Academic literature on the topic 'Contes de fées français'

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Dissertations / Theses on the topic "Contes de fées français"

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Rousseau, Christine. "Les enchantements de l'éloquence : contes de fées et stratégies hyperboliques au XVIIème siècle." Phd thesis, Université de Grenoble, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00926683.

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Abstract:
Les nombreux contes de fées qui paraissent à la fin du XVIIe siècle sont modélisés par un système hyperbolique omniprésent. Du niveau le plus micro-structural jusqu'aux macrostructures poétiques, l'hyperbole définit, justifie et confirme le genre merveilleux. Profusion, foisonnement, démultiplications, redoublements, dérivations ou créations débridées sont ainsi les déclinaisons prolifiques de l'hyperbole. Saturant les récits par des procédés récurrents, la distribution lexicale déborde des cadres alors insuffisants pour exposer des inventions originales et fantaisistes, et s'amplifie jusqu'à submerger les contes de néologismes, de listes ou de syntagmes figés dans une expansion logorrhéique. A un niveau supérieur, le discours du narrateur, comme celui des personnages, s'énonce et s'affiche ostensiblement dans une mise en scène générique exponentielle qui (se) joue de multiples formes pour divertir et se développer. Entre ingérence auctoriale fréquente et discordances démonstratives, le conte révèle une énonciation scalaire complexe et inédite dans un genre hérité d'une tradition orale univoque. Redoublant une elocutio composite et enchevêtrée, la dispositio supplétive des contes additionne, intercale et annexe les épisodes diégétiques dans une surcharge narrative qui prolonge les limites d'un genre paradoxalement bref. Les nombreux personnages qui dé/re/doublent le protagoniste participent à la mise en œuvre d'intrigues plurielles qui trouvent leur cohérence dans la figure centrale du conte. Marqué par une emphase systématisée qui se propage autour de lui, le héros rassemble et dirige tous les motifs diégétiques. Inscrit dans un environnement à sa mesure, distingué par des attributs outranciers, entouré de spectateurs enthousiastes, le héros domine le récit par la théâtralisation de son statut hors du commun. Genre hybride, kaléidoscopique et protéiforme, le conte propose une politique paradoxale de la surenchère permanente, du surnombre, de la surqualification, du grossissement, saturant le texte, et ce d'autant plus qu'il est bref, dans un processus jubilatoire. En concentrant dans un espace restreint les multiples éléments du conte, l'esthétique de l'hyperbole, si elle peut exister dans d'autres corpus et dans d'autres déclinaisons, permet spécifiquement d'accéder à la vérité du genre tel qu'il est pratiqué dans l'écriture mondaine des années 1690-1710.
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Gaubert, Benoit Céline. "Le goût d'écrire et de lire dans le conte de fées français des 17° et 18° siècles. Fantaisies de l'écriture, du livre, de la bibliothèque et de la lecture." Electronic Thesis or Diss., Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA086.

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Abstract:
L’étude du conte de fées de 1690 à 1789, période de la mode du genre en France, montre que la matière merveilleuse s’est constituée dès ses débuts avec des éléments de pratiques lettrées transposés du réel mais aussi et surtout transformés de manière fantaisiste. Les premiers conteurs (1690-1704) érigent en effet le genre selon une poétique complexe mariant l’oralité des temps naïfs et l’écrit, signe d’une pratique sociale et culturelle du conte. Les conteurs suivants en apportent des infléchissements plus parodiques, des imitations et des variations notamment orientalisantes. L’ensemble des auteurs est concerné mais à des degrés divers, Perrault, Choisy et Fénelon étant moins prolixes en la matière que Madame d’Aulnoy, Pétis de la Croix ou le chevalier de Mailly.Le pays merveilleux dévoile ses arcanes, son secret de fabrication métatextuelle à travers des scènes plus ou moins fugaces de lecture, d’écriture et d’évocations de bibliothèques féériques<br>The study of the fairy tale over the years 1690-1789, when the genre was in fashion in France, shows that, from its inception, the subject matter grew up with elements of realistic literary practice which were largely reshaped by imagination. The first storytellers (1690-1704) set up the literary genre according to a complex poetics allying the orality of naive times with literacy, which is the mark of a social and cultural practice of the story. The contributions of the forthcoming storytellers are imitations, parodies or are tinged with Orientalism. All the writers are affected, but to varying degrees: Perrault, Choisy and Fénelon are less inventive in this respect than Madame d’Aulnoy, Pétis de la Croix or the Chevalier de Mailly. The wonderland reveals its mysteries and the secret of its metatextual layout through more or less fleeting scenes of book reading or writing conjuring up a magical library
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Grapin, Alexandra. "L' expression du sentiment amoureux dans les contes de fées et dans les comédies de la première moitié du XVIIIe siècle en France." Paris 3, 2008. http://www.theses.fr/2008PA030039.

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Abstract:
Le sentiment amoureux prend une dimension intellectuelle et devient objet d’interrogations chez nos auteurs de contes et de comédies. Leur but est de dévoiler la réalité complexe des sentiments et des pensées de leurs personnages. L’amour en lui-même ne cesse d’être interrogé dans nos contes et dans nos pièces: est-il inévitablement passionné ? Est-il exclusivement présenté comme une donnée magique, inexplicable ? Repose-t-il toujours sur les mêmes fondements ? Peut-il prendre un tour plus intellectualisé, voire parfois rationnel ? Les auteurs cherchent à capter l’essence même de l’amour, et a fortiori son caractère ambivalent. Ils s’interrogent également sur sa pérennité. Réunis par une approche réflexive du sentiment, les conteurs et les dramaturges proposent des moyens neufs pour exprimer des zones du cœur restées jusqu’alors inexpliquées, et pour ce faire, emploie chacun des approches, des perspectives, des manières de caractériser les personnages et les sentiments qui sont distinctes. On a d’une part des récits d’actions dans le conte de fées, et d’autre part une parole tournée vers l’extérieur dans le théâtre. Nos auteurs décrivent ce moment où le sentiment naît et métamorphose l’individu. Celui-ci se découvres à travers les premiers émois de l’amour, et ce même s’il n’en a pas toujours conscience. Et c’est là tout l’enjeu des œuvres étudiées : montrer des personnages qui refusent dans un premier temsps de reconnaître et de formuler le sentiment<br>Loving feeling takes an intellectual dimension and becomes object of questionings for our authors of fairy tales and comedies. Their purpose is to reveal the complex reality of feelings and thoughts of their characters. The love in itself does not cease being questioned in our stories and in our plays: is it inevitably enthralled ? Is it exclusively introduced as magical, unaccountable data ? Does it always rest on the same foundations ? Can he take a more intellectualized turn, or even sometimes rational? The authors try to pick up the essence of love, and all the more so its love-hate character. They also question on his permanence. United by a reflexive approach of feeling, the storytellers and the dramatists offer new means to express zones of the heart remained until then unexplained. They use each of approaches, perspectives, ways to characterize the figures and feelings which are distinct. They have on one hand tales of actions in the fairy tale, and on the other hand word turned to the outside in the theatre. Our authors represent this instant when feeling is born and transforms completely the individual. This one confides across the first stir of love, and even if he is still not aware of it. And it is all stake of studied writings there : show figures who refuse of at first to acknowledge and to formulate feeling
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Jasmin, Nadine. "Mots et merveilles. Les contes de fees de madame d'aulnoy." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040255.

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Abstract:
L'etude s'attache a determiner l'esthetique des contes de fees publies par mme d'aulnoy entre 1690 et 1698, moment privilegie de la naissance d'un genre : le conte de fees litteraire francais, dont il s'agit precisement de saisir la genese ou processus de fabrication. Elle examine d'abord les multiples impregnations livresques dont se nourrit le conte, en s'interrogeant sur le type de relation que peut entretenir un genre nouveau avec les categories litteraires qui l'ont precede, de la mythologie au folklore, du romanesque medieval a la pastorale ou de la farce a la fable. Elle observe ensuite comment le conte se situe dans l'air du temps, de par son inscription dans un contexte socioculturel date qui lui imprime sa marque, voire son ideologie aristocratique, feminisante ou precieuse. Le travail s'interesse ensuite au dispositif peritextuel, generique et narratif du conte, dont il tente de degager les lois et de reperer les effets de sens, interpretes en termes de strategies generiques textuelles. C'est du cote du style des contes que se tourne ulterieurement l'etude, qui tente de replacer le projet esthetique de la conteuse dans le cadre des preoccupations et des concepts de son temps. Les notions d'enjouement, de badinage et de gaiete sont ici rencontrees, mises au service d'un parti pris de variete ludique, fonde sur le principe de connivence entre l'auteur et son public. Du style aux images, s'accomplit enfin le cheminement qui permet de deceler, derriere ou malgre les recurrences stylistiques, des constellations et des reseaux d'images, interpretables en termes de reverie feminine concurrencant la pression heroique du genre du conte. Autant d'approches critiques susceptibles d'eclairer la part de conformite ou de singularite de l'oeuvre et de la demarche creatrice de mme d'aulnoy.
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Le, Guern-Camara Gaëlle. "La tentation de la fuite : itinéraires féminins à travers quelques grands contes de tradition orale." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCC225.

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Abstract:
Les contes merveilleux présentent des parcours dont l’issue semble systématiquement jouée d’avance : l’idée communément admise est que l’histoire de leurs héros se terminerait forcément par un dénouement du type « ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». Ces récits auraient ainsi un charme désuet, à l’aspect rétrograde particulièrement marqué concernant les personnages féminins : comment pourrait-on trouver une image de la femme d’aujourd’hui dans des schémas traditionnels aussi stéréotypés ? Notre hypothèse est que cette analyse repose sur un malentendu qui privilégie le point d’arrivée des héroïnes à la succession d’images fortes qui parsèment le récit et le rendent beaucoup plus subversif. Loin de rester sagement assises au coin du feu à s’occuper de travaux domestiques qui incombent d’ordinaire aux femmes dans les sociétés traditionnelles, nombre de personnages féminins dans les contes prennent la route, pour fuir dans un premier temps le royaume du père et sa sécurité illusoire. S’ensuit une période d’errance, dans la forêt ou dans un autre lieu figurant une plongée dans un autre monde, phase initiatique dans laquelle les personnages apprennent à se connaître eux-mêmes, sont en harmonie avec la nature, et dépassent les limites que leur avaient imposées la société. Ces étapes sont particulièrement marquées dans trois contes-types : Peau d’âne (conte-type AT 510B), Les Souliers usés à la danse (conte-type AT 306), A La Recherche de l’époux disparu (conte-type AT 425). Certes, la fin conduit généralement à une resocialisation par le mariage, mais que la transgression des héroïnes au fil du récit éclaire différemment. En comparant des versions de différents pays, de différentes époques, en les croisant avec d’autres supports (légendes, films, romans), on prend conscience que c’est une vision complexe de la femme qu’offre le conte merveilleux, susceptible de parler au monde contemporain<br>Wondertales display a sequence of events whose ending systematically seems to be a foregone conclusion: the commonly admitted idea is that the outcome of their heroes’ story should only be of the type “they were happy and had many children”. Such tales are thus regarded as quaintly old-fashioned and retrograde particularly where female characters are concerned: how then could an image of contemporary women ever be found in traditional patterns whose nature is so obviously stereotyped? Our hypothesis is that this analysis rests upon a wrong perception which bestows more significance on the manner the adventures of heroines end up than on the succession of strong images which are met with all along the narration and make the story much more subversive. Far from sitting quietly by the fire and performing domestic chores which in traditional societiesordinarily devolve on women, a number of female characters in the tales take to the road in order to flee from the kingdom of their father as well as from the safety it is wrongly supposed to provide. The resultis a period of erratic wandering either in a forest or any other place emblematic of a plunge into another world, this being a phase of initiation in which the characters learn to know themselves, are in harmony with nature and go beyond the limits set up on them by society. Such stages are particularly obvious in three tale-types: Peau d’Asne (tale-type AT 510B), The Dance-out Shoes (tale-type AT 306), The Search of the lost husband (tale-type AT 425). True, with the ending there generally comes about re-socialization, which is made possible through a wedding. But the heroines’ transgression all along the narration throws a different light on that. By comparing versions from different countries and periods and setting them along side those of other media (legends, films, novels), one becomes aware of the complexity of the vision of women to befound in wonder tales and and the extent to which it is likely to appeal to the contemporary world
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Gaubert, Benoit Céline. "Le goût d'écrire et de lire dans le conte de fées français des 17° et 18° siècles. Fantaisies de l'écriture, du livre, de la bibliothèque et de la lecture." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA086.

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Abstract:
L’étude du conte de fées de 1690 à 1789, période de la mode du genre en France, montre que la matière merveilleuse s’est constituée dès ses débuts avec des éléments de pratiques lettrées transposés du réel mais aussi et surtout transformés de manière fantaisiste. Les premiers conteurs (1690-1704) érigent en effet le genre selon une poétique complexe mariant l’oralité des temps naïfs et l’écrit, signe d’une pratique sociale et culturelle du conte. Les conteurs suivants en apportent des infléchissements plus parodiques, des imitations et des variations notamment orientalisantes. L’ensemble des auteurs est concerné mais à des degrés divers, Perrault, Choisy et Fénelon étant moins prolixes en la matière que Madame d’Aulnoy, Pétis de la Croix ou le chevalier de Mailly.Le pays merveilleux dévoile ses arcanes, son secret de fabrication métatextuelle à travers des scènes plus ou moins fugaces de lecture, d’écriture et d’évocations de bibliothèques féériques<br>The study of the fairy tale over the years 1690-1789, when the genre was in fashion in France, shows that, from its inception, the subject matter grew up with elements of realistic literary practice which were largely reshaped by imagination. The first storytellers (1690-1704) set up the literary genre according to a complex poetics allying the orality of naive times with literacy, which is the mark of a social and cultural practice of the story. The contributions of the forthcoming storytellers are imitations, parodies or are tinged with Orientalism. All the writers are affected, but to varying degrees: Perrault, Choisy and Fénelon are less inventive in this respect than Madame d’Aulnoy, Pétis de la Croix or the Chevalier de Mailly. The wonderland reveals its mysteries and the secret of its metatextual layout through more or less fleeting scenes of book reading or writing conjuring up a magical library
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Alzati, Valentina. "Les contes de Mme d’Aulnoy et leur fortune en Europe (France ; Italie ; Grande-Bretagne ; Allemagne)1752-1935." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018SACLV050/document.

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Abstract:
Dans cette thèse, on examine les différents aspects de la réception et de la fortune des contes de la baronne d’Aulnoy à la fin du XIXe siècle, permettant d’enrichir les analyses critiques à propos des contes de fées classiques et de leur perception en époque moderne. L’étude porte, en un premier temps, sur le domaine de nouvelles éditions des contes qui voient le jour à partir de premières années du XIXe siècle, jusqu’aux premières années du XXe. La composition des volumes et la forme des textes permettent de comprendre comment c’est uniquement à la fin du XIXe siècle que Mme d’Aulnoy commence à être considérée comme une auteure classique : une écrivaine qui propose aux lecteurs des contes merveilleux originaux et non pas une simple transcriptrice de contes folkloriques. L’analyse des réécritures et des transpositions permet, en revanche, de comprendre le rôle de la baronne et de son œuvre dans le renouvellement du merveilleux de la fin du siècle, car les réécritures complètes de certains de ses contes présentent des traits stylistiques propres au genre du merveilleux perverti. Cela permet de saisir l’intérêt que les auteurs de cette époque portent sur la figure de l’écrivaine : elle est perçue comme un modèle, au même niveau que Charles Perrault, ce qui justifie la présence de réécritures complètes de son œuvre. D’un autre côté, certaines reprises de thèmes, motifs et personnages, permettent de mieux comprendre l’importance du souvenir littéraire dans le renouvellement du genre merveilleux. Les transpositions pour le théâtre sont, enfin, présentes uniquement dans la culture anglaise. Les contes de la baronne d’Aulnoy qui participent à ce phénomène permettent un profond renouvellement de certains genres du théâtre classique et la création de nouveaux, qui présentent, pour la première fois, le thème du grotesque. Ce travail permet, donc, de souligner la portée et l’importance de la production d’une écrivaine qui a été, pendant longtemps oubliée et de mettre en relief en quel sens ses contes merveilleux ont contribué à enrichir plusieurs genres et plusieurs modèles relevant de la culture de la fin du siècle<br>In this thesis, the variousaspects of the reception and the fortune of the fairy tales of the baroness of d’Aulnoy at the end of the 19th century are examined, allowing enriching the critical analyses about classical fairy tales and their perception in modern time. In first place, new editions of the tales, printed from from first years of the 19thcentury, until the first years of 20th are examined. The composition of volumes and the shape of the texts make it possible to understand how it is only at the end of the 19th century that Mrs. d'Aulnoy starts to be regarded as a classical author. She begins to be considered as a writer that proposes to the readers original marvelous tales and not a simple rewriter of folk tales. The analysis of the rewritings and the transpositions allows, on the other hand, to understand the role of the baroness and her work in the renewal of marvelous literature at the end of the century. In fact, the complete rewritings of some of its tales present some stylistics features that can be connected with the perverted marvelous, typical of the end of the century. That makes it possible to seize the interest which the authors of this time carry on the figure of the writer. She begins to be perceived as a model, on the same level as Charles Perrault, which justifies the presence of complete rewritings of its work. On the other hand, the presence of some themes and characters that can originally be found in Mrs. d’Aulnoy’s works inside new works allows to better understand the importance of the literary memory in the renewal of marvelous literary genre. In the end, the transpositions for the theater can only be found in the English culture. The tales of the baroness d’Aulnoy which take part in this phenomenon allow a deep renewal of certain genres of the classical theater and the creation of new ones, presenting, for the first time, characters and topics linked to grotesque. This work allows therefore, to stress the range and the importance of the production of a writer which, has been forgotten for a long time and to highlight in which direction its tales contributed to enrich the marvelous at the end of the century
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Chatelain, Nathalie. "Le conte de fées en Europe à la fin du XIXème siècle : naissance, essence et déliquescence du conte de fées fin-de-siècle." Nancy 2, 2005. http://docnum.univ-lorraine.fr/public/NANCY2/doc226/2005NAN21005_1.pdf.

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Abstract:
Ce travail s'attache à étudier la naissance, l'essence et la déliquescence de ce que nous avons appelé "le conte de fées fin-de-siècle", ou le "conte jaune". Il s'agit tout d'abord de comprendre comment et pourquoi le conte de fées est venu s'inscrire dans les oeuvres fin-de-siècle en Europe, puis d'étudier ses spécificités qui en font un genre à part entière, bien qu'évanescent, reposant en partie sur la perversion de modèles indiscutables tel Charles Perrault qui se révélera être la victime toute désignée pour ces conteurs désabusés. Enfin, le genre s'éteint avec la génération qui l'a produit, une mort annoncée dans le texte, et programmée par les auteurs<br>This work is about the birth, the matter and the disappearance of what we called "the fin-de-siècle fairy tale", or "the yellow tale". It is first of all a question of understanding how and why the fairy tale appear in the "fin-de-siècle" literature work in Europe, then we study its specificities which constitute a real genre, although built on the subversion of indisputable models such Charles Perrault, who will be the ideal victim for the story-tellers of the moment. At last, the genre die with the generation who produced it, a death announced in texts, and expected by authors
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Chassagnol, Anne. "La renaissance féerique dans les contes et les tableaux de fées en Grande-Bretagne de 1840 à 1870." Paris 10, 2006. http://www.theses.fr/2006PA100064.

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Abstract:
Entre 1840 et 1870, la fée, longtemps bannie du territoire britannique, s'impose dans bien des domaines, notamment dans le conte et dans la peinture. La plupart des grands romanciers victoriens, comme Charles Dickens, William M. Thackeray, ou encore John Ruskin, publient des contes de fées. Le motif de la renaissance, voire de la naissance paraît commun à de nombreuses œuvres. Cette étude comparative a pour but d'expliquer les modalités de ce retour féerique, plus tardif que dans les autres pays, néanmoins si caractéristique de la culture britannique. Cette thèse vise à mettre en lumière toute l'originalité d'une telle renaissance qui semble marquée par un paradoxe : d'une part, la féerie victorienne évoque avec nostalgie un âge d'or perdu, rural et pré-industriel, et dans le même temps, elle se nourrit des multiples découvertes scientifiques de l'époque, comme la biochimie, la géologie, la médecine, la botanique ou encore l'entomologie. Loin d'être coupée du monde dans lequel elle émerge, la féerie s'en inspire et s'en rapproche plus que jamais, comme si elle était devenue le dernier domaine pouvant encore échapper aux équations scientifiques. Le conte est souvent intimement lié à la peinture; nombreux sont les peintres qui s'inspirent de l'œuvre de Shakespeare. Parallèlement, les contes présentent une véritable dimension picturale. La représentation de la fée oscille entre visibilité et invisibilité, lisibilité et illisibilité, lui permettant de s'adresser à plusieurs types de lecteurs ou de spectateurs, parfois aux frontières de l'érotisme<br>Between 1840 and 1870, the fairy, long banished from Britain, exerted itself in a number of fields, notably in tales and in paintings. The majority of the great Victorian novelists, such as Charles Dickens, William. M. Thackeray and John Ruskin published fairytales. The motif of the renaissance, that of revival or even birth, appears in numerous works featuring fairy themes. This comparative study aims to explain the modalities of the return of the fairy, which occurred much later than in other countries, but is nonetheless characteristic of British culture. This thesis seeks to bring to light the originality of a renaissance that seems paradoxical. On the one hand, the Victorian fairy nostalgically evoked a lost golden age, both rural and pre-industrial; on the other hand, it was nourished by numerous scientific discoveries of the period, such as in biology, geology, medicine, botany and entomology. Far from being cut-off from the world in which it emerged, the fairy is inspired and has never been closer to it, now providing a final bastion that refuses to yield to the power of scientific equations. Text and image are intimately linked in this field. Numerous artists were inspired by the work of Shakespeare and, similarly, fairy tales exhibit a pictorial dimension. The representation of the fairy oscillates between visibility and invisibility, the legibility and illegibility, enabling it to address several types of readers or viewers, often at the frontier of eroticism
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Zygel-Basso, Aurélie. "La mort du conte de fées ? : les conteuses des années 1730-1750 au carrefour des exthétiques." Paris 4, 2009. http://www.theses.fr/2009PA040099.

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Abstract:
Les conteuses de 1730-1750 jouent dans la République des Lettres un rôle associé à la promotion d’une rhétorique du delectare. Esthétique rocaille, amabilité galante néo-épicurienne : les Préfaces de Lintot ou Lubert recommandent l’abandon d’un certain vraisemblable, affirment l’utilité du plaisir, dans une conscience aiguë des attentes du lecteur. Il se joue là une émancipation du merveilleux qui signera presque son arrêt de mort. La féerie, doublement topique par sa nostalgie du XVIIe siècle, est récupérée par le pédagogique et le licencieux. Elle ne peut que voir évoluer la place intermédiaire de laboratoire esthétique qu’elle avait conquise. Mayer et Marillier (Le Cabinet des Fées 1785-1789), appliqueront à ce corpus un goût qui privilégie morale, allégorie, sentiment. Leur anthologie annonce la valorisation des antiquités et du génie nationaux, l’idée patrimoniale, vers le retour néoclassique aux grands genres et l’essor de l’esthétique troubadour<br>From 1730 to 1750, fairy tale women writers’ role in the Republic of Letters was associated with promoting a rhetoric of the delectare. Moreover, as they developped Rococo æsthetics and neo-Epicurean galanterie, their prefaces advised the reader to give up some vraisemblance. They claimed the usefulness of pleasure and the author’s acute awareness of the reader’s expectations. Thus they contributed to emancipating the fairy literary matter but led it to its decline. Indeed, the tales were being exploited and reused in pedagogical as well as licentious texts. The intermediate spot they had conquered as an æsthetic crucible had to evolve and disappear. In this line, Mayer and Marillier (Le Cabinet des fées 1785-1789), applied to this corpus a vision that favoured morals, allegory and sentiment. Their anthology paved the way for a celebration of national antiquities and character, as well as an Heritage notion. They also participated in a neoclassical return to noble genres and a rising Troubadour æsthetic
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