To see the other types of publications on this topic, follow the link: Contrôle bancaire.

Journal articles on the topic 'Contrôle bancaire'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 26 journal articles for your research on the topic 'Contrôle bancaire.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Fort, Jean-Louis. "La coopération internationale entre autorités de contrôle bancaire." Revue d'économie financière 33, no. 2 (1995): 65–80. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1995.2464.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Couppey-Soubeyran, Jézabel. "Contrôle interne et réglementation bancaire : un lien éprouvé par la crise." Revue d'économie financière 94, no. 1 (2009): 287–93. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.2009.5308.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Brillant, Gaëlle. "Système bancaire chinois : entre contrôle de l’État et adaptation aux normes internationales." Revue d'économie financière 102, no. 2 (2011): 43–56. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.2011.5846.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Brillant, Gaëlle. "Système bancaire chinois : entre contrôle de l'État et adaptation aux normes internationales." Revue d'économie financière 102, no. 2 (2011): 43. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.102.0043.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Karfoul, Hazem, and Eric Lamarque. "Proposition d'une mesure de l'efficacité du système de contrôle interne d'un établissement bancaire." Management & Avenir 48, no. 8 (2011): 362. http://dx.doi.org/10.3917/mav.048.0362.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Tournier, Bernard. "Les orientations de gestion des banques et le rôle du contrôle de gestion bancaire." Revue d'économie financière 27, no. 4 (1993): 365–80. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1993.2443.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Lenglet, Marc, and Benjamin Taupin. "Grandeur et décadence de la fonction déontologie. Une perspective sur le contrôle interne bancaire et financier." Comptabilité - Contrôle - Audit 23, no. 1 (2017): 11. http://dx.doi.org/10.3917/cca.231.0011.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Contamine-Raynaud, Monique. "Le secret bancaire et le contrôle de l'État sur les opérations de change et sur leurs effets délictuels." Revue internationale de droit comparé 46, no. 2 (1994): 487–506. http://dx.doi.org/10.3406/ridc.1994.4885.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Mastin, Jean-Luc. "Encadrement du crédit et contrôle bancaire dans les années 1970 : la résistance des banques nationales (1968-1980). L’exemple de la Société Générale." Histoire, économie & société 39anné, no. 2 (2020): 101. http://dx.doi.org/10.3917/hes.202.0101.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Dupont12, Benoît. "La régulation du cybercrime comme alternative à la judiciarisation." Criminologie 47, no. 2 (September 30, 2014): 179–201. http://dx.doi.org/10.7202/1026733ar.

Full text
Abstract:
Les botnets, ou réseaux d’ordinateurs compromis par des pirates informatiques, représentent à l’heure actuelle la menace criminelle la plus sérieuse, servant de support à la fraude bancaire, aux attaques distribuées par déni de service (DDoS), ou encore à la fraude au clic. Au cours des dernières années, deux approches distinctes ont été privilégiées pour combattre ces botnets : d’une part, les services de police ont procédé à l’arrestation fortement médiatisée de quelques pirates de haut vol et au démantèlement de leurs infrastructures de commandement et de contrôle. D’autre part, dans certains pays, et notamment au Japon, en Corée du Sud, en Australie, mais aussi en Hollande ou en Allemagne, les gouvernements ont favorisé l’émergence de partenariats public-privé impliquant des fournisseurs d’accès et des entreprises de sécurité informatique. Dans une démarche régulatoire, ces initiatives visent à identifier les ordinateurs infectés, à notifier leurs propriétaires et à aider ces derniers à nettoyer leur machine. Cet article a donc pour objectif de comparer les deux approches (judiciarisation vs régulation), en essayant notamment d’évaluer les effets produits par chacune d’elles sur le niveau général de sécurité de l’écosystème numérique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

BONKAKO, Juslain NSAMBANA. "Le contrôle bancaire au regard des enjeux actuels des activités des banques privées en RDC – Entre la protection des clients, l’encouragement et la promotion des banques et la sécurité de l’Etat." KAS African Law Study Library - Librairie Africaine d’Etudes Juridiques 3, no. 1 (2016): 193–212. http://dx.doi.org/10.5771/2363-6262-2016-1-193.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Lobre-Lebraty, Katia. "Groupes bancaires coopératifs français : quel contrôle ?" Recherches en Sciences de Gestion 101, no. 2 (2014): 121. http://dx.doi.org/10.3917/resg.101.0121.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Boubacar, Hamadou. "Le contrôle des implantations bancaires à l'étranger par la maison-mère." La Revue des Sciences de Gestion 245-246, no. 5 (2010): 73. http://dx.doi.org/10.3917/rsg.245.0073.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Gómez Castillo, Diana Carolina. "El control de las cláusulas abusivas en el sector bancario." Revista de Derecho Privado, no. 55 (June 1, 2016): 1–35. http://dx.doi.org/10.15425/redepriv.55.2016.02.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

MAKLER, Harry M. "Institutions financières, allocation du crédit et marginalisation dans le Nord-Est du Brésil." Sociologie et sociétés 11, no. 2 (September 30, 2002): 145–68. http://dx.doi.org/10.7202/001471ar.

Full text
Abstract:
Résumé Cet article constitue une étude empirique des pratiques discriminatoires imposées par les banques à la bourgeoisie industrielle et à leurs entreprises dans l'État du Nord-Est du Brésil qui se développe aujourd'hui le plus vite. Fondé sur une enquête par interviews auprès d'un échantillon aléatoire et systématique des dirigeants des plus grandes entreprises, ainsi que sur des données statistiques provenant des archives gouvernementales et bancaires cet essai établit l'histoire économique et politique de cet État et les problèmes qui ont entravé son émergence. Une analyse des opérations de crédit, des emprunts à court et à long terme, et de taux d'intérêts montre que les banques d'État, en particulier la Banque du Brésil, marginalisent la bourgeoisie industrielle associée aux secteurs économiques traditionnels et aux entreprises familiales. Elles appuient, par contre, les dirigeants des firmes nouvelles, à haute intensité de capital qui sont souvent des filiales de grands conglomérats nationaux ou internationaux. L'une des conséquences inattendues de l'intervention de l'État et de l'hégémonie du capital financier est la pénétration du capital étranger dans les secteurs à haute intensité de capital. Ceci peut éroder le soutien et le sacrifice populaires sur lesquels le régime compte pour poursuivre son miracle économique. Cet essai montre ainsi comment les institutions clés sont utilisées par l'État pour stratifier et contrôler les classes sociales dans une des zones au développement le plus rapide en Amérique latine et peut être dans le Tiers Monde.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Vélez Ayón, María Fernanda, Nicol Angie Rodríguez Bermúdez, José Kevin Tigua Morán, and Javier Mario Marcillo Merino. "RIESGOS Y RESPONSABILIDADES QUE CON LLEVA LA IMPLEMENTACIÓN DE LAS CRIPTOMONEDAS EN ECUADOR." UNESUM-Ciencias. Revista Científica Multidisciplinaria. ISSN 2602-8166 5, no. 3 (May 1, 2021): 105–12. http://dx.doi.org/10.47230/unesum-ciencias.v5.n3.2021.427.

Full text
Abstract:
El sistema bancario del Ecuador se lo realiza en un mercado cotidiano y la población no se encuentra familiarizada con el manejo de monedas y criptomonedas, sin embargo, en la globalización la Criptomoneda está tomando su lugar y el Ecuador no es una excepción. Las criptomonedas se encuentran en el mercado y las transacciones con ellas poco a poco se va siendo familiar para algunos ecuatorianos que toman el riesgo de invertir tomando en cuenta que es una moneda descentralizada y que no existe una entidad gubernamental que la controle y regule; la moneda virtual más importante, conocida y utilizada para la realización de transacciones es el bitcoin. En el lapso del tiempo, las monedas virtuales nacen por las dificultades mundiales en el ámbito de la economía: En el año 2009 nace la primera moneda virtual “BITCOIN” por su creador Satoshi Nakamoto y desde entonces han aparecido un sin número de monedas virtuales que han fundado un nuevo mercado “las criptodivisas” en las que diariamente realizan transacciones; uno de sus principales riesgos es la volatilidad porque su valor se basa en la especulación de la oferta y la demanda y puede generar exuberantes ganancias o trágicas perdidas. En el Ecuador el Banco Central del Ecuador ha sido muy específico informando a los ecuatorianos que las criptomonedas dentro del país no son legales pero que tenemos la libertad y responsabilidad de realizar las transacciones que deseen por medio del internet. El mercado de las criptomonedas es muy reciente a comparación del mercado tradicional, las criptodivisas es un mercado de mucho riesgo del que no se tiene mayor conocimiento y al decidir hacer una inversión se puede convertir en presa fácil de estafadores y oportunistas; sin desmerecer que en el futuro las criptomonedas pueden jugar un papel importante, revolucionario en el mercado de sistemas financiero en todo el mundo
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Bélanger, Pierre-A. "Le mouvement coopératif." Articles 11, no. 3 (April 12, 2005): 301–25. http://dx.doi.org/10.7202/055505ar.

Full text
Abstract:
Le mouvement coopératif aux Iles-de-la-Madeleine est intéressant à plus d'un point de vue. Son premier intérêt vient sûrement du fait que son introduction provoque une coupure dans l'organisation économique des Iles. Le second vient du fait qu'en l'espace de vingt ans on le retrouve dans tous les secteurs: production, consommation, épargne et crédit, services (transport et électricité). Ce mode d'organisation économique a donc pris une grande ampleur. On trouve, aux Iles, huit associations coopératives de pêcheurs (A.C.P.) dont six sont affiliées à une centrale. Elles couvrent l'ensemble du territoire francophone. Fondées entre 1932 et 1943, elles ont 648 membres en 1964, dont 54.3% sont actifs. Mais leur situation économique, en 1964 toujours, est assez précaire: seulement 38.1% des membres ont payé le capital social souscrit. De plus, 84.9% des pêcheurs actifs sont endettés vis-à-vis leur coopérative; dans quatre coopératives, cette dette dépasse largement le capital social payé. Le profit fait sur le poisson a une importance très variable dans les sources de revenus des coopératives: il ne dépasse pas 75% et peut n'atteindre que 28%.2 On constate donc que la situation des coopératives de production n'est pas très florissante. Les magasins coopératifs se sont détachés des coopératives de production au cours des années '40. Il en existe quatre en 1968: le Magasin coopératif de Havre-aux-Maisons, L'Unité, de Lavernière, La Sociale de l'Étang-du-Nord et L’ Éveil de Fatima. En incluant les coopératives de pêcheurs à caractère mixte (production et consommation), le secteur coopératif de la consommation contrôle 75% du marché, selon un gérant. C'est le secteur le plus florissant de la coopération aux Iles-de-la-Madeleine. On trouve six Caisses populaires aux Iles; fondées entre 1937 et 1947, elles sont situées à Lavernière, Havre-aux-Maisons, Fatima, Bassin, Havre-Aubert et Grande-Entrée. Elles contrôlent une grande partie des transactions bancaires, n'ayant comme compétitrice qu'une succursale de la Banque Canadienne Nationale, située à Cap-aux-Meules. Deux coopératives de services ont été fondées aux Iles : une coopérative de transport et une coopérative d'électricité. La première, fondée en 1943, a le monopole du transport avec le Québec et entre en compétition avec la Magdalen Islands Transportation Co. (une filiale de la Clarke Steamship) pour les liaisons avec les Maritimes. La seconde a été fondée en 1950, à l'instigation de l'Office d'électrification rurale. Toutes deux sont des coopératives régionales.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Koeune, Jean-Claude. "Numéro 8 - mars 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16213.

Full text
Abstract:
En quelques années les banques occidentales - le groupe belge KBC en tête - ont envahi en force les pays d'Europe centrale et orientale, tout particulièrement ceux qui doivent entrer bientôt dans l'Union européenne. Selon la Banque Centrale Européenne, plus des deux tiers du système bancaire de ces pays sont maintenant dans des mains étrangères qui contrôlent plus de la moitié des quelques 300 banques commerciales de cette région d'Europe. Trois facteurs ont attiré vers l'Est les banquiers d'Europe occidentale : en premier lieu, un grand potentiel de développement du secteur financier, compte tenu de la perspective de rattrapage économique global que ces pays offrent à terme et de la faible importance de ce secteur dans l'économie au départ; en second lieu, la possibilité, étant donné ces conditions de départ, d'y acquérir une part de marché significative avec un investissement limité, argument souvent invoqué par les dirigeants de KBC à l'appui de leur stratégie d'ouverture à l'Est d'un "second marché domestique"; en troisième lieu, une possibilité intéressante de diversification géographique des actifs bancaires, particulièrement à un moment où la croissance s'essouffle et où les marchés bancaires paraissent saturés en Europe occidentale. Les pays candidats à l'Union européenne offrent donc aux banquiers de celle-ci des marchés prometteurs. Mais ces promesses ne seront tenues qu'à mesure que les pays en question se développeront et réussiront leur intégration économique, financière et finalement monétaire dans l'Union européenne. Or ceci requiert absolument que s'épanouisse chez eux un secteur financier solide et performant : c'est une condition nécessaire à la fois pour obtenir un développement économique soutenu, pour réaliser l'un des "critères de Copenhague", à savoir une économie de marché viable et capable de faire face à la pression de la concurrence sur le marché intérieur, et enfin pour atteindre le degré de stabilité monétaire et financière indispensable si l'on veut satisfaire aux "critères de Maastricht" et accéder à l'union monétaire. La réalisation de ce potentiel ne va pas de soi pour des pays à peine sortis des affres de la transition vers une économie de marché. Celle-ci, dans le domaine bancaire, fut particulièrement délicate et parsemée d'embûches. Lorsque l'économie était dirigée, une seule banque d'Etat - éventuellement nantie de quelques filiales spécialisées - assurait à la fois la fonction monétaire d'une banque centrale et les fonctions financières des banques commerciales. Cette "monobanque" octroyait des crédits selon les directives du pouvoir central, à un taux d'intérêt symbolique couvrant ses frais d'administration. Elle ne formait donc aucunement ses gestionnaires au métier de banquier, ni n'exerçait la fonction disciplinaire qui aurait pu susciter de meilleures performances dans les entreprises clientes. Une bonne partie des crédits accordés dans ces conditions se sont donc avérés non-performants dès le moment où des critères comptables plus rigoureux furent d'application. Avec l'effacement du communisme, une première réforme a scindé la monobanque en deux niveaux distincts : une banque centrale chargée de la politique monétaire, et des banques (publiques au départ) assumant les fonctions normales des banques commerciales. Mais celles-ci, peu préparées à leur nouveau métier, ont continué d'appliquer les us et coutumes de l'"ancien régime". En outre, dans un secteur financier privé bourgeonnant, encouragées par des régimes trop libéraux en matière d'agrément bancaire, de nouvelles banques dépourvues d'expérience commerciale ont proposé des financements sans discrimination. De la sorte, le problème des crédits non-performants, tout en ayant son origine dans l'ère de l'économie dirigée, a pris une grande ampleur dans les années qui ont suivi les premières réformes. Pour l'année 2000 encore, la Deutsche Bank a estimé la proportion de crédits non-performants dans le total des crédits bancaires à 15 % en moyenne pour les dix pays candidats d'Europe centrale et orientale, allant de 2 % en Estonie à 35 % en Roumanie. Dans cet environnement à la fois fragile et périlleux, les banques étrangères ont apporté trois choses essentielles : en premier lieu, des capitaux qui ont représenté une part importante des flux d'investissement étrangers directs dans ces pays (le groupe KBC seul y a investi € 2,9 milliards); en second lieu, une culture et des pratiques de discipline financière et de gestion des risques qui, sans elles, auraient sans doute été beaucoup plus lentes à se développer : grâce aux banques étrangères, le secteur bancaire de ces pays a pu importer rapidement la crédibilité qui lui manquait; enfin, dans un environnement où la capacité institutionnelle de régulation et de contrôle des banques était faible, les banques étrangères y ont suppléé, en garantissant les engagements de leurs filiales et en supervisant leurs activités, ce qui revenait en quelque sorte à privatiser tant la fonction de prêteur en dernier ressort que les missions de contrôle. L'invasion de l'Europe centrale et orientale par les banques étrangères a donc contribué de manière importante à y stabiliser et renforcer le secteur financier mais rencontre maintenant certains obstacles : d'une part, le terrain est devenu relativement encombré et les marchés bancaires sont de plus en plus concurrentiels, ce dont bénéficie la clientèle des banques sur place mais qui a d'ores et déjà conduit certaines banques étrangères, dont les acquisitions ne s'étaient pas inscrites dans une stratégie claire et de long terme, à jeter le gant et quitter le marché. D'autre part, apparaît dans certains pays - on l'a vu notamment en Slovénie - une résistance politique et sociale à voir le secteur bancaire passer sous contrôle étranger. Mais la méfiance est peut-être moins grande lorsque la banque étrangère est issue d'un petit pays, avec lequel on n'a en outre pas de contentieux important dans l'histoire du vingtième siècle : c'est en tout cas ce qu'ont affirmé à plusieurs reprises les dirigeants de KBC. Malgré la présence massive des banques étrangères ainsi que des progrès inégaux mais réels dans la voie des réformes institutionnelles du secteur bancaire, le degré d'intermédiation bancaire en Europe centrale et orientale est encore relativement faible. Mesurant cette intermédiation par l'encours du crédit au secteur privé rapporté au PIB, la Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) observe dans une étude récente que ce ratio est généralement inférieur à ce qu'il devrait être compte tenu du niveau de développement économique atteint. En particulier, l'accès des PME au crédit bancaire reste difficile, principalement parce qu'elles répondent rarement aux critères relativement rigides utilisés par les banques pour l'octroi de crédit, et ceci bride incontestablement le potentiel de développement économique et social dans ces pays. Néanmoins, la BERD constate, au moyen d'une analyse économétrique fouillée portant sur plusieurs centaines de banques de la région, que, toutes autres choses étant égales, la part des banques étrangères dans le total des actifs bancaires d'un pays influence positivement l'octroi de crédit bancaire au secteur privé par toutes les banques de ce pays : ceci reflète probablement, selon la BERD, l'impact positif de la présence de banques étrangères dans le marché du crédit aux entreprises, en raison de la pression concurrentielle que cette présence suscite sur les marges dans les activités bancaires à moindre risque, et de par la dissémination à l'ensemble du système bancaire de ce qu'elle apporte en termes de technologie et qualifications bancaires, et de gamme élargie de produits financiers et instruments de crédit. Ainsi, dans leur "marche vers l'Est", les banquiers européens ont été appelés à créer collectivement, eux-mêmes, les conditions du succès de leur entreprise.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Koeune, Jean-Claude. "Numéro 8 - mars 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2003.03.01.

Full text
Abstract:
En quelques années les banques occidentales - le groupe belge KBC en tête - ont envahi en force les pays d'Europe centrale et orientale, tout particulièrement ceux qui doivent entrer bientôt dans l'Union européenne. Selon la Banque Centrale Européenne, plus des deux tiers du système bancaire de ces pays sont maintenant dans des mains étrangères qui contrôlent plus de la moitié des quelques 300 banques commerciales de cette région d'Europe. Trois facteurs ont attiré vers l'Est les banquiers d'Europe occidentale : en premier lieu, un grand potentiel de développement du secteur financier, compte tenu de la perspective de rattrapage économique global que ces pays offrent à terme et de la faible importance de ce secteur dans l'économie au départ; en second lieu, la possibilité, étant donné ces conditions de départ, d'y acquérir une part de marché significative avec un investissement limité, argument souvent invoqué par les dirigeants de KBC à l'appui de leur stratégie d'ouverture à l'Est d'un "second marché domestique"; en troisième lieu, une possibilité intéressante de diversification géographique des actifs bancaires, particulièrement à un moment où la croissance s'essouffle et où les marchés bancaires paraissent saturés en Europe occidentale. Les pays candidats à l'Union européenne offrent donc aux banquiers de celle-ci des marchés prometteurs. Mais ces promesses ne seront tenues qu'à mesure que les pays en question se développeront et réussiront leur intégration économique, financière et finalement monétaire dans l'Union européenne. Or ceci requiert absolument que s'épanouisse chez eux un secteur financier solide et performant : c'est une condition nécessaire à la fois pour obtenir un développement économique soutenu, pour réaliser l'un des "critères de Copenhague", à savoir une économie de marché viable et capable de faire face à la pression de la concurrence sur le marché intérieur, et enfin pour atteindre le degré de stabilité monétaire et financière indispensable si l'on veut satisfaire aux "critères de Maastricht" et accéder à l'union monétaire. La réalisation de ce potentiel ne va pas de soi pour des pays à peine sortis des affres de la transition vers une économie de marché. Celle-ci, dans le domaine bancaire, fut particulièrement délicate et parsemée d'embûches. Lorsque l'économie était dirigée, une seule banque d'Etat - éventuellement nantie de quelques filiales spécialisées - assurait à la fois la fonction monétaire d'une banque centrale et les fonctions financières des banques commerciales. Cette "monobanque" octroyait des crédits selon les directives du pouvoir central, à un taux d'intérêt symbolique couvrant ses frais d'administration. Elle ne formait donc aucunement ses gestionnaires au métier de banquier, ni n'exerçait la fonction disciplinaire qui aurait pu susciter de meilleures performances dans les entreprises clientes. Une bonne partie des crédits accordés dans ces conditions se sont donc avérés non-performants dès le moment où des critères comptables plus rigoureux furent d'application. Avec l'effacement du communisme, une première réforme a scindé la monobanque en deux niveaux distincts : une banque centrale chargée de la politique monétaire, et des banques (publiques au départ) assumant les fonctions normales des banques commerciales. Mais celles-ci, peu préparées à leur nouveau métier, ont continué d'appliquer les us et coutumes de l'"ancien régime". En outre, dans un secteur financier privé bourgeonnant, encouragées par des régimes trop libéraux en matière d'agrément bancaire, de nouvelles banques dépourvues d'expérience commerciale ont proposé des financements sans discrimination. De la sorte, le problème des crédits non-performants, tout en ayant son origine dans l'ère de l'économie dirigée, a pris une grande ampleur dans les années qui ont suivi les premières réformes. Pour l'année 2000 encore, la Deutsche Bank a estimé la proportion de crédits non-performants dans le total des crédits bancaires à 15 % en moyenne pour les dix pays candidats d'Europe centrale et orientale, allant de 2 % en Estonie à 35 % en Roumanie. Dans cet environnement à la fois fragile et périlleux, les banques étrangères ont apporté trois choses essentielles : en premier lieu, des capitaux qui ont représenté une part importante des flux d'investissement étrangers directs dans ces pays (le groupe KBC seul y a investi € 2,9 milliards); en second lieu, une culture et des pratiques de discipline financière et de gestion des risques qui, sans elles, auraient sans doute été beaucoup plus lentes à se développer : grâce aux banques étrangères, le secteur bancaire de ces pays a pu importer rapidement la crédibilité qui lui manquait; enfin, dans un environnement où la capacité institutionnelle de régulation et de contrôle des banques était faible, les banques étrangères y ont suppléé, en garantissant les engagements de leurs filiales et en supervisant leurs activités, ce qui revenait en quelque sorte à privatiser tant la fonction de prêteur en dernier ressort que les missions de contrôle. L'invasion de l'Europe centrale et orientale par les banques étrangères a donc contribué de manière importante à y stabiliser et renforcer le secteur financier mais rencontre maintenant certains obstacles : d'une part, le terrain est devenu relativement encombré et les marchés bancaires sont de plus en plus concurrentiels, ce dont bénéficie la clientèle des banques sur place mais qui a d'ores et déjà conduit certaines banques étrangères, dont les acquisitions ne s'étaient pas inscrites dans une stratégie claire et de long terme, à jeter le gant et quitter le marché. D'autre part, apparaît dans certains pays - on l'a vu notamment en Slovénie - une résistance politique et sociale à voir le secteur bancaire passer sous contrôle étranger. Mais la méfiance est peut-être moins grande lorsque la banque étrangère est issue d'un petit pays, avec lequel on n'a en outre pas de contentieux important dans l'histoire du vingtième siècle : c'est en tout cas ce qu'ont affirmé à plusieurs reprises les dirigeants de KBC. Malgré la présence massive des banques étrangères ainsi que des progrès inégaux mais réels dans la voie des réformes institutionnelles du secteur bancaire, le degré d'intermédiation bancaire en Europe centrale et orientale est encore relativement faible. Mesurant cette intermédiation par l'encours du crédit au secteur privé rapporté au PIB, la Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) observe dans une étude récente que ce ratio est généralement inférieur à ce qu'il devrait être compte tenu du niveau de développement économique atteint. En particulier, l'accès des PME au crédit bancaire reste difficile, principalement parce qu'elles répondent rarement aux critères relativement rigides utilisés par les banques pour l'octroi de crédit, et ceci bride incontestablement le potentiel de développement économique et social dans ces pays. Néanmoins, la BERD constate, au moyen d'une analyse économétrique fouillée portant sur plusieurs centaines de banques de la région, que, toutes autres choses étant égales, la part des banques étrangères dans le total des actifs bancaires d'un pays influence positivement l'octroi de crédit bancaire au secteur privé par toutes les banques de ce pays : ceci reflète probablement, selon la BERD, l'impact positif de la présence de banques étrangères dans le marché du crédit aux entreprises, en raison de la pression concurrentielle que cette présence suscite sur les marges dans les activités bancaires à moindre risque, et de par la dissémination à l'ensemble du système bancaire de ce qu'elle apporte en termes de technologie et qualifications bancaires, et de gamme élargie de produits financiers et instruments de crédit. Ainsi, dans leur "marche vers l'Est", les banquiers européens ont été appelés à créer collectivement, eux-mêmes, les conditions du succès de leur entreprise.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Bellaha, Hadjer, and Elyas Salah. "Le Dispositif De Contrôle Interne, Outil De Maitrise De Risque Au Sein Du Système Bancaire?:, Etude Comparative." مجلة الباحث, 2020, 263. http://dx.doi.org/10.35156/0505-000-020-020.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Petitjean, Mikael. "Numéro 98 - septembre 2012." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.14853.

Full text
Abstract:
Depuis la crise des emprunts hypothécaires risqués aux Etats-Unis, plus personne n’ignore l’existence des agences de notation. La population, les responsables politiques et même certains économistes se posent légitimement les questions suivantes : pourquoi les agences de notation ont-elles été créées? Quelles sont leurs particularités ? Pourquoi jouent-elles un rôle si prépondérant aujourd’hui ? Quelles réformes faudrait-il mettre en œuvre ? Ce numéro de Regards économiques, intitulé «De l’(in)utilité des agences de notation», est organisé de la manière suivante. Pour bien comprendre le rôle que jouent aujourd’hui les agences de notation, il est essentiel, dans un premier temps, de définir le cadre historique dans lequel elles ont vu le jour. Dans un second temps, nous expliquons que les décisions prises par les autorités de régulation financière aux Etats-Unis, suite à la crise des années 1930, ont renforcé considérablement le rôle que jouent les agences de notation dans le système financier international. Ensuite, nous analysons le mode de rétribution des agences de notation pour en identifier les forces et les faiblesses. Nous montrons également que le club des agences de notation s’est refermé encore un peu plus à partir des années 1970, que le contrôle du risque dans le secteur bancaire s’est progressivement basé sur les notations émises par les agences, que la titrisation a accentué l’importance de ces notations et que la crise des «subprimes» a révélé au grand jour les failles du modèle de rétribution des agences. Enfin, il faut constater que les agences de notation ne sont ni des usurpateurs de pouvoir, ni des facteurs de transparence indispensables. C’est la raison pour laquelle nous insistons sur l’importance d’introduire des réformes qui conduisent aussi bien à une plus grande diversité qu’à un plus grand conservatisme dans l’octroi des notations. Les réformes actuelles doivent inciter les acteurs économiques à déterminer et utiliser des notations plus conservatrices, que ces notations soient émises par une agence officielle, une institution financière, ou calculée à partir de prix observés sur le marché. Les agences de notation jouent souvent les premiers rôles sur la scène économico-financière. Donnons-leur plutôt un rôle de figurant. Telle est la recommandation centrale de ce numéro de Regards économiques.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Petitjean, Mikael. "Numéro 98 - septembre 2012." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2012.09.01.

Full text
Abstract:
Depuis la crise des emprunts hypothécaires risqués aux Etats-Unis, plus personne n’ignore l’existence des agences de notation. La population, les responsables politiques et même certains économistes se posent légitimement les questions suivantes : pourquoi les agences de notation ont-elles été créées? Quelles sont leurs particularités ? Pourquoi jouent-elles un rôle si prépondérant aujourd’hui ? Quelles réformes faudrait-il mettre en œuvre ? Ce numéro de Regards économiques, intitulé «De l’(in)utilité des agences de notation», est organisé de la manière suivante. Pour bien comprendre le rôle que jouent aujourd’hui les agences de notation, il est essentiel, dans un premier temps, de définir le cadre historique dans lequel elles ont vu le jour. Dans un second temps, nous expliquons que les décisions prises par les autorités de régulation financière aux Etats-Unis, suite à la crise des années 1930, ont renforcé considérablement le rôle que jouent les agences de notation dans le système financier international. Ensuite, nous analysons le mode de rétribution des agences de notation pour en identifier les forces et les faiblesses. Nous montrons également que le club des agences de notation s’est refermé encore un peu plus à partir des années 1970, que le contrôle du risque dans le secteur bancaire s’est progressivement basé sur les notations émises par les agences, que la titrisation a accentué l’importance de ces notations et que la crise des «subprimes» a révélé au grand jour les failles du modèle de rétribution des agences. Enfin, il faut constater que les agences de notation ne sont ni des usurpateurs de pouvoir, ni des facteurs de transparence indispensables. C’est la raison pour laquelle nous insistons sur l’importance d’introduire des réformes qui conduisent aussi bien à une plus grande diversité qu’à un plus grand conservatisme dans l’octroi des notations. Les réformes actuelles doivent inciter les acteurs économiques à déterminer et utiliser des notations plus conservatrices, que ces notations soient émises par une agence officielle, une institution financière, ou calculée à partir de prix observés sur le marché. Les agences de notation jouent souvent les premiers rôles sur la scène économico-financière. Donnons-leur plutôt un rôle de figurant. Telle est la recommandation centrale de ce numéro de Regards économiques.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Wibaut, Serge. "Numéro 64 - décembre 2008." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15603.

Full text
Abstract:
Dans ce numéro de Regards économiques, nous montrons comment la crise des prêts hypothécaires (crise des subprimes) aux Etats-Unis a ébranlé l’ensemble du système financier international. L’octroi des créances à des ménages à faible revenu s’est déroulé dans un paysage fortement modifié depuis la fin des années 80. Le secteur financier devenu fortement endetté, encouragé en cela par des taux d’intérêt bas, un immense accroissement de liquidités sur les marchés et une réglementation parfois trop laxiste, s’est en outre souvent appuyé sur des montage financiers complexes, que ce soit via des produits dérivés ou des opérations de titrisation, pour améliorer sa rentabilité. L’introduction de techniques mathématiques sophistiquées pour mesurer leurs risques a probablement aussi donné aux financiers un faux sentiment de sécurité, diminuant en cela l’aversion au risque. Enfin, de nouveaux acteurs, les hedge funds, agissant en-dehors de toute réglementation, ont eu tendance à spéculer fortement sur les marchés au cours des 20 dernières années exacerbant toute tendance fondamentale sur les marchés financiers. La crise des subprimes démarre dans le courant de l’année 2006 et se déroule tout au long de l’année 2007 pour atteindre son paroxysme à l’automne 2008 où de nombreuses banques tombent en faillite ou doivent faire appel à leur Etat respectif pour renflouer leurs fonds propres. Différentes leçons peuvent être tirées de cette crise (qui n’a pas encore connu son épilogue) : il faut revoir la réglementation bancaire que ce soit sur le niveau d’endettement des banques (que l’on doit limiter) ou sur leurs ratios de liquidité. Trop de banques n’ont pas suivi des règles de gestion bilantaire élémentaires et de simple bon sens : il faut donc les limiter dans les excès qu’elles peuvent commettre; au-delà d’une meilleure coordination internationale entre les contrôleurs prudentiels des institutions financières, la manière de travailler de ceux-ci doit être revue. Ils se sont trop souvent tenus très éloignés de la réalité du terrain ou laissés apaiser par les discours lénifiant de certains banquiers; il faut absolument mettre en place un contrôle des hedges funds et, à tout le moins, vis-à-vis de ceux suffisamment grands que pour faire courir un risque systémique au monde financier; la composition des conseils d’administration de certaines banques a trop souvent été inadéquate : ne faudrait-il pas imposer des spécialistes de la gestion des risques sur ces conseils ?; certaines règles comptables doivent être revues, en particulier celles qui concernent l’évaluation des instruments s’échangeant sur des marchés très peu liquides. Ces règles sont actuellement trop rigides et poussent les banques à afficher des pertes qui ne se matérialiseront peut-être pas; il faut revoir la législation en matière de conglomérats financiers : le rapprochement de banques de détail, de banques d’affaires, d’assurance et de gestionnaire d’actifs au sein d’une même enseigne ne sert pas au mieux les intérêts des clients et peut faire courir des risques similaires à ceux que le monde a couru pendant la crise des années 30; les agences de rating (ou agences de notation), qui portent une lourde part de responsabilité dans la crise actuelle, doivent devenir plus transparentes dans leurs méthodes de travail et leur système de rémunération devrait être réexaminé.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Wibaut, Serge. "Numéro 64 - décembre 2008." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2008.12.01.

Full text
Abstract:
Dans ce numéro de Regards économiques, nous montrons comment la crise des prêts hypothécaires (crise des subprimes) aux Etats-Unis a ébranlé l’ensemble du système financier international. L’octroi des créances à des ménages à faible revenu s’est déroulé dans un paysage fortement modifié depuis la fin des années 80. Le secteur financier devenu fortement endetté, encouragé en cela par des taux d’intérêt bas, un immense accroissement de liquidités sur les marchés et une réglementation parfois trop laxiste, s’est en outre souvent appuyé sur des montage financiers complexes, que ce soit via des produits dérivés ou des opérations de titrisation, pour améliorer sa rentabilité. L’introduction de techniques mathématiques sophistiquées pour mesurer leurs risques a probablement aussi donné aux financiers un faux sentiment de sécurité, diminuant en cela l’aversion au risque. Enfin, de nouveaux acteurs, les hedge funds, agissant en-dehors de toute réglementation, ont eu tendance à spéculer fortement sur les marchés au cours des 20 dernières années exacerbant toute tendance fondamentale sur les marchés financiers. La crise des subprimes démarre dans le courant de l’année 2006 et se déroule tout au long de l’année 2007 pour atteindre son paroxysme à l’automne 2008 où de nombreuses banques tombent en faillite ou doivent faire appel à leur Etat respectif pour renflouer leurs fonds propres. Différentes leçons peuvent être tirées de cette crise (qui n’a pas encore connu son épilogue) : il faut revoir la réglementation bancaire que ce soit sur le niveau d’endettement des banques (que l’on doit limiter) ou sur leurs ratios de liquidité. Trop de banques n’ont pas suivi des règles de gestion bilantaire élémentaires et de simple bon sens : il faut donc les limiter dans les excès qu’elles peuvent commettre; au-delà d’une meilleure coordination internationale entre les contrôleurs prudentiels des institutions financières, la manière de travailler de ceux-ci doit être revue. Ils se sont trop souvent tenus très éloignés de la réalité du terrain ou laissés apaiser par les discours lénifiant de certains banquiers; il faut absolument mettre en place un contrôle des hedges funds et, à tout le moins, vis-à-vis de ceux suffisamment grands que pour faire courir un risque systémique au monde financier; la composition des conseils d’administration de certaines banques a trop souvent été inadéquate : ne faudrait-il pas imposer des spécialistes de la gestion des risques sur ces conseils ?; certaines règles comptables doivent être revues, en particulier celles qui concernent l’évaluation des instruments s’échangeant sur des marchés très peu liquides. Ces règles sont actuellement trop rigides et poussent les banques à afficher des pertes qui ne se matérialiseront peut-être pas; il faut revoir la législation en matière de conglomérats financiers : le rapprochement de banques de détail, de banques d’affaires, d’assurance et de gestionnaire d’actifs au sein d’une même enseigne ne sert pas au mieux les intérêts des clients et peut faire courir des risques similaires à ceux que le monde a couru pendant la crise des années 30; les agences de rating (ou agences de notation), qui portent une lourde part de responsabilité dans la crise actuelle, doivent devenir plus transparentes dans leurs méthodes de travail et leur système de rémunération devrait être réexaminé.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Brullebaut, Bénédicte, Isabelle Allemand, Anne-Sophie Louis, Abdel-Malik Ola, and Alexandre Pourchet. "Gouvernance des coopératives d'entreprises, de salariés et bancaires : quelles différences en termes de propriété et de contrôle." Finance Contrôle Stratégie, NS-8 (February 22, 2020). http://dx.doi.org/10.4000/fcs.4462.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Shah Nabi, Sher. "Toegang, rapport en ethiek bij een etnografisch onderzoek naar hawala-bankieren." KWALON 16, no. 1 (March 1, 2011). http://dx.doi.org/10.5117/2011.016.001.034.

Full text
Abstract:
Hawala is een informeel systeem om geld over te boeken, dat bestaat en functioneert buiten het conventionele formele bancaire systeem. Door het informele karakter van hawala wordt dit bancaire systeem ook wel aangeduid met de term ‘ondergronds bankieren’ (Van de Bunt & Siegel, 2009: 3). Het systeem is eeuwen oud en bestond al lang voordat de formele, door de overheid erkende, banken gingen functioneren. Hawala bankieren speelt tegenwoordig een belangrijke rol in het overboeken van geld door migranten naar verwanten in landen van herkomst (Van de Bunt & Siegel, 2009: 1). Hawala berust op het principe van de verrekening: bankier A ontvangt van zender X geld, en geeft opdracht aan zijn medebankier B om dit bedrag uit te betalen aan de begunstigde Y. Omgekeerd zal B te zijner tijd een bedrag ontvangen, dat door A moet worden uitbetaald (Nabi, 2009).De essentie van hawala ligt niet in de wijze van verrekening, maar in het illegale karakter ervan. Hawala-bankiers werken zonder vergunning en buiten toezicht van de overheid. De aandacht voor hawala-bankieren is sinds het begin van de jaren negentig van de vorige eeuw aanzienlijk toegenomen. Het hawala-systeem werd steeds meer beschouwd als een methode om misdaadgeld wit te wassen. Vanwege de toenemende controle op financiële transacties zouden de witwassers vaker uitwijken naar alternatieve methoden voor het verzenden en ontvangen van misdaadgeld (Van de Bunt & Huisman, 2009: 119). Na de aanslagen van 11 september 2001 werd in het kader van financiering van terrorisme een relatie gelegd tussen Al Qaida en hawala-bankiers.Er is in Nederland weinig empirisch onderzoek verricht naar het fenomeen hawala. Ik heb voor het eerst in 2007, in opdracht van het ministerie van Financiën, en later in 2009 in het kader van mijn afstudeerproject etnografisch onderzoek verricht naar het hawala-systeem binnen de Afghaanse gemeenschap. Mijn vraag luidde simpelweg: hoe functioneert het hawala-systeem? Voor een antwoord op deze vraag moesten echter veel andere vragen worden beantwoord, bijvoorbeeld hoe verschillende mechanismen en communicatieprocessen functioneerden, wat de rol was van de diverse actoren, in hoeverre het gebruik crimineel is, en wat de rol van ‘vertrouwen’ is in het systeem. Tijdens het verzamelen van data om deze kwesties te beantwoorden stuitte ik op obstakels. In wat volgt zal ik die obstakels bespreken en ik zal tevens aangeven hoe ik die heb trachten te omzeilen.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography