Academic literature on the topic 'Courts séjours (tourisme)'

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Journal articles on the topic "Courts séjours (tourisme)"

1

Cornet, Candice. "Le tourisme et le développement économique des régions reculées et ethniques de Chine." Anthropologie et Sociétés 34, no. 2 (February 23, 2011): 163–76. http://dx.doi.org/10.7202/045711ar.

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Abstract:
Cette note de recherche présente les données préliminaires d’une étude de cas : un petit village appelé Zhaoxing, situé au sud-est de la province du Guizhou en Chine. Depuis l’an 2000, le village de 4 000 habitants se modernise grâce au développement du tourisme. Ses quelque 800 maisons de bois nichées au creux d’une vallée sculptée de rizières, ses ponts couverts et ses tours tambours en font un site pittoresque, qui est devenu un arrêt incontournable pour un nombre toujours grandissant de touristes. Sur la base d’un terrain ethnographique approfondi (entre 2006 et 2007) et de courts séjours (entre 2000 et 2009), cet article présente quelques-unes des dynamiques impliquées dans le processus du développement touristique et économique du village. Il présente les différentes phases de développement entre 1980 et 2010 ainsi que les changements perçus par les habitants du village. Il révèle le jeu de pouvoir souvent inéquitable entre l’industrie touristique, le gouvernement local et les villageois.
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Tremblay, Rémy. "Voyages à Floribec. De touriste à chercheur." Terrains 11 (September 27, 2013): 119–24. http://dx.doi.org/10.7202/1018519ar.

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Abstract:
J’ai été initié à la Floride dès l’âge de six ans, alors que mes parents séjournaient annuellement quelques semaines par année dans les motels fréquentés par les Québécois dans les banlieues de Miami, telles Surfside et plus tard Hollywood-Beach. Ces séjours m’ont emmené à faire un doctorat à l’Université d’Ottawa sur les dimensions sociospatiales qui sont à la base de la communauté de Floribec (Hollywood-Dania-Hallandale, Floride). Toutefois, je réalisais rapidement que d’étudier un terrain continuellement victime de railleries de la part des médias, de certaines couches socioéconomiques de la société québécoise et, aussi, de collègues s’avérerait un défi. J’ai accepté ce défi sans hésiter. Aujourd’hui, Floribec demeure encore une destination touristique et un terrain de recherche qui me passionne profondément, mais je dois continuellement défendre non seulement le caractère « savant » de ce foyer francophone en terre étatsunienne, mais aussi ceux qui le fréquentent comme touristes et ceux qui y ont immigré. Ce cours récit personnel relate brièvement ma passion pour la Floride québécoise comme touriste, comme étudiant et comme chercheur.
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Guiraudon, Virginie. "Garanties financières exigées pour les demandeurs indiens de visas de court séjour (visite ou tourisme) : quelques exemples européens." Cultures & conflits, no. 50 (March 15, 2003): 49–52. http://dx.doi.org/10.4000/conflits.913.

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4

CHIRA, Rodica-Gabriela. "Sophie Hébert-Loizelet and Élise Ouvrard. (Eds.) Les carnets aujourd’hui. Outils d’apprentissage et objets de recherche. Presses universitaires de Caen, 2019. Pp. 212. ISBN 979-2-84133-935-8." Journal of Linguistic and Intercultural Education 13 (December 1, 2020): 195–200. http://dx.doi.org/10.29302/jolie.2020.13.12.

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Abstract:
l s’agit d’un volume paru comme résultat de l’initiative d’Anne-Laure Le Guern, Jean-François Thémines et Serge Martin, initiative qui, depuis 2013, a généré des manifestations scientifiques, des journées d’études organisées autour des carnets de l’IUFM, devenu ESPE et actuellement l’INSPE de Caen. Les carnets édités par la suite sont devenus un espace de réflexion, et un outil d’enseignement-apprentissage, un espace de recherche. Qu’est-ce qu’un carnet en didactique ? Les trois axes de recherche du volume Les carnets aujourd’hui… l’expliquent, avec de exemples des pratiques en classe ou dans le cadre d’autres types d’activités à dominante didactique. Un carnet peut être un objet en papier de dimensions et textures diversifiées, utilisé en différentes manières afin de susciter l’intérêt et la curiosité de l’apprenant. Parmi ses possibilités d’utilisation en classe : au lycée, qu’il s’agisse du lycée de culture générale ou du lycée professionnel, pour créer des liens entre littérature et écriture (« Lecture littéraire, écriture créative », avec des articles appartenant à Anne Schneider, Stéphanie Lemarchand et Yves Renaud) ; en maternelle et à l’école primaire (« Pratiques du carnet à l’école primaire », les articles liés à ce sujet appartenant à Catherine Rebiffé et Roselyne Le Bourgeois-Viron, Dominique Briand, Marie-Laure Guégan, Élise Ouvrard ; le carnet peut également passer du format papier à des adaptations modernes comme le téléphone mobile, le blog... (« D’une approche anthropologique à une approche culturelle », des recherches en ce sens venant de la part d’Élisabeth Schneider, Magali Jeannin, Corinne Le Bars). Sophie Hébert-Loizelet et Élise Ouvrard, ouvrent le volume avec le texte intitulé « Le carnet, une matérialité foisonnante et insaisissable », où elles partent de l’aspect physique d’un carnet vers ses contenus, tout en soulignant que, « depuis une quarantaine d’années » seulement, des spécialistes en critique génétique, des théoriciens des genres littéraires et des universitaires lui accordent l’importance méritée, dans la tentative de « répondre à cette simple question "qu’est-ce qu’un carnet" », parvenant ainsi à en démultiplier « les pistes intellectuelles, théoriques autant que pratiques » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 9). La diversité des carnets détermine les auteures à souligner, et à juste titre, que le carnet « incarne matériellement et pratiquement une certaine forme de liberté, n’ayant à priori aucune contrainte à respecter et pouvant dès lors recevoir n’importe quelle trace », permettant ainsi « à son détenteur, de manière souvent impromptue, indirecte […], de se découvrir, par tâtonnements, par jaillissements » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 10). Le premier contact avec un carnet étant d’ordre esthétique, on comprend bien la « magie » qu’il peut exercer sur l’élève, l’invitant ainsi, en quelque sorte, à sortir de la salle de cours, à se sentir plus libre. Le carnet est en même temps un bon aide-mémoire. Ses dimensions invitent à synthétiser la pensée, à la relecture, une « relecture à court terme » et une « relecture à long terme » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 15), toutes les deux enrichissantes. Le carnet devient effectivement outil d’apprentissage et objet de recherche. Les contributions présentes dans ce livre, soulignent les auteures par la suite, représentent des regards croisés (du 23 mars 2016) sur « l’objet carnet, en proposant des recherches académiques, anthropologiques ou didactiques mais également des comptes rendus d’expériences sur le terrain » dans le but de « prendre en considération l’utilisation des carnets dans leur grande hétérogénéité de la maternelle à l’université pour rendre compte des voyages, mais aussi de lectures et d’apprentissage dans les disciplines aussi variées que le français, l’histoire, les arts visuels, ou les arts plastiques, et ce dans différents milieux institutionnels » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 17). Prenons le premier axe de recherche mentionné plus haut, celui de la lecture littéraire et de l’écriture créative. Se penchant sur d’autorité de différents spécialistes dans le domaine, tels Pierre Bayard et Nathalie Brillant-Rannou, les deux premiers textes de cet axe insistent sur la modalité d’intégrer « l’activité du lecteur et son rapport à la littérature » par le carnet de lecture dans le cadre de la didactique de la littérature. Le troisième texte représente une exploitation du carnet artistique qui « favorise un meilleur rapport à l’écriture » et modifie la relation que les élèves de 15 à 17 ans du canton Vaud de Suisse ont avec le monde (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 19). Nous avons retenu de l’article d’Anne Schneider, l’exploitation de la notion de bibliothèque intérieure, telle qu’elle est vue par Pierre Bayard, bibliothèque incluant « nos livres secrets » en relation avec ceux des autres, les livres qui nous « fabriquent » (Schneider 2019 : 36). Ces livres figurent dans les carnets personnels, avec une succession de titres lus ou à lire, commentaires, dessins, jugements. Pour ce qui est de l’expérience en lycée professionnel (l’article de Stéphanie Lemarchand), on souligne l’attention accordée au « sujet lecteur » par le biais du carnet de lecture, plus exactement la réalisation d’une réflexion personnelle et les possibilités d’exprimer cette réflexion personnelle. Ici encore, il faut signaler la notion d’« autolecture » introduite par Nathalie Brillant-Rannou, l’enseignant se proposant de participer au même processus que ses élèves. En ce sens, la démarche auprès des élèves d’une école professionnelle, moins forts en français et en lecture, s’avère particulièrement intéressante. On leur demande d’écrire des contes que leurs collègues commentent, ou de commenter un film à l’aide du carnet de lecture qui devient carnet dialogique, non pas occasion du jugement de l’autre, mais d’observer et de retenir, devenant ainsi « un embrayeur du cours » (Lemarchand 2019 : 45). Le passage aux textes littéraires – des contes simples aux contes plus compliqués et des films de science-fiction aux livres de science-fiction – devient normal et incitant, permettant petit à petit le passage vers la poésie. L’utilisation du carnet dialogique détermine les élèves à devenir conscients de l’importance de leur point de vue, ce qui fait que ceux-ci commencent à devenir conscients d’eux-mêmes et à choisir des méthodes personnelles pour améliorer leur niveau de compétences, la démarche de l’enseignant devenant elle aussi de plus en plus complexe. Le premier article, du deuxième axe, celui visant les pratiques du carnet à l’école primaire, article signé par Catherine Rebiffé et Roselyne Le Bourgeois-Viron, présente le résultat d’une recherche qui « s’appuie sur les liens entre échanges oraux et trace écrite, mais aussi sur la dimension retouchable, ajustable de l’objet carnet réunissant dessins, photographies et dictée, afin d’initier les élèves à l’écrit » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 19). Pour ce qui est de l’enseignement de l’histoire à des élèves du cycle 3, avec une pensée critique en construction et une difficulté de comprendre un vocabulaire plus compliqué et les langages spécialisés, Dominique Briand propose le carnet Renefer, un choix parfait à son avis, vu que « l’artiste qui réalise les estampes sur le conflit [de la Grande Guerre] s’adresse à une enfant [de huit ans], sa fille » (Briand 2019 : 97), appelée par Renefer lui-même « Belle Petite Monde ». Un autre aspect important est lié au message transmis par l’image envisagée dans cette perspective. Il s’agit en effet de filtrer l’information en sorte que la violence et la souffrance soient perçues à des degrés émotionnels différents, pour laisser à l’élève la possibilité de débats, de réflexions. Les textes qui accompagnent les images du carnet Renefer, succincts mais suggestifs, s’adaptent également au niveau d’âge et implicitement de compréhension. Les élèves sont sensibilisés, invités à voir le côté humain, le brin de vie et d’espoir qui peuvent se cacher derrière une situation réaliste. Le carnet Renefer didactisé amène les élèves « à apprendre l’histoire dans une démarche active et clairement pluridisciplinaire qui laisse une place importante à l’histoire des arts » (Briand 2019 : 105). Le carnet d’artiste comme instrument didactique, plus exactement celui de Miquel Barceló qui a séjourné en Afrique et dont les carnets d’artiste témoignent de ses voyages et de l’utilisation des moyens locaux pour peindre ou même pour faire sécher les peintures est proposé par Marie-Laure Guégan. En passant par des crayons aquarelles, Miquel Barceló va ajouter du relief dans les pages peintes de ses carnets (« papiers d’emballage, billets de banque [par leur graphisme ils peuvent devenir le motif textile d’une robe de femme, par exemple], paquets de cigarettes, boîtes de médicaments » qui sont collés ou bien collés et arrachés par la suite). Pour réaliser des nuances différentes ou une autre texture, il y rajoute des « débris de tabac ou de fibre végétale agrégés de la terre, du sable ou de pigments » (Guégan 2019 : 117). Il est aidé par l’observation profonde de la nature, des changements perpétuels, du mélange des matières qui se développent, se modifient le long des années. Ainsi, il intègre dans ses peintures « le temps long (des civilisations), le temps moyen (à l’aune d’une période politique), le temps court (à la dimension de l’individu) » (Guégan 2019 : 121), aussi bien que l’espace, la lumière, l’ombre, les matières, le corps, l’inventivité. Toutes ces qualités recommandent déjà l’auteur pour l’exploitation didactique dans le primaire, il y vient avec un modèle d’intégration de l’enfant dans le monde. L’article de Marie-Laure Guégan parle de l’intégration du travail sur les carnets de l’artiste dans la réalisation de la couverture d’un carnet de voyage par les élèves du cycle 3 en CM2, (cycle de consolidation). D’où la nécessité d’introduire la peinture ou les carnets d’artistes « non comme modèles à imiter, mais comme objets de contemplation et de réflexion » (Guégan 2019 : 128). Dans l’article suivant, Élise Ouvrard parle d’un type de carnet qui permet l’exploitation des pratiques interdisciplinaires à l’école primaire, domaine moins approfondi dans le cadre de ces pratiques ; le but spécifique est celui de la « construction de la compétence interculturelle » qui « s’inscrit plus largement dans l’esprit d’une approche d’enseignement-apprentissage par compétences » (Ouvrard 2019 : 132). L’accent mis sur la compétence est perçu par Guy de Boterf, cité par Élise Ouvrard, comme « manifestation dans l’interprétation », à savoir la possibilité de « construire sa propre réponse pertinente, sa propre façon d’agir » (Cf. Ouvrard 2019 : 132 cité de Le Boterf 2001 :40) dans un processus qui vise la création de liens entre les éléments assimilés (ressources, activités et résultats pour une tâche donnée). Le professeur devient dans ce contexte, la personne qui traduit des contenus en actions qui servent « à mettre en œuvre, à sélectionner des tâches de difficulté croissante qui permettront aux élèves de gagner progressivement une maîtrise des compétences » (Ouvrard 2019 : 133). Cette perspective fait du carnet « un outil permettant de tisser des liens entre la culture scolaire et les expériences hors de la classe, mais aussi de décloisonner des apprentissages, de s’éloigner de l’approche par contenus-matière » (Ouvrard 2019 : 133). C’est un cadre d’analyse qui intègre la perspective didactique du français aussi bien que l’anthropologie de l’écriture. L’activité pratique consiste dans le travail sur des carnets de voyage avec des élèves en CM1 et CM2, venant de deux écoles différentes et qui préparent et effectuent un voyage en Angleterre. Les étapes du parcours visent : - entretiens individuels pré- et post-expérimentation des quatre enseignants concernés ; - fiche de préparation des séances autour du carnet ; - questionnaire pré- et post-expérimentation soumis aux élèves ; - entretiens collectifs post-expérimentation des élèves ; - photographies des carnets à mi-parcours de l’expérimentation et à la fin du parcours. L’analyse des documents a prouvé que les élèves ont réagi de manière positive. Ils ont apprécié le carnet comme plus valeureux que le cahier. Le premier permet un rapport plus complexe avec le milieu social, avec la famille, avec la famille d’accueil dans le cadre du voyage, même des visioconférences avec la famille. À partir des carnets de voyage on peut initier le principe des carnets de l’amitié qui permet au carnet d’un élève de circuler dans un petit groupe et s’enrichir des ajouts des autres collègues. On peut avoir également l’occasion de découvrir des talents des élèves, de mieux les connaître, de mettre l’accent sur leur autonomie. Différentes disciplines peuvent s’y intégrer : le français, l’anglais, l’histoire, les mathématiques, la géographie, la musique, les arts. Important s’avère le décloisonnement des disciplines par le choix de créneaux distincts pour l’utilisation-exploitation des carnets de voyage. Le dernier groupement d’articles, axé sur le passage d’une approche anthropologique à une approche culturelle, tente d’envisager un avenir pour le carnet. En tant que spécialiste des pratiques scripturales adolescentes, partant de la théorie de Roger T. Pédauque pour le document, Elisabeth Schneider se concentre dans son article sur le téléphone mobile par ce qu’on appelle « polytopie scripturale qui caractérise l’interaction des processus d’écriture, des activités et des déplacements avec le téléphone mobile » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 21), celui-ci s’encadrant du point de vue épistémologique, dans les catégories « signe », « forme » et « médium », tridimensionnalité qui permet de « comprendre les enjeux actuels concernant l’auctorialité, la structure du document, par exemple, mais aussi d’en revisiter l’histoire » (Schneider 2019 : 164). L’importance du blog pédagogique comme carnet médiatique multimodal, résultat du travail avec des étudiants sous contrat Erasmus ou type Erasmus venus à l’ESPE de Caen pour mettre en lumière l’expérience interculturelle, est démontrée par Magali Jeannin. Son article prend comme point d’encrage les notions d’« hypermobilité » pour les individus avec une identité « hypermoderne », en pleine « mouvance » et « liquidité » (Jeannin 2019 : 169), qui, des fois, dans le cas des étudiants, pourrait se concrétiser en « expérience interculturelle » et « tourisme universitaire ». L’intérêt de l’auteure va vers l’interrogation, « les enjeux et les moyens d’une didactique de l’implication du sujet en contexte interculturel » par un « blog pédagogique des étudiants étrangers » lié au cours sur les compétences interculturelles. Ainsi, parmi les enjeux du « blog pédagogique des étudiants à l’étranger » comme carnet multimodal comptent : donner à l’expérience culturelle la valeur subjective qui évite la réification du sujet en investissant « la langue et la culture cibles comme des faits et pratiques sociaux (inter)subjectifs » (Jeannin 2019 : 171) et même transsubjectifs d’après le modèle du blog libre ; le blog-carnet devient un espace de rencontre entre carnet de voyage et carnet de lecture, carnet d’expérience, carnet d’ethnographie (avec un mélange entre langue cible et langue source) ; il s’inscrit « dans une tradition de l’écriture de l’expérience en classe de FLE » (Jeannin 2019 : 173). Les écrits en grande mesure programmés du blog pédagogique sont ensuite exploités ; ils répondent en même temps « à des besoins personnels » et à des « fins universitaires » (Jeannin 2019 : 174). Par ce procédé, le réel est pris comme un processus non pas comme une simple représentation. Toujours avec une visée interculturelle, le dernier article de cette série fait référence à l’Institut régional du travail social Normandie-Caen, dont le but est de former « les futurs travailleurs sociaux » (Hébert-Loizelet, & Ouvrard 2019 : 21), par une recherche franco-québécoise qui concerne l’implication des mobilités internationales pour études. Ce volume représente un outil particulièrement important en didactique, un outil que je recommande chaleureusement en égale mesure aux enseignants et aux chercheurs spécialisés. Si je me suis arrêtée sur quelques articles, c’est parce qu’il m’a semblé important d’insister sur des côtés qui sont moins exploités par les enseignants roumains et qui mériteraient de l’être.
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5

Florian GUÉRIN. "L’easyjet-setting de Paris à Berlin." Le tourisme hors des sentiers battus 34, no. 1-2 (March 15, 2015). http://dx.doi.org/10.7202/1038822ar.

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Abstract:
L’easyjet-setting, ou tourisme urbain de court séjour, nocturne et festif, est une pratique sociale émergente qui marque un tournant dans les comportements touristiques. La recherche du plaisir « ici et maintenant » (par le clubbing) prime sur les autres aspects de la ville, la dimension borderline (le sublime effrayant) l’emporte sur l’intégration dans la société d’accueil et la configuration spatiotemporelle des city-breakers est poussée à l’extrême (par un comportement hypermoderne). Symbole de la troisième modernité, cette pratique modifie la relation au cadre urbain – devenu un espace métapolitain – et à l’urbanité – devenue hypertexte. La politique foncière et du micro-événementiel, en faveur de cette pratique, permettrait d’améliorer l’attractivité d’une ville et de profiter de ses retombées économiques, grâce à un urbanisme soft. Cependant, de véritables questionnements se posent sur l’impact urbain (en termes de démographie, de banalisation, etc.) et sur le rapport à l’Autre (en termes d’hospitalité urbaine, de cohabitation, etc.). Scientifiquement, interroger une pratique sociale a priori marginale, dans le contexte spécifique de Berlin, nous permet de critiquer les catégories d’analyse classiques (des champs du tourisme et de l’urbain) et de les enrichir. Repenser les unes à la lumière des autres nous permettrait de mieux comprendre la complexité des évolutions du tourisme urbain, donc, de la société actuelle.
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Namaste, Nina B. "Designing and Evaluating Students' Transformative Learning." Canadian Journal for the Scholarship of Teaching and Learning 8, no. 3 (December 4, 2017). http://dx.doi.org/10.5206/cjsotl-rcacea.2017.3.5.

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Abstract:
Transformative learning hinges on navigating cognitive dissonance; thus, intercultural competency assignments and experiences need to be integrated into study abroad/away courses to help students process and make sense of the cognitive dissonance such an experience provides. Assignments, therefore, need to consciously and intentionally triangulate learning by addressing the read (course readings), the lived/observed (conversations, interactions, activities, excursions, observations about public portrayals of culture, etc.), and the compared (home culture vs. host culture). The hope is to improve students’ experiences so that semesters abroad are consistently deep, enriching, and intellectual as opposed to simply an extended tourist sojourn. This article documents the process by which I designed for and assessed, via an in-depth analysis of students’ texts/writings, students’ transformation of their intercultural competency skills and development. In addition, I compared students’ works from two differing semesters to evaluate whether transformation in intercultural competency is inherent in the nature of study abroad or must be explicitly taught and cultivated. My Scholarship of Teaching and Learning (SoTL) project corroborated the almost ten years of research that confirm our fears: exposure to another culture is not enough; studying and living abroad does not necessarily lead to increased intercultural learning. Meaningful, integrative, “learning-laden,” and transformative study abroad experiences hinge on students’ ability to make sense of cognitive dissonance. Intercultural competency assignments, therefore, need to be fully and intentionally designed and integrated into such experiences, and evaluated to document such growth. L’apprentissage transformationnel repose sur la manière de naviguer la dissonance cognitive. Par conséquent, les devoirs qui traitent de la compétence interculturelle ainsi que les expériences nécessaires doivent être intégrés dans les cours d’études à l’étranger pour aider les étudiants à comprendre et à donner un sens à des dissonances cognitives que de telles expériences leur apportent. Ainsi, les devoirs doivent donc consciemment et intentionnellement trianguler l’apprentissage en tenant compte des lectures (documents à lire pour le cours), du vécu et des observations (conversations, interactions, activités, excursions, observations concernant la représentation publique de la culture, etc.) ainsi que de la comparaison (culture de son propre pays versus culture du pays hôte). L’objectif est d’améliorer les expériences des étudiants afin que les semestres à l’étranger soient toujours soldés par une expérience profonde, enrichissante et intellectuelle plutôt que d’être de simples séjours touristiques prolongés. Dans cet article, je documente le processus par lequel j’ai conçu et évalué, par le biais d’une analyse en profondeur des textes et des écrits des étudiants, la transformation des capacités et du développement des étudiants en matière de compétence intellectuelle. De plus, je compare les travaux des étudiants de deux semestres différents afin d’évaluer si la transformation en matière de compétence interculturelle est inhérente à la nature des études à l’étranger ou bien si elle doit être explicitement enseignée et cultivée. Mon projet d’avancement des connaissances en enseignement et en apprentissage (ACEA) a corroboré les recherches menées au cours de presque dix années qui confirment nos craintes : l’exposition à une autre culture n’est pas suffisante; le fait d’aller vivre et étudier à l’étranger ne mène pas nécessairement à un meilleur apprentissage interculturel. Les expériences d’études à l’étranger significatives, intégratives, chargées d’apprentissage et transformationnelles reposent sur l’aptitude des étudiants à donner un sens à la dissonance cognitive. Par conséquent, les devoirs qui portent sur la compétence interculturelle doivent être entièrement et intentionnellement conçus et intégrés à de telles expériences, et ils doivent être évalués pour documenter cette croissance.
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Books on the topic "Courts séjours (tourisme)"

1

Le Pudlo week-ends: 77 destinations pour rêver. Neuilly-sur-Seine: M. Lafon, 2000.

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2

Week-ends autour de Paris. 2nd ed. [Paris]: Hachette, 2008.

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3

Cracovie en quelques jours. Paris: Lonely planet, 2010.

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4

Bacquet, Rodolphe. Amsterdam à petits prix. Paris: En voyage éd., 2012.

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5

Bourdoiseau, Christophe. Berlin à petits prix. Paris: En voyage éd., 2011.

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6

Candice, Greggi, ed. Rome à petits prix. 2nd ed. Paris: En voyage éd., 2013.

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7

Paris à petits prix. Paris: En voyage éd., 2011.

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8

Paris. Paris: Lonely planet, 2008.

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9

Paris en quelques jours. Paris: Lonely planet, 2015.

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10

París de cerca. Barcelona: Planeta, 2008.

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