Academic literature on the topic 'Conditions économiques – Chili – 1973-1988'

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Journal articles on the topic "Conditions économiques – Chili – 1973-1988"

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Meudec, Marie. "Résistance." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.063.

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Abstract:
La notion de résistance est utilisée dans des domaines comme la physique ou la mécanique, mais l’emploi qui nous intéresse ici est la résistance comme pratique sociale et comme concept, utilisé en sciences sociales pour décrire des mouvements sociaux et des pratiques individuelles de rébellion. D’abord souvent restreinte au monde politique (entendons par là les partis et les institutions politiques), la compréhension de la notion de résistance s’est élargie à toutes les sphères de la société. Résister, c’est ainsi mettre en pratique une forme d’opposition au pouvoir en place, au pouvoir dominant ou hégémonique. C’est ainsi par exemple que la sociologie politique (Neumann 2012) ou la philosophie politique (Rancière 1995) peuvent concevoir les révoltes, les rébellions ou les mouvements d’opposition au pouvoir d’État. Pensons aussi aux travaux de Wa Thiong’o (1987 : 2) qui étudie « les réalités africaines en tant qu’elles sont affectées par la grande lutte entre les deux forces mutuellement opposées en Afrique aujourd'hui: une tradition impérialiste d'une part et une tradition de résistance de l'autre ». Parler de résistance passe donc nécessairement par une analyse des formes d’oppression et d’impérialisme existantes, là où la résistance est conçue une forme de ‘réaction à’ une forme de contre-pouvoir. Comment les personnes qui ne sont pas du côté du pouvoir en place résistent-elles aux puissants ? L’analyse des pratiques de résistance vise dès lors à rendre compte de la participation sociale ou des actions des personnes dominées par le système politique et économique. Toutefois, la binarité domination / résistance doit être questionnée et réfléchie, entre autres pour mieux saisir les manifestations de pouvoir et de domination à l’œuvre (Ortner 1995 ; Foucault 1978). Dans sa célèbre ethnographie menée en Malaisie, le politologue James C. Scott (1985) étudie les relations de pouvoir au sein de mouvements de résistance paysanne. Scott montre notamment que les mouvements de résistance sont le fruit d’une réflexion éthique qui se base entre autres sur des notions d’injustice, et non – comme les intellectuels avaient plutôt tendance à penser les formes de résistance populaire – comme le résultat d’un attrait inné pour la violence ou d’une forme spontanée de rébellion. Cette perspective admet ainsi la possibilité généralisée d’actions contestatrices auparavant cantonnées aux sphères politiques formelles. Il évoque notamment les ‘formes quotidiennes de résistance’ pour rendre compte de ces pratiques de résistance qui paraissent moins organisées. Le concept de ‘résistance infrapolitique’ (Scott 1990) permet de penser le caractère privé de pratiques de résistance, autrement recherchées uniquement sur la scène publique. Le changement social et la lutte politique sont pensés comme des phénomènes ‘discrets’ et non plus seulement visibles dans la sphère publique. Il s’agit donc de comprendre les dimensions ordinaires ou quotidiennes de la résistance, et d’élargir les perspectives qui conçoivent la résistance comme des moments de crises, des pratiques transgressives au caractère exceptionnel, des émeutes et des soulèvements (Bertho 2010, 2013) ou des normes qui s’érodent (Neumann, 2012). Ainsi, concevoir les formes de résistance du point de vue de la vie quotidienne ou de la sphère culturelle constitue en partie une traduction ou une conséquence des perspectives critiques, féministes et postcoloniales en sciences sociales. En effet, alors que la résistance n’était conçue comme un phénomène possible qu'essentiellement du point de vue des institutions et du pouvoir officiel, valorisant ou rendant visibles certaines formes de résistance au détriment d’autres, ce sont les formes invisibilisées de la résistance qui sont aussi à ce jour étudiées. Prenons pour exemple le développement d’une historiographie féministe dans le champ des études caribéennes. Mimi Sheller (2012) y a par exemple montré comment, auparavant, les recherches sur la révolution haïtienne avaient essentiellement mis de l’avant des guerriers héroïques comme Dessalines ou Louverture alors que cette révolution a aussi été rendue possible par les efforts quotidiens des femmes, notamment pour éduquer, nourrir, soigner et ainsi contribuer à faire en sorte que ces guerriers puissent combattre, en plus d’avoir été totalement impliquées dans des combats armés et des mouvements publics de protestation. Cette historiographie de l’émancipation a aussi le mérite d’aller au-delà d’une simple dialectique oppression / résistance, subordination / résistance ou esclavage / liberté pour concevoir les continuités possibles entre ces deux pôles (Sheller 2012). La résistance devient un phénomène à la mode pour les études en sciences sociales et il faut se garder de voir de la résistance partout, en même temps qu’il faut continuer à remettre en question les façons de la penser, notamment en cherchant des formes de résistance dans des comportements apparemment passifs, des silences ou des inactions. Retenons ainsi que la façon dont les chercheur.e.s conçoivent la résistance a des conséquences sur leurs capacités à reconnaître (ou non) certaines pratiques et à les associer (ou non) à de la résistance. À l’instar de Patricia Hill Collins (citée par Wane, 2013), il faut aussi se demander si on serait capable de reconnaitre la résistance en la voyant. En effet, en quoi notre façon de définir la résistance ne réduit-elle pas nos capacités à l’observer, à la concevoir et à en rendre compte ? On pourrait par exemple penser à des formes de projection qui consistent à (vouloir) voir de la résistance là où les personnes concernées n’en voient pas. Dans le cas des études féministes intéressées aux formes de résistance, évoquons les riches travaux de Mahmood (2001) sur la capacité d’agir des femmes. Comment les femmes contribuent à leur propre domination et comment elles y résistent ou elles la subvertissent ? Elle y définit l’agencéité comme ‘une capacité pour l’action que des relations spécifiques et historiquement constituées de subordination permettent et créent’ (Mahmood 2001 : 203). Dans cette perspective, la résistance et le pouvoir sont intimement liés aux conditions de leur possibilité, ce qui signifie que dans différents systèmes de pouvoir, il y aura différentes possibilités de ‘résister’ ou de vivre dans ce système (Mahmood 2005). Cela signifie également que l’agencéité ne doit pas être réduite à de la résistance, dans le sens où elle ne constitue qu’une des formes que l’agencéité peut prendre (Bilge 2010). Les approches orientées vers la résistance sont biaisées par du romantisme et leurs analyses des modes de fonctionnement du pouvoir en sont de ce fait appauvries (Abu-Lughod 1990). Ces approches témoignent de critiques du féminisme mainstream / occidental / blanc, et notamment d’une forme d’exoticisation des femmes du Tiers-Monde en définissant leurs cultures et leurs modes de vie en termes de ‘résistance’, révélant du même coup leurs propres façons de concevoir ce qu’est la résistance et la tendance « chic et en vogue de formuler les actions des gens comme des formes de résistance puissantes » (Villenas 2000 : 80). Dans une analyse des formes de résistance – comme plus largement des pratiques sociales – la décolonisation du féminisme passe par une remise en question du fait de parler ‘au nom de’ (Mohanty 2003 ; Martin Alcoff 1991-1992). Les études postcoloniales et décoloniales se sont construites en parallèle aux mouvements de décolonisation politique des années 1950-1960. Résistance politique et résistance intellectuelle allant donc de pair, des auteurs comme Fanon, Césaire ou Sédar Senghor ont fourni des outils intellectuels pour penser les ‘cultures de résistance’ (Fanon 1952), pour réfléchir aux soulèvements et aux prises de parole des damnés de la terre (Fanon 1961) ou des subalternes (Spivak 1988). Dans son célèbre Discours sur le colonialisme, Césaire (1973) explique comment le concept de Négritude est apparu comme forme de résistance aux politiques françaises d’assimilation. Le champ des études décoloniales et autochtones (en anglais indigenous) se développe grandement ces dernières années, induisant un changement de perspective pour penser les relations de pouvoir et les mouvements de contre-pouvoir. Comme l’écrivent si justement Tuck et Wayne Yang (2012 : 23) à propos du mouvement Occupy de 2011, « pour de nombreuses personnes économiquement marginalisées (le mouvement Occupy) a été une expression bienvenue de la résistance aux disparités massives dans la répartition des richesses; pour de nombreux peuples autochtones, Occupy est une autre réinstallation de colons sur des terres volées ». Le champ des études décoloniales a aussi initié des concepts très importants autour de la décolonisation des savoirs (Smith 1999-2002 ; Harrison 1991, Luste Boulbina 2012 ; Todd 2016 ; Uddin 2011) et de l’esprit (Wa Thiong'o 1987). Il s’agit alors de questionner l’eurocentrisme des sciences sociales et de les retravailler pour une profonde transformation de ses théories et méthodologies (Meudec 2017). La résistance épistémique met alors de l’avant les savoirs indigènes comme forme de résistance au sein de l’université occidentale (Wane 2013) ou est plus largement constituée par toutes les formes de « résistance intellectuelle à la domination épistémique Occidentale », leurs buts étant de « donner de l’agencéité aux Africains à qui une histoire a été déniée en fournissant une historiographie alternative pour combattre l’hégémonie et l’impérialisme Occidentaux » (Ogot 2013 : 18). Mignolo (2013) suggère quant à lui une désobéissance épistémique comme « déprise » par rapport aux modèles politiques et économiques dominants. Encore là, la résistance à des formes d’impérialisme de la pensée, lesquelles ont longtemps mis sous silence les revendications – et tout simplement les voix – des personnes colonisées ou dominées, se fait par la prise de parole et la re-connection des personnes avec leurs propres histoires, paysages, langages et organisations sociales (Smith 1999/2002). Au sein des milieux académiques, plusieurs autres mouvements de résistance sont initiés depuis quelques années, en faveur du slow scholarship notamment (Shahjahan 2014 ; Hartman and Darab 2012 ; Mountz 2015) ou des autoethnographies pour réfléchir et survivre à la précarisation et à la privatisation du travail au sein des universités néolibérales (Reyes Cruz 2012).</description>
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Dissertations / Theses on the topic "Conditions économiques – Chili – 1973-1988"

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Bilbao, Pablo. "Les relations commerciales du Chili avec les blocs du nord et du sud (1973-2000)." Paris 10, 2004. http://www.theses.fr/2004PA100079.

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Abstract:
Dans un contexte national et international peu favorable, le Chili a créé les conditions appropriées et fait les choix pertinents face à des enjeux déterminants. La période traitée couvre l'adoption démocratique (1970) au Chili du modèle socialiste, régime soumis à l'ingérence constante des EU jusqu'à sa destruction en 1973. Ce contexte de démocratie "sous influence" n'a pas empêché que ce pays s'intègre progressivement au processus d'évolution économique des puissances mondiales, grâce à la force de sa compétitivité. Les décisions de la politique économique chilienne, face à la puissance des marchés mondiaux ont résisté aux essais expérimentaux des modèles importés, incompatibles avec la réalité sociale et politique du pays. Le Chili génère nouvelles sources économiques, il réduit le risque de dépendance mono sectorielle de la production, développe la diversité partenariale avec les marchés extérieurs, autres que l'ALENA, le Mercosur et l'Union Européenne
We note that, in unfavorable national and international contexts, Chile created suitable conditions and made relevant choices in the face of determining outcomes. The examined period covers the history particular to Latin America, marked by the democratic adoption (1970) in Chile of the socialist model, which was subject to constant interference by the United States, until its destruction in 1973. This context of democracy "under influence" (1973-1990) did not prevent this country from becoming gradually integrated into the process of economic evolution of world powers, thanks to the force of its competitiveness. The decisional force of the Chilean economic policy, in the face of powerful world markets enabled it to resist the experimental tests of imported models, models incompatible with the social and political realities of the country. Chile generated new economic sources and it thus reduced the risk of sectoral mono dependence production, while developping partnership diversity with external markets, those other than ALENA, Mercosur and the European Union
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Amilhat-Szary, Anne-Laure. "La région, paradoxe territorial néolibéral ? : analyse de l'impact géographique d'un modèle économique sur le Norte Grande chilien." Toulouse 2, 1999. http://www.theses.fr/1999TOU20022.

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Abstract:
Quels sont les impacts sur l'organisation de l'espace du programme économique néolibéral adopté par le Chili dès 1973, en rupture radicale avec le modèle antérieur de substitution des importations ? Si cette réorientation s'est traduite par une forte croissance économique, la cohésion sociale a été mise à mal. Envers le territoire, la dictature a eu une attitude ambivalente : une réforme administrative faisant de la « région » l'échelon de référence devait permettre de concilier maîtrise de l'espace et création d'entités économiques susceptibles de s'insérer aux marchés internationaux. L'analyse des transformations du Norte Grande (confins septentrionaux du pays, dans le désert d'Atacama) montre que, depuis son ajout au territoire national après la guerre du Pacifique, cette région constituait une périphérie fondamentale pour le Chili du fait de ses ressources minières (nitrates, cuivre, et aujourd'hui lithium). Or l'ouverture économique semble avoir transformé le nord en « enclave du système monde », se distinguant d'une enclave traditionnelle par la multiplication des centres de dépendance (diversification de l'origine des investisseurs internationaux) et le désenclavement matériel (transports et communications), le plaçant désormais en interface entre le centre du cône sud et l'aire pacifique. Cette évolution se traduit par des processus de dé-territorialisation, liés à l'extension de la valeur marchande de l'espace (conflits autour des usages de l'eau notamment) et par certaines recompositions sociales (phénomène de re-territorialisation). C'est pour qualifier l'émergence d'un lien social construit sur la base de l'appropriation d'un espace régional fonctionnant avant tout par son insertion dans des réseaux économiques que nous avons conçu la notion de « région néolibérale ». Cette convergence d'intérêts à une échelle administrative traduit une accélération du rythme de formation des territoires, malgré un contexte d'inégalité socio-spatiale.
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Reni, Luciano. "Chili, l'impact des réformes institutionnelles et des contrôles des flux des capitaux de 1973 à 1998 : une approche institutionnaliste." Paris 9, 2000. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=2000PA090023.

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Abstract:
L'objectif principal de la thèse est d'analyser théoriquement et empiriquement la relation entre les réformes institutionnelles menées au Chili, notamment dès le début des années 70, et les taux élevés d'investissements directs étrangers et de croissance économique observés à partir de la fin des années 80. A la suite du rappel des théories de la croissance et du commerce international, cette analyse est enrichie de l'approche << néo-institutionnaliste >> qui intègre le processus de recomposition institutionnelle et de modernisation organisationnelle à l'analyse abstraite néo-classique. Les résultats de cette recherche mettent en valeur les nouveaux droits de propriété et "la concertacion para la democracia", comme les institutions chiliennes qui ont contribué à procurer la sécurité et la stabilité politico-sociale favorables aux investissements et à la croissance économique. La recherche empirique a été focalisée sur les flux d'investissements étrangers au Chili depuis 1821, tout en mettant l'accent sur leur évolution importante à partir de 1990. La règlementation mise en œuvre par la banque centrale chilienne, afin de contrôler l'entrée de capitaux à court terme, a représenté également un élément essentiel dans cette étude.
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Deler, Jean-Yves. "Les relations entre secteurs public et privé dans un environnement ultra-libéral : les politiques industrielles chiliennes des années quatre-vingt dix." Toulouse 2, 1998. http://www.theses.fr/1998TOU20051.

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Abstract:
Après dix-sept années de dictature militaire et de reformes néo-libérales qui ont bouleverse son organisation politique, économique et sociale, le Chili connaît aujourd'hui une situation de croissance forte, exceptionnelle en Amérique latine. Les démocrates arrivés au pouvoir en 1990 souhaitent cependant modifier ce modèle de croissance inégalitaire, peu générateur de valeur ajoutée et trop dépendant des aléas du marché mondial. Parce que les acteurs privés nationaux ont des raisonnements à courte vue, cet aménagement du modèle suppose que l'État, seul acteur capable de se projeter dans le long terme, intervienne à nouveau dans le champ économique. Les années quatre-vingt-dix voient donc se produire un renouveau des politiques publiques au Chili. Toutefois, vue la légitimité du modèle libéral, cette intervention publique est aujourd'hui inconcevable sans appui sur l'acteur privé et sans sa participation directe au processus de développement du pays. L'étude des politiques industrielles mises en œuvre par les dirigeants chiliens montre comment se met en place et se développe la coopération entre fonctionnaires et entrepreneurs. En quelques mois s'est réalisée une division du travail de modernisation productive, aboutissant à la création d'un véritable marché des subventions publiques. L'État conçoit et finance de grands projets, administrés par des organismes privés. La plupart de ces instruments et subventions privilégient en outre l'autonomie des patrons et les incitent à travailler en réseaux. Le bilan de ce renouveau de l'intervention publique est en demi-teinte. Les différents programmes auront prouvé que secteurs public et privé peuvent collaborer de manière efficace et que les patrons sont capables de jouer le jeu de l'associativité. Les instruments conçus sont, toutefois, terriblement sélectifs et les moyens humains et financiers semblent dérisoires eu égard à l'ampleur de la tache à entreprendre pour moderniser véritablement le pays
After 17 years of military dictatorship and of neoliberal reforms that have upset its political, economic and social organization, Chile is now enjoying a strong growth, exceptional in South America. Nevertheless the democrats who have been governing since 1990 would like to alter this unfair growth, a poor breeder of added value that is furthermore too dependent on the ups and downs of the world market. Because the national private actors have short-term views, this alteration of the model requires the state to intervene again in the economic field since it is the only actor that is capable of any long term planning. So the 1990's have witnessed a renewal of public policies in Chile. Yet because of the legitimacy of the liberal model, this state intervention cannot be carried out without any help from the private actor and without its direct contribution to the developing process of the country. The study of the industrial policies implemented by the Chilean leaders shows how the cooperation between industrialist and civil servants appears. Within a few months, a division of the labour of productive modernization has indeed taken place, leading to the creation of a genuine market of state subsidies. The state develops and finances ambitious projects, run by private organisms. Most of these tools and subsidies favour the autonomy of the employers and make it necessary for them to work in networks. This renewal of state interventionism has not borne the expected fruit yet. The different programs will have proven that the private and the public sectors can work together efficiently and that the employers can possibly accept the rules of associativity. Yet the implements are extremely selective and both the human and financial means seem really insignificant considering the importance of the task to be done so as to modernize the country fully
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Garate, Emmanuel. "La Révolution économique au Chili : à la recherche de l'utopie néo-conservatrice (1973-2003)." Paris, EHESS, 2010. http://www.theses.fr/2010EHES0161.

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Abstract:
Cette thèse traite deux questions fondamentales du passé récent du Chili. La première est la profonde transformation économique et sociale vécue entre 1973 et 2003, en d'autres termes la période qui inclut le régime militaire et les trois premiers gouvernements de la transition démocratique. La deuxième se réfère à l'évolution de la pensée libérale économique au Chili, et à l'apparition d'une nouvelle élite patronale formée à l'image du discours des économistes néoclassiques. Afin de situer la profondeur des changements vécus dans le pays depuis 1973, cette recherche remonte aux débuts du XIXe siècle, quand arrivent au Chili les premières idées issues du libéralisme économique, puis à la décennie de 1930 lorsque se crée le modèle de l’« État de compromis ». Cependant, l'analyse est centrée sur l'origine et l'essor des « Chicago Boys » en tant que gestionnaires de la transformation économique du Chili -comprise comme un genre particulier de violence -et des changements importants qui se produisirent au sein de l'élite dirigeante du pays (1973 -2003). Enfin, la thèse aborde l'utilisation du passé récent dans les stratégies du pouvoir et les représentations de la nouvelle élite par rapport aux imaginaires d'une société articulée autour du modèle du libre marché
This thesis deal with two fundamentals questions regarding Chile's recent past. The first one is the profound economical and social transformation Iived between 1973 and 2003, that is to say the period that includes the military regime and the first three governments of the democratic transition. The second one refers to the evolution of the liberal economical thought in Chile, and the rising of a new entrepreneurial elite formed at the image of the neoclassical economists discourse. To situate the deepness of the changes that occurred in the country since 1973, the research goes back to the beginnings of the XIXth century when arrive to Chile the first ideas on economical liberalism, as well as the 1930 decade when the model of the «State of Compromise » is sealed. However, the analysis is centered on the origins and development of the « Chicago Boys» as managers of Chile's economical transformation understood as a different type of violence and the important changes produced inside the leading elite of the country (1973-2003). Finally, the thesis examines the uses of the recent past in the strategies of power and the representations of the new elite concerning the imaginaries of a society articulated around a free market model
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Silva, Escudero Ricardo. "Le projet politique de l'unité populaire au Chili (1970-1973) : héritier du nationalisme Chilien." Thesis, Paris 3, 2011. http://www.theses.fr/2011PA030173.

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Abstract:
Le projet politique de l’Unité Populaire, sous la direction de Salvador Allende, propose une transformation révolutionnaire, politique, économique et sociale au Chili pour avancer vers le socialisme à la manière chilienne, c’est-à dire de manière pacifique, démocratique et respectueuse de la légalité. Un projet qui fait de la question de l’indépendance, notamment de l’indépendance économique un de ses principaux objectifs. Indépendance qui était aussi une des principales préoccupations des nationalistes chiliens du début du XXe siècle. Ce travail a pour objectif de montrer que ce nationalisme a laissé son empreinte entre autres, dans le projet politique de l’Unité Populaire
The political project of the Popular Unity, led by Salvador Allende, proposes a revolutionary, political, economical and social transformation in Chile toward socialism the Chilean way, that is to say peaceful, democratic and respectful of the law. The project sets the issue of independence, particularly that of economic independence, as one of its main goals. Independence was also one of the main concerns of Chilean nationalists at the beginning of the 20th Century. This work aims to show that this nationalism has left its mark, among others, in the political project of the Popular Unity
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Books on the topic "Conditions économiques – Chili – 1973-1988"

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Timpson, Annis May. Driven apart: The construction of women as worker-citizens and mother-citizens in Canadian employment and child care policies, 1940-1988. 1997.

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Logan, Palmer John, Smeeding Timothy M, and Torrey Barbara Boyle, eds. The Vulnerable. Washington, D.C: Urban Institute Press, 1988.

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Book chapters on the topic "Conditions économiques – Chili – 1973-1988"

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Gaudichaud, Franck. "Chapitre II. Éléments d’un processus conflictuel : conditions socio-économiques et situation des mouvements ouvrier et social en 1970." In Chili 1970-1973, 45–52. Presses universitaires de Rennes, 2013. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.42684.

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