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1

Riquier, Camille. "La crédulité du savant." Esprit Mars, no. 3 (2021): 69–80. http://dx.doi.org/10.3917/espri.2015.0069.

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2

Vallet, Odon, and Jean-Pierre Weisselberg. "Distinguons croyance et crédulité." Humanisme N° 299, no. 2 (2013): 70–74. http://dx.doi.org/10.3917/huma.299.0070.

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3

Mopin, Jacques, and Alexandre Biosse-Duplan. "Crédulité, vulnérabilité... sources de profit." Les Tribunes de la santé 8, no. 3 (2005): 41. http://dx.doi.org/10.3917/seve.008.46.

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4

Perrouty-Perret, Stéphanie. "Fabrice CLÉMENT, Les mécanismes de la crédulité,." Communication, Vol. 26/1 (November 15, 2007): 204–9. http://dx.doi.org/10.4000/communication.778.

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5

Wackenheim, Charles. "La foi entre l'incroyance et la crédulité - Repères théologiques." Revue des Sciences Religieuses 64, no. 3 (1990): 307–17. http://dx.doi.org/10.3406/rscir.1990.3155.

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6

Maxwell, Robert A. "La crédulité, le doute et la pratique artistique au xiie siècle." Cahiers de civilisation médiévale, no. 252 (December 1, 2020): 233–66. http://dx.doi.org/10.4000/ccm.5344.

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7

Morris, Raymond N. "La carnavalisation du politique: la campagne référendaire vue par Girerd." Recherche 30, no. 1 (2005): 19–48. http://dx.doi.org/10.7202/056406ar.

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Abstract:
L'image du carnaval aide à comprendre les caricatures fédéralistes de Girerd sur le Référendum de 1980 autant que celles de Berthio. Girerd regarde la campagne du Oui en décortiquant deux oppositions populaires : entre enfant et adulte, et entre politicien et intellectuel. Les chefs des deux options deviennent des enfants jouant aux adultes de manière risible. Selon la mordante satire du caricaturiste, l'équipe du Oui renverse son image de rationalité en comptant sur la crédulité du public. Girerd perçoit la défaite du Oui comme la mise à mort de l'alliance entre intellectuels, féministes et l'État.
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8

Dupas, Jean-Claude. "Crédulité et crédibilité, ou le voyage de Gulliver au pays du malentendu." XVII-XVIII. Revue de la société d'études anglo-américaines des XVIIe et XVIIIe siècles 27, no. 1 (1988): 85–104. http://dx.doi.org/10.3406/xvii.1988.1146.

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9

d’Entremont, Carmen. "Pourquoi joue-t-on des tours ? Le cas de la mystification en Acadie." Études 16 (September 14, 2018): 11–24. http://dx.doi.org/10.7202/1051321ar.

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Abstract:
La mystification, une coutume universelle qui consiste à tromper les gens en abusant de leur crédulité, fut particulièrement vigoureuse en Acadie au xxe siècle ; sa présence dans les grands domaines de la tradition, fêtes calendaires, rites de passage, activités quotidiennes et littérature orale, témoigne de la vitalité de cette pratique. Malgré la ténacité et la popularité de la mystification, très peu de chercheurs se sont, jusqu’à ce jour, penchés spécifiquement sur ce sujet, notamment dans la francophonie. Ainsi, j’ai répertorié et analysé les anecdotes racontant les divers tours joués en Acadie afin de saisir l’essentiel de la coutume. Cet article se concentre sur un aspect particulier de la mystification ; illustré par des exemples, il donne un aperçu des motifs communs pour lesquels on joue des tours.
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10

Vauchez, Ysé. "La crédulité des crédules. Débat public et panique morale autour des fake news en France." Emulations - Revue de sciences sociales, no. 41 (June 20, 2022): 71–101. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.041.04.

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Abstract:
Depuis son apparition au début de l’année 2017, le terme de « fake news » suscite une production relativement constante de discours publics, politiques ou médiatiques à son propos. Leur abondance, ainsi que leur nature parfois alarmiste ou catastrophiste, conduit certains à employer l’expression de « panique morale », ou de « panique médiatique », afin de qualifier ce moment d’inquiétude collective concernant la désinformation en ligne et ses conséquences négatives sur les comportements individuels. Cet article vise donc à interroger et explorer cette application du concept de panique morale à la « crise des fake news », à travers l’analyse de corpus des émissions audiovisuelles qui portent sur ce phénomène en France entre 2017 et 2019. Celle-ci revient sur les espaces médiatiques de diffusion, les positions des invités des émissions, et les cadrages thématiques qui y sont développés : définition du phénomène, causes et responsables, conséquences sur les publics. Cette analyse permet ainsi de saisir comment cette séquence médiatique particulière a contribué à façonner le champ des possibles d’une action publique de lutte contre les fake news.
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11

Mariani Zini, Fosca. "Le jugement suspendu: la calomnie à Florence." Traditio 53 (1998): 231–49. http://dx.doi.org/10.1017/s0362152900012149.

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Abstract:
Dans le tableau de Botticelli La calunnia, un jeune homme demi-nu est traîné devant un homme couronné aux grandes oreilles dans lesquelles deux femmes, les ayant empoignées, chuchotent quelque chose. Que se passe-t-il? Le jeune homme est amené de force devant un prince pour être jugé. De quoi doit-il répondre? Nul chef d'accusation n'est patent, nulle trace de méfait. Le seul indice repérable est dans ce geste: parler dans l'oreille, prêter l'oreille. Voilà la calomnie: elle est tout entière dans ce chuchotement, dans le fait de souffler àl'oreille des accusations qui, tout en n'é tant pas étayées par des preuves, deviennent persuasives et convainquent de leur bien fondé par la seule crédulité de qui leur prête l'oreille. Car la calomnie n'est pas tout simplement une forme du mensonge: celui-ci implique un écart entre ce qu'on sait et ce qu'on affirme et n'engage que la personne même qui ment, sa propre crédibilité. La calomnie, par contre, consiste dans une accusation qui vise àcompromettre la crédibilité d'autrui par une stratégie spécifique, la présupposition pragmatique. Celle-ci remonte d'une constatation àce qui est censé la rendre possible. Sa formulation peut être exprimée de la sorte: si X dit ou fait Y, alors on suppose que X a dit ou fait Z: elle s'appuie donc sur l'accumulation d'indices défavorables pour les diriger en faisceau contre quelqu'un. C'est essentiellement une attaque ad personam, qui discrédite non seulement ce qu'est la personne, mais ce qu'elle dit ou fait. Souffler àl'oreille est ainsi le geste qui traduit le mieux cette présupposition pragmatique, de même que le fait de prêter l'oreille exprime clairement la crédulité de celui qui donne son assentiment sans avoir réfléchi.Aussi bien ce geste que le sujet du tableau sont inspirés d'un texte de Lucien de Samosate: Calumnia non temere credendum, où l'auteur relate la calomnie dont Apelle fut victime. Le célèbre peintre faisait partie de la cour du prince Ptolémée Philopator d'Egypte; un des peintres rivaux, Antiphile, dénonça Apelle au prince comme conspirateur dans la conjuration de Tyr, perpétrée par Théodotos. Heureusement, l'un des conjurés arrêtés avoua que le peintre n'avait eu aucune part au complot. Apelle se sauva, mais, dégoûté de la méchanceté de l'un et de la crédulité de l'autre, se vengea en peignant un tableau sur la calomnie. Cependant, le tableau d'Apelle ne nous est pas parvenu; seul Lucien, parmi les auteurs de l'Antiquité, le décrit; voici comment: Sur la droite est assis un homme qui porte de longues oreilles à peu près semblables à celles de Midas. Il tend la main à la Calomnie qui s'avance de loin. Près de lui sont deux femmes, Ignorance (Agnoia) et Soupçon (Hypolepsis), deux figures féminines. De l'autre côté on voit la Calomnie (Diabole), s'avançant sous la forme d'une très belle femme: elle a le visage enflammé de colère; de sa main gauche, elle tient une torche, de l'autre elle traîne par les cheveux un jeune homme qui lève les mains au ciel, et semble prendre les dieux à témoin, Un homme pâle lui sert de conducteur; il a le regard sombre et figé, sa maigreur est extrême, maladive: c'est l'envieux personnifié (Phthonos). Deux autres femmes accompagnent la Calomnie, l'encourageant et lui arrangeant les vêtements et la parure: l'une est la Tromperie (Apate; Fraus; Fraude), l'autre est la Perfidie (Epiboule; Insidia; Piège): tel est du moins le nom sous lequel les désignait celui qui m'expliquait ce tableau. Elles sont sui vies de loin par une femme en deuil: son habit est noir, déchiré en mille endroits; on la nomme le Remords (Metanoia); elle détourne la tête, verse des larmes, et regarde honteusement la Vérité (Aletheia) qui vient à sa rencontre. C'est ainsi qu'Apelle a su représenter avec son pinceau le danger qu'il avait couru.Par un cortège de passions et d'attitudes Apelle a exhibé la dynamique de la calomnie. L'envie et le remords scandent le déroulement du procès: la première déclenche tout le mouvement étant l'instigatrice de l'ignorance et du soupçon, L'homme envieux tient en fait par le poignet la calomnie et inspire les conduites qui l'accompagnent: la fraude et la perfidie. Le remords clôt, mais après coup, les méfaits de la calomnie: il adresse un regard à la vérité qui se tient à l'écart de la scène. Et surtout le geste croisé: parler dans l'oreille, prêter l'oreille, fige par un arrêt sur l'image la calomnie à l'oeuvre; il met sous les yeux la responsabilité conjointe de la malveillance et de la crédulité.
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Rouiller, Sybille. "Éclectisme et polysémie des « théories du complot » sur le Web et dans l’industrie du divertissement. Enquête ethnographique sur leur réception par des élèves (15–18 ans) suisses et français." Studies in Religion/Sciences Religieuses 48, no. 4 (2019): 593–611. http://dx.doi.org/10.1177/0008429819868677.

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Abstract:
En France, suite aux attentats de Paris en 2015, plusieurs enquêtes d’opinions et articles de presse (Kreis, 2015) établissent des liens importants entre « numérique », « théories du complot », « crédulité » et « radicalisation » qui toucheraient en particulier la jeunesse actuelle. A partir d’une enquête ethnographique dans des établissements scolaires secondaires en France et en Suisse, cet article propose d’apporter un éclairage sur la diversité des représentations et usages des « théories du complot » chez des adolescents (15–18 ans). Il abordera notamment l’éclectisme et la polysémie des « théories du complot » en circulation sur le Web et dans l’industrie du divertissement. Enfin, il prêtera une attention particulière aux comportements que ces adolescents adoptent face au jugement que leurs pairs ou les enseignants – voire la chercheuse – pourraient porter sur ces thématiques dans un contexte où ces dernières sont souvent réduites à un mode de pensée irrationnel ou un signe d’embrigadement politique ou religieux.
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Le Saux, Françoise. "La femme, le chien et le clerc." Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 28 (December 31, 2016): 130–41. http://dx.doi.org/10.1075/rein.28.09les.

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Abstract:
Cette étude explore le réseau symbolique entre femme et animal dans le fabliau moyen-anglais Dame Sirith and the Weeping Bitch, et offre une réinterprétation du personnage de Margery à la lumière du Liber vaccae. Cet ouvrage (pseudo-)scientifique bien connu dans les milieux universitaires dès le début du XIIIe siècle atteste une croyance en la possibilité de transformer un être humain en animal: la crédulité de la jeune femme relèverait ainsi d’un trait de société, tout autant que d’une faiblesse personnelle. Les changements apportés par Caxton à sa version du fabliau – en particulier, sa substitution d’une chienne par une chatte dans son récit de la ruse de l’entremetteuse, et un retour au context païen de l’histoire telle que la relate Petrus Alfonsi – sont révélateurs d’un désir de distanciation par rapport à une thématique plus dérangeante que ne l’aurait soupçonné le lecteur du XXIe siècle.
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Agrimi, Joie, and Chiara Crisciani. "Savoir médical et anthropologie religieuse. Les représentations et les fonctions de la vetula (XIIIe-XVe siècle)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 48, no. 5 (1993): 1281–308. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1993.279212.

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Abstract:
Dans son Contra superstitionem, Jean Gerson introduit les vetuleou « vieilles femmes », parmi les agents et parmi les victimes de la credulitaset des fausses observationes : soit que les vetule soient spécialement promptes à la crédulité, soit qu'elles prêtent un concours spécialement efficace à la propagation des fausses croyances et des pratiques illicites. J. Gerson ne fait certes pas des vetule la cause unique, ni la racine la plus inextirpable, d'errements aussi néfastes pour le corps et pour l'âme que profondément infiltrés dans la société chrétienne. J. Gerson définit la vetula comme sortilega: c'est, affirme-t-il, un épithète ou une qualification antonomastique, appuyée de plus, précise-t-il encore, sur l'association usuelle des deux termes dans le français vulgaire ; comme si l'on ne pouvait pas prononcer vieilles sans ajouter irrésistiblement sorcières.Le texte de J. Gerson ainsi hanté par cette antonomase de la vetula sortilega est un jalon significatif dans l'élaboration et la représentation du personnage de la vetula; il en balise aussi l'environnement textuel et le cadre chronologique.
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Bauer Raposo, Benjamin, Myrto Pantazi, and Olivier Klein. "L’influence de la consommation alimentaire sur la crédulité par rapport aux théories du complot : une étude expérimentale." Les Cahiers Internationaux de Psychologie Sociale Numéro106, no. 2 (2015): 149. http://dx.doi.org/10.3917/cips.106.0149.

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Simon, Maryse. "« Baisier » et « extorquez »." Source(s) – Arts, Civilisation et Histoire de l’Europe, no. 16 (October 20, 2022): 19–46. http://dx.doi.org/10.57086/sources.133.

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Abstract:
« Baisier » et « extorquez ». Les sorciers de Paris du XIVe au XVIIe siècle — Paris n’avait pas été étudiée jusqu’à présent en tant que territoire spécifique de sorcellerie à l’époque moderne. Le contexte urbain de la capitale du royaume montre des spécificités avec notamment l’importance des questions de sexe, d’amour et d’argent. La relative rareté des accusations de sorcellerie depuis le XIVe siècle jusqu’à la décriminalisation de la sorcellerie en 1682 peut s’expliquer par une certaine clémence affichée par la cour du Parlement de Paris, favorisée par un entrelacs de juridictions seigneuriales mais aussi par une proximité avec la cour férue de magie et avec une université qui parfois dédiabolise ces affaires. Les médecins participent du changement de perception de la sorcière, malgré l’influence du philosophe, juge et démonologue Jean Bodin qui veut au contraire convaincre de la dangerosité de l’engeance diabolique. Et les sorciers finissent par apparaître à la fin du XVIIe siècle comme des escrocs monnayant la crédulité des Parisiens. Mais cette étude toujours en cours de la sorcellerie parisienne peut encore révéler d’autres conclusions.
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Cressy, David. "De la fiction dans les archives ? ou le Monstre de 1569." Annales. Histoire, Sciences Sociales 48, no. 5 (1993): 1309–29. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1993.279213.

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Abstract:
Il s'agit là d'une histoire sur les histoires, sur les témoignages divers et les fragments d'informations qui gravitent autour de la narration d'un récit historique. Elle commence par une plongée dans la culture villageoise de l'Angleterre élisabéthaine, emprunte les voies sinueuses de la gynécologie, des pratiques de sages-femmes, de la justice ecclésiastique, fait un détour par la littérature éphémère des pamphlets et s'achève dans les dossiers des membres du Conseil privé de la reine. En chemin, elle soulève de multiples interrogations sur la vérité et les preuves, la crédulité et la crédibilité, l'authenticité et la vérification, ainsi que sur le caractère insaisissable du récit historique. C'est une histoire qui rapproche les préoccupations des notables locaux et celles du pouvoir central, celles des magistrats laïcs et ecclésiastiques, celles des hommes et des femmes ; c'est également un défi pour l'historien qui doit faire preuve d'imagination et d'humilité quant à la possibilité de jamais donner un sens au passé. Quoi que ces matériaux puissent encore nous apprendre, ils nous obligent à réfléchir aux fondements de nos connaissances et aux critères de « crédibilité d'un récit ». L'un des acteurs de cette histoire déclarain fine: « il n'est rien de si secret qui ne sera percé à jour », mais même lui ne savait pas exactement ce qu'il fallait en penser.
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Toutant, Marc. "Les États spirituels de Muḥammad le Champion (Ḥālāt-i Pahlawān Muḥammad) de Mīr ʿAlī Shīr Nawāʾī". Journal of Sufi Studies 10, № 1-2 (2021): 29–52. http://dx.doi.org/10.1163/22105956-bja10014.

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Abstract:
Résumé Dans le Ḥālāt-i Pahlawān Muḥammad (« Les États spirituels de Muḥammad Le Champion », 899/1493), le grand polygraphe timouride Mīr ʿAlī Shīr Nawāʾī (844-906/ 1441-1501) retrace la carrière d’un champion de lutte qui fut aussi un célèbre mystique. Nawāʾī avait rencontré le Champion lorsqu’il avait lui-même dû trouver refuge à Machhad au début des années 860/fin des années 1450 et les deux hommes restèrent ainsi de proches compagnons jusqu’à la mort de Pahlawān Muḥammad en 899/1493 à Niʿmatābād (une bourgade située dans les environs de Hérat). Bien qu’issu d’une famille d’éminents lutteurs, Pahlawān Muḥammad brillait aussi par ses talents de musicien, de poète, de médecin et d’astrologue. Le récit de Nawāʾī plonge alors son lecteur dans un univers qui se situe au croisement de ces diverses pratiques, depuis les soirées littéraires (majlis) qui réunissaient la haute société de la capitale timouride jusqu’aux activités charitables de l’hostellerie soufie (takiya) du Champion. Inscrit dans le genre hagiographique par son titre, le texte se distingue cependant des ḥalāt et manāqib traditionnels de plusieurs façons. La vie de l’athlète soufi est d’abord envisagée du point de vue des relations que ce dernier entretenait avec l’auteur. Nawāʾī est ainsi un acteur de premier plan dans cette biographie héroïque et le rôle qu’il tient l’incite à jouer avec les codes de l’hagiographie. N’hésitant pas à se mettre en scène dans un dialogue savoureux, il tourne en dérision sa propre crédulité face à ce qu’il est tenté d’interpréter au départ comme l’expression d’un pouvoir surnaturel du Champion et qui n’est en définitive que l’ultime témoignage de son tempérament et de ses mérites exceptionnels, autant de qualités qui constituent pour le poète naqshbandī la vraie nature de l’ethos soufi.
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Wolfart, Johannes. "Why Was There Even a Reformation in Lindau? The Myth and Mystery of Lindau’s Conflict-Free Reformation." Renaissance and Reformation 40, no. 4 (2018): 43–72. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v40i4.29268.

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Abstract:
Histories of Lindau emphasize a remarkably conflict-free course of early reform in that particular locale. This view is established and maintained by multiple means, including hyper-credulity towards the peacefulness asserted by local authorities, anachronistic projections of the confessional “compromise” that was the Tetrapolitana back into the 1520s, and a deliberately narrow definition of key subjects, to exclude obvious contrary evidence. While Bernd Moeller has recently remarked that Lindau society was so harmonious that it is surprising there was any Reformation at all, archival sources actually indicate conflict in several areas pertaining to the early Reformation in Lindau, including interpersonal violence over key theological issues, the social conflict of the Peasant’s War, and stark communal divisions over iconoclasm, resulting in the ritual conflict of a feud. This article is both a particular historical corrective and a general historiographical illustration of how mythographic and historiographic modes may be entangled in early Reformation studies.
 Les ouvrages d’histoire montrent un début de Réforme remarquablement exempt de conflit dans l’histoire de Lindau. Cette interprétation fut établie et renforcée de plusieurs façons, dont une excessive crédulité envers les assertions de paix faites par les autorités locales, la projection anachronique de l’esprit de compromis confessionnel propre au Tetrapolitana de 1520, ainsi que la restriction délibérée des définitions de certains sujets essentiels, menée afin de réduire les contradictions patentes. Bien que Bernd Moeller ait récemment fait remarquer que la société de Lindau apparaît comme si harmonieuse que l’on peut s’étonner qu’il s’y soit même déroulé une Réforme, les documents d’archives révèlent plutôt l’existence de conflits dans plusieurs secteurs de Lindau au début de la Réforme, conflits prenant la forme, par exemple, de violences entre interlocuteurs lors de discussions sur des questions théologiques centrales, de conflits sociaux participant de la Guerre des Paysans, et de sérieuses divisions marquant la communauté au sujet de l’iconoclasme, ayant pour résultat un échange formel de représailles. Cet article cherche donc à la fois à corriger l’histoire et à mettre en lumière, par ce cas de figure, comment les usages mythographiques et historiographiques s’enchevêtrent et marquent les études des débuts de la Réforme.
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Besançon, Alain. "La Russie et les crédulités françaises." Commentaire Numéro 138, no. 2 (2012): 381. http://dx.doi.org/10.3917/comm.138.0381.

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"Crédulité et Rumeurs de Gérald Bronner et Krassinsky, Le Lombard." Cerveau & Psycho N° 100, no. 6 (2018): 92a. http://dx.doi.org/10.3917/cerpsy.100.0092a.

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Singleton, Michael. "Magie et sorcellerie." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.099.

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Abstract:
Bien avant que Heidegger ait insisté sur la nécessité de poser la bonne question (Fragestellung), les Scolastiques en établissaient l’état (status questionis) avant d’y répondre. Or, les savants occidentaux qui se sont interrogés à propos des phénomènes de la Magie et de la Sorcellerie ont souvent sauté à pieds joints dans le piège ethnocentrique tendu aussi bien par leur tradition gréco-latine et judéo-chrétienne que leur usage d’une langue indoeuropéenne. D’une part, la première a opposé les Vérités objectives de la Raison pure aux dérapages subjectifs de la Déraison émotive et la morale de la Religion révélée à l’immoralité de la superstition satanique. D’autre part, le second, à cause de la distinction factice entre le nom (nature) et le verbe (action adventice) a dissocié comme allant de soi les substances permanentes et profondes des choses de leurs variations accidentelles. Il se fait que ces présupposés paradigmatiques sont ignorés par la plupart des cultures non occidentales et préjugent la compréhension équitable de celles-ci par des esprits occidentaux. Pour bien le comprendre, jusqu’à preuve manifeste du contraire, il faut assumer que l’Autre le soit radicalement : qu’il a fait son monde en fonction de principes primordiaux et de préoccupations pratiques irréductibles à leurs pendants responsables pour le monde occidental et qu’il en parle de manière tout aussi incommensurable. Pour commencer au commencement : tout ce qui fait sens part de et revient à un acteur personnel, à un « Je », incarné dans son corps propre d’instant en instant et incorporé en continu dans sa situation sociohistorique. A supposer que « Je » soit un anthropologue occidental ou occidentalisé (il n’y en a pas d’autres) alors il aborde les faits ou les construits culturels d’autrui avec le déjà tout fait chez lui dont sa rationalité (scientifique) et sa religiosité (chrétienne) avec le risque d’identifier son interlocuteur indigène comme lui-même en plus petit et en moins performant. Le seul moyen d’éviter cette réduction des réalités d’autrui aux réalisations de chez soi est de le rencontrer en fonction de prémisses purement heuristiques telles qu’en amont, la primordialité de l’Agir et en aval, la localisation des actions de fait dans des lieux particuliers. Si tous les vivants, les humains inclus, cherchent à en sortir, justement, vivants, ils le font dans le milieu ou mode de (re)production où ils se retrouvent et avec la mentalité et selon les mœurs qui s’y trouvent. C’est dire que l’abc de l’approche anthropologique est d’ordre topologique : à chaque lieu (topos) sa logique et son langage. Or, abstraction faite de son dénigrement rationaliste et religieux, la magie définie comme la confiance (aveugle) dans l’efficacité (automatique) du recours (rigoureux voire rigoriste) à des moyens (mécaniques), des gestes (immuables) et des formules (figées), possède en propre un milieu où il a droit d’avoir lieu. Néanmoins, commençons par le non-lieu de la magie. Chez les Pygmées Bambuti du Congo il n’y a ni prêtre ni politicien, ni policier ni professeur, ni plombier ni prédateur. Par conséquence, en l’absence de tout Dehors pesant, idéologique ou institutionnel, il est tout à fait topo-logique que dans ses rapports avec les siens et la Forêt le « Je » le Mbuti ne se fie qu’à son dedans. D’où le fait que les topographes du monde pygmée ont constaté non seulement qu’il était sans magie aucune mais que sa religiosité étant une affaire de pure spiritualité personnelle il y avait peu de sens à parler d’une religion pygmée faute de spéculations dogmatiques et de structures cléricales. Par contre, chez leurs voisins, des agriculteurs bantous, les mêmes topographes (surtout les théologiens parmi eux) ont conclu que la magie avait largement pris le dessus sur le religieux. Mais, de nouveau, rien de plus topologiquement normal dans ce constat. Quand, dans un village bantou ou dans une paroisse ouvrière, tout vous tombe dessus en permanence du dehors et d’en haut, il n’y a guère de place pour le genre de religiosité profonde que peuvent se permettre des gens soit libres de leurs moyens soit en ayant peu. Quand les ancêtres ou l’administration vous ont imposé des tabous et des interdits dont le non-respect même involontaire entraine des sanctions immédiates et automatiques, quand votre comportement quotidien est préprogrammé à la lettre de votre condition sociale, de votre âge et sexe, quand pour faire face vous avez besoin des autorités et des experts, quand en respectant minutieusement le règlement vous évitez les ennuis et quand en remplissant correctement les formulaires des allocations familiales et autres vous sont acquises comme par magie… comment ne pas croire que des objets matériels et des opérations rituels produisent infailliblement par le simple fait d’avoir été scrupuleusement activés (ex opere operato) les objectifs escomptés ? Entre le respect irréfléchi des tabous ancestraux et l’observance stricte des commandements de l’Eglise, entre le recours à des amulettes prescrites par votre « sorcier » traitant et la foi dans les médailles miraculeuses distribuées par votre curé paroissial, entre l’efficacité ipso facto des malédictions et des bénédictions du magicien villageois et les paroles de transsubstantiation d’un prêtre catholique (même en vue d’une messe noire), il y a beau béer une abime théologique, topologiquement parlant c’est du pareil au même. De ce point de vue topologique, les missionnaires, notamment catholiques, n’ont pas tant converti le païen superstitieux à la religion révélée que remplacé la magie indigène par un succédané chrétien. Si, en devenant catholiques les WaKonongo que j’ai côtoyé dans la Tanzanie profonde entre 1969 et 1972 ont cessé de sacrifier un poulet noir à Katabi et commencé à se payer des messes à la Vierge contre la sécheresse c’est que restés foncièrement pagani ou ruraux, cette nouvelle interlocutrice leur était parue plus faiseuse de pluie que le préposé d’antan. Avant d’éventuellement passer à leur consécration ou à leur condamnation, il faut enlever dans la présence ou l’absence du langage et de la logique ritualiste (décrits et parfois décriés comme « la mentalité et mécanique magique ») tout ce qui relève inéluctablement du lieu. Ce ne sont pas les seuls rationalistes ou religieux occidentaux qui, en escamotant leurs conditions topologiques, se sont lancés dans appréciations et dépréciations intempestives de la magie et la sorcellerie. Les Pygmées préférant faire l’amour avec des femmes réglées se moquaient de la peur bleue du sang menstruel éprouvée par des Bantous. Débarqués volontairement au village, ils faisaient semblant de croire aux menées mortelles des sorciers afin de ne pas compromettre les ponctions qu’ils opéraient auprès de leur prétendus « Maîtres ». Les Ik, les pendants ougandais des Bambuti, tout en sachant que des rites magiques (sacrifice du poulet ou de la messe) ne pouvaient pas produire de la pluie en inventaient de toutes pièces pour profiter de la crédulité de leurs voisins pasteurs et agriculteurs. Il existe donc des lieux sans sorcellerie. Mais si c’est le cas, c’est surtout parce que pas plus que Le Mariage ou La Maladie et un tas d’autres choses du même gabarit onto-épistémologique, La Sorcellerie « ça » n’existe pas en tant qu’une substantialité qui serait solidement significative indépendamment de ses manifestations singulièrement situées. N’existent pleinement en définitive que des mariés, des malades et des sorciers. Le fait de s’exprimer en une langue indoeuropéenne induit cette illusion essentialiste que les pratiquants d’une autre langue ne partagent pas. En disant « il pleut » ou « it’s raining » nous imaginons instinctivement que le sujet de la phrase représente une entité essentielle, la pluie, qui existe au préalable avant, comme le verbe l’implique, qu’il se mette tout d’un coup mais après coup à pleuvoir. Or, et de manière autrement plus phénoménologiquement plausible, un peuple indien de l’Amérique du Nord, les Hopi, non seulement pensent uniquement à un processus, « la pluviation », mais quand ils en parlent ciblent une expérience particulière. Forcé et contraint par les évidences ethnographiques, ayant eu à enquêter sur des cas concrets de sorcellerie entre autres en Tanzanie, au Nigeria, au Congo, en Ethiopie et au Sénégal, j’ai chaque fois eu l’impression non pas d’avoir eu affaire à des variations de la Sorcellerie ut sic et en soi mais à des individus et des instances aussi incompressibles qu’incommensurables entre eux. Débarqué chez les WaKonongo non seulement avec des histoires de sorcellerie à l’occidentale en tête mais l’esprit empli d’élucubrations théoriques que j’imaginais devoir faire universellement loi et univoquement foi, mes interlocuteurs m’ont vite fait comprendre que je me trouvais ailleurs dans un monde tout autre. Puisqu’ils parlaient de mchawi et de mlozi, ayant en tête la distinction zande, j’ai demandé si le premier n’était pas mal intentionné à l’insu de son plein gré là où le second empoisonnait littéralement la vie des siens. Ils m’ont répondu n’avoir jamais pensé à cette possibilité, mais qu’ils allaient y réfléchir ! En conséquence, j’ai cessé de les harceler avec mes questions me contentant d’observer ce qu’ils disaient d’eux-mêmes et de participer à ce qu’ils faisaient – y inclus à des procès contre des sorciers. Ignorant notre dualisme manichéen (le Bon Dieu luttant avec le Mal incarné pour sauver les âmes du péché) ainsi que des manuels rédigés par des Inquisiteurs célibataires obsédés par « la chose », leurs sorciers n’avaient jamais pensé qu’ils pouvaient profiter d’un pacte avec le Diable et donner libre cours en sa compagnie à leur perversité sexuelle. Anthropophages, leurs sorciers avaient surtout faim (comme les WaKonongo eux-mêmes lors de la soudure ou des famines) et se débrouillaient sans faire appel à des démons. En outre, loin s’en faut, tous les wachawi n’étaient pas méchamment mauvais. Lors d’une réunion pour créer un village ujamaa personne n’a bronché quand parmi les spécialistes requis quelqu’un proposait un sorcier. « Etre vieux » et « être sorcier » semblaient parfois synonyme – peut-être comme l’aurait dit Gabriel Marcel, à cause du mystère qui entoure l’autorité des survivants. Traité de sorcier moi-même, on m’a rassuré que je comptais parmi les wachawi wa mchana (de plein jour) et non wa usiku (de la nuit). Si j’ai dû quitter précipitamment mon village c’est qu’à l’encontre des miens, contents d’avoir eu enfin affaire à un Blanc au courant du programme africain, les autorités du pays n’appréciaient guère le fait que j’aurais téléguidé des serpents sur un village rival. A première vue paradoxalement, la sorcellerie fonctionnait comme un mécanisme de justice distributive : ayant proposé de lui procurer de la tôle ondulée, un voisin dynamique a décliné mon offre de peur que le premier à en profiter des vieux jaloux n’envoient de nuit des hyènes dévorer les viscères de sa femme et ses enfants : « tant que tout le monde n’est pas en mesure de se procurer de la tôle » dit la croyance « personne n’y a droit ». Enfin et surtout, quand les WaKonongo parlaient de l’uchawi en général ils ne le faisaient jamais à froid afin d’aboutir au genre d’abstraction analytique d’ordre structurelle et substantialiste qui fait la joie des anthropologues théoriciens. C’était toujours à chaud et de manière heuristique : « n’ayant pas encore deviné le nom du mchawi qui m’en veut à mort je suis bien obligé de le situer dans un nébuleux anonyme ». Entre des hypothétiques sinon chimériques lames de fond qui ont pour nom la Magie ou la Sorcellerie et l’écume ethnographique qui émerge d’une multiplicité de monographies irréductibles, il faut bien choisir. Or, si l’anthropologie est ce que les anthropologues ont fait, font et feront, il n’y a pas de raison de croire que, pour l’essentiel, les magiciens et les sorciers (les uns plus approximativement que les autres), ne seraient que des avatars sociohistoriques de la Magie ou la Sorcellerie archétypiques fonctionnant comme des Réels de référence transhistorique et transculturels. Avant de les atteler accessoirement à l’une ou l’autre de ses charrues conceptuelles, l’anthropologue a intérêt de s’attarder sur le sort de ses bœufs vivants. En se contentant de faire état de ce que les magiciens et les sorciers ont diversement fait, font distinctement et feront autrement, on risque moins d’être victime de cette illusion d’optique ontologique que Whitehead décriait comme du « misplaced concreteness » - la confusion entre des substances purement spéculatives et la signification toujours singulière des « singletons » sociohistoriquement situées !
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