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Journal articles on the topic 'Concentré de protéines de poisson'

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Ndrianaivo, Elia N., Louisette Razanamparany, and J. P. Bergé. "Amélioration de la qualité du poisson fumé/séché, aliment accessible pour tous à Madagascar." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 3 (June 30, 2015): 107. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10171.

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Abstract:
Madagascar produit 5 900 tonnes de poissons fumés/séchés par an. Ces produits riches en protéines et à prix abordable se conservent facilement à température ambiante. Les poissons fumés/séchés sont prisés par la population malgache à faible revenu mais restent encore mal connus des consommateurs. De plus, l’infestation par les insectes entrave la conservation de ces produits. L’étude a eu pour but d’évaluer les caractéristiques de ces poissons, puis d’améliorer les méthodes ancestrales de fabrication et de conservation.Les analyses physico-chimiques et biochimiques ont été effec­tuées par des méthodes usuelles de dosage des composants ali­mentaires (tableau I). Une chromatographie en phase gazeuse a permis d’établir les profils acides aminés et acides gras des échantillons. Un jury spécialisé dans les produits halieutiques a participé aux analyses sensorielles.Le poisson fumé/séché contient moins de 10 p. 100 d’eau, per­mettant une conservation de 60 jours à température ambiante. Cet aliment riche en protéines (> 55 p. 100) (tableau I) renferme des teneurs élevées en acides aminés essentiels (entre 19 et 23 p. 100) (tableau II). Source de lipides (16 à 22 p. 100), il com­prend des acides gras insaturés, comme les acides oléique, lino­léique et arachidonique. Il s’oxyde toutefois facilement (indice totox : 181) ce qui influe sur les caractéristiques sensorielles : odeur rance, un peu aigre. L’odeur de fumée est peu intense car la teneur en phénols totaux est faible (0,2 à 1,1 mg/100 g) (4). Après cuisson, une odeur et une saveur caractéristiques de poulet se développent. Ces produits sont parfois riches en hydro­carbures aromatiques polycycliques (HAP), comme le benzopy­rène, nocifs pour l’homme (tableau III) (2). Les teneurs mesurées ici allaient jusqu’à 7 μg/kg, valeur bien supérieure à la limite recommandée de 2 μg/kg. D’autre part, ces produits pouvaient être infestés par des insectes.Des matériels pilotes, une tente solaire et un fumoir métallique, ont été construits et testés (1, 6). La tente solaire a limité l’in­festation par les insectes et le fumoir a permis de concentrer la fumée, contribuant à un fumage plus intense (9,4 mg/100 g de phénols totaux) et à une diminution de la teneur en HAP (réduite à 0,5 μg/kg) grâce à une meilleure maîtrise de la pyro­lyse (tableau III) (5). L’odeur et le goût de poulet étaient toujours présents avec une odeur de fumée plus accentuée. L’odeur rance a été atténuée. Un salage à 8 p. 100 a favorisé la conservation du produit en limitant la prolifération des insectes (3). Le poisson fumé/séché a gardé ses qualités nutritionnelles, ses caractéris­tiques organoleptiques ont été améliorées et la toxicité a été fortement réduite. L’utilisation d’autres matériels de séchage et de stockage permettant de lutter contre l’infestation des insectes est envisageable.
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Gault, P., M. Mahaut, and J. Korolczuk. "Caractéristiques rhéologiques et gélification thermique du concentré de protéines de lactosérum." Le Lait 70, no. 3 (1990): 217–32. http://dx.doi.org/10.1051/lait:1990318.

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HODEN, A., L. DELABY, and B. MARQUIS. "Pois protéagineux comme concentré unique pour vaches laitières." INRAE Productions Animales 5, no. 1 (February 28, 1992): 37–42. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.1.4220.

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Abstract:
Deux rations complètes équilibrées à base d’ensilage de maïs comportant des apports iso-énergétiques d’aliments concentrés témoin classique (1 UFL/kg MS et 115 PDIE/UFL) ou expérimental (pois protéagineux) offertes en quantités limitées ont été comparées. Les apports nutritifs (UFL - PDI) ont été prédéterminés de façon à satisfaire sans excès les besoins des animaux. Selon un schéma expérimental en inversion comportant 2 périodes de 7 semaines, un total de 21 vaches en milieu de lactation (80 % primipares) réparties en 2 lots a reçu l’une ou l’autre de ces rations. Pour des apports moyens de 5,4 kg MS de concentré témoin ou de 4,6 kg MS de pois protéagineux, les quantités ingérées totales ont été identiques (3,08 kg MS % kg de poids vif). Les apports énergétiques ont été comparables (15,6 UFL/j) et ceux de PDI ont été sensiblement plus faibles pour la ration comportant le pois protéagineux. Les bilans énergétiques ont été légèrement excédentaires, surtout pour le traitement expérimental (+ 0,7 UFL). Les bilans PDI sont à l’opposé déficitaires, en particulier pour la ration comportant le pois protéagineux (-130 g contre - 55 g pour le témoin). Pour les 2 traitements, les productions de lait, de matières grasses et de protéines ont été comparables et en moyenne de 23,5 kg, 948 g et 692 g par jour respectivement. La composition du lait a aussi été identique mais les taux protéiques ont été faibles par rapport aux taux butyreux (30 vs 41 g/kg respectivement). Les vaches les plus fortes productrices ont cependant diminué plus fortement leur production de lait 4 % (P < 0,07), de matières grasses (P < 0,02) et le taux butyreux (P < 0,02) lorsqu’elles ont reçu le pois protéagineux. En conclusion, il est possible de valoriser des quantités importantes de pois protéagineux jusqu’à des niveaux de production de 25 à 30 kg de lait par jour. Pour les productions supérieures, il sera nécessaire d’apporter simultanément des protéines de qualité.
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4

Paniagua-Michel, J., E. Dujardin, and Cyril Sironval. "Le Tecuitlatl, concentré de spirulines, source de protéines comestibles chez les Aztèques." Bulletin de la Classe des sciences 3, no. 10 (1992): 253–63. http://dx.doi.org/10.3406/barb.1992.27389.

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5

DELABY, L., J. L. PEYRAUD, and R. DELAGARDE. "Faut-il complémenter les vaches laitières au pâturage ?" INRAE Productions Animales 16, no. 3 (June 11, 2003): 183–95. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2003.16.3.3659.

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Abstract:
L’herbe pâturée est un fourrage de valeur nutritive élevée, peu coûteux à produire et à récolter et qui peut constituer le seul aliment de la ration de la vache laitière. En l’absence de toute complémentation, la production et la composition du lait d’une vache laitière au pâturage dépend d’abord de l’animal et de son potentiel au moment de la mise à l’herbe. Mais les conditions de pâturage (chargement, hauteur en début et fin de parcelle) imposées par l’éleveur pour valoriser au mieux l’herbe produite ne permettent pas aux vaches laitières de satisfaire la totalité de leurs besoins énergétiques. En conséquence, l’apport de concentré est aujourd’hui plus efficace que par le passé et des réponses de 1 kg de lait par kg de concentré, accompagnées d’une baisse du taux butyreux et d’une augmentation du taux protéique, sont souvent rapportées. Les travaux récents conduits à l’INRA montrent que cette efficacité varie peu dans les conditions habituelles de pâturage. De même, dans le cas d’apport identique de concentré entre vaches, l’efficacité semble indépendante du niveau de production entre 25 et 45 kg de lait par jour à la mise à l’herbe. Ces résultats permettent de proposer des simplifications dans les modalités d’attribution du concentré au pâturage. Comme en alimentation hivernale, la nature de l’énergie du concentré n’a réellement d’influence sur la composition du lait (taux butyreux) que pour des quantités élevées, supérieures à 5 kg de concentré. L’incorporation de matières premières riches en protéines, même protégées, ne se justifie que dans le cas d’herbe pâturée pauvre en azote. L’apport de fourrages complémentaires au pâturage présente peu d’intérêt et, dans la pratique, contribue souvent à une dégradation des conditions de pâturage. Seules les situations de pénurie fourragère ou de chargement très élevé permettent de bien valoriser à la fois l’herbe pâturée et les fourrages conservés distribués en complément.
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SAUVANT, D., and P. NOZIÈRE. "La quantification des principaux phénomènes digestifs chez les ruminants : les relations utilisées pour rénover les systèmes d’unités d’alimentation énergétique et protéique." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 327–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3162.

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Abstract:
L’évolution des systèmes d’unités d’alimentation des ruminants vers des systèmes de lois de réponses multiples nécessite d’actualiser le calcul des apports nutritifs à l’animal, afin de le rendre plus précis sur les unités agrégées (UF et PDI) et plus évolutif (prédiction des nutriments absorbés). Cette actualisation est basée sur la construction et l’interprétation par méta-analyse, de larges bases de données sur la digestion et la nutrition des ruminants. Les différentes équations utilisées pour le calcul des apports UF et PDI ont ainsi été mises à jour, ce qui permet en particulier : i) de prévoir le transit des particules et des liquides en fonction du niveau d’ingestion et de la proportion de concentré, et de prendre en compte les variations de transit dans le calcul des dégradations des protéines et de l’amidon dans le rumen, estimées à partir des données issues de mesures in situ; ii) de prendre en compte les effets des principaux facteurs d’interactions digestives (niveau d’ingestion, proportion de concentré, balance protéique du rumen) sur la digestibilité de la matière organique, les pertes d’énergie sous forme de méthane et sous forme d’urine ; iii) de calculer plus précisément l’énergie disponible dans le rumen et son efficacité d’utilisation pour la synthèse de protéines microbiennes. Ce modèle rénové de la digestion chez les ruminants conduit à considérer que les valeurs UF et PDI des aliments varient en fonction de la ration dans laquelle ils sont incorporés, les valeurs des tables étant indicatives. Il est ainsi possible de prédire plus précisément les apports sur une plus large gamme de régimes, et en particulier de mieux traiter des interactions entre les apports en énergie et en protéines.
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COULON, J. B., P. D’HOUR, M. PETIT, E. ALBARET, and M. JAWOREK. "Niveau et répartition des apports de concentré hivernaux chez la vache laitière. Résultats sur primipares." INRAE Productions Animales 3, no. 5 (December 10, 1990): 319–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1990.3.5.4390.

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Abstract:
Cent dix neuf vaches laitières en première lactation ayant vêlé en moyenne le 6 décembre ont été utilisées au cours d’un essai conduit 3 années consécutives. Au cours de l’hiver, tous les animaux recevaient une ration de base composée d’ensilage d’herbe (à volonté) et de foin (4 kg/j). Chaque année 5 lots ont été constitues : 3 niveaux d’apport de concentré au cours de la période hivernale (haut H, moyen M et bas B), et pour chacun des 2 niveaux inférieurs, 2 modes de répartition du concentré (classique (C) ou uniforme (U)), ont été comparés. Au pâturage toutes les vaches ont été conduites ensemble. Au cours de la période expérimentale (semaine 4 à 18 de lactation), les vaches du lot H et des lots M et B ont ingéré respectivement 6,3, 4,8 et 3,5 kg MS/j de concentré et 9,2, 9,5 et 9,8 kg MS/j de fourrages. Les vaches du lot H ont produit en moyenne plus de lait (1,2 et 3,1 kg/j par rapport a celles des lots MC et BC), lait d’une teneur plus élevée en protéines (+ 0,6 et + 1,7 g/kg). Au cours de l’hiver, les variations de poids vifs ont été respectivement de + 1, - 26 et - 39 kg dans les lots H, M et B. A l’échelle de la lactation (305 j) les écarts de production atteignent 169 et 577 kg pour des écarts d’apport de concentré de 202 et 420 kg MS. Il n’y a pas eu d’effet significatif du mode de répartition du concentré sur les performances des animaux. Ces résultats sont discutes en fonction du niveau de production des animaux, et de leur conséquence sur leur carrière ultérieure.
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Munza, B. M., M. R. Hassan, R. J. Tanko, S. M. Yashim, and D. Y. Salihu. "Effect of feeding regime on growth performance of growing Yankasa rams fed basal diet of sorghum hay or silage supplemented with concentrate." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 3 (March 6, 2021): 162–72. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2963.

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Abstract:
Smallholder farmers in sub-Saharan Africa offer their stocks little or no supplementary feed but depend mostly on native pastures which are in low nutrient quality. The study was aimed at evaluating the effect of feeding regime on growth performance, nutrient metabolism, rumen indices and economics of production of Yankasa rams fed basal diets of grain sorghum hay or silage supplemented with concentrate. Sixteen growing Yankasa rams weighed 17.0±0.2 kg were randomly assigned to four feeding regime treatment: T1 = Sorghum hay + concentrate daily, T2 = Sorghum silage + concentrate daily, T3 = Sorghum silage + concentrate after 1-day and T4 = Sorghum silage + concentrate after 2-days. The parameters measured were hay intake, concentrate intake, total feed intake, daily feed intake, initial weight, final weight, weight gain, daily weight gain, feed conversion ratio (FCR), apparent nutrient digestibility, nitrogen balance and costs-benefit. The result showed that hay intake (25.28 – 29.23 kg), concentrate intake (6.19 – 19.41 kg), total feed intake (35.41 – 48.47 kg), daily weight gain (0.04 – 0.05 kg) and weight gain (2.85 – 3.35 kg) were significantly (P<0.05) affected by the feeding regime with rams fed silage + concentrate daily recording higher values. Better FCR was obtained in rams fed silage + concentrate after 2-days. Dry matter (79.22%), crude protein (85.59%), NDF (75.30%) and ADF (78.02%) digestibility coefficients were higher (P<0.05) for rams fed silage + concentrate after 1-day (every other day). The percentage of nitrogen absorbed and retained were higher (P<0.05) in rams fed silage + concentrate after 1-day (85.62 and 82.72%, respectively). The cost per kg gain of N1046.40 for rams fed hay + concentrate daily was significantly (P <0.05) lower than the cost per kg gain of other feeding regimes. It can be concluded that sorghum silage could be fed alongside concentrate daily for improved feed intake and weight gain, but for better cost-efficiency, it is recommended that farmers should feed hay and supplement concentrate daily to rams. Les petits exploitants agricoles d'Afrique subsaharienne offrent peu ou pas d'aliments supplémentaires à leurs stocks, mais dépendent principalement de pâturages indigènes de faible qualité nutritive. L'étude visait à évaluer l'effet du régime alimentaire sur la performance de croissance, le métabolisme des nutriments, les indices rumen et l'économie de la production de béliers Yankasa nourris à des régimes basaux de foin de sorgho de grain ou d'ensilage complétés par du concentré. Seize béliers Yankasa en croissance pesaient 17,0±0,2 kg ont été assignés au hasard à quatre traitements du régime alimentaire : T1 = foin de Sorgho + concentré tous les jours, T2 = ensilage de Sorgho + concentré tous les jours, T3 de Sorgho + concentré après 1 jour et T4 = ensilage de Sorgho + concentré après 2 jours. Les paramètres mesurés étaient l'apport en foin, l'apport en concentré, la consommation totale d'aliments pour animaux, l'apport quotidien en aliments pour animaux, le poids initial, le poids final, le gain de poids quotidien, le rapport de conversion des aliments pour animaux (FCR), la digestibilité apparente des éléments nutritifs, l'équilibre azoté et les coûts-avantages. Le résultat a montré que l'apport en foin (25.28 à 29.23 kg), l'apport en concentré (6.19 à 19.41 kg), la consommation totale d'aliments (35.41 à 48.47 kg), le gain de poids quotidien (0,04 à 0,05 kg) et le gain de poids (2.85 à 3.35 kg) ont été considérablement (P<0.05) affectés par le régime d'alimentation avec des béliers nourris à l'ensilage + concentré enregistrant quotidiennement des valeurs plus élevées. Un meilleur FCR a été obtenu dans l'ensilage alimenté par bélier + concentré après 2 jours. Matière sèche (79.22 %), protéines brutes (85.59 %), NDF (75.30 %) et ADF (78.02%) les coefficients de digestibilité étaient plus élevés (P<0.05) pour les béliers nourris à l'ensilage après 1 jour (tous les deux jours). Le pourcentage d'azote absorbé et retenu était plus élevé (P<0.05) chez les béliers nourris à l'ensilage + concentré après 1 jour (85.62 et 82.72 %, respectivement). Le gain par kg de N1046.40 pour les béliers nourris quotidiennement au foin + concentré était significativement (P <0.05) inférieur au coût par kg de gain des autres régimes alimentaires. On peut conclure que l'ensilage de sorgho pourrait être alimenté aux côtés du concentré quotidien pour améliorer l'apport alimentaire et le gain de poids, mais pour une meilleure rentabilité, il est recommandé que les agriculteurs nourrissent le foin et complètent le concentré quotidiennement aux béliers
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CAHU, C. "Domestication et fonction nutrition chez les poissons." INRAE Productions Animales 17, no. 3 (July 29, 2004): 205–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.3.3593.

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Abstract:
L’objectif de cet article est d’évaluer dans quelle mesure l’étude du régime alimentaire des poissons peut indiquer les possibilités et les contraintes liées à leur domestication. Bien que le régime naturel des poissons semble désavantageux pour la domestication, puisque leur besoin en protéines est élevé, différentes espèces peuvent être considérées comme domestiquées. Ces espèces peuvent être aussi bien herbivores, détritivores et omnivores que carnivores. De la même façon, l’étude des caractéristiques anatomiques digestives -présence ou non d’un estomac, longueur de l’intestin- montre de grandes différences entre espèces, mais ne permet pas d’identifier un groupe d’espèces qui serait plus apte à la domestication. L’étude des besoins nutritionnels montre que quelques espèces peuvent utiliser les protéines d’origine végétale en remplacement de la farine de poisson, mais il s’est avéré que même l’espèce la plus carnivore peut être alimentée en grande partie avec un mélange de protéines végétales. Plusieurs espèces peuvent tolérer des teneurs élevées en lipides alimentaires, d’autres peuvent utiliser des glucides en substitution des protéines. Ces caractéristiques physiologiques doivent être prises en compte dans le processus de domestication qui aura, en retour, des conséquences sur le métabolisme alimentaire et donc sur la composition du poisson domestiqué.
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SCHMIDELY, P., and D. SAUVANT. "Taux butyreux et composition de la matière grasse du lait chez les petits ruminants : effets de l’apport de matières grasses ou d’aliment concentré." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 337–54. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3760.

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Abstract:
Une base de données sur les effets de l’apport d’aliment concentré ou de matières grasses a été constituée pour quantifier la réponse du taux butyreux et de la composition en acides gras du lait chez les petits ruminants. L’apport d’aliment concentré réduit le taux butyreux, de façon plus marquée en ration complète qu’en ration fourrage - concentré séparés. Dans ce dernier type de ration, la réponse de la matière grasse du lait est curvilinéaire, un ratio fourrage concentré 1:1 maximisant la matière grasse produite. Dans ces conditions, les proportions des AG courts et moyens du lait sont peu ou pas modifiées, celles des AG longs saturés et mono-insaturés de type cis sont fortement réduites au profit des formes mono-insaturées trans et de l’acide linoléique. L’apport de matières grasses non protégées augmente généralement le taux butyreux et la matière grasse produite, de façon comparable pour les matières grasses animales ou végétales. Avec des huiles végétales ou animales, ces réponses sont très variables en fonction de l’intensité des effets dépresseurs de ces matières grasses sur la synthèse des acides gras courts et moyens, et de l’accroissement des acides gras longs. Les teneurs en acide linoléique, linolénique et CLA du lait sont accrues par les graines ou l’huile de colza, mais de façon modeste. Les huiles de poisson non protégées n’accroissent que faiblement les teneurs en acides gras poly-insaturés du lait. L’utilisation de savons de calcium (huile de palme principalement) accroît le taux butyreux de façon plus marquée chez les brebis que chez les chèvres, alors que l’accroissement de la matière grasse est comparable entre les deux espèces pour des apports jusqu’à 150 g/j. Ils réduisent la teneur du lait en AG moyens, mais pas celle des acides gras courts, ni celle de l’acide palmitique ; inversement ils induisent une forte augmentation de la teneur en acide stéarique et surtout oléique. La protection de graines ou d’huile de poisson par encapsulation permet de limiter l’effet dépresseur observé sur les acides gras courts et moyens, avec une réduction de l’acide stéarique et oléique au profit des formes trans de cet acide. Dans ces conditions, le transfert des acides linoléique et linolénique est accru en fonction de la richesse des graines pour ces acides gras. Cette forme de protection constitue un moyen modérément efficace de transférer vers le lait les acides gras polyinsaturés des huiles de poisson, ou des CLA alimentaires. L’ensemble de ces résultats fait apparaître un manque de données expérimentales chez les petits ruminants sur les facteurs alimentaires permettant de maîtriser la composition de la MG du lait, en particulier en ce qui concerne les acides gras jouant un rôle potentiel sur la santé humaine.
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Pétrus, M., C. Dormoy, C. Cadix, V. Mangin, P. Delbast, and G. Dutau. "Syndrome d’entérocolite induite par les protéines de poisson. Trois nouvelles observations." Revue Française d'Allergologie 54, no. 5 (September 2014): 394–96. http://dx.doi.org/10.1016/j.reval.2014.04.002.

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LEFRILEUX, Y., P. MORAND-FEHR, and A. POMMARET. "Aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage." INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 2, 2012): 277–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3215.

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Abstract:
Neuf expériences ont été réalisées à la station expérimentale du Pradel (Sud-Est de la France) de 1991 à 2000 sur la conduite au pâturage des chèvres laitières hautes productrices (800-1100 kg de lait/chèvre/an) et en particulier sur le type de pâturage à adopter (pâturage tournant ou continu), les conditions de la mise à l’herbe et la stratégie de complémentation afin d’évaluer leurs effets sur les performances laitières (production et composition du lait). Deux expériences comparant pendant 3 ans et 100 jours respectivement deux systèmes d’alimentation, en chèvrerie ou au pâturage, ont montré que le pâturage couvre plus de 50% des besoins énergétiques des chèvres et que les productions laitières et les taux butyreux et protéique ne sont jamais significativement différents entre les deux conduites. Dans une troisième expérience aucune différence significative n’a été observée sur la production et la composition du lait de chèvres conduites pendant 100 jours au printemps en pâturage tournant ou en pâturage continu à surface identique et sur ces couverts végétaux comparables. Une quatrième expérience de 120 jours a permis de montrer qu’une mise à l’herbe précoce (début Mars) permet une meilleure production laitière qu’avec une mise à l’herbe plus tardive, vers le 31 Mars. Quatre expériences d’une durée de 12 à 16 semaines ont comparé différents niveaux de complémentation des chèvres au pâturage. L’augmentation de l’apport d’aliment concentré améliore de façon limitée la production laitière, en particulier au dessus de 0,8 kg de concentré/jour/chèvre. Avec de l’herbe de très bonne valeur alimentaire, cette augmentation est de 10 g de lait/100 g de concentré ajouté alors qu’elle est de 40 g avec de l’herbe à un stade plus avancé. La composition du lait est très peu modifiée par l’apport de concentré. Une dernière expérience de 100 jours et certaines expériences précédentes ont précisé les effets de la composition de l’aliment concentré. La nature des sources azotées (protéines peu ou fortement dégradables dans le rumen) influence plus la production laitière que celle des sources énergétiques (amidon vs fibre et matière grasse). Ainsi une production de lait de 1000-1100 kg par an peut être obtenue avec un système alimentaire où le pâturage couvre une part importante des besoins énergétiques totaux des chèvres (50 à 75% environ). Pour cela il est nécessaire que le potentiel génétique des chèvres le permette, que la durée journalière de pâturage soit suffisante (10-11 heures par jour), que les apports de fourrages distribués à l’auge soient très limités ou supprimés, que ceux d’aliments concentrés soient limités à environ 0,8 kg/chèvre/jour et surtout qu’une gestion du pâturage basée sur des contrôles journaliers et des observations précises soit mise en place avec rigueur par l’éleveur.
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Sut, Caroline, Hind Hamzeh-Cognasse, Charles-Antoine Arthaud, Marie-Ange Eyraud, Kamel Chettab, Charles Dumontet, Sandrine Laradi, Thierry Burnouf, Olivier Garraud, and Fabrice Cognasse. "Les surnageants du concentré plaquettaire modifient l’expression de l’ARNm et des protéines des cellules endothéliales en fonction de la durée." Transfusion Clinique et Biologique 26, no. 3 (September 2019): S105. http://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2019.06.230.

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LEBRET, B., and B. PICARD. "Les principales composantes de la qualité des carcasses et des viandes dans les différentes espèces animales." INRA Productions Animales 28, no. 2 (January 10, 2020): 93–98. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.2.3013.

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Abstract:
La viande et la chair de poisson constituent une source essentielle de protéines, de vitamines et de micronutriments pour l’alimentation humaine. Les produits carnés représentent une activité économique importante au niveau mondial ; le niveau et l’évolution de leur consommation varient fortement selon les espèces et les zones géographiques. Le volume des productions doit répondre à l’accroissement de la population mondiale, tout en considérant les composantes environnementales, sociétales et économiques du développement durable. Cet article constitue une introduction générale au numéro spécial « Le muscle et la viande ». Il définit les principales composantes de qualité des carcasses, de la viande ou de la chair communes aux différentes espèces animales. Dans les articles suivants les principales filières (bovin, ovin, porc, poulet, poisson) sont présentées : production, consommation,problèmes de qualité spécifiques et attentes des acteurs, enjeux et questions de recherche prioritaires.
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HODEN, A., and J. B. COULON. "Maîtrise de la composition du lait : influence des facteurs nutritionnels sur la quantité et les taux de matières grasses et protéiques." INRAE Productions Animales 4, no. 5 (December 2, 1991): 361–67. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1991.4.5.4349.

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Abstract:
La composition chimique du lait dépend de facteurs liés à l’animal et au milieu. Parmi ces derniers, l’alimentation joue un rôle important : elle permet d’agir à court terme et de manière différente sur les taux de matières grasses et de protéines. Le taux protéique varie dans le même sens que les apports énergétiques (+ 0,6 g/kg par UFL supplémentaire aux alentours des recommandations). Il peut aussi être amélioré par des apports spécifiques en acides aminés (lysine et méthionine). Il est presque toujours diminué par l’adjonction de lipides, même protégés, dans la ration. Le taux butyreux dépend à la fois de la part d’aliment concentré dans la ration (et, quand celle-ci est élevée, de la nature de ces aliments concentrés), et du mode de présentation et de distribution de la ration (finesse de hachage, nombre de repas, mélange des aliments). Il peut être sensiblement augmenté par l’utilisation de certains aliments (ensilage de maïs, betteraves, lactosérum) ou additifs (substances tampons, monopropylène glycol). Il est donc possible de modifier sensiblement et dans des sens opposés le taux butyreux et le taux protéique. Dans l’avenir, des moyens synthétiques et objectifs d’appréciation de la qualité des rations (indice de fibrosité) devraient permettre d’améliorer la gestion des variations de ces taux.
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Dormoy, C., M. Pétrus, C. Duraffour, P. Perdrieux, and G. Dutau. "Syndrome d’entérocolite induite par les protéines alimentaires de poisson. Une observation chez un nourrisson de 17mois." Revue Française d'Allergologie 53, no. 8 (December 2013): 642–45. http://dx.doi.org/10.1016/j.reval.2013.07.002.

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Fall, Moussou, Michel Bakar Diop, Didier Montet, Amadou Seidou Maiga, and Amadou Tidiane Guiro. "Fermentation du poisson en Afrique de l’Ouest et défis sociétaux pour une amélioration qualitative des produits (adjuevan, guedj et lanhouin) : revue de la littérature." Cahiers Agricultures 28 (2019): 7. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2019007.

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Abstract:
Le poisson est la principale source de protéines animales dans les zones côtières de l’Afrique de l’Ouest, notamment au Bénin, en Côte d’Ivoire et au Sénégal. Le problème de la conservation des produits halieutiques débarqués est un défi sociétal majeur dans ces pays du fait de l’insuffisance d’infrastructures industrielles. La transformation alimentaire traditionnelle contribue à la réduction des pertes post-capture. Divers produits transformés locaux comme l’adjuevan (Côte d’Ivoire), le lanhouin (Bénin) et le guedj (Sénégal), dont les procédés incluent le salage, la fermentation et le séchage, sont proposés aux consommateurs. Ils sont généralement utilisés comme condiments ou parfois comme sources majeures de protéines animales pour enrichir les apports nutritionnels des aliments à base de céréales locales. Les technologies traditionnelles employées pour ces produits sont peu coûteuses, du fait des équipements rudimentaires utilisés. La non-standardisation des techniques de production, notamment la fermentation, généralement spontanée, contribue à une qualité très fluctuante. Cette synthèse présente les différentes approches de fermentation conduisant aux divers produits ciblés, les caractéristiques physico-chimiques et microbiologiques de ces produits, les initiatives d’amélioration essentiellement basées sur le recours à des ferments et les défis sociétaux (renforcement de la recherche, formation des acteurs locaux, appui à la commercialisation) pour la croissance économique de ce secteur.
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MORAND-FEHR, P., and G. TRAN. "La fraction lipidique des aliments et les corps gras utilisés en alimentation animale." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 285–302. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3753.

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Abstract:
La fraction lipidique des fourrages et des aliments concentrés est généralement moins bien connue que leurs fractions glucidiques, protéiques et minérales. La teneur lipidique de ces aliments se mesure par le dosage de l’extrait éthéré selon deux procédés suivant qu’une hydrolyse à chaud est nécessaire ou non pour obtenir l’extraction la plus complète possible des lipides de l’aliment. Les fourrages ont une teneur en extrait éthéré de 2 à 12 % et un taux d’acide linolénique le plus souvent supérieur à 50 % des acides gras totaux. A mesure que la plante fourragère passe du stade jeune pousse au stade de maturité, les proportions des acides palmitique, stéarique et oléique augmentent alors que celle de l’acide linolénique diminue. L’article présente la composition en acides gras d’une vingtaine d’aliments concentrés parmi les plus utilisés en alimentation animale. Ces valeurs sont issues de quatre bases de données (AFZ, CVB, MAFF et Souci) et d’une synthèse bibliographique récente de Givens pour les huiles végétales. Les céréales et les graines protéagineuses ont des teneurs en extrait éthéré souvent assez faibles (1,2 à 2,2 %) sauf le maïs et les co-produits de meunerie, une proportion très élevée d’acide linoléique (plus de 50 % des acides gras totaux) et des proportions faibles d’acides gras saturés, dominé par l’acide palmitique. La composition en acides gras des graines oléagineuses est variable selon l’espèce. Les huiles et farines de poisson sont caractérisées par une proportion importante d’acides gras polyinsaturés contenant plus de 18 atomes de carbone. Les compositions lipidiques des graisses et farines issues d’animaux terrestres sont remarquables par leur richesse en acides saturés et leur très faible proportion d’acides polyinsaturés. Il existe une bonne concordance entre les valeurs des banques AFZ et CVB pour les céréales et les graines oléagineuses, et entre les valeurs AFZ, SOUCI et celles de Givens pour les huiles et les graisses animales. En revanche, la table MAFF présente quelques divergences avec les tables AFZ et CVB. Même si l’apparition des bases de données a permis d’accéder à une connaissance plus objective dans ce domaine, des progrès restent à faire sur les facteurs de variation des teneurs en extrait éthéré et de la composition en acides gras des aliments, ainsi que sur les proportions des acides gras mineurs et isomères des familles n-6 et n-3.
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Parent, Geneviève, and Marie-Claude Desjardins. "La sécurité alimentaire durable au Nunavik : les enjeux juridiques de la commercialisation de la viande de caribou et de ses sous-produits par les Inuits." Les Cahiers de droit 44, no. 4 (April 12, 2005): 749–78. http://dx.doi.org/10.7202/043772ar.

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Abstract:
Le régime alimentaire des Inuits du Nunavik s’est modifié considérablement au cours des dernières décennies. Leur alimentation traditionnelle, constituée de viande et de poisson, a évolué vers un régime composé majoritairement de produits alimentaires importés du Sud, bien que l’apport en protéines demeure largement basé sur la consommation de gibier et de poisson. En raison du coût important lié à cette nouvelle forme d’alimentation, la transformation des habitudes alimentaires des Inuits modifie l’état de la sécurité alimentaire au Nunavik. Parce qu’elle permettrait de générer des revenus supplémentaires aux Inuits, la commercialisation de la viande de caribou et de ses sous-produits pourrait contribuer à renforcer l’accessibilité économique des Inuits aux produits du Sud et ainsi participer à l’atteinte d’une sécurité alimentaire durable au Nunavik. La Convention de la Baie-James et du Nord québécois et ses conventions complémentaires, qui établissent le régime de chasse des Inuits, permettent effectivement à ces derniers de pratiquer la chasse commerciale du caribou tout en leur assurant un accès sécurisé à cette ressource faunique dans une perspective de développement durable. Toutefois, certaines dispositions de ces conventions posent problème, principalement en cas de diminution importante des populations de caribous. De plus, des difficultés sont prévisibles quant au respect des règles nationales et internationales liées au commerce des produits alimentaires, notamment en ce qui a trait aux règles d’innocuité et de salubrité.
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LE BOUCHER, R., M. DUPONT-NIVET, S. LAUREAU, L. LABBÉ, I. GEURDEN, F. MÉDALE, B. CHATAIN, M. VANDEPUTTE, and E. QUILLET. "Amélioration génétique et utilisation des aliments à base de végétaux en pisciculture." INRAE Productions Animales 26, no. 4 (August 18, 2013): 317–26. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.4.3160.

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Abstract:
La production mondiale de poissons d’élevage augmente rapidement alors que les principaux ingrédients des aliments pour poissons (huiles et farines de poisson issues de la pêche) sont en quantité désormais insuffisante pour répondre à la demande. Cette situation, en Europe notamment, a conduit au remplacement progressif des produits marins par des matières premières végétales. Mais les taux de substitution élevés provoquent des réductions importantes des performances (croissance, voire survie) chez les espèces d’élevage de haut niveau trophique, à forts besoins en protéines et lipides. L’étude du potentiel d’adaptation de plusieurs de ces espèces à des aliments fortement ou totalement substitués (sans huiles ni farines de poisson) a révélé qu’il est possible de sélectionner au sein des populations d’élevage des individus à forte capacité de croissance avec des régimes à base de végétaux. Les mécanismes à l’origine de cette adaptation restent à identifier. Les analyses montrent aussi que les groupes les plus performants varient en fonction de l’aliment (marin ou substitué). Ces interactions génotype-aliment peuvent compliquer la gestion d’un programme de sélection si les reproducteurs sont sélectionnés avec un aliment différent de celui utilisé pour élever leurs descendants. Des simulations du progrès génétique attendu dans différents scénarios alimentaires permettent d’identifier quelques pistes pour optimiser la sélection chez la truite arcen- ciel et le bar, espèces majeures de la pisciculture d’eau douce et marine en France. La combinaison judicieuse de programmes d’amélioration génétique et de parcours alimentaires raisonnés pourrait aider la filière piscicole à évoluer vers un mode de production moins dépendant des ressources naturelles marines, tout en continuant à fournir des produits de qualité au consommateur.
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Tenyang, Noël, Roger Ponka, and Hilaire Macaire Womeni. "Effect of local hot smoking on proximate composition, lipid oxidation, fatty acid profile and minerals content of Chrysichthys nigrodigitatus from Lake Maga in Cameroon." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1124–27. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.5.

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Abstract:
Fish with higher nutrient qualities can be used to solve malnutrition problems in Africa. So the aim of this study was to evaluate the effect of local smoking on proximate composition and lipid oxidation of Chrysichthys nigrodigitatus collected in Cameroon. The proximate composition was assessed using standard methods while lipid quality assessment was based on the determination of biochemical indexes. A change on fatty acid composition was evaluated by gas chromatography while minerals composition was evaluated by spectrophotometer. On nutritional point of view, raw fish have high protein, lipid and ash contents (51.87, 37.48 and 8.55 g/100 g dry weight respectively). Unsaturated fatty acid may be up to 57% of the total fatty acids. Raw C. nigrodigitatus contain reasonable amount of minerals. Smoking process increased ash and lipid content while proteins and moisture contents are reduced in these fish. The iodine value of C. nigrodigitatus was reduced while acid, peroxide and TOTOX values increased during smoking. The marked decrease of polyunsaturated fatty acids was noted during processing. Mineral contents were affected by smoking process. Calcium, magnesium, potassium, sodium, manganese and iron contents increased significantly. In conclusion, hot smoking enhances nutrients content of C. nigrodigitatus while significant reduction in lipid quality was recorded.Keywords: Chrysichthys nigrodigitatus, smoking process, nutritional value, lipid oxidation, mineral contents. Frence Title; Effet du fumage traditionnel sur la composition chimique, l’état d’oxydation des lipides, la composition en acide gras et la teneur en minéraux de Chrysichthys nigrodigitatus du Lac Maga au Cameroun Le Poisson est l’une des sources d’éléments nutritifs de qualité pouvant contribuer à prévenir la malnutrition en Afrique. Ce travail s’est donné pour objectif d’évaluer l’effet du fumage traditionnel sur la composition chimique et l’état d’oxydation des lipides de Chrysichthys nigrodigitatus provenant du Lac Maga au Cameroun. Les méthodes standards ont été utilisées pour la détermination de la composition chimique, la mesure de l’état d’oxydation des lipides par des indices chimiques, la composition en acides gras par chromatographie en phase gazeuse et les minéraux par spectrophotométrie. Du point de vue nutritionnel, ce poisson frais contient respectivement 51,87 ; 37,48 and 8,55 g/100 g de matière sèches de protéines, lipides et cendres. Il contient également 57% d’acides gras insaturés et une quantité raisonnable de minéraux. Le traitement de fumage provoque une augmentation de la teneur en cendres et en lipides. Par contre la teneur en eau et en protéines diminuent. L’indice d’iode baisse tandis que les indices d’acide, de peroxyde et de TBARs augmentent. Une diminution du taux d’acides gras polyinsaturés est observée. Les minéraux sont également affectés au cours du fumage. Le traitement de fumage améliore la teneur en nutriments de C. nigrodigitatus, par contre réduit la qualité lipidique de celui-ci. Mots clés : Chrysichthys nigrodigitatus, fumage, valeur nutritionnelle, oxydation des lipides, teneur en minéraux.
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Le Poncin-Séac’h, M., and C. Le Poncin-Lafitte. "Effets sur les fonctions cognitives et mnésiques de sujets sains d’un hydrolysat de protéines de poisson (FPHD800) : étude comparative avec le ginkgo biloba (EGB 761®)." Médecine & Longévité 2, no. 2 (June 2010): 57–67. http://dx.doi.org/10.1016/j.mlong.2010.04.004.

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Akinola, A. O., O. O. Leramo, and O. O. Akinlade. "Performance characteristics of goats fed supplemental cocoa seed testa-based diet." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 162–66. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2927.

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Abstract:
An increase in goat production in the tropics have led to continuous competition with humans for food as most protein given conventional feedstuff (Groundnut cake, Palm kernel cake, Soybean) among others are becoming scarce and expensive, thus, there is need to find non conventional feeding material which can considerably substitute the conventional feed stuff without negative consequences on the animal. This research work therefore, was aimed at the performance characteristics of West African Dwarf (WAD) goats fed cocoa seed testa(CST) as a replacement for palm kernel cake concentrate supplement to a basal grass diet. Twelve West Africa dwarf goat of 15-16 months with an average weight of 16.5 kg were used for the experiment. They were randomly allocated to three concentrates diets such that 0%, 50%, 100% were for group A, B and C, respectively of palm kernel cake (PKC) were replaced with cocoa seed testa (CST). Each of the three groups was reared on any of the concentrate supplements fed to a basal diet of the grass (Cynodon nlemfuensis). The experiment lasted for six weeks, in which two weeks were used to acclimatize the animals to the cages. Result of the experiment showed a significant difference (P<0.05) in mean overall feed intake, weight gained and feed conversion ratio among the treatments. The average daily weight gain and overall weight gain among the treatment groups were significantly difference (P<0.05). Goats fed diet B utilized the feed better with weight gain of 2539.96 g followed by those of diet C with weight gain of 1969.94 g. Inclusion of cocoa seed testa from 50 % to 100 % replacement for palm kernel cake enhance the growth of West African dwarf goat. Une augmentation de la production des chevres dans les zones tropicales a conduit à une concurrence continue avec les humains pour la nourriture car la plupart des protéines étant donné les aliments conventionnels (gâteau à l'arachide, gâteau palmiste, soja) entre autres sont de plus en plus rares et coûteux, il est donc nécessaire de trouver du matériel d'alimentation non conventionnel qui peut remplacer considérablement les aliments conventionnels sans conséquences négatives sur l'animal. Ce travail de recherche visait donc les caractéristiques de performance des chèvres naines d'Afrique de l'Ouest (le 'WAD') nourries de grainesde testaà base de cacao (le 'CST') en remplacement du supplément de concentré de gâteau au palmiste à un régime basal d'herbe. Douze chèvres naines d'Afrique de l'Ouest de 15 à 16 mois avec un poids moyen de 16.5 kg ont été utilisées pour l'expérience. Ils ont été attribués au hasard à trois régimes concentrés de telle sorte que 0%, 50%, 100% étaient pour le groupe A, B et C, respectivement du gâteau de palmiste (le 'PKC') ont été remplacés par des testicules de graines de cacao (le 'CST'). Chacun des trois groupes a été élevé sur l'un des suppléments de concentré alimentés à un régime basal de l'herbe (Cynodonnlemfuensis). L'expérience a duré six semaines, au cours de laquelle deux semaines ont été utilisées pour acclimatiser les animaux aux cages. Le résultat de l'expérience a montré une différence significative (P<0.05) dans l'apport alimentaire global moyen, le poids gagné et le ratio de conversion des aliments pour animaux parmi les traitements. Le gain de poids quotidien moyen et le gain de poids global parmi les groupes de traitement étaient significativement différence (P<0.05). Les chèvres nourries de régime B utilisé l'alimentation mieux avec un gain de poids de 2539.96 g suivie par ceux de l'alimentation C avec gain de poids de 1969.94 g. L'inclusion de graines de testa à base de cacao de 50 % à 100 % de remplacement pour le gâteau au palmiste améliore la croissance de la chèvre naine d'Afrique de l'Ouest.
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Akinola, L. A. F., and C. F. Nwanochi. "Evaluation of calcium and vitamin D3 in cassava-based diets on internal and external qualities of chicken eggs." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 90–100. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2926.

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Abstract:
The aim of this study was to evaluate the effect of calcium and vitamin D3 in cassava-based layers' diet on the external and internal qualities of egg. One hundred and thirty-five, ISA brown layers aged 54 weeks were assigned randomly to 9 treatment (T) combinations with three replicates in a 3×3 factorial arrangement in a completely randomized design. Each replicate had five hens while the diets were: T1 = 3.5% Ca and 1000 IU vitamin D3 , T2 = 3.5% Ca and 2000 IU vitamin D3 , T3 = 3.5% Ca and 3000 IU vitamin D3 , T4 = 4.5% Ca and 1000 IU vitamin D3 , T5 = 4.5% Ca and 2000 IU vitamin D3 , T6 = 4.5% Ca and 3000 IU vitamin D3 , T7 = 5.5% Ca and 1000 IU vitamin D3 , T8 = 5.5% Ca and 2000 IU vitamin D3 , and T9 = 5.5% Ca and 3000 IU vitamin D3 . After 12 weeks, two eggs were collected per replicate to assess the 3 external and internal egg qualities. The increasing levels of calcium and vitamin D3 had no effect on the external and internal qualities of the eggs. From the result, hens that were fed 4.5% and 5.5% Ca recorded highest shell thickness. The interaction of calcium and vitamin D3 affected the shell thickness with hens fed diet T5 (4.5% Ca with 2000 IU) recording the thickest egg shell while T2 (3.5% Ca with 2000 IU) recorded the lowest. It was therefore concluded that 4.5% and 5.5% dietary calcium, 1000 IU and 3000 IU vitamin D3 were best when used individually in the diet for hens while T5 (4.5% calcium with 2000 IU) favoured eggs shell thickness for hens aged 54 -66 weeks. Une augmentation de la production des chevres dans les zones tropicales a conduit à une concurrence continue avec les humains pour la nourriture car la plupart des protéines étant donné les aliments conventionnels (gâteau à l'arachide, gâteau palmiste, soja) entre autres sont de plus en plus rares et coûteux, il est donc nécessaire de trouver du matériel d'alimentation non conventionnel qui peut remplacer considérablement les aliments conventionnels sans conséquences négatives sur l'animal. Ce travail de recherche visait donc les caractéristiques de performance des chèvres naines d'Afrique de l'Ouest (le 'WAD') nourries de grainesde testaà base de cacao (le 'CST') en remplacement du supplément de concentré de gâteau au palmiste à un régime basal d'herbe. Douze chèvres naines d'Afrique de l'Ouest de 15 à 16 mois avec un poids moyen de 16.5 kg ont été utilisées pour l'expérience. Ils ont été attribués au hasard à trois régimes concentrés de telle sorte que 0%, 50%, 100% étaient pour le groupe A, B et C, respectivement du gâteau de palmiste (le 'PKC') ont été remplacés par des testicules de graines de cacao (le 'CST'). Chacun des trois groupes a été élevé sur l'un des suppléments de concentré alimentés à un régime basal de l'herbe (Cynodonnlemfuensis). L'expérience a duré six semaines, au cours de laquelle deux semaines ont été utilisées pour acclimatiser les animaux aux cages. Le résultat de l'expérience a montré une différence significative (P<0.05) dans l'apport alimentaire global moyen, le poids gagné et le ratio de conversion des aliments pour animaux parmi les traitements. Le gain de poids quotidien moyen et le gain de poids global parmi les groupes de traitement étaient significativement différence (P<0.05). Les chèvres nourries de régime B utilisé l'alimentation mieux avec un gain de poids de 2539.96 g suivie par ceux de l'alimentation C avec gain de poids de 1969.94 g. L'inclusion de graines de testa à base de cacao de 50 % à 100 % de remplacement pour le gâteau au palmiste améliore la croissance de la chèvre naine d'Afrique de l'Ouest.
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Bala, A. G., M. R. Hassan, J. T. Amodu, R. J. Tanko, A. H. Hassan, M. S. Bature, A. Mohammed, and I. K. Alhabib. "Red Sokoto goats performed well with high nutrient digestibility and nitrogen retention when fed with two varieties of cowpea haulm." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 191–99. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2935.

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Abstract:
A study was carried out to investigate the effect of feeding two varieties of cowpea haulm on growth performance, nutrient digestibility and nitrogen balance in Red Sokoto bucks. The experiment consisted of 15 Red Sokoto bucks of average weight of 10kg, which were balanced for weight and randomly assigned to three dietary treatments with five bucks per treatment in a complete randomize design. The three treatment diets consisted of Brachairia decumbens hay as basal diet and concentrate diets which were supplemented with cowpea haulms at 0% (Control), 10% (SAMPEA14) and 10% (SAMPEA15). The study lasted for 90 days. Total dry matter intake (TDMI, g/day), total weight gain (TWG, kg), faecal (unit) and urine (unit) outputs were recorded. Results indicated that the TDMI were different (P<0.05) with higher intake (237.64 g/day) in bucks fed control diet, followed by 223.00 g/day 10% SAMPEA 15 and 10% haulm of Sampea 14 (206.49g/day) in the concentrate. The TWG and average daily weight gain increased by 59.77% and 59.76%, respectively with respect to 10% SAMPEA 14 haulm inclusion compared to the control diet. The digestibilities of dry matter (DM), crude protein (CP), crude fibre (CF), ether extract (EE) and nitrogen free extract (NFE) were higher (P<0.05) in bucks fed diet constaining 10% SAMPEA 14 inclusion level compared to the treatment diets. The quantity of N retained by the bucks was higher (P<0.05) with the inclusion of 10% of SAMPEA 14 (3.79 g/day) compared to those fed 10% SAMPEA 15 (1.18 g/day) and the control diet (0.68 g/day). It is concluded that farmers should include 10% SAMPEA 14 in concentrate diet of Red Sokoto bucks for optimum performance under smallholder production system. Une étude a été menée pour étudier l'effet de l'alimentation de deux variétés des haulms de niébé sur la performance de croissance, la digestibilité des nutriments et l'équilibre azoté chez les mâles Red Sokoto. L'expérience s'est composée de 15 bucks rouges de Sokoto de poids moyen de 10kg, qui ont été équilibrés pour le poids et aléatoirement assignés à trois traitements diététiques avec cinq dollars par traitement dans une conception randomize complète. Les trois régimes de traitement se sont composés deBrachairiadecumbenshay comme régime basal et régimes concentrés qui ont été complétés avec des haulms de niébé à 0% (contrôle), 10% (SAMPEA 14) et 10% (SAMPEA 15). L'étude a duré 90 jours. La consommation totale de matière sèche (TDMI, g/day), le gain de poids total (TWG, kg), les sorties fécales (unitaires) et urinaires (unitaires) ont été enregistrées. Les résultats ont indiqué que le TDMI était différent (P<0.05) avec une consommation plus élevée (237.64 g/jour) dans le régime de contrôle alimenté par les mâles, suivi de 223.00 g/jour10% SAMPEA 15 et 10% de transport de Sampea 14 (206.49 g/jour) dans le concentré. Le TWG et le gain quotidien moyen de poids ont augmenté de 59.77 % et de 59.76 %, respectivement en ce qui concerne l'inclusion de 10 % de SAMPEA 14 haulms par rapport au régime de contrôle. Les digestibilités de la matière sèche (le 'DM'), des protéines brutes (le 'CP'), des fibres brutes (le 'CF'), de l'extrait d'éther (le 'EE') et de l'extrait sans azote (le 'NFE') étaient plus élevées (P<0,05) chez les mâles nourris à l'alimentation constaining 10% SAMPEA 14 niveau d'inclusion par rapport aux régimes de traitement. La quantité de N retenue par les mâles était plus élevée (P<0.05) avec l'inclusion de 10% de SAMPEA 14 (3.79 g/jour) par rapport à celles nourries 10% SAMPEA 15 (1.18 g/jour) et le régime de contrôle (0,68 g/jour). Il est conclu que les agriculteurs devraient inclure 10% SAMPEA 14 dans le régime concentré de bucksRed Sokoto pour une performance optimale dans le cadre du système de production des petits exploitants.
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Raheriniaina, Christian E., Z. Randriamahatody, E. Fanjara, E. Fitahia, D. Andrianasolo, H. I. Hantanirina, and L. Razanamparany. "Valorisation des sous-produits de la pêche pour l’alimentation des poulets." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 3 (June 30, 2015): 139. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10177.

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Abstract:
Le traitement, le conditionnement et la transformation des produits de la pêche génèrent une quantité importante de sous-produits de la pêche (SPP). Ces derniers sont constitués notamment par des têtes, des viscères, de la peau, des écailles, des arêtes, des queues, etc. A défaut d’une stratégie de valo­risation, ils sont jetés et deviennent alors source de pollution, ce qui pose un problème environnemental et sanitaire. Face à cette contrainte, l’équipe du laboratoire Valoremar de l’Ins­titut halieutique et des sciences marines a mis en oeuvre un programme de recherche étudiant la possibilité de valoriser les SPP en alimentation avicole. L’étude a été initiée en raison de la présence probable de molécules valorisables dans les SPP, notamment des protéines. Nous avons ainsi constitué la base protéique de l’alimentation des poulets avec de la farine de SPP (1), mélangée à d’autres ingrédients disponibles, sources de matières énergétiques, minéraux, vitamines…Au laboratoire, la farine a été préparée avec des sous-produits de poulpe et de calmar fournis par une société de pêche basée à Toliara, suivant le procédé de transformation rapporté par le département de la pêche de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (2). Il s’agit d’un traitement thermique visant à séparer les fractions solides, huileuses et aqueuses. La farine de SPP a été produite à partir des frac­tions solides et a permis d’élaborer les rations expérimentales (1) (tableau I). L’introduction des farines de poulpe et de cala­mar s’est faite en remplaçant 50 p. 100 (lots C50 et P50) ou 100 p. 100 (lots C100 et P100) du tourteau d’arachide dans un aliment à base de son de maïs et de son de riz.Les poulets étaient des mâles de race locale d’un poids moyen de 250 g à l’entrée et de 485 g en moyenne après la quarantaine. Le test a été réalisé en station sur cinq lots de 25 poulets dont un lot témoin. Les poulets ont été élevés dans les mêmes conditions d’habitat et ont reçu leur nourriture respective de 120 g par tête par jour, en deux distributions (matin et après-midi). La crois­sance des animaux a été suivie jusqu’à 12 semaines. Un autre essai, utilisant des régimes comparables, a porté sur le transfert des techniques aux bénéficiaires. Il a été réalisé dans une ferme pilote et conduit par l’association Ezaka de Saint Augustin, dis­trict de Toliara II, région Atsimo Andrefana.Le rendement de la production de farines de SPP a été de 15 p. 100. Les farines produites étaient très riches en protéines, avec des teneurs de 60,8 p. 100 pour les sous-produits de poulpe et de 52,1 p. 100 pour ceux de calmar. Introduites dans les ali­ments composés (tableau I), les farines des sous-produits de poulpe et de calmar ont permis un gain moyen de poids quotidien allant jusqu’à 17,4 g pour le lot P100. La figure 1 montre que le poids vif des poulets des cinq lots a varié, après 12 semaines d’expérience, en fonction de la nature et de la quantité des SPP utilisés, avec des valeurs atteignant 1 943 g pour le lot P100 et 1 614 g pour le lot C100, contre 1 199 g pour le lot témoin.Dans la ferme pilote de Saint Augustin, les bénéficiaires ont uti­lisé les sous-produits des poissons (figure 2). Le poids vif final de 1 683 g pour les poulets nourris avec des aliments à base de la farine de sous-produits de poisson a été supérieur à celui du lot témoin.Cette étude montre que les SPP, existant en quantité importante sur le littoral sud-ouest de Madagascar, peuvent être valorisés. Si Toliara abonde en SPP, essentiellement des sous-produits de poulpe et de calmar générés par les sociétés de pêche, Saint Augustin génère plutôt des SPP issus des ménages ou des restau­rants. On estime par exemple que 200 tonnes par an de SPP sont générées par une société d’exportation des produits halieutiques basée à Toliara.Le transfert des techniques de valorisation des SPP aux bénéfi­ciaires a été réalisé à travers la mise en place d’une ferme pilote. Ceci permet de confirmer l’impact de l’étude dans le monde rural. Le développement de la filière avicole serait ainsi accueilli favora­blement dans cette localité en tant qu’activité générant des revenus après la pêche. Au laboratoire, l’étude d’une voie de valorisation en alimentation piscicole a attiré l’attention de l’équipe en utilisant non seulement les farines des SPP mais aussi les hydrolysats des protéines des SPP.Les auteurs remercient le Service de coopération et d´actions culturelles de l’ambassade de France à Madagascar pour l’appui financier du projet SPP.
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Sougou, N., and G. Boëtsch. "Alimentation et croissance des jeunes enfants Peuls à Widou Thiengoly (Ferlo — Sénégal)." Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris 28, no. 3-4 (May 24, 2016): 145–54. http://dx.doi.org/10.1007/s13219-016-0158-5.

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Abstract:
Cette étude est consacrée aux pratiques alimentaires, à la croissance et à la santé d'enfants vivant dans une zone sahélienne aride avec des conditions de vie semi-nomade et dans le contexte d'un processus de changement du mode de vie lié à l'implantation de la Grande muraille verte, projet de restructuration écologique. Pour cette étude, on s'est focalisé sur les pratiques de diversification alimentaire et leur impact sur les mesures anthropométriques de l'enfant. Étaient inclus dans l'étude des enfants âgés de 0 à 59 mois résidant dans la zone de Widou Thiengoly. Les mesures anthropométriques ainsi que l'âge de l'enfant ont été relevés chez 150 enfants, dont 149 enfants sont d'origine peule. Dans cette population enfantine, nous avons trouvé une relation entre l'état de nutrition et la pratique alimentaire de diversification. De manière générale, la pratique de la diversification alimentaire telle que préconisée par les politiques et normes au Sénégal diffère de celle observée à Widou. Ainsi, on note que l'aliment de diversification le plus utilisé est le lait de vache (67,5 % des enfants en reçoivent précocement) avec un âge moyen d'introduction de 6,81 mois. Par ailleurs, on note une introduction tardive et une sous-consommation des protéines animales (viande, poisson) et des fruits et légumes. Les populations ont des comportements alimentaires qui répondent à des codes culturels bien établis et ne suivent pas les recommandations normatives émises par les politiques de santé publique, sauf lorsque ces dernières intègrent les codes culturels locaux, ce qui est très rarement le cas. Ainsi, bien que la croissance des enfants de Widou se fasse sur une tendance linéaire, on note une prévalence élevée de malnutrition chez ces enfants de 25 %, taux qui est légèrement plus élevé que celui de la population sénégalaise du même âge. Les courbes de croissance des enfants de Widou se distribuent en deçà des courbes de croissance de l'OMS à l'exception de celles du périmètre crânien. Par ailleurs, on note que l'état de malnutrition de la mère n'impacte pas sur celui de l'enfant, ce qui n'est pas le cas des maladies digestives telles que la diarrhée, dont la survenue est fortement corrélée à celle de l'insuffisance pondérale (p < 0,01).
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Athmani, Nora, Faiza Dehiba, Amine Allaoui, Ahmed Barkia, Ali Bougatef, Myriem Y. LAMRI-SENHADJI, Moncef Nasri, and Ahmed Boualga. "Effects of two fish protein hydrolysates (Sardina pilchardus and Sardinella aurita) on reverse cholesterol transport and redox status, in rat fed a cholesterol-enriched diet." Nutrition & Santé 05, no. 02 (June 30, 2016): 89–99. http://dx.doi.org/10.30952/ns.5.2.4.

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Aderinboye, R. Y., and A. O. Olanipekun. "An in-vitro evaluation of the potentials of turmeric as phytogenic feed additive for rumen modification." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 3 (March 6, 2021): 193–203. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2950.

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Abstract:
The potential risk to animal and human health in the use of antibiotic feed additives for modifying rumen fermentation has necessitated the search for natural alternatives which are generally regarded as safe. The aim of this study was to evaluate the potentials of turmeric powder in rumen manipulation using the in vitro method. Substrate of Panicum maximum and concentrate in ratio 6: 4 with turmeric inclusion at four levels of 0, 5, 10 and 15 mg/g dry matter (DM) were used for this study. The experiment was arranged in a completely randomized design. Approximately 200 mg of substrate in each treatment was weighed separately into 100 mL glass syringes into which 30 mL of rumen fluid and buffer solution (1:2 v/v) were added. The quantities of total gas, methane, ammonia, total volatile fatty acids production and substrate degraded were determined 48-h post incubation. Rumen bacteria, protozoa, fungi population were determined and microbial biomass was estimated. Some phytochemical constituents of turmeric were also determined using standard methods. Turmeric had a higher percentage of curcumin relative to other phytochemical contents determined. Turmeric effectively and consistently (p < 0.05) reduced gas production at levels above 5 mg/g of substrate inclusion throughout the 48-h incubation period. Similarly, turmeric reduced (p < 0.05) methane, carbon-dioxide, ammonia and total volatile fatty acids production, and substrate degradation at 10 – 15 mg/g inclusion. Rumen bacteria and protozoa reduced when turmeric was included at 10 – 15 mg/g while fungi reduction was observed at 15 mg/g of inclusion. Reduction in microbial biomass was observed at 15 mg/g of turmeric inclusion. It can be concluded from this study that turmeric inclusion above 5 mg/g DM of substrate, can modify the rumen by causing a reduction in fermentation end-products. The reduction of ammonia production at 15 mg/g which significantly reduced microbial biomass has implication for lowering microbial protein synthesis. Le risque potentiel pour la santé animale et humaine dans l'utilisation d'additifs alimentaires antibiotiques pour modifier la fermentation du rumen a nécessité la recherche d'alternatives naturelles qui sont généralement considérées comme sûres. Le but de cette étude était d'évaluer les potentiels de la poudre de curcuma dans la manipulation du rumen en utilisant la méthode in vitro. Substrat de Panicum maximum et concentré dans le rapport 6: 4 avec l'inclusion de curcuma à quatre niveaux de 0, 5, 10 et 15 mg/g de matière sèche (DM) ont été utilisés pour cette étude. L'expérience a été organisée dans une conception complètement randomisée. Environ 200 mg de substrat dans chaque traitement ont été pesés séparément dans des seringues en verre de 100 mL dans lesquelles 30 mL de liquide rumen et de solution tampon (1:2 v/v) ont été ajoutés. Les quantités totales de gaz, de méthane, d'ammoniac, de production totale d'acides gras volatils et de substrat dégradé ont été déterminées 48 h après incubation. La bactérie Rumen, le protozoaire, la population de champignons ont été déterminés et la biomasse microbienne a été estimée. Certains constituants phytochimiques du curcuma ont également été déterminés à l'aide de méthodes standard. Le curcuma avait un pourcentage plus élevé de curcumine par rapport à d'autres contenus phytochimiques déterminés. Le curcuma a réduit efficacement et systématiquement (p < 0,05) la production de gaz à des niveaux supérieurs à 5 mg/g d'inclusion du substrat tout au long de la période d'incubation de 48 h. De même, le curcuma a réduit (p < 0,05) le méthane, le dioxyde de carbone, l'ammoniac et la production totale d'acides gras volatils, et la dégradation du substrat à 10 à 15 mg/g d'inclusion. Les bactéries rumen et le protozoaire ont diminué lorsque le curcuma a été inclus à 10 – 15 mg/g tandis que la réduction des champignons a été observée à 15 mg/g d'inclusion. La réduction de la biomasse microbienne a été observée à 15 mg/g d'inclusion de curcuma. On peut conclure de cette étude que l'inclusion de curcuma au- dessus de 5 mg/g de DM de substrat, peut modifier le rumen en causant une réduction des produits finaux de fermentation. La réduction de la production d'ammoniac à 15 mg/g, ce qui a considérablement réduit la biomasse microbienne, a des répercussions sur l'abaissement de la synthèse des protéines microbiennes.
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Amon, Nicolas Yao, Sylvain Kouassi Konan, Dongo Koffi Kouassi, and Kouakou Yao. "Performances zootechniques des mâles de Oreochromis niloticus (Linné, 1758), Sarotherodon melanotheron (Rüppell, 1853) et leurs hybrides en phase de grossissement en cages installées en étang." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 5 (September 14, 2020): 1611–17. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i5.10.

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Abstract:
En Côte d’Ivoire, l’élevage en milieu lagunaire a du mal à prendre son envol du fait du manque de poisson intéressant au plan zootechnique. En vue de rechercher une bonne espèce à potentialité piscicole, deux souches pures de tilapia (Oreochromis niloticus et Sarotherodon melanotheron) et leurs hybrides (♀ S. melanotheron x ♂ O. niloticus et ♀ O. niloticus x ♂ S. melanotheron) ont été étudiées en phase de grossissement en cages. Ainsi, deux cent quarante (240) poissons issus d’un prégrossissement en bacs en béton avec des poids moyens initiaux compris entre 33,60 ± 2,11g et 70,25 ± 2,20g ont été repartis en 8 lots à raison de deux lots par type de croisement. Ces poissons ont été suivis pendant six (6) mois durant lesquels ils ont reçu quotidiennement un aliment titrant 30% de protéines. Les résultats relatifs aux performances de croissance ont révélé que les hybrides issus du croisement ♀ O. niloticus x ♂ S. melanotheron ont une croissance (0,70 ± 0,02g/j) supérieure à celles des hybrides de ♀ S. melanotheron x ♂ O. niloticus (0,45 ± 0,01g/j) et de S. melanotheron (0,37 ± 0,03 g/j). La croissance de O. niloticus a été la meilleure (1,22 ± 0,01g/j). Quant à la survie, les hybrides et leurs parents S. melanotheron ont enregistré un taux supérieur à celui de O. niloticus (100% contre 83,33%). Ces résultats suggèrent que les hybrides ont une adaptabilité aux milieux lagunaires comparable à celle de S. melanotheron. L’ hybride issus du croisement ♀ O. niloticus x ♂ S. melanotheron qui a mieux hérité de la résistance au milieu lagunaire de S. melanotheron ainsi que de la bonne croissance de O. niloticus, se présente comme le meilleur choix pour une pisciculture lagunaire à grande échelle.Mots clés : Tilapias, Croissance, survie, lagune. English Title: Zootechnical performances of males of Oreochromis niloticus (Linné, 1758), Sarotherodon melanotheron (Rüppell, 1853) and their hybrids in growth phase in cages installed in pondIn Ivory Coast, the breeding in lagoon environment has difficulty to take off because of the lack of interesting fish at the zootechnical level. In order to identify a potential candidate species for fish farming in brackish water, two pure strains of tilapia (Oreochromis niloticus and Sarotherodon melanotheron) and their hybrids (♀ S. melanotheron x ♂ O. niloticus and ♀ O. niloticus x ♂ S. melanotheron) were studied in the growth phase in cages. Thus, two hundred and forty (240) fish from a pregrowth in concrete tanks with initial average weights between 33.60 ± 2.11g and 70.25 ± 2.20g were divided into 8 lots at the rate of two lots by type of crossing. These fish were followed for six (6) months during which they received daily food containing 30% protein. The results relating to the growth performances revealed that the hybrids resulting from the crossing ♀ O. niloticus x ♂ S. melanotheron have a growth (0.70 ± 0.02 g/d) higher than those of the hybrids of ♀ S. melanotheron x ♂ O. niloticus (0.45 ± 0.01 g/d) and S. melanotheron (0.37 ± 0.03 g/d). The growth of O. niloticus was the best (1.22 ± 0.01 g/d). As for survival, the hybrids and their parents S. melanotheron recorded a higher rate than that of O. niloticus (100% against 83.33%). These results suggest that the hybrids have good adaptability to the lagoon environment like S. melanotheron. The hybrid from the cross ♀ O. niloticus x ♂ S. melanotheron, which has better inherited the resistance to the lagoon environment of S. melanotheron as well as the good growth of O. niloticus, is the best choice for lagoon fish farming. in large scale.Keywords: Tilapias, growth, survival, lagoon.
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KY, Inoussa, Charles PARKOUDA, Marius K. SOMDA, Bréhima DIAWARA, and Mamoudou H. DICKO. "Caractéristiques physicochimiques de quelques matières premières utilisées dans la formulation des aliments pour volaille au Burkina Faso." Journal of Applied Biosciences 151 (July 31, 2020): 15598–604. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.151.8.

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Objectifs : Connaitre la composition physicochimique des matières premières les plus utilisées dans la formulation des aliments pour volaille. Méthodologie et Résultats : Une étude prospective a permis de répertorier les matières alimentaires les plus utilisées pour l’alimentation de volaille au Burkina Faso. Les principaux constituants ont été déterminés par les méthodes AOAC. Les acides aminés et les minéraux ont été déterminés respectivement par la chromatographie et la spectrométrie à flamme. Les résultats ont montré des proportions massiques (g/100g MS) comprises entre 9,17±0,13 et 59,9±0,27 pour les protéines, 2,24±0,10 et 15,56±0,03 pour les lipides, 4,16±0,04 et 73,8±0,07 pour les carbohydrates totaux, entre 6,04±0,13 et 14,53±0,07 pour la cellulose, 0,01±0,00 et 34,03±0,07 pour le calcium, 0,02±0,07 et 18,01±0,00 pour le phosphore. Les teneurs en méthionine, lysine, thréonine étaient respectivement comprises entre 0,19±0,02 et 1,49±0,03 ; 0,25±0,06 et 2,38±0,03, et 0,30±0,03 et 2,32±0,03. Conclusion et application des résultats: Il ressort de cette étude que la farine de poisson présente les teneurs les plus élevées en protéine (59,9± 0,27 g/100g), calcium (6,42± 0,04 g/100g) et phosphore (3,88± 0,06 g/100g). Le soja est le plus riche en matière grasse (17,98± 0,10 g/100g) et le maïs jaune est le plus riche en glucide (73,8± 0,07 g/100g). Ces données produites peuvent servir à l’établissement de tables de composition des matières premières locales utilisables dans l’alimentation de volaille et leur vulgarisation auprès des aviculteurs leur permettra de mieux s’orienter dans le choix des ingrédients de hautes valeurs nutritionnelles et de réduire le coût de la formulation. Mots clés : Formulation d’aliment, volaille, composition, nutrition ABSTRACT Objectives: To know the physicochemical composition of the raw materials mostly used in the formulation of poultry feed. Methodology and Results: A prospective study was carried out to identify the most commonly used feed materials for poultry feed in Burkina Faso. The main constituents were determined by AOAC methods. Amino acids and minerals were determined respectively by chromatography and flame spectrometry. Results Inoussa et al., J. Appl. Biosci. 2020 Caractéristiques physicochimiques de quelques matières premières utilisées dans la formulation des aliments pour volaille au Burkina Faso 15599 showed mass proportions (g / 100g DM) between 9.17 ± 0.13 and 59.9 ± 0.27 for proteins, 2.24 ± 0.10 and 15.56 ± 0.03 for lipids, 4.16 ± 0.04 and 73.8 ± 0.07 for total carbohydrates, 6.04 ± 0.13 and 14.53 ± 0.07 for cellulose, 0.01 ± 0.00 and 34.03 ± 0.07 for calcium, 0.02 ± 0.07 and 18.01 ± 0.00 for phosphorus. Content in essential amino acids such as methionine, lysine, and threonine ranged between 0.19 ± 0.02 and 1.49 ± 0.03, 0.25 ± 0.06 and 2.38 ± 0.03, and 0.30 ± 0.03 and 2.32 ± 0.03, respectively. Conclusion and application of results: It emerges from this study that fishmeal has the highest contents of protein (59.9 ± 0.27 g/100g), calcium (6.42 ± 0.04 g/100g) and phosphorus (3.88 ± 0.06 g/100g). Soy is the richest in fat (17.98 ± 0.10 g/100g) and yellow corn is the richest in carbohydrate (73.8 ± 0.07 g/100g). These data produced can be used to establish composition tables for local raw materials that can be used in poultry feed and their popularization with poultry farmers will allow them to better orient themselves in the choice of ingredients with high nutritional values and reduce the cost of formulation Keywords: Feed Formulation, poultry, composition, nutrition
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Assia Bouchetara, Kamel Mecherfi, Nesrine Rahmoun, Amel Laredj, Ghazalia Boudraa, and Mahmoud Touhami. "Atopie familiale et allergie aux protéines du lait de vache chez les nourrissons dans l’Ouest Algérien." Journal de la faculté de médecine d'Oran 2, no. 1 (June 30, 2018). http://dx.doi.org/10.51782/jfmo.v2i1.59.

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L’Allergie aux protéines du lait de vache (APLV) est la première allergie alimentaire à apparaître chez l’enfant et débute, le plus souvent, chez le nourrisson au cours de la première année de vie et à l’introduction des premiers biberons. Elle se classe auquatrième rang des allergies alimentaires chez l’enfant, derrière celles à l’oeuf, à l’arachide et au poisson [1]. L’atopie est la tendance individuelle ou familiale à développer des manifestations d’hypersensibilité immédiate à immunoglobulines E.Le terrain atopique est devenu un prérequis fondamental mais non obligatoire dans le diagnostic de l’allergie alimentaire. Ainsi, la présence de l’atopie familiale chez nos patients et dans les familles à risque aiderait au dépistagede l’APLV. L’objectif de notre étude est de décrire l’atopie dans les familles des patients allergiques aux protéines du lait de vache, suivis dans les deux services de pédiatrie à Oran (service de Pédiatrie « C» du CHU Oran et le service de gastroentérologie et nutrition de l’EHS Canastel).Patients et méthodes - Il s’agit d’une étude rétrospective sur une période de 29 années (1987 à 2015) concernant des patients diagnostiqués allergiques au lait de vache, dans les deux services de pédiatrie sus-cités, sur des critères anamnestiques, cliniques et une réponse au régime d’exclusion de protéines de lait de vacheà un âgeallant de quelquesheures à 21 mois.Résultats - Au total, notre série comporte 1041 patients. Toutefois, les données exhaustives concernant l’atopie familiale ont été collectées chez un groupe de 392patients, nos résultats seront analysés pour ce groupe. Le sex-ratio était de 1,26 ; laconsanguinité parentale était présente chez 20,80 % des patients et l’âge moyen au diagnostic était de 3,91 ± 3,34 mois. L’atopie familiale était retrouvée chez 57,15 % des patients, concernant au moins un membre de la famille. Les tableaux cliniques d’atopie chez les membres de la famille étaient par ordre de fréquence, respiratoires (asthme, rhino-conjonctivites) (76,10%),digestifs (14,45%) puis cutanés (eczéma, urticaire) (9,44%).
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Gougbedji, Armel, Pamphile Agbohessou, Philippe Adédjobi Lalèyè, Fréderic Francis, and Rudy Caparros Megido. "Inventaire des coproduits agricoles potentiellement utilisables pour la production de pupes de mouche Hermetia illucens (L. 1758) pour l’alimentation piscicole au Bénin." Tropicultura, no. 3-4 (2020). http://dx.doi.org/10.25518/2295-8010.1587.

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Cette recherche vise l’inventaire et la sélection de coproduits agricoles d’intérêt pour l’élevage d’Hermetia illucens (L. 1758) au Bénin. Les données relatives à la nature, la disponibilité et la valeur marchande des coproduits agricoles ont été collectées à travers une enquête dans 8 départements du Bénin. Deux régimes expérimentaux isoprotéiques et isolipidiques ont été formulés à partir de trois coproduits principaux (tourteau de coton, son de maïs et abats de poisson) et testés sur la croissance larvaire et la qualité nutritionnelle des prépupes d’H. illucens. 28 coproduits agricoles ont été recensés et répartis en 3 groupes : les tourteaux, les résidus et les sons. Le substrat à base de son de maïs et d’abats de poisson favorise une croissance optimale des larves. Les teneurs en protéines (47,89 ± 0,11 %) et en lipides (26,75 ± 0,29 %) des prépupes issues de ce régime permettent de répondre aux besoins nutritionnels du tilapia du Nil. Le régime à base de tourteau de coton a induit une forte mortalité (67,33 ± 3,96 %) chez les larves d’H. illucens. Sur la base des facteurs de disponibilité, de compétition et des résultats de l’expérimentation, 22 coproduits agricoles sont retenus pour de futurs essais.
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Leyo, Idriss Hamidou, Zakari Moussa Ousman, Fréderic Francis, and Rudy Caparros Megido. "Techniques de production d’asticots de mouches domestiques (Musca domestica L. 1758) pour l’alimentation des volailles, synthèse bibliographique." Tropicultura, no. 2 (2021). http://dx.doi.org/10.25518/2295-8010.1813.

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Abstract:
L’alimentation de la volaille nécessite un apport essentiel en protéine. Ces protéines sont introduites aux animaux à travers des ingrédients alimentaires comme les légumes à graines et leurs tourteaux (arachide, soja, etc.), les farines de poisson, etc. Ces sources protéiques bien qu’étant indispensables en alimentation de la volaille, sont assujetties à une flambée de prix et sont peu ou pratiquement non durables. Les asticots des mouches constituent une solution durable en alimentation animale mais sont classées dans les sources méconnues de protéines animales en Afrique de manière générale et au Niger en particulier. La production de ces asticots n’est pas onéreuse et n'implique pas pour le moment une compétition alimentaire avec l’alimentation humaine. Les asticots des mouches domestiques (Musca domestica L. 1758) et des mouches soldats noires (Hermetia illucens L. 1758) sont privilégiés en raison de la facilité de leur production et de l’importance de leur biomasse. Les larves de ces deux types de mouches sont souvent produites avec des déchets de toute nature (substrats) disponibles gratuitement ou cédés dans le cas marchand à un prix dérisoire. Les compositions chimiques de ces asticots sont similaires voire meilleures que celles des ingrédients alimentaires conventionnels utilisés en alimentation avicole, et leur utilisation dans l’alimentation de ces volailles induit de bonnes performances zootechniques aux animaux. En plus de la protéine, le processus de production d’asticots permet d’un coté de recycler les déchets organiques qui constituent un véritable problème environnemental et de l’autre côté il permet de générer un résidu biofertilisant riche en nutriment qui peut être valorisé en agriculture. Plusieurs études ont montré qu’il n’a pas de dans danger sanitaire lié à l’utilisation des asticots en alimentation animale en général et celle de la volaille en particulier. En effet l’évaluation de plusieurs éléments-traces métalliques (ETM) au niveau des asticots avait révélé ces ETM sont à des seuils inferieur à ceux recommandés par les organismes internationaux (Union Européenne, organisation mondiale de la santé). Quelques rares études ont affirmé qu’une transmission de Salmonelles est possible aux consommateurs. Toutefois il est admis à l’unanimité que les asticots peuvent être introduits en alimentation animal sans induire des effets néfaste sur leur santé et que les contaminations éventuelles sur toute la chaine alimentaire peuvent être contrôlées.
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"Evaluation de la commercialisation et de la consommation du poisson fumé au Congo: cas de Brazzaville." Journal of Animal & Plant Sciences, July 31, 2019, 6810–27. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v41-1.8.

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1 RÉSUMÉ Le poisson fumé constitue une source importante de protéines, accessibles aux ménages à faible revenus. L’objectif général de cette étude est d’évaluer la consommation des poissons fumés et de connaître les différents types de poisson fumés vendus et consommés à Brazzaville. Deux enquêtes ont été réalisées. Une première enquête exhaustive a porté sur l’inventaire des différents types des poissons fumés vendus auprès de 208 vendeurs de poissons fumés recensés dans trois marchés de Brazzaville (Mampassi, Moungali et Total). Une deuxième enquête transversale a porté sur la consommation du poisson fumé auprès de 120 ménages des deux arrondissements (Bacongo et Ouénzé). S’agissant de l’inventaire, les résultats montrent que 23 types de poissons fumés sont vendus dans les marchés enquêtés. Les poissons les plus vendus sont : Protopterus dolloï (62,50%), Distichodus spp (48,55%) et Clarias spp (45,19%). Appelé respectivement en langue vernaculaire (lingala) : « Nzombo », « Mboto » et« Ngolo ». Concernant la consommation, les poissons fumés sont largement consommés dans les ménages de Brazzaville (87,5%). dont les plus consommés sont: Clarias spp« Ngolo », Protopterus dolloï« Nzombo »et Distichodus spp« Mboto » avec une fréquence de consommation qui varie d’une à 2 fois et plus par semaine. L’enquête a révélé que le poisson d’eau douce fumé occupe une place de choix aussi bien, dans le panier de la ménagère et à la consommation alimentaire des habitants de Brazzaville. Il assure par conséquent, une bonne couverture de la sécurité alimentaire auprès de ladite population. SUMMARY Smoked fish is an important source of protein, accessible to low-income households. The general objective of this study is to evaluate the consumption of smoked fish and to know the different types of smoked fish sold and consumed in Brazzaville. Two surveys were conducted. A first exhaustive survey focused on the inventory of different types of smoked fish sold to 208 smoked fish vendors listed in three markets of Brazzaville (Mampassi, Moungali and Total). A second cross-sectional survey focused on the consumption of smoked fish among 120 households in the two boroughs (Bacongo and Ouénzé). With regard to the inventory, the results show that 23 types of smoked fish are sold in the surveyed markets. The best-selling fish are: Protopterus dolloï (62.50%), Distichodus spp (48.55%) and Clarias spp (45.19%). Called respectively in vernacular language (lingala): "Nzombo", "Mboto" and "Ngolo". Regarding consumption, smoked fish are widely consumed in households in Brazzaville (87.5%). of which the most consumed are: Clarias spp. "Ngolo", Protopterus dolloï "Nzombo" and Distichodus spp "Mboto" with a consumption frequency that varies from one to two times and more per week. The survey revealed that smoked freshwater fish occupy a prominent place both in the household basket and in the food consumption of the inhabitants of Brazzaville. It ensures, therefore, a good coverage of food security with the said population.
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