Academic literature on the topic 'Coréen (langue) – Accord (linguistique)'

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Journal articles on the topic "Coréen (langue) – Accord (linguistique)"

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Pyoun, Hyéwon. "Pourquoi enseigner l’interprétation simultanée avec texte en anglais – cas d’étude entre le français et le coréen." Meta 51, no. 2 (August 14, 2006): 263–72. http://dx.doi.org/10.7202/013255ar.

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Abstract:
Résumé De plus en plus d’orateurs utilisent comme support des documents en anglais tout en présentant leurs discours dans leur langue natale lors de conférences internationales. Cette situation mène les interprètes coréens-français à effectuer des interprétations simultanées avec texte à partir des supports visuels anglais. Deux canaux, l’un auditif et l’autre visuel, interviennent entre trois langues, coréen, français et anglais, pour accroître la charge mentale de l’interprète qui n’a pas l’anglais dans sa combinaison linguistique. Toutefois, souvent pratiquée dans le contexte coréen, l’interprétation simultanée faisant intervenir un support visuel anglais est négligée dans la formation de l’interprétation. Cet article a pour but d’analyser les erreurs commises par les étudiants en cours de formation afin de mettre en lumière la nécessité d’un enseignement de l’interprétation simultanée avec texte en anglais.
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Kim, Hye-Rim. "A Study of Cultures Using Chinese Characters and their Impact on Translation Studies." FORUM / Revue internationale d’interprétation et de traduction / International Journal of Interpretation and Translation 1, no. 1 (April 1, 2003): 13–40. http://dx.doi.org/10.1075/forum.1.1.02kim.

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Abstract:
Les études de traduction doivent viser à devenir une science comportementale. Autrement dit, la recherche de la méthodologie de traduction ou la présentation de la théorie de traduction aura une signification seulement si elle est capable de remplir le rôle auxiliaire à l’activité de traduction. Ainsi les études de traduction chercheront à soulever les questions liées aux travaux de traduction et y proposer des solutions. C’est donc dans ce contexte que cette thèse propose de présenter une méthodologie qui pourra être appliquée à l’interprétation et à la traduction du coréen et du chinois — deux langues qui utilisent en commun les caractères chinois — en soulevant les difficultés qui existent, en les classifiant et en les conceptualisant. Pour cela, en se basant sur les nombreux textes de conférence, les difficultés de traduction dues à l’usage des lettres chinoises ont été traitées en profondeur à travers: (1) l’analyse de la déverbalisation, (2) la compréhension et la reproduction du texte langue, et (3) la redéfinition du nom propre. A partir de cette analyse, cette thèse élabore une stratégie pour exclure toute intervention de la culture linguistique à travers: (1) la traduction basée sur une connaissance correcte, (2) l’amélioration de la capacité linguistique, (3) l’établissement de la terminologie spécialisée, et (4) l’approche éducative.
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Jansen, Wim. "La rusa lingvo en la novaj rilatoj de Eŭropa Spac-Agentejo." Language Problems and Language Planning 16, no. 3 (January 1, 1992): 253–59. http://dx.doi.org/10.1075/lplp.16.3.05jan.

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Abstract:
SUMMARY The Russian Language in the New Relations of the European Space Agency The recently signed Framework Agreement between the European Space Agency and the Soviet Union opens the door to an intensified cooperation between the two space powers in a variety of areas of common interest. Whereas ESA-financed industrial project and research work, both with the USA and within the 13 member-states of the Agency, is usually conducted in English (English and French being the two official languages of ESA), the Soviet Union has its own long history of international space activities with Russian used as the unique means of communication. The linguistic aspects of the new Agreement and its first implementation are placed in the context of the totally different organizational structures represented by the two parties. Many of the communication problems on the executive level appear to be caused by Western concepts of project management and control which are difficult to translate into meaningful Russian equivalents. The linguistic interaction, which is a natural consequence of joint project work, has caused the first loan words to cross the borders from both sides. SOMMAIRE La langue russe dans les nouvelles relations de VAgence Spatiale Européenne L'Accord Cadre signé récemment entre l'Agence Spatiale Européenne (ASE) et l'Union Soviétique ouvre la porte à une coopération accrue entre les deux puissances spatiales dans une variété de domaines d'intérêts communs. Alors que les travaux de développement industriel et de recherche, financés par l'ASE, sont conduits habituellement en langue anglaise, non seulement avec les États Unis d'Amérique, mais également à l'intérieur des treize pays-membres de l'ASE (l'anglais et le français étant les deux langues officielles de l'ASE), l'Union Soviétique a une longue histoire d'activités spatiales internationales pour lesquelles la langue russe était le moyen unique de communication. Les aspects linguistiques du nouvel accord ainsi que sa première mise en application sont placés dans le cadre de deux partenaires ayant des structures totalement différentes. Il semble qu'un grand nombre de problèmes de communication qui apparaissent au niveau d'exécution soient causés par des concepts occidentaux de la gestion et du contrôle de projets qui sont difficiles à traduire en équivalents russes significatifs. L'interaction linguistique, conséquence naturelle du travail autour d'un projet commun, a provoqué le transfert, d'un côté comme de l'autre, des premiers mots d'emprunt.
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Winford, Donald. "On The Origins of African American Vernacular English — A Creolist Perspective." Diachronica 15, no. 1 (January 1, 1998): 99–154. http://dx.doi.org/10.1075/dia.15.1.05win.

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Abstract:
SUMMARY In this second part of a two-part study of the origins of African American Vernacular English (AAVE), specific structural features of this dialect are examined and the argument is made that they arose via a process of language shift by Africans toward the white settler dialects of the southern American colonies in the 17th through 19th centuries. Essentially, the author agrees with dialec-tologists that AAVE was never itself a creole, but rather the result of partially successful acquistion of settler dialects by Africans who restructured the target in various ways. On the whole, three kinds of explanation for the structural features of AAVE are offered. First, as dialectologists have argued, certain features of AAVE such as negative copula/perfect ain't, invariant don't, negative concord etc., were simply adopted without much change from settler dialects. The same is true of certain phonological features such as the use of /n/ for /ng/ in participles and gerunds like walking and so on. Second, several features of AAVE appear to have resulted from the effects of imperfect second language learning, resulting in simplification or loss of certain morphological apparatus, for instance in the copula and auxiliary systems and in verbal and nominal inflection. This kind of simplification is quite common in cases of (untutored) second language acquisition, as well as in creole formation. Hence the tendency to view such features as 'creole', when they are not in fact uniquely creole features. Third, despite this caveat, there is strong evidence that several distinctive AÀVE features can be explained as the result of substratum 'transfer' (or retention) of creole structural and/or semantic properties. Features which can be explained in this way include negative preterite ain 't remote perfect BEEN and habitual be. Certain phonological features such as /d/ for /ð/ etc, also appear due to creole and/or African substrate influence. In some cases (e.g., variable copula absence) the effects of simplification and substratum transfer may have reinforced each other. In short, though AAVE was never itself a creole, it was created by Africans, and bears the distinctive marks of that creation. RÉSUMÉ Dans la deuxième moitié de cet article, qui traite des origines de l'anglais vernaculaire afro-américain (AVAA), l'auteur porte son attention sur les traits structuraux qui individualisent ce dialecte. Il soutient qu'ils sont apparus lors de l'assimilation linguistique des africains lorsqu'ils firent l'acquisition des dialectes des colons blancs du sud des États-Unis, du XIIe au XIXe siècle. L'auteur est en accord avec les dialectologues qui ont soutenu que l'AVAA n'a jamais été une langue creole, mais plutôt un parler que les Africains ont modifié de diverses façons en raison du fait qu'ils n'ont que partiellement réussi à s'assimiler l'ensemble du système de la langue des colons blancs. L'auteur a trois genres d'explications à offrir quant à l'origine de chacun des traits structuraux. Premièrement, en accord avec ce qu'ont soutenu les dialectologues, il soutient que certains traits, tels la forme négative/parfaite de la copule, ain't, le don't invariable et l'utilisation obligatoire de plusieurs négations dans une même proposition, proviendraient des dialectes des colons sans subir quelque modification d'importance. Il en irait de même de certains traits phonologiques, tels le remplacement de /n/ par /n/ dans les formes du participe présent et du gérondif, {walking), et ainsi de suite. Deuxièmement, certains traits de l'AVAA sembleraient provenir des effets de l'acquisition imparfaite d'une langue seconde, aboutissant à la simplification ou à la perte de certains systèmes morphologiques, par exemple celui de la copule et des auxiliaires et celui de la flexion nominale et verbale. Ce genre de simplification serait fort fréquent dans des situations d'acquisition 'sur le vif', d'une langue seconde, autant que lors de la formation des langues creoles. D'où selon l'auteur la tendance à y voir des traits 'creoles', alors qu'en fait ces traits se retrouvent également ailleurs que dans les creoles. Malgré cette mise en garde, l'auteur soutient qu'il y a de fortes raisons de croire que plusieurs traits caractéristiques de l'AVAA s'expliqueraient comme étant le résultat d'un 'transfert' (ou d'une préservation) de caractéristiques structurelles et/ou sémantiques creoles. Parmi les traits qui pourraient s'expliquer ainsi, on compte ain't, marque du prétérit négatif, BEEN, marque du parfait lointain et be, marque du fréquentatif. Certains traits phonologiques, comme par exemple le remplacement de /ð/ par /d/, et ainsi de suite, sembleraient s'expliquer par une influence creole et/ou africaine. Dans certains cas (ainsi, la possibilité de laisser tomber la copule) les effets de la simplification et du transfert de traits du substrat africain se seraient peut-être renforcés les uns les autres. En bref, selon l'auteur, bien que l'AVAA n'aurait jamais été une langue creole, c'est une langue qu'auraient créé des Africains, et on y trouverait toujours les marques distinctes de cette création. ZUSAMMENFASSUNG In diesem Artikel, dem zweiten Teil einer zweiteiligen Studie über die Ur-sprünge des einheimischen Englisch der Afro-Amerikaner (EEAA), untersucht der Autor spezielle strukturelle Eigenschaften dieser Sprache. Er versucht nachzuweisen, daß sich diese strukturellen Eigenschaften aus einem ProzeB der Sprachverschiebung bei den Afro-Amerikanern in Richtung der Siedlerdialekte des kolonialen Südens der Vereinigten Staaten während des 17. und 19. Jahr-hunderts ableiten lassen. lm wesentlichen stimmt er überein mit dem von den Dialektologen bezogenen Standpunkt, daB das EEAA niemals ein Kreol v/ar, sondern daB es das Ergebnis eines nur teilweise erfolgreichen Erwerbs der Siedlerdialekte durch die Afrikaner ist. Diese partiell erworbenen Siedlerdialekte wurden dann auf verschiedene Weise von den Afrikanern verändert. Ins-gesamt präsentiert er drei Erklärungsansätze für die charakteristischen strukturellen Eigenschaften des EEAA. Erstens, wie schon von den Dialektologen festgestellt, wurden bestimmte Eigenschaften des EEAA, wie die negierte Ko-pula/das negierte Perfekt ain't, das unveränderliche dont, die negative Kon-gruenz, usw, direkt und ohne wesentliche Veränderungen aus den Siedlerdia-lekten übernommen. Das gleiche gilt auch für bestimmte phonologische Eigenschaften, wie der Gebrauch von /ng/ anstelle von /n/ in Partizipien und Gerun-dien wie walking, usw. Zweitens scheinen einige Eigenschaften des EEAA das Resultat eines unvollständigen Erwerbs der Siedlerdialekte zu sein, was zur Vereinfachung oder zum vollstandigen Verlust bestimmter morphologischer Eigenschaften geführt hat, wie zum Beispiel die Veränderungen innerhalb des Kopular- und Auxiliarsystems und in der Verbal- und Nominalflektion. Diese Art Vereinfachung tritt häufig beim ungelenkten Zweitspracherwerb auf, sowie bei der Kreolgenese, was erklärt, warum solche Eigenschaften fälschlich als typisch für Kreole angesehen werden. Drittens gibt es eindeutige Hinweise, daB einige für das EEAA charakteristische Eigenschaften das Ergebnis von Substrattransfer (oder Erhalt) sind. So zum Beispiel das negative Präteritum ain't, das entfernte Perfekt been und das habituelle be. Phonologische Eigenschaften wie der Gebrauch von /d/ anstelle von /ð/ scheinen ebenso von einem Kreol bzw. einem afrikanischm Substrat beeinfluBt. In bestimmten Fallen (so zum Beispiel die variable Abwesenheit der Kopula) scheint es, daB sich die Ergebnisse von Vereinfachung und Transfer aus dem Substrat wechselseitig bestarkt haben. Zusammenfassend läßt sich also feststellen, daB das EEAA nicht von einem Kreol abstammt, sondern von Afrikanern erschaffen worden ist und deutliche Merkmale dieses Kreationsprozesses aufweist.
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Fishman, Joshua A. "Why did Yiddish Change?" Diachronica 2, no. 1 (January 1, 1985): 67–82. http://dx.doi.org/10.1075/dia.2.1.05fis.

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Abstract:
SUMMARY Four instances of change in 19th-century Yiddish-in-print are considered: (1) the change from a separate type-face to the standard Hebrew type also used for bibles and prayer-books; (2) the abandonment of archaic written forms, following conventions that had been standardized in Central Europe in earlier centuries, in favor of forms more closely approximating Eastern European spoken Yiddish; (3) the sharp curtailment of new High Germanisms and other foreignisms, and (4) the development of a standard or literary spoken variety influenced by standard written Yiddish. In all four instances internal rather than external foci of change are posited. Via fostering and controlling the 'print function', elites of small language communities can also change their languages in accord with how they would like to and when they would like to, rather than merely being exposed either 'winds of change' or to influences from surrounding languages and cultures. RÉSUMÉ Dans cet article trois facteurs de changement du yiddish imprimé du XIXe et XXe siècle sont présentés et discutés: (1) l'adoption du type d'impression qu'on avait utilisé jusqu'à ce temps pour les bibles et les livres de prières; (2) l'abandon des formes archaïques de la langue écrite (qui ont été standardisées en Europe Central pendant les siècles précéndents) en faveur de formes plus proches du yiddish parlé en Europe de l'Est à l'époque, et (3) la réduction drastique de l'influence lexicale de l'allemand moderne et d'autres langues étrangères. L'auteur affirme que dans ces trois facteurs de changement il y avaient des raisons internes plutôt que externes à la base des modifications. Il maintient que, en alimentant et contrôlant la fonction de la presse d'imprimerie, il est possible pour des élites peu nombreuses d'une communauté linguistique d'introduire des changement de la façon voulue et à un moment choisi par elles au lieu d'avoir une évolution langagière inconsciente et sans planification. ZUSAMMENFASSUNG Der Aufsatz zieht drei Gesichtspunkte der Veränderung der jiddi-schen Schriftsprache im 19. und 20. Jahrhundert in Betracht: (1) Der Wechsel von einer besonderen Schreibtype zur hebraischen Drucktype, die bis dahin allein fiir Bibeln und Gebetsbiicher verwendet worden war; (2) die Aufgabe alter Schreibweisen, die in friiheren Jahrhunderten entwik-kelt worden waren, zugunsten von einem Stil, der sich dem in Osteuropa gesprochenen Jiddisch nahert, und (3) die drastische Reduzierung neuer hochdeutscher Ausdriicke und anderer Fremdwörter. In alien drei Fallen werden interne Griinde anstelle von externen Momenten fiir den Sprachwan-del angenommen. Durch Nahrung und Kontrolle des Druckwesens ist es mög-lich gewesen, daß selbst kleine Sprachgemeinschaften in der Lage sind, Sprachgebrauch zu andern, und zwar mithilfe einer Elite, die die Initiative ergreift und Sprachwandel nicht einfach unbewußten und nichtge-planten Veränderungen iiberläßt.
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Kilani-schoch, Marianne. "Langue et culture." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.017.

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Abstract:
La vaste littérature (linguistique, psycholinguistique, ethnolinguistique, etc.) des XXe et XXIe siècles sur la relation entre langue et culture montre d'importantes variations dans la conception et l'approche de la problématique. Au cours des années 1930, la question du relativisme linguistique a été stimulée par l'hypothèse Sapir-Whorf (Carroll 1956) selon laquelle les structures et catégories linguistiques d'une langue influent sur la pensée et la culture de ses locuteurs, voire même les structurent ou les déterminent. Comme la conception structuraliste dominante de l'époque ne réservait guère de place aux pratiques culturelles, la réflexion autour du relativisme linguistique a d'abord impliqué principalement les systèmes: système linguistique, et plus précisément grammatical et sémantique, d'une part, et système cognitif comme ensemble de concepts ou représentations mentales, d'autre part (voir par exemple plus récemment Wierzbicka 1991 et la critique de Kristiansen et Geeraerts 2007 parmi d'autres, cf. aussi Jackendoff 2007), délaissant ainsi un aspect important de la perspective de Whorf sur la culture (Bickel 2000: 161-163). A partir des années 60, l'importance accordée à la recherche sur les universaux linguistiques et cognitifs a éloigné une bonne partie de la linguistique de toute préoccupation impliquant la diversité sociale et culturelle, et par là même, de l'hypothèse du relativisme linguistique. Par exemple, une étude célèbre de Berlin et Kay (1969) a argué que le lexique des couleurs dans les langues était déterminé par des contraintes universelles sur la perception visuelle. Cette étude a largement contribué à discréditer l'hypothèse Sapir-Whorf. Ces vingt-cinq dernières années cependant, les recherches linguistiques se sont réorientées dans le sens de l'empirie (cf. Sidnell et Enfield 2012) et la question whorfienne a été reprise. Toute une série de travaux linguistiques et psycholinguistiques ont développé des méthodes expérimentales pour évaluer les conséquences cognitives de la diversité linguistique. Par ex. Choi et Bowerman (1991) et Lucy (1992), pour ne citer qu'eux, ont mis en évidence de façon spectaculaire des différences de perception et de catégorisation d'actions et d'objets chez de très jeunes enfants et chez des adultes selon les langues. D'autres travaux, dont l'orientation est plus directement anthropologique, s'intéressent, au-delà des systèmes, aux affinités entre les usages langagiers et les formes culturelles des pratiques sociales (Bickel 2000: 161 ; Hanks 1990 ; Gumperz et Levinson 1996). Une partie importante d'entre eux ont porté sur les manières différentes dont les catégories grammaticales des langues encodent certains aspects des relations et contextes sociaux et culturels. Par exemple, dans de nombreuses langues du monde, la deixis spatiale correspond à la grammaticalisation de coordonnées géographiques, c'est-à-dire est définie par une orientation absolue (personnes et objets sont obligatoirement localisés aux points cardinaux ou en haut, en bas ou au-delà de la colline où les locuteurs vivent, Bickel 2000), et non par une orientation relative comme dans la plupart des langues indo-européennes (ex. Paris rive droite). Or, comme Bickel (2000: 178-9) l'a montré avec l'exemple du belhare (langue tibéto-birmane du Népal), cette grammaire de l'espace est associée à l'expérience directe de l'espace social dans les interactions. En s'attachant aussi à expliciter le rôle de la culture, plus précisément des pratiques culturelles (au sens d'habitus de Bourdieu) dans le relativisme linguistique, Bickel recentre la perspective: il montre qu'entre pratiques culturelles, pratiques linguistiques et cognition, l'influence est réciproque et non unidirectionnelle. Les opérations de schématisation auxquelles les pratiques sociales sont nécessairement sujettes influencent directement la cognition. En retour les principes universels de la cognition peuvent influer sur les formes linguistiques et culturelles. Sidnell et Enfield (2012) ouvrent un autre domaine d'application du relativisme linguistique avec les différentes ressources conversationnelles que les langues mettent à disposition des locuteurs pour effectuer un même type d'action sociale dans l'interaction, tel manifester son accord ou son désaccord avec l'interlocuteur. Ils montrent que les propriétés structurales (ordre des mots, particules, etc.) constitutives de ces ressources ont des implications différentes sur la suite de l'interaction elle-même, et, selon la langue, entraînent notamment la clôture de l'échange ou au contraire sa continuation par un développement thématique. De telles différences induites par la réalisation d'actions langagières identiques sont considérées comme des "effets collatéraux" inévitables de la diversité dans les possibilités structurales offertes aux locuteurs par chaque langue pour réaliser leurs rôles d'agents sociaux. Ces effets collatéraux de moyens linguistiques sur les actions sociales (mais néanmoins linguistiques, voir le commentaire de Duranti 2012 qui suit l'article cité) relèveraient aussi du relativisme linguistique Notons ici que le projet de l'ethnographie de la communication, dès 1960, avait déjà fait de la diversité culturelle dans les formes de communication et la manière dont ces formes de communication interfèrent avec les systèmes et pratiques culturels son objet d'étude (Gumperz et Hymes 1964). La contribution pionnière de Gumperz (1989) dans l'intégration de la culture à l'analyse de l'interprétation en conversation, consiste notamment à avoir mis en évidence les conventions culturelles des indices linguistiques à l'aide desquels les locuteurs signalent au cours de l'interaction le type d'activité sociale dans lequel ils sont engagés, ainsi que l'interprétation à donner à leurs énoncés. Par exemple, les indices prosodiques (direction de la courbe intonative, accentuation) pour marquer la fin ou la continuation d'un tour de parole, une requête polie, etc. varient selon les langues. Le dernier aspect à évoquer dans la reprise de l'hypothèse Sapir-Whorf est la complexification et différenciation de la notion même de pensée, selon que le locuteur est engagé ou non dans des activités langagières. Slobin (2003) distingue le processus "en ligne" consistant à "penser pour parler" (thinking for speaking). Ce mode de pensée ou activité du locuteur sélectionnant les caractéristiques des objets et événements codables dans sa langue, manifeste comment les exigences des langues conduisent les locuteurs à prêter attention à des aspects différents et particuliers de la réalité. La schématisation qui préside aux énoncés est ainsi spécifiée par chaque langue et guidée par elle. Slobin illustre le concept de "penser pour parler" avec l'expression linguistique du mouvement qui en anglais, par exemple, encode la notion de mode de déplacement dans le verbe principal (the dog ran into the house), à la différence du français qui n'encode cette notion que secondairement ou accessoirement (le chien est entré dans la maison [en courant]) et lui préfère celle de direction du déplacement. En résumé, la diversité culturelle et sociale, préoccupation principale de l'anthropologie, a retrouvé une place de choix dans la réflexion linguistique contemporaine et l'hypothèse du relativisme linguistique connaît un renouveau. Mais cette diversité n'est pas pensée comme sans contraintes, la nature précise des éléments universaux ou communs restant cependant à établir (voir par ex. Malt et Majid 2013).
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Dissertations / Theses on the topic "Coréen (langue) – Accord (linguistique)"

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Kim, Kyung-Suk. "Accord, traits grammaticaux et argument nul en Coréen." Paris 8, 1992. http://www.theses.fr/1992PA080744.

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Abstract:
Le but de ce travail est de caracteriser la structure de la phrase et d'etudier le phenomene des arguments nuls en coreen qui est depourvu d'accord grammatical. L'absence d'accord est attribuee a des difference structurales entre des langues. Le fait que le sujet objet d'un predicat peut etre invisible en coreen est du a la fois a la nature des prnoms lexicaux et a la structure de la phrase: les traits grammaticaux sont syntaxiquement inertes
The objective of this dissertation is to characterize the sentence structure and study the phenomenon of null subject object in korean without grammatical greement. The absence of agreement is due to the structural differences between languages. The fact that the subject object of a predicate can be invisible in korean is attributed to the nature of lexical prnouns and the sentence structure: the grammatical feataures are not syntactically inert
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Kim, Jin-Moo. "Accord et désaccord dans le débat radiophonique en français et en coréen." Lyon 2, 2001. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2001/kim_jm.

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Abstract:
Ce travail a pour objectif d'examiner les actes d'accord et de désaccord que les interlocuteurs utilisent dans notre corpus constitué de débats radiophoniques français et coréens. Nous les avons approchés du point de vue de l'analyse des conversations et surtout de la théorie de la politesse. Nous avons essayé de rapprocher les débats français et coréens dans lesquels se retrouvent les actes d'accord et de désaccord. Ils ont été observés dans la perspective des modules d'interview et de discussion. Nous avons décrit certains caractères des actes en question et leur configuration dans l'alternance des tours. Nous avons également classé, en corrélation avec les trois notions "poli", "apoli" et "impoli", les trois formes de désaccord : désaccord adouci, désaccord ni adouci ni durci, désaccord durci. L'acte de désaccord est exprimé explicitement dans le corpus français, le plus souvent en début de tour de parole, par des énoncés tels que "je ne suis pas d'accord avec vous", "non ce n'est pas vrai" ou "c'est faux", qui comportent la formule performative du manque d'accord. En revanche, le désaccord explicite est systématiquement absent du corpus coréen où il est remplacé par l'expression d'un désaccord masqué ; le désaccord est alors représenté par le contenu d'un énoncé sous forme d'ajout, visant l'argument opposé à la proposition du locuteur précédent, et par une formule détournée utilisant certains termes tels dalûn sêngkak ("pensée différente"), munjeka issda ("il y a un problème"), bowanhêsô ("en supplément"), et ihêhaki ôlyôpula ("être difficile de comprendre"). Même dans un contexte de débat, les participants coréens évitent d'utiliser le désaccord explicite à cause de la contrainte sociale, selon laquelle celui-ci est considéré comme menaçant. De ce fait, nous avons laissé ouverte la question de la préférence pour l'acte de désaccord, et de l'éthos communicatif.
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Kim, Hye-Ren. "Etude comparative du causatif (français et coréen)." Paris 4, 1992. http://www.theses.fr/1992PA040002.

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Abstract:
Une telle étude comparative consiste à aborder deux domaines qui apparaissent,à première vue,comme opposés:la typologie et la recherche des universaux du langage;de plus,le linguiste doit tenir compte du rapport existant entre la réalité,la langue et le sujet parlant pour étudier le phénomène langagier. Ainsi,sur le plan conceptuel(partie I),le causatif est défini comme une relation cause-effet. Sur le plan linguistique(partie II),chaque langue a des solutions propres à sa conceptualisation. A partir des théories énonciatives,nous proposerons trois types de causatif qui nous permettent de mettre en cause les analyses issues des géénrativistes. L'une consiste à classer les verbes dits causatifs en coréen,soit dans le causatif,soit dans le factitif(partie III). L'autre consiste à réexaminer la question du sémantisme causatif dans un esprit critique(partie IV)
This comparative study deals with two domains which,at first glance,appear to be antithetical : typology and research upon the universals of language. .
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Kim, In-Young. "Contribution à l'étude de la structuration prosodique du coréen parlé." Paris 7, 2012. http://www.theses.fr/2012PA070023.

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Abstract:
Cette étude est un essai de description de la structure hiérarchique prosodique de la langue coréenne parlée. Les concepts sont illustrés par la complexité de la relation entre les morphèmes grammaticaux, l'ordre des mots et la prosodie du coréen parlé. Le but est de décrire la hiérarchie prosodique d'une langue parlée qui présente une organisation structurale entre les unités syntagmatiques d'un énoncé. Il est montré que les morphèmes grammaticaux, < -ka >/< -i >, < -(l)ul > et < -nun > sont proéminents dans la prosodie de la parole lue aussi bien que spontanée. De plus, ce sont ces unités où les contours prosodiques se réalisent. Grâce à ces derniers, des traits prosodiques contrastifs se manifestent en permettant une organisation syntagmatique pour une structuration hiérarchique. Deux études empiriques sur le rôle de la prosodie sont présentées. La première montre la relation entre la prosodie, la longueur et la structure syntaxique de surface. La deuxième étude expérimentale consiste en une vérification de la redondance entre le morphème grammatical et la prosodie
This study is an essay on the prosodic hierarchical structure of Korean speech description. The main idea is illustrated by the complex relation between grammatical morphemes, word order, and prosody of the language. The aim is to describe the prosodic hierarchy of the speech, that which represents a structural organization of the syntagmatic units of the sentence. The present argument is thus to present the Korean prosodic unit from two consecutive approaches: grammatical morphemes are prominent in Korean; and following verification, the prosodic structures become evident in relation to them. It is shown that the grammatical morphemes < -ka >/<-i>,<-(l)ul > and < -nun > are prosodically prominent in read and spontaneous speech. These particular units are where the prosodic contours become evident, thus making it possible to organize the hierarchical structure based on their features. The two experimental studies show the role of prosody. The first shows the relation between prosody, length, and surface syntactic structure. The second experience verifies the redundancy between grammatical morphemes and prosody
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Wang, Hye-Suk. "La détermination nominale en français et en coréen." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1994PA040356.

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Abstract:
Cette etude est consacree a la recherche de la determination nominale en coreen et en francais dans le cadre enonciatif de la psychomecanique. En relevant l'ambiguite et la variete de la notion de determination, nous avons distingue les determinants en termes d'extensite et d'extension selon la maniere dont ils affectent le nom : determinants formels et determinants materiels. Le coreen est une langue sans article dans laquelle le systeme des demonstratifs est ternaire (i. Geu. Jeo). Par contre le francais est binaire. Tout depend de la distinction etablie par le locuteur. Deux articles (un, le) ont respectivement pour effet d'exprimer le generique et le particulier, en fonction de la visee du locuteur dans une situation donnee. En coreen, dans certains conditions, deux particules jouent le role de l'article, ce qui fait aussi le contexte
This study is devoted to the research on nominal determination in french, in the enunciative psychomecanic. Throughj the underlining of the ambiguity and variety of the notion of determination, we distinguished determiners in terms of extensity and extension according to the way they modify the noun : formal determiners and material determiners. Korean is a language without articles in which the system of demonstratives is compound (i, geu, jeo) : on the other hand french is binary. Evergthing depends on the distinction made by the speaker. The respective effects of the two articles (un, le) are the expression of the genberic and of the particular, according tonthe speaker's aim in a given situation. In korean, in certain conditions, two particles play the part of thearticle, which also determines the context
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Couralet, Stéphane. "« Wuli-Nous » : personne collective et nombre en coréen." Paris, EHESS, 2008. http://www.theses.fr/2008EHES0072.

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Abstract:
Cette thèse décrit le fonctionnement et les valeurs de WULf-NOUS en coréen à partir d'un corpus de plus de 30000 occurrences. Elle isole deux patrons syntaxiques productifs: le GY et le GN. Dans le GY, les valeurs de WULf sont spécifiées par des indices qui renseignent sur le nombre des actants du procès décrit tandis que dans le GN, elles dépendent du sémantisme du nom auquel WULf se lie dans trois formats syntaxiques : 1) par l'intermédiaire d'une particule de "génitif' (WULluy N) où s'exprime une relation personnalisée avec le locuteur ; 2) par un blanc typographique (WULf N) qui traduit l'inclusion du locuteur dans un micro-groupe indiqué par le N ; 3) par une soudure (WULIN) qui définit l'appartenance nationale, du locuteur. Cette étude articule les deux problématiques du nombre et de l’identité autour de celle de personne collective et montre que l'emploi fréquent de WULI-NOUS répond à une stratégie énonciative d'autodésignation du locuteur par inclusion dans un groupe
This thesis describes the functions and the values of IFULI 'us' in Korean using a corpus of more than 30,000 tokens. It isolates two productive syntactic patterns: in predicates, the values of WULI are specified by indices which give information on the number of actants in the process described, while in noun phrases, they rely on the semantics of the noun to wich WULI is connected by three syntactic forms: 1) by means of the genitive particle (WULluy N) in which a personalised relationship with the speaker IS expressed; 2) orthographically by a space (1WULI N) which can be interpreted as the inclusion of the speaker in a micro-group specified by the noun ; 3) by a fusion (WULIN) which defines the national links of the speaker. This study combines the Issues of number and of identity with respect to the collective person and shows that the frequent use of WULI indicates an discours strategy of self-reference: the speaker identifying himself through an inclusion in a group
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Roger-Yun, Soyoung. "Les expressions nominales à classificateurs et les propositions à cas multiples du coréen : recherches sur leur syntaxe interne et mise en évidence de quelques convergences structurales." Paris 3, 2002. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00002834.

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Abstract:
Cette thèse a pour objet la syntaxe des classificateurs (CL) et des Constructions à Cas Multiples du coréen. Cette étude adopte essentiellement le cadre antisymétrique de Kayne, mais utilise également certains concepts fondamentaux du cadre minimaliste, comme la Vérification des traits formels. La première partie de cette thèse est consacrée à l'étude des CL et de la structure interne des expressions nominales à CL; nous montrons notamment qu'un traitement syntaxique parallèle pour les domaines nominal et phrastique est possible en coréen. Dans la seconde partie, consacrée à la structure phrastique et plus spécifiquement à celle des Constructions à Cas Multiples du coréen, il est soutenu que les marques dites casuelles du coréen ne sont pas de véritables marques casuelles, mais des têtes fonctionnelles, et que les Constructions à Cas Multiples du coréen s'obtiennent par la réitération de ces têtes fonctionnelles, suivie d'une opération d'Attraction
This dissertation studies the syntax of Classifiers and of Multiple Case Constructions in Korean. The framework is basically Kayne's Antisymmetry theory, but some fundamental tools developed by Chomsky's Minimalist Program are also used, such as Formal Feature Checking. In the first part, the nature of the Classifier and the internal structure of the nominal expressions that contain it are investigated and distinct heads and projections such as Classifier (Phrase) are shown to be necessary. It is argued that a partially parallel syntactic treatment for the nominal and clausal domains in Korean may be established. In the second part, which is devoted to clausal structure with Multiple Case Constructions (i. E. When the same "Case-marker" turns up on several arguments), it is argued that those morphemes are not in fact real Case markers, but clausal functional heads, and that these constructions can be derived via iteration of those heads, followed by a movement triggered by "Attract"
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Ko, Kwang-Shik. "La stratégie de la détermination en coréen dans l'optique des études comparatives entre le français et le coréen." Paris 8, 1998. http://www.theses.fr/1998PA08A001.

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Yune, Young-Sook. "Aspects prosodiques du discours spontané en coréen." Paris 5, 2002. http://www.theses.fr/2002PA05H038.

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Abstract:
La présente thèse porte sur l'étude de certains phénomènes prosodiques impliqués dans la structuration du discours interactif. L'hypothèse de départ est l'existence d'une structure discursive profonde qui sous-tend l'organisation prosodique au niveau de la production orale. Afin de vérifier objectivement la relation entre le discours et la prosodie, la structure hiérarchique du discours a été déterminée par un test auditif et par une analyse textuelle séparée. La relation interactive qu'entretiennent les unités discursives minimales a été également spécifiée. L'analyse acoustique a été effectuée à trois niveaux : 1) analyse des indices locaux, 2) analyse des indices globaux et 3) analyse de la variation du sommet mélodique des unités minimales successives. L'analyse des indices locaux permet d'observer le conflit entre le niveau structurel et le niveau interactif dans l'élaboration du discours de type interactif. . . . L'analyse des indices globaux montre que la structure prosodique interne des constituants discursifs de différents niveaux peut être spécifiée par la déclinaison progressive de la ligne mélodique et par la variation du débit articulatoire spécifique. . . . Enfin l'analyse de la variation du sommet mélodique des unités discursives a permis de constater que la variation du sommet mélodique d'une unité à l'autre reflète le changement du statut qu'exprime chaque unité discursive minimale dans le contexte discursif
This thesis deals with some prosodic phenomena related to the structural aspects of interactive discourse. The fundamental assumption for the present study is the existence of underlying discourse structure that determines surface prosodic variation. In order to investigate objectively the relation between discourse and prosody, the hierarchical interactive discourse structure was determined by an auditory test and by an independent textual analysis. . . . The acoustic analysis was carried out to discover global and local prosodic features involved in the discourse boundaries marking and the internal coherence marking of this hierarchically defined interactive discourse structure. . . . Finally, the analysis is concerned to the Fo peck variation of successive discourse units. The result shows that this variation is correlated with discourse function of individual discourse units
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Cho, Hyong Sil. "Etude des propriétés acoustiques de la structure prosodique du coréen." Aix-Marseille 1, 2009. http://www.theses.fr/2009AIX10076.

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Abstract:
La présente étude examine deux paramètres acoustiques de la structure prosodique du coréen qui sont la fréquence fondamentale et le silence acoustique. Après avoir appliqué sur un corpus oral de la langue coréenne une transcription semi-automatique de l’intonation et porté des manipulations des données, la présente étude découvre que, malgré la diversité des formes phonétiques du ton de syntagme produite dans notre corpus, les locuteurs coréens acceptent facilement le ton de syntagme accentuel uniformisé. Ensuite, lors d’un test de perception et d’une analyse discriminante, nous prouvons que la pause silencieuse n’est pas une condition nécessaire et suffisante à l’identification de la frontière de la phrase mais un élément redondant. Ce résultat nous ouvre la possibilité de concevoir un système d’analyse automatique de la prosodie sans dédier une première priorité à la variation mélodique du syntagme accentuel ou à la présence ou absence de la pause silencieuse.
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Books on the topic "Coréen (langue) – Accord (linguistique)"

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Le petit livre des pluriels. Paris: First Editions, 2006.

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