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Journal articles on the topic 'Contre-productivité'

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1

Simon, E. G., G. Desoubeaux, and F. Perrotin. "Démarche qualité et risque de contre-productivité." Gynécologie Obstétrique & Fertilité 42, no. 2 (February 2014): 63–66. http://dx.doi.org/10.1016/j.gyobfe.2013.08.001.

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2

Walery, Serge. "Productivité académique contre contribution scientifique : le cas de l'économie." L Economie politique 51, no. 3 (2011): 70. http://dx.doi.org/10.3917/leco.051.0070.

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3

Ege, Ragip, and Sylvie Rivot. "Le libéralisme de Boisguilbert (un pourfendeur de la contre-productivité)." Cahiers d Économie Politique 74, no. 1 (2018): 7. http://dx.doi.org/10.3917/cep.074.0007.

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4

Dehoux, J. P., and A. Verhulst. "UNE RACE TRYPANOTOLERANTE MÉCONNUE: LA BORGOU." Animal Genetic Resources Information 13 (April 1994): 39–45. http://dx.doi.org/10.1017/s1014233900000262.

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Abstract:
RESUMELe Borgou possède des qualités intéressantes d'adaptation et de productivité en milieu infesté de glossines. Localisée principalement au nord du Bénin et au nord-ouest du Nigéria, cette race trypanotolérante est cependant menacée par un métissage accru avec du sang zébu. Dans le cadre de la promotion et du développement du bétail trypanotolérant dans la lutte contre la trypanosomose animale, les capacités d'élevage de ce type de bétail devraient inciter les organismes régionaux et internationaux à mettre en place un programme de conservation de ce patrimoine génétique.
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5

Klomp, Luuk, and Eugène Rebers. "L'évolution structurelle du commerce de gros français." Revue internationale P.M.E. 8, no. 2 (February 16, 2012): 99–118. http://dx.doi.org/10.7202/1008351ar.

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Abstract:
Cet article traite de l’évolution structurelle du commerce de gros français. Pour la période 1978-1989, les changements dans la distribution par taille des entreprises et de la productivité du travail ont été analysés pour les trois secteurs principaux. Dans les commerces de gros non alimentaire (secteur 58) et interindustriel (secteur 59), la tendance est à l’accroissement relatif du nombre d’entreprises opérant à faible effectif. Dans le commerce de gros alimentaire (secteur 57), par contre, la taille moyenne a augmenté. Puis, nous avons examiné si l’existence ou non des effets de taille a causé l’évolution observée dans la distribution par taille des entreprises. Nous avons utilisé la productivité du travail comme critère pour les effets de taille. Les économies d’échelle ont augmenté dans tous les trois secteurs principaux du commerce de gros français. Nous nous étions attendu à ce résultat pour le secteur 57, mais non pas pour les secteurs 58 et 59. De plus, les plus fortes augmentations d’économies d’échelle sont observées dans le secteur 57. Cela s’explique par les différences dans les distributions par taille des entreprises entre le secteur 57, d’une part, et les secteurs 58 et 59, d’autre part.
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Nahimana, Grégoire, Ayao Missohou, Simplice Bosco Ayssiwede, Paly Cissé, Joseph Butore, and Alioune Touré. "Amélioration de la survie des poussins et des performances zootechniques de la poule locale en condition villageoise au Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 1 (September 20, 2017): 3. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31393.

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Abstract:
Dans le but d’améliorer la productivité de l’élevage de la volaille familiale, une enquête longitudinale d’une année a été réalisée dans 45 exploitations avicoles du département de Salémata (Sénégal) pour évaluer deux modes de conduite du couple mère-poussins. A l’éclosion, les poules appartenant au traitement A (PTA) ont été partiellement élevées en claustration (sortie de la poule de la poussinière après deux semaines alors que les poussins y ont été gardés jusqu’à quatre semaines d’âge). En revanche, les poules appartenant au traitement B (PTB) ont été élevées en divagation. Les résultats ont montré que les performances zootechniques des PTA ont été améliorées. La durée du cycle de reproduction est passée de 113,5 à 62,2 jours. Par conséquent, le nombre de cycles de reproduction est passé de 3,4 à 5,6 par an et la production annuelle des œufs de 35,3 à 57,6. Le retour rapide en ponte des PTA n’a pas affecté le nombre d’œufs pondus par couvée (10,3 contre 10,2) et le taux d’éclosion (82,4 % contre 79,5 %). La croissance pondérale des poussins des deux types de poules a été influencée par le type d’élevage, le génotype et le sexe. Le poids des poussins métis a été supérieur à celui des poussins locaux, sauf à l’éclosion. Après le premier mois, le poids des poussins mâles (métis ou locaux) a toujours été supérieur à celui des femelles. Le gain moyen quotidien des poussins des PTA a toujours été supérieur à celui des poussins des PTB et a été plus élevé entre la 13e et la 24e semaine d’âge. La viabilité des poussins a été améliorée de 41,2 % et les causes des mortalités les plus fréquentes ont été les prédateurs (rapaces, chats). Il ressort de cette étude que l’élevage en semi-claustration du couple mère/poussins est celui qui en optimise la productivité.
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Silver, Michelle Pannor. "The Unbearable Lightness of Being Retired." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 38, no. 1 (October 29, 2018): 21–34. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980818000466.

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Abstract:
RÉSUMÉDans cette étude qualitative, j’ai utilisé une approche fondée sur la gérontologie narrative pour examiner les perceptions liées à la retraite dans un groupe de 26 hommes et femmes qui ont pris leur retraite après un mandat de chef de la direction. Le guide d’entrevue a pris en compte la perspective du parcours de vie. Trois thèmes clés ont émergé : 1) l’importance de la productivité et du réseautage, alors que les participants gravissaient les échelons de l’entreprise ; 2) le sentiment d’avoir une date « meilleur avant » et d’avoir cédé aux pressions de la société en faveur de la retraite ; et 3) l’impression troublante de se sentir insignifiant à la retraite tout en ayant le désir de poursuivre l’épanouissement personnel en continuant à travailler contre rémunération. Après une carrière marquée par des réalisations pionnières, les participants ont éprouvé un sentiment insoutenable de légèreté lors de l’abandon des responsabilités professionnelles. Ces résultats mettent en lumière l’importance de la perspective de parcours de vie pour examiner la retraite à la fois comme une expérience personnelle et un phénomène social. Les résultats contribuent également à la compréhension théorique du vieillissement productif en illustrant comment les idées préconçues sur la productivité contrastent avec les aspirations associées à une retraite remplie de loisirs, d’une manière qui pourrait réduire les contributions à l’emploi de certaines personnes.
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Saunders, George. "Employment and the Productivity Slowdown: 1958-1980." Articles 40, no. 2 (April 12, 2005): 219–42. http://dx.doi.org/10.7202/050131ar.

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Abstract:
Le ralentissement de la productivité qui se généralise dans les pays industriels d'Occident demeure un mystère. On a beaucoup écrit sur le sujet, mais cela n'a révèle que peu de choses. L'un des résultats majeurs de l'intérêt que l'on porte à la productivité, c'est d'obtenir une information meilleure et des techniques de mesure améliorés. Cet article s'inspire des mesures de la productivité totale par facteur récemment mises au point et dont dispose le Conseil économique du Canada pour examiner les rapports entre les facteurs de production, principalement celui du travail, et la productivité. Au Canada, le ralentissement de la productivité, qui s'est poursuivi sans interruption au cours de la décennie 1970 et au début des années 1980, a coïncidé avec une croissance rapide de l'emploi. Quelques observateurs ont noté ce rapport et se sont demande si cette croissance rapide n'avait pas nui à l'augmentation de la productivité. Leur opinion trouve appui dans les études théoriques à cause du lien direct entre l'emploi et la productivité du travail, la mesure généralement utilisée pour apprécier la productivité. Puisque la productivité du travail est la part de rendement apporte au facteur travail, une augmentation de ce facteur, par exemple l'accroissement de l'emploi, se traduit par une baisse de la productivité. La productivité du travail n'est pas réellement une vraie mesure de la productivité ou de l'efficience productive. Un changement dans la productivité du travail peut résulter d'un changement dans l'efficience, qui est ce que nous voulons mesurer, ou d'une substitution parmi les facteurs de production avec ou sans changement dans l'efficience. Par exemple, la substitution du capital au travail peut résulter en une productivité du travail plus élevé, mais l'effet sur l'efficience peut être à la hausse, à la baisse ou sans changement. La détermination de l'effet ultime sur l'efficience exige une mesure qui comprend tous les facteurs et non seulement celui du travail. Les mesures de la productivité totale par facteurs (total factor productivity-TFP) remplissent cette exigence. Les mesures TFP (ou d'une façon plus exacte, la productivité multifacteurs étant donné que tous ne peuvent être mesures) du Conseil économique sont disponibles pour la période 1958 à 1980, pour les sous-périodes 1958 à 1966, 1967 à 1973 et 1974 à 1980 pour quelque trente industries manufacturières et non manufacturières individuelles. La base des statistiques du Conseil économique comprend aussi des calculs relatifs à la productivité du travail (LP). Une comparaison entre LP et RFP révèle des modèles similaires pour la période de 1958 à 1980. Entre 1958 et 1973, le LP s'est accru de 3.4 pour cent par année et le RFP, de 2.2 pour cent par année. Après 1973, ces taux de croissance sont tombés d'une façon plutôt dramatique. LP a augmenté de 1.1 pour cent par année entre 1974 et 1980 pendant que le RFP a enregistré un taux de croissance annuel négatif de -0.3 pour cent. On a entrepris de procéder séparément à une série de corrélations entre RFP et LP en regard de différents facteurs de production : travail, capital et fournitures capitales. À cause de l'intérêt porte aux facteurs travail et capital et au poids considérable du facteur fournitures dans la production finale de plusieurs des industries incluses dans les données de base, on a procédé à des corrélations partielles de manière à garder constant le poids du facteur fournitures. Au total, 12 corrélations et 12 corrélations partielles furent établies pour chaque paire de variables — une pour l'industrie manufacturière et l'une pour l'industrie non manufacturière ainsi qu'une troisième pour les deux catégories combinées pour la période 1958-1980 et les sous-périodes 1958-1966, 1967-1973 et 1974-1980. En général, tant le facteur travail que le facteur capital dénotent des rapports négatifs à la fois avec les mesures LP et TFP (bien que toutes ne soient pas marquantes). Le nombre des corrélations partielles négatives, y compris celles qui le sont de façon marquante (à un niveau de 10 pour cent) augmente lorsque l'effet des facteurs fournitures est tenu constant. Ce qui retient encore plus l'attention toutefois, c'est le nombre plus élevé de corrélations négatives ainsi que les valeurs plus élevées de ces corrélations et cela d'une façon statistiquement significative entre le TFP et le capital qu'entre le TFP et le travail. De plus, les associations négatives entre le travail et le TFP sont moindres que les associations entre le travail et le LP alors que l'inverse est vrai dans le cas du capital, c'est-à-dire que les associations négatives entre le capital et le TFP sont plus grandes que celles entre le capital et le LP, ce qui laisse entendre que, non seulement le capital a eu un impact négatif sur l'efficience de la production, mais que cet impact est sous-estime dans l'utilisation des mesures de productivité LP. Une analyse de régression dans laquelle le TFP est la variable dépendante et les facteurs de production, les variables indépendantes confirment ces résultats. Les résultats de la régression ont également donné des estimations de l'impact du changement des facteurs sur le TFP. En général, on peut s'attendre à ce qu'une majoration de 10 pour cent dans le facteur travail ou capital réduise le TFP dans tous les cas de 1 à 3 pour cent selon la catégorie industrielle et la période considérée. Enfin, l'impact négatif du facteur capital était plus considérable que celui du travail, sauf dans la sous-période 1974-1980. Au cours de cette sous-période, une croissance de 10 pour cent dans le facteur travail pouvait entrainer un effet négatif légèrement plus grand sur le TFP qu'une croissance similaire dans le facteur capital. Un résultat intéressant se trouve dans le rapport fortement positif entre le facteur fournitures et le TFP et le RP. Ceci peut laisser entendre que les améliorations techniques proviendraient du facteur fournitures plutôt que du facteur capital comme on le croyait traditionnellement. Or, une autre explication, qui reçoit un accueil favorable maintenant dans les études sur le sujet, c'est que la piètre position du facteur capital reflète son utilisation improductive. Par exemple, les dépenses pour lutter contre la pollution, la santé et la sécurité professionnelles et autres réglementations de même nature ainsi que l'impact de la crise pétrolière, qui a entrainé la dépréciation du capital, peuvent avoir détériore sa valeur productive. Cependant, la persistance de l'impact négatif du capital sur la production pendant toute la période 1958-1980 permet d'avancer une explication plus fondamentale. Le capital, comme tout autre facteur de production, est susceptible de surutilisation ou d'utilisation inefficace, et c'est peut-être ce qui s'est produit. Ajouter au capital-actions à seule fin de l'accroitre à cause de la croyance populaire voulant que ce soit là le moyen principal d'augmenter la productivité peut, au contraire, y nuire et, en même temps, être la cause de niveaux d'emploi plus bas qu'il n'en serait autrement. Le présent article apporte de l'eau au moulin en permettant de considérer sous un jour nouveau la plausibilité d'une nouvelle combinaison des facteurs de production en vue de découvrir celle qui soit optimale. Nous nous efforçons maintenant de mettre au point les données nécessaires à cette entreprise fort importante. Telle est peut-être l'explication majeure des problèmes de productivité dans les démocraties occidentales.
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Missohou, Ayao, Grégoire Nahimana, Simplice Bosco Ayssiwede, and Mbacké Sembene. "Elevage caprin en Afrique de l’Ouest : une synthèse." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no. 1 (July 4, 2016): 3. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31167.

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Abstract:
L’Afrique de l’Ouest, avec 37,2 % du cheptel caprin continental, est l’un des principaux bassins d’élevage de cette espèce au rôle socio-économique parti­culièrement important. La chèvre est élevée dans des zones agroécologiques et dans des systèmes variés, mais elle est surtout présente dans les régions les plus arides où elle joue un rôle de subsistance et de sécurisation des systèmes agraires de premier plan. Les systèmes d’élevage sont surtout traditionnels (pas­toral, agropastoral et sédentaire) et accessoirement périurbains. La productivité des élevages caprins est faible. L’âge à la première mise bas est en moyenne de 15,3 mois pour un intervalle entre mises bas moyen de 295,8 jours et une prolificité de 1,46. Celle-ci est cependant plus élevée chez la chèvre naine où elle peut atteindre 1,85. La mortalité présevrage des chevreaux est très élevée et constitue l’une des principales contraintes de l’élevage caprin en Afrique de l’Ouest. Elle est due aux pneumopathies, en particulier à la peste des petits ruminants, et aux parasitoses gastro-intestinales. Les performances de croissance sont également faibles avec des poids moyens à 12 mois d’âge ne dépassant 20 kg que chez quelques rares types génétiques. Pour améliorer la productivité en élevage caprin il a été proposé : a) de réduire la mortalité présevrage en met­tant un accent particulier sur la lutte contre les parasitoses gastro-intestinales, b) de mettre en place une complémentation stratégique basée sur une utilisa­tion digestive optimale d’aliments grossiers, et c) de développer des programmes d’amélioration génétique faisant appel à la gestion communautaire de base dans un contexte socioprofessionnel renforcé.
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Keambou, T. C., Y. Manjeli, B. A. Hako, F. Meutchieye, and J. C. Awono. "Effets comparés d’un aliment concentré et de l’aliment traditionnel des éleveurs sur les performances de croissance et économique des porcelets de race locale au Nord Cameroun." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 63, no. 3-4 (March 1, 2010): 77. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10101.

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Abstract:
L’effet d’un aliment concentré et de l’aliment traditionnel sur les performances pondérales du porc local du Nord Cameroun, et leur impact sur les revenus des éleveurs ont été comparés en milieu paysan pendant 75 jours. Au terme de l’essai, les porcelets alimentés avec le concentré ont présenté un poids de près de 60 p. 100 supérieur à celui des porcelets alimentés traditionnellement, soit un poids final respectivement de 26 et 16,1 kg. De même, les gains moyens quotidiens ont été de 206 et 74 g pour les porcelets soumis respectivement à l’aliment concentré et à l’aliment traditionnel. Sur le plan économique, la marge brute obtenue avec le concentré a été de 2 837,14 contre 950 francs CFA en moyenne avec les rations traditionnelles. Cette étude a montré qu’il serait possible d’améliorer la productivité des porcs de race locale du Nord Cameroun et ainsi le revenu des éleveurs en améliorant l’alimentation des animaux.
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Chamboko, T., A. W. Mukhebi, C. J. O'Callaghan, Trevor F. Peter, R. L. Kruska, G. F. Medley, Suman M. Mahan, and B. D. Perry. "La cowdriose et l'économie de la production animale dans les fermes commerciales et traditionnelles au Zimbabwe." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no. 3-4 (March 1, 1999): 313–23. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9680.

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Abstract:
Afin d'évaluer l'impact économique de la cowdriose (infection par Cowdria ruminantium ) et de créer un modèle pour l'impact des vaccins améliorés contre cette maladie, une étude sur le terrain a été conduite pour fournir des données sur les indicateurs de productivité du bétail au Zimbabwe. Des études transversales ont été réalisées dans les deux principales régions agro-écologiques, lowveld et highveld, où la cowdriose est supposée être endémique stable et épidémique, respectivement. Ces études ont été conçues pour fournir des données sur la productivité et la rentabilité du bétail ( des principaux indicateurs de production dans le secteur traditionnel et commercial (pour des entreprises productrices de viande bovine, de lait, d'ovins, de caprins). Les résultats prouvent que la rentabilité des fermes commerciales de viande bovine, comme l'indiquent les marges brutes globalement positives, était identique (p > 0.05), indépendamment de la présence et de la localisation de la cowdriose. Seules les fermes laitières commerciales qui ont enregistré des cas de cowdriose ont montré une marge brute négative, bien que ce ne soit pas sensiblement différent des exploitations laitières qui n'ont pas enregistré de cowdriose ou des fermes de viande bovine. Le secteur traditionnel dans les highveld et lowveld a affiché des marges brutes positives, bien que la marge ait été significativement (p < 0.001) plus élevée dans le highveld que dans le lowveld. Cette étude indique que les pertes associées à la cowdriose sont minimales lorsque la maladie est endémique stable ou épidémique avec un contrôle efficace des tiques. De plus, la rentabilité de la production animale, dans les secteurs commercial et traditionnel, pourrait être améliorée si des méthodes plus rentables pour le contrôle des tiques et des maladies transmises par les tiques (qui représentent un des principaux coûts de production) étaient disponibles.
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Hoarau, Jean-François. "Un modèle NATREX synthétique pour une petite économie « développée » ouverte contrainte sur les marchés internationaux de capitaux." Articles 89, no. 4 (September 2, 2014): 259–303. http://dx.doi.org/10.7202/1026445ar.

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Abstract:
L’objectif de cet article est de présenter un modèle synthétique de taux de change réel d’équilibre de type « NATural Real EXchange rate » pour une petite économie « développée » et ouverte mais confrontée à des marchés de capitaux imparfaits. Conformément à la tradition NATREX, le taux de change réel d’équilibre dépend de l’horizon temporel considéré. À moyen terme, il est déterminé, dans le cadre d’un équilibre de flux, conjointement par un ensemble de fondamentaux réels (la productivité globale, la demande étrangère, les termes de l’échange, le taux d’intérêt réel, la préférence pour le présent et les dépenses publiques) et de variables prédéterminées (le capital productif et la dette externe). À long terme, par contre, des ajustements de nature stock-flux, liés aux mouvements endogènes des variables prédéterminées, entrent en jeu. Le taux de change réel d’équilibre ne dépend plus alors que des seuls fondamentaux réels. Par ailleurs, cette présentation fait ressortir l’importance de certains paramètres structurels du modèle, à savoir l’effet richesse, l’élasticité des importations par rapport à l’investissement national et le degré de mobilité internationale des capitaux.
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FAYE, B., and V. ALARY. "Les enjeux des productions animales dans les pays du Sud." INRAE Productions Animales 14, no. 1 (February 16, 2001): 3–13. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.1.3721.

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Abstract:
Dans les pays du Sud, les productions animales prennent une place de plus en plus grande, nécessitant de procéder à une amélioration quantitative et qualitative des capacités de production sans commune mesure avec les décennies précédentes. Contrastant avec la stagnation relative observée en Europe et en Amérique du Nord, cette progression résulte d’une forte augmentation de la demande, liée elle-même à la croissance démographique et, dans certains, cas aux changements de comportement alimentaire des populations de plus en plus urbanisées. Les défis à relever tant pour la recherche que pour le développement, sont ceux de la productivité animale notoirement inférieure à celle observée dans les pays industrialisés, ceux de la lutte contre la pauvreté qui prédomine encore dans le monde agricole de tous les pays du Sud, ceux de la préservation de l’environnement, afin d’éviter notamment les dérives purement productivistes qui ont marqué l’après-guerre en Europe occidentale, et d’assurer pour l’avenir la durabilité des systèmes de production. Les dynamiques en cours témoignent d’une véritable révolution de l’élevage dans ces pays, reconnue comme telle par les grandes agences internationales.
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Makoundou, P. B., Dominique Cuisance, Gérard Duvallet, and Pierre Guillet. "Etude au laboratoire des effets d'un insecticide naturel extrait du neem (Azadirachta indica A. Juss) sur Glossina fuscipes fuscipes Newstead, 1910 (Diptera : Glossinidae)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 48, no. 4 (April 1, 1995): 339–45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9437.

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Abstract:
Dans la perspective d'une lutte contre les glossines avec sa prise en charge par les communautés rurales, nous avons testé l'Azatin EC*, produit à base d'extraits de graines de neem (Azadirachta indica A. Juss). Les tests sont effectués sur Glossina fuscipes fuscipes, par applications topiques et par contact tarsal. L'application topique d'Azatin EC* provoque une faible mortalité qui ne se manifeste qu'aux doses élevées chez les jeunes mâles et les femelles âgées et gravides. La productivité (pupes/femelle) est abaissée de 4,5 fois pour les doses élevées et ensuite le poids des pupes est significativement plus bas en début de pupaison mais n'évolue pas différemment de celui des témoins. Le taux d'éclosion est significativement abaissé aux doses supérieures à 0,261 µg/mouche. Des difficultés de vol et de sondage (piqûre) sont notées à partir de 0,261 µg/glossine, semblant traduire une perturbation de la physiologie musculaire. En fonction des effets observés chez cet insecte hématophage, les applications envisageables sur le terrain sont discutées, soulignant la possibilité de mettre à profit cet effet répulsif pour protéger le bétail dans les zones à risque.
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Dumais, Alfred. "La santé imaginaire." Articles - Le quotidien 23, no. 3 (April 12, 2005): 275–84. http://dx.doi.org/10.7202/055986ar.

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Abstract:
Au Québec comme ailleurs, la mise sur pied des structures propres à la société technologique a souvent suscité la riposte de la critique. On vient, par exemple, à peine d'entrer dans l'ère des professions qu'on lui oppose déjà les bienfaits de la déprofessionnalisation. Les sociétés modernes, pour la plupart, n'ont pas encore atteint un niveau de productivité digne de leurs ressources ; et pourtant des études de plus en plus étendues s'attaquent aux effets de contre-productivité qu'elles engendrent. De même, les structures administratives contrôlent toujours difficilement les coordonnées complexes d'une gestion efficace, pendant que se multiplient les critiques contre toute forme d'organisation bureaucratique. Et pourrait ainsi s'allonger la liste des illustrations, prises au sein des structures sociales dites modernes qui, une fois instaurées, s'affirment en leur contraire. Faut-il chercher dans la dynamique même du mode de production industrielle les germes de sa propre destruction, selon les propos d'un manifeste célèbre? Ou bien faut-il retrouver là le résultat des interventions des spécialistes des sciences humaines qui, dans la culture contemporaine, se sont donné comme rôle d'être la conscience critique des institutions sociales existantes ? Quoi qu'il en soit, l'institution est au cœur d'une crise ou mieux d'un enjeu qui pourrait bien être celui de l'imaginaire. Pour la société québécoise tout au moins, les travaux de Jean-Charles Falardeau ont largement contribué à lancer le débat. C'est comme si l'implantation des structures de la société moderne venait menacer l'imagination. C'est comme si l'espace et le temps accordés à la dissidence se faisaient de plus en plus restreints. En retour, les protestations de la critique qui devraient puiser aux sources de l'imaginaire ne font pas toujours preuve d'imagination. Le vieux Hegel avait sans doute raison de s'inquiéter du statut ambigu de celui qui critique tout en étant incapable de proposer des formules de dépassement. Par sa dialectique, il tentait de fonder la possibilité de la synthèse ; en langage contemporain, c'est le passage difficile de la critique à l'utopie qui est ici évoqué. Autrement dit, les institutions sociales ont tendance à sécréter leur propre déséquilibre. Mais comment se situent-elles face aux manifestations diverses de l'imagination qui pourrait les régénérer? Le problème que l'on pose, c'est celui du fondement des nouvelles mythologies qui esquissent les grandes lignes d'un monde neuf ou d'une culture inédite. Encore faut-il, comme le faisait Socrate, trouver un exemple dans la vie quotidienne qui illustre ce problème. L'exemple sera celui de la santé. Il permettra de soulever une série de questions, toutes reliées les unes aux autres, sur la nature de l'institution, de la critique, de la mythologie et, bien entendu, de la santé.
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RICORDEAU, G., L. TCHAMITCHIAN, J. C. BRUNEL, T. C. NGUYEN, and D. FRANÇOIS. "La gestion des populations : La race ovine INRA 401 : un exemple de souche synthétique." INRAE Productions Animales 5, HS (July 30, 2020): 255–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4300.

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Abstract:
Pour augmenter la productivité du troupeau ovin français, l’INRA a créé la souche synthétique INRA 401 en croisant la race Berrichon du Cher (bonnes aptitudes bouchères mais peu prolifique, peu maternelle, toison blanche) avec la race Romanov (très prolifique, maternelle, mais faibles aptitudes bouchères et toison colorée). La procréation de 4 générations successives (1970 - 1980) a mis en évidence l’absence d’hétérosis et de régression de la taille de portée de la F1 à la F4. La lignée obtenue présente une taille moyenne de portée de 2 agneaux par mise bas (sur brebis de 3 ans), une excellente fertilité à contre-saison, une bonne viabilité des agneaux à la naissance. A partir de 1980, le troupeau a été soumis à la sélection, d’abord sur la prolificité seule puis sur la prolificité et la valeur laitière et, depuis 1989, sur prolificité, valeur laitière, caractères de croissance et caractères bouchers. La souche a été diffusée en fermes par la vente de béliers utilisés en croisement d’absorption sur brebis croisées Romanov x race locale, et ce sur 4 générations. Ce programme concernait en 1990, 152 élevages (28 000 brebis) réunis au sein d’une association des éleveurs utilisateurs : l’AUSI 401.
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Gordon, Robert J. "Pourquoi, pendant que la locomotive de la productivité se mettait en branle aux États-Unis, l’Europe est-elle restée en gare." L'Actualité économique 81, no. 1-2 (April 24, 2006): 47–74. http://dx.doi.org/10.7202/012837ar.

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Abstract:
Résumé Après 50 ans de rattrapage du niveau de productivité des États-Unis, l’Europe accumule du retard depuis 1995. En effet, le taux de croissance de la production horaire n’atteignait, sur le Vieux Continent, que la moitié de celui des États-Unis en 1995-2003 et cet écart annuel a ramené le niveau de la productivité européenne de 94 % du niveau des États-Unis à seulement 85 %. Un cinquième du rattrapage européen (de 44 % à 94 %) effectué dans le demi-siècle précédent a été complètement perdu depuis 1995. Des études désagrégées portant sur les secteurs industriels laissent entendre que la principale différence entre l’Europe et les États-Unis se trouve dans les industries ayant recours aux technologies de l’information (TI), notamment le commerce de gros et de détail, de même que le courtage des valeurs mobilières. Le contraste dans la vente au détail attire l’attention sur les barrières réglementaires et l’aménagement du territoire en Europe empêchant le développement des grands magasins de détail du type de ceux qui ont rendu possible une bonne partie des gains de productivité aux États-Unis. Depuis des décennies, les États-Unis et l’Europe ont choisi des directions opposées en matière de politiques publiques ayant une incidence sur le développement urbain. Les États-Unis ont favorisé des zones métropolitaines à basse densité et fortement dispersées en construisant des autoroutes dans les villes et en étranglant le transport public, en accordant des réductions d’impôts à la propriété résidentielle et en permettant aux gouvernements locaux de maintenir une faible densité d’occupation avec l’imposition d’une taille minimale pour les lots résidentiels. Par contre, les Européens ont choisi des politiques tout autres, en encourageant l’occupation résidentielle de haute densité et les districts commerciaux au coeur des villes, tout en décourageant les installations nouvelles en zones suburbaines et « exurbaines », lesquelles conviennent si bien au développement des grands magasins actuels. La partie centrale de cet article s’inspire d’une récente publication de Phelps (2003) selon laquelle le dynamisme économique est d’une part stimulé par des politiques qui favorisent la concurrence et la souplesse du financement par capitaux propres et d’autre part étouffé par des institutions corporatistes, conçues pour protéger les producteurs en place et empêcher les nouveaux venus de se tailler une place. Certaines valeurs culturelles européennes découragent l’ambition et l’indépendance des adolescents et des jeunes adultes, contrairement à ce qui se passe aux États-Unis. Si la concurrence, le corporatisme et la culture peuvent contribuer à expliquer les divergences transatlantiques dans la croissance de la productivité, elles mettent aussi en lumière, dans les deux continents, des lacunes institutionnelles profondément ancrées et susceptibles de persister. La dernière section de l’article identifie les racines profondes du climat plus favorable à l’innovation aux États-Unis qu’en Europe, notamment le système ouvertement concurrentiel des universités privées et publiques, les subventions gouvernementales accordées aux universités sous la forme d’aide à la recherche en fonction d’une évaluation par les pairs plutôt que par l’entremise de bourses sans conditions libérant les étudiants du premier cycle des droits de scolarité, la prédominance mondiale des écoles de commerce et des sociétés de conseil en gestion des États-Unis, l’excellente protection des brevets, l’infrastructure financière flexible permettant de mobiliser du capital de risque à l’intention des innovations prometteuses, les avantages d’une langue commune, la migration intérieure sans entraves et enfin, un environnement accueillant pour les immigrés hautement qualifiés.
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Faugère, Olivier, A. C. Dockes, C. Perrot, and B. Faugère. "L'élevage traditionnel des petits ruminants au Sénégal. I. Pratiques de conduite et d'exploitation des animaux chez les éleveurs de la région de Kolda." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 2 (February 1, 1990): 249–59. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8866.

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Abstract:
Les auteurs présentent ici une partie des résultats du programme "pathologie et productivité des petits ruminants en milieu traditionnel" (ISRA/IEMVT-CIRAD), à partir desquels ils analysent les pratiques et les stratégies des éleveurs de petits ruminants dans la région de Kolda. La méthodologie utilisée s'appuie sur des enquêtes ponctuelles sur le terrain et l'analyse statistique des données micro-économiques recueillies lors d'un suivi hebdomadaire de 160 troupeaux de concession pendant une durée de 3 ans. Les enquêtes ont orienté le traitement des données, qui, à son tour a soulevé des questions et généré de nouvelles enquêtes auprès des acteurs concernés. Les auteurs décrivent ensuite les conditions de l'élevage des petits ruminants : milieux naturel (zone soudano-guinéenne), humain (petits villages peuls), systèmes de production où l'association entre agriculture et élevage est très poussée. Ils présentent les pratiques de conduite et de gestion économique des petits ruminants, qui divaguent en saison sèche et pâturent généralement au piquet en saison des pluies. Les niveaux de complémentation alimentaire sont faibles et la reproduction peu maîtrisée. Le rôle de l'élevage des petits ruminants (abattages festifs, épargne mobilisable en cas de besoin par la vente ou le troc d'animaux, capitalisation progressive par le troc d'ovins ou de caprins contre des bovins) est illustré par les résultats du suivi.
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Guillon, P., K. Van Impe, and S. Gupta. "Le fardeau des aidants de patients souffrant de schizophrénie en France." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S114. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.217.

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Abstract:
ObjectifÉtudier la qualité de vie (QdV), les comorbidités liées au stress, l’activité, la productivité et les consommations de soins des aidants de patients schizophrènes par rapport aux non-aidants et aux aidants d’adultes présentant d’autres pathologies (maladie d’Alzheimer, cancers, AVC) en France.MéthodesLes données ont été obtenues à partir des enquêtes en ligne santé et bien-être France (2010–2013) dans la population adulte (> 18 ans). Le recueil portait sur la QdV (SF-36v2 : dimensions mentale et physique (MCS, PCS), SF-6d (utilités liées à la santé)), les comorbidités liées au stress (insomnie, troubles du sommeil, douleur, céphalées, anxiété, dépression) au cours des 12 derniers mois, l’activité et la productivité au travail et l’utilisation des soins de santé (consultations, passage aux urgences et hospitalisations dans les 6 derniers mois). Les aidants de patients schizophrènes (n = 73) ont été comparés avec les non-aidants (n = 40 326) et les autres aidants (n = 3814) sur les caractéristiques socio-démographiques et les indicateurs relatifs à la santé pour rechercher des différences significatives entre les groupes.RésultatsL’âge moyen des aidants de patients schizophrènes était de 51,8 ans (SD = 15,4) ; 64,4 % étaient des femmes ; 45,2 % avaient un emploi ; 53,4 % étaient mariés/en couple ; 76,7 % ont déclaré un revenu < €50 000. Leurs scores de QdV (MCS : 39,7 vs 46,7 ; PCS : 47,2 vs 51,0) et d’utilité (0,63 vs 0,73) étaient significativement plus faibles que chez les non-aidants (p < 0,001) ; ils rapportaient davantage de troubles du sommeil (42,5 % vs 28,0 %), d’insomnie (38,4 % vs 19,4 %), de douleurs (34,2 % vs 22,9 %), de céphalées (45,2 % vs 27,6 %), d’anxiété (46,6 % vs 21,7 %), ou de dépression (20,5 % vs 8,4 %) (p < 0,05) ainsi qu’une moindre activité (34,3 % vs 22,1 %), une augmentation des consultations médicales (9,5 contre 4,9), des passages aux urgences (0,7 vs 0,1) et des hospitalisations (0,8 vs 0,1) (p < 0,001). Des résultats similaires étaient retrouvés par rapport aux autres aidants sur la QdV, l’utilité, les céphalées, l’anxiété et les consommations de soins. Aucune différence significative n’apparaissait sur le score PCS, les autres comorbidités liées au stress, l’activité et la productivité.ConclusionsLes aidants de patients souffrant de schizophrénie rapportaient une moins bonne QdV, plus de comorbidités liées au stress, de consommation de soins de santé que les non-aidants et les aidants d’autres pathologies.
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Duclos, Denis. "Apologue des mille personnes, ou comment passer de la guerre de tous contre tous à la société pluraliste : une critique radicale de la productivité." Ecologie & politique N°40, no. 2 (2010): 63. http://dx.doi.org/10.3917/ecopo.040.0063.

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Sidibe, S., KW Coulibaly, A. Sery, M. Fofana, F. Sidibe, and M. Kanoute. "Prévalence de la brucellose, chlamydiose et toxoplasmose chez les petits ruminants au Mali : résultats d'une enquête séro-épidemiologique." Revue Malienne d'Infectiologie et de Microbiologie 13, no. 1 (May 1, 2019): 1–9. http://dx.doi.org/10.53597/remim.v13i1.1298.

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Abstract:
Au Mali, l'élevage des espèces à cycle court en général et celui des petits ruminants en particulier constitue une source précieuse de revenus et de protéines pour les populations. Cependant, au nombre des contraintes à l'amélioration de la productivité de cet élevage, figurent les pertes en reproduction, dont les causes demeurent mal connues. Les données relatives au rôle de certaines infections microbiennes comme la brucellose à Brucella ovis, chlamydiose et la toxoplasmose sont quasi inexistantes. L'objet de la présente étude a été d'évaluer la prévalence sérologique de ces pathologies, susceptibles de causer des pertes en reproduction chez ces espèces animales. Elle a couvert quatre sites dont Kéniébougou (Cercle de Ségou), Nioro (Cercle de Nioro), Bougouni (Cercle de Bougouni) et Briga (Cercle de Koro), choisis en collaboration étroite avec les services techniques d'encadrement et éleveurs de petits ruminants desdites localités. Au total 872 sérums (368 ovins et 504 caprins) issus des sujets présentant des signes de perte en reproduction ont été testés par la méthode Elisa indirecte. Parmi ceux-ci, 81 (9,28 %) se sont révélés positifs (1,26 % en brucellose à Brucella ovis, 3,55 % en chlamydiose à Chlamydia abortus et 4,47 % en toxoplasmose à Toxoplasma gondii). Les anticorps mis en évidence sont considérés comme d'origine infectieuse, les animaux n'ayant jamais été vaccinés contre les maladies investiguées, ce qui confirme la circulation des agents étiologiques des trois infections abortives parmi les populations de petits ruminants au Mali.
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GRIMARD, B., J. AGABRIEL, G. CHAMBON, A. CHANVALLON, F. CONSTANT, and S. CHASTANT. "Particularités de la reproduction des vaches allaitantes de races françaises." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 125–38. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2239.

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Abstract:
La reproduction des vaches allaitantes présente des particularités par rapport à celle des vaches laitières. Améliorer leur reproduction est un levier pour augmenter leur productivité. Les génisses de race à viande sont pubères lorsqu’elles ont atteint 50-55% du poids adulte vs 40-45% chez les génisses laitières. Les premières peuvent être mises à la reproduction vers 70% du poids adulte contre 60% pour les secondes. Le taux de renouvellement est assez faible en élevage allaitant, de 18 à 30% selon les races. Après le vêlage, la durée de l’anœstrus postpartum est plus longue qu’en race laitière du fait de la tétée du veau. L’expression des chaleurs est bonne chez la vache allaitante : les chaleurs durent entre 6 et 10 h dans les 3 principales races (Charolaise, Limousine et Blonde d’Aquitaine), et l’acceptation du chevauchement est exprimée dans 90 à 100% des œstrus. La monte naturelle domine en élevage allaitant : seuls 3 à 24% des veaux sont issus d’insémination selon les races. La fertilité des vaches allaitantes est actuellement mal connue, la performance de reproduction est plutôt approchée par la fécondité : l’intervalle vêlage-vêlage moyen des troupeaux est compris entre 379 et 444 jours selon les races. La proportion de vaches atteintes d’endométrite après vêlage semble élevée chez la vache allaitante comme chez la vache laitière (environ 20% même au-delà de 50 jours postpartum) mais les effets de cette affection sur la reproduction ont été peu explorés. De nombreuses données françaises concernant les races à viande spécialisées et rustiques sont présentées dans cet article.
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Peltier, Régis, Émilien Dubiez, Simon Diowo, Morgan Gigaud, Jean-Noël Marien, Baptiste Marquant, Adrien Peroches, Pierre Proces, and Cédric Vermeulen. "Assisted Natural Regeneration in slash-and-burn agriculture: Results in the Democratic Republic of the Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 321, no. 321 (July 17, 2014): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.321.a31220.

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Abstract:
La majorité des impacts anthropiques sur les forêts tropicales naturelles en Afrique centrale est liée à l’agriculture itinérante et à l’extraction du bois de feu en zone périur- baine. Cela est en particulier le cas autour de Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC). C’estpourquoi, en 2010, la Régénération naturelle assistée (RNA) a été adaptée et testée par le Projet Makala dans le bassin d’approvisionnement en bois de feudecetteville, pouraméliorerlessystèmes de culture sur abattis-brûlis et contribuer à l’enrichissement des jachères forestières. Avant la défriche, des arbres utiles sont sé- lectionnéspourêtre protégés. Puis, pendant la période de culture, la germination et la multiplication par rejets de souche et dra- geons des espèces forestières locales pré- existantessontfavoriséespar despratiques de sarclages sélectifs, d’éclaircies et d’éla- gages. Lesuividecestestsmontreunefaible survie des vieux arbres conservés lors du défrichementpour lescultures, enraisonde la difficulté de contrôle des feux lors du brû- lis, ce qui limite l’applicabilité de cette tech- nique à la périphérie des parcelles, sous forme d’enrichissement progressif de haies bocagères. Par contre, à l’intérieur des par- celles, les rejets de souche exploités et les drageonsdesespècesforestièresnaturelles, protégéspar RNA aumomentdessarclages, ont montré une croissance rapide qui per- met, àfaiblecoût, d’installer rapidementune jachère ligneuse. En 2014, trois ans et demi après le brûlis, ces jachères ont une biodi- versité etune biomasse supérieuresà celles des jachères non gérées par RNA. Une meil- leure productivité en charbon et en produit agricole ainsi qu’une réduction de la sava- nisation des espaces forestiers sont espé- rées. Cependant, l’acceptation sociale, qui estunfacteurcritiquepourladiffusiond’une telle innovationàgrandeéchelle, resteàétu- dier, en relation avec l’évolution possible desdroitsfoncierstraditionnelsetmodernes.
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Awa, Daniel Nzingu, Aboubakar Njoya, A. C. Ngo, and F. N. Ekue. "L'état sanitaire des porcs au Nord Cameroun." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no. 2 (February 1, 1999): 93–98. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9692.

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Abstract:
Une étude a été menée pour identifier, entre autres contraintes, les conditions pathologiques qui affectent la productivité des porcs et leur potentiel en tant que filière de l’élevage dans la zone semi-aride du Nord Cameroun. Les données ont été collectées en trois étapes : une enquête transversale, un suivi des troupeaux sélectionnés au cours d’une année et une inspection de la viande porcine pendant une année. Les résultats ont montré que les infestations dues à Haematopinus suis étaient la condition pathologique la plus fréquente avec une prévalence supérieure à 50 p. 100 dans les troupeaux au cours de la phase de suivi et de 75,8 p. 100 dans un échantillon de 750 porcs abattus. Les gastro-entérites étaient de faible prévalence (4 p. 100), mais fortement associées à la mortalité des porcelets. Les lésions pathologiques importantes pour la santé publique enregistrées à l’inspection de la viande porcine étaient celles de la tuberculose et de la cysticercose avec des prévalences respectivement de 33,2 et 12,3 p. 100. Les résultats de la sérologie indirecte par Elisa effectuée sur 150 échantillons étaient négatifs à 98 p. 100 pour le virus de la peste porcine africaine (PPA), ce qui laisse à penser que la région était indemne de PPA. Cette région pourrait par conséquent être considérée comme une zone favorable au développement de l’industrie porcine dans le pays. L’inspection de la viande de porc et les mesures d’hygiène devraient être mis en œuvre pour assurer la protection de la population humaine contre les viandes infectées.
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Njoya, Aboubakar, N. D. Awa, and D. Bouchet. "Influence de la complémentation et de la prophylaxie sur la viabilité des ovins Foulbé au Nord-Cameroun." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 3 (March 1, 1997): 227–33. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9575.

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Abstract:
Quatre lots de 60 agnelles âgées de 3 à 5 mois (lot CP : complémentation, vaccination contre la peste des petits ruminants, vermifugation et déparasitage externe; lot C : complémentation sans prophylaxie ni traitement; lot P : prophylaxie et traitement sans complémentation; lot T : témoin) ont été constitués en avril 1993 en vue d'étudier l'effet de la complémentation alimentaire et des traitements sanitaires sur leur viabilité. La complémentation consistait en 200 g de tourteau de coton par tête et par jour et un complément minéral sous forme de pierre à lécher. Les traitements sanitaires consistaient en deux déparasitages internes en début et en fin des pluies et un déparasitage externe chaque fois que l'on notait la présence des tiques sur les agnelles. Les animaux ont fait l'objet d'un suivi clinique et de notation d'état corporel sur une année. Le jetage, les boiteries et les diarrhées ont représenté les principaux signes cliniques observés (respectivement 50,9, 15,2 et 13,0 %). Les quotients annuels de mortalité ont été de 16,7, 37,3, 31,7 et 52,5 % respectivement pour les lots CP, C, P et T. La complémentation et la prophylaxie ont permis une réduction très sensible de la mortalité (p < 0,05). La mortalité a considérablement augmenté avec le retour des pluies. Les infestations par des parasites gastro-intestinaux et la sous-alimentation ont été les principaux facteurs favorisant la mortalité. Cette stratégie de complémentation protéique et de prophylaxie peut être encouragée pour réduire les fortes mortalités, principal facteur limitant lé productivité des élevages ovins au Nord-Cameroun.
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Sissoko, Fagaye, Sidiki Diarra, and Mamadou Traore. "Le semis direct sous couverture végétale : une opportunité de mise en place rapide du cotonnier en culture pluviale au Mali." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (June 18, 2020): 722–38. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.7.

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Abstract:
En zone soudano-sahélienne, la productivité des cultures est limitée par la disponibilité de l’eau et la fertilité des sols. Le cotonnier en est particulièrement affecté lors de sa culture L’objet de cette étude est d’évaluer l’effet du semis direct sous couverture végétale sur le rendement du cotonnier. Deux variétés de cotonnier (NTA MS334 et BRS 293) ont été utilisées pour comparer 6 systèmes de culture. Le dispositif statistique utilisé a été un Split plot. Les données collectées ont concerné les échantillons de sol, les délais de levée des cotonniers, les densités, les hauteurs, les nombres de capsules et les rendements en graine. La levée a été plus rapide dans les systèmes de culture en semis sous couverture végétale. La densité à la récolte des cinq systèmes en SCV a été de 65 076 plants ha-1 contre 60 564 en SC. Les systèmes de culture n’ont pas eu d’effets statistiquement significatifs sur les rendements en coton graine, mais une différence significative a été observée entre les deux variétés. Le SCV est possible en zone soudano-sahélienne, la levée est plus rapide et permet d’améliorer la densité et le rendement (2 452 kg ha-1 contre 2 373 kg ha-1 en SC) des cultures.Mots clés : Systèmes de culture, cotonnier, densité, capsules, rendement. English Title: Direct sowing under cover crop: an opportunity for rapid establishment of rainfed cotton in MaliIn Sudano-Sahelian zone, crop productivity is limited by water availability and soil fertility. The purpose of this study is to evaluate the effect of direct sowing under cover crop on cotton yield. Two cotton varieties (NTA MS334 and BRS 293) were used to compare 6 cropping systems. The statistical design used was a split plot. The data collected concerned soil samples, cotton plant emergence times, densities, heights, number of bolls and cotton yields. Emergence was faster in seedling cropping systems under cover crop. Harvest density in the five SCV systems was 65 076 plants ha-1 versus 60 564 plants ha-1 in SC. The cropping systems had no statistically significant effect on seed cotton yields, but a significant difference was observed between the two varieties. SCV is possible in Sudano-Sahelian zone, emergence is faster and improves crop density and yield (2 452 kg ha-1 compared to 2 373 kg ha-1 in SC).Keywords: Cropping systems, cotton, density, bolls, yield
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BENOIT, M., H. TOURNADRE, J. P. DULPHY, G. LAIGNEL, S. PRACHE, and J. CABARET. "Comparaison de deux systèmes d’élevage biologique d’ovins allaitants différant par le rythme de reproduction : une approche expérimentale pluridisciplinaire." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 207–20. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3348.

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Abstract:
Cette étude pluridisciplinaire de 4 ans réalisée en domaine expérimental a comparé deux systèmes d’élevage biologique d’ovins allaitants (118 brebis chacun), différant par le rythme de reproduction des brebis : une mise bas par brebis et par an (1/an), avec l’objectif d’une forte autonomie alimentaire vs 3 agnelages en 2 ans (3en2), avec l’objectif de maximiser le nombre d’agneaux produits par brebis. Les systèmes ont été évalués au travers du résultat économique, des performances et de la santé des animaux, ainsi que des niveaux d’autonomie fourragère et alimentaire. La productivité numérique par brebis a été en moyenne de 151% en 1/an et de 161,3% en 3en2, avec une plus grande variabilité en 3en2. La consommation de concentré a été plus élevée en 3en2 qu’en 1/an (+29%). La marge brute par brebis a été de 59€ en 3en2 vs 64€ en 1/an. Le taux de mortalité des agneaux et le niveau de parasitisme ont été plus élevés en 3en2 qu’en 1/an. La conformation des carcasses des agneaux, leur état d’engraissement et la couleur du gras de couverture ont été comparables entre les deux systèmes. Par contre, le poids de la carcasse et la fermeté du gras dorsal ont été inférieurs en 3en2 vs 1/an. L’intensification du rythme de reproduction n’a donc pas conduit à de meilleurs résultats économiques. La gestion du système 3en2 s’est révélée plus difficile, et ses résultats plus variables entre années. Au final, ce système d’élevage peut être considéré comme moins durable que le système classique non accéléré. Ce dernier a combiné des performances animales élevées et une meilleure autonomie alimentaire, facteurs déterminants des résultats technico-économiques, qui ont été, par ailleurs, supérieurs à ceux observés dans des fermes AB de la région.
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Schneider, C., J. L. Spring, C. Onimus, E. Prado, T. Verdenal, G. Lemarquis, F. Lorenzini, et al. "Programme de collaboration franco-suisse pour la création de nouvelles variétés de vigne durablement résistantes au mildiou et à l'oïdium." BIO Web of Conferences 15 (2019): 01018. http://dx.doi.org/10.1051/bioconf/20191501018.

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Une alternative aux traitements phytosanitaires pour lutter contre le mildiou et l'oïdium de la vigne est le développement de variétés résistantes. Leur création doit intégrer non seulement le niveau de résistance mais également sa durabilité, ainsi que les performances agronomiques notamment la productivité et la composition des baies qui doit convenir à la production de vins de haute qualité. L'Inra (France) a engagé le programme de sélection ResDur, basé sur le pyramidage des facteurs de résistance, en 2000. Il a conduit à l'inscription au catalogue français d'une première série de variétés à résistance polygénique – Artaban, Floreal, Vidoc, Voltis – en 2018. Agroscope (Suisse) a démarré la création de variétés résistantes en 1996, en mobilisant les résistances portées par des variétés allemandes, principalement Bronner. Un premier aboutissement a été l'homologation en Suisse de Divico et Divona, respectivement en 2013 et 2018. En 2009 l'Inra et Agroscope ont démarré un programme de sélection commun, visant à combiner les facteurs de résistance aux maladies présents de manière complémentaire dans leurs lignées respectives. Les croisements réalisés ont généré, après sélection assistée par marqueurs, 400 descendants porteurs des facteurs de résistanceRpv1, Rpv10 et/ou Rpv3 ; Run1, Ren3 et/ou Ren3.2. Leur phénotypage agronomique et œnologique est réalisé dans le cadre d'un réseau d'essais situés dans les deux Instituts à Colmar (FR) et à Pully (CH). Les premières observations pluriannuelles, portant sur 80 descendants, ont permis d'étudier leur stabilité phénotypique pour les caractères de résistance, les traits culturaux et la qualité des vins. A l'issue de cette étape, quinze variétés candidates ont été sélectionnées et installées en essais d'évaluation de leur valeur agronomique, technologique et environnementale (VATE) en Valais (CH), ainsi que dans trois régions françaises (Champagne, Val de Loire, Vallée du Rhône). L'inscription au catalogue des premières co-obtentions Inra/Agroscope est prévue à l'horizon 2024–2025.
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Danthu, Pascal, Herintsitohaina Razakamanarivo, Bernadette Deville-Danthu, Lala Razafy Fara, Yannick Le Roux, and Éric Penot. "THE SHORT AND FORGOTTEN HISTORY OF RUBBER IN MADAGASCAR: THE FIRST CONTROVERSY BETWEEN BIODIVERSITY CONSERVATION AND NATURAL RESOURCE EXPLOITATION." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (July 20, 2017): 27. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31300.

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Madagascar fut entre 1891 et 1914 une zone de production de caoutchouc sylvestre destiné à l’exportation vers l’Europe. Le poids de Madagascar dans le commerce mondial resta toujours modeste, mais cette activité eut des conséquences écologiques importantes. De nombreuses espèces endé- miques furent exploitées, dans une optique de productivité immédiate et maximale sans prise en compte de notion de gestion durable. Cet épisode représentant l’un des premiers cas d’exploitation des ressources biologiques malgaches à des fins indus- trielles a été l’un des éléments déclencheurs de la prise de conscience de la valeur de la biodiversité malgache et des menaces induites par des activités humaines mal contrôlées. Il aboutit à la promulgation d’une législation très répressive et coerci- tive à l’endroit des populations locales dési- gnées comme principales responsables. Mais les naturalistes jugèrent les décisions politiques inefficaces. Ils développèrent alors un discours volontairement alarmiste et catastrophiste ayant pour but de faire réagir les politiques jugés trop laxistes. Dis- cours d’ailleurs pris à contre-pied lorsque l’effort de guerre relança la filière caout- chouc malgache entre 1942 et 1945. Cet épisode fut un élément déclencheur de la création, dès 1927, d’un réseau d’aires pro- tégées, faisant de Madagascar un pionnier en Afrique. Parallèlement la domestication des espèces caoutchoutières malgaches et/ ou l’introduction des espèces à fort poten- tiel furent promues. Cependant, l’émer- gence du caoutchouc issu de l’hévéaculture asiatique fit rapidement retomber l’intérêt commercial du caoutchouc malgache, épar- gnant ainsi les forêts de la Grande Île. Ainsi, c’est le réalisme économique qui condamna la filière devenue non rentable et assura la sauvegarde des espèces à caoutchouc mal- gaches plutôt que les discours des natura- listes, la création d’aires protégées ou la promulgation de textes répressifs.
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Djagba, Atouga Yembliman, Bèdibètè Bonfoh, Habrè Bassowa, Kodjo Aklikokou, and N’gonlbi Kanour. "Etat des lieux de l’élevage caprin en milieu paysan au Togo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 1 (February 28, 2020): 11–19. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31840.

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Abstract:
Les caprins constituent au Togo la seconde espèce d’élevage après les volailles en terme d’effectif. La disponibilité de sa viande reste pourtant rare. L’Etat togolais, à travers des projets de développement, a initié la recapitalisation du cheptel national d’animaux à cycle court. L’objectif de l’étude était la connaissance des faiblesses des pratiques d’élevage des caprins au Togo en vue de proposer des axes de recherche pour son amélioration et son développement. Des enquêtes ont été menées auprès de 129 chefs de ménages des deux sexes. Les éleveurs étaient des paysans, des salariés ou des retraités. Les enquêtes ont couvert l’ensemble du pays, prenant en compte sa diversité pluviométrique et végétale. Des données sur les pratiques d’élevage, les soins vétérinaires, les maladies et les autres contraintes ont été recueillies. Les résultats ont montré que 69 % des éleveurs étaient instruits, 91 % étaient mariés, et 26 % des propriétaires étaient des femmes. La main d’œuvre familiale jouait un rôle important. Les activités liées à l’élevage étaient confiées aux femmes et aux enfants. La taille moyenne du cheptel par ménage était de 18 caprins. Les chèvres adultes constituaient 44 % de l’effectif contre 2 % de mâles adultes entiers. Le taux de productivité au sevrage était de 0,54 chevreau par mère. Les animaux disposaient d’un abri ; dans 85 % des élevages, ils recevaient périodiquement une complémentation alimentaire et dans 27 % d’entre eux un complément minéral à base de sel de cuisine. Les soins vétérinaires ont été observés dans 64 % des élevages. Cette étude a permis de révéler quelques faiblesses relatives aux soins vétérinaires, à l’utilisation de géniteurs améliorés et à la disponibilité d’abris. Des formations sur les itinéraires techniques de l’élevage des caprins sont nécessaires pour améliorer leurs performances.
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Radoux, M., and D. Kemp. "Rôle de la fréquence des prélèvements de la biomasse produite sur les capacités épuratrices de Lemna minor L." Revue des sciences de l'eau 5, no. 1 (April 12, 2005): 55–68. http://dx.doi.org/10.7202/705120ar.

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Abstract:
Les Lemnaceae en général, Lemna minor L. et L. gibba L. en particulier, font l'objet de recherches importantes au niveau international sur le rôle positif ou négatif que ces espèces peuvent jouer dans le domaine de l'épuration des eaux usées urbaines par les diverses techniques extensives. Selon les travaux scientifiques réalisés en vraie grandeur comme en pilote, les auteurs insistent soit sur l'intérêt de ces espèces (productivité élevée, haute teneur en protéines, capacité de bioaccumulation de métaux lourds, prélèvements périodiques aisés, bonnes capacités épuratrices en N et P. ...) soit sur leurs inconvénients (effets néfastes sur l'épuration dans les lagunages à microphytes, anaérobiose de la nappe aquatique, prélèvements périodiques difficiles - ! -, capacités épuratrices médiocres, voire nulles, ...). Dans ce contexte de résultats apparemment contradictoires, qui ne se limitent d'ailleurs pas aux seules Lemnaceae - loin s'en faut-, nous avons comparé, sous climat local, les rendements épuratoires de deux systèmes de bassins miniatures en série, rigoureusement identiques, alimentés par le même débit des mémos eaux usées urbaines durant toute la période de végétation : l'un des systèmes était peuplé de Lemna minor, l'autre n'en contenait pas. Nos résultats font apparaître que l'efficacité épuratrice de Lemna minor dépend, entre autres, de la fréquence des prélèvements périodiques de la biomasse produite. 1. Lorsque les prélèvements sont peu fréquents (7 fois sur la période de végétation), le système à Lemna épure sensiblement mieux que le témoin non « planté » en ce qui concerne les matières en suspension et la charge organique. Il influence défavorablement, par contre, l'épuration tertiaire au niveau de l'azote et surtout du phosphore. 2. Lorsque les prélèvements sont fréquents (24 fois sur la période de végétation), le système à Lemna améliore considérablement la rétention des matières en suspension et celle de la charge organique. II augmente nettement l'épuration tertiaire au niveau de l'azote et reste sans effet pour le phosphore.
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Hama, Marietou Adamou, Abdoulkarim Issa Ibrahim, Abdou Alassane, Haladou Gagara, and Rianatou Bada Alambedji. "Séroprévalence de la fièvre de la vallée du Rift chez les ruminants domestiques dans la région de Tahoua/Niger." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 11, 2020): 3023–31. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.4.

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Abstract:
L’épizoo-épidémie de la Fièvre de la Vallée du Rift (FVR), survenue suite à une pluviométrie marquée par de fortes précipitations dans la région de Tahoua frontalière au département d’Ingal qui accueille l’événement de la cure salée chaque année, a engendré de nombreuses pertes en vies humaines. Au niveau du secteur animal, l’impact économique et sanitaire est également considérable, compte-tenu des lourdes pertes engendrées dans le cheptel. Ces pertes sont une forte mortalité chez les jeunes, des taux d’avortements élevés chez les femelles gravides et une baisse de la productivité des élevages touchés. Afin d’évaluer la séroprévalence de la FVR chez les ruminants de la région, des échantillons de sérums prélevés lors du seromonitoring des campagnes de vaccination contre la peste des petits ruminants et la péripneumonie contagieuse des bovidés financé par le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) en février 2017, ont été analysés pour la détection d’anticorps du virus de la FVR au moyen du test ELISA de compétition. Les séroprévalences obtenues chez les espèces étudiées sont assez élevées chez les bovins (30,62%) et les caprins (18,40%), suivies de celle des ovins qui est de 14,90%.Les résultats sérologiques répartis dans les communes montrent que les bovins de Ibohaman et Tassara sont significativement les plus affectés avec une prévalence de 50,00% chacune (P=0,00224). Par contre, chez les petits ruminants, les communes de Tchintabaraden et Abalak ont significativement les prévalences les plus élevées tant chez les ovins (22,07% et 40,90%) que chez les caprins (8,69% et 37,21%).Toutefois, il n’y a pas de différence significative entre les prévalences d’infection des ovins et caprins pour chaque commune. Les résultats révèlent que la prévalence est plus élevée chez les mâles que chez les femelles (32,35±11,11 contre 18,49±3,43), mais la différence n’est pas significative. En somme, la mise en place d’une stratégie privilégiant l’approche « One Health » est nécessaire pour une lutte efficace contre la FVR, mais aussi la nécessité d’études entomologiques complémentairesMots clés: Sérologie, c-ELISA, Fièvre de la vallée de Rift, Bovins, Ovins, Caprins. English Title: Rift valley fever seroprevalence in domestic ruminants in Tahoua region/NigerThe epizoo-epidemic outbreak of Rift Valley Fever (RVF) that occurred following a heavy rainfall in the region of Tahoua, along the border of Ingal’s department that hosts every year, the salt cure event has caused considerable human deaths. Considerable economic and health losses were reported in livestock sector. These losses include high mortality in young animals, high abortion rates in pregnant females and decrease productivity in affected farms. To assess the seroprevalence of RVF of ruminants from that region, sera samples collected in February 2017, for the Seromonitoring of vaccination campaigns against Peste des Petits Ruminants (PPR) and Contagious Bovine Peri Pneumonia (CBPP), Supported by the Regional Project for Pastoralism in the Sahel (PRAPS), were tested for antibodies against RVF virus using the competitive ELISA test. The seroprevalence of RVF in the studied species, reveal a high prevalence in cattle (30.62%) and goats (18.40%) followed by sheep (14.90%).Cattle, from Ibohaman and Tassara are significantly affected with a prevalence of 50.00% each (P=0.00224) compared to other districts. Small ruminants from the districts of Tchintabaraden and Abalak have significantly the highest prevalence both in sheep (22.07% and 40.90%) and goats (8.69% and 37.21%). However, there is no significant difference between the prevalence of infection of sheep and goats in each district. Seroprevalence is higher in males than females (32.35±11.11) versus (18.49±3.43), with no significant difference between the two species. Based on the above results, for effective control of RVF it, is necessary to implement a one heath approach in the country couple with additional entomological investigations.Keywords: Serology, c-ELISA, Rift Valley Fever, Cattle, Sheep, Goats.
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Dafur, B. S., and S. T. Mbap. "Analysis of factors affecting pre-weaning and post-weaning daily gains in Nigerian breeds of sheep." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 3 (March 6, 2021): 154–61. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i3.2973.

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Abstract:
Sheep play significant role in the socio-economic life of the large human population. Improving the productivity of sheep through selection and breeding would require understanding of their growth characteristics. This study was conducted to assess the pre- and post-weaning daily weight gains (ADG) of four Nigerian sheep breeds and some non- genetic factors affecting them. Pre- and post-ADG were measured in 33, 34, 43 and 47 lambs of Balami, Uda, WAD and Yankasa ewes respectively, and analyzed to determine the effect of breed, sex, year, season, parity, and birth type. At the pre-weaning stage, Balami and Uda had similar gains (91.89g vs. 92.44g) which were higher than that of Yankasa (74.22g) which was in turn higher than that of WAD (62.44g). During the post weaning stage, Balami gained most (77.19g), followed by Uda (71.12g), and Yankasa (59.37g) while WAD still maintained the lowest rate of gain (55.15g). Male sheep had higher ADG than females, 100.7g vs. 87.8g at pre-; and 65.67 vs. 58.15g at post weaning. However, sex within breed analysis revealed non- significant influence of sex in all breeds except WAD at pre-weaning stage but males maintained better (p<0.01) rates of gain post-weaning. Pre-ADG decreased with increased litter size. Lambs born at first parity gained more (85.00g) than subsequent parity lambs. Season and year had no significant effect on both pre- and post-weaning gains. It is concluded that breed, sex, birth type and parity influenced average daily gain in sheep. Les moutons jouent un rôle important dans la vie socio-économique de la population humaine. Pour améliorer la productivité des moutons grâce à la sélection et à l'élevage, il faudrait comprendre leurs caractéristiques de croissance. Cette étude a été menée pour évaluer les gains de poids quotidiens avant et après le sevrage (le 'ADG') de quatre races de moutons nigérians et certains facteurs non génétiques qui les affectent. Le Pré- et le post- 'ADG' ont été mesurés dans 33, 34, 43 et 47 agneaux de Balami, Uda, WAD et Yankasa brebis respectivement, et analysés pour déterminer l'effet de la race, sexe, année, saison, parité, et le type de naissance. Au stage de pré-sevrage, Balami et Uda ont connu des gains similaires (91.89 g contre 92.44 g) supérieurs à ceux de Yankasa (74.22 g), ce qui est à son tour supérieur à celui de WAD (62.44 g). Au cours de l'étape post-sevrage, Balami a gagné le plus (77.19 g), suivi par Uda (71.12 g) et Yankasa (59.37 g) tandis que WAD a maintenu le taux de gain le plus bas (55.15 g). Les moutons mâles avaient un ADG plus élevé que les femelles, 100.7 g contre 87.8 g à l'avant; et 65.67 contre 58.15 g au sevrage après le sevrage. Cependant, le sexe dans l'analyse de race a indiqué l'influence non significative du sexe dans toutes les races excepté WAD au stade de pré-sevrage mais les mâles ont maintenu de meilleurs taux (p<0.01) de gain après le sevrage. Le pré-ADG a diminué avec l'augmentation de la taille des portées. Les agneaux nés à la première parité ont gagné plus (85.00 g) que les agneaux parité subséquents. La saison et l'année n'ont eu aucun effet significatif sur les gains avant et après le sevrage. On conclut que la race, le sexe, le type de naissance et la parité influençait le gain quotidien moyen chez les moutons.
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De Lint, Willem. "Intelligent Governmentality." Windsor Yearbook of Access to Justice 26, no. 2 (October 1, 2008): 280. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v26i2.4547.

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Abstract:
Recently, within liberal democracies, the post-Westphalian consolidation of security and intelligence has ushered in the normalization not only of security in ‘securitization’ but also of intelligence in what is proposed here as ‘intelligencification.’ In outlining the features of intelligencified governance, my aim is to interrogate the view that effects or traces, and productivity rather than negation is as persuasive as commonly thought by the constructivists. After all, counter-intelligence is both about purging and reconstructing the archive for undisclosed values. In practice, what is being normalized is the authorized and legalized use of release and retention protocols of politically actionable information. The intelligencification of governmentality affords a sovereignty shell-game or the instrumentalization of sovereign power by interests that are dependent on, yet often inimical to, the power of state, national, and popular sovereignty.On voit le politique et le social comme dépendant de contingences exclusives. Récemment, au sein des démocraties libérales, la consolidation de la sécurité et des services de renseignements de sécurité qui a suivi les traités de la Westphalie a donné lieu à la normalisation non seulement de la sécurité en «sécurisation» mais aussi des services de renseignements de sécurité en ce qui est proposé ici comme «intelligencification» [terme anglais créé par l’auteur, dérivé du mot anglais «intelligence» dans le sens de renseignements des écurité]. En particulier, ce que l’on normalise dans le but de contourner des contingences exclusives est l’utilisation autorisée et légalisée de protocoles de communication et de rétention d’information qui, politiquement, pourrait mener à des poursuites. En esquissant les traits de la gouvernance «intelligencifiée», mon but est d’interroger le point de vue que les effets ou les traces, et la productivité plutôt que la négation, est une nomenclature plus persuasive pour l’analyse : après tout, le contre-espionnage est question à la fois de purger et de reconstruire l’archive en rapport avec des valeurs non révélées. Il en résulte que l’«intelligencification» de la gouvernementalité donne lieu à une activité déceptive par rapport à la souveraineté ou l’instrumentalisation du pouvoir souverain par des intérêts qui dépendent sur et qui sont inamicaux au pouvoir de la souveraineté étatique, nationale et certainement populaire.
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BLANFORT, V., M. DOREAU, J. HUGUENIN, J. LAZARD, V. PORPHYRE, J. F. SOUSSANA, and B. TOUTAIN. "Impacts et services environnementaux de l’élevage en régions chaudes." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 89–112. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3239.

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Abstract:
Les interactions entre l’élevage et l’environnement sont l’objet d’un débat médiatique, sociétal et scientifique depuis les années 70. Ce débat, focalisé sur les impacts négatifs de l’élevage sur l’environnement et jusqu’ici limité aux pays développés, concerne dorénavant les pays émergents et en développement où se fera l’essentiel de l’accroissement de la production animale. Toutefois, il est désormais admis que l’élevage peut aussi produire des services écosystémiques en plus de sa fonction productive. Cette synthèse propose un bilan des impacts et des services environnementaux liés aux productions animales dans les pays du Sud et trace des pistes d’amélioration pour les élevages de ruminants, les porcs et volailles ainsi que l’aquaculture. Les changements historiques d’utilisation des terres et de certains habitats aquatiques en cours dans le monde tropical nécessitent une réflexion pour des systèmes de production plus durables. Les émissions de gaz à effet de serre concernent en grande partie les zones tropicales où les systèmes à faible productivité sont forts émetteurs par kg de lait ou de viande produite. Elles sont compensées en partie par un stockage de carbone dans les pâturages, mais les références en zone tropicale restent à préciser. L’augmentation rapide des productions animales au cours des dernières décennies est essentiellement issue de l’industrialisation de l’élevage dans de nombreux pays du Sud où les questions sur la pollution des sols, des eaux, de l’air et le traitement des effluents deviennent incontournables. Les systèmes extensifs moins productifs mais moins polluants conduisent aussi à des services environnementaux. L’élevage est fort consommateur d’eau, mais principalement d’eau «verte» liée à la production végétale. La consommation de ressources fossiles (énergie, phosphates...) s’avère fortement dépendante de l’intensification des systèmes d’élevage. Le risque d’érosion de la biodiversité animale et végétale est une menace avérée, en lien avec la déforestation et les pratiques d’élevage. Dans une discussion globale, les principaux systèmes d’élevage des pays du Sud sont évalués à l’aune de leurs performances environnementales. Des perspectives d’évolution vers des systèmes de production à plus faible impacts et intégrant des services écologiques existent notamment par la mise en place de mécanismes financiers incitatifs. Mais les priorités de lutte contre la faim et la pauvreté constituent des obstacles de taille dans de nombreux pays du sud. Elles conditionnent l’amélioration des performances environnementales à la mise en place de systèmes d’élevage assurant la réponse aux besoins alimentaires des populations et la durabilité économique et sociale indispensable aux sociétés en développement.
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Coulibaly, Noupé Diakaria, Christian Landry Ossey, André Gabazé Gadji, Mako François De Paul N’Gbesso, Lassina Fondio, and Olivia Tiaplé Soro. "Etude De L’arrière Effet Des Légumineuses Alimentaires Sur La Productivité Des Légumes : Cas De La Tomate (Solanum Lycopersicum), Cultivée Dans La Localité De Bouaké Au Centre De La Côte d’Ivoire." European Scientific Journal, ESJ 17, no. 21 (June 30, 2021): 125. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n21p125.

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Abstract:
Dans le but de proposer des méthodes agroécologiques pour améliorer la qualité et la quantité de production des légumes et aussi pour préserver l’environnement de l’utilisation abusive des intrants de synthèse, l’exploitation de l’arrière effet des légumineuses a été entreprise. Cette étude a donc pour objectif d’évaluer l’effet des légumineuses alimentaires sur la productivité de la tomate. Trois légumineuses alimentaires (arachide, niébé et soja) ont été mises en avant culture de la tomate à Bouaké localisée au centre de la Côte d’Ivoire. Après la récolte des légumineuses, un essai de fertilisation de la tomate a été mis en place selon un dispositif en blocs randomisés complets avec trois répétions. Les antécédents culturaux des légumineuses ont été utilisés comme source de fertilisation de la tomate. Deux témoins dont un sans aucune source de fertilisation et un autre témoin de référence qui est la pratique habituelle utilisant des engrais de fond (NPK) et de couverture (urée et sulfate de potasse). Les résultats obtenus ont montré que les paramètres de croissance, de développement végétatif et des stades phénologiques ont évolué indépendamment des sources de fertilisation. Par contre, la plupart des composantes du rendement ont été sources de variabilité entre les traitements. En effet, l’antécédent niébé a généré les rendements brut et net les plus élevés (7, 38 t/ha) par rapport autres traitements. Les traitements Témoin (T0), la référence (T1), les antécédentes culturales arachides et soja ont obtenu respectivement 2,85 ; 5,31 ; 4,80 et 2,35 t/ha. Le niébé pourrait être recommandé pour la culture de la tomate, vu la performance de son antécédent cultural. In order to propose agroecological methods to improve the quality and quantity of vegetable production and also to preserve the environment from the abusive use of synthetic inputs, the exploitation of the after-effect of legumes was undertaken. The objective of this study is to evaluate the effect of food legumes on tomato productivity. Three food legumes (groundnut, cowpea and soybean) were put forward for tomato cultivation in Bouaké located in central Côte d'Ivoire. After harvesting the legumes, a tomato fertilization trial was set up in a complete randomized block design with three replications. The crop background of the legumes was used as a source of fertilizer for the tomato. Two controls, one without any source of fertilization and another reference control which is the usual practice using base (NPK) and cover fertilizers (urea and sulphate of potash). The results obtained showed that the parameters of growth, vegetative development and phenological stages evolved independently of the sources of fertilization. However, most of the yield components showed variability between treatments. Indeed, the cowpea crop history generated the highest gross and net yields (7.38 t/ha) compared to other treatments. The control (T0), reference (T1), groundnut and soybean treatments obtained 2.85, 5.31, 4.80 and 2.35 t/ha respectively. Cowpea could be recommended for tomato cultivation, given the performance of its crop history.
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Hadja Oumou, Sanon, Zorma Antoine, Simian Aziz, Obulbiga M. Ferdinand, and Compaoré Emmanuel. "Analyse des pratiques d’embouche ovine dans deux zones semi-arides du Burkina Faso." Journal of Applied Biosciences 150 (June 30, 2020): 15390–402. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.150.1.

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Objectif : Pour améliorer la productivité du bétail et de la viande et accroitre le revenu des producteurs, la promotion des activités d’embouche est encouragée et soutenu par différents acteurs au développement. Cependant, la maitrise de l’activité par les producteurs en milieu paysan est faiblement documentée. Méthodologie et résultats : Cette étude a été conduite dans la zone semi-aride du Burkina Faso avec pour objectif d’analyser les pratiques d’embouche des producteurs et d’apprécier leur capacité de production. Elle a consisté en des enquêtes formelles auprès des emboucheurs de huit villages dont quatre dans la zone de Ouahigouya (province du Yatenga) et quatre dans la zone de Dori (province du Seno). Les données ont été collectées auprès de 197 producteurs choisis suivant un échantillonnage en boule de neige. Les résultats montrent deux groupes d’emboucheurs : le premier est dominé par les emboucheurs de la zone de Ouahigouya et le deuxième par ceux de la zone de Dori. Les emboucheurs du groupe 1 ont un âge plus avancé (54 % plus de 50 ans), que ceux du groupe 2 où près de 77 % ont moins de 50 ans. Dans le premier groupe le niveau d’instruction est relativement plus élevé, avec 40 % scolarisés contre 73 % d’illettrés pour le groupe 2. Le nombre d’ovins et de bovins embouchés est plus élevé au niveau du groupe 1 avec en moyenne 8,4 et 3,2 respectivement contre 3,8 et 2,3 pour le groupe 2. Les fosses fumières sont fréquentes dans le groupe 1 où 63% en possèdent. Conclusion et application des résultats : En conclusion, l’étude montre un faible niveau technique des emboucheurs ainsi que leur faible capacité de production, plus marqué dans la zone de Dori. Ces résultats permettent de guider les interventions dans le domaine de l’embouche, notamment de cibler les actions suivant les sites. Dans ces démarches un accent particulier devra être mis sur les cultures à double objectif afin d’améliorer l’alimentation et réduire le cout de production, tout en favorisant l’intégration agricultureélevage. Mots clés : Embouche, ovin, alimentation, capacité de production, Dori, Ouahigouya Sanon et al., J. Appl. Biosci. 2020 Analyse des pratiques d’embouche ovine dans deux zones semi-arides du Burkina Faso 15391 ABSTRACT Analysis of sheep fattening practices in two semiarid zones of Burkina Faso Objective: To improve animal and meat productivity and increase the revenue for farmers the promotion of fattening activities is encouraged and supported by many development actors. However, the knowledge of this activity by farmers in rural area is poorly documented. Methodology and results: This study was conducted in the semi-arid zone of Burkina Faso in order to analyse the fattening practices of farmers and assess their production capacity. It consisted of formal surveys of farmers in eight villages, four of which were in the Ouahigouya area (Yatenga province) and four in the Dori area (Seno province). The data were collected from 197 farmers chosen according to a snowball sampling. The results show two groups of farmers: fatteners from the Ouahigouya area and the second dominate the first by those from the Dori area. The fatteners in group 1 are older (54% over 50 years) than those in group 2 where almost 77% are under 50 years old. In the first group, the level of education is relatively higher, with 40% educated against 73% illiterate for group 2. The number of sheep and cattle fattened is higher in group 1 with on average 8.4 and 3.2 respectively against 3.8 and 2.3 for group 2. Manure pits are frequent in group 1 where 63% have them. Conclusion and application of results: This survey reveals low technical level of the farmers as well as their low production capacity, particularly in the Dori area. These results could guide interventions on fattening field particularly to target actions according to the sites. They should involve dual-purpose crop production in order to improve nutrition and reduce the cost of production, while promoting the integration of crop and livestock. Key words: fattening, sheep, feeding, production capacity, Dori, Ouahigouya
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Beaumont, P. B. "The Diffusion of Human Resource Management Innovations." Articles 40, no. 2 (April 12, 2005): 243–56. http://dx.doi.org/10.7202/050132ar.

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Les chercheurs intéressés aux innovations en matière de gestion des ressources humaines dans les entreprises n'ont accorde que peu d'attention à la question de leur vulgarisation. Cette déficience dans la littérature devient d'un intérêt accru étant donné que les organismes gouvernementaux dans de nombreux pays ont, au cours des dernières années, cherche à encourager la diffusion de ces innovations dans un grand nombre d'usines et d'industries. À ce sujet, on peut citer la tentative norvégienne de favoriser des projets de remaniement des méthodes de travail, la tentative britannique d'établir des comités conjoints de santé et de sécurité et diverses initiatives américaines visant à encourager certaines mesures destinées à accroitre la productivité et la qualité du travail. Cet article se fonde sur un échantillon de quelque 300 établissements en Grande-Bretagne en vue d'examiner la portée et la nature de la vulgarisation d'innovations d'une organisation à l'autre. L'innovation considérée a trait à un programme conjoint syndicat-employeur de traitement de l'alcoolisme sur les lieux du travail. L'intérêt de considérer cette innovation en particulier repose sur les couts considérables de l'abus des boissons alcooliques au travail, sur le fait que de tels couts ne sont pas confines à des établissements et à des industries spécifiques et sur le fait que la participation des syndicats est fort importante si l'on veut implanter et maintenir un tel programme. Une constatation fondamentale a permis de se rendre compte qu'une entreprise sur cinq seulement avait appliqué une telle mesure. Dans cet article, on se demande si les entreprises qui ont instaure pareille mesure de leur propre initiative n'avaient agi que par coïncidence ou si elles présentaient certaines caractéristiques communes. Les résultats de l'enquête ont démontre que celles-ci constituaient un groupe distinct relativement homogène. Ce qui les caractérisait, c'était qu'elles s'intéressaient jusqu'à un certain point à des innovations en matière de gestion des ressources humaines (il s'agissait d'entreprises assez considérables ou regroupant plusieurs établissements) et elles accordaient une grande priorité aux questions de santé et de sécurité au travail (c'est-à-dire qu'elles faisaient appel à un personnel médical spécialisé et qu'elles avaient établi volontairement un comité conjoint de santé et de sécurité). Le deuxième objet de cet article était de vérifier si l'initiative d'une tierce partie avait réussi à propager la connaissance de semblables mesures au-delà des frontières du groupe d'entreprises qui les avaient appliquées sur une base volontaire. Cela consistait à analyser le nombre et la nature des firmes qui s'étaient procuré une copie du Code de pratique publie par le gouvernement recommandant la mise en vigueur de telles politiques. En fait, un petit nombre d'entreprises seulement avaient en main une copie de ce Code (environ quinze pour cent) et, de même, celles-ci ne se trouvaient pas au nombre de firmes distribuées comme au hasard. Leurs caractéristiques essentielles étaient fort semblables à celles qui avaient implanté volontairement une politique de lutte contre l'alcoolisme. En réalité, l'existence d'une telle politique était l'une des principales indications pour se rendre compte que l'entreprise s'était procuré une copie de ce Code de pratique. Ces résultats indiquaient clairement que l'initiative d'un tiers, présenté à titre informatif, avait peu d'influence quant à l'implantation et au fonctionnement de mesures relatives à la lutte contre l'alcoolisme. Une des conséquences importantes de ces constatations, c'est que tant les chercheurs que les décideurs doivent en savoir davantage à propos des sources d'information qui exercent une influence sur les innovations en matière de gestion des ressources humaines. On a cité une ou deux initiatives à ce sujet, mais il faut souligner que la diffusion des informations peut être une condition nécessaire bien qu'insuffisante pour la vulgarisation des innovations en matière de gestion des ressources humaines.
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Baudchon, Hélène. "Le contre-choc de la « nouvelle économie »." Articles : Persistance de la croissance économique et des gains de productivité 81, no. 1-2 (April 24, 2006): 281–338. http://dx.doi.org/10.7202/012845ar.

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Résumé Cet article vise à animer le débat sur les suites du retournement du secteur des technologies de l’information et de la communication. Il se focalise sur cinq pays de l’OCDE : les États-Unis, l’Irlande, la Finlande, les Pays-Bas, pour leur position dominante dans ce domaine, et la France comme référence nationale. Chaque pays affiche une spécialisation particulière. Il s’agit de comprendre dans quelle mesure cela peut expliquer la plus ou moins grande résistance de chaque économie au retournement du secteur des technologies de l’information. L’impression générale est que le ralentissement américain est resté modéré, grâce à la combinaison de deux éléments : la résistance des gains de productivité et le dynamisme persistant des dépenses des ménages, compensant une partie de la chute de l’investissement productif. La Finlande, la France, l’Irlande et les Pays-Bas ont été, à première vue, au moins autant affectés que les États-Unis en termes d’infléchissement de la croissance entre 2000 et 2001. Pour autant, la nouvelle économie n’est pas dépassée.
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Ibrahima, Souhaibou Yacoubou, Alain S. Yaoitcha, Paolo Lesse, André B. Aboh, and Marcel R. B. Houinato. "Effet de l’implantation des souches de Panicum maximum var. C1 sur l’invasion de Hyptis suaveolens (L.) Poit dans les pâturages naturels au Nord-Béni." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 1 (April 21, 2021): 156–68. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i1.14.

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Abstract:
La productivité et la durabilité des pâturages naturels sont menacées au Nord-Bénin par la prolifération de Hyptis suaveolens. La restauration de ces pâturages nécessite des mesures de lutte contre cette plante. L’étude visait à évaluer l’effet de Panicum maximum C1 installé avec des souches à une densité de 4 plants/m2 sur H. suaveolens et à comparer les réactions face à H. suaveolens des souches de P. maximum issues d’un milieu infesté ou non par H. suaveolens. Le contrôle d’invasion de H. suaveolens par la culture de P. maximum a été évalué par la contribution spécifique de contact (CSC), le biovolume (Bv) et la biomasse (Bm) de H. suaveolens. Lesrésultats ont montré que la présence de P. maximum C1 a réduit significativement (p<0,05) la CSC, le Bv et la Bm de H. suaveolens respectivement à 13,20%, 0,16% et 15,62% après trois mois de culture sans exploitation. La provenance des souches n’a eu d’effet significatif (p>0,05) sur aucun des paramètres biophysiques de H. suaveolens, ni sur le développement de P. maximum C1 en présence de H. suaveolens. Ainsi, la culture de P. maximum dans les pâturages envahis a permis d’améliorer leurs caractéristiques pastorales et peut être promue en milieu paysan.Mots clé : Hyptis suaveolens, Panicum maximum C1, plante envahissante, pâturages, Bénin. Effect of Panicum maximum var. C1 stumps cultivation on invasion of Hyptis suaveolens (L.) Poit in natural pastures in northern Benin The productivity and sustainability of natural pastures in northern Benin are threatened by the proliferation of Hyptis suaveolens. The restoration of these pastures requires control measures against this plant. This study aimed at evaluating the effect of Panicum maximum C1 installed with stumps at a density of 4 plants/m² on the development of H. suaveolens and to compare the reactions with respect to H. suaveolens of P. maximum’s stumps from an infested environment or not by H. suaveolens. Invasion control of H. suaveolens by culture of P. maximum was assessed using the specific contact contribution (SCC), biovolume (Bv) and biomass (Bm) of H. suaveolens. The results showed that the presence of P. maximum C1 reduced significantly (p <0.05) the SCC, Bv and Bm of H. suaveolens respectively to 13.20%, 0.16% and 15.62% after three months of cultivation without exploitation. The origin of stumps had no significant effect (p> 0.05) on any of the biophysical parameters of H. suaveolens, nor on the development of P. maximum C1 in the presence of H. suaveolens. Thus, the cultivation of P. maximum in pastures invaded has improved their pastoral characteristics and can be promoted in rural areas. Keywords: Hyptis suaveolens, Panicum maximum C1, invasive plant, pastures, Benin.
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M F, Kampemba, Bilolwa B P, Ntemunyi N C, and Mwangomb K D. "Caractérisation de la reproduction des cobayes locaux (Cavia porcellus L.) élevés à Kipushi et Lubumbashi (RDC)." Journal of Animal & Plant Sciences 43.2 (February 29, 2020): 7415–27. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v43-2.2.

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Abstract:
L’objectif de ce travail était d’étudier les caractéristiques de reproduction et de croissance des cobayes locaux. Soixante- six (66) cobayes ont été répartis en 2 lots (Lubumbashi et Kipushi) de 30 femelles subdivisées par lot de dix(10) élevés dans une cage de 1 m2 et 6 mâles avec un sex-ratio de 1 mâle contre 10 femelles et les saillies naturelles. Les résultats obtenus ont montré que le taux fertilité était élevé pour les femelles de Kipushi (86,67%) par rapport à celui enregistré à Lubumbashi (80,00%). Et le poids des femelles à la mise-bas et au sevrage n’était pas influencé par leur origine. Au niveau de la portée à la naissance ; Lubumbashi a présenté un nombre élevé (58%) que Kipushi (53%) pour des nés vivant. Par conséquent, le poids moyen individuel à la naissance (70,4g) le poids moyen individuel au sevrage (167,4g) le poids moyen par portée à la naissance 71,3g et au sevrage 168,03g étaient supérieures pour les animaux de Kipushi (p˂0,05). Alors que la portée au sevrage, le nombre de petits par sevrage était semblable entre sites (P˃ 0,05). En plus, la productivité numérique et pondérale était élevée pour les femelles de Kipushi (1,57) et faible pour celles de Lubumbashi (1,17). L’évolution du poids des cobayes variaient en fonction du site. Ces résultats sur les paramètres de reproduction dévoilent l’existence d’une grande variabilité entre ces deux populations locales, ce qui crée une occasion pour l’amélioration génétique des cobayes locaux. Characterization of the reproduction of local guinea pigs (Cavia porcellus L.) raised in Kipushi and Lubumbashi (DRC) ABSTRACT The objective of this work was to study the reproductive and growth characteristics of local guinea pigs. Sixty-six (66) guinea pigs were divided into 2 lots (Lubumbashi and Kipushi) of 30 females subdivided by lot of ten (10) reared in a 1 m2 cage and 6 males with a sex ratio of 1 male versus 10 females and natural projections. The results obtained showed that the fertility rate was high for Kipushi females (86.67%) compared to that recorded in Lubumbashi (80.00%). Moreover, the weight of the females at birth and at weaning was not influenced by their origin. At the level of the litter at birth, Lubumbashi presented a higher number (58%) than Kipushi (53%) for born babies. Therefore, the average individual weight at birth (70.4g) the average individual weight at weaning (167.4g) the average weight per litter at birth 71.3g and at weaning 168.03g were higher for the Kipushi animals (p˂0,05). While the litter at weaning, the number of pups per weaning was similar between sites (P˃ 0.05). In addition, numerical and weight productivity was high for Kipushi females (1.57) and low for Lubumbashi females (1.17). The evolution of the weight of the guinea pigs varied according to the site. These results on reproductive parameters reveal the existence of great variability between these two local populations, which creates an opportunity for the genetic improvement of local guinea pigs.
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Ewebiyi, I. O., T. O. Ikotun, and O. O. Olayemi. "Constraints to utilization of improved processing technologies among cassava processors in Oyo State, Nigeria." Journal of Science and Sustainable Development 7, no. 1 (March 18, 2021): 41–49. http://dx.doi.org/10.4314/jssd.v7i1.4.

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Abstract:
This study investigated the constraints associated with utilization of improved processing technologies among cassava processors in Oyo State, Nigeria. A structured questionnaire was used to collect data from a random sample of 176 respondents. Data was analyzed using descriptive statistics and Pearson Product Moment Correlation. The findings were that most (56.8%) of the respondents had a positive attitude towards utilization of mechanical grater, screw press hydraulic and Hammer mill technologies. However, inadequate funds, lack of technical know-how, lack of information, high cost of purchase and inadequate engineers for the improved processing technologies were identified as severe constraints militating against utilization of improved processing technologies. Significant relationship was established between these constraints and utilization of the improved processing technologies. It is recommended that government 1) builds factories that will lower the cost of the technologies; and 2) ensures that research institutes, departments of Agricultural engineering in universities and polytechnics and adult education programs in the community are adequately funded to promote knowledge of the technologies.RésuméCette étude a examiné les contraintes associées à l’usage des technologies traitantes améliorées parmi les traitants du manioc dans l’état d’Oyo au Nigeria. Un questionnaire structuré fut utilisé pour la collecte de données provenant de 176 enquêtés hasardement sélectionnés du champ d’étude. Les données ainsi collectées furent analysées par moyen de statistiques descriptives (telles que le comptage de fréquence, le pourcentage et la moyenne) ainsi que les statistiques inferentielles. La Corrélation du Moment Produit de Pearson (CMPP) fut employée pour déterminer la relation entre contraintes et usage des technologies traitantes améliorées parmi les traitants du manioc dans le champ d’étude. Les résultats de l’étude ont démontré que l’âge moyen d’enquêtés était de 41.23 ans et que plus d’un quart d’enquêtés (33.0%) avaient six à dix ans d’expérience dans le traitement du manioc. De surcroit, les résultats ont révélé que la plupart d’enquêtés (56.8%) avaient une attitude favorable envers l’usage des technologies traitantes améliorées de rappe mécanique, presse-vis hydraulique et moulin-marteau. Des fonds inadéquats, le manque du savoir-faire technique, le manque d’information, le coût élevé d’achat, et les ingénieurs inadéquats concernant les technologies traitantes améliorées ont été identifiés par les enquêtés comme sérieuses contraintes militant contre l’usage des technologies traitantes améliorées. Une relation significative existait aussi entre contraintes (r=-0.189, p=0.012) auxquelles les enquêtés font face et leur usage des technologies traitantes améliorées. L’étude a recommandé que le gouvernement construise les usines ou industries où les technologies traitantes améliorées seraient fabriquées à coût bas, que les instituts de recherche et département d’ingénierie agronome dans les universités et écoles polytechniques soient financés adéquatement, ainsi que les programmes d’alphabétisation d’adultes dans les communautés de traitants du manioc pour surmonter le défi d’analphabétisation et la saisie du savoir-faire technique concernant les opérations technologies. Tout ceci va renchérir l’usage effectif des technologies traitantes améliorées parmi les traitants du manioc dans le champ d’étude—une chose qui, en long terme, pourra se traduire en haute productivité, augmentation de revenus, et conditions de vie en mieux.
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Lecocq, Franck, and Jean-Charles Hourcade. "Le taux d’actualisation contre le principe de précaution?" Articles 80, no. 1 (March 5, 2005): 41–65. http://dx.doi.org/10.7202/010753ar.

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Abstract:
Résumé L’utilisation du calcul économique sur le très long terme fait l’objet de critiques qui peuvent aller jusqu’à un rejet pur et simple, en particulier en raison de la technique de l’actualisation qui, en écrasant le poids du long terme, viendrait en contradiction avec le principe de précaution. Nous expliquons ici, sur la base de l’expérience des débats autour du changement climatique, en quoi, appliquée en toute rigueur, l’actualisation est au contraire un point de passage obligé pour clarifier les enjeux de la décision. Nous montrons en particulier que, dans un cadre de décision séquentielle avec acquisition d’information, le choix, qui restera toujours controversé, du coefficient de préférence pure pour le présent, importe moins que les hypothèses sur la croissance, sur la productivité du capital, sur les préférences des agents et sur leurs « croyances » vis-à-vis des dommages climatiques. Nous concluons sur le fait que le taux de préférence pure pour le présent ne saurait résumer à lui seul les questions de solidarité avec les générations futures. Il convient aussi d’examiner la nature de ce que nous léguons aux générations futures, en particulier les stocks de capital physique et de connaissance qui déterminent leurs capacités d’adaptation à de futures informations.
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Omotosho, B. O., M. N. Bemji, K. Bamisile, M. O. Ozoje, M. Wheto, A. M. Lawal, B. O. Oluwatosin, O. S. Sowande, I. J. James, and O. A. Osinowo. "Comparative study of growth patterns of Kalahari Red goats and West African dwarf goats reared in Southwest Nigeria." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020): 213–26. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1334.

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Abstract:
This study focused on comparing growth traits (body weights at birth, 3-month weaning and 6-month post-weaning) as well as growth curves of Kalahari Red (KR), a newly introduced goat breed in Nigeria and West African Dwarf (WAD) goat semi-intensively managed. Data on growth traits and weekly live weights were collected from 124 kids consisting of 61 KR and 63 WAD goats. The data were subjected to least squares analysis of variance to evaluate the effects of breed, sex, season, birth type and parity. The results showed that KR kids exceeded WAD kids in body weights at birth (2.30±0.06 kg vs 1.56±0.06 kg), 3-month weaning (8.88±0.57 kg vs 3.88±0.20 kg) and 6-month post-weaning (13.97±0.86 kg vs 5.05±0.37 kg). Corresponding pre-weaning average daily gain (ADG) estimates were 84.44±2.44 g and 31.73±1.16 g and post-weaning ADG were 61.88±1.81g and 24.84±1.21 g. Growth patterns of the two breeds were described using four different non-linear models: Brody, Gompertz, Logistic and Von Bertalanffy. Models were compared using parameter estimates (asymptotic weight 'A', integration constant 'B' and rate of maturity 'k'). Model with good fit was adjudged using coefficient of determination (R2) and residual mean squares (RMS). The KR goats had higher parameter estimates than WAD goats. Von Bertalanffy model had the highest 'A' estimates (24.24±0.94 kg vs 11.99±0.54 kg for KR and WAD goats). Gompertz had highest 'B' and 'k' estimates (5.37±0.20 vs 3.38±0.09) and (0.19±0.01 vs 0.13±0.01) for KR and WAD goats. All four growth models generally had R2 exceeding 99% and low RMS, hence giving good fit to the observed growth data. They can be used to implement feeding and management decisions that will optimize productivity. Information on superior growth performance of the Kalahari Red goat can be utilized to further investigate genetic improvement of the indigenous West African Dwarf population through crossbreeding. Cette étude s'est concentrée sur la comparaison des traits de croissance (poids corporel à la naissance, sevrage à 3 mois et 6 mois après le sevrage) ainsi que les courbes de croissance du Kalahari Red (KR), une race de chèvre nouvellement introduite au Nigéria et West AfricanDwarf (WAD) chèvre gérée de manière semi-intensive. Des données sur les traits de croissance et le poids vif hebdomadaire ont été collectées auprès de 124 chevreaux comprenant 61 chèvres KR et 63 chèvres WAD. Les données ont été soumises à une analyse des moindres carrés de la variance pour évaluer les effets de la race, du sexe, de la saison, du type de naissance et de la parité. Les résultats ont montré que les enfants KR dépassaient les enfants WAD en poids corporel à la naissance (2.30 ± 0.06 kg vs 1.56 ± 0.06 kg), au sevrage de 3 mois (8.88 ± 0.57 kg vs 3.88 ± 0.20 kg) et 6 mois après le sevrage (13.97 ± 0.86 kg contre 5.05 ± 0.37 kg). Les estimations correspondantes du gain quotidien moyen (ADG) présevrage étaient de 84.44 ± 2.44 g et 31.73 ± 1.16 g et l'ADG post-sevrage était de 61.88 ± 1.81 g et 24.84 ± 1.21 g. Les modèles de croissance des deux races ont été décrits à l'aide de quatre modèles non linéaires différents :Brody, Gompertz, Logistic et Von Bertalanffy. Les modèles ont été comparés à l'aide d'estimations de paramètres (poids asymptotique « A », constante d'intégration « B » et taux de maturité « k »). Le modèle avec un bon ajustement a été évalué en utilisant le coefficient de détermination (R2) et les carrés moyens résiduels (RMS). Les chèvres KR avaient des estimations de paramètres plus élevées que les chèvres WAD. Le modèle de Von Bertalanffy présentait les estimations « A » les plus élevées (24.24 ± 0.94 kg contre 11.99 ± 0.54 kg pour les chèvres KR et WAD). Gompertz avait les estimations « B » et « k » les plus élevées (5.37 ± 0.20 vs 3.38 ± 0.09) et (0.19 ± 0.01 vs 0.13 ± 0.01) pour les chèvres KR et WAD. Les quatre modèles de croissance avaient généralement un R2 supérieur à 99% et un RMS faible, ce qui correspondait bien aux données de croissance observées. Ils peuvent être utilisés pour mettre en œuvre des décisions d'alimentation et de gestion qui optimiseront la productivité. Les informations sur la performance de croissance supérieure de la chèvre rouge du Kalahari peuvent être utilisées pour étudier plus avant l'amélioration génétique de la population indigène de nains d'Afrique de l'Ouest par croisement.
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COULON, J. B., E. LANDAIS, and J. P. GAREL. "Alimentation, pathologie, reproduction et productivité de la vache laitière. Interrelations à l’échelle de la lactation et de la carrière." INRAE Productions Animales 2, no. 3 (July 10, 1989): 171–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1989.2.3.4411.

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Abstract:
L’objectif de cette étude était de préciser l’effet des principales affections sanitaires sur la production laitière et leurs liaisons avec les caractéristiques des lactations et des carrières des animaux. L’étude a été réalisée au cours d’un essai d’alimentation (comparaison de rations à base de foin ou d’ensilage d’herbe complémentées à 2 niveaux énergétiques) de longue durée (6 ans) et a porté sur 487 lactations de 190 vaches Pie-Noires et Montbéliardes. Au cours de ces 487 lactations, 595 troubles sanitaires ont été observés. Ces troubles ont donc touché 59 % des lactations étudiées avec une incidence moyenne de 2,1 affections par lactation atteinte. Les boiteries et les mammites ont représenté respectivement 52 et 24 % des affections. 47 % des mammites ont lieu au cours des 2 premiers mois de lactation. La fréquence des boiteries augmente au cours de l’hiver et est maximale à la mise à l’herbe. A court terme (5 semaines) les pertes de production les plus importantes sont causées par les mammites hivernales (24 kg) et surtout les boiteries survenant à la mise à l’herbe (56 kg). A l’échelle de la lactation complète, ce sont les boiteries répétées qui entraînent les pertes de production les plus élevées : 640 kg de lait pour les vaches ayant présenté 3 boiteries et plus contre 20 kg pour celles n’ayant présenté qu’une seule boiterie et 160 kg pour celles ayant présenté une ou plusieurs mammites. Les boiteries répétées sont 3 fois plus fréquentes chez les vaches Pie-Noires que chez les vaches Montbéliardes et quatre fois plus fréquentes chez celles ayant reçu une ration hivernale à base d’ensilage d’herbe que chez celles ayant reçu une ration hivernale à base de foin. Quatre principales classes de lactation ont pu être définies à partir du niveau de production des animaux, de leur santé, de leur reproduction et de leur réforme. Les écarts de production entre ces 4 groupes atteignent 1 800 kg de lait par lactation. Les vaches recevant une ration à base d’ensilage d’herbe faiblement complémentée ont eu une carrière plus courte que celles recevant les autres rations (2,5 lactations contre 3,2 à 3,5). Les vaches présentant en première lactation des troubles sanitaires graves (boiteries multiples) ont eu une carrière plus courte de 1,1 lactation que les vaches indemnes en première lactation. En moyenne, la production laitière et le poids vif ont augmenté de respectivement 622 et 51 kg entre la 1ere et la 3e lactation. Cette augmentation de production laitière a été plus importante chez les vaches recevant une alimentation hivernale à base de foin (complémenté à haut ou bas niveau) ou d’ensilage d’herbe complémenté à haut niveau (+ 752 kg) que chez celles recevant une ration à base d’ensilage d’herbe complémenté à bas niveau (+ 359 kg). A l’échelle de 3 lactations, l’écart de production laitière entre les lots extrêmes (foin haut et ensilage bas) atteint 2 770 kg, soit 26 %. Ces résultats conduisent à reconsidérer certaines conclusions issues de résultats obtenus à l’échelle de l’hiver ou de la lactation.
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Sakatai, Dérik Pierre, Armand Abdou Bouba, Jean Paul Olina Bassala, Jules Balna, Oumarou Palou, and Sali Bourou. "Valorisation de quatre accessions de souchets (Cyperus esculentus L.): une bonne option de diversification de culture pour les producteurs de la localité de danay-vokgora (Mayo-danay) en zone soudano-sahélienne du Cameroun." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 6 (October 7, 2020): 2277–93. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i6.28.

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Abstract:
La valorisation de certaines espèces sous-utilisées constitue des moyens palliatifs de la diversification des cultures dans certaines localités de l’Extrême-Nord. Plus spécifiquement, l’absence des connaissances sur les méthodes culturales de la culture de souchet (Cypérus esculentus L.) constitue un frein de sa production. Face à cette situation, une étude été menée dans la plaine du Mayo-Danay (Danay-vokgora) afin de transférer le paquet technologique (itinéraire technique) de production de cette culture aux producteurs en vue de substituer les cultures sensibles à la variabilité et au changement climatique. Une parcelle de démonstration (Champ Ecole Paysan (CEP)) de quatre accessions de souchet (Cyperus esculentus L.) a été mise en place. Les opérations culturales ont été mise en oeuvre dans le dispositif en split plot comprenant les blocs de placettes complètement randomisées. La densité de semis et les accessions comportant quatre modalités chacun et répétées quatre fois ont été appliquées et contrôlées. L’issu des résultats révèlent qu’il n’existe pas des effets des densités de semis sur les rendements moyens en t/ha de souchet au seuil de 5% de signification. Par contre, les accessions « c= glazay » et « d= wéchéché » se sont différenciées avec les meilleurs rendements moyens en t/ha. Bien que l’accession « c= glazay » fasse l’objet du choix de préférence des bénéficiaires de ladite localité, la comparaison des quantités nécessaires et des productivités marginales des inputs de production de souchet (Cyperus esculentus L.) ont montré qu’il serait avantageux de produire avec l’accession « d= wéchéché », car avec la meilleure combinaison des inputs de production, sa productivité marginale (73,09 FCFA) serait plus profitable pour l’unité additionnelle relative au coût de location de la parcelle. De ce fait, il est important d’évaluer cette pratique culturale pour mieux apprécier le degré d’adoption de l’innovation relative à l’itinéraire technique de la culture de souchet dans la localité de Danay-vokgora.Mots clés: Valorisation, Souchet, Rendement, Danay-vokgoro, Soudano-sahélienne. English Title: Valorization of four accessions of tigernut (Cyperus esculentus L.): a good option of cultural diversification for the producers of the locality of danay-vokgora (Mayo-danay) in sudano-sahelien zone CameroonThe development of some underutilized species is a palliative means of crop diversification in some communities in the Far North. More specifically, the lack of knowledge about the cultivation methods of Tigernut culture (Cyperus esculentus L.) is a hindrance to its production. Faced with this situation, a study was conducted in the Mayo-Danay plain (Danay-vokgora) in order to transfer the technological package (technical practice) of production of this crop to producers in order to replace crops sensitive to variability and climate change. A demonstration plot (Field School Peasant (CEP)) of four accessions of Tigernut (Cyperus esculentus L.) has been set up. To do this, the implementation of the operations was conducted in the experimental split plot including randomized completely block design. Seedling density and accessions with four modalities each and repeated four times were applied and controlled. At the end of study, the results show that at 5% level of the significance, the effects of planting densities do not influence on average yields in t/ha of Tigernut (Cyperus esculentus L.). On the other hand, "c = glazay" and "d=wéchéché" accessions of Tigernut (Cyperus esculentus L.) differed by presenting best average yields in t/ha. While "c = glazay"accession is subject to the choice of preference beneficiaries to Danay-vokgora locality (Mayo-Danay), but the comparison of quantities needed and the marginal productivity of the production of the accessions of the Tigernut (Cyperus esculentus L.) has shown that it would advantageous to produce with the "d=wéchéché" accession, because with the best combination of inputs, her marginal productivity would be more profitable for an additional unit of 73.09 FCFA for the renting cost of the parcel. Therefore, it is important to evaluate this farming practice to better appreciate the degree of adoption of innovation related to the technical practice of Tigernut (Cyperus esculentus L.) culture in the locality of Danay-vokgora.Keywords: Valorization, Nutgrass, Yield, Danay-vokgoro, Sudano-sahelien.
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Bélanger, Paul R., and Louis Maheu. "Pratique politique étudiante au Québec." Articles 13, no. 3 (April 12, 2005): 309–42. http://dx.doi.org/10.7202/055586ar.

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La mobilisation politique des populations étudiantes n'est pas en soi un phénomène vraiment contemporain. Certaines études ont déjà établi que des groupes étudiants ont participé à des mouvements politiques à diverses époques de l'histoire. Par contre, la pratique politique étudiante, ces dernières années, s'est amplifiée en même temps qu'elle se caractérisait par des traits plus spécifiques et particuliers à cette population. Aussi a-t-on vu croître, en sociologie, un intérêt nouveau pour l'analyse de ces phénomènes. Les études consacrées à ce sujet se multiplient de même que les schémas d'analyse se diversifient. Pour l'étude de la pratique politique étudiante québécoise contemporaine, nous avons, pour notre part, opté pour une grille d'analyse qui n'enferme pas l'étudiant, comme agent politique, dans le système d'enseignement supérieur. Sa mobilisation politique ne nous semble pas, au premier chef, être fonction de sous-cultures étudiantes plus ou moins contestataires et typiques des milieux universitaires ou des seules difficultés de fonctionnement des systèmes universitaires. Encore moins sommes-nous portés à penser que la marginalité sociale de la jeunesse étudiante est un facteur déterminant de politisation : « camper hors de la nation » ou de la société n'est pas de nature à susciter la mobilisation politique. Au contraire, notre analyse ne produit une définition de l'étudiant comme agent politique qu'au moyen de déterminations structurelles qui conditionnent, provoquent et organisent la pratique politique étudiante qui vise elle-même à modifier le cadre sociétal où elle émerge. Au nombre des principales caractéristiques de la période des années '60 dans l'histoire du Québec, il nous faut retenir la politisation des problèmes de fonctionnement de l'appareil scolaire québécois : les rapports entretenus par cet appareil avec d'autres structures de la société, le système de production économique par exemple, devenaient l'enjeu de luttes et de rapports politiques. L'État et les diverses couches sociales qui appuyaient ses politiques d'intervention auprès de l'appareil scolaire rencontraient l'hostilité et l'opposition plus ou moins soutenues d'autres couches sociales qui appréciaient différemment les politiques de l'État en ce domaine. Avec l'adoption du bill 60 qui créait, en 1963, le Ministère de l'éducation du Québec, le parti au pouvoir imposa une restructuration de l'appareil scolaire qui impliquait une responsabilité plus nette et ferme accordée à l'État et la mise en place d'organes officiels de consultation, comme le Conseil supérieur de l'éducation, où l'Église était loin de conserver une fonction prépondérante. Le législateur devait même consulter, au moment de la formation du premier Conseil supérieur de l'éducation, de multiples associations qui n'avaient pu auparavant s'imposer comme interlocuteurs dans un secteur contrôlé par l'Église. Parmi celles-ci, notons les associations d'enseignants; les associations d'administrateurs dans le domaine scolaire; les associations de parents et parents-maîtres; les associations syndicales; et diverses associations d'affaires. Puis finalement, le législateur dut consentir, après que des représentations eurent été faites dans ce sens, à prendre aussi l'avis d'associations étudiantes et d'associations de professeurs et d'administrateurs universitaires. On a pu également observer, dans le processus de régionalisation de commissions scolaires, que même au niveau local et régional, les agents qui contrôlaient traditionnellement l'appareil scolaire pouvaient voir leur position sociale remise en cause. Bref, la politisation des problèmes d'éducation a modifié les rapports de force entre les divers groupes sociaux qui se préoccupaient des politiques d'intervention de l'État auprès de l'appareil scolaire. L'État devait aussi se lancer, au cours des années '60, dans des transformations importantes des structures académiques et du contenu des programmes d'enseignement. Ces mutations de structures et de programmes académiques visaient essentiellement à reprendre le retard que connaissait le Québec, par rapport aux principales provinces canadiennes, et notamment l'Ontario et la Colombie-Britannique, dans le développement de son appareil scolaire. On attribuait à ce retard les problèmes de développement économique du Québec qui se manifestaient par un revenu moyen inférieur à celui des provinces canadiennes riches et par une productivité industrielle, en général, plus faible. La main-d’œuvre québécoise ne présentait pas des standards de qualification très élevés, ni des niveaux d'instruction jugés satisfaisants. Aussi, l'intervention de l'État auprès de l'appareil scolaire québécois avait-elle un sens bien précis : elle concernait la préparation et la modernisation d'une main-d’œuvre professionnelle au moyen de transformations apportées aux structures et au contenu de l'enseignement. Afin d'assurer une plus grande adaptation de l'appareil scolaire aux exigences de développement de la société, l'État misait essentiellement sur le « capital humain » et le perfectionnement des « ressources humaines » comme facteur de production. Ainsi cette intervention s'est accompagnée d'une augmentation considérable des investissements en éducation. Les dépenses totales d'enseignement au Québec qui étaient, à la fin des années '50, de l'ordre de $300,000,000, passaient en 1963 à $719,319,000 ; elles ont donc plus que doublé sur une période de cinq ans. Les dépenses du Ministère de l'éducation sont passées de près de $200,000,000 en 1960-61 à près de $710,000,000 en 1967-68, puis à $1,100,114,000 en 1970-71 ; sur une période de dix ans, ces dépenses ont été multipliées à peu près par dix. Ces hausses représentent des taux d'augmentation annuelle qui sont légèrement supérieurs à l'augmentation annuelle des dépenses du gouvernement du Québec; ainsi, la proportion du budget total consacrée à l'enseignement est passée de 23% en 1959 à 32% en 1964, puis à 34.7% en 1969. Il faut encore souligner que cette intervention de l'État auprès de l'appareil scolaire s'est accompagné d'un discours idéologique de circonstance. L'État, au moyen de slogans tels « Qui s'instruit s'enrichit », devait expliquer à la population combien l'éducation était le moyen par excellence de la promotion collective de la communauté canadienne-française. Le Québec était invité à joindre les sociétés industrielles avancées qui valorisaient, comme politique de croissance et de progrès, le développement et le perfectionnement continus des «ressources humaines».
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Tshala Upite, Joseph, Alain Kitabala Misonga, Emery Kasongo Mukonzo Lenge, and Luciens Nyembo Kimuni. "Effets des composts ménagers sur les propriétés du sol e t sur la productivité des cultures légumières : Cas de la tomate (Lycopersicon esculentum Mill)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 13, 2020): 3411–28. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.35.

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Abstract:
A Kolwezi, les sols sont généralement de texture sableu se Leurs richesse s chimique s se situe nt à un niveau très bas pour tous les éléments nutritifs avec une incidence directe sur les rend ements des cultures. Afin d’évaluer l’impact du compost ménager sur la restauration de la fertilité des sols maraîchers de Kolwezi, un essai conduit en split plot avec deux variétés de tomate (Tanya et Tengeru) et trois doses (20, 25 et 30 t.ha-1 ) de compo st ménager appliquées seules et/ou combinées à 250 kg ha-1 de NPK en comparaison d’un témoin sans fertilisation a été installé dans deux sites maraîchers (Musompo et Mwangeji). Les déchets collectés auprès de 100 ménages ont été triés et pesés en vue de dé terminer la composition physique d’une poubelle et la part biodégradable a été compostée. Pour renseigner la valeur agronomique du compost l’analyse chimique a été effectuée. De cette étude, il a été révélé qu’en moyenne, une poubelle à Kolwezi est compos ée de plus de 50 % de déchets dégradables dont le compost qui en est issu est un réservoir de N, P, K et autres éléments indispensables à la culture Appliquées sur un sol perçu pauvre et confirmé par les analyses chimiques, les doses de compost améliorent la fertilité de sol consécutivement le rendement de la tomate . 11,4 t.ha 1 contre 11,7 t.ha 1 obtenu respectivement aux apports de 30 t.ha-1 de compost et 30 t.ha-1 + 250 kg.ha 1 de NPK, suppose que le compost issu des déchets ménag er s serait utilisé en l égume cult u re sans êtr e combiner aux engrais minéraux L ’application supplémentaire de 250 kg NPK induit in évitablement une baisse de la profi tabilité ainsi , 20 t.ha-1 de compost est recommand able L’analyse microbienne et l’usage de compost ménager sur l es légumes feuilles seraient une seconde phase de l’étude.Mots clés : Compost de d échet ménager, restauration de sol , gestion, Kolwezi. English Title: Effects of household composts on soil properties and productivity of vegetable crops: The case of tomato (<i> Lycopersicon esculentum </i>Mill)In Kolwezi, the soils are generally sandy in texture. Their chemical richness is at a very low level for all nutrients with a direct impact on crop yields. In order to assess the impact of household compost on restoring the fertility of market garden soils in Kolwezi, a spl it plot trial with two tomato varieties (Tanya and Tengeru) and three doses (20, 25 and 30 t.ha-1) of household compost applied alone and/or combined with 250 kg ha-1 of NPK compared to a control without fertilizer was set up in two market garden sites (Musompo and Mwangeji). The waste collected from 100 households was sorted and weighed to determine the physical composition of a bin and the biodegradable part was composted. To inform the agronomic value of the compost, chemical analysis was carried out. From this study, it was revealed that on average, a bin in Kolwezi is composed of more than 50% degradable waste, from which the compost that is produced is a reservoir of N, P, K and other elements essential for cultivation. Applied on a soil perceived as poor and confirmed by chemical analyses, the compost doses improve soil fertility as a result of the tomato yield. 11.4 t.ha-1 against 11.7 t.ha-1 obtained respectively with the inputs of 30 t.ha-1 of compost and 30 t.ha-1 + 250 kg.ha-1 of NPK, supposes that the compost from household waste would be used in legume-cultivation without being combined with mineral fertilizers. The additional application of 250 kg NPK inevitably leads to a decrease in profitability, so 20 t.ha-1 of compost is recommended. Microbial analysis and the use of household compost on leafy vegetables would be a second phase of the study.Keywords: Household waste compost, soil restoration, market gardening, management, Kolwezi.
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GUYOMARD, H., B. COUDURIER, and P. HERPIN. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 22, no. 3 (April 17, 2009): 147–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.3.3341.

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Abstract:
L’Agriculture Biologique (AB) se présente comme un mode de production agricole spécifique basé sur le respect d’un certain nombre de principes et de pratiques visant à réduire au maximum les impacts négatifs sur l’environnement. Elle est soumise à des interdictions et/ou des obligations de moyens, par exemple l’interdiction des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), des engrais de synthèse et des pesticides ou l’obligation de rotations pluriannuelles. Dans le cas de l’élevage, les critères portent sur l’origine des animaux, les conditions de logement et d’accès aux parcours, l’alimentation ainsi que la prévention et le traitement des maladies. Ainsi, la prévention des maladies est principalement basée sur l’utilisation de techniques d’élevage stimulant les défenses naturelles des animaux et, en cas de problème sanitaire, le recours à l’homéopathie ou à la phytothérapie ; l’emploi d’autres médicaments vétérinaires n’est pas exclu à condition de respecter des conditions réglementaires strictes1. L’AB s’inscrit dans des filières d’approvisionnement et de commercialisation incluant la transformation et la préparation des aliments, la distribution de gros et/ou de détail et le consommateur final. Dans tous les pays, agriculteurs, conditionneurs et importateurs doivent se conformer à des réglementations pour associer à leurs produits un étiquetage attestant de leur nature biologique. Les produits issus de l’AB sont certifiés et des mécanismes d’inspection assurent le respect des règlements. L’AB mondiale est aujourd’hui encore une activité marginale au regard des terres consacrées (moins de 2%), du nombre d’agriculteurs engagés ou des volumes concernés. Il s’agit toutefois d’une activité en forte croissance avec, par exemple, un triplement des surfaces mondiales dédiées entre 1999 et aujourd’hui. Le marché mondial des produits issus de l’AB était estimé à 25 milliards d’euros en 2006, soit deux fois plus qu’en 2000 (données IFOAM). La consommation est très fortement concentrée, à plus de 95% en Amérique du Nord d’une part, et en Europe de l’Ouest où les principaux marchés sont l’Allemagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, d’autre part. Sur ces deux continents, les importations sont nécessaires pour pallier le déficit de l’offre domestique au regard de la demande intérieure. Ceci est particulièrement vrai en France. Selon le ministère en charge de l’agriculture (2009), «la demande [française] de produits issus de l’AB croît de 10% par an depuis 1999. Or, l’offre [nationale] de produits issus de l’AB est aujourd’hui insuffisante pour satisfaire cette demande croissante. Les surfaces des 11 970 exploitations agricoles françaises en AB ne représentent que 2% de la surface agricole. Par défaut d’organisation entre les producteurs et à cause de l’éparpillement des productions, une part significative des produits bio n’est pas valorisée». Et simultanément, 25% environ de la consommation française de produits bio est satisfaite par des importations. Cette situation a conduit le Ministre en charge de l’agriculture à proposer, dans le cadre du Grenelle de l’environnement, un plan visant le triplement à l’horizon 2012 des surfaces françaises en AB (6% de la surface agricole utile en 2012). Pour atteindre cet objectif, le plan inclut un soutien budgétaire à la structuration de la filière bio (sous la forme d’un fonds de structuration doté de 15 millions d’euros sur cinq ans), la mobilisation de la recherche (notamment sous la forme de crédits «recherche»), un soutien accru aux exploitations converties en AB (via le déplafonnement des 7 600 €/an/unité des aides agro-environnementales pour les exploitations en conversion vers l’AB et une augmentation de l’enveloppe dédiée, ainsi que la reconduction du crédit d’impôt en 2009, celui-ci étant par ailleurs augmenté) et enfin, l’obligation dès 2012 faite à la restauration collective de proposer dans ses menus 20% de produits issus de l’AB. Enfin, dans le cadre du bilan de santé de la Politique Agricole Commune (PAC) du 23 février 2009, une aide spécifique aux exploitations en AB d’un montant d’un peu moins de 40 millions d’euros a été adoptée. Le plan français en faveur de l’AB, popularisé sous le libellé «AB : objectif 2012», vise donc à développer la production domestique de produits issus de l’AB via la fixation d’un objectif quantitatif en termes de surfaces dédiées en jouant simultanément sur la demande (via une contrainte d’incorporation de produits issus de l’AB dans la restauration collective) et l’offre (via, de façon générale, un soutien augmenté aux exploitations en conversion vers l’AB et déjà converties à l’AB). Dans ce contexte, le comité éditorial de la revue Inra Productions Animales et la direction de l’Inra ont souhaité apporter un éclairage scientifique sur les acquis, les verrous et les perspectives en matière d’élevage AB. Ce numéro a été coordonné par J.M. Perez avec l’aide de nombreux relecteurs : que tous soient ici remerciés. Après une présentation du cahier des charges français et de la réglementation communautaire (Leroux et al), le numéro se décline en trois parties : une série d’articles sur différentes filières animales concernées (avicole, porcine, bovine allaitante, ovine allaitante), un focus sur deux approches à l’échelle des systèmes d’élevage (ovin allaitant et bovin laitier), et enfin des articles centrés sur les problèmes les plus aigus rencontrés dans le domaine de la gestion sanitaire et de la maitrise de la reproduction. L’article conclusif de Bellon et al fait le point sur les principales questions de recherche qui demeurent. En aviculture (Guémené et al), à l’exception de l’œuf, la production bio reste marginale, mais les filières sont bien organisées. Cette situation résulte d’une relative synergie avec les filières label rouge, avec lesquelles elles partagent plusieurs caractéristiques (types génétiques, longue durée d’élevage, parcours). Des difficultés multiples subsistent néanmoins. La production bio est pénalisée par le manque de poussins AB, des difficultés de maintien de l’état environnemental et sanitaire des parcours, la rareté de l’aliment bio et la difficulté d’assurer l’équilibre en acides aminés des rations (pas d’acides aminés de synthèse), élément susceptible d’expliquer la surmortalité constatée en pondeuse (liée à des problèmes comportementaux). Par suite, les performances sont inférieures à celles de l’élevage conventionnel (augmentation de la durée d’élevage et de l’indice de conversion) et l’impact environnemental, bien qu’amélioré quand il est rapporté à l’hectare, est moins favorable quand il est mesuré par unité produite, à l’exception notable de l’utilisation de pesticides. Prunier et al aboutissent aux mêmes conclusions dans le cas de la production de porcs AB. Relativement au conventionnel, les contraintes sont fortes sur le plan alimentaire (rareté de l’aliment AB, problème d’équilibre en acides aminés des rations) et de la conduite d’élevage (interdiction ou limitation des pratiques de convenance, âge des animaux au sevrage de 40 jours, difficultés de synchronisation des chaleurs et des mises bas, limitation des traitements vétérinaires). Ces contraintes et la grande diversité des élevages de porcs AB se traduisent par une forte variabilité des performances en termes de survie, reproduction, composition corporelle ou qualité des produits : autant de critères qu’il conviendra de mieux maîtriser à l’avenir pour assurer la pérennité de l’élevage porcin AB. Les performances zootechniques et économiques de l’élevage bovin allaitant bio sont abordées dans l’article de Veysset et al à partir d’un échantillon limité d’exploitations situées en zones défavorisées. Les caractéristiques des unités AB diffèrent peu de celles de leurs voisines en élevage conventionnel ; avec un chargement à l’hectare plus faible mais une plus grande autonomie alimentaire, les résultats techniques des élevages AB sont proches de ceux des élevages conventionnels et ce, en dépit d’une moindre production de viande vive par unité de bétail, en raison d’un cycle de production en moyenne plus long. Sur le plan économique, les charges plus faibles (pas de traitements antiparasitaires, pas de vaccinations systématiques) ne suffisent pas à compenser un moindre produit à l’hectare. Un verrou majeur est le déficit de gestion collective de la filière verticale (absence totale de débouché en AB pour les animaux maigres, en particulier) qui se traduit par un problème aigu de sous-valorisation puisque dans l’échantillon enquêté 71% des animaux sont vendus sans signe de qualité : nul doute qu’il s’agit là d’une priorité d’action. En élevage ovin (Benoit et Laignel), également sur la base d’un échantillon malheureusement restreint, les différences de performances techniques et économiques des élevages conventionnels versus bio varient sensiblement selon la localisation géographique, plaine ou montagne ; il est de ce fait difficile (et dangereux) de dégager des enseignements généraux valables pour l’élevage bio dans son ensemble. L’étude détaillée des adaptations des systèmes d’élevage aux potentialités agronomiques réalisée sur quatre fermes expérimentales montre néanmoins le rôle clé de la variable «autonomie alimentaire». Par suite, la situation économique des élevages ovins bio est plus difficile en zone de montagne où l’autonomie alimentaire, voire fourragère, est moindre (l’achat des aliments non produits sur l’exploitation représente 41% du prix de vente des agneaux dans l’échantillon enquêté). In fine, cela suggère que la variabilité des performances de l’élevage ovin bio, de plaine et de montagne, dépend plus du coût de l’aliment et de la valorisation des agneaux que de la productivité numérique. L’article de Benoit et al porte également sur l’élevage ovin biologique, plus précisément la comparaison de deux systèmes ovins allaitants AB différant par le rythme de reproduction des animaux. Cela montre que les performances de l’élevage ovin AB ne s’améliorent pas quand le rythme de reproduction est accéléré, le faible avantage de productivité numérique ne permettant pas de compenser l’augmentation des consommations d’aliments concentrés et la moindre qualité des agneaux. Au final, cela illustre la plus grande difficulté à piloter le système AB le plus intensif. L’article de Coquil et al relève aussi d’une approche systémique appliquée cette fois à l’élevage bovin laitier. Il porte sur l’analyse d’un dispositif original de polyculture-élevage mis en place à la Station Inra de Mirecourt reposant sur la valorisation maximale des ressources du milieu naturel et accordant une importance première à l’autonomie en paille et à la culture des légumineuses (protéagineux, luzerne). Le cheptel valorise les produits végétaux (prairies et cultures) et assure la fertilisation des parcelles en retour. L’autonomie alimentaire étant privilégiée, les effectifs animaux sont une variable d’ajustement, situation plutôt inhabituelle par comparaison avec des élevages laitiers conventionnels qui cherchent en premier lieu à maintenir les cheptels et les capacités de production animale. Les premiers retours d’expérience suggèrent une révision du dispositif en maximisant les synergies et les complémentarités plutôt que de considérer que l’une des deux activités, la culture ou l’élevage, est au service de l’autre. Cabaret et al proposent un éclairage sur les problèmes sanitaires en élevage biologique. Sur la base, d’une part, d’une analyse des déclaratifs des acteurs de l’élevage, et, d’autre part, d’évaluations aussi objectivées que possible, les chercheurs montrent qu’il n’y aurait pas de différence notable entre l’AB et le conventionnel sur le plan des maladies infectieuses et parasitaires (nature, fréquence). La gestion de la santé des cheptels AB repose davantage sur l’éleveur que sur les prescripteurs externes auxquels il est moins fait appel, et sur une planification sanitaire préalable privilégiant la prévention et une réflexion de plus long terme sur la santé globale du troupeau, l’ensemble des maladies qui peuvent l’affecter, etc. La planification n’est pas uniquement technique. Elle requiert aussi l’adhésion des éleveurs. De fait, l’enquête analysée dans cet article relative aux élevages ovins allaitants met en lumière l’importance de ces aspects individuels et culturels sur la gestion de la santé en élevage biologique. Les alternatives aux traitements anthelminthiques en élevage ruminant AB font l’objet de nombreux travaux (Hoste et al). Différents moyens de lutte contre les parasitoses sont mis en œuvre : gestion du pâturage de façon à limiter le parasitisme helminthique (rotations, mise au repos, assainissement), augmentation de la résistance de l’hôte (génétique, nutrition, vaccination), et traitements alternatifs des animaux infectés (homéopathie, phytothérapie, aromathérapie). Les protocoles d’évaluation objective de ces traitements alternatifs posent des problèmes méthodologiques non totalement résolus à ce jour. Mais traiter autrement, c’est aussi réduire le nombre de traitements anthelminthiques de synthèse via un emploi plus ciblé (saison, catégories d’animaux). Au total, de par la contrainte du cahier des charges à respecter, l’élevage biologique a recours à l’ensemble des moyens de lutte contre les maladies parasitaires. Dans le cadre de cette approche intégrée de la santé animale, l’élevage biologique peut jouer un rôle de démonstrateur pour l’ensemble des systèmes d’élevage concernés par le problème de la résistance et des alternatives aux anthelminthiques utilisés à grande échelle. Même si la réglementation n’impose pas de conduites de reproduction spécifiques en élevage AB, elle contraint fortement les pratiques, notamment l’utilisation des traitements hormonaux. L’impact de ces contraintes est particulièrement fort en élevage de petits ruminants (où le recours à des hormones de synthèse permet l’induction et la synchronisation des chaleurs et des ovulations) et en production porcine (où la synchronisation des chaleurs et des mises bas est très pratiquée). Néanmoins, Pellicer-Rubio et al rappellent que des solutions utilisées en élevage conventionnel peuvent également être mobilisées en élevage biologique, l’effet mâle et les traitements photopériodiques naturels notamment, et ce dans toutes les filières, en particulier celles fortement consommatrices de traitements hormonaux. De façon générale, les marges de progrès sont encore importantes et les solutions seront inévitablement multiformes, combinant diverses techniques selon une approche intégrée. Ici aussi, l’AB veut être valeur d’exemple, en particulier dans la perspective d’une possible interdiction des hormones exogènes en productions animales. L’article de Bellon et al conclut le numéro. Il met l’accent sur quatre thématiques prioritaires de recherche à développer, à savoir 1) la conception de systèmes d’élevage AB, 2) l’évaluation de l’état sanitaire des troupeaux et le développement d’outils thérapeutiques alternatifs, 3) la maîtrise de la qualité des produits et 4) l’étude des interactions entre élevage AB et environnement. A ces quatre orientations, on ajoutera la nécessité de recherches sur l’organisation des filières, la distribution, les politiques publiques, etc. dans la perspective de différenciation et de valorisation par le consommateur des produits issus de l’élevage biologique. Dans le droit fil de ces conclusions, l’Inra a lancé, ce printemps, un nouvel appel à projets de recherche sur l’AB dans le cadre du programme dit AgriBio3 (programme qui prend la suite de deux premiers programmes également ciblés sur l’AB). Les deux grandes thématiques privilégiées sont, d’une part, les performances techniques de l’AB (évaluation, amélioration, conséquences sur les pratiques), et, d’autre part, le développement économique de l’AB (caractérisation de la demande, ajustement entre l’offre et la demande, stratégie des acteurs et politiques publiques). Ce programme, associé à d’autres initiatives nationales (appel à projets d’innovation et de partenariat CASDAR du ministère en charge de l’agriculture) et européennes (programme européen CORE Organic en cours de montage, suite à un premier programme éponyme), devrait permettre, du moins nous l’espérons, de répondre aux défis de l’AB, plus spécifiquement ici à ceux de l’élevage biologique. Un enjeu important est aussi que les innovations qui émergeront de ces futurs programmes, tout comme des travaux pionniers décrits dans ce numéro, constituent une source d’inspiration pour faire évoluer et asseoirla durabilité d’autres formes d’élevage.
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NYS, Y. "Préface." INRAE Productions Animales 23, no. 2 (April 10, 2011): 107–10. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.2.3292.

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Abstract:
A la question «Qui de l’oeuf ou de la poule est né le premier ?» Silésius répondait «l’oeuf est dans la poule et la poule dans l’oeuf» soulignant sa dualité, le passage du deux en un. Dans l’imagerie populaire, l’oeuf reflète le tout et son contraire, fragilité, protection, épargne, abondance (être «plein comme un oeuf»), richesse («avoir pondu ses oeufs»), éternité (le Phénix est né de l’oeuf) mais aussi mort et destruction («casser ses oeufs» se dit d’une fausse couche). Dans la mythologie de nombreuses civilisations, l’oeuf est le symbole de la naissance du monde (Apollon, le dieu grec de la lumière est né de l’oeuf). L’oeuf décoré apparu 3000 ans avant J.-C. en Ukraine fête, au printemps, le retour de la fécondité de la nature ; l’oeuf de Pâques la résurrection du Christ. L’oeuf est un tout à condition d’en sortir ! Fragile cependant car selon La Fontaine briser l’oeuf de la poule aux oeufs d’or (par curiosité) rompt l’effet magique (Auer et Streff 1999). Pour l’Homme, l’oeuf séduit pour sa valeur nutritionnelle, sa diversité d’utilisation en cuisine et son prix modique. Il en existe une grande diversité, de l’oeuf de Colibri (0,5 g) à l’oeuf de l’Aepyornis (8 litres soit l’équivalent de 150 oeufs), un oiseau de Madagascar (500 kg) disparu au 18ème siècle. Mais l’Homme ne consomme que l’oeuf de caille, de poule ou de cane. L’ère moderne a considérablement intensifié la production de ces deux dernières espèces car les poules saisonnées, qui étaient élevées avec soin par la fermière, ont plus que doublé leur production en 60 ans (de 120 oeufs par an dans les années 50 à plus de 300 aujourd’hui). Cette révolution technique résulte des efforts conjugués de la sélection génétique, d’une alimentation raisonnée répondant aux besoins nutritionnels, d’une évolution du système de production (apparition des cages) et d’une meilleure connaissance de la pathologie aviaire. Qu’en est-il du contrôle de la qualité nutritionnelle, organoleptique, technologique et hygiénique de l’oeuf ? L’oeuf est la plus large cellule reproductrice en biologie animale. Il assure dans un milieu externe le développement et la protection d’un embryon dans une enceinte fermée matérialisée par la coquille. Aussi, une de ses particularités est la diversité de ses constituants, de leur parfait équilibre nutritionnel et leur forte digestibilité, qui assure la croissance d’un être vivant. Ces caractéristiques sont à l’origine de la qualité nutritionnelle exceptionnelle de l’oeuf pour l’Homme. Une autre particularité est la présence d’une protection physique, la coquille mais, aussi d’un système complexe de défenses chimiques. Aussi, ce produit est-il remarquable de par son aptitude à engendrer la vie et pour l’oeuf de table à se conserver. Outre les éléments nutritifs, on y trouve de multiples molécules participant au développement et à la protection de l’embryon (molécules antibactériennes, antivirales, antioxydantes). Certaines d’entre elles, comme par exemple le lysozyme de blanc d’oeuf, sont partiellement valorisées par différents secteurs industriels (agroalimentaire, cosmétique, santé animale/humaine). La révélation récente d’un grand nombre de nouveaux constituants de l’oeuf, suite au séquençage génomique de la poule et au développement de la biologie intégrative, a conforté l’existence d‘activités antimicrobiennes, anti-adhésives, immuno-modulatrices, hypertensives, anticancéreuses, antiinflammatoires ou cryoprotectrices, prometteuses en médecine humaine et devrait à terme enrichir le potentiel d’utilisation de ce produit en agroalimentaire et en santé. L’objet de ce numéro spécial d’INRA Productions Animales est de rassembler les principales informations qui ont contribué au développement économique récent de ce produit, de rappeler les efforts en génétique, élevage et nutrition qui ont assuré des progrès quantitatifs et qualitatifs remarquables de la production et de la qualité des oeufs au cours des trente dernières années. Les poules élevées à l’origine par la femme pour un usage domestique se comptent aujourd’hui par milliers dans les élevages. Quelle sera la durabilité de ce système d’élevage dans un contexte socio-économique européen remettant en cause en 2012 le système éprouvé de production conventionnel d’oeufs en cage pour des cages aménagées ou des systèmes alternatifs avec ou sans parcours ? Notre objectif est d’analyser les facteurs qui contribueront à son maintien, notamment le contrôle de la qualité de l’oeuf. Il est aussi de décrire l’évolution spectaculaire des connaissances sur ce produit liée au développement des techniques à haut débit et des outils d’analyse des séquences moléculaires. Il permettra enfin d’actualiser les atouts de ce produit. Ce numéro est complémentaire d’un ouvrage plus exhaustif sur la production et la qualité de l’oeuf (Nau et al 2010). Le premier article de P. Magdelaine souligne la croissance considérable en 20 ans de la production d’oeufs dans les pays d’Asie et d’Amérique du Sud (× 4 pour la Chine, × 2 en Inde et au Mexique). En revanche, les pays très développés notamment européens à forte consommation (> 150 oeufs/hab) ont stabilisé leur production malgré une évolution importante de la part des ovoproduits mais aussi de leurs systèmes de production. La consommation des protéines animales entre pays est tout aussi hétérogène puisque le ratio protéines de l’oeuf / protéines du lait varie de 0,4 au USA, à 0,9 en France et 2,7 en Chine ! Le doublement de la production mondiale d’oeufs en 20 ans n’a été possible que grâce à des progrès techniques considérables. La sélection génétique a renforcé les gains de productivité (+ 40 oeufs pour une année de production et réduction de l’indice de consommation de 15% en 20 ans !). L’article de C. Beaumont et al décrit cette évolution, la prise en compte croissante de nouveaux critères de qualité technologique, nutritionnelle ou sanitaire. Ces auteurs soulignent les apports des nouvelles technologies, marqueurs moléculaires et cartes génétiques sur les méthodes de sélection. Ils dressent un bilan actualisé des apports et du potentiel de cette évolution récente en sélection. Le séquençage génomique et le développement de la génomique fonctionnelle est aussi à l’origine d’une vraie révolution des connaissances sur les constituants de l’oeuf comme le démontre l’article de J. Gautron et al. Le nombre de protéines identifiées dans l’oeuf a été multiplié par plus de dix fois et devrait dans un avenir proche permettre la caractérisation fonctionnelle de nombreuses molécules. Il donne aussi de nouveaux moyens pour prospecter les mécanismes d’élaboration de ce produit. Un exemple de l’apport de ces nouvelles technologies est illustré par l’article de Y. Nys et al sur les propriétés et la formation de la coquille. Des progrès considérables sur la compréhension de l’élaboration de cette structure minérale sophistiquée ont été réalisés suite à l’identification des constituants organiques de la coquille puis de l’analyse de leur fonction potentielle élucidée grâce à la disponibilité des séquences des gènes et protéines associés. La mise en place de collaborations internationales associant de nombreuses disciplines, (microscopie électronique, biochimie, cristallographie, mécanique des matériaux) a démontré le rôle de ces protéines dans le processus de minéralisation et du contrôle de la texture de la coquille et de ses propriétés mécaniques. Cette progression des connaissances a permis de mieux comprendre l’origine de la dégradation de la solidité de la coquille observée chez les poules en fin d’année de production. La physiologie de la poule est responsable d’évolution importante de la qualité de l’oeuf. Aussi, l’article de A. Travel et al rappelle l’importance d’effets négatifs de l’âge de la poule contre lequel nous disposons de peu de moyens. Cet article résume également les principales données, souvent anciennes, concernant l’influence importante des programmes lumineux ou de la mue pour améliorer la qualité de l’oeuf. Enfin, il souligne l’importance de l’exposition des poules à de hautes températures ambiantes sur leur physiologie et la qualité de l’oeuf. Le troisième facteur indispensable à l’expression du potentiel génétique des poules, et déterminant de la qualité technologique et nutritionnelle de l’oeuf, est la nutrition de la poule. Elle représente plus de 60% du coût de production. L’article de I. Bouvarel et al fait le point sur l’influence de la concentration énergétique de l’aliment, de l’apport en protéines et acides aminés, acides gras et minéraux sur le poids de l’oeuf, la proportion de blanc et de jaune ou sa composition notamment pour obtenir des oeufs enrichis en nutriments d’intérêt en nutrition humaine. Cependant, la préoccupation principale des éleveurs depuis une dizaine d’année est la mise en place en 2012 de nouveaux systèmes de production d’oeufs pour assurer une meilleure prise en compte du bien-être animal. L’article de S. Mallet et al traite de l’impact des systèmes alternatifs sur la qualité hygiénique de l’oeuf. Ces auteurs concluent positivement sur l’introduction de ces nouveaux systèmes pour la qualité hygiénique de l’oeuf une fois que les difficultés associées aux méconnaissances d’un nouveau système de production seront résolues. La qualité sanitaire de l’oeuf est la préoccupation majeure des consommateurs et un accident sanitaire a des conséquences considérables sur la consommation d’oeufs. L’article de F. Baron et S. Jan résume d’une manière exhaustive l’ensemble des éléments déterminants de la qualité microbiologique de l’oeuf et des ovoproduits : mode de contamination, développement des bactéries dans les compartiments de l’oeuf, défenses chimiques du blanc et moyens pour contrôler la contamination des oeufs et des ovoproduits. Le consommateur ne souhaite pas, à juste titre, ingérer d’éventuels contaminants chimiques présents dans ses aliments. L’article de C. Jondreville et al analyse ce risque associé à la consommation des oeufs. Il est exceptionnel de détecter la présence de polluants organiques au seuil toléré par la législation. Les auteurs insistent notamment sur l’importance de contrôler la consommation par les animaux élevés en plein air de sols qui peuvent être une source de contaminants. Une caractéristique de l’évolution de la production d’oeufs est le développement des ovoproduits qui répondent parfaitement à l’usage et à la sécurité sanitaire exigée en restauration collective. L’article de M. Anton et al décrit le processus d’obtention et l’intérêt des fractions d’oeufs du fait de leurs propriétés technologiques (pouvoirs moussant, foisonnant, gélifiant ou émulsifiant). Les différents processus de séparation, de décontamination et de stabilisation sont analysés pour leur effet sur la qualité du produit final. Enfin le dernier article de ce numéro spécial de F. Nau et al se devait d’aborder la principale qualité de l’oeuf qui conditionne son usage : la qualité nutritionnelle de ce produit pour l’Homme. Cet article actualise l’information dans ce domaine et fait le point sur les atouts nutritionnels en tentant de corriger de fausses idées. L’oeuf présente un intérêt nutritionnel du fait de la diversité et l’équilibre de ces constituants pour l’Homme mais mériterait plus d’études pour mieux évaluer son potentiel réel. En conclusion, l’oeuf est la source de protéines animales ayant la meilleure valeur nutritionnelle, la moins chère, facile d’emploi et possédant de nombreuses propriétés techno-fonctionnelles valorisées en cuisine. Dans les pays développés, l’oeuf a souffert jusqu’à aujourd’hui d’une image entachée par plusieurs éléments négatifs aux yeux des consommateurs : sa richesse en cholestérol, le risque sanitaire associé à sa consommation sous forme crue ou son système de production en cage. L’évolution des connaissances sur le risque cardio-vasculaire, les progrès réalisés sur le contrôle sanitaire des Salmonelloses en Europe et la modification radicale des systèmes de production d’oeufs devraient modifier positivement son image. La consommation de protéines de l’oeuf a augmenté de plus de 25% en 20 ans (2,53 g/personne/j vs 4,3 g pour le lait en 2005) et poursuivra sa croissance rapide notamment dans les pays en développementoù sa consommation par habitant reste faible. Cette évolution considérable de la production de ce produit devrait être mieux intégrée dans les formations des écoles spécialisées en productions animales. L’oeuf restera dans l’avenir une des sources de protéines animales dominantes et l’acquisition de connaissances sur la fonction des nombreux constituants récemment mis à jour devait renforcer son intérêt pour la santé de l’Homme. Je ne voudrais pas terminer cette préface sans remercier au nom des auteurs, Jean-Marc Perez, le responsable de la revue INRA Productions Animales, d’avoir pris l'initiative de la publication de ce numéro spécial dédié à l'oeuf et d’avoir amélioré par plusieurs lectures attentives la qualité finale des textes. Je voudrais aussi adresser mes remerciements à sa collaboratrice Danièle Caste pour le soin apporté dans la finition de ce document. Enfin, je n'oublie pas le travail d'évaluation critique des projets d'article par les différents lecteursarbitres que je tiens à remercier ici collectivement. Auer M., Streff J., 1999. Histoires d’oeufs. Idées et Calendes, Neuchatel, Suisse, 261p.Nau F., Guérin-Dubiard C., Baron F., Thapon J.L., 2010. Science et technologie de l’oeuf et des ovoproduits, Editions Tec et Doc Lavoisier, Paris, France, vol 1, 361p., vol 2, 552p.
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