Academic literature on the topic 'Construction – Matériaux – Histoire'

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Journal articles on the topic "Construction – Matériaux – Histoire"

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Romby, Giuseppina Carla. "Matériaux de construction, mesures et proportions." Histoire & mesure XVI, no. 3/4 (September 2, 2001): 235–44. http://dx.doi.org/10.4000/histoiremesure.756.

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Guillerme, André. "Techniques Et Matériaux de construction XIXE‐XX siecle, une introduction." History and Technology 7, no. 3-4 (July 1991): 165–78. http://dx.doi.org/10.1080/07341519108581775.

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Królikowski, Lech. "L'Évolution des Matériaux de construction en Pologne Depuis La Deuxième Moitié Du XVIIIème siècle." History and Technology 7, no. 3-4 (July 1991): 179–96. http://dx.doi.org/10.1080/07341519108581776.

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Houle, Gilles, and Roch Hurtubise. "Parler de faire des enfants, une question vitale." Recherche 32, no. 3 (April 12, 2005): 385–414. http://dx.doi.org/10.7202/056639ar.

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Abstract:
Nous nous intéressons à la famille et à l'enfance comme catégories cognitives et catégories du sens commun du point de vue d'une sociologie de la connaissance. L'émergence de la catégorie «enfant» dans le discours populaire québécois constitue une mesure sociologiquement pertinente des transformations démographiques qu'a connues la société québécoise. L'analyse met en évidence le paradoxe suivant : c'est à partir du moment où l'on s'est mis à parler des enfants que l'on a commencé à en avoir moins. L'enfant pensé est devenu un choix. Nous avons retracé les manières de parler de la famille et de l'enfant dans divers matériaux: histoires de vie, autobiographies, entrevues et correspondances amoureuses, cherchant à repérer dans ces discours de sens commun la construction de l'espace et du temps de l'enfant et de la famille, et ses transformations au cours du dernier siècle.
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Barceló Crespí, María. ""Per lo Pont d'Inca novament fahedor". Ruina y reconstrucción de un puente mallorquín (1465)." Anuario de Estudios Medievales 23, no. 1 (April 2, 2020): 45. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1993.v23.1038.

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Abstract:
Parmi les constructions civiles d'intérêt public au Moyen-Age, il faur remar­quer d'une manière toute particulière les ponts. Ils jouent un rôle prédominant en tant qu'endroit clé dans le contexte des voies de communication. Une des principales voies de communication dans la Majorque du XVeme siècle était le chemin d'Inca qui reliait la ville à cette localité, la seconde de l'Ile en importance. Le fameux Pont d’Inca, sur le torrent Gros, était démoli depuis un certain temps ce qui provoquait des difficultés pour franchir la rivière. Après plusieurs tentatives, en 1465, on tente de trouver une solution au problème en adjudicant les travaux de réparation a l'un des maçons les plus prestigieux du moment: Guillem Vilasclar. Cette solution permettrait de surmonter les obstacles que provoquaient l'était du pone, tour a fait en ruine, problèmes qui se faisaient plus manifestes par temps de pluie, quand le torrent particulièrement forci, les passants ne pouvaient le franchir qu'au péril de leur vie et de celle de leurs bêtes. Grâce aux charges accordées entre Guillem Vilasclar et le Grand Conseil Général, nous connaissons les détails de la construction du nouveau pont, de même que ses dimensions, sa structure, sa forme, les matériaux utilisés, la durée des travaux et son prix, qui s'éleva a 51O livres.
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Valensi, Lucette. "Silence, dénégation, affabulation: le souvenir d'une grande défaite dans la culture portugaise." Annales. Histoire, Sciences Sociales 46, no. 1 (February 1991): 3–24. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1991.278925.

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Abstract:
Dans la floraison de travaux récents sur la mémoire collective, l'objet mémoire est généralement conçu comme une construction dont les matériaux sont mis en œuvre en raison de leur pertinence. Pertinence, car le fait remémoré a marqué un tournant ou une rupture dans une chaîne continue d'événements. Ou bien parce qu'il a été vécu comme une expérience forte, qui aura marqué durablement les individus qui l'ont partagée. Corollairement, si la mémoire collective rassemble des matériaux solides, on semble croire que ce qu'elle rejette n'est simplement pas pertinent. Les faits, les fragments d'expérience, les événements insignifiants, tombent tout naturellement dans l'oubli. Le « trou de mémoire » apparaît donc comme une sorte d'entonnoir où vont se dégrader les déchets inutiles, impropres à se métamorphoser en souvenirs partagés. Dans le couple antithétique mémoire/oubli qui organise notre pensée, la mémoire est un processus actif de sélection, d'élaboration, de construction: la mémoire est un chantier, dont l'oubli reçoit les décombres. L'inverse ne se produit qu'en situation pathologique: « Ma mémoire, Monsieur, est comme un tas d'ordures », dit le héros de Borges qui se rappelle toutes les feuilles de tous les arbres de toutes les forêts qu'il a vues.
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Dessales, Hélène. "L'archéologie de la construction: Une nouvelle approche de l'architecture romaine." Annales. Histoire, Sciences Sociales 72, no. 1 (March 2017): 75–94. http://dx.doi.org/10.1017/s039526491700004x.

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Abstract:
RésuméNouvelle orientation disciplinaire, l'archéologie de la construction se définit comme l’étude de toutes les traces matérielles qui informent sur la conception, la construction et la gestion d'un édifice. Elle permet d’élargir l'approche de l'architecture romaine, jusqu'alors envisagée principalement du point de vue des typologies monumentales et décoratives. L'objectif de cette contribution est d'en caractériser les différentes spécificités et les apports. Si l'archéologie de la construction entretient des liens méthodologiques évidents avec l'archéologie du bâti, notamment par la stratigraphie verticale des élévations, elle s'en distingue par son échelle d’étude, celle du chantier de construction, dont elle entend restituer le contexte de production et toute la dynamique. Sept composantes sont considérées, éclairées par des recherches archéologiques récentes : le projet initial de l’édifice, la préparation du site, la mise en place des infrastructures, la production des matériaux, leur transformation, leur mise en œuvre dans la construction, les opérations de finition et de décoration. Les données recueillies permettent d'associer l'archéologie des techniques et l'histoire socio-économique, en considérant le chantier de construction comme un système de production et d’échange, dans toutes ses interactions avec la société romaine.
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Le Roux, Thomas. "Chantiers et matériaux de construction à Paris à la fin de l’Ancien Régime : un espace urbain sous tension." Histoire urbaine 43, no. 2 (2015): 99. http://dx.doi.org/10.3917/rhu.043.0099.

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Couture, Jean-Pierre. "Effets de sphères. L'histoire des architectures politiques chez Peter Sloterdijk." Canadian Journal of Political Science 43, no. 3 (September 2010): 545–63. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423910000417.

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Abstract:
Résumé. Cet article prend pour matériau le dernier cycle de l'œuvre de Peter Sloterdijk, lequel s'est attelé au développement d'une analyse phénoménologique de la spatialité humaine. L'optique de notre contribution consiste à faire état de cette théorisation spatiale à l'égard des constructions politiques. Cette entreprise se présente comme une vaste histoire des traces cosmologiques et architecturales des lieux de production de l'humanité et elle vise une réappropriation de la réflexion anthropologique sur le topos de l'humanité qui a été longtemps subsumé par la métaphysique de l'au-delà et qui est aujourd'hui désagrégé par les processus de mobilisation totale du capital.Abstract. This paper proposes an account of the recent works of Peter Sloterdijk, an author that has developed a phenomenological analysis of human spaces. The aim of my contribution is to put this spatial theorization in relation with political constructions. Sloterdijk's enterprise presents itself as a long history of the cosmological and architectural elements that shape the very spaces of human-production. It is also described as a new path for the understanding of the human topos that has been for too long subsumed by metaphysics of the ‘beyond’ and liquefied nowadays by contemporary mobilization processes of the capital.
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Licordari, Mariangela. "La propagation du béton armé au Portugal: les bâtiments industriels comme moyens de divulgation de la technique." Revista de História da Sociedade e da Cultura 16 (December 30, 2016): 321–42. http://dx.doi.org/10.14195/1645-2259_16_14.

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Abstract:
Cet article vise à donner des précisions sur la propagation du béton armé au Portugal, en cherchant à clarifier les mécanismes et les coïncidences qui ont permis, au tournant du XXe siècle, la divulgation de cette nouvelle technique de construction dans ce pays au début de son industrialisation. Pour la diffusion de ce nouveau matériau dans le contexte constructif du Portugal, les compétences entrepreneuriales de François Hennebique, père du brevet en béton armé le plus connu à l’échelle internationale, seront fondamentales. Les bâtiments industriels seront les premiers édifices capables d’exploiter au maximum les qualités techniques du nouveau matériau. La Fábrica de Moagem de Caramujo est l’un des exemples les plus concrets pour justifier notre argumentaire. Ce bâtiment a été le premier au Portugal à être entièrement construit en béton armé, en laissant comme héritage un lexique constructif qui trouvera une utilisation très large dans l’architecture portugaise des années à venir.https://doi.org/10.14195/1645-2259_16_14
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Dissertations / Theses on the topic "Construction – Matériaux – Histoire"

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Delhumeau, Gwenaël. "Hennebique et la construction en béton armé, 1892-1914 : des brevets aux matériaux." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1995PA040184.

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Abstract:
Cette thèse en Histoire de l'art, réalisée sous la direction de B. Foucart, porte sur l'histoire de la construction en béton armé avant la Première Guerre mondiale, et plus spécifiquement sur l'activité de la firme Hennebique dont l'essor est étroitement lié à celui du matériau. Promoteur en 1892 d'un nouveau système de construction, François Hennebique (1842-1921) se trouve en effet, à la fin du siècle, à la tête d'une puissance firme d'ingénierie, véritable multinationale, qui ne cesse de croitre jusqu'à 1914. L'ampleur de l'organisation qu'il met en place afin de diffuser ses brevets, le nombre et la variété des ouvrages qu'il réalise à travers le monde, la notoriété, enfin, de sa maison le démarquent nettement de ses concurrents. Cependant, malgré cette renommée, l'œuvre d'Hennebique n'a, jusqu'à présent, été qu'effleurée par les chercheurs : le déverrouillage récent des archives de la société béton armé Hennebique nous a permis d'étudier de manière approfondie les multiples aspects de l'activité de la firme, éclairant ainsi, de manière plus générale, le développement de l'emploi du nouveau matériau qu'est, au tournant du siècle, le béton armé. Nous avons cherché, dans le cadre de cette thèse, à porter un regard nouveau sur l'évolution de la notion de "système constructif" vers celle d'un "matériau" accédant progressivement à son autonomie. Ce travail consiste, à partir de la plateforme d'observation qu'est l'entreprise Hennebique, à mieux cerner la place et le rôle des principaux acteurs (entrepreneurs, architectes, ingénieurs) de cette transformation qui conditionne l'histoire du béton armé.
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Carré, Coursaris Anne-Laure. "Construire en verre : de nouveaux matériaux pour l'architecture 1881-1937." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040176.

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Abstract:
A la fin du XIXe siècle, la verrerie est restée une industrie traditionnelle. Les transformations commencent par l'élément pivot de la fabrication verrière : le four. Le verre utilisé dans la construction est de trois types. Le verre à vitres, soufflé à la bouche est le plus répandu. La glace, coulée et poue est le vitrage le plus luxueux. Enfin, le verre coule est un produit hybride, empruntant à la glace son mode de fabrication et au verre à vitre ses emplois. Ce troisième produit est à l'origine d'une "gamme" de produits verriers, développée à partir des années 1890. A la faveur des prescriptions hygiénistes, ils vont être recommandés partout où l'on recherche l'éclairage sans la vue. Les propriétés du verre, transparence, translucidité, réflexion, et ses qualités de matériau lisse. Lavable et sans joint en font un matériau particulièrement apprécié. Les moulages en verre, tuiles, dalles, pavés ou briques sont utilisés insérés dans des cadres métalliques. Mais le développement de la construction en béton armé leur offre des emplois plus structurels. L'image du verre dans l'architecture se transforme grâce à des réalisations où le verre n'est plus seulement vitrage, mais dallage translucide ou mur éclairant. La maison de verre devient possible. La période de l'entre-deux-guerres est un temps d'adaptations difficiles pour les verreries et les glaceries. Le soufflage à la bouche est enfin abandonné, mais malgré l'étirage mécanique, le verre à vitre ne rivalise pas pour autant avec la glace. Les surfaces de vitrage énormes, le pan de verre, sont une des caractéristiques de l'architecture des années 20,30. Mais les propriétés thermiques mal étudiées sont la cause de quelques déboires. Les produits moulés sont améliorés grâce au procédé de trempe mis au point par Saint-Gobain en 1928. Le pavillon construit par la compagnie en 1937 est l'illustration des nouvelles possibilités architecturales offertes par le verre
At the end of the 19th century glass making is still a traditional industry. The transformations begin with innovations in the pivotal element of glass production: the furnace. Three types of glass are used in construction. Window glass, blown by mouth is the most common type. High quality plate glass, cast and polished is the most expensive. Finally, rolled glass is a hybrid product which combines the fabrication techniques of the latter and the end use of the former this third type is at the base of a "range" of glazing products, developed from the 1890's onwards. Recommended by the hygienist movement, this last type will be specified in areas requiring indirect light. The properties of glass, transparent, translucid, reflective and its qualities as a smooth, jointless and washable material make it a very attractive product. Glass cast in the forms of roof tiles, paviours, blocks or bricks used with steel frames and the development of reinforced concrete techniques create opportunities for more structural uses. New uses beyond simple glazing such as in translucid floors or lighting walls transform the image of glass. The all glass house becomes possible. The period between the two world wars is a difficult time as manufacturers struggle to implement changes. Mouth blowing is finally abandoned but despite advances in mechanically drawn glass, rolled glass remains inferior in quality to plate glass. In the 20's and 30's larger glazing areas and glass walls form the new vocabulary of architects who neglect however the thermal properties of glass resulting in serious problems. Pressed glass products are improved in quality with the use of toughening techniques developed by Saint-Gobain in 1928. The pavilion built by the company in 1937 is a demonstration of the new possibilities for glass in architecture
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Sosnowska, Philippe. "De briques et de bois: contribution à l'histoire de l'architecture à Bruxelles :étude archéologique, technique et historique des matériaux de construction, XIII - XVIIIe siècle." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2013. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209373.

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Abstract:
Cette enquête archéologique et historique vise à mettre en relief les rapports entre matériaux et immeubles au travers de l’histoire du bâti ancien bruxellois.

Des trois matériaux qui marquent le bâti bruxellois, deux seront étudiés :le bois et la céramique architecturale. Un troisième volet sera consacré à l’étude des remplois, recyclages et remaniements. Dans le temps imparti à ce travail, compte tenu des impératifs méthodologiques, des contraintes factuelles, il n’était pas possible de traiter de manière approfondie et novatrice des trois types de matériau. La pierre domine symboliquement (mais certainement pas quantitativement) le paysage bruxellois :son emploi caractérise en effet la production architecturale des grands ensembles monumentaux tels que l’Aula Magna, l’hôtel de Ville de Bruxelles ou encore la collégiale Saints-Michel-et-Gudule, pour ne citer que ces exemples. D’une manière générale pour l’ancien duché de Brabant, dans sa partie couvrant l’espace belge actuel, c’est le matériau le mieux étudié dans ses aspects divers (extraction, façonnage des blocs, mise en œuvre…). La pierre sera abordée indirectement, lorsque son emploi a des implications directes dans la mise en œuvre des matériaux étudiés. Une approche de l’ensemble des matériaux lithiques ainsi qu’une réflexion sur certaines mises en œuvre et le développement de futures pistes de recherche seront en outre proposées en conclusion.

Le choix s’est porté sur le bois et la brique, car leur emploi est, de manière générale, moins bien apprécié et moins connu en région bruxelloise par rapport à la pierre. Il fallait en fonder solidement l’étude. L’objectif est donc de pallier à cette lacune en proposant une lecture nouvelle de l’habitat selon des champs d’investigations spécifiques à l’histoire de la construction. La construction de typochronologies pour les planchers, les revêtements de sol, et la brique a pour but d’apporter aux archéologues des marqueurs chronologiques fiables pour l’interprétation et la construction de l’évolution des structures rencontrées. Mais pas seulement. La mise en place de ces typochronologies va de pair avec l’élaboration d’une réflexion sur l’ensemble des chaînes opératoires de la fabrication ou du façonnage des matériaux. Cette production n’est pas uniquement matérielle mais répond à des critères environnementaux, économiques, techniques et sociétaux. Il s’agit donc de comprendre ou d’ouvrir des pistes de réflexion pour appréhender les mécanismes qui ont permis aux bâtisseurs d’utiliser à Bruxelles une large gamme de matériaux et qui par ce biais a façonné le visage urbain bruxellois. L’apport de cette recherche, bien que se focalisant pour l’essentiel sur Bruxelles, a pour objectif de renouveler l’approche des matériaux de construction en apportant une base de références solides dans leur étude pour Bruxelles mais également pour les autres villes et de dépasser ainsi les méthodes traditionnelles d’histoire des formes pour développer une relation dialectique entre matériau, forme, usage et caractérisation sociale de la ville, de son habitat et de ses populations.


Doctorat en Histoire, art et archéologie
info:eu-repo/semantics/nonPublished

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Rahma, Abdel Rahman Ali Mohamed. "Carrières, et travail de la pierre dans les monuments, aux époques napatéenne et méroïtique dans la vallée du Nil moyen." Lille 3, 2007. http://www.theses.fr/2007LIL3A004.

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Farah-Fougères, Bouchra. "Techniques et materiaux de construction a l'age du bronze (~ 3100-1200 av. J. -c. ) au levant du nord." Paris, EPHE, 1999. http://www.theses.fr/1999EPHE4009.

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Abstract:
L'etude des techniques et materiaux de construction a l'age du bronze (~ 3100-1200 av. J. -c. ) s'est portee sur quatre points principaux : 1- presentation et analyse des methodes de construction (sur les 35 sites inclus dans l'etude). Deux parametres principaux et decisifs dans les methodes de construction ont ete definies : a- locaux : -deterministes (geologie, climat. . . Etc) -de choix de l'homme(son besoin selon la nature de l'agglomeration : presence d'etages) b- regionaux : les contacts et echanges culturels. 2- recherche et identification d'une identite architecturale (definie par les methodes communs de construction des differents elements architecturaux : murs, colonnes, passages, sols et escaliers, sur les differents sites). Cette identite est peu prononcee au niveau regional. En revanche, l'architecture du levant du nord, surtout a partir du b. A. Iv, presente des traits communs generaux qui permettent d'admettre la presence d'une identite architecturale generale jusqu'a la fin de l'age du bronze. 3- recherche et determination d'une evolution architecturale (locale : sur un site, et generale). L'evolution locale observee sur certains sites (ras shamra, alalakh. . ), est due principalement a l'introduction de la pierre comme materiau de construction dans une architecture de terre. Quant a l'evolution architecturale generale, elle est constatee plutot dans la vulgarisation de certains methodes de construction au b. R. , reserves auparavant a l'architecture prestigieuse. 4- l'importance de l'architecture dans la chronologie traditionnelle. L'analyse detaille des differents elements de construction a mis l'accent sur l'importance de certaines techniques de construction comme indices tres significatifs dans la datation. Une carte presentant les eventuels echanges de connaissances technique a pu etre dressee
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Moulis, Cédric. "Bâtir en Lorraine méridionale (XIe-XIIe siècles) : chantier et mise en œuvre des matériaux." Thesis, Université de Lorraine, 2018. http://www.theses.fr/2018LORR0184/document.

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Abstract:
S’appuyant sur les acquis des travaux en histoire de l’art sur le bâti roman lorrain, cette thèse revisite un certain nombre de sites à l’aune de problématiques archéologiques liées à l’art de bâtir. Quatorze monographies d’églises, abbatiales ou châteaux, et une centaine de sites explorés dans l’ancien diocèse de Toul, permettent d’appréhender l’exploitation des matériaux, essentiellement la pierre et le bois, et leur mise en œuvre à travers neuf thématiques inhérentes au chantier de construction : implanter, proportionner, extraire, tailler, assembler, maçonner, voûter, échafauder, couvrir. Ce travail met ainsi en valeur les savoir-faire des architectes, des carriers, des tailleurs de pierre, des maçons ou encore des charpentiers sur un patrimoine trop modeste pour avoir jusque-là attiré la réelle attention des chercheurs.Ce sujet n’a pas fait l’objet d’études conséquentes, pour le périmètre géographique et la période chronologique retenus. Nous avons mis en lumière des bâtiments dont le plan et la volumétrie, s’ils s’accordent bien avec les canons romans connus, peuvent varier d’un endroit à l’autre du territoire, avec des spécificités inhérentes aux pays du Toulois, du Saintois et du Vallage. Ces pays se distinguent par la densité des vestiges, ce qui témoigne de leur vitalité au cours du XIIe notamment, et par la qualité des ressources lithiques disponibles.L’examen des matériaux et de leurs lieux d’exploitation met en valeur une économie basée sur une économie souvent restreinte à un rayon de cinq kilomètres autour du chantier, à l’exception peut-être du sapin et de la chaux. Le recours aux analyses physico-chimiques complète le dispositif de recherche mis en place. Elles ont souvent permis de reconsidérer les datations proposées par les historiens de l’art, en vieillissant les édifices, quelquefois de plusieurs dizaines d’années.Il s’agit ici bien souvent des premières observations en archéologie du bâti menées sur ces édifices ruraux de faible volume ou sur des parties difficiles d’accès, qu’ils soient en ruine ou en fonction. À la lumière de ces explorations, un nouveau champ de recherche régional émerge, celui des usages du bois dans les maçonneries et les charpentes, dont il reste bien davantage de traces que supposé au début de l’enquête. D’une manière plus générale, nous constatons une évolution dans la technicité des chantiers, et leur rationalisation, qui touche en premier lieu les édifices religieux réguliers dès la fin du XIe siècle, avant de s’étendre à la construction castrale au cours du XIIe siècle, puis aux petites églises de campagne à la fin de la période. Dans une perspective identique, nous démontrons que les savoir-faire locaux sont plus facilement utilisés que les grandes notions de l’architecture développées sur des bâtiments plus prestigieux et dans des régions de centralité politique importante.Nous avons également voulu remettre l’Homme et son geste au centre du processus de construction. Sans délaisser les motivations et les conséquences dans le domaine édilitaire, nous avons travaillé essentiellement sur la technicité. Comment passe-t-on de la motivation (volonté édilitaire) à la conséquence (réception de l’ouvrage terminé) ? Plus que le point d’arrivée, c’est donc le chemin pour y parvenir qui a été au centre de nos préoccupations. Ainsi nous imaginons la position du tailleur de pierre, celle de sa main, le mouvement insufflé à l’outil percutant la matière ; comment s’organise une assise de parement et comment différentier la première pierre posée de la dernière ; comment répondre aux contraintes architectoniques ; comment développer l’échafaudage. Les particularismes locaux montrent un déplacement, plutôt contraint géographiquement, des ouvriers sur les chantiers au gré de l’ouverture de ceux-ci
Thanks to steps forward on art history regarding the Romanesque architecture in the Lorraine region, this thesis revisits a number of sites in terms of archaeological issues related to the art of building. Fourteen monographs of churches, abbeys or castles, plus a hundred or so sites explored in the ancient diocese of Toul, make it possible to understand the use of building materials, primarily stone and wood. This can be done along nine themes related to construction: how to define location, proportionate, extract, cut, assemble, build, vault, scaffold, cover. This work highlights the know-how of architects, quarrymen, stonecutters, masons or carpenters involved in projects that have been neglected as they are often too modest to attract the attention of researchers.In fact, this topic has not been so far the subject of substantial studies for the geographical area and the chronological period involved. We have highlighted buildings for which plan and volume vary from one place to the other, although they all fit well with the known Romanesque canons. Specificities are prevalent in the Toul area, the Saintois or the Vallage. They are distinguished first by the density of remains in comparison with the rest of the Lorraine. This testifies to the vitality of these three entities during the 12th century in particular. It seems also related to the lithic resources available in these sectors.Examination of the materials and locations of available resources in the area highlights an economy based on short distribution channels, whereas materials rarely come from more than five kilometers away from the construction site, with the possible exception of pine wood and mortar. Physico-chemical analyzes have completed the research. They have often made it possible to reconsider the datings proposed by art historians, aging the buildings by several tens of years.On the sites themselves, we often provide the first observations in the archeology of buildings carried out so far, especially for rural buildings of low volume or for parts of buildings which are difficult to access, either in ruin or still in use. In light of these explorations, a new field of research is emerging and has to extended: the use of wood in the masonry and the carpentry. More traces remain than thought of at the beginning of the investigation. In a more general way, we notice an evolution in the technicality of the building sites, and their rationalization, which encompasses first the religious buildings at the end of the 11th century, before extending to the castle construction during the 12th century, and later to the small country churches. From a similar perspective, we demonstrate that local know-how is more often used than grand architectural concepts developed on more prestigious buildings and in regions of more political importance.We have also taken special care to put the Man and his gesture back in the center of the construction process. Most of the time, studies in this area are concerned with motivations and consequences of an action, be it political, artistic or editorial. We have focused more on technicality. How to go from motivation (the will to build) to realization (reception of the finished work) ? More than the point of arrival, it is the process that has been at the center of our concerns. Thus, we can imagine the position of the stonecutter in front of his stone, the position of his hand, the movement he infuses to the tool. How to organize the facings and how to differentiate the first stone laid from the last? How to respond to architectural constraints ? How to develop the scaffolding ? Here again, certain local peculiarities have appeared, probably showing a movement of workers to the various sites according to the opening of the construction works. Finally, our work brings new heuristic tools to the attention of researchers making the reading of the wall facings less tedious and more rational
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Clément, Benjamin. "Construire et habiter à Lugdunum : Organisation, formes et évolution de l’architecture domestique (IIe av. – IIIe siècle apr. J.-C.)." Thesis, Lyon, 2016. http://www.theses.fr/2016LYSE2028.

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Abstract:
Traiter de la construction dans le monde romain, et plus particulièrement dans le cas d’une cité ou d’une colonie, constitue un exercice souvent ardu tant les angles d’approches sont nombreux. Pourtant, Lugdunum constitue une exception dans ce domaine, tant par la richesse de sa documentation archéologique et épigraphique, que par son statut de colonie romaine précocement dévolue en Gaule. Ce travail doctoral s’est donné pour objectif de traiter de l’architecture domestique à Lugdunum, à travers le prisme de la construction, en s’appuyant sur une approche globale, tant par les matériaux étudiés que par les méthodologies mises en place. En suivant les différentes étapes de la construction, l’objectif est de définir les différents approvisionnements des chantiers, l’évolution typologique et chronologique des matériaux et des techniques mises en œuvre, ou encore la diversité des formes de l’habitat, afin de dresser une image la plus précise possible de « l’art de bâtir » à Lyon, et des artisans qui y participent. À ces différentes questions, l’analyse des matériaux, des techniques de construction et des plans, ainsi que d’un corpus d’inscription, apporte des réponses très concrètes et ouvre de nouvelles perspectives de recherche.Dans le cadre d’un Master mené entre 2007 et 2009, l’étude des toitures en tuiles de terre cuite, en Gaule du Centre-est, et plus particulièrement à Lyon, a révélé une évolution typologique des tegulae et imbrices qui se prête à l’établissement d’une typo-chronologie détaillée, permettant de les dater au demi-siècle prés. En m’appuyant sur la méthodologie mise en place au cours de ce master, une analyse exhaustive des fragments de brique, de quart de colonne, de tomette d’opus spicatum ou encore de tubuli a été menée afin, de caractériser une éventuelle évolution de leur morphologie, ou de leur utilisation dans la mise en œuvre des bâtiments. Une attention particulière a également été portée à la nature des moellons (granite, gneiss, calcaire...), aux pierres d’importation (marbres et calcaire), ainsi qu’aux mortiers mis en œuvre dans l’architecture des maisons lyonnaises. Ces études, couplées à une analyse géomorphologique du territoire colonial, permettent de livrer une image complète de l’approvisionnement en matériaux de construction de Lugdunum. Le second axe de recherche concerne les techniques de construction employées pour édifier les domus de la colonie de Lyon. Les maçonneries (fondation et élévation) ont donc été analysées selon des critères techniques et typologiques, en parallèle de l’étude des matériaux (moellons, mortier, TCA). L’architecture en terre crue nous offre un autre angle d’approche. Cette technique de construction est omniprésente à Lyon pour l’architecture domestique et reste cependant peu étudiée. Nous aborderons donc les modalités de sa mise en œuvre, ainsi que sur les différentes formes d’architecture dans laquelle elle intervient (adobe, pans de bois, torchis…), au travers des vestiges découverts en place, ou des restes carbonisés qui nous sont parvenus. Enfin, nous aborderons la question du plan des maisons lyonnaises en reprenant la classification proposée par E. Delaval en 1995. L’apport de l’archéologie préventive et programmée à Lyon a en effet permis de renouveler le corpus des bâtiments à vocation domestique et/ou artisanale, mettant en lumière de nouveaux types d’édifice. Nous élargirons cette réflexion grâce aux comparaisons possibles avec les autres cités et colonies de Gaule et du monde romain. Pour conclure, ce travail doctoral focalisé sur l’évolution des techniques et des matériaux de construction, mais également des plans des édifices domestiques de Lyon, révèle la richesse d’une analyse menée à partir d’une grande variété de matériaux, souvent peu considérés par une partie de la communauté scientifique – à savoir les briques, les tuiles, les moellons, le mortier
Deal with the topic of construction in the Roman world, mostly for a civitates or a colonia, become a difficult exercise because of the many perspectives for this subject. However, Lugdunum is an exception in this field, both its rich archeological or epigraphic documentations and its status of early roman colony in Gaul. This doctoral research has set itself the objective of dealing of domestic architecture in Lugdunum. This work is built on a global approach, based on the studies of construction techniques and building materials as well as new methodology. Following the step of a construction site, the purpose of this work is to characterize the different chains of supply, the typological and chronological evolution of building materials or the diversity of the domestic architecture. The analysis of building materials, construction techniques, typology of the domus, as well as group of funeral inscriptions bring very concrete answers and opens new research opportunities.As part of a Master conducted between 2007 and 2009, studying the terracotta tiled roofs in Gaul, particularly in Lyon, allowed the establishment of a typology of tegulae and imbrices, permitting to date this type of artifact to nearly half a century. Based on the methodology developed in this master, a comprehensive analysis of fragments of brick, column quarter, bricks of opus spicatum or tubuli was conducted in order to characterize any changes in their morphology, or for use in the construction of buildings. Particular attention was also paid to the nature of rubble stone (granite, gneiss, limestone…), as well as the mortar used in the roman houses of Lyon. These studies, coupled with geomorphologic analysis of the colonial territory, allow delivering a complete picture of the supply of Lugdunum in building materials.The second research axis concerns the construction techniques used to build the domus of the colony. Masonry (foundation and elevation) were therefore analyzed using technical and typological criteria, in parallel to the study of materials (rubble stone, mortar, terracotta materials). The mud brick architecture and earth structures offering another angle of approach. This construction technique is ubiquitous in Lyon for domestic architecture and remains poorly studied. We will discuss the modalities of its implementation, as well as the various forms of architecture in which it operates (adobe, wood-framed, mud ...), through the remains found in place, or the carbonized artifacts discovered in the colony.Finally, we will discuss the issue of Roman houses plan in Lyon, incorporating the classification proposed by E. Delaval in 1995. The contribution of preventive archeology these past years in Lyon has allowed to renew the corpus of domestic buildings, highlighting new types of building. We will extend this thinking through the possible comparisons with other cities and colonies of Gaul and in the Roman world.In conclusion, this doctoral work focused on the evolution of techniques and building materials, but also plans of domestic buildings in Lyon, reveals the richness of an analysis from a variety of materials, often not considered by a part of the scientific community. At the scale of a colony, these various lines of research provide a better understanding for the concepts of manufacturing and material supply, but also to improve our knowledge of construction techniques. These different aspects, treated in a comprehensive manner and diachronic way, open to historical and sociological reflection concerning the organization of workshops (role of corporations, degree of independence) or evolving status of craftsmen of the Lugdunum colony working in construction site. These conclusions are based on an original corpus of funerary inscriptions of Lyon craftsmen
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Foucher, Marion. "La pierre et les hommes en Bourgogne : archéologie et histoire d'une ressource en oeuvre du Moyen-Âge à l'époque moderne." Thesis, Dijon, 2014. http://www.theses.fr/2014DIJOL034/document.

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Abstract:
Pour dépasser les limites inhérentes à la déconnexion des disciplines ou celles imposées par les sources, les périodes ou les sites, cette thèse propose une approche pluridisciplinaire et diachronique de la question de l'approvisionnement en pierre des chantiers médiévaux et modernes. Grâce à la confrontation de bâtiments d'origines et de fonctions différentes, ce travail cherche à décortiquer les processus de choix et réseaux d'approvisionnement en pierre, pour envisager le rapport des hommes à une ressource naturelle
In order to go further limits inherent to subject disjunction, or those imposed by sources, periods or sites, this thesis emphasises a multidisciplinary and diachronic approach of stone supply on medieval and modern building sites. Thanks to the confrontation of buildings with different origins and functions, this work tries to dissect process of choices and stone supply network. It finally considers connection between people and a natural ressource
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Moulin, Marie-Anne. "Argentan au Moyen Âge : aspects urbains, sociaux et économiques." Paris, EHESS, 2007. http://www.theses.fr/2007EHES0145.

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Abstract:
La richesse des sources disponibles éclaire le développement de la ville d'Argentan, de sa naissance comme bourg castral contrôlant un carrefour et un guet de l'Orne, jusqu'à la fin de l'époque médiévale. Elle autorise à décrire les paysages urbains, à connaître l'évolution politique, les structures sociales et l'économie de cette petite ville normande. Dans ce contexte, les différents pouvoirs en présence - seigneurs, communauté urbaine et fabriques - matérialisent leur influence dans le bâti - château, murailles, églises et hôtels-Dieu, objets de travaux constants du XIIIe au XVe siècles. L'organisation des chantiers, de la décision à la mise en œuvre, varie en fonction de l'institution donneuse d'ordre. Les processus décisionnels, la direction et le suivi des travaux sont exposés pour les chantiers religieux, hospitaliers et castraux. La question des matériaux - approvisionnement, origine et qualités -permet de conclure à une bonne exploitation des ressources locales. Les artisans du bâtiment, majoritairement originaires des environs, font preuve d'une grande polyvalence et d'une bonne maîtrise technique transmise au sein de l'atelier familial
The important archives available allow to explain the development of the city of Argentan, from its beginning as a castle controlling a cross roads and the river Orne, till the end of the middle Ages. They also permit to knovv the political évolution, the social structures and the economy of this small Normandy city. In that context, the different local institutions - lords, urban organisation and parishes -become real through buildings - castle, city walls, churches and hospitals, always rebuilt from the 13* to the 15 century. The organisation of those works depends on the institution which is building. The decision, the direction and the following of those works are explained for churches, hospitals and the castle. The question of materials - how they are chosen and moved to the building area, where they are from, which quality - permit to discover a good exploitation of local resources. Building workers. Mainly from the close area, are able to work on différent kind of buildings and to do very different operations on the building and also have good technical capacities, learned in the family
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Hellebois, Armande. "Theoretical and experimental studies on early reinforced concrete structures: contribution to the analysis of the bearing capacity of the Hennebique system." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2013. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209441.

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Abstract:
In the framework of the conservation of early reinforced concrete structures from the last third of the 19th century up to 1914, this research deals with superstructures (excluding foundations, roads, pipes, etc.) in reinforced concrete (in the modern sense of the term – i.e. concrete made with artificial cement and rebars supplying tensile strength; thus, the combination of a metal profile embedded in concrete is excluded). The development of reinforced concrete as a building material started around 1880 and became widespread around the time of the First World War. Some of the structures concerned are listed as heritage properties today. Therefore they deserve specific and careful study to ensure long-term preservation of their historic, architectural, technical and socio-economic value. They bear witness to a period in construction history when reinforced concrete was a new material. The outbreak of the First World War marked the end of the initial period of innovation, exploration and experimentation. By then, reinforced concrete had become widely accepted and adopted as a suitable and effective building material. However, present-day attempts at restoration often prove inadequate, due to incomplete understanding of this period of construction and the characteristics of the first generation of reinforced concrete. If the causes of degradation are incorrectly diagnosed, the repairs are likely to be inappropriate. Moreover, the number of reinforced concrete structures requiring repair work is currently increasing with the natural ageing of the material. This phenomenon will continue to grow in the coming years.

With this in mind, the present research aims at identifying the specific structural characteristics of reinforced concrete structures erected before the First World War. Several axes of investigation were pursued in this PhD research and have resulted in the main observations detailed below.

- Based on a case study of the region of Brussels (Belgium), a database of structures built in reinforced concrete prior to 1914 was drawn up in order to place the material in its historical and geographical context. The inventory currently contains 507 examples and provides a panorama of the uses of reinforced concrete, ranging from numerous foundations and slabs to a complete structure from the end of the 1890s. This list is supplemented by a survey of a total of 605 patents filed for reinforced concrete in Belgium before the First World War. The early development of reinforced concrete was strongly related to national patenting, with a considerable number of systems being patented by private inventors for commercial purposes. Reinforced concrete profoundly transformed the building industry. All the professions working with the composite material had to change their approach, from the planning stage through to execution on the site. From the viewpoint of construction history, all these modifications make the time of the advent of reinforced concrete a particularly fruitful period to study.

- From the survey of early reinforced concrete structures in Brussels and the database of Belgian patents, the supremacy of the Frenchman François Hennebique and his system on the Brussels market for reinforced concrete (and, by extension, on the Belgian market) before 1914 is incontestable. This commercial achievement resulted from a combination of factors: an efficient structural system, meticulous attention to the quality of on-site reinforced concrete execution, and the commercial acumen to develop the business through advertising and other media. The well-known Hennebique system represents a monolithic structure including slabs, beams and columns. In fact, this system changed over the decades of operation of Hennebique’s company, not so much in relation to the design methods (his original semi-empirical method continued to be used) but particularly in practical terms (the type and location of the rebars among others). The evolution of the system is analysed by means of technical drawings from about 30 Belgian projects designed by Hennebique between 1900 and 1930.

- After the building contractors, who had been the first to believe in the structural and economic potential of reinforced concrete, engineers invented the calculation models and architects started developing new shapes. The Belgian engineer Paul Christophe was among the first theorists of reinforced concrete. The publication of his book Le béton armé et ses applications in 1899 is internationally recognised as a milestone in the rational modelling of structural reinforced concrete elements. Prior to the present study, details of his life and work remained largely uninvestigated, but the discovery of large parts of his personal archives has allowed clarification of his role in the popularisation of reinforced concrete, especially at the theoretical level.

- Reinforced concrete structures around the beginning of the 20th century were initially governed by empirical models of calculation (and execution) developed by the individual constructors. Gradually, reinforced concrete standards, published between 1904 and 1923 and based on working stress analysis and elastic modular ratio theory, replaced the utility of the patented systems. The different theoretical approaches are briefly described in this research. Mastering the theoretical assumptions and calculation methods used at the time represents the first step towards an appreciation of the structural behaviour and the possible weaknesses that can be expected.

- A review, based on literature published at that time, of the properties of the components of reinforced concrete allows identification of the characteristic materials used in the concrete matrix and the metal reinforcements. The execution process and the available technological tools for erecting a reinforced concrete structure are also addressed, as these would have had a direct influence on the quality of construction. Non-destructive and destructive experimental laboratory tests were performed on original samples, mainly removed from the Colo-Hugues viaduct (1904, Braine-l’Alleud, Hennebique system) in order to assess the mechanical properties, chemical features and durability issues for concrete and ferrous reinforcements. Comparing the results obtained using different techniques also makes it possible to determine the extent to which these techniques are reliable for the appraisal of early reinforced concrete structures.

- The structural efficiency of the Hennebique system is assessed based on an understanding of the principles of Hennebique’s semi-empirical method of calculation, but also – and primarily – by means of observations from experimental tests carried out on full-sized beams removed from the Colo-Hugues viaduct. Analysing and understanding the behaviour of the new composite material was a critical issue for promoting the use of reinforced concrete at the beginning of the 20th century. Today, what is required is a re-assessment of its structural behaviour. Three bending tests up to failure in simply supported conditions were performed at the BATir Department of the Université libre de Bruxelles on T-beams from the Colo-Hugues viaduct. This case study is representative of the majority of Hennebique structures, because the typical continuous straight T-beam is the main structural element of any Hennebique structure (bridge, building, etc.). The first test is a four-point bending test on a complete span (6 m) of the viaduct to obtain the response of the central part under positive bending moment. The flexural failure was ductile and occurred through yielding of the reinforcements followed by crushing of the concrete at mid-span. The second and third tests are three-point bending tests on 4 m long specimens centred on the column, representing the behaviour of the beam around the supports. These showed a sudden slipping failure due to loss of the adhesive bond between rebars. The results of these three experiments combined reproduce the actual behaviour of the viaduct in service. The bearing capacity of the Hennebique system in service and at ultimate has been demonstrated, at least for one loading case. These experimental tests provide essential data for a better understanding of the mechanisms of failure and reveal the main weaknesses of the Hennebique T-beam. Two strengthening solutions are suggested as supplementary information.

- The pathologies observed in early reinforced concrete structures (honeycombs, corrosion of the rebars, and so on) are mainly attributable to the tools and techniques that the builders had at their disposal (handmade compaction, high water-to-cement ratio, etc.) and by the limited contemporary knowledge of the physical and chemical phenomena, especially with regard to long-term effects. In fact, the concrete quality of the viaduct is surprisingly satisfactory despite its great age, due to the fact that the whole structure was covered with plaster, like the majority of reinforced concrete structures designed at that time.

This research establishes that reinforced concrete structures from 1880 to 1914 differ from later reinforced concrete structures. Taking into consideration the features of early reinforced concrete structures will contribute to ensuring sustainable conservation with limited intervention, thus preserving as much as possible of the original structure when restoration work is undertaken. Working on existing buildings often requires a multidisciplinary and holistic approach. The present study could thus be extended in various areas. For example, other structural aspects could be studied more in depth, such as demonstration of the shear strength of the Hennebique system or detailed consideration of the reinforcements (low adherence, particular anchorage devices, etc.)/

C'est dans le cadre de la conservation, au sens large du terme, que s'inscrit cette recherche sur les constructions en béton armé de première génération, c'est-à-dire de la fin du 19ème siècle au début du 20ème siècle. Cette recherche traite uniquement des superstructures, à l'exclusion des fondations, routes, tuyaux, etc. et en béton armé au sens moderne du terme, c'est-à-dire un béton réalisé à base de ciment artificiel et dont les armatures interviennent surtout pour reprendre les efforts de traction, ce qui exclut par exemple les utilisations de poutrelles métalliques enrobées de béton. Certains de ces ouvrages, réalisés entre 1880 et 1914, font aujourd'hui partie intégrante du patrimoine bâti, pour leurs valeurs architecturale, historique, technique ou aussi socio-économique. Ils jalonnent désormais l'histoire de la construction comme témoins d'une époque où le béton armé était un matériau nouveau. La Première Guerre mondiale marque la fin de cette période de premières innovations, d'explorations et d'expérimentations. Elle entérine l'acceptation et la diffusion du béton armé comme matériau de construction à part entière. Cependant, ainsi que le montrent certains projets de restauration actuels aux interventions inadéquates, il y a encore une méconnaissance des spécificités du béton armé de cette époque. Les causes de leurs dégradations mal diagnostiquées sont traitées de façon inappropriée. Or, dans les prochaines années, nombre de structures en béton armé construites dans la première moitié du 20ème siècle seront amenées à subir une rénovation suite au vieillissement naturel du matériau. C'est pourquoi pour conserver au mieux ces structures, il est indispensable d'étudier en détails leurs caractéristiques techniques pour ensuite intervenir, si nécessaire, de façon précise et adaptée.

Ce doctorat s'attèle donc à identifier les particularités des constructions en béton armé construites avant l'avènement de la Première Guerre mondiale, et plus spécifiquement à étudier leurs aspects structuraux. Plusieurs axes de recherche ont été développés et ont abouti aux principaux résultats suivants.

- Basé sur le cas de la région de Bruxelles-Capitale (Belgique), un inventaire des interventions en béton armé, construites avant 1914, a été dressé pour replacer le matériau dans son contexte historique et géographique. Cette base de données, comprenant 507 biens jusqu'à présent, illustre les types d'utilisation du béton armé dans la construction au début du 20ème siècle, d'abord des fondations ou simples planchers, jusqu'à une structure monolithique complète dès la fin des années 1890. Cet inventaire est complété par le relevé détaillé des brevets, au nombre de 605, déposés à ce sujet en Belgique avant la Première Guerre mondiale. Les brevets ont joué un rôle fondamental dans le développement du béton armé. Celui-ci était, en effet, régi par un foisonnement de systèmes commerciaux, majoritairement brevetés. L'introduction du béton armé a transformé en profondeur le secteur de la construction et notamment les professions liées tant à la phase de conception qu'au chantier lui-même. Du point de vue de l'histoire de la construction, toutes ces mutations font de l'avènement du béton armé une période historique riche.

- A la lecture du panorama offert par les inventaires des constructions et des brevets, la prééminence de la compagnie du Français François Hennebique, et donc de son système, sur le marché bruxellois (et par extrapolation sur le marché belge) du béton armé avant 1914 est indéniable. La réussite commerciale de Hennebique résulte d'une combinaison de facteurs: un système efficace sur le plan structural, une qualité d'exécution de béton coulé en place fiable et méticuleuse ainsi qu'un sens développé des affaires, en maîtrisant l'art de la promotion et de la publicité notamment. Le système bien connu de Hennebique comprend un ensemble monolithique formé par des dalles (hourdis), poutres et colonnes. Ce système a, en réalité, évolué dans le temps, pas tant d'un point de vue théorique (les calculs de dimensionnement sont les mêmes) mais plutôt pratique (positionnement, type d'armatures, etc.). Cette évolution a été observée par l'étude d'une trentaine de cas pratiques exécutés par Hennebique entre 1900 et 1930 en Belgique.

- Après les entrepreneurs, qui ont été les premiers à croire aux nouvelles possibilités constructives qu'offre le béton armé ainsi qu'à son succès commercial, les ingénieurs en inventent les principes de calcul et les architectes en révolutionnent les formes. L'ingénieur belge Paul Christophe fut parmi les premiers théoriciens du béton armé. La publication de son ouvrage Le béton armé et ses applications en 1899 constitue une étape importante, et internationalement reconnue, pour le dimensionnement rationnel d'éléments structuraux en béton armé. Jusqu'à la présente recherche, sa vie et son œuvre étaient restées assez confidentielles mais la découverte d'une partie de ses archives personnelles a permis de clarifier son rôle dans la diffusion, surtout théorique, du béton armé.

- Les structures en béton armé d'avant la Première Guerre mondiale furent d'abord gouvernées par des méthodes empiriques de dimensionnement (et d'exécution) développées par chaque constructeur. L'apparition des premières règlementations entre 1904 et 1923, basées sur une analyse en contraintes admissibles et la théorie du coefficient d'équivalence, remplace ensuite peu-à-peu l'utilité des systèmes brevetés. Les différentes approches théoriques sont brièvement décrites dans cette recherche. Maitriser les hypothèses et les méthodes de calculs employées à l'époque est, en effet, une première étape pour comprendre le fonctionnement structural prévu et les potentielles défaillances de dimensionnement.

- A travers une lecture attentive de la littérature publiée à cette période, les matériaux intervenants dans la fabrication du béton armé (c'est-à-dire le béton et les armatures) et utilisés couramment au début du 20ème siècle ont été identifiés ainsi que les moyens disponibles à cette époque pour produire des structures en béton armé. Des méthodes d'essais non-destructives et destructives ont été appliquées principalement, sur le viaduc Colo-Hugues (1904, Braine-l'Alleud, système Hennebique) afin d'évaluer les caractéristiques mécaniques, les propriétés chimiques et la durabilité tant du béton que des renforcements métalliques. Comparer les résultats de ces différentes méthodes permet d'aborder les limites d'utilisation de ces techniques, lorsqu'il s'agit d'évaluer structuralement des bétons armés de première génération.

- Grâce à la compréhension des principes, semi-empiriques, de dimensionnement appliqués par le bureau Hennebique en son temps mais surtout grâce aux observations déduites des essais expérimentaux réalisés sur des poutres de grandeur réelle, prélevées sur le viaduc Colo-Hugues, le fonctionnement structural réel du système Hennebique est évalué. Comprendre et modéliser le comportement du nouveau matériau composite fut une problématique fondamentale pour accroître l'usage du béton armé au début du 20ème siècle. Actuellement, il s'agit de réévaluer le comportement de ces structures. Trois essais jusqu'à rupture ont été menés, au département BATir de l'Université libre de Bruxelles, sur des poutres à gousset en T provenant du viaduc Colo-Hugues en conditions isostatiques et soumises à flexion. Ce viaduc des chemins de fer vicinaux est un cas d'étude représentatif de la majorité des constructions Hennebique, car la poutre de section en T est la structure typique du système Hennebique, utilisée tant dans les ouvrages d'art que dans les bâtiments. Le premier essai est une flexion 4 points sur une travée complète du viaduc (6 m de portée) pour obtenir la réponse en zone de moment maximum positif. La rupture ductile a eu lieu par plastification des armatures suivie d'un écrasement du béton en zone centrale, c'est-à-dire dans la zone la plus sollicitée. Deux éléments identiques de longueur de 4 m ont été essayés en flexion 3 points pour représenter le comportement sur appuis. La rupture de ces deux dernières expériences s'est produite suite à un glissement des armatures sur appuis (goussets à côté de la colonne). Il s'agit donc d'une rupture à caractère fragile. Les trois essais combinés représentent correctement la structure hyperstatique du viaduc dans son fonctionnement en service. La capacité portante réelle du système Hennebique en service et à l'état limite ultime, du moins dans un cas de chargement, a pu être expliquée. Ces essais fournissent les données essentielles pour estimer l'efficacité structurale du système Hennebique et identifier ses faiblesses. Deux solutions de renforcement sont proposées en complément d'information.

- Les pathologies observées dans les bétons armés datant du début du 20ème siècle (nids de graviers, corrosion des armatures, etc.) sont, la plupart du temps, causées par les outils sommaires à la disposition des constructeurs (vibration à la main, rapport eau/ciment plus élevé qu'aujourd'hui, etc.) et par une connaissance limitée des phénomènes physiques et chimiques, surtout à long terme. En fait, la qualité du béton du viaduc Colo-Hugues est particulièrement satisfaisante malgré l'âge avancé du béton, grâce notamment à l'enduit recouvrant l'ensemble du viaduc, ce qui est le cas pour la majorité des structures de la période étudiée.

Cette recherche démontre que les constructions en béton armé datant de 1880 à 1914 diffèrent des ouvrages postérieurs en béton armé et qu'il serait utile pour leur restauration de tenir compte de ces spécificités. La connaissance approfondie des particularités des constructions en béton armé de première génération permettra, espérons-le, de contribuer à leur longévité en intervenant le moins possible sur les structures d'origine. Etant donné que l'étude des structures existantes nécessite le plus souvent une approche pluridisciplinaire, ce travail pourrait être poursuivi dans plusieurs domaines variés. Il resterait notamment à approfondir d'autres aspects de stabilité, comme par exemple la démonstration de l'efficacité à l'effort tranchant du système Hennebique ou encore la prise en considération plus détaillée des armatures (adhérence limitée, forme d'ancrage particulier, etc.).
Doctorat en Sciences de l'ingénieur
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Vincent, Elizabeth. Le Génie royal au Canada: Matériaux et techniques de construction. Ottawa, Ont: Lieux historiques nationaux, Service canadien des parcs, 1993.

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Cullen, Mary. Les couvertures en ardoises au Canada. Ottawa, Ont: Direction des lieux et des parcs historiques nationaux, Service canadien des parcs, 1990.

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Elliott, Cecil D. Technics and architecture: The development of materials and systems for buildings. Cambridge, Mass: MIT Press, 1992.

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4

Elliott, Cecil D. Technics and architecture: Development of materials and systems for building. Cambridge,MA: MIT Press, 1994.

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5

La construction romaine: Matériaux et techniques. 2nd ed. Paris: Picard, 1989.

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Marcus, Bernie. Built from scratch: How a couple of regular guys grew the Home Depot from nothing to. New York: Times Business, 1999.

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Arthur, Blank, and Andelman Bob, eds. Built from scratch: How a couple of regular guys grew the Home Depot from nothing to $30 billion. New York: Times Business, 1999.

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Arthur, Blank, and Andelman Bob, eds. Built from scratch: How a couple of regular guys grew the Home Depot from nothing to $30 billion. New York: Crown Business, 2000.

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Elliott, Cecil D. Technics and Architecture: The Development of Materials and Systems for Buildings. Mit Pr, 1994.

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M, Poisson J., ed. Le bois dans le château de pierre au moyen âge: Actes du colloque de Lons-le-Saunier, 23-25 octobre 1997. Besançon: Presses universitaires franc-comtoises, 2003.

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