Academic literature on the topic 'Conseillers scientifiques – 1990-'

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Journal articles on the topic "Conseillers scientifiques – 1990-"

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Mellouki, M'Hammed, and Mario Beauchemin. "L’orientation scolaire et professionnelle au Québec : l’émergence d’une profession, 1930-1960." Revue d'histoire de l'Amérique française 48, no. 2 (2008): 213–40. http://dx.doi.org/10.7202/305325ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Deux périodes marquent l'histoire de l'orientation scolaire et professionnelle au Québec entre 1930 et 1960. De 1930 à 1945, les promoteurs de l'orientation scolaire et professionnelle s'efforcent d'asseoir le métier sur des bases scientifiques, en créant les premiers instituts spécialisés et en délimitant les conceptions qui alimentent la pratique de cette profession. La nécessité de gérer efficacement le capital humain occupe alors une place prépondérante. La période suivante, 1945-1960, voit progressivement ces nouveaux spécialistes que sont les conseillers en orientation s'implanter dans les écoles. Toutefois, cet ancrage de la profession dans les institutions scolaires est encore timide, les tâches du conseiller en orientation demeurent ambiguës et sa présence semble heurter les prérogatives des autres agents scolaires.
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Almeida, Mike. "L’Office provincial des recherches scientifiques et le développement de la science au Québec, 1937-19601." Revue d'histoire de l'Amérique française 56, no. 2 (2003): 185–216. http://dx.doi.org/10.7202/007316ar.

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Abstract:
Résumé À sa création en 1937, l’Office provincial des recherches scientifiques avait pour mandat de coordonner la recherche effectuée dans les laboratoires de la province de Québec et de pourvoir à la formation de nouveaux chercheurs. En 1960, à l’époque des grands bouleversements institutionnels qui caractérisent la Révolution tranquille, il est intégré au Bureau des recherches économiques du ministère de l’Industrie et du Commerce et disparaît sous cette appellation. On a souvent affirmé que l’Office était un « échec relatif » dans le développement de la science au Québec. Une étude approfondie de l’organisme nous permet de nuancer ce jugement. En effet, nous avons découvert que l’agence gouvernementale finança, du moins en partie, pas moins de 173 mémoires de maîtrise et 56 thèses de doctorat, assurant ainsi un recrutement plus régulier d’étudiants des cycles supérieurs, là où s’acquiert le « métier » de chercheur et la connaissance des règles du jeu en vigueur dans chacune des disciplines scientifiques. De plus, l’Office s’est efforcé, dans sa première phase d’existence (1938-1948), d’orienter les recherches universitaires vers des applications pratiques à l’industrie, formant l’une des premières structures institutionnelles de liaison entre l’université et l’entreprise privée au Québec. Au cours des années 1950, l’Office est marqué par un changement de trajectoire. Le volet recherche de l’agence étatique prend alors la forme de ce que l’on pourrait appeler un « bureau gouvernemental de consultation technique et scientifique ». Ses activités de recherche se limitent donc à des analyses d’échantillons, au contrôle de la qualité de certains produits, à la solution de divers problèmes de fabrication, bref, à assister et à conseiller les entreprises qui en font la demande. Bien qu’il n’ait jamais eu l’ampleur ni les moyens du Conseil national de recherche du Canada (CNRC), l’Office a joué un rôle important dans la formation de la communauté scientifique québécoise.
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McWhinney, Edward. "Contemporary Soviet General Theory of International Law: Reflections on the Tunkin Era." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 25 (1988): 187–217. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800003179.

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Abstract:
SommaireIl y a vingt-cinq ans, les juristes soviétiques étaient préoccupés avec la campagne de codification immédiate des principes affirmés de la coexistence pacifique. Après un débat est-ouest vigoureux aux Nations-unies, l'Assemblée Générale adoptait, le 24 octobre 1970, une déclaration qui établissait les principes de droit international relatifs aux “relations amicales entre des États.” L'auteur principal de la campagne soviétique, le conseilleur juridique du ministère des Affaires étrangères à Moscou, Gregory Tunkin, a dominé la pensée et aussi la pratique soviétiques de droit international depuis plus d'un quart de siècle. La méthode distinctivement soviétique qu'il a inauguré et qui est maintenant acceptée par son école à la Faculté de droit de l'Université de Moscou est hautement empirique et scientifique, orientée vers la solution des problèmes concrets de la politique étrangère soviétique contemporaine. Cette méthode s'écarte de plus en plus des questions philosophiques abstraites et a priori, ainsi que des dogmes marxistes-léninistes rigides d'antan. Il y a des points de ressemblance avec la théorie américaine moderne néoréaliste (“policy-science”) de l'école Lasswell-McDougal. La réussite évidente de l'école soviétique de Tunkin ne cache pas le fait qu'avec sa préoccupation, voire même sa fixation, avec les relations soviéto-américaines (la bipolarité en droit international), ses idées commencent à être dépassées par les faits sociologiques de base d'une communauté mondiale en transition rapide aujourd'hui. La théorie générale soviétique de droit international, comme la théorie américaine, a donc besoin d'être reformulée et modernisée pour mieux répondre à la nouvelle réalité multipolaire née du déclin progressif et accéléré des deux superpuissances.
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Dissertations / Theses on the topic "Conseillers scientifiques – 1990-"

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Ottolini, Lucile. "Travailler avec le tiers secteur : études de cas des politiques d'ouverture à la société dans les instituts d'expertise et de leurs effets en France de 1990 à 2020." Thesis, Paris Est, 2020. http://www.theses.fr/2020PESC2020.

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Abstract:
La décision publique en matière de risques sanitaires et environnementaux a connu ces dernières années nombre de crises et controverses qui ont mis en lumière un décalage important de la perception des risques par les experts et par la société. Pour tenter de réduire cet écart et restaurer la crédibilité des connaissances sur laquelle se fonde la légitimité des décisions, plusieurs organismes publics d’expertise ont mis en place des politiques d’ouverture à la société. Si cette ouverture s’est amplifiée depuis une dizaine d’années, elle s’inscrit dans un mouvement plus ancien invitant au déconfinement de la science. En effet les recherches en sciences sociales, notamment dans le domaine des études des sciences et des techniques (STS), ont montré que la co-définition des problèmes et des solutions avec les parties prenantes permet de produire des connaissances plus légitimes, plus adaptables en contexte d’incertitude et plus appropriables par la société. Historiquement, les collaborations des établissements scientifiques se sont surtout faites au profit des grandes entreprises et des décideurs publics, marginalisant de nombreux acteurs, notamment associations, organisations syndicales, organisations de l’ESS, collectivités locales et territoriales. Cette thèse problématise les catégories d’acteurs et d’organisations auxquelles l’expertise scientifique s’ouvre en proposant de mettre à l’épreuve la notion de « tiers secteur de l’expertise » comme une notion aux périmètres redéfinis par les établissements, les problèmes socio-techniques et les mobilisations sociales. Cette thèse s’intéresse aux transformations que cette ouverture au tiers secteur produit sur le travail de recherche des agences et des instituts d’expertise spécialisés dans l’évaluation des risques sanitaires et environnementaux. Plus précisément, elle porte sur la transformation du sens que les experts et leurs dirigeants donnent à leur métier et à la gestion des risques. Elle aborde le sens de « s’ouvrir à la société » en combinant une approche de sociologie des organisations et une approche de sociologie des sciences et des techniques qui rend justice à l’importance des propriétés socio-techniques des problèmes traités par ces établissements. Elle propose de considérer que les collaborations de l’expertise avec le tiers secteur sont un objet frontière, théâtre d’intermédiations sociales, épistémiques et institutionnelles qui cristallisent les transformations de la gestion des risques sanitaires et environnementaux en France aujourd’hui. Cette approche permet de dégager les résultats suivants. L’ouverture ne transforme pas le travail expérimental des experts ni les standards d’évaluation qu’ils utilisent. En revanche les collaborations avec le tiers secteur agissent sur les thématiques de recherche à venir (davantage orientées sur des risques jusqu’alors invisibilisés comme l’interdépendance des différentes catégories de risques), la manière de communiquer ces risques (en tenant beaucoup plus compte de l’opinion publique et des préoccupations des organisations du tiers secteur et des enjeux politiques de cette diversité (en faisant plus de réunions avec les organisations du tiers secteur et en mettant davantage des experts techniques en situation d’interface que des cadres dirigeants des établissements) et le pouvoir des organisations du tiers secteur dans les établissements (en ouvrant des instances de délibération pluralistes et en systématisant leur représentation dans les autres instances de gouvernance des établissements)
In recent years, public decision making on health and environmental risks has experienced a number of crises and controversies which have highlighted a significant gap in the perception of risks by experts and society. In an attempt to reduce this gap and restore the credibility of the knowledge upon which the legitimacy of decisions rests, several public agencies have implemented so-called ‘’ openness to society ‘’ policies. While opening up has increased over the last ten years or so, it is inscribed in an older movement calling for the deconfinement of science. Indeed, social science research, particularly in the field of science and technology studies (STS), has shown that the co-definition of problems and solutions with stakeholders makes it possible to produce knowledge that is more legitimate, more adaptable in uncertainty contexts and more socially appropriable. Historically, collaborations between scientific institutions have mainly benefited large companies and public decision-makers, marginalizing many actors, including associations, trade unions and local and territorial authorities. This thesis problematizes the categories of actors and organizations to which risk evaluation opens up by proposing to put to the notion of "third sector expertise" the test as a notion with perimeters redefined by institutions, socio-technical problems and social mobilizations. This thesis focuses on the changes that this opening up to the third sector produces on the research work of agencies specializing in the assessment of health and environmental risks. More specifically, it focuses on transforming the meaning that experts and their managers give to their profession and to risk management. It addresses the meaning of "opening up to society" by combining a sociology of organizations approach with a sociology of science and technology approach that does justice to the importance of the socio-technical properties of the problems dealt with by these institutions. It proposes to consider the collaboration between expertise and the third sector as a frontier object, a theatre of social, epistemic and institutional intermediation that crystallizes the transformations of health and environmental risk management in France today. This approach leads to the following results. Opening up does not transform the experimental work of experts or the evaluation standards they use. In contrast, collaborations with the third sector have an impact on future research themes (more focused on hitherto invisible risks such as the interdependence of different categories of risk), how to communicate these risks (taking much more account of public opinion and the concerns of third sector organizations and the political issues of this diversity, by multiplying meetings with third sector organizations, by putting technical experts in an interface situation rather than senior managers) and the power of third sector organizations in institutions (by opening up pluralist deliberative bodies and systematizing their representation in other institutional governance bodies)
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Debure, Antoine. "Crédibiliser pour expertiser : le Codex Alimentarius et les comités d'experts FAO-OMS dans la production réglementaire internationale de sécurité sanitaire des aliments." Paris, EHESS, 2012. http://www.theses.fr/2012EHES0054.

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Abstract:
L’expertise scientifique réalisée au Codex Alimentarius par les comités internationaux FAO-OMS afin d’établir des normes relatives à la sécurité sanitaire des aliments joue un rôle essentiel, sans doute de plus en plus important, dans la régulation de la production et du commerce international des aliments. C’est ce rôle, et les questions qu’il soulève du point de vue de la relation entre science et politique, que la thèse propose d’étudier à travers l’analyse des processus de crédibilisation de l’expertise. Le cadre théorique qui structure l’analyse articule sociologie des organisations et sociologie des sciences, et mobilise également les concepts centraux de la sociologie de l’action publique et politique. La relation entre science et politique se caractérise par une instabilité tant constitutive que contextuelle. L’expertise FAO-OMS s’inscrit dans le contexte plus large de normalisation internationale dont l’applicabilité s’impose aux Etats, et qui, de fait, participe à amplifier l’instabilité. La thèse montre que le processus de crédibilisation dans lequel s’investissent les différents acteurs (experts, institutionnels, régulateurs, industriels, associations, etc. ) permet d’atténuer l’instabilité de la relation. En étant opérant, le processus de crédibilisation offre aux acteurs qui s’y investissent la possibilité de négocier à leur avantage leur position dans la relation, tout en évitant une remise en cause. La thèse conçoit les processus de crédibilisation comme l’ensemble des stratégies visant à renforcer la « capacité du sujet à dire et à faire », une notion qui dépasse les limites des notions d’autorité et de légitimité. Ces processus sont saisis en analysant à la fois les stratégies et comportements des institutions mais aussi ceux des experts dans leurs réseaux transnationaux et dans les situations locales de l’expertise collective FAO-OMS. Les processus de crédibilisation reposent sur trois dimensions interdépendantes : une crédibilisation procédurale, une crédibilisation communautaire et une crédibilisation délibérative. La thèse montre ainsi une expertise indissociable des processus de crédibilisation qui l’accompagnent. La crédibilisation est à la fois le produit des interdépendances qui jalonnent l’expertise et une condition indispensable pour que ces interdépendances fonctionnent de façon à permettre la production d’une expertise. Si la thèse permet de mettre en lumière une expertise plurielle grâce à l’analyse des processus de crédibilisation sur lesquels elle s’appuie, notamment entre un modèle traditionnel et un modèle précautionneux, elle invite aussi à réfléchir sur la pertinence de la séparation entre science et politique, sans cesse recherchée et réaffirmée par les autorités sanitaires et pourtant toujours aménagée implicitement dans les pratiques
The scientific expertise, produced for the Codex Alimentarius by international committees of the FAO and the WHO, has a growing central role in the regulation of food production and international trade. It is this role and the questions arising from the relation between science and policy that this research work explores by analyzing the “credibilization processes” of expertise. The theoretical framework articulates Sociology of organizations, Sociology of science as well as central concepts of political sociology. The relationship between science and policy is known to be unstable. The FAO-WHO’s expertise is even more unstable with regard to its participation in the international normalization/standardization which has an enforceable power over national regulation systems. This dissertation demonstrates that the “credibilization processes” in which different actors are involved (experts, institutions, regulators, industries, consumers…) enables to reduce this instability. By engaging in these processes, actors obtain the resources to negotiate their position in the relationship to their advantage, and are able to avoid criticism at the same time. We consider the “credibilization processes” as a set of strategies aiming at strengthening “the subject’s ability to state and to take action”, a notion that exceeds the limits of “authority” and “legitimacy”, other central notions. Processes are grasped by analyzing strategies and behavior of institutions as well as experts in their transnational networks and in the course of FAO-WHO collective expertise. The “credibilization processes” rest upon three interdependent dimensions: a procedural credibilization, a collaborative credibilization and a deliberative credibilization. This research illustrates an expertise that is inseparable from the “credibilization processes”. The credibilization is both the result of interdependencies along the expertise, and a prerequisite for interdependencies to exist in order to produce an expertise. The “credibilization processes” analysis unveils a plural expertise, more specifically in between a “traditional” model and a “precautionary” model. Finally, this dissertation questions the relevance of maintaining science and policy separated; a separation always reasserted by national and international authorities, but remaining however implicitly adjusted in practice
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