Academic literature on the topic 'Contra Celsum (Origen)'
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Journal articles on the topic "Contra Celsum (Origen)"
Feldman, Louis H. "Origen's Contra Celsum and Josephus' Contra Apionem." Vigiliae Christianae 44, no. 2 (1990): 105–35. http://dx.doi.org/10.1163/157007290x00243.
Full textBergijan, Silke-Petra. "CELSUS THE EPICUREAN? THE INTERPRETATION OF AN ARGUMENT IN ORIGEN, CONTRA CELSUM." Harvard Theological Review 94, no. 2 (April 2001): 181–206. http://dx.doi.org/10.1017/s0017816001029030.
Full textDi Paolo, Maria Laura, and Vito Limone. "Αiρεσισ and αiρετικoσ in the Alexandrine school of the II and III centuries (Clement of Alexandria and Origen)." Vox Patrum 68 (December 16, 2018): 73–84. http://dx.doi.org/10.31743/vp.3331.
Full textOsek, Ewa. "Uczta demonów: Orygenesa "Contra celsum" VIII 30 i Porfiriusza "De abstinentia" II 42-43." Vox Patrum 69 (December 16, 2018): 547–60. http://dx.doi.org/10.31743/vp.3274.
Full textRamelli, Ilaria L. E. "Plagues and Epidemics Caused by D(a)emons in Origen and Porphyry and Potential Interrelations." Vox Patrum 78 (June 15, 2021): 89–120. http://dx.doi.org/10.31743/vp.12302.
Full textPrikhodko, Maksim. "Irony and heroism." European Journal of Humour Research 9, no. 2 (July 20, 2021): 52–62. http://dx.doi.org/10.7592/ejhr2021.9.2.497.
Full textEdwards, M. J. "Damis the Epicurean." Classical Quarterly 41, no. 2 (December 1991): 563–66. http://dx.doi.org/10.1017/s0009838800004821.
Full textDuda, Jerzy. "A mystic’s utopian dream of Christian Rome. The Political Theology of Origen." Vox Patrum 61 (January 5, 2014): 179–94. http://dx.doi.org/10.31743/vp.3617.
Full textMrugalski, Damian. "Potentia dei absoluta et potentia dei ordinata u Orygenesa? Nowa próba wyjaśnienia kontrowersyjnych fragmentów "De principiis"." Vox Patrum 69 (December 16, 2018): 493–526. http://dx.doi.org/10.31743/vp.3272.
Full textJohannes, Arnold. "Textkritisches zu Origenes’ Contra Celsum." Vigiliae Christianae 64, no. 1 (2010): 54–73. http://dx.doi.org/10.1163/004260310x12584264873969.
Full textDissertations / Theses on the topic "Contra Celsum (Origen)"
Applegate, Jesse. "A question of origins the application of ethnoracial categories to Jews and Christians in Contra Celsum /." Diss., Connect to the thesis, 2008. http://hdl.handle.net/10066/1432.
Full textPereira, Breno Teles. "O Contra Celso de Orígenes e a paideia apostólica em formação na Cesareia Marítima (séc. III d.C.). /." Franca, 2019. http://hdl.handle.net/11449/191174.
Full textResumo: Nesta pesquisa, propomo-nos a analisar a noção de paideia de Orígenes (aprox. 185 – aprox. 253 d.C.) e o espaço de atuação desse autor em Cesareia Marítima, uma cidade situada na província da Judeia, no Império Romano. Em uma de suas obras, o Contra Celso, percebemos que Orígenes utiliza Celso como figura de retórica para expor suas noções de paideia, contrárias àquelas evidenciadas pelo autor do Discurso Verdadeiro, obra refutada e preservada parcialmente por Orígenes em seu Contra Celso. Dissertando sobre temas como a origem de Jesus e das ideias cristãs, Celso centra boa parte de sua crítica nas noções de paideia apostólica. O Contra Celso, com base nisto, contrapõe Celso embasando-se, principalmente, em uma paideia apostólica, alicerçada em uma retórica divina fundamentada pelos evangelhos, contracenando uma retórica humana – greco-romana – ante uma divina – cristã. Pretendemos, isto posto, comparar estes discursos presentes em um momento de desenvolvimento do cristianismo, apresentando como essa paideia apostólica marcou a legitimação de um espaço físico de atuação de Orígenes em Cesareia Marítima. Articulando-o com a sua reconhecida biblioteca na cidade, buscamos atestar como o Contra Celso põe em voga métodos de conversão de audiências mistas, com a ajuda de verdades canônicas em construção, garantindo uma forma de paideia que se mostraria como mais efetiva, assegurando o reconhecimento de Cesareia Marítima como um dos bastiões intelectuais do cristianismo a partir de ... (Resumo completo, clicar acesso eletrônico abaixo)
Abstract: In this research, we propose to analyze the notion of paideia of Origen (ca. 185 – ca. 253 A.D.) and the acting area of this author at Caesarea Maritima, a city located at the province of Judaea, in the Roman Empire. In one of his works, the Contra Celsum, we realized that Origen uses Celsus as a rhetorical figure to expose his notions of paideia, contrary to those evidenced by the author of the True Discourse, a work refuted and preserved partially by Origen in his Contra Celsum. Discoursing about themes like the origins of Jesus and of the Christian ideas, Celsus centers a good part of his criticism on the notions of Christian paideia. The Contra Celsum, based on this, counterposes Celsus mainly based on an apostolic paideia, supported in a divine rhetoric substantiated by the gospels, countering a human rhetoric – Greco-Roman – before a divine one – Christian. We intend, that said, to compare these discourses present in a moment of Christian development, presenting how that apostolic paideia marked the legitimation of an acting area of Origen at Caesarea Maritima. Articulating it with his acknowledged library in the city, we seek to show how the Contra Celsum puts in vogue conversion methods of mixed audiences, with the help of canonical truths in construction, assuring a form of paideia that would show itself as more effective, ensuring the recognition of Caesarea Maritima as one of the intellectual bastions of Christianity as of Origen.
Mestre
Fédou, Michel. "Christianisme et religions païennes dans le "Contre Celse" d'Origène /." Paris : Beauchesne, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb350523472.
Full textGeorgieva, Elena. "Le chemin de la vérité: la persuasion de la puissance divine dans le Contre Celse d'Origène." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2005. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210997.
Full textde la thèse « Le chemin de la vérité :la persuasion de la puissance divine dans le Contre Celse d’Origène
Les traités du Contre Celse permettent d’aborder la problématique de la persuasion de l’enseignement chrétien en ce qu'ils témoignent de l’affrontement virulent de deux visions du monde, - celle du monde gréco-romain et celle de l’enseignement chrétien. En effet, l’essor du mouvement chrétien devrait beaucoup à la lumière de cette rhétorique, oserons-nous dire cette propagande, qui propose une vision du monde nouvelle en s’appuyant sur une théologie qui s’escrime à dépasser la culture gréco-romaine en l’intégrant dans sa propre vision du monde. En ce, l’École d’Alexandrie en général et Origène en particulier seraient les fondateurs d’une nouvelle lecture théologique tant du point de vue polythéiste que de celui du christianisme.
Du point de vue méthodologique, je me suis attelée à ce travail en constatant une insuffisance, pour ne pas dire un manque, d’études consacrées à la pratique rhétorique chez Origène. L’idée d’une rhétorique entendue comme un genre secondaire moins « noble », entre guillemets, que le théologique est sans doute la cause de cette lacune scientifique ;or, force est de constater que les Apologistes ayant précédé le penseurs alexandrin et lui-même sont souvent formés à la rhétorique ce qui ne va pas sans incidence directe sur leurs œuvres attendu que formation et méthodes font souvent un avec l’élaboration de savoirs.
L’objet immédiat du travail était de décrire et d’analyser par une lecture centrée sur la rhétorique apologétique les lieux communs et les arguments que celle-ci fournit, et qui affectent la structure de la pensée d’Origène. Pour mieux comprendre le processus de persuasion mis en œuvre par le théologien, j’ai pensé que les topoï qu’il emprunte au savoir classique étaient des éléments tangibles qu’il convenait de prendre au sérieux plutôt que de la ranger au placard des vieilleries scolaires. Somme, mon soupçon, ma seconde approche du corpus, était qu’au travers du plus banal de son œuvre, - son infrastructure scolaire-, je toucherai son originalité. Il restait à prouver si ce paradoxe pouvait s’avérer fécond en analysant le discours d’Origène et en m’efforçant de réévaluer, réinterpréter et intégrer dans les recherches portant sur son œuvre la question négligée de sa pratique rhétorique. Somme toute, j’ai tenté de mieux comprendre comment l’homme de l’Antiquité posait la question du sens.
Le plan d’ensemble de ma thèse comprend deux parties. Dans la première partie, j’ai dégagé les grandes lignes de l’approche rhétorique d’Origène en prenant pour fil conducteur la question de la véracité de la révélation qui s’impose comme le thème dominant de son entreprise. Ceci m’a conduit à l’examen de l’idée d’autonomie, que celle-ci agisse sur la pensée comme force centripète ou centrifuge, permettant tantôt de se démarquer en minimisant, voire en gommant les différences, tantôt de les exalter en les proclamant. Dans la deuxième partie, j’ai essayé de démontrer les éléments historiques et philosophiques à partir desquels le modèle de la pensée chrétienne a été configuré. J’ai ainsi dégagé l’idée que le récit évangélique a été élaboré tout à la fois par rapport aux modèles de l’histoire « sainte » biblique et les modèles généalogiques de la tradition gréco-romaine.
En premier lieu, j’ai démontré que la démarche apologétique d’Origène consistait à faire se côtoyer la puissance persuasive de la parole transcendante et celle de la parole rhétorique humaine. Or « faire se côtoyer » la puissance persuasive de la parole transcendante et celle de la parole rhétorique ne signifie pas pour autant les mettre sur le même pied. On peut donc affirmer la conjonction de la « rhétorique » ineffable de la puissance divine et de la « bonne rhétorique » dans la méthode apologétique d’Origène.
L’apologétique chrétienne, s’engageant dans une relation de pouvoir par rapport aux « autres » concurrentiels, est amenée à construire la conception de la vérité chrétienne unique et la plus ancienne par opposition à la diversité des doctrines philosophiques et religieuses de la tradition gréco-romaine, et en continuité avec la doctrine hébraïque perçue comme dépassée. En effet, la vérité chrétienne est identifiée à l’origine, à la pureté et à l’essence. De là les deux arguments apologétiques les plus puissants :démontrer l’unité et l’ancienneté de la doctrine chrétienne et donc construire une généalogie à partir d’une seule source originelle, Dieu. En postulant une « vérité absolue » qu’on identifie avec Jésus Christ, le Logos, l’apologiste interprète les enseignements de ses adversaires comme une déviation de cette vérité ou comme une vérité dépassée. Le double chemin vers l’origine est donc symboliquement barré. Par ailleurs, l’apologiste élabore une forme d’échelle de vérité où les rivaux de l’enseignement chrétien ne sont que des moyens rhétoriques pour démontrer la supériorité chrétienne.
L’élaboration de la conception de la vérité absolue chrétienne va de pair avec la constitution discursive de l’« autre ». En tenant compte de la relation discursive intersubjective, je parle d’une constitution discursive de l’« autre ». C’est précisément la finalité apologétique du Contre Celse qui nous permet d’affirmer le caractère construit de la notion de l’« autre » en tant que construction rhétorique. L’« autre », qu’il soit juif ou païen ou gnostique, est constitué à partir du projet chrétien. Mieux, il reçoit sa définition uniquement en fonction de sa différence avec le christianisme. Deux stratégies apologétiques s’imposent ainsi :d’une part minimiser, voire gommer, les différences internes au mouvement chrétien et grossir les différences avec l’« autre » et, d’autre part, grossir les différences en minimisant les ressemblances, en les décrivant comme une imitation ou un vol (le thème du larcin).
En second lieu, on peut affirmer que le mythe informe le « récit évangélique » dans la mesure où l’histoire individuelle de Jésus et le mythe du Christ se retrouvent fusionnés d’une manière inextricable dans la narration christologique. Le mythe apparaît ainsi comme une construction symbolique fondée sur les symboles et formes déjà existants ;mais, qui plus est, étant un récit, il reforme et transforme ces symboles dans une nouvelle structure propre à lui. Lorsque je parle du mythe chrétien, j’entends un système dynamique de schèmes qui, sous l’impulsion du schème général mythique de kat‹basiw-Žn‹basiw, tend à se configurer en récit évangélique. Ainsi, le mythe peut traduire l’accumulation d’« essaims » ou de « constellations » de schèmes. C’est en ce sens qu’on parle du message chrétien comme étant exprimé en un langage mythique. J’ai adopté le terme générique de « schème » dans le sens d’un modèle, une « engramme ».
L’ingéniosité chrétienne consiste à constituer le schéma mythique de kat‹basiw-Žn‹basiw, sur lequel repose le « mythe fondateur » chrétien. Il est fondé sur la conception d’une histoire sainte articulant expression mythique et expression historique au sein d’un schéma temporel finalisé. J’ai relevé trois modèles principaux de l’histoire sous-tendant les divers types de récits bibliques :l’histoire « blanche », l’histoire-fait, l’histoire-événement. L’histoire « blanche » présente les deux réalités, le « Même » et l’ « Autre », existant chacune pour soi et sans aucun contact entre elles. En revanche, l’histoire-fait présente leur communication en dehors du temps. Enfin, l’histoire-événement présente le passage de Celui qui agit d’un principe à l’autre dans un système où le temps se déroule. On peut retrouver ces modèles de l’histoire concrétisés dans un certain nombre de récits bibliques :le récit de la création, le récit de la séduction ou le récit du péché, le récit de l’alliance ou le récit de la médiation divine.
Enfin, j’ai étudié l’élaboration du « récit évangélique » par rapport à un certain nombre de récits qui se transposent et s’entrecroisent entre eux, à savoir le « récit de l’alliance », le « récit messianique » et le « récit généalogique ». La configuration du récit évangélique repose sur le jeu dynamique entre les récits identifiables déjà sédimentés dans des traditions différentes et le récit innovateur d’une déviance réglée. Le « récit évangélique » consiste en la combinaison unique de l’histoire et du mythe, qui se donne comme un récit fondateur mytho-historique. La prédication de Jésus met en place une historicisation du mythe. En même temps, avec les évangiles, on assiste à un processus de mythisation de Jésus qui aboutit à sa divinisation. L’élaboration du « récit évangélique » tire son intelligibilité de l’ensemble des opérations par lesquelles une herméneutique actualisante s’est transposée sur les récits et modèles anciens et les prophéties hébraïques. On peut affirmer que le « récit évangélique » a été configuré à la jonction des représentations bibliques et grecques.
L’originalité du christianisme consiste en la perspective universelle que le « récit évangélique » revêt. Ainsi, le devenir est divisé en trois temps qui sont reliés entre eux de manière structurée à travers l’intermédiaire divin de Jésus Christ qui assure les renvois théologiques et contrôle ainsi le monde de tout les temps.
Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire des religions
info:eu-repo/semantics/nonPublished
Headrick, Daniel Charles. "Persuasive rhetoric in Origen's Contra Celsum." 2003. http://etd.utk.edu/2003/HeadrickDaniel.pdf.
Full textTitle from title page screen (viewed Sept. 22, 2003). Thesis advisor: David Dungan. Document formatted into pages (v, 65 p.). Vita. Includes bibliographical references (p. 58-64).
Books on the topic "Contra Celsum (Origen)"
Witte, Bernd. Das Ophitendiagramm nach Origenes' Contra Celsum VI 22-38. Altenberge: Oros-Verlag, 1993.
Find full textHauck, Robert John. Inspiration as apologetic: the debate over true prophecy in the Contra Celsum of Origen. Ann Arbor, MI: University Microfilms International, 1986.
Find full textThe more divine proof: Prophecy and inspiration in Celsus and Origen. Atlanta, Ga: Scholars Press, 1989.
Find full textFernando, Leonard. Christian faith meets other faiths: Origen's Contra Celsum and its relevance for India today. Delhi: Vidyajyoti Education and Welfare Society & ISPCK, 1998.
Find full textOrigen, ed. Kritische Bemerkungen zu meiner Ausgabe von Origenes' Exhortatio, Contra Celsum, De oratione: Entgegnung auf die von Paul Wendland in den göttingischen gelehrten Anzeigen 1899 Nr. 4. veröffentlichte Kritik. Leipzig: J.C. Hinrichs, 1990.
Find full textChadwick, Henry, and Origen. Origen: Contra Celsum. Cambridge University Press, 2011.
Find full textChadwick, Henry, and Origen Origen. Origen: Contra Celsum. Cambridge University Press, 2010.
Find full textDonaldson, James. Ante-Nicene Christian Library: Origen Contra Celsum. HardPress, 2020.
Find full textSelwyn, William. Origen's Contra Celsum: Books One - Four. Wipf & Stock Publishers, 2007.
Find full textOrigen. Ante-Nicene Christian Library: Translations of the Writings of the Fathers down to A.D. 325. Volume 23: The Writings of Origen (Volume 2: Origen contra Celsum, Books II-VIII). Adamant Media Corporation, 2001.
Find full textBook chapters on the topic "Contra Celsum (Origen)"
Boulnois, Marie-Odile. "« Les mystères véritables » : Origène en confrontation dans le Contre Celse et les nouvelles Homélies sur les Psaumes." In Bibliothèque de l'Ecole des Hautes Etudes, Sciences Religieuses, 401–33. Turnhout, Belgium: Brepols Publishers, 2021. http://dx.doi.org/10.1484/m.behe-eb.5.125933.
Full text"NOTES ON ORIGEN, CONTRA CELSUM." In Archè, 159–73. BRILL, 1997. http://dx.doi.org/10.1163/9789004313088_013.
Full textWilliams, D. H. "Clash of the Giants." In Defending and Defining the Faith, 267–84. Oxford University Press, 2020. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780190620509.003.0012.
Full textWilliams, Rowan. "Henry Chadwick 1920–2008." In Proceedings of the British Academy, Volume 166, Biographical Memoirs of Fellows, IX. British Academy, 2011. http://dx.doi.org/10.5871/bacad/9780197264751.003.0004.
Full text"Does it Matter to Call God Zeus? Origen, Contra Celsum I 24–25 Against the Greek Intellectuals on Divine Names." In The Revelation of the Name YHWH to Moses, 169–83. BRILL, 2006. http://dx.doi.org/10.1163/9789047411031_010.
Full text"Preliminary material." In Origenes: Contra Celsum Libri VIII, I—XXVI. BRILL, 2001. http://dx.doi.org/10.1163/9789004313200_001.
Full text"ПPOΣ TON EПlҐEҐPAMMENON KEΣOY AΛHΘH ΛOҐON ΩPIҐENOYΣ: ПPOOIMION." In Origenes: Contra Celsum Libri VIII, 1–5. BRILL, 2001. http://dx.doi.org/10.1163/9789004313200_002.
Full text"ПPOΣ TON EПlҐEҐPAMMENON KEΣOY AΛHΘH ΛOҐON ΩPIҐENOYΣ: TOMOΣ ПPΩTOΣ." In Origenes: Contra Celsum Libri VIII, 1–5. BRILL, 2001. http://dx.doi.org/10.1163/9789004313200_003.
Full text"ПPOΣ TON EПlҐEҐPAMMENON KEΛΣOY AΛHΘH ΛOҐON ΩPIҐENOYΣ: TOMOΣ.ΔEYTEPOΣ." In Origenes: Contra Celsum Libri VIII, 75–151. BRILL, 2001. http://dx.doi.org/10.1163/9789004313200_004.
Full text"ПPOΣ TON EПlҐEҐPAMMENON KEΛΣOY AΛHΘH ΛOҐON ΩPIҐENOYΣ: TOMOΣ.TPITOΣ." In Origenes: Contra Celsum Libri VIII, 153–216. BRILL, 2001. http://dx.doi.org/10.1163/9789004313200_005.
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