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Journal articles on the topic 'Conception des systèmes de production'

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COQUIL, X., A. BLOUET, J. L. FIORELLI, C. BAZARD, and J. M. TROMMENSCHLAGER. "Conception de systèmes laitiers en agriculture biologique : une entrée agronomique." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 221–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3349.

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Abstract:
Cette synthèse centrée sur un dispositif expérimental de 240 ha, situé à Mirecourt, dans la plaine des Vosges, vise à configurer et étudier les conditions pratiques de la mise en œuvre de systèmes agricoles a priori durables sur le plan agro-environnemental. La prise en compte de la diversité des potentialités du milieu, comme principe fondateur des systèmes agricoles, est un gage de la durabilité des systèmes. Dans cette perspective, deux systèmes laitiers autonomes, conduits suivant le cahier des charges de l’agriculture biologique ont été configurés sur l’installation expérimentale INRA ASTER-Mirecourt, vue comme un petit territoire agricole au sein duquel des échanges mutuels et équivalents peuvent avoir lieu entre les systèmes. Ces systèmes sont testés depuis 2005 : un système laitier herbager (SH) dont l’objectif consiste à maximiser la part d’herbe valorisée par le pâturage (40 vaches laitières et leur renouvellement sur 78 ha de prairie permanente) et un système de polyculture Elevage laitier (SPCE) qui vise le bouclage du cycle des éléments (60 vaches laitières et leur renouvellement sur 50 ha de prairie permanente et 110 ha de surfaces en rotations culturales). De 2005 à 2008, ces 2 systèmes de production laitiers ont été relativement productifs, livrant de 83 à 98% de leur référence laitière. La pérennité du troupeau SH, dont les vêlages sont groupés sur 3 mois en fin d’hiver, a été passagèrement difficile à assurer en raison de performances de reproduction faibles notamment au cours des campagnes 2005 et 2006. La trésorerie fourragère du SH a été très excédentaire en raison d’un sous-chargement du système et une productivité maintenue des prairies. A l’inverse, les trésoreries en fourrages et en paille du SPCE ont été relativement tendues et les ajustements ont principalement portés sur les régimes alimentaires et sur les effectifs animaux. Au-delà des tensions révélées par le choix d’autonomie de matière des systèmes, nous soulignons la nécessité d’une vigilance accrue à porter au comportement des ressources constitutives de ces systèmes, telles que les modifications de dynamiques de pousse de l’herbe et le rythme de reproduction des animaux. L’expérimentation évolue vers une meilleure intégration du comportement des ressources pour un meilleur ajustement des modalités de conduite.
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COUDURIER, B., J. L. PEYRAUD, E. BLESBOIS, F. JEULAND, N. URRUTY, C. HUYGHE, and H. GUYOMARD. "Méthodologie d’aide à la conception et à l’évaluation de systèmes de production multiperformants : application à l’élevage de bovins laitiers et à la production de poulets de chair." INRA Productions Animales 28, no. 1 (January 10, 2020): 51–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.1.3010.

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Abstract:
Suite à un appel d’offre du Commissariat Général à la Stratégie et à la Prospective du gouvernement français, l’INRA a analysé les possibilités d’évolution des pratiques et des systèmes agricoles français vers des systèmes de production plus durables conciliant performances productives, économiques, environnementales et sociales. Une méthodologie d’aide à la conception et à l’évaluation de systèmes a été développée à cette occasion. Elle s’appuie sur un répertoire de plus de 200 pratiques agricoles élémentaires dont l’impact a été qualifié sur 35 indicateurs de performances, ainsi que sur une table de compatibilité entre pratiques élémentaires. Deux études de cas fondées sur des modalités différentes d’utilisation de cette méthodologie sont présentées : i) la conception pas à pas de système de production par incorporation progressive de pratiques élémentaires à partir d’une pratique d’entrée à effet majeur, pour accroître l’autonomie alimentaire en production bovine laitière en valorisant la prairie ; ii) l’évaluation à postériori des performances de systèmes en transcrivant sous forme de pratiques élémentaires des leviers d’action et marges de progrès identifiés à dire d’expert pour améliorer la compétitivité de la filière poulet de chair par la mise en place de deux systèmes de production très contrastés mais complémentaires. Les tendances d’évolution des performances des systèmes de production ainsi simulés ou reconstitués sont discutées. Dans les situations d’impact ambivalent d’une pratique sur une performance, le recours au descriptif détaillé des pratiques permet le plus souvent de réduire l’incertitude en prenant en compte les situations associées à chaque type d’impact.
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DEDIEU, B., J. AUBIN, G. DUTEURTRE, G. ALEXANDRE, J. VAYSSIERES, P. BOMMEL, B. FAYE, et al. "Conception et évaluation de systèmes d’élevage durables en régions chaudes." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 113–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3244.

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Abstract:
Les démarches de conception et d’évaluation de systèmes d’élevage innovants en régions chaudes doivent prendre en compte les spécificités de ces systèmes. Outre les caractéristiques des milieux, ces spécificités tiennent à l’importance des fonctions non productives des troupeaux et à la complexité des modes de gestion de l’accès aux ressources (mobilité notamment). Nous discutons les démarches de conception en utilisant les notions de cristallisation, de plasticité et de développement des systèmes innovants et présentons les bases de l’évaluation (environnementale, filière, technico-économique) et ses fonctions dans le processus de conception. Nous illustrons la conception réglée ou innovante appuyée sur de la modélisation à l’aide d’exemples aux Antilles (élevage caprin, polyculture-élevage, avec une composante biotechnique forte), à la Réunion (élevage laitier avec une démarche participative de construction du modèle avec les agriculteurs) et en Amazonie (composante décisionnelle incluant les équilibres et interaction entre activités d’élevage et culture - démarche participative avec les acteurs territoriaux). La diversité des cas souligne les enjeux de la conception et de l’évaluation : prise en compte de la diversité des systèmes dans leurs composantes techniques et humaines, participation des acteurs à la démarche, développements biotechniques et clarification des processus décisionnels, réflexion sur des indicateurs adaptés et pertinents pour les éleveurs et les territoires dans lesquels ils s’insèrent.
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Goepp, Virginie, and François Kiefer. "Outils d'analyse dialectique pour la conception d'architecture de système d'information. Application aux systèmes d'information de production." Ingénierie des systèmes d'information 11, no. 1 (February 24, 2006): 9–37. http://dx.doi.org/10.3166/isi.11.1.9-37.

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WILFART, A., M. S. CORSON, and J. AUBIN. "La méthode EMERGY : principes et application en analyse environnementale des systèmes agricoles et de production animale." INRAE Productions Animales 25, no. 1 (March 31, 2012): 57–66. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.1.3197.

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Abstract:
L’Emergy est définie comme la somme de toutes les formes d’énergie (énergie directe et indirecte, renouvelable et non-renouvelable) nécessaire à la réalisation d’un service ou d’un produit. La méthode d’évaluation Emergy est une méthode d’analyse quantitative qui détermine la valeur non-monétaire et monétaire des ressources, des services et des produits dans une unité commune : l’Emergy solaire. Cette méthode apparaît comme intéressante pour évaluer les agro-écosystèmes et identifier des leviers d’action pour la conception de systèmes plus durables. Cet article présente les concepts de la méthode Emergy en explicitant les notions clés telles que la transformité, le diagramme de hiérarchisation de l’énergie et les indicateurs Emergy. Ces notions sont explicitées en se basant sur l’exemple d’une analyse de la production de poissons en étang. Enfin, l’article détaille les applications possibles de la méthode pour les systèmes agricoles et notamment en production animale.
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-Esteve, D. "L'ergonomie, une composante principale de la conception de systèmes automatiques de production." Revue de l'Electricité et de l'Electronique -, no. 02 (1997): 68. http://dx.doi.org/10.3845/ree.1997.022.

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LIÉNARD, G., P. CORDONNIER, and J. P. BOUTONNET. "Exploitations et systèmes de production d’herbivores. Importance, évolution, questions." INRAE Productions Animales 5, no. 1 (February 28, 1992): 59–85. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.1.4222.

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Abstract:
L’évolution des exploitations d’élevage herbivore françaises a été considérable depuis une vingtaine d’années, à la fois sous l’influence de la démographie, des innovations technologiques, de la mise en place de la Politique Agricole Communautaire, et des transformations économiques générales, dont l’internationalisation des échanges est un des points les plus décisifs pour le secteur agricole et agro-alimentaire. Le texte retrace les grandes évolutions massales des secteurs lait et viande bovine et ovine, et la transformation des systèmes de production. Pour les bovins, l’instauration des quotas laitiers en 1984 est la date charnière à partir de laquelle s’est accélérée la restructuration du secteur laitier, avec une perturbation profonde de la production de viande. En production ovine, l’instauration de la Règlementation Européenne à partir de 1980 a fait passer la production française de l’expansion au repli. Le futur dépendra, entre autres, de quatre facteurs essentiels :- le départ prochain à la retraite d’un grand nombre d’éleveurs sans successeurs va libérer des surfaces plus importantes que par le passé, potentiellement près d’un quart du total : on peut s’interroger sur les conditions dans lesquelles ces surfaces pourront être reprises par les éleveurs restants.- la réforme de la PAC peut modifier radicalement la conception des systèmes de production, notamment vis-à-vis du foncier.- l’influence des transformateurs et des consommateurs sera croissante, avec des exigences accrues vis-à-vis des éleveurs, pour la qualité de leurs productions et même pour les techniques d’élevage mises en oeuvre.- les éleveurs eux-mêmes, notamment les jeunes, chercheront à satisfaire des objectifs nouveaux. A celui du maintien du revenu familial s’ajoutera l’exigence de conditions de travail plus satisfaisantes. Quatre objectifs de recherche pour les éleveurs d’herbivores peuvent, entre autres, être envisagés pour l’avenir :- maintenir la compétitivité des productions bovines,- mieux adapter la production à la demande, quantitativement en volume et dans le temps, et surtout qualitativement selon l’évolution des préférences des consommateurs.- mettre au point des systèmes de production plus diversifiés, aptes à mettre en valeur des milieux très variés.- faire face à des troupeaux de plus grands effectifs, pour permettre une meilleure productivité du travail humain, qui sera le facteur le plus déterminant dans l’avenir.
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Bigand, Michel, Ouajdi Korbaa, and Jean-Pierre Bourey. "Patrons de conception UML appliqués aux modèles d'ordonnancement des systèmes automatisés de production." Journal Européen des Systèmes Automatisés 37, no. 7-8 (October 30, 2003): 975–97. http://dx.doi.org/10.3166/jesa.37.975-997.

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INGRAND, S., and B. DEDIEU. "Numéro spécial : Quelles innovations pour quels systèmes d'élevage ?" INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 1, 2014): 75–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3055.

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Abstract:
Anant-propos « Innover » est un mot d’ordre sociétal qui encourage la communauté des chercheurs à produire des connaissances, des démarches et des outils visant à faire « autrement », à changer de paradigme, ou tout au moins de modèle de production pour ce qui concerne la communauté des agronomes. Pour une grande partie de cette communauté, le débat est centré sur la conception innovante des systèmes agricoles visant de nouveaux compromis entre production (quantité, qualité), protection de l’environnement, maîtrise de la consommation des énergies non renouvelables, tout en contribuant à la sécurité alimentaire globale et à la traçabilité des pratiques. Mais d’autres dimensions doivent être intégrées : la participation des acteurs au processus de conception, la façon dont les différentes sources d’innovations (la recherche, les agriculteurs, les filières, les industriels) interagissent, l’accompagnement de l’engagement dans le changement des exploitants agricoles et le rôle du conseil (public, privé) dans ce cadre, l’étude des verrouillages sociotechniques, etc. La notion d’innovation embarque de fait beaucoup de questions de natures différentes, auxquelles apporter des réponses nécessite une interdisciplinarité entre sciences techniques et sciences sociales. Ce numéro spécial propose une vision de l’innovation dans les systèmes d’élevage centrée sur la contribution des zootechniciens. Il regroupe ainsi huit articles choisis pour traiter des innovations à l’échelle des systèmes d’élevage (et non aux échelles infra – fonctions physiologiques, animal, ou supra – territoire, filière –). Les auteurs ont été sollicités principalement au sein de l’Inra et chez nos partenaires proches (enseignement supérieur agronomique, Instituts techniques et Cirad). A l’Inra, cela concerne les deux départements de recherche au sein desquels des travaux sont conduits sur les systèmes d’élevage, à savoir le département « Sciences pour l’action et le développement » (Sad) et le département « Physiologie animale et systèmes d’élevage » (Phase). Partant des questions générales sur la conception innovante et l’évaluation des systèmes, ce numéro explore différentes leviers de changements radicaux qui sont en germe dans le secteur de l’élevage : l’élevage de précision, l’écologie industrielle, l’agro-écologie, avec leurs déclinaisons (les capteurs appareillés sur les animaux, l’élevage de poissons avec de l’eau recirculée, les systèmes laitiers bas intrants). Deux articles complètent le panorama en s’intéressant au repérage des innovations dans les exploitations d’élevage en France et aux dynamiques diversifiées d’innovation et de changement en Afrique. Les thèmes des articles ont ainsi été pensés pour mixer des réflexions conceptuelles sur l’innovation, en tant qu’objet et en tant que processus, avec des exemples concrets pris soit dans les dispositifs expérimentaux des instituts de recherche, soit chez les éleveurs eux-mêmes. Différentes espèces animales sont concernées par ces exemples, des poissons aux bovins, en passant par les volailles, les ovins et les caprins. Ce numéro spécial souligne ainsi que le secteur de l’élevage n’est pas en reste en matière d’innovations. Mais le champ est vaste et il ne prétend pas en faire le tour, notamment sur le plan des innovations génétiques : il est difficile d’être exhaustif dans un tel exercice ! Pour finir, à la lecture de ce numéro, quelques questions pour l’avenir nous semblent devoir être formulées : - L’innovation dans les systèmes d’élevage se construit aujourd’hui dans des dispositifs partenariaux associant recherche, développement et formation, inventeurs et utilisateurs. Les éleveurs sont au cœur du processus d’innovation et sont bien sûr les acteurs déterminants de sa réussite ou de son échec. Mais le rôle d’autres parties prenantes (filières, conseil public et privé, action publique, acteurs des territoires et industriels) mériterait d’être plus approfondi ; - Dans le secteur de l’agriculture, et en particulier de l’élevage, les applications des innovations portent sur le vivant, en l’occurrence des animaux. Des questions portent sur la considération apportée à ces êtres vivants et aux formes d’interaction entre hommes et animaux dans le travail quotidien. Par exemple, est-il souhaitable, éthique, d’équiper les animaux avec des capteurs divers et variés, au risque de remettre en cause leur bien-être, ou la nature même de l’activité d’élevage ? L’agro-écologie porte-t-elle d’autres formes de considérations des animaux ? Ces questions importantes restent ouvertes ; - L’avenir sera sans doute fait d’une coexistence de deux mouvements qui peuvent apparaître en première approche contradictoires : d’une part, le mouvement vers l’agro-écologie mettant en exergue les propriétés des processus écologiques et d’autre part, le mouvement vers l’automatisation, les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC), l’élevage dit « de précision » s’appuyant sur l’écologie industrielle et la recherche de l’efficience. Mais ne faudra-t-il pas tenter de travailler aussi la mise en synergie de ces deux mouvements ? - L’innovation dans les systèmes d’élevage doit être réfléchie en même temps dans le secteur animal et végétal, en particulier quand il s’agit de raisonner les systèmes fourragers de demain, mais aussi le rôle des cultures dans l’alimentation animale et l’autonomie des exploitations. La polycultureélevage, bien plus qu’une tradition désuète, est sans doute une forme intéressante et prometteuse pour mettre en œuvre les principes tant d’agro-écologie que d’écologie industrielle, avec des modes d’organisation et d’interaction à repenser entre ateliers à l’intérieur de l’exploitation et entre exploitations à l’intérieur d’un territoire. L’année 2014 est marquée par la sortie en France de deux numéros spéciaux consacrés à l’innovation en élevage : le présent numéro d’INRA Productions Animales et celui de la revue Fourrages1. Pour nous, cela est le signe d’un enjeu important perçu par la communauté scientifique agronomique autour des questions d’innovation, à l’heure où l’élevage doit relever le défi d’être multi-performant. 1 L'innovation en systèmes fourragers et élevages d’herbivores : un champ de possibles. Fourrages, 217, mars 2014
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Béguin, Pascal. "Conception et santé : quelques remarques sur le statut de l’activité de travail dans la conception des systèmes de production." Psychologie du Travail et des Organisations 14, no. 4 (2008): 369–84. http://dx.doi.org/10.1016/s1420-2530(16)30198-4.

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LABBÉ, L., F. LEFÈVRE, J. BUGEON, A. FOSTIER, M. JAMIN, and M. GAUMÉ. "Conception d’un système innovant de production de truites en eau recirculée." INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 2, 2014): 135–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3061.

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Abstract:
La faisabilité technique d’un système d’élevage de salmonidés en eau recirculée et ses performances ont été comparées, sur 3 ans, à celle d’un circuit ouvert dans les conditions bioclimatiques de la Bretagne. Seulement 7,2 m3 d’eau neuve par kilogramme de poisson produit ont été nécessaires au lieu de 100 m3 en circuit ouvert. Le dimensionnement des composants du pilote a permis cette forte réduction sans dégradation de la qualité de l’eau d’élevage (N-NH4+ : 0,66 ± 0,13 mg.L-1 ; N-NO2- : 0,12 mg.L-1 ± 0,03). Les principaux indicateurs zootechniques ont été significativement améliorés (de 10 à 15% de croissance pondérale supplémentaire avec un indice de consommation diminué de près de 10%) sans impact sur la mortalité. La reproduction n’a pas été affectée par ce système d’élevage (taux de survie des oeufs embryonnés : 67,03 ± 0,57% vs 62,65 ± 3,36%) et le parasitisme a pu être contrôlé. La qualité de la chair, et notamment la flaveur du filet, n’a pas été altérée. Enfin, l’impact de ce système sur le rendement au filetage et la qualité physicochimique du filet (texture, couleur, teneur en lipides) reste faible. Malgré un impact environnemental réduit, ce système de production est encore peu développé en Europe. La combinaison judicieuse d’améliorations techniques dans la boucle de recirculation et de traitement de l’eau, visant à améliorer l’efficacité du système, pourrait aider la filière piscicole à évoluer vers un mode de production moins dépendant des ressources naturelles, tout en continuant à fournir des produits de qualité au consommateur.
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Normand, Romuald. "L’école efficace ou l’horizon du monde comme laboratoire." Dossier thématique 32, no. 1 (August 31, 2006): 53–70. http://dx.doi.org/10.7202/013476ar.

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Abstract:
Résumé Le paradigme de « l’école efficace » s’appuie sur la promotion de différentes mesures des résultats scolaires, non seulement dans le domaine cognitif ou celui des compétences de base, mais aussi dans celui des compétences sociales ou affectives des élèves. Cette conception de l’évaluation des apprentissages par les tests a contribué à stabiliser les interprétations du monde scientifique et politique dans des normes, des procédures, des informations, contribuant également à inscrire les conceptions de l’école efficace dans les pratiques des acteurs et dans l’orientation des politiques d’éducation. Cet article retrace la construction sociale des réseaux scientifiques et politiques ayant facilité un rapprochement entre recherche, management et politiques de l’éducation, entre production de connaissances scientifiques et outils de pilotage des systèmes éducatifs.
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Andrieu, Nadine, Eduardo Chia, and Eric Vall. "Recherche et innovations dans les exploitations de polyculture-élevage d’Afrique de l’Ouest Quelles méthodes pour évaluer les produits de la recherche ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10116.

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Abstract:
Alors que l’invention peut se définir comme la découverte d’un principe, l’innovation peut être définie comme l’adoption de ce principe par une population (1, 2, 3, 17). En Afrique de l’Ouest, la grande majorité des inventions et leur traduction fréquente en propositions techniques de la recherche pour intensifier les systèmes mixtes agriculture-élevage ont été peu ou n’ont pas été intégrées dans les systèmes de production (11, 13, 14, 18, 21, 23). Ce constat d’échec a amené la recherche à s’interroger sur ses démarches de conception et d’évaluation de ses propositions et à impliquer davantage les acteurs de terrain dans la formulation des problèmes et l’élaboration des solutions dans le cadre de recherches participatives (5, 8, 10, 12, 15, 16). L’analyse des facteurs d’adoption des inventions constitue un premier champ au sein des méthodes d’évaluation existantes. L’objectif est d’identifier les facteurs économiques, institutionnels, structurels ou sociotechniques qui favorisent le passage de l’invention à l’innovation (4, 20). Des outils de modélisation peuvent aussi être utilisés pour analyser le profil des populations susceptibles d’adopter telle ou telle technologie (7, 24). Les méthodes de diagnostic des impacts de la recherche constituent un deuxième champ d’évaluation. Il s’agit d’analyser les effets, prévus ou non, des propositions de la recherche quand elles sont expérimentées sur le terrain ou adoptées (19). La modélisation peut là encore s’avérer un outil puissant pour explorer les impacts potentiels des propositions de la recherche avant leur mise en oeuvre effective au sein des systèmes de production (6, 9, 22). L’objectif de ce numéro thématique est de passer en revue différents travaux sur l’évaluation des propositions de la recherche, récemment réalisés en zone agropastorale d’Afrique de l’Ouest, afin de définir comment concevoir et évaluer des innovations dans cette région. Les contributions se basent sur différentes études menées non seulement dans le domaine de la production et de la santé animales mais aussi dans celui des productions végétales intimement liées à l’élevage dans les systèmes mixtes étudiés. Elles abordent également la gestion socio-économique des exploitations et, en particulier, intègrent les projets des producteurs. Cette diversité de terrains et d’approches permet d’enrichir la réflexion sur les méthodes d’évaluation des innovations dans les systèmes d’élevage et dans les systèmes agro-sylvo-pastoraux de cette région. Les trois premiers articles s’intéressent aux facteurs d’adoption des produits de la recherche. Bouyer et coll. analysent les facteurs ayant joué sur l’adoption d’une nouvelle méthode de lutte sanitaire acaricide en milieu paysan au Burkina Faso. Ngondjeb et coll. étudient les facteurs d’adoption de techniques de lutte contre l’érosion hydrique des sols en zone cotonnière du Cameroun. Dans des contextes de changements socio-économiques induisant des stratégies adaptatives de producteurs camerounais, Pedelahore et coll. s’interrogent sur la place de processus d’intensification promus par la recherche. Ces méthodes fournissent des pistes pour mieux caractériser la diversité des besoins et des contraintes des populations cibles. Les autres travaux concernent surtout les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche. Ces évaluations sont prospectives pour deux articles : les travaux de Dabire et coll. explorent les impacts potentiels de la prévision saisonnière des pluies sur les performances économiques des exploitations familiales burkinabés ; ceux de Deffo et coll. évaluent les effets de différents systèmes de culture sur la durabilité des exploitations. L’article de Sempore et coll. combine évaluation prospective et évaluation ex post, respectivement avant et après l’expérimentation d’ateliers d’embouche chez des agroéleveurs. Trois articles analysent a posteriori les impacts de propositions expérimentées ou adoptées par les producteurs : Blanchard et coll. mesurent l’impact de l’utilisation raisonnée de la fumure organique au champ sur les rendements et les revenus de producteurs burkinabés ; Fokou et coll. explorent les liens entre, d’une part, les innovations technologiques et organisationnelles et, d’autre part, les relations de pouvoir dans des systèmes de production laitiers du Mali. Enfin, en s’inspirant d’une méthode expérimentée à la Réunion (France), Vayssières et coll. cherchent à mieux prendre en compte les consommations énergétiques et les émissions de gaz à effet de serre dans les exploitations d’élevage d’Afrique de l’Ouest dans la conception de systèmes agropastoraux plus respectueux de l’environnement. L’objectif global de ces travaux est de consolider les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche pour sélectionner les propositions qui contribuent le mieux au développement durable des systèmes agro-sylvo-pastoraux d’Afrique de l’Ouest.
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Girard, Nathalie, Frédéric Goulet, Frédérique Jankowski, Cécile Fiorelli, Laurence Fortun-Lamothe, Pierre Martin, Lorène Prost, and Françoise Vertès. "Produire des connaissances pour et sur la transformation des systèmes agricoles. Retours sur une école-chercheurs interdisciplinaire." Natures Sciences Sociétés 25, no. 3 (July 2017): 276–84. http://dx.doi.org/10.1051/nss/2017055.

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Abstract:
Les modes de production des connaissances scientifiques dans le domaine agricole sont questionnés par l'écologisation des pratiques ou l'essor des sciences participatives. Les pratiques de recherche, tant en sciences biotechniques qu'en sciences humaines, et leur relation aux connaissances autres que scientifiques, en ressortent interpellées. Comment articuler ces différents types de connaissances dans l'activité scientifique ? Quelles interactions avec nos propres connaissances de chercheurs ? Comment accéder aux connaissances des agriculteurs, et qu'en faire ? Que faire dans des situations où les connaissances deviennent source de tension ? Cet article rend compte des réflexions qui ont émergé lors de la conception et de l'animation de l'école-chercheurs organisée par l'Inra et le Cirad en juin 2016. Son objectif était d'outiller les participants pour analyser et agir avec réflexivité dans ces situations. Nous analysons les étapes de sa conception et les échanges interdisciplinaires qu'elle a nécessités dans l'équipe organisatrice, les cadrages et modalités pédagogiques choisis, et enfin leurs impacts sur le déroulement de l'école.
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GUINARD-FLAMENT, J., P. G. MARNET, I. VERDIER-METZ, C. HURTAUD, M. C. MONTEL, K. STELWAGEN, and D. POMIÈS. "La traite, un outil de pilotage du troupeau et de maîtrise de la qualité du lait en élevage bovin laitier." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 17, 2013): 193–206. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3147.

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Abstract:
Cette synthèse fait le point sur les effets directs et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Les effets recherchés répondent à des besoins de pilotage du troupeau ou de maîtrise de la qualité du lait. Ils visent à ajuster le niveau de production laitière sur l’exploitation, optimiser la qualité chimique, structurelle et microbienne du lait et piloter la conduite du troupeau. Les moyens pour intervenir sont variés allant de modifications de fréquence/intervalles de traite, à l’optimisation de la conception et des réglages de la machine à traire et des systèmes de stockage/réfrigération du lait en passant par les pratiques de traite. Il ressort de cette synthèse que la modulation de la fréquence de traite est un outil efficace pour moduler la production de lait et la durée de la lactation, et qu’elle peut contribuer à améliorer les performances de reproduction, gérer les réserves corporelles des vaches et dans certains cas limiter l’apparition de boiteries. Les choix de matériel de traite et de stockage/refroidissement du lait ainsi que les réglages de la machine à traire permettent d’optimiser l’extraction du lait, la durée de la traite et de collecter et conserver un lait d’une qualité maîtrisée sans nuire à la santé de la mamelle. Enfin, l’entretien de la machine à traire, les pratiques de traite et la peau des trayons des animaux semblent jouer un rôle primordial sur la richesse des laits crus en germes d’intérêt pour l’industrie laitière, les équilibres microbiens résultant d’une combinaison de pratiques de production dont la hiérarchisation reste encore difficile.
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COULON, JB, P. LECOMTE, M. BOVAL, and J. M. PEREZ. "Introduction générale." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 3, 2011): 5–8. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3232.

Full text
Abstract:
L’agriculture, et plus particulièrement les productions animales, sont depuis quelques années au cœur des préoccupations mondiales, si l’on en juge par les nombreux rapports que les institutions internationales, ainsi que l’INRA et le CIRAD, leur ont récemment consacré (Millenium Ecosystem Assessment 2005, IPCC 2006, Steinfeld et al 2006, World Bank 2008, FAO 2009, Steinfeld et al 2010, Dorin et al 2011). Deux points forts ressortent de ces exercices de prospective : 1/ Le poids économique et social de l'élevage dans l'agriculture mondiale est considérable :- La planète compte, toutes catégories confondues, 19 milliards d’animaux d'élevage dont 70% sont détenus par des éleveurs hors pays industrialisés ; - On comptait en 2000 : 1 porcin pour 7 habitants, 1 bovin pour 4 habitants, 1 petit ruminant pour 3 habitants, et plus de 2 volailles par habitant ; - Environ 250 millions d'animaux de trait apportent la force de travail pour près de la moitié des cultures vivrières dans les agricultures familiales des pays en développement ;- L’élevage mobilise environ 4 milliards d’ha de surfaces en herbe (soit près de 30% des terres émergées non gelées), fournit le tiers des protéines pour l’alimentation humaine et représente 40% de la valeur de la production agricole brute mondiale ;- On prévoit d’ici à 2050 le doublement des productions animales, essentiellement par une forte expansion des activités d’élevage dans les pays du Sud ;- Quant à l’approvisionnement futur en produits aquatiques, il repose sur l’essor de l’aquaculture (50% déjà du marché mondial), qui est le secteur de l’élevage lato sensu ayant la plus forte croissance surtout dans la zone AsiePacifique ;- L’élevage contribue aux moyens de vie d’un milliard de pauvres dans les pays du Sud et emploie au total 1,3 milliard de personnes dans le monde. 2/ Les productions animales doivent faire face, plus que les productions végétales, à de nombreuses interrogationset remises en cause qui interpellent la recherche et le développement. On peut les résumer de la façon suivante :comment répondre à l’augmentation considérable de la demande en produits animaux, notamment dans les pays du Sud, dans un contexte de compétition forte sur les ressources pour l’alimentation humaine et de la nécessite d’une prise en compte des impacts environnementaux de l’élevage, qu’ils soient positifs (services environnementaux rendus par les systèmes de productions animales) ou négatifs (contribution au changement climatique liées aux émissions de GES, dégradation de la biodiversité, consommation importante d’eau et d'énergie, détérioration de la qualité des eaux par les effluents d’élevage). Ces interrogations ne se déclinent pas de la même façon dans les pays du Nord et du Sud, parce que la place de l’élevage dans la société et les enjeux de son développement y sont différents. Les productions animales au Sud se trouvent ainsi dans une situation paradoxale : elles doivent faire face à une évolution importante de la demande à moyen terme, dans un contexte nouveau, marqué notamment par les tensions sur les disponibilités et les coûts des intrants et par la prise en compte impérative tant des contributions que des effets liés au changement climatique. C’est dans ce contexte particulier, et en prolongement de la réflexion menée par l’INRA et le CIRAD dans le cadre du chantier PARC rappelé dans la préface, que la Rédaction de la revue INRA Productions animales a décidé de consacrer un numéro complet au thème de l’Elevage en régions chaudes (Coulon et al 2011). Les contributions rassemblées dans ce numéro spécial ont pour ambition de faire une synthèse approfondie de l’état connaissances et des expériences acquises en termes d’élevage en régions chaudes. Les productions animales sont analysées à différents niveaux d’organisation, tenant compte de leur spécificité et des interrelations entre les diverses échelles, permettant une visualisation à la fois circonstanciée et large de la situation de l’élevage dans le monde. Les auteurs fournissent ainsi un panel de résultats, d’illustrations, de solutions et d’alternatives innovantes, ainsi que de nouvelles pistes et priorités de recherche. Celles-ci peuvent réellement contribuer à mieux appréhender la multifonctionnalité de l’élevage, la durabilité de son développement et ses évolutions à venir. Après une présentation des éléments d’évolution des productions animales au niveau mondial (Gerber et al), le deuxième article synthétise les nombreuses connaissances acquises concernant les ressources alimentaires tropicales (diversité, disponibilité et valeur nutritive), utilisables en hors-sol ou au pâturage (Archimède et al). Pour les animaux, ruminants et monogastriques, les caractères majeurs d’adaptation aux effets directs du climat, à la sous-nutrition ou aux maladies parasitaires sont développés, et des options d’optimisation de la productivité et de la résilience sont proposées (Mandonnet et al). Dans le domaine de la santé, les maladies infectieuses animales constituent des contraintes économiques fortes ainsi que des risques pour la santé humaine ; des stratégies pour faire face à cette situation sont formulées, concernant à la fois la conduite des systèmes d’élevage et l’organisation de réseaux de surveillance à l’échelle régionale (Lancelot et al). L’article suivant insiste sur la nécessaire prise en compte de la qualité des produits par les producteurs et les transformateurs et l’importance des règles de caractérisation et de gestion de cette qualité, dans un contexte spécifique aux pays du Sud en termes de conditions climatiques, économiques et sociologiques (Faye et al). Les interactions entre l’environnement et les systèmes d’élevage diversifiés sont décrites et illustrées tant en termes d’impacts que de services agro-écologiques, et diverses pistes sont suggérées pour une gestion plus durable de ces systèmes en régions chaudes (Blanfort et al). En sus de la composante environnementale, et au vu de la diversité des systèmes d’élevage et de leur multifonctionnalité, une démarche essentielle de conception-évaluation de systèmes durables est explicitée, illustrée d’exemples géographiques contrastés (Dedieu et al). A une échelle plus large, les auteurs examinent les interactions entre les territoires ou espaces de production et les filières et proposent un modèle d’analyse appliqué à quatre territoires représentatifs du Sud (Poccard et al). Enfin l’élevage, marqueur socioculturel de nombreuses sociétés du Sud, est analysé comme contributeur culturel et capital social, pour son rôle économique majeur à l’échelle des familles, mais également en faveur de la sécurité alimentaire et le développement local (Alary et al). Souhaitons que ces articles de synthèse et les pistes de recherche évoquées dans ce numéro thématique incitent les chercheurs de l’INRA et du CIRAD à renforcer leur collaboration et à proposer de nouvelles approches de la conception et de l’évaluation des systèmes d’élevage en régions chaudes.
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Camara, Younouss, Mouhamadou Moustapha Sissokho, Moussa Sall, Frédéric Farnir, and Nicolas Antoine-Moussiaux. "Programmes de sélection du bovin N’Dama en Afrique de l’Ouest : cas du Sénégal, du Mali et de la Gambie." Cahiers Agricultures 29 (2020): 11. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020010.

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Abstract:
La sélection génétique est un moyen pour augmenter la productivité des races endémiques dans des environnements hostiles. La trypanotolérance du bovin N’Dama a été l’argument central de la mise en œuvre des programmes de sélection de cette race en Gambie, au Mali et au Sénégal. Ces programmes ont eu des trajectoires différentes selon les objectifs, le processus de conception et les stratégies développées. L’analyse de ces trajectoires aiderait à mieux comprendre leurs succès et leurs échecs. Pour ce faire, une étude comparative de ces programmes a été réalisée en se basant sur une littérature scientifique publiée et non publiée et des entretiens avec les acteurs. L’analyse a d’abord consisté à décrire chaque programme. Une discussion a ensuite été menée pour évaluer les facteurs de succès et d’échec. Cette analyse a montré que ces facteurs dépendent de l’intérêt des éleveurs en lien avec leurs objectifs de production et leurs pratiques, de la stratégie utilisée tenant compte de l’intégration ou non de la trypanotolérance dans les critères de sélection, et de la mobilisation des ressources financières et humaines. Ces programmes de sélection ont aussi généré un capital d’expériences, dont la valorisation permettrait d’améliorer les systèmes actuels et de bâtir des programmes durables de sélection pour les systèmes d’élevage à faibles niveaux d’intrants dans les pays en développement.
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BAUMONT, René, and Jean-Louis PEYRAUD. "avant-propos." INRA Productions Animales 28, no. 1 (January 10, 2020): 3–4. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.1.3005.

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Abstract:
Dans un contexte économique incertain et face à des demandes sociétales de plus en plus pressantes, les filières animales ont des défis majeurs à relever : assurer leur compétitivité et la viabilité économique des élevages ens’adaptant à l’ouverture des marchés et à une plus grande volatilité des prix ; reconstruire un modèle social en repensant l’acceptabilité de l’élevage et le métier d’éleveur ; produire des aménités reconnues par la société enlimitant les effets négatifs sur l’environnement et en qualifiant les services écosystémiques et patrimoniaux produits par les activités d’élevage. Répondre à ces enjeux nécessite de mettre en place de nouveaux modes de partenariats entre les acteurs. Le Groupement d’Intérêt Scientifique (GIS) « Elevages Demain » crée en 2010 (www.gis-elevages-demain.org) et dédié aux systèmes de production animale (ruminants, porcs et volailles) à hautes performances économiques,environnementales et sociétales, rassemble quatorze partenaires de la recherche, du développement et des filières professionnelles. Cette démarche s’inscrit dans la volonté de l’ensemble des acteurs des filières animales derépondre ensemble aux défis posés à l’élevage afin de proposer de nouveaux modèles productifs, économiquement viables, respectueux de l’environnement et socialement acceptables et équitables, en un mot : durables. Lesorganismes initiateurs du GIS « Elevages Demain » se fixent donc comme objectif de définir les conditions d’une meilleure compatibilité entre les différentes catégories de performances (techniques, économiques, environnementales, sociales) des systèmes de production animale et de proposer des solutions qui soient innovantes et adaptées à la variété des contextes territoriaux et des filières. Les actions de recherche conduites par le GIS « Elevages Demain » s’organisent autour de quatre axes thématiques : i) les relations entre élevage, filières et territoire, avec une action sur les services rendus par l’élevage et une autre sur l’emploi dans les filières animales ; ii) les relations entre l’élevage et la société avec une action visant à recenser et à analyser les principales controverses ; iii) l’évaluation multicritère de la durabilité des systèmes d’élevage avec l’élaboration d’un guide méthodologique réalisé en commun avec le GIS « Grandes cultures à hautes performances économiques et environnementales » et iv) la conduite des animaux et des systèmes d’élevage avec des actions sur le phénotypage animal (avec le GIS Agenae), l’élevage de précision et l’agro-écologie en élevage.Les Réseaux Mixtes Technologiques du domaine de l’élevage constituent une autre forme de partenariat qui a pour objectif de constituer des pôles d’expertises pour les professionnels de l’élevage et les pouvoirs publics en stimulant les synergies entre disciplines, filières et territoires et sur des domaines précis, tels que l’économie des filières d’élevage, le travail en élevage, l’élevage et l’environnement, le bien-être animal, les bâtiments d’élevage etc...A travers son objectif de synthétiser les connaissances et de diffuser les résultats de la recherche sur les productions animales à un large public, la revue INRA Productions Animales s’efforce d’apporter régulièrementdes contributions pour éclairer le débat scientifique et sociétal sur les enjeux et les défis que doivent relever les productions animales. Ce fut le cas du dossier consacré aux « Gaz à effet de serre en élevage bovin », des numérosspéciaux sur le « Travail en élevage » ou sur « Quelles innovations pour quels systèmes d’élevage ? » pour ne citer que quelques exemples récents. C’est pourquoi nous avons souhaité réunir dans ce premier numéro de l’année2015 quatre articles complémentaires : - Le premier, issu d’un travail mené dans le RMT « Economie des filières animales », propose un état des lieux précis et une analyse détaillée des facteurs explicatifs de la spécialisation territoriale et de laconcentration des productions animales européennes. Il pose ainsi clairement un certain nombre d’enjeux relatifs aux services et aux « dys-services » rendus par les productions animales et à l’acceptabilité de cette concentration par la société ; - Le deuxième, issu d’un groupe de travail du GIS « Elevages Demain », propose une méthodologie originale pour identifier, qualifier et évaluer les multiples services économiques, environnementaux, sociaux et culturels rendus par les activités d’élevage. Cet article pose ainsi un certain nombre de questions de recherche pour progresser dans la quantification et l’évaluation de ces services ;- Le troisième, également issu d’un groupe de travail du GIS « Elevages Demain », présente le recensement et l’analyse des principales controverses qui traversent la société sur l’élevage à partir du regard croisé de différents acteurs. Cet article pose aussi de nombreuses questions de recherches sur les déterminants des attentes de la société vis-à-vis de l’élevage et sur les mécanismes permettant de résoudre ces controverses. - Le quatrième, issu du travail conduit par l’INRA dans le cadre de l’étude commanditée par le Commissariat Général à la Stratégie et à la Prospective, propose une méthodologie de conception et d’évaluation de systèmes de production multiperformants, c’est-à-dire conjuguant performances productives, économiques, environnementales et sociales. En s’appuyant sur un large répertoire de pratiques agricoles élémentaires dont l’impact a été qualifié sur les différentes catégories de performances, cette méthode se veut applicable à une large diversité d’orientations productives. Enfin, nous avons souhaité clore ce numéro avec un texte, issu d’une réflexion menée dans le GIS « Elevages Demain », sur les réseaux de référence en élevage et leur avenir. Ces dispositifs constituent de réelles infrastructures immatérielles de recherche et développement, et dans un contexte budgétaire contraint, il importe de les faire évoluer pour mieux répondre aux nouvelles attentes en lien avec la durabilité des élevages.
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FIORELLI, C., S. MOURET, and J. PORCHER. "Les rationalités du travail avec les animaux d'élevage : produire, vivre ensemble et se construire." INRAE Productions Animales 25, no. 2 (June 1, 2012): 181–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.2.3207.

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Abstract:
Pour les zootechniciens, comprendre la diversité des rapports au travail des éleveurs est un préalable nécessaire à la conception de systèmes d’élevage qui soient plus durables. Pour rendre compte de cette diversité, nous mobilisons trois recherches portant sur la dimension affective, le sens moral et le rapport subjectif au travail en élevage, fondées sur des enquêtes auprès d’éleveurs. Celles-ci montrent que, du point de vue des personnes enquêtées, travailler avec des animaux d’élevage, ce n’est pas seulement produire, c’est aussi se construire et vivre ensemble avec les animaux et entre êtres humains. Les rationalités du travail avec les animaux sont donc multiples et ne sont pas seulement d’ordre technico-économique. L’amitié, le pouvoir, la morale, la construction de soi, le contact avec la nature, l’autonomie décisionnelle et organisationnelle fondent les rationalités relationnelles et identitaires du travail. L’organisation du travail conditionne fortement la possibilité pour les éleveurs d’éprouver du plaisir ou au contraire de la souffrance : réduire le travail des hommes avec les animaux à sa rationalité technico-économique est cause de souffrances. Sur la base de ces résultats nous proposons deux innovations : un concept de camion-abattoir alternatif à l’abattage industriel, et un cadre d’analyse qui articule deux points de vue, technique et humain sur l’organisation du travail, visant à renouveler le conseil agricole.
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Abbou, Rosa, Zineb Simeu-Abazi, and Maria Di Mascolo. "Atelier de maintenance intégré dans un système de production. Conception et évaluation des performances." Journal Européen des Systèmes Automatisés 38, no. 1-2 (February 2004): 197–223. http://dx.doi.org/10.3166/jesa.38.197-223.

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Darses, Françoise. "Trois conditions socio-techniques pour l’optimisation de la conception continue du système de production." Revue Française de Gestion Industrielle 21, no. 1 (March 1, 2002): 5–27. http://dx.doi.org/10.53102/2002.21.01.418.

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Barbouche, Rached. "Modélisation, représentation et cartographie des formes du décor architectural." SHS Web of Conferences 47 (2018): 01001. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184701001.

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Abstract:
La production des formes en architecture est un acte dans lequel se construit le projet et se façonne l’espace. Elle est une action qui structure l’environnement humain. La conception architecturale est aussi une production spatiale de formes et exploration de potentialités de composition. Deux approches nous intéressent ici : formalisation du savoirfaire architectural et analyse des modes de composition en architecture. Il s’agit d’une part de comprendre la notion de composition, d’organisation et de configuration architecturale et d’autre part de décomposer, segmenter et caractériser morphologiquement un ensemble d’objets architecturaux (décors des fenêtres) en vue de mettre en évidence et d’expliquer les lois du système de formes qu’ils organisent. L’objectif est de développer des outils d’aide à la conception architecturale dans le cadre de la pédagogie du projet et de l’informatisation du savoir-faire architectural. La mise en place d’un environnement virtuel et d’un dispositif de matérialisation spatiale de formes apporte une aide opératoire dans la conception architecturale.
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TRAVEL, A., Y. NYS, and E. LOPES. "Facteurs physiologiques et environnementaux influençant la production et la qualité de l’œuf." INRAE Productions Animales 23, no. 2 (April 10, 2011): 155–66. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.2.3297.

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Abstract:
La qualité de l’œuf se révèle fortement influencée par les modifications physiologiques liées à l’âge de la poule, à une mue ou par les conditions environnementales (température, lumière et système d’élevage). Le poids de l’œuf augmente avec l’âge des poules, du fait notamment d’un accroissement de la part de jaune. L’âge de la poule réduit la qualité de la coquille ainsi que les propriétés fonctionnelles des œufs. La mue restaure, pour un cycle plus court, les performances des poules et la qualité des œufs, dégradée en fin de premier cycle. L’augmentation de la température ambiante en élevage entraîne, dès 30°C, des perturbations de l’équilibre acido-basique et une chute de la consommation d’aliment. Celles-ci réduisent la production d’œufs, leur poids et leur qualité de coquille. Les programmes lumineux mis en place avant et après l’entrée en ponte, conditionnent la courbe de ponte. L’application de nycthémères supérieurs à 24 h ou de programmes fractionnés symétriques augmente le poids d’œuf et l’épaisseur de coquille mais les directives européennes interdisent leur usage. La qualité sensorielle, nutritionnelle ou technologique de l’œuf est faiblement affectée et de manière inconstante par le système de production, volière ou cage. Certaines cages aménagées ont initialement engendré une détérioration de l’intégrité des œufs mais des modifications de leur conception, de la disposition des aménagements et de la taille du groupe aboutissent progressivement à l’obtention de résultats comparables à ceux obtenus en cages conventionnelles.
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ARROYO, J., J. AUBIN, A. AUVERGNE, J. P. DUBOIS, M. BRACHET, X. FERNANDEZ, P. DEBAEKE, and L. FORTUN-LAMOTHE. "Conception et évaluation d’un système innovant de production de foie gras : le cas de la substitution du maïs par du sorgho chez l’oie." INRAE Productions Animales 26, no. 5 (December 19, 2013): 435–48. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3172.

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Abstract:
Cet article présente le déroulement d’une démarche d’éco-conception pour proposer des innovations permettant de réduire les impacts environnementaux de la production de foie gras d’oie. Une Analyse de Cycle de Vie portant sur l’itinéraire standard de production du foie gras d’oie français a permis de montrer que l’alimentation explique la majeure partie des impacts environnementaux de ce produit (plus de 50% en moyenne) et qu’elle représente donc le levier d’action le plus pertinent. Plusieurs expérimentations ont été réalisées afin d’évaluer les possibilités d’utilisation du sorgho, la réponse du système biologique par rapport à l’utilisation du maïs, et les conséquences sur la durabilité environnementale à l’échelle du cycle de vie du produit jusqu’à la sortie de l’abattoir et sur la durabilité économique et sociale à l’échelle de l’exploitation, d’une substitution du maïs par du sorgho dans la ration alimentaire des oies. Les travaux montrent qu’une substitution totale du maïs par du sorgho dans la ration alimentaire est techniquement possible. Elle réduit la plupart des impacts environnementaux de la fabrication d’1 kg de foie gras (potentiel de réchauffement climatique : - 18%, potentiel d’acidification : -12%, utilisation d’énergie primaire : - 23%, utilisation de la ressource en eau : - 62%) et améliore de nombreux indicateurs de performances de durabilité économique, tel que l’indice de consommation (- 9,4%) ou le poids de foie (+ 13%). Cependant certains indicateurs économiques et sociaux sont dégradés, tels que l’intention de consommer à nouveau le produit (- 17 pts) en raison d’un foie de couleur plus pâle, et l’augmentation de la mortalité en gavage (+ 4,6 pts). L’ensemble des résultats suggère que l'utilisation du sorgho dans l’alimentation des oies peut améliorer la durabilité de la production de foie gras. Plusieurs ajustements dans l’itinéraire de production sont nécessaires pour optimiser l’utilisation de cette matière première.
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Abdelaziz, D., I. Hermelin-Jobet, and P. Martin. "Conception d'une installation de production d'eau pour hémodialyse. Élaboration d'un système qualité. Retour d'expérience (2e partie)." ITBM-RBM 21, no. 4 (September 2000): 241–63. http://dx.doi.org/10.1016/s1297-9562(00)90006-8.

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Abdelaziz, D., I. Hermelin-Jobet, and P. Martin. "Conception d'une installation de production d'eau pour hémodialyse. Élaboration d'un système qualité. Retour d'expérience (1re partie)." ITBM-RBM 21, no. 3 (June 2000): 164–89. http://dx.doi.org/10.1016/s1297-9562(00)90031-7.

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FAYE, B., and J. BARNOUIN. "Les boiteries chez la vache laitière, Synthèse des résultats de l’enquête Eco-Pathologique continue." INRAE Productions Animales 1, no. 4 (October 11, 1988): 227–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.4.4456.

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Abstract:
La pathologie du pied chez la vache laitière représente un ensemble d’affections qui touche en moyenne près d’un animal sur cinq dans les élevages, et peut représenter un véritable fléau économique dans certaines exploitations très atteintes. Cette pathologie paraît fortement liée au système de production c’est-à-dire à la nature du bâtiment (19,3 % de boiteries en stabulation libre permanente vs 9,7 % en stabulation entravée), au degré d’intensification de l’élevage (plus grande sensibilité des vaches pie-noires, hautes productrices, aux affections podales), à l’alimentation (plus grand nombre de cas de boiteries métaboliques répertorié lorsque la ration de base comprend de l’ensilage de maïs à volonté et lorsque les changements de ration sont plus nombreux en période hivernale). L’augmentation des fréquences observées semble être le corollaire d’une production intensifiée. Cependant, il n’y a pas de lien de cause à effet. Plus simplement l’intensification nécessite une meilleure maîtrise technique de la part de l’éleveur. Les fautes de conduite en matière de prévention des boiteries (absence de méthodes prophylactiques telles que parage préventif, passage au pédiluve), l’absence de complémentation minérale, les excès alimentaires, une mauvaise conception du bâtiment sur le plan du confort et de la protection contre les intempéries, sont sanctionnées par une augmentation significative des troubles podaux observés.
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REMY, Jean. "Urbanisation de la ville et production d’un régime d’échanges." Sociologie et sociétés 4, no. 1 (September 30, 2002): 101–20. http://dx.doi.org/10.7202/001617ar.

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Abstract:
Résumé L'urbanisation est analysée comme un processus à distinguer du couple ville-campagne, supposant deux réalités physiques sinon deux entités sociales différentes. Ce processus est associé à une tranformation du régime d'échanges. Ce terme est pris, non dans un sens économique strict, mais plutôt à la manière dont Mauss en parlait dans son essai sur le don. Il s'agit de déterminer comment, dans le processus d'urbanisation, les rapports sociaux s'articulent à travers un rapport à l'espace. L'urbanisation est d'abord examinée comme un processus d'intensification et de diversification du régime des échanges : liens superficiels, espaces intermédiaires et indétermination des échanges, temps et espace propres à faible visibilité externe, multiplication des conflits sans désorganiser le système. À partir de là, on examine comment les facilités de communiquer ont une incidence sur les structures spatiales traditionnelles. Cela aboutit à une analyse de la liaison entre la structure urbaine et la structure sociale. À ce moment, on se demande comment une valorisation d'une conception de classe moyenne crée une ambiguïté dans la perception de la position sociale et a des effets de sens opposé d'après les groupes sociaux. Ainsi est remise en question une certaine image de l'homme urbain moyen auquel l'urbanisation profiterait, quoique avec des intensités variables, d'après le niveau du revenu, le niveau d'instruction et d'autres facteurs.
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MEYNARD, J. M., and J. Y. DOURMAD. "L’innovation en élevage : de nouvelles démarches pour de nouveaux enjeux." INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 1, 2014): 77–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3056.

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Abstract:
En guise d’introduction à un numéro spécial de la revue « INRA Productions Animales » sur l’innovation, cet article s’interroge sur la contribution des chercheurs au processus d’innovation. Il montre que les moteurs du changement en agriculture et en élevage appellent à un intense effort de conception innovante, et propose un panorama des démarches qui peuvent être mises en œuvre pour ce faire : conception de novovs pas à pas, conception assistée par modèle vs en atelier de conception, conception au niveau du système d’élevage d’un agriculteur ou au niveau du territoire. Il passe en revue les cadres d’analyse utilisés pour étudier les innovations in situ et anticiper les conditions de leur diffusion : typologies d’adoptants, verrouillage technologique, etc. Il conclut sur l’importance de revisiter la posture des chercheurs vis à vis de l’innovation.
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Monicat, François, Pierre Marie Borne, and P. Maron. "Système d'élevage et économie de la production caprine dans les zones traditionnelles du Zimbabwe. I. Les bâtiments d'élevage." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 45, no. 1 (January 1, 1992): 69–80. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8961.

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Abstract:
Dans le cadre de l'enquête nationale sur "la mortalité des chevreaux dans les zones communales du Zimbabwe", les caractéristiques de 219 bâtiments d'élevage, utilisés par les petits ruminants, ont été enregistrées et analysées. Ces informations portent sur les matériaux de construction, la forme et la structure du bâtiment, les conditions d'environnement, l'utilisation et l'entretien. Cinq types de bâtiments ont été mis en évidence à partir de leurs caractéristiques structurelles (forme, surface et matériaux de construction). L'étude conjointe du bâtiment, de son utilisation et de son environnement naturel et socio-économique a permis de proposer quatre modèles simples de conception et d'utilisation du bâtiment d'élevage dans les zones communales du Zimbabwe : le bâtiment dans son environnement traditionnel, le bâtiment dans un système d'agriculture intensifié, le grand enclos traditionnel des zones arides et le bâtiment minimal. Après analyse des contraintes et des limites d'utilisation, des axes de travail sont proposés pour améliorer le fonctionnement des structures existantes.
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Dessales, Hélène. "L'archéologie de la construction: Une nouvelle approche de l'architecture romaine." Annales. Histoire, Sciences Sociales 72, no. 1 (March 2017): 75–94. http://dx.doi.org/10.1017/s039526491700004x.

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Abstract:
RésuméNouvelle orientation disciplinaire, l'archéologie de la construction se définit comme l’étude de toutes les traces matérielles qui informent sur la conception, la construction et la gestion d'un édifice. Elle permet d’élargir l'approche de l'architecture romaine, jusqu'alors envisagée principalement du point de vue des typologies monumentales et décoratives. L'objectif de cette contribution est d'en caractériser les différentes spécificités et les apports. Si l'archéologie de la construction entretient des liens méthodologiques évidents avec l'archéologie du bâti, notamment par la stratigraphie verticale des élévations, elle s'en distingue par son échelle d’étude, celle du chantier de construction, dont elle entend restituer le contexte de production et toute la dynamique. Sept composantes sont considérées, éclairées par des recherches archéologiques récentes : le projet initial de l’édifice, la préparation du site, la mise en place des infrastructures, la production des matériaux, leur transformation, leur mise en œuvre dans la construction, les opérations de finition et de décoration. Les données recueillies permettent d'associer l'archéologie des techniques et l'histoire socio-économique, en considérant le chantier de construction comme un système de production et d’échange, dans toutes ses interactions avec la société romaine.
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Daune-Richard, Anne-Marie, and Anne-Marie Devreux. "Rapports sociaux de sexe et conceptualisation sociologique." Articles 5, no. 2 (April 12, 2005): 7–30. http://dx.doi.org/10.7202/057697ar.

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Abstract:
La déconstruction d'une conception biocentriste des sexes en sociologie et la mise en évidence, par les travaux féministes des années 1970, de l'existence d'un système des sexes a ouvert la voie à l'élaboration d'une théorie des rapports sociaux entre les sexes. Cette théorie critique et redéfinit certains concepts clés (travail, production, mobilité), déplace les frontières disciplinaires (sociologie du travail, sociologie de la famille), en même temps qu'elle élargit les débats sur des thèmes sociologiques fondamentaux : relations entre rapport social et catégorisation sociale, reproduction sociale et changement, structures et acteurs et actrices, pratiques sociales et représentations. Aujourd'hui, ce travail de théorisation se poursuit à travers l'élaboration d'outils d'analyse sociologique (de concepts opératoires) susceptibles de rendre compte de la dynamique qui est le propre d'un rapport social, le rapport social entre les sexes en particulier.
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Jean-Bouchard, Évelyne. "Une histoire de droits : jeu d’acteurs et pluralisme juridique en République démocratique du Congo." Revue générale de droit 44, no. 1 (September 3, 2014): 193–216. http://dx.doi.org/10.7202/1026402ar.

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Abstract:
Le pluralisme juridique est une approche théorique qui critique l’exclusivité du droit de l’État. Cependant, il existe autant de conceptions du pluralisme juridique que de penseurs pluralistes. Et les jeunes chercheurs qui désirent s’aventurer sur cette voie se retrouvent bien vite submergés par l’éventail de possibilités que leur offre cette école de pensée. Dans cette perspective, une analyse historique peut servir de première exploration empirique d’un objet de recherche. C’est ce que nous allons effectuer dans ce court essai, sur le terrain qui est le nôtre, soit l’est de la République démocratique du Congo (RDC). En RDC, il faut comprendre le pluralisme juridique comme la combinaison de différents systèmes normatifs superposés à des échelles différentes, lesquels se mélangent dans les pensées et les actions des individus. À une certaine porosité juridique s’ajoute donc le rôle des acteurs sociaux dans la production et la reproduction du droit. Et c’est le modèle du jeu que l’anthropologue français Étienne Le Roy a conçu qui nous permet de théoriser de manière adéquate tous ces éléments.
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MOLENAT, G., D. FOULQUIER, P. AUTRAN, J. BOUIX, D. HUBERT, M. JACQUIN, F. BOCQUIER, and B. BIBE. "Pour un élevage ovin allaitant performant et durable sur parcours : un système expérimental sur le causse du Larzac." INRAE Productions Animales 18, no. 5 (December 18, 2005): 323–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.5.3536.

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Abstract:
Sur le Causse du Larzac, plusieurs Unités de recherche de l’INRA collaborent à la conception d’un élevage ovin allaitant performant sur pelouses sèches dans le but de concilier les fortes exigences zootechniques avec l’entretien d’un milieu ouvert. La végétation pastorale est au cœur du système de production expérimental ; son renouvellement doit être assuré et son usage privilégié comme ressource alimentaire principale d’un élevage qui doit tendre vers la durabilité. Les travaux ont été menés selon plusieurs orientations complémentaires : études génétiques autour de l’animal productif adapté ; élaboration de pratiques d’élevage en plein air ; raisonnement des calendriers et des conduites de pâturage valorisant la pelouse avec des adaptations innovantes. C’est ainsi qu’au domaine de La Fage, des brebis prolifiques INRA 401, agnelant en début de printemps, sont élevées en plein air intégral sur parcours et alimentées majoritairement par la végétation spontanée dont une faible proportion a été fertilisée. Différentes options d’exploitation des ressources ont été étudiées. Pour s’affranchir pendant la lactation d’apports d’aliments complémentaires exogènes, les brebis disposent à partir de la mi-avril, des surfaces fertilisées qui, avec 3 à 4 semaines d’avance sur les pelouses natives, offrent une herbe abondante de qualité, à base de graminées. Ces surfaces, pâturées en rotation (4 parcelles) pendant une trentaine de jours, jusque vers le 20 mai, selon deux cycles successifs à raison de 17 brebis/ha, ont permis des gains de poids journaliers moyens de 268 g à 295 g selon les années pour des agneaux dont les 2/3 étaient allaités doubles. Les croissances ont ensuite pu être maintenues aux alentours de 250 g/j jusqu’au sevrage, à la fin juin, en passant sur les parcours natifs, alors pratiquement au stade optimum. Pour ce faire sur cette période, le chargement était de 2 à 3 brebis/ha, la fréquence de changement de parcelle de 6 à 8 jours et l’herbe était nouvelle à chaque changement. Sur une série de 14 ans, la production printanière des pelouses natives a été en moyenne de 1 t MS/ha et celle des pelouses fertilisées de 4,4 t. Dans ces conditions, il a suffi de 6 % de surface fertilisée pour obtenir les performances ci-dessus. De la mi-avril jusqu’en décembre-janvier les brebis s’alimentent exclusivement sur les parcours, ce qui représente 68 % de leurs besoins annuels en énergie calculés. Le reste correspond à des aliments distribués en hiver, du foin produit sur le domaine (18 %) et de l’aliment concentré pendant la gestation (14 %). Outre la perspective d’une forte autonomie fourragère, ce programme a montré la possibilité de maintenir le milieu ouvert, de maîtriser les espèces végétales envahissantes et de préserver la biodiversité végétale au moyen d’une exploitation des parcours en rotation dans des parcs avec des chargements instantanés élevés. La race INRA 401, en phase d’absorption d’un troupeau de brebis ½ sang Romanov, a révélé dans ce milieu de bonnes aptitudes de production et d’adaptation tout comme elle a été propice à l’évaluation des modalités de gestion des pâturages. Dans l’état actuel du programme, les résultats obtenus et les solutions techniques dégagées, dans les domaines de la génétique ovine, de la conduite des troupeaux et de l’exploitation des pâturages, doivent pouvoir éclairer aussi bien le choix et la sélection des races que les démarches prospectives de mise en valeur durable des zones pastorales difficiles ou encore le corpus des conseils techniques aux éleveurs des régions concernées.
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-DUPONT, Lionel. "Conception des systèmes industriels." Revue de l'Electricité et de l'Electronique -, no. 05 (2006): 24. http://dx.doi.org/10.3845/ree.2006.048.

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Koné, Moussa, Fadaba Danioko, Mamadou Dansoko, Sid-Ali Addouche, David Tchoffa, and Abderrhaman El-Mhamedi. "Evaluation du potentiel de production du biogaz emanant des dechets organiques : cas de Bamako." Journal de Physique de la SOAPHYS 2, no. 2 (May 12, 2021): C20A24–1—C20A24–6. http://dx.doi.org/10.46411/jpsoaphys.2020.02.24.

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Abstract:
La transition énergétique vers les énergies renouvelables a poussé les pays notamment ceux du sahel à utiliser au mieux les énergies renouvelables. Parmi ces énergies renouvelables, le biogaz contribue aux défis énergétiques et environnementaux des populations. Dans ce papier, nous proposons une méthodologie capable à la fois de produire du froid et d’électricité à partir des déchets organiques. L’approche proposée donne une étude du potentiel et de la disponibilité des déchets (analyse de la disponibilité, caractérisation des déchets, etc.), une conception et dimensionnement du système de conversion (centrale à déchets), une modélisation et simulation du processus de production de froid et d’électricité sous le logiciel « Thermoptim ». Les résultats obtenus notamment pour le cas de Bamako (capitale du Mali) donnent la quantité journalière de biogaz (déchets méthanisables) de 1544 tonnes/j dont celle du méthane est de 14479,084 m3/j et celle de l’énergie primaire est de 143,922 MWh/j. L’énergie thermique convertible en froid est de 57,93 MW/j et l’énergie électrique est de 52,475 MW/j. Par ailleurs, la simulation a permis d’une part de comprendre le processus thermodynamique, d’obtenir des résultats intéressants sur l’analyse de la biomasse soit 60,51% de matières sèches et 39,08 % de matières organiques pour le cas de Bamako et d’autre part de faire les analyses environnementale et économique. L’application de ce travail peut combler un déficit énergétique par rapport à la demande énergétique (froid, électricité) qui croit 10% environ par an.
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Adeleye, O. O., S. I. Adebowale, and L. T. Egbeyale. "Common sustainable ethno-veterinary practices on broiler chicken production in two local governments in Ogun State, Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 24–32. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2881.

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Abstract:
Poultry diseases are responsible for majority of losses in livestock production leading to constraints in the development and enhancement of viable livestock production systems in Nigeria. The impact of these diseases is severe in rural areas. This study evaluated the importance of ethno-veterinary practices on food sustainability. The research design was survey method and sample size was determined using Taro Yamane formula from a population size of 100 (50 each) from both Local Government Areas. A structured questionnaire was administered to 80 persons (respondents) from the two local government areas (Abeokuta south and Odeda) in Ogun State, Nigeria. The result indicated that respondent were male (85%) and female (15%) with the male being the dominant and the respondents' shows high level of literacy. The result revealed that common diseases of broiler birds are coccidiosis (45%), Newcastle (18%), fowl cholera (8%) and others (25%). The poultry farmers make use of veterinary services has a therapy for poultry diseases with very few involved in both veterinary and herbal practice. Among the local herbs used were Moringa leaf, Christmas melon, basil, bitter leaf etc. However, farmers believed that the use of herbs causes poor growth, weight loss while the use of inappropriate dosage leads to death of birds which in turn will alter the level of poultry production. Les maladies de la volaille sont responsables de la majorité des pertes d'élevage entraînant des contraintes dans le développement et l'amélioration de systèmes d'élevage viables au Nigéria. L'impact de ces maladies est grave dans les zones rurales. Cette étude a évalué l'importance des pratiques ethno-vétérinaires sur la durabilité alimentaire. La conception de la recherche était méthode d'enquête et la taille de l'échantillon a été déterminée à l'aide de la formule Taro Yamane à partir d'une taille de population de 100 (50 chacun) des deux zones d'administrations locales. Un questionnaire structuré a été administré à 80 personnes (répondants) des deux zones gouvernementales locales (le sud d'Abeokuta et Odeda) dans l'État d'Ogun, au Nigéria. Le résultat indique que le répondant était un homme (85 %) et les femmes (15%) ; l'homme étant le dominant et celui des répondants montre un niveau élevé d'alphabétisation. Le résultat a révélé que les maladies courantes des oiseaux de chair sont la coccidiose (45 %), Newcastle (18 %), le choléra aviaire (8 %) et d'autres (25 %). Les éleveurs de volailles font usage des services vétérinaires avec un peu de gens qui se trouve dans la pratique vétérinaire ayant à base, des herbes locales. Parmi les herbes locales utilisées se trouvaient la feuille de Moringa, le melon de Noël, le basilic, la feuille amère, etc. Cependant, les agriculteurs croyaient que l'utilisation d'herbes provoque une faible croissance, la perte de poids tandis que l'utilisation d'une dose inappropriée conduit à la mort des oiseaux qui à son tour va modifier le niveau de production avicole.
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Günter, Sven, Michael Weber, Bernd Stimm, and Reinhard Mosandl. "Lier la sylviculture tropicale à la gestion forestière durable." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, no. 314 (December 1, 2012): 25. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20487.

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Abstract:
Depuis l'émergence du concept de la " gestion durable des ressources " dans les dernières décennies du XXe siècle, les aspects écologiques, technologiques et socio-économiques constituent les piliers de la gestion forestière durable. Alors que la production de bois et de produits forestiers non ligneux (PFNL) a longtemps été l'objectif premier de la gestion forestière, la demande de services forestiers écologiques s'accroît aujourd'hui en parallèle. Cependant, les systèmes de gestion forestière tropicale ont été conçus pour la plupart il y a fort longtemps, avec pour but principal la production de bois. Cet article présente une approche en six étapes pour passer de la sylviculture tropicale classique axée sur la production de bois à des approches plus globales visant à assurer une gestion réellement durable des ressources forestières. Cet objectif est particulièrement important sous les tropiques, où la production de bois est désormais menacée par un rythme de déforestation alarmant et par l'importance accrue des ressources forestières pour assurer la subsistance des populations locales. L'augmentation des superficies forestières concurrence fortement les autres objectifs d'utilisation des terres, et l'intensification permettant d'accroître la production à l'hectare est donc une approche prometteuse pour résoudre ce problème majeur, par exemple par la mise en oeuvre des techniques sylvicoles à rotations courtes, la domestication d'essences ou l'aménagement des sites. La diversification des structures et des services forestiers est une stratégie complémentaire importante visant à remédier à la dégradation éventuelle des forêts et aux pénuries d'autres biens ou services, et de ce fait à contribuer à la gestion durable à l'échelle d'un paysage. Les échelles de gestion, temporelles et spatiales, doivent donc être adaptées aux besoins des exploitants forestiers individuels (pour la production de bois, par exemple) mais aussi à ceux de la collectivité (eau, biodiversité, stockage du carbone...). La gestion forestière durable dépend fortement de son acceptation par l'ensemble des intéressés, et les approches participatives peuvent y contribuer de façon significative. Cet article présente des exemples montrant comment l'intégration de la sylviculture et de la gestion forestière permet, en englobant tous les aspects indiqués ci-dessus, de contrer la gestion de conception purement extractive pour aboutir à une approche sylvicole moderne en termes de gestion adaptive de l'écosystème. L'autonomie des acteurs sociaux et des mécanismes de marché opérationnels pour les produits et services autres que le bois sont des éléments incontournables de la planification sylvicole moderne, mais n'ont aucune utilité pour la gestion forestière durable tant qu'ils ne s'accompagnent pas d'une solide connaissance des fonctions et processus écologiques et d'une bonne compréhension des impacts des interventions humaines. La sylviculture tropicale et la gestion durable des forêts dépendent l'une comme l'autre de la connaissance des écosystèmes et de son application pratique sur le terrain.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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Giusti, Nicoletta. "Le travail en atelier comme forme d’organisation du processus de création dans la Mode." Sociologie et sociétés 43, no. 1 (May 25, 2011): 149–73. http://dx.doi.org/10.7202/1003535ar.

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Abstract:
L’activité d’innovation prend, dans la Mode, la forme d’une répétition obligée et offre l’occasion aux chercheurs d’observer, en détail et en pratique, la génération de l’innovation. La littérature existante, tant dans les cultural studies qu’en sociologie des organisations, se concentre le plus souvent sur le niveau interorganisationnel, selon une hypothèse qui relie la production de l’innovation aux conditions du marché ; la « production » devient alors essentiellement « circulation d’une innovation donnée comme acquise ». Le concept de « créativité diffuse », développé dans les fashion studies, met l’accent sur les dynamiques à la fois intra- et infra-organisationnelles, offrant ainsi une bonne perspective pour l’analyse empirique des activités liées à la génération de l’innovation dans la Mode. Le « travail en atelier » est le cadre idéal-typique que l’auteure propose ici pour comprendre l’organisation du travail d’innovation, avec ses caractéristiques d’activité de création réitérée, collective et négociée. Ce cadre permet de transformer un « voyage d’innovation » complexe, et donc difficile à saisir par des catégories discrètes, en une routine compliquée. Le travail en atelier est fondé sur une coordination obtenue à travers la réalisation d’objets intermédiaires de la conception et l’imposition d’échéances, sur une technologie à lien faible et une autorité de nature personnelle, sur un système planifié d’ouvertures et de fermetures du noyau technique et sur l’administration par corps de métiers.
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Winograd, Terry. "Heidegger et la conception des systèmes informatiques." Intellectica. Revue de l'Association pour la Recherche Cognitive 17, no. 2 (1993): 51–78. http://dx.doi.org/10.3406/intel.1993.1438.

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Beaumont, B., A. Simonin, and E. Giguet. "Conception et fabrication des systèmes de chauffage." Revue Générale Nucléaire, no. 1 (January 2007): 62–63. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/20071062.

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Duvallet, Claude, and Bruno Sadeg. "Des systèmes multiagents anytime pour la conception de systèmes d'aide à la décision." Techniques et sciences informatiques 23, no. 8 (September 1, 2004): 997–1025. http://dx.doi.org/10.3166/tsi.23.997-1025.

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44

Pavard, Bernard. "La conception des systèmes de traitement de texte." Intellectica. Revue de l'Association pour la Recherche Cognitive 1, no. 1 (1985): 37–67. http://dx.doi.org/10.3406/intel.1985.847.

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45

Garbay, Catherine. "Pour une conception distribuée des systèmes de vision." L'objet 8, no. 4 (December 30, 2002): 71–94. http://dx.doi.org/10.3166/objet.8.4.71-94.

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Carluec, Bernard, Michel Lecomte, and Pascal Anzieu. "Les systèmes hybrides - Besoins et principes de conception." Revue Générale Nucléaire, no. 2 (March 1999): 27–31. http://dx.doi.org/10.1051/rgn/19992027.

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Belleval, Christophe, Ioana Deniaud, and Christophe Lerch. "Modèle de gestion des problèmes dans un projet de conception : le cas de la conception des microsatellites." Revue Française de Gestion Industrielle 29, no. 4 (December 1, 2010): 31–47. http://dx.doi.org/10.53102/2010.29.04.639.

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Abstract:
Cet article étudie la résolution des problèmes complexes de conception de produit dans la démarche d'ingénierie système. Nous illustrons notre réflexion par une étude de cas dans le secteur spatial concernant la conception de microsatellites. Nous postulons que la complexité des problèmes dépend à la fois de la nature des interactions entre les sous-systèmes du produit, et de la difficulté d'aboutir à une formulation acceptable du problème par l'ensemble de l'équipe projet. Notre analyse tend à montrer que si l'ingénierie système est efficace pour décomposer un produit en sous-systèmes et gérer les problèmes d'intégration qui en résultent, elle est parfois prise en défaut dans le cas des problèmes difficiles à formuler dans la mesure où elle ne prend pas explicitement en compte les contradictions techniques, organisationnelles et cognitives inhérentes aux problèmes de conception les plus innovants.
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Paquette, Gilbert. "L’ingénierie des interactions dans les systèmes d’apprentissage." Articles 25, no. 1 (October 17, 2007): 135–61. http://dx.doi.org/10.7202/031996ar.

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Abstract:
Résumé Cet article traite des interactions dans les systèmes d'apprentissage. Pragmatique, le point de vue est centré sur les méthodes de conception favorisant des interactions significatives entre les acteurs d'un système d'apprentissage, que ceux-ci soient des personnes intervenant directement sur les réseaux de télécommunication ou des services interactifs médiatisés dans des environnements logiciels. Le point de vue est aussi cognitif et pédagogique plutôt que médiatique. L'auteur s'intéresse à la modélisation des connaissances, à la scénarisation pédagogique et à leur relation par l'intermédiaire des habiletés et des compétences visées. Un processus de conception des scénarios pédagogiques est ainsi décrit comme l'ancrage d'un ensemble de prescriptions, de principes destinés aux concepteurs d'un système d'apprentissage afin de les aider à maximiser les interactions utiles à l'apprentissage.
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Fabre, Pascal, and Dominique Bessire. "Enseigner la conception de systèmes de comptabilité de gestion." Comptabilité - Contrôle - Audit 12, no. 3 (2006): 67. http://dx.doi.org/10.3917/cca.123.0067.

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Zouinar, Moustafa. "Théories et principes de conception des systèmes d’automesure numériques." Réseaux 216, no. 4 (2019): 83. http://dx.doi.org/10.3917/res.216.0083.

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