modèle d’évaluation écologique momentanée (EMA) prospective pour saisir ces données toutes les 24 à 48 heures, afin d’examiner 1) les caractéristiques démographiques, psychologiques, comportementales et contextuelles de gros parieurs de course et de paris sportifs et 2) la relation entre les dépenses de paris et la gravité du jeu problématique. Une enquête initiale a été réalisée auprès de 320 parieurs sportifs et de 402 parieurs de course réguliers, suivie de 15 sondages EMA sur trois semaines non consécutives. Les plus gros parieurs étaient plus susceptibles de: placer davantage de paris en ligne, d’avoir un revenu disponible plus élevé, d’avoir commencé à parier à un plus jeune âge, d’avoir davantage de comptes auprès d’opérateurs de paris et de parier sous l’influence de l’alcool. Les analyses ont confirmé le lien étroit qui existe entre la gravité du jeu problématique et les dépenses financières consacrées aux paris. Les parieurs sportifs réguliers aux prises avec des problèmes de jeu dépensaient quatre fois plus et ceux à risque modéré, trois fois plus, que leurs homologues sans problème de jeu. Les parieurs de course réguliers aux prises avec des problèmes de jeu dépensaient trois fois plus et ceux à risque modéré, deux fois plus, que leurs homologues sans problème de jeu. Ces résultats laissent entrevoir que les initiatives réglementaires et autres initiatives qui aident les parieurs à limiter ou à réduire leurs dépenses en paris devraient être au cœur des efforts de minimisation des préjudices, afin de réduire le nombre croissant de parieurs ayant des problèmes de jeu et de préjudices.
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Guilhaudis, Jean-François. "Armes nucléaires, puissances nucléaires, course aux armements, maîtrise des armements, désarmement." Paix et sécurité européenne et internationale Numéro 12 (June 15, 2019). http://dx.doi.org/10.61953/psei.1114.

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Abstract:
Soumission à Epi-revel Cet article poursuit la réflexion commencée dans PSEI 9 sur les perturbations affectant le dossier nucléaire. Deux tendances lourdes contradictoires se manifestent de plus en plus : la contestation grandissante des armes et des puissances nucléaires, dont le TIAN a été le résultat ainsi que l’élargissement et l’intensification de la course aux armements, dont témoignent la modernisation et le développement des arsenaux nucléaires. Ces deux tendances forment le contexte stratégique de la fin des années 2010. Elles expliquent largement les épisodes Nord-Coréen et iranien, qui représentent de très gros échecs du point de vue de la non-prolifération. Ces deux épisodes témoignent de la discorde, portée par la course aux armements, parmi les Etats dotés et ils l’alimentent. Il est inévitable, dans ces conditions, que le « cadre stratégique » établi entre les Etats-Unis et l’URSS/Russie, se délite de plus en plus et tende à prendre fin, ce qui pose la question de lui trouver un successeur. Une autre question, que l’on ose à peine poser, alors que toutes les perturbations qui se succèdent le font, est celle de l’avenir du TNP. This article continues the reflection begun in PSEI 9 on the disturbances affecting the nuclear file. Two major contradictory tendencies are increasingly apparent: the growing protest of nuclear weapons and nuclear powers, the result of which was the TIAN, and the widening and intensification of the arms race, the modernization and development of nuclear arsenals. These two trends form the strategic context for the late 2010’s. They largely explain the North Korean and Iranian episodes, which represent huge failures from a non-proliferation perspective. These two episodes bear witness to the discord, carried by the arms race, among the States endowed and they fuel it. It is inevitable, under these conditions, that the “strategic framework” established between the United States and the USSR/Russia, is increasingly delirious and tends to end, which raises the question of finding a successor for it. Another question, which we hardly dare ask, when all the disruptions in succession are doing so, is the future of the NPT. International audience
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Debaene, Vincent. "Anthropologie et littérature." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.090.

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Abstract:
Evoquer les rapports entre anthropologie et littérature, c'est un peu ouvrir la boîte de Pandore, en raison de la plasticité des deux termes en présence, particulièrement du second, en raison également de la charge affective dont ils sont investis. Le simple rapprochement des deux notions est invariablement porteur d'une réflexion sur la nature même de l'anthropologie et a souvent valeur polémique, ce qui explique en retour les réactions virulentes qu'il peut susciter. Qu'on prétende montrer la porosité de l'ethnologie et de la littérature ou qu'on veuille au contraire prémunir l'anthropologie de toute corruption littéraire, il s'agit toujours pour l'ethnologue de s'interroger sur sa propre pratique et de la définir. Il faut pourtant essayer d'y voir clair, et pour cela partir des études qui traitent effectivement de cette question en essayant d'abord d'y mettre de l'ordre. On peut distinguer trois cas ou trois façons d'articuler littérature et anthropologie: les études anthropologiques qui prennent la littérature orale ou écrite pour objet; les réflexions épistémologiques ou historiques qui envisagent la littérature et l'anthropologie comme des discours et s'interrogent sur les rapports que ces discours peuvent entretenir; les travaux, menés ou non par des anthropologues, qui cherchent un savoir anthropologique dans des œuvres considérées comme littéraires. La première de ces trois formes de mise en rapport n'est pas en tant que telle problématique; elle consiste à examiner dans une perspective anthropologique la littérature en tant qu'activité symbolique et culturelle valorisée par une société donnée. C'est à ce titre que la littérature orale est objet d'ethnologie depuis longtemps. On pourra seulement noter que les travaux qui, selon les mêmes principes, prendraient pour objet la littérature écrite des sociétés modernes sont plus rares. A cela il y a deux raisons évidentes: la production comme la consommation de littérature écrite sont très majoritairement solitaires et privées et se prêtent mal à une observation ethnographique classique. Cela n'a pas empêché certains anthropologues de refuser cette exclusion, par exemple en rétablissant la continuité entre tradition orale et poésie moderne (Casajus 2012) ou en proposant une ethnographie de la création littéraire, qui s'attache à la matérialité des pratiques des écrivains, aux formes de subjectivation par l'écriture ou à la sacralité propre à l'œuvre littéraire dans les sociétés modernes (Fabre 1999, 2014). La troisième ensemble de travaux décèle dans des corpus reconnus comme littéraires une ressource anthropologique. Là encore, il faut distinguer entre, d'une part, les études qui identifient dans les textes les jeux et les conflits entre formes culturelles hétérogènes (orale vs écrite, sacrée vs profane...) (c'est l'objet d'un courant des études littéraires, l'ethnocritique (Privat et Scarpa 2010)) et, d'autre part, les tentatives qui lisent les œuvres de la littérature comme porteuses d'un savoir anthropologique, voire de « leçons » à destination des ethnologues (Bensa et Pouillon 2012). Dans ces deux cas, la littérature est d'abord envisagée comme un corpus, dont la constitution n'est pas questionnée (en cela, ces analyses se distinguent de la sociologie de la littérature) et dont on montre la richesse et la densité telle qu'elles sont révélées par une approche ethnologiquement informée. Dans cette perspective, on a pu en particulier souligner les vertus d'une création fictionnelle qui permet, par variation imaginaire, de mettre en pleine lumière certaines déterminations anthropologiques (Jamin 2011, 2018). Mais la façon la plus fréquente d'articuler anthropologie et littérature, celle qui a donné lieu aux travaux les plus nombreux, consiste à considérer l'une et l'autre comme des discours, analogues ou rivaux, mais comparables dans leur rapport au lecteur et dans leur visée. Le gros de ces études s'est développé à partir des années 1980 et du tournant postmoderne de l'anthropologie. Il s'agissait alors d'attirer l'attention sur tout ce que l'anthropologie et la littérature ont en commun, dans un but plus général de dénonciation de l'objectivisme de la discipline. Contre l'idée que l'ethnographe est un observateur neutre d'une réalité sociale qu'il décrit et analyse, on a commencé par rappeler que son activité première n'est ni l'observation, ni la participation, ni l'interprétation, mais l'écriture (Geertz 1973). Dès lors, on a pu montrer que l'anthropologie relevait d'une poétique au même titre que la littérature des temps anciens (du temps où la poétique était prescriptive, la fabrication des œuvres reposant sur un certain nombre de règles à suivre) ou que la littérature des temps modernes (lorsque la poétique est devenu singulière et implicite, mais pouvait être reconstruite a posteriori par le critique à l'analyse des œuvres). Alors que l'anthropologie sociale s'était établie au 19e siècle par l'ambition de constituer en science le discours sur l'homme en société, tous les éléments considérés habituellement comme des marqueurs de scientificité se sont retrouvés mis en question par ces interrogations poétiques. Le dogme fondateur du refus de la fiction s'est trouvé d'abord fragilisé lorsque Clifford Geertz, réactivant l'étymologie du terme (du latin fingere, fabriquer, construire), a insisté sur la part d'imagination inhérente à l'écriture ethnographique, comparant la reconstruction des interactions sociales dans un univers donné au travail d'imagination de Gustave Flaubert dans Madame Bovary (Geertz 1973, 15-16). Puis ce dogme a été franchement remis en cause lorsque James Clifford, insistant davantage sur l'invention qu'exige un tel travail, a proposé d'envisager les travaux ethnographiques comme des constructions textuelles – true fictions et partial truths – à la fois, donc, partielles et partiales (Clifford 1986). Dans son sillage, on s'est plu à montrer que les anthropologues, comme les écrivains, avaient des « styles » (Geertz 1988) et, plus généralement, rétablir des continuités entre discours littéraire et discours anthropologique, retrouvant chez les anthropologues classiques des tropes, des modes de narration, des conceptions de soi et de l'autre, hérités de la poésie romantique, de la tradition du récit de voyage ou de celle du roman d'aventures. Ainsi a-t-on mis en évidence, par exemple, toute l'influence que l'œuvre de Joseph Conrad avait pu exercer sur celle de Bronislaw Malinowski (Clifford 1988b) ou l'articulation profonde entre projet anthropologique et ambition poétique chez Edward Sapir et Ruth Benedict (Handler 1986). Dès lors, la rupture entre anthropologie et littérature – moins affirmée par les fondateurs de la discipline que simplement postulée, puisqu'il était évident qu'en la consacrant comme science, on sortait l'anthropologie du monde des œuvres et de la belle parole – a pu apparaître non comme une coupure mais comme une dénégation. En niant qu'elle relevait d'une poétique, l'anthropologie niait surtout qu'elle relevait d'une politique (comme le souligne le sous-titre du célèbre recueil Writing Culture (Clifford et Marcus 1986)). Le questionnement poétique – qui interroge la fabrication des textes ethnographiques – s'est ainsi doublé d'un questionnement rhétorique, qui s'attache à la circulation de ces textes, aux déterminations pesant sur leur conception comme sur leur réception. On a souligné, dans les textes classiques de la discipline, le silence entourant les conditions d'obtention de l'information ou les rapports avec l'administration coloniale, l'éclipse des informateurs et des sources, le privilège accordé de facto au point de vue masculin, les déformations introduites par les exigences de l'univers académique de réception, etc. En écho avec d'autres réflexions épistémologiques soucieuses d'élucider les rapports entre projet anthropologique et projet colonial, la question de l'autorité ethnographique est devenue centrale, le discours et le texte anthropologiques apparaissant comme un des lieux majeurs où s'articulent savoir et pouvoir (Clifford 1988a). Dans cette perspective, la littérature « indigène » a pu être parfois promue non plus seulement comme une source mais bien comme la seule ethnographie véritable puisqu'elle échappe (censément) à toute appropriation autoritaire de la parole par une instance extérieure. Ces réflexions ont eu pour conséquence une certaine libération de l'écriture ethnographique, une plus grande réflexivité touchant les procédures de composition des textes, voire la promotion de modes de restitution et d'exposé inventifs et polyphoniques, prenant parfois pour modèle des formes anciennes de textualité ethnographique, antérieures à la stabilisation disciplinaire. Elles ont aussi suscité des critiques pour leur complaisance et parce qu'elles déplaçaient excessivement l'attention vers les pratiques des ethnographes au détriment de leurs objets, conduisant à une sorte de narcissisme de l'écriture (Bourdieu 1992). Dans tous les cas pourtant, malgré la prétention à reconnaître la part « littéraire » de l'ethnologie, il était en fait moins question de littérature que d'écriture de l'ethnographie. C'est en partie une conséquence du cadre anglo-américain dans lequel ces réflexions ont émergé. D'abord parce que, en anglais, les termes literature et literary ont un sens plus technique et instrumental qu'en français où le terme littérature désigne d'abord, dans l’usage courant tout au moins, sinon un canon, en tout cas une logique de consécration : seules les œuvres appartiennent de plein droit à la littérature. Que l'anthropologie exige un travail de l’écriture est une chose, que ce dispositif formel fasse une œuvre en est une autre (Debaene 2005). Ensuite, parce que ce prétendu « réveil littéraire de l'anthropologie » s'inscrit bon gré mal gré dans une conception herméneutique de la discipline et repose sur la conviction que « la philologie est, somme toute, l'ancêtre du 19e siècle commun à l'anthropologie et aux études littéraires » (Daniel et Peck 1996: 8, 11). Or si une telle construction généalogique est pertinente aux Etats-Unis, elle ne l'est pas partout, et les relations des ethnologues à la littérature (envisagée soit comme un corpus, soit comme une technique d'écriture) et aux études littéraires (envisagée soit comme un type d'approche, soit comme une discipline) varient beaucoup selon les lieux et les histoires disciplinaires nationales (Debaene 2010). S'il est vrai que l'anthropologie comme la littérature sont avant tout des réalités locales, alors il importe de comprendre que l'étude de leurs rapports ne relève pas premièrement d'un questionnement épistémologique mais d'abord d'une histoire de la culture.
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Auger, Reginald, and Allison Bain. "Anthropologie et archéologie." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.030.

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Abstract:
Les parcours sinueux qu’ont suivis l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord depuis une cinquantaine d’années démontrent des intérêts convergents pour la connaissance et l’explication du comportement humain et cela avec des méthodes de recherche de plus en plus divergentes. L’anthropologie qui a émergé des milieux intellectuels aux États-Unis au XIXe siècle avait pour origine l’intérêt pour la compréhension des populations autochtones de l’Amérique; de cet intérêt pour l’humain, se sont développés des outils pour comprendre le comportement qui se cachait derrière le geste posé. Dès le début, l’anthropologue s’intéressait aux comportements et l’archéologue documentait les traces du geste posé. De cette proximité entre l’anthropologie et l’archéologie qui s’est concrétisée par la création du Bureau of American Ethnology à la fin du XIXe siècle, il était naturel de placer la formation en archéologie au sein de départements d’anthropologie dans les universités aux États-Unis et au Canada. Malgré l’apparence initiale d’un champ unifié et d’un terrain partagé entre l’anthropologie et l’archéologie, la pratique s’est transformée pour devenir tout autre au fil des ans. Au milieu du XXe siècle, l’archéologie commence à remettre en question sa relation avec les interprétations fonctionnalistes des anthropologues (Trigger 2006 : 363-372). La première figure à souligner le problème de l’inéquation entre les résultats de la recherche archéologique et la théorie en anthropologie fut Walter Taylor (1948) dans son livre A Study of Archaeology. Taylor, le relativiste, exposa son penchant pour le particularisme historique dans une approche qu’il identifie comme étant conjonctive; pour ce chercheur iconoclaste, l’historiographie comptait pour beaucoup. L’approche conjonctive consistait à établir des corrélations entre différents types de données dans des contextes historiques et culturels spécifiques afin de faire le pont entre des particularités historiques (les collections archéologiques) et des données anthropologiques. La méthodologie qu’il proposait impliquait la vérification d’hypothèses par l’analyse de la composition et de la structure des collections archéologiques. L’objectif central de cette approche visait à mettre de l’avant des études contextuelles détaillées qui permettraient d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques. Dans sa formulation de l’approche conjonctive en archéologie et la vérification d’hypothèses, Taylor reconnaissait qu’une réflexion critique était nécessaire puisque l'archéologue travaillait dans le présent. En dépit de la richesse des collections archéologiques et constatant le danger qui planait sur l’archéologie si nous avions continué à publier des listes d’attributs de nos objets au lieu d’interpréter la culture matérielle comme étant la trace du comportement humain, dans un geste de médiation entre l’anthropologie et l’archéologie, Binford (1962) publiait son article portant le titre Archaeology as Anthropology. Comme il le signale dans son introduction son article qui faisait suite à un ouvrage venant d’être publié par Willey et Phillips (1958) où l’on mentionne clairement que l’archéologie américaine « c’est de l’anthropologie ou rien du tout ». Ce geste d’éclat dans une période charnière de l’enseignement de l’archéologie dans les universités nord-américaines allait donner naissance à un nouveau paradigme que l’on appela la New Archaeology aussi connue sous le nom d’archéologie processuelle. Un tel changement de paradigme venait en contradiction avec les pratiques européennes en matière d’archéologie préhistorique, notamment celles de l’École de Bordeaux et de François Bordes, son membre le plus influent, qui avait réussi à imposer sa vision sur le sens de la variabilité des outils en pierre du paléolithique moyen (Bordes 1961; 1984). Dans sa thèse de doctorat intitulée The Bordes-Binford Debate: Transatlantic Interpretive Traditions in Paleolithic Archaeology, Melissa C. Wargo (2009) présente une analyse en profondeur des modes de pensée qui diffèrent entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Essentiellement, le raisonnement traditionnel voulait que l’apparition d’une nouvelle culture archéologique (de nouveaux types) puisse signifier la manifestation d’un nouveau groupe de personnes, un groupe ethnique détectable avec les outils de l’archéologie. C’est ce que nous apprenions à la lecture des travaux de François Bordes sur les changements technologiques observés au paléolithique moyen. Lorsque Binford est parvenu à étudier les mêmes collections, il proposa des interprétations toutes autres. Ainsi, alors que pour Bordes, des outils différents représentent des groupes différents; si l’ensemble de l’assemblage ne peut être attribué à un groupe avoisinant, peut-être alors que certains éléments peuvent l’être. Et si de tels parallèles peuvent être établis, l’approche de Bordes a pour corollaire que c’est là le lieu d’origine de la population à l’étude et que nous serions en présence d’une diffusion de traits culturels à partir de la migration d’un groupe ethnique. Pour Binford, la différence dans la composition des assemblages devrait plutôt être interprétée comme étant le résultat d’adaptations; pour ce chercheur, les assemblages archéologiques sont des coffres d’outils adaptés pour une fonction particulière. Nonobstant la grande quantité de statistiques accumulées, Binford, de son propre aveu, admit qu’il fut incapable d’expliquer ce qu’elles signifiaient. En d’autres mots, il avait beaucoup d’information sur le présent mais ne pouvait l’expliquer par manque d’analogie avec le passé. En dépit de ces différences d’opinion, l’utilité de la typologie de Bordes réside dans le fait qu’elle fournissait un langage descriptif; cette typologie a cependant été par la suite rejetée par certains chercheurs qui considéraient que la définition des types de François Bordes était inadéquate parce que trop subjective. Pire encore, Bordes a été accusé d’incorporer dans ses interprétations des hypothèses non vérifiées sur les capacités cognitives des hominidés durant le paléolithique moyen. De nos jours, nos analyses de la technologie visent à remplacer cette approche typologique de Bordes par une méthode s’appuyant sur la combinaison d’attributs dont la description porte davantage sur le comportement. De toute évidence, le débat entre le promoteur de la New Archaeology et la figure de proue de l’archéologie française et son approche taxonomique en pierre a permis de mettre en évidence un malaise profond sur la façon dont le passé devrait être interprété. Ce débat est aussi emblématique de traditions scientifiques différentes entre l’Europe et l’Amérique du Nord. C’est dans ce contexte intellectuel que sont nés des départements d’anthropologie associant l’anthropologie culturelle, l’anthropologie biologique, la linguistique et l’archéologie. Ces quatre champs sont apparus à des moments bien précis de l’histoire des universités nord-américaines mais de nos jours, la réalité de l’anthropologie est devenue beaucoup plus complexe (Bruner 2010). Un étudiant en archéologie peut avoir des besoins de formation en géographie, en histoire, en géologie, en botanique, en biologie, en ethnohistoire, en systèmes d’information géographique, en informatique, etc. alors qu’un étudiant en anthropologie pour atteindre un niveau de compétence élevé pourrait avoir besoin de formation en histoire, en science politique, en sociologie, en art, en littérature, en théorie critique, etc. Malgré que les besoins aient grandement changé depuis la création des départements d’anthropologie, les structures académiques sont demeurées statiques. La protection des départements d’anthropologie dans leur configuration actuelle des quatre champs relève le plus souvent des politiques universitaires. Ainsi, même si les professeurs étaient d’accord qu’il serait intellectuellement plus profitable de scinder ces gros départements, la question de diviser les départements d’anthropologie en unités plus petites qui feraient la promotion de l’interdisciplinarité dans les sciences humaines et sociales n’est pas envisagée dans la plupart des universités nord-américaines (Smith 2011). Au milieu de cette tourmente, se sont développés un certain nombre de départements et de programmes d’archéologie en Amérique du Nord. De là est née une discipline émancipée du joug des structures trop rigides et se donnant un ensemble de méthodes de recherche qui lui étaient propres. La trajectoire conceptuelle empruntée par ceux-ci a permis de remonter au-delà du geste et de la parole en retenant une classe cohérente de concepts explicatifs développés, certes en anthropologie, mais raffinés et adaptés au contact de l’archéologie et d’autres disciplines en sciences humaine et sociales et sciences de la nature. Cette indépendance intellectuelle de l’anthropologie s’est notamment affirmée par des collaborations entre l’archéologie et la philosophie des sciences (Kelly et Hanen 1988; Salmon 1982; Wylie 2002; Wylie et Chapman 2015). La croissance de l’intérêt pour les explications processuelles des données archéologiques chez plusieurs archéologues nord-américains fut motivée par le fait que les néo-évolutionistes en anthropologie mettaient trop l'accent sur les régularités dans les cultures. Les concepts utilisés en archéologie processuelle exerçaient une influence significative sur notre discipline et l’adoption de cette approche théorique était d’autant plus attrayante car les variables proposées se présentaient comme des causes majeures de changements culturels et relativement accessibles à partir des vestiges archéologiques. Cette approche s'intensifia et donna de nouvelles directions aux tendances déjà présentes en archéologie préhistorique. Dans ce changement de paradigme qui donna naissance au courant de la Nouvelle Archéologie en Amérique du Nord et à un moindre degré au Royaume-Uni, l’accent était placé sur la vérification d’hypothèses sur les processus culturels comme outils d’explication du passé. De la position qu’elle occupait comme l’un des quatre sous-champs de l’anthropologie ou encore, de celle de servante de l’histoire, l’archéologie est devenue l’un des plus vastes champs du monde académique (Sabloff 2008 : 28). En plus d’avoir trouvé son ancrage théorique dans les sciences sociales et humaines, l’archéologie, attirée par les techniques et méthodes fraie régulièrement avec les sciences physiques et les sciences de la nature. En se donnant ses propres méthodes de collecte et d’analyse pour l’examen de cultures distinctes et en poursuivant avec des comparaisons interculturelles, la discipline cherchait à mieux comprendre les cultures qui se sont développées à travers le temps et l’espace. Puisque l’objet d’étude de l’archéologie porte sur les traces de groupes humains dans leur environnement naturel et leur univers social, les questions qu’elle se pose sont fondamentales à l’histoire de l’humanité et pour répondre à de telles questions elle s’est dotée de méthodologies d’enquête qui lui sont propres. L’utilisation d’équipements sophistiqués pour déterminer la composition chimique des résidus lipidiques incrustés sur un outil en pierre taillée ou encore, les recherches sur la composition physico-chimique de la pâte d’une céramique sont des techniques visant à répondre à des questions d’ordre anthropologique. Le quand et le comment du passé sont relativement faciles à identifier alors que pour découvrir le pourquoi l’archéologue fait souvent appel à l’analogie ethnographique, une méthodologie issue de l’insatisfaction des archéologues à l’endroit des travaux en anthropologie culturelle (David et Kramer 2001). Une autre méthodologie est celle de l’archéologie expérimentale qui s’intéresse à la fabrication et à l’usage des outils (Tringham 1978), méthode similaires à celle de l’ethnoarchéologie. L’expérimentation à partir d’outils fabriqués par le chercheur et les banques de données provenant d’expérimentations contrôlées servent alors d’éléments de comparaison pour interpréter la forme des assemblages archéologiques (Chabot et al. 2014) est au centre de la méthode préconissée. Le développement de l’ethnoarchéologie durant les années 1970 aurait inspiré Binford (1981) lorsqu’il mit de l’avant l’utilisation de théories de niveau intermédiaire pour établir un lien entre ses données archéologiques et les théories de niveau supérieur sur le comportement. Sa décision semble avoir reposé sur les développements de l’approche ethnoarchéologique et ses propres terrains ethnoarchéologiques chez les Nunamiut de l’Alaska (Binford 1978). D’autres orientations théoriques ont vu le jour au cours des années 1960–1970 et ont fait la distinction entre différentes approches matérialistes par rapport à des schémas évolutionnistes antérieurs. Par exemple, Leslie White (1975) adopta une forme de déterminisme technologique très étroit qui reflétait une croyance en la technologie comme source de progrès social. Julian Steward (1955) envisagea un déterminisme écologique moins restrictif alors que Marvin Harris (1968) y voyait un déterminisme économique encore plus large. Pour ces quelques positivistes le rôle que l’archéologie se devait de jouer était d’expliquer la culture matérielle du passé. Quant à l’archéologue Lewis Binford (1987), il soutenait que l’étude des relations entre le comportement humain et la culture matérielle ne devrait pas être le rôle central de l’archéologie puisque selon lui, les données ne contiendraient aucune information directe sur les relations entre le comportement humain et la culture matérielle. Dorénavant, les données archéologiques se devaient d’être comprises par elles-mêmes, sans avoir recours à des analogies ethnographiques. Cette dernière approche voulait clairement établir de la distance entre l’archéologie, l’anthropologie culturelle, l’ethnologie et peut-être les sciences sociales en général ; son mérite était peut-être, justement, d’éviter les réductionnismes et les analogies rapides entre explications anthropologiques et assemblages archéologiques. Dans la même veine, d’autres remises en question sont apparues durant les années 1980 avec les travaux d’Ian Hodder (1982; 1985) sur la validité des certitudes positivistes qui avaient été le fonds théorique et empirique des adeptes de la New Archaeology. Depuis cette réflexion sur l’essence même de l’archéologie, Hodder a reconnu qu’une position critique est fondamentale face à l’objet d’étude; naquit alors le courant théorique post-processuel en archéologie. Dans son cheminement pour découvrir la signification des vestiges qu’elle étudie, l’archéologie post-processuelle s’appuie sur des études détaillées permettant d’adapter des hypothèses générales sur la culture à des données spécifiques en exploitant la diversité des sources; cette direction du courant post-processuel en archéologie porte le nom d’archéologie contextuelle. Comme tout changement de paradigme apporte avec lui son lot de détracteurs, l’archéologie post-processuelle a été immédiatement accusée d’une trop grande subjectivité interprétative voire, de déconstructionisme. Les autres orientations placées sous le label archéologie post-processuelle incluent : le structuralisme, le néo-marxisme, l’archéologie cognitive, la phénoménologie, et d’autres encore Ainsi l’individu, l’agent ou l’acteur et son intentionnalité devrait être au centre des interprétations dans la théorie post-processuelle. Nous pouvons conclure que l’examen de la relation entre l’anthropologie et l’archéologie en Amérique du Nord a permis de constater que, depuis ses débuts, l’archéologie dans cette région du monde a vécu une liaison relativement tumultueuse avec l’anthropologie. Cette condition, souvent problématique, a vu naître, au Canada d’abord, des groupuscules d’archéologues avec des intérêts divergents qui se sont distanciés des paradigmes qui dominaient les départements d’anthropologie pour former des départements d’archéologie ou des programmes d’archéologie autonomes des programmes d’anthropologie. Sur les chemins empruntés ces nouveaux départements sont entrés en relation avec les départements de sciences naturelles, notamment, la géographie, avec laquelle les archéologues ont partagé un ensemble de concepts et de méthodes. Il en a résulté un enseignement de l’archéologie nettement interdisciplinaire et faisant appel à des méthodes quantitatives pour comprendre la culture matérielle dans son environnement naturel et expliquer son milieu culturel à partir de concepts empruntés aussi bien aux sciences humaines qu’aux sciences naturelles.
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Brackley du Bois, Ailsa. "Repairing the Disjointed Narrative of Ballarat's Theatre Royal." M/C Journal 20, no. 5 (October 13, 2017). http://dx.doi.org/10.5204/mcj.1296.

Full text
Abstract:
IntroductionBallarat’s Theatre Royal was the first permanent theatre built in inland Australia. Upon opening in 1858, it was acclaimed as having “the handsomest theatrical exterior in the colony” (Star, “Editorial” 7 Dec. 1889) and later acknowledged as “the grandest playhouse in all Australia” (Spielvogel, Papers Vol. 1 160). Born of Gold Rush optimism, the Royal was loved by many, yet the over-arching story of its ill-fated existence has failed to surface, in any coherent fashion, in official history. This article takes some first steps toward retrieving lost knowledge from fragmented archival records, and piecing together the story of why this purpose-built theatre ceased operation within a twenty-year period. A short history of the venue will be provided, to develop context. It will be argued that while a combination of factors, most of which were symptomatic of unfortunate timing, destroyed the longevity of the Royal, the principal problem was one of stigmatisation. This was an era in which the societal pressure to visibly conform to conservative values was intense and competition in the pursuit of profits was fierce.The cultural silence that befell the story of the Royal, after its demise, is explicable in relation to history being written by the victors and a loss of spokespeople since that time. As theatre arts historiographer McConachie (131) highlights, “Theatres, like places for worship and spectator sports, hold memories of the past in addition to providing a practical and cognitive framework for performance events in the present.” When that place, “a bounded area denoted by human agency and memory” (131), is lost in time, so too may be the socio-cultural lessons from the period, if not actively recalled and reconsidered. The purpose of this article is to present the beginning of an investigation into the disjointed narrative of Ballarat’s Theatre Royal. Its ultimate failure demonstrates how dominant community based entertainment became in Ballarat from the 1860s onwards, effectively crushing prospects for mid-range professional theatre. There is value in considering the evolution of the theatre’s lifespan and its possible legacy effects. The connection between historical consciousness and the performing arts culture of by-gone days offers potential to reveal specks of cross-relevance for regional Australian theatrical offerings today.In the BeginningThe proliferation of entertainment venues in Ballarat East during the 1850s was a consequence of the initial discovery of surface alluvial gold and the ongoing success of deep-lead mining activities in the immediate area. This attracted extraordinary numbers of people from all over the world who hoped to strike it rich. Given the tough nature of life on the early gold diggings, most disposable income was spent on evening entertainment. As a result, numerous venues sprang into operation to cater for demand. All were either canvas tents or makeshift wooden structures: vibrant in socio-cultural activity, however humble the presentation values. It is widely agreed (Withers, Bate and Brereton) that noteworthy improvements occurred from 1856 onwards in the artistry of the performers, audience tastes, the quality of theatrical structures and living standards in general. Residents began to make their exit from flood and fire prone Ballarat East, moving to Ballarat West. The Royal was the first substantial entertainment venture to be established in this new, affluent, government surveyed township area. Although the initial idea was to draw in some of the patronage which had flourished in Ballarat East, Brereton (14) believed “There can be no doubt that it was [primarily] intended to attract those with good taste and culture”. This article will contend that how society defined ‘good taste’ turned out to be problematic for the Royal.The tumultuous mid-1850s have attracted extensive academic and popular attention, primarily because they were colourful and politically significant times. The period thereafter has attracted little scholarly interest, unless tied to the history of surviving organisations. Four significant structures designed to incorporate theatrical entertainment were erected and opened in Ballarat from 1858 onwards: The Royal was swiftly followed by the Mechanics Institute 1859, Alfred Hall 1867 and Academy of Music 1874-75. As philosopher Albert Borgmann (41) highlighted, the erection of “magnificent settings in which the public could gather and enjoy itself” was the dominant urban aspiration for cultural consumption in the nineteenth century. Men of influence in Victorian cities believed strongly in progress and grand investments as a conscious demonstration of power, combined with Puritan vales, teetotalism and aggressive self-assertiveness (Briggs 287-88). At the ceremonial laying of the foundation stone for the Royal on 20 January 1858, eminent tragedian, Gustavos Brooke, announced “… may there be raised a superstructure perfect in all its parts, and honourable to the builder.” He proclaimed the memorial bottle to be “a lasting memento of the greatness of Ballarat in erecting such a theatre” and philosophised that “the stage not only refines the manners, but it is the best teacher of morals, for it is the truest and most intelligible picture of life. It stamps the image of virtue on the mind …” (Star, “Laying” 21 Jan. 1858). These initial aspirations seem somewhat ambitious when viewed with the benefit of hindsight. Ballarat’s Theatre Royal opened in December 1858, ironically with Jerrold’s comedy ‘Time Works Wonders’. The large auditorium holding around 1500 people “was crowded to overflowing and was considered altogether brilliant in its newness and beauty” by all in attendance (Star, “Local and General” 30 Dec. 1858). Generous descriptions abound of how splendid it was, in architectural terms, but also in relation to scenery, decorations and all appointments. Underneath the theatre were two shops, four bars, elegant dining rooms, a kitchen and 24 bedrooms. A large saloon was planned to be attached soon-after. The overall cost of the build was estimated at a substantial 10,000 pounds.The First Act: 1858-1864In the early years, the Royal was deemed a success. The pleasure-seeking public of Ballarat came en masse and the glory days seemed like they might continue unabated. By the early 1860s, Ballarat was known as a great theatrical centre for performing arts, its population was famous both nationally and internationally for an appreciation of good acting, and the Royal was considered the home of the best dramatic art in Ballarat (Withers 260). Like other theatres of the 1850s diggings, it had its own resident company of actors, musicians, scenic artists and backstage crew. Numerous acclaimed performers came to visit and these were prosperous and happy times for the Royal’s lively theatrical community. As early as 1859, however, there was evident rivalry between the Royal and the Mechanics Institute, as suggested on numerous occasions in the Ballarat Star. As a multi-purpose venue for education and the betterment of the working classes, the latter venue had the distinct advantage of holding the moral high ground. Over time this competition increased as audiences decreased. As people shifted to family-focussed entertainments, these absorbed their time and attention. The transformation of a transient population into a township of families ultimately suffocated prospects for professional entertainment in Ballarat. Consumer interest turned to the growth of strong amateur societies with the establishment of the Welsh Eisteddfod 1863; Harmonic Society 1864; Bell Ringers’ Club 1866 and Glee and Madrigal Union 1867 (Brereton 38). By 1863, the Royal was reported to have “scanty patronage” and Proprietor Symonds was in financial trouble (Star, “News and Notes” 15 Sep. 1864). It was announced that the theatre would open for the last time on Saturday, 29 October 1864 (Australasian). On that same date, the Royal was purchased by Rowlands & Lewis, the cordial makers. They promptly on-sold it to the Ballarat Temperance League, who soon discovered that there was a contract in place with Bouchier, the previous owner, who still held the hotel next door, stating that “all proprietors … were bound to keep it open as a theatre” (Withers 260-61). Having invested immense energy into the quest to purchase it, the Temperance League backed out of the deal. Prominent Hotelier Walter Craig bought it for less than 3,000 pounds. It is possible that this stymied effort to quell the distribution of liquor in the heart of the city evoked the ire of the Protestant community, who were on a dedicated mission “to attack widespread drunkenness, profligacy, licentiousness and agnosticism,” and forming an interdenominational Bible and Tract Society in 1866 (Bate 176). This caused a segment of the population to consider the Royal a ‘lost cause’ and steer clear of it, advising ‘respectable’ families to do the same, and so the stigma grew. Social solidarity of this type had significant impact in an era in which people openly demonstrated their morality by way of unified public actions.The Second Act: 1865-1868The Royal closed for renovations until May 1865. Of the various alterations made to the interior and its fittings, the most telling was the effort to separate the ladies from the ‘town women’, presumably to reassure ‘respectable’ female patrons. To this end, a ladies’ retiring room was added, in a position convenient to the dress circle. The architectural rejuvenation of the Royal was cited as an illustration of great progress in Sturt Street (Ballarat Star, “News and Notes” 27 May 1865). Soon after, the Royal hosted the Italian Opera Company.However, by 1866 there was speculation that the Royal may be converted into a dry goods store. References to what sort of impression the failing of theatre would convey to the “old folks at home” in relation to “progress in civilisation'' and "social habits" indicated the distress of loyal theatre-goers. Impassioned pleas were written to the press to help preserve the “Temple of Thespus” for the legitimate use for which it was intended (Ballarat Star, “Messenger” and “Letters to the Editor” 30 Aug. 1866). By late 1867, a third venue materialised. The Alfred Hall was built for the reception of Ballarat’s first Royal visitor, the Duke of Edinburgh. On the night prior to the grand day at the Alfred, following a private dinner at Craig’s Hotel, Prince Alfred was led by an escorted torchlight procession to a gala performance at Craig’s very own Theatre Royal. The Prince’s arrival caused a sensation that completely disrupted the show (Spielvogel, Papers Vol. 1 165). While visiting Ballarat, the Prince laid the stone for the new Temperance Hall (Bate 159). This would not have been required had the League secured the Royal for their use three years earlier.Thereafter, the Royal was unable to reach the heights of what Brereton (15) calls the “Golden Age of Ballarat Theatre” from 1855 to 1865. Notably, the Mechanics Institute also experienced financial constraints during the 1860s and these challenges were magnified during the 1870s (Hazelwood 89). The late sixties saw the Royal reduced to the ‘ordinary’ in terms of the calibre of productions (Brereton 15). Having done his best to improve the physical attributes and prestige of the venue, Craig may have realised he was up against a growing stigma and considerable competition. He sold the Royal to R.S. Mitchell for 5,500 pounds in 1868.Another New Owner: 1869-1873For the Saturday performance of Richard III in 1869, under the new Proprietor, it was reported that “From pit to gallery every seat was full” and for many it was standing room only (Ballarat Star, “Theatre Royal” 1 Feb. 1869). Later that year, Othello attracted people with “a critical appreciation of histrionic matters” (Ballarat Star, “News and Notes” 19 July 1869). The situation appeared briefly promising. Unfortunately, larger economic factors were soon at play. During 1869, Ballarat went ‘mad’ with mine share gambling. In 1870 the economic bubble burst, and hundreds of people in Ballarat were financially ruined. Over the next ten years the population fell from 60,000 to less than 40,000 (Spielvogel, Papers Vol. 3 39). The last surviving theatre in Ballarat East, the much-loved Charles Napier, put on its final show in September 1869 (Brereton 15). By 1870 the Royal was referred to as a “second-class theatre” and was said to be such bad repute that “it would be most difficult to draw respectable classes” (Ballarat Star, “News and Notes” 17 Jan. 1870). It seems the remaining theatre patrons from the East swung over to support the Royal, which wasn’t necessarily in the best interests of its reputation. During this same period, family-oriented crowds of “the pleasure-seeking public of Ballarat” were attending events at the newly fashionable Alfred Hall (Ballarat Courier, “Theatre Royal” June 1870). There were occasional high points still to come for the Royal. In 1872, opera drew a crowded house “even to the last night of the season” which according to the press, “gave proof, if proof were wanting, that the people of Ballarat not only appreciate, but are willing to patronise to the full any high-class entertainment” (Ballarat Courier, “Theatre Royal” 26 Aug. 1872). The difficulty, however, lay in the deterioration of the Royal’s reputation. It had developed negative connotations among local temperance and morality movements, along with their extensive family, friendship and business networks. Regarding collective consumption, sociologist John Urry wrote “for those engaged in the collective tourist gaze … congregation is paramount” (140). Applying this socio-cultural principle to the behaviour of Victorian theatre-going audiences of the 1870s, it was compelling for audiences to move with the masses and support popular events at the fresh Alfred Hall rather than the fading Royal. Large crowds jostling for elbow room was perceived as the hallmark of a successful event back then, as is most often the case now.The Third Act: 1874-1878An additional complication faced by the Royal was the long-term effect of the application of straw across the ceiling. Acoustics were initially poor, and straw was intended to rectify the problem. This caused the venue to develop a reputation for being stuffy and led to the further indignity of the Royal suffering an infestation of fleas (Jenkins 22); a misfortune which caused some to label it “The Royal Bug House” (Reid 117). Considering how much food was thrown at the stage in this era, it is not surprising that rotten debris attracted insects. In 1873, the Royal closed for another round of renovations. The interior was redesigned, and the front demolished and rebuilt. This was primarily to create retail store frontage to supplement income (Reid 117). It was reported that the best theatrical frontage in Australasia was lost, and in its place was “a modestly handsome elevation” for which all play-goers of Ballarat should be thankful, as the miracle required of the rebuild was that of “exorcising the foul smells from the old theatre and making it bright and pretty and sweet” (Ballarat Star, “News and Notes” 26 Jan. 1874). The effort at rejuvenation seemed effective for a period. A “large and respectable audience” turned out to see the Fakir of Oolu, master of the weird, mystical, and strange. The magician’s show “was received with cheers from all parts of the house, and is certainly a very attractive novelty” (Ballarat Courier, “Theatre Royal” 29 Mar. 1875). That same day, the Combination Star Company gave a concert at the Mechanics Institute. Indicating the competitive tussle, the press stated: “The attendance, however, doubtless owing to attractions elsewhere, was only moderately large” (Courier, “Concert at the Mechanics’” 29 Mar. 1875). In the early 1870s, there had been calls from sectors of society for a new venue to be built in Ballarat, consistent with its status. The developer and proprietor, Sir William Clarke, intended to offer a “higher class” of entertainment for up to 1700 people, superior to the “broad farces” at the Royal (Freund n.p.) In 1875, the Academy of Music opened, at a cost of twelve thousand pounds, just one block away from the Royal.As the decade of decreasing population wore on, it is intriguing to consider an unprecedented “riotous” incident in 1877. Levity's Original Royal Marionettes opened at the Royal with ‘Beauty and the Beast’ to calamitous response. The Company Managers, Wittington & Lovell made clear that the performance had scarcely commenced when the “storm” arose and they believed “the assault to be premeditated” (Wittington and Lovell in Argus, “The Riot” 6 Apr. 1877). Paid thuggery, with the intent of spooking regular patrons, was the implication. They pointed out that “It is evident that the ringleaders of the riot came into the theatre ready armed with every variety of missiles calculated to get a good hit at the figures and scenery, and thereby create a disturbance.” The mob assaulted the stage with “head-breaking” lemonade bottles, causing costly damage, then chased the frightened puppeteers down Sturt Street (Mount Alexander Mail, “Items of News” 4 Apr. 1877). The following night’s performance, by contrast, was perfectly calm (Ballarat Star, “News and Notes” 7 Apr. 1877). Just three months later, Webb’s Royal Marionette pantomimes appeared at the Mechanics’ Institute. The press wrote “this is not to be confounded, with the exhibition which created something like a riot at the Theatre Royal last Easter” (Ballarat Star, “News and Notes” 5 July 1877).The final performance at the Royal was the American Rockerfellers’ Minstrel Company. The last newspaper references to the Royal were placed in the context of other “treats in store” at The Academy of Music, and forthcoming offerings at the Mechanics Institute (Star, “Advertising” 3 July 1878). The Royal had experienced three re-openings and a series of short-term managements, often ending in loss or even bankruptcy. When it wound up, investors were left to cover the losses, while the owner was forced to find more profitable uses for the building (Freund n.p.). At face value, it seemed that four performing arts venues was one too many for Ballarat audiences to support. By August 1878 the Royal’s two shop fronts were up for lease. Thereafter, the building was given over entirely to retail drapery sales (Withers 260). ReflectionsThe Royal was erected, at enormous expense, in a moment of unbridled optimism, after several popular theatres in Ballarat East had burned to the ground. Ultimately the timing for such a lavish investment was poor. It suffered an inflexible old-fashioned structure, high overheads, ongoing staffing costs, changing demographics, economic crisis, increased competition, decreased population, the growth of local community-based theatre, temperance agitation and the impact of negative rumour and hear-say.The struggles endured by the various owners and managers of, and investors in, the Royal reflected broader changes within the larger community. The tension between the fixed nature of the place and the fluid needs of the public was problematic. Shifting demographics meant the Royal was negatively affected by conservative values, altered tastes and competing entertainment options. Built in the 1850s, it was sound, but structurally rigid, dated and polluted with the bacterial irritations of the times. “Resident professional companies could not compete with those touring from Melbourne” by whom it was considered “… hard to use and did not satisfy the needs of touring companies who required facilities equivalent to those in the metropolitan theatres” (Freund n.p.). Meanwhile, the prevalence of fund-raising concerts, created by charitable groups and member based community organisations, detracted from people’s interest in supporting professional performances. After-all, amateur concerts enabled families to “embrace the values of British middle class morality” (Doggett 295) at a safe distance from grog shops and saloons. Children aged 5-14 constituted only ten percent of the Ballarat population in 1857, but by 1871 settler families had created a population in which school aged children comprised twenty-five of the whole (Bate 146). This had significant ramifications for the type of theatrical entertainments required. By the late sixties, as many as 2000 children would perform at a time, and therefore entrance fees were able to be kept at affordable levels for extended family members. Just one year after the demise of the Royal, a new secular improvement society became active, holding amateur events and expanding over time to become what we now know as the Royal South Street Society. This showed that the appetite for home-grown entertainment was indeed sizeable. It was a function that the Royal was unable to service, despite several ardent attempts. Conclusion The greatest misfortune of the Royal was that it became stigmatised, from the mid 1860s onwards. In an era when people were either attempting to be pure of manners or were considered socially undesirable, it was hard for a cultural venue to survive which occupied the commercial middle ground, as the Royal did. It is also conceivable that the Royal was ‘framed’, by one or two of its competitor venues, or their allies, just one year before its closure. The Theatre Royal’s negative stigma as a venue for rough and intemperate human remnants of early Ballarat East had proven insurmountable. The Royal’s awkward position between high-class entrepreneurial culture and wholesome family-based community values, both of which were considered tasteful, left it out-of-step with the times and vulnerable to the judgement of those with either vested interests or social commitments elsewhere. This had long-term resonance for the subsequent development of entertainment options within Ballarat, placing the pendulum of favour either on elite theatre or accessible community based entertainments. The cultural middle-ground was sparse. The eventual loss of the building, the physical place of so much dramatic energy and emotion, as fondly recalled by Withers (260), inevitably contributed to the Royal fading from intergenerational memory. The telling of the ‘real story’ behind the rise and fall of the Ballarat Theatre Royal requires further exploration. If contemporary cultural industries are genuinely concerned “with the re-presentation of the supposed history and culture of a place”, as Urry believed (154), then untold stories such as that of Ballarat’s Theatre Royal require scholarly attention. This article represents the first attempt to examine its troubled history in a holistic fashion and locate it within a context ripe for cultural analysis.ReferencesBate, Weston. Lucky City: The First Generation at Ballarat 1851–1901. Carlton South: Melbourne UP, 1978.Brereton, Roslyn. Entertainment and Recreation on the Victorian Goldfields in the 1850s. BA (Honours) Thesis. 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