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Journal articles on the topic 'Croyance (philosophie)'

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1

Gagnon, Serge. "Le paradigme de la mort de Dieu dans les sciences humaines de la religion." Document 71 (December 12, 2011): 65–88. http://dx.doi.org/10.7202/1006612ar.

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Abstract:
Prolongement de la philosophie des Lumières, l’épistémologie du soupçon s’est élaborée progressivement : Niestzsche, Marx et Freud en furent les principaux définisseurs. L’idée que Dieu n’existe pas en est le postulat de base. Chez Niestzsche, philosophe hédoniste, l’ascétisme en vue du Royaume est pourfendu, cependant que Marx considère Dieu comme l’âme des sociétés sans âme, opium des opprimés. Freud et Wilhelm Reich (La révolution sexuelle) qualifieront de névrose la croyance en un être purement imaginaire. Retraçant la présence diffuse de cette épistémologie « régnante » dans l’historiographie religieuse, cet essai étoffe l’idée que, croyants ou incroyants, les anthropologues du religieux ont l’obligation de reconnaître les effets de la croyance sur les populations étudiées.
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2

Couture, Jocelyne, and Kai Nielsen. "S’entendre pour ne pas s’entendre (The Normative Turn)." Canadian Journal of Philosophy Supplementary Volume 19 (1993): 365–87. http://dx.doi.org/10.1080/00455091.1993.10717355.

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Abstract:
En dépit d'une croyance fermement établie en philosophie et ailleurs, selon laquelle les philosophes non seulement ne s’ entendent pas mais traitent de questions indécidables, les auteurs qui ont contribué au présent ouvrage semblent s'entendre sur deux points au moins. Le premier est qu'il est possible de dire ce qu'est la philosophie et le deuxième est qu'il est possible de la montrer du doigt.
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3

PELLETIER, ARNAUD. "Philosophie pour le monde et sagesse hors du monde : les limites de la revendication éclectique chez Christian Thomasius." Dialogue 57, no. 4 (December 2018): 695–717. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217318000355.

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Abstract:
Christian Thomasius a revendiqué pour lui-même l’expression de «philosophe éclectique». Cette revendication est d’abord celle d’une raison émancipée de toute autre autorité, permettant de faire émerger de nouveaux droits sur le plan juridique, mais aussi de déterminer la philosophie comme sagesse pour le monde. Cette revendication a toutefois ses limites : en limitant le savoir scolastique et en dénonçant ses synthèses hâtives, Thomasius entend faire de la place pour la croyance purifiée de toutes les confusions philosophico-théologiques, pour une sagesse hors du monde. Antidogmatique et anti-syncrétique, la revendication éclectique ne fut ainsi ni antisystématique ni antireligieuse.
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4

Monsaingeon, Guillaume. "La philosophie des sciences, aiguillon laïque d'une croyance scientifique ?" Rue Descartes 41, no. 3 (2003): 116. http://dx.doi.org/10.3917/rdes.041.0116.

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5

Bouchard, Roch. "L’idéalisme est-il spiritualiste?" Articles 12, no. 1 (January 9, 2007): 53–71. http://dx.doi.org/10.7202/203271ar.

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Abstract:
Résumé Cet article est une réflexion sur le rapport entre deux courants de la philosophie classique, l'idéalisme postkantien et le spiritualisme venu de Descartes, tels qu'ils se rencontrèrent dans l'oeuvre de J. Lachelier. Il étudie pourquoi on attendit du postkantisme qu'il apportât une évidence affermie aux propositions du spiritualisme, lors même que la critique kantienne eut mis en crise la méthode qui les justifiait rationnellement, et bien qu'on dût laisser hors du système nouveau des idées aussi importantes que celles de la survie et du Dieu transcendant, lesquelles étaient renvoyées à la croyance religieuse. L'analyse menée ici du concept d'idéalisme invite cependant à juger que, même affirmées comme croyances, ces idées ne pouvaient être que résolutoires pour un système qui commence par la négation d'un au-delà de la pensée.
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Chirouter, Edwige. "Philosophie et littérature de jeunesse : la vérité, la fiction et la vie." Nouveaux cahiers de la recherche en éducation 11, no. 2 (July 31, 2013): 161–68. http://dx.doi.org/10.7202/1017500ar.

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Abstract:
Prendre en compte les interrogations métaphysiques des enfants est une grande tendance de la littérature de jeunesse contemporaine. L’enfant n’est plus considéré comme un petit être innocent, mais comme un sujet qui se pose des questions fondamentales sur le sens de la vie et du monde. L’enfant fait à chaque instant l’expérience de l’étonnement devant le monde. La question de la Vérité notamment le passionne : Qu’est-ce qui est vrai, qu’est-ce qui est faux ? Quelle est la différence entre une croyance et un savoir, etc. La littérature de jeunesse permet de réfléchir sur ces questions métaphysiques. À l’école élémentaire, les enseignants peuvent ainsi mettre en réseau des ouvrages sur ces questions et engager, à partir des lectures, des discussions philosophiques.
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Izquierdo, César. "AA. VV., La croyance, Beauchesne («Philosophie», 7), Paris 1982, 238 pp., 13,5 x 21,5." Scripta Theologica 18, no. 3 (March 6, 2018): 987. http://dx.doi.org/10.15581/006.18.20838.

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8

Dion, Michel. "La théologie/philosophie féministe de Mary Daly et le socialisme religieux de Paul Tillich." Studies in Religion/Sciences Religieuses 25, no. 4 (December 1996): 379–96. http://dx.doi.org/10.1177/000842989602500401.

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Abstract:
Dans le socialisme religieux de Paul Tillich, nous retrouvons le principe de libération (principe socialiste) et le principe de salut (attente socialiste). Dans cet article, il sera question des points de convergence entre ces deux principes tillichiens et la théologie féministe de Mary Daly qui a, par ailleurs, subi l'influence des écrits de la période américaine de Paul Tillich. Quant au principe socialiste chez Tillich, Mary Daly en exprime une version féministe, pour le moins transformée en parlant de l'intégrité originelle des femmes, de la race originelle des femmes (pouvoir de l'origine) les attitudes antiidéologique, anti-idolâtrique et anti-démonique, si importantes dans le socialisme religieux de Tillich se retrouvent également dans la théologie féministe de Daly, tout comme d'ailleurs le rejet de la croyance bourgeoise en l'harmonie automatique, mais avec des contenus passablement différents et directement orientés vers la libération des femmes. Aussi, le concept de sororité vient ajouter des dimensions absentes dans celui d'attente socialiste chez Tillich.
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Lustman, Matthieu. "De la prévention du suicide comme une question sociologique." Articles 21, no. 1 (September 1, 2009): 15–22. http://dx.doi.org/10.7202/037870ar.

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Abstract:
Résumé Historiquement approché à travers le prisme de la morale (théologie, philosophie), le suicide relève depuis le XIXe siècle de l’analyse scientifique (psychiatrie, sociologie…). Son étude est-elle pour autant objective, exempte de croyance ? Il s’agit ici d’interroger la démarche scientifique : ne faut-il voir dans le suicide qu’un problème social à résoudre ou l’analyser comme un problème sociologique, un fait social total ? Étudier, par exemple, suicidologie et prévention du suicide dans l’ensemble de leurs dimensions, et pas uniquement dans une logique d’évaluation, permet de révéler valeurs, normes, facteurs socioculturels sous-jacents influençant théorie et pratique des soignants, d’observer comment les individus intègrent les enjeux de prévention et de sortir de l’aporie des critiques paradoxales adressées à la prévention (inefficacité / contrôle social) en montrant son rôle d’agent de transformation sociale.
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10

Policar, Alain, and Pascal Engel. "La question de la croyance en philosophie contemporaine de l'esprit. Questions à Pascal Engel par Alain Policar." Raison présente 113, no. 1 (1995): 55–76. http://dx.doi.org/10.3406/raipr.1995.3259.

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Frey, Daniel. "La croyance de l’enfant selon Rousseau. Émile à la lumière des philosophie et psychologie de la religion." Revue d'histoire et de philosophie religieuses 95, no. 3 (2015): 265–87. http://dx.doi.org/10.3406/rhpr.2015.1950.

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Fréchette, Guillaume. "L’intuition est-elle une attitude propositionnelle ?" Dossier 44, no. 1 (June 27, 2017): 11–30. http://dx.doi.org/10.7202/1040325ar.

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Abstract:
Il est généralement admis dans la littérature analytique sur l’intuition que celle-ci est principalement, ou même fondamentalement, une attitude propositionnelle. Partant de là, elle est aussi souvent caractérisée comme une croyance que P, comme la formation d’une croyance sans inférence que P, comme une impression que P (seeming : Bealer 1998), comme une impression intellectuelle que P (Huemer 2001 ; 2005), comme l’attitude consistant à être poussé, mu (pushed by) par P (Koksvik 2011). Dans tous les cas, la spécificité de l’intuition reposerait au moins en partie sur les propriétés doxastiques qui la distingue d’autres attitudes propositionnelles, comme savoir que P ou douter que P. Cette caractérisation de l’intuition semble à première vue incommensurable avec le concept d’intuition discuté dans la tradition phénoménologique, où l’intuition est caractérisée comme ce type d’expérience qui rend les objets présents (ou même parfois qui offre un accès privilégié à la vérité que P), et peut certes être caractérisée en termes d’attitude propositionnelle, mais ne l’est pas essentiellement. Dans ce qui suit, je soulève quelques problèmes auxquels fait face la conception de l’intuition comme attitude propositionnelle. Partant de là, j’aimerais suggérer qu’en amendant cette idée, on peut développer une théorie de l’intuition qui peut employer de manière fructueuse les ressources de la phénoménologie et de la philosophie analytique. Cette suggestion montre que l’incommensurabilité des conceptions analytiques et phénoménologiques de l’intuition est superficielle, plus superficielle que ne le laissent entendre ses défenseurs respectifs.
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Kaufmann, J. Nicolas. "Suffit-il d'agir rationnellement pour agir moralement?" Dialogue 26, no. 4 (1987): 715–30. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300018291.

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Abstract:
L'histoire de la philosophie est marquée par de nombreuses tentatives pour soustraire la morale aux préceptes dictés par une croyance religieuse aveugle, l'arracher aux limbes des émotions, des intérêts égoïstes, des «nobles» sentiments ou des passions troubles de la volonté de puissance, la sortir du terrain où se disputent âprement les évidences intuitives, l'inscrire dans le règne de la raison. Il s'agit de tentatives en vue de fonder les obligations morales, l'éthique tout court, de manière rationnelle. Or, ces démarches peuvent emprunter des chemins variables selon que la rationalité de l'action se trouve conceptualisée dans la perspective des intérêts et préférences raisonnés (de la προαίρεσις d'Aristote), ou qu'elle se comprend à partir de la raison pratique dans sa pureté (en posant, à la manière de Kant, un impératif du devoir comme détermination a priori de la volonté par une «reine praktische Vernunft»).
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Barraband, Mathilde. "Héritage et exemplarité dans Demain je meurs." Études françaises 45, no. 3 (January 12, 2010): 57–75. http://dx.doi.org/10.7202/038829ar.

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Abstract:
Résumé À la suite d’Une phrase pour ma mère (1996) et de Grand-mère Quéquette (2003), le texte Demain je meurs (2007) prolonge l’enquête romanesque de Christian Prigent autour des figures de son ascendance. Ce récit de la vie du père refuse de se constituer comme récit d’un destin, c’est-à-dire comme ensemble cohérent et orienté dont il serait dès lors possible de déduire une leçon. La vie du père, communiste orthodoxe, aura été entièrement régie par ce régime de l’édification, sa philosophie dirigée par la croyance en un progrès régulier, en un sens de l’histoire. Le récit par le fils s’attachera a contrario à constituer la représentation la plus inexemplaire qui soit de cette vie exemplaire et, ce faisant, à contrecarrer une certaine philosophie de l’histoire, aux deux sens du terme (narration et Histoire). Tout est mis en oeuvre pour éviter la fixation et la progression du sens : variation des points de vue, récits enchâssés, décrochages versifiés, réécritures, parodies, etc. ; pourvu que le récit puisse s’extraire des lieux rhétoriques et idéologiques où l’on veut l’assigner. Le récit de filiation se fait ainsi récit de dé-familiarisation, « traversée critique des lieux communs et production d’inouï — d’inquiétante étrangeté (Christian Prigent, Quatre temps) », dans lequel le fils tout à la fois expose et liquide l’héritage qui est le sien.
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Boisvert, Rachel, and Denise Fortin. "Animer la lecture en milieu scolaire, la belle affaire!" Documentation et bibliothèques 40, no. 4 (October 6, 2015): 233–35. http://dx.doi.org/10.7202/1033498ar.

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Abstract:
Ce texte traite de l’animation de la lecture auprès des jeunes en milieu scolaire. « Savoir lire c’est bien, aimer lire c’est mieux » ainsi pourrait se résumer sommairement la philosophie des auteures. C’est leur croyance inébranlable dans le plaisir de lire qui soutient leur action en ce milieu de l’éducation. Le but de cet article n’est aucunement de traiter de l’apprentissage de la lecture avec toutes ses contraintes inhérentes mais plutôt de plonger dans le coeur de l’action de l’animation, la découverte d’une richesse à la portée de tous : lire pour son plaisir personnel. Au primaire et au secondaire, animer la lecture, c’est avoir le beau rôle. Bien sûr! C’est également un rôle lourd à assumer quand il faut affronter les mille et un monstres du système. Qu’est-ce qui fait que l’on poursuit ? C’est que nous croyons aux vertus de l’animation. La preuve, vous l’aurez dans le texte qui suit. Nous avons choisi un genre littéraire peu usité en ces pages pour vous livrer notre expérience.
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Bikfalvi, Andreas. "Science, vérité et croyances." médecine/sciences 34, no. 11 (November 2018): 990–98. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2018233.

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Abstract:
Cet article se propose de discuter certains aspects de la relation entre la science, la vérité et les croyances, en se concentrant principalement sur l’activité scientifique des sciences biologiques et médicales, et sur la façon dont elle se rapporte aux notions de vérité et de croyance. La relation avec les religions ne sera donc pas abordée. La science utilise des méthodes spécifiques pour acquérir le savoir, et les philosophes ont analysé comment cette connaissance scientifique était acquise, en tentant d’en préciser les démarches et d’établir quelques règles générales. Certains théoriciens radicaux ont ainsi contesté la valeur de la méthode scientifique, malgré le succès indiscutable de la science. Si elle est rationnelle, la science n’est cependant pas exempte de croyance, ce qui peut avoir un impact positif ou négatif sur l’acquisition des connaissances scientifiques et sur l’idée de la nature humaine.
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Briançon, Muriel. "Le sens du projet lévinassien : une spiritualité athée universelle pour un nouveau paradigme ?" Varia 45, no. 2 (January 8, 2019): 365–90. http://dx.doi.org/10.7202/1055268ar.

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Abstract:
Afin d’éclairer le sens de la religiosité de la philosophie de Lévinas et d’écarter le soupçon d’une soumission de celle-ci à des dogmes ou à des croyances incompatibles avec un principe de laïcité, notre contribution vise à clarifier le sens de son projet général. L’intention lévinassienne, ambitieuse et visionnaire, consiste en l’explicitation philosophique, métaéthique et phénoménologique, de l’idée cartésienne de l’Infini, transcendance non idolâtrique surgissant de la relation humaine. Cette quête philosophique de l’extrême conscience suppose un athéisme ou du moins une mise en question de l’idolâtrie, du sacré et des dogmes. Cette spiritualité laïque universelle réalisée dans un judaïsme repensé conduit à des questions philosophiques essentielles et à un changement paradigmatique.
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De Sousa Melo, Candida Jaci. "Controverse sur la causalité mentale dans l’action1." Articles 35, no. 2 (March 10, 2009): 345–67. http://dx.doi.org/10.7202/000433ar.

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Abstract:
RésuméLe problème métaphysique central en philosophie de l’esprit concerne la relation entre l’esprit et le corps des agents. Quand on tente d’expliquer, par exemple, le rapport entre les pensées et les actions humaines, on est alors immédiatement confronté avec la difficulté, apparemment insurmontable, d’expliquer la causalité mentale. On doit répondre à la question : nos états de pensée causent-ils effectivement ce que l’on fait? Bien sûr, nos croyances, nos intentions et nos désirs sont à la base de notre comportement, dira le sens commun et une longue tradition philosophique. Cependant, certains philosophes ont récemment manifesté des doutes à propos du rôle réel de nos pensées sur nos actions. Pour contrer ce scepticisme, il nous faut expliquer comment des états de pensée (considérés traditionnellement comme ontologiquement irréductibles aux états neuronaux) peuvent exercer leur rôle causal dans un monde fondamentalement physique. Je vais donner ici les raisons pour lesquelles je crois (comme beaucoup d’autres) que les états de pensée sont indispensables à l’explication complète de nos actions. Pour ce faire, je procéderai à une analyse approfondie de la relation entre la causalité mentale ou intentionnelle et la causalité physique. Je mettrai en perspective deux approches importantes sur la causalité mentale : celle de John Searle, qui défend la réalité des états mentaux et semble résister au réductionnisme, et celle de Jaegwon Kim, qui montre le péril auquel l’approche de Searle est exposée : la surdétermination causale! Selon Searle, le mental est un trait du monde physique (lequel est un système constitué de niveaux dont certains ont des traits mentaux). Aux yeux de Kim cette stratification en niveaux n’apporte aucune solution au problème de la causalité mentale. Kim a-t-il raison?
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Le Boulluec, Alain. "La foi ( pistis ) entre croyance et savoir selon Origène dans le Contre Celse." Thème 13, no. 1 (March 14, 2006): 59–78. http://dx.doi.org/10.7202/012525ar.

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Abstract:
Résumé Laissant de côté le pacte entre contractants de puissance inégale que supposent les termes pistis et pisteuein et l’élément quasi institutionnel qui établit la foi ( pistis ) sur une règle ecclésiastique, l’enquête s’applique à la réponse d’Origène au pamphlet du philosophe Celse contre le christianisme. À Celse qui réduit la foi chrétienne à la croyance et qui la soumet donc au doute, Origène prétend opposer les garants qui assurent sa validité, selon les méthodes de la persuasion rhétorique. Il l’éloigne de la croyance et de la coutume en lui octroyant un fondement « naturel ». Il est conduit aussi à admettre plusieurs degrés dans la connaissance religieuse, en modifiant la distinction opérée par Platon entre « foi » et « intellec-tion ». L’exigence de compréhension et de savoir cependant n’exclut pas, dans la recherche du sens des Écritures comme dans les rapports avec les puissances invisibles, le recours à des pratiques de type rituel qui impliquent une expérience étrangère au régime de la croyance et de la foi.
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Mariani Zini, Fosca. "Crédibilité, croyance, confiance." Revue de métaphysique et de morale 66, no. 2 (2010): 179. http://dx.doi.org/10.3917/rmm.102.0179.

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Bilodeau, Renée. "L'inertie du mental." Dialogue 32, no. 3 (1993): 507–26. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300012294.

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Abstract:
Le modèle causaliste en théorie de l'action a pour point de départ l'idée que les rationalisations sont des explications causales de l'action, c'est-à-dire que les énoncés à propos des croyances et des pro-attitudes qui ont motivé un agent à accomplir une certaine action expriment les antécédents causaux de cette action. Pour reprendre un des exemples classiques, le meurtre de César par Brutus a été causé par le désir que Brutus avait de prendre le pouvoir et par sa croyance que la seule façon d'y parvenir était d'éliminer César. Bien qu'intuitive, cette position soulève immédiatement un problème du fait que les états intentionnels, en raison de leur contenu propositionnel, ne s'imposent pas d'office comme appartenant au règne des choses physiques et de la causalité. Comment, en effet, des entités d'ordre mental peuvent-elles interagir avec les entités complètement différentes que sont les événements physiques? Et même, plus largement, comment un événement mental peut-il avoir une quelconque efficace causale sur un événement physique ou sur un autre événement mental? Une réponse bien connue à cette difficulté est le monisme anomal de Davidson, selon lequel il n'y a pas d'obstacle à ce que le mental soit en relation causale avec le physique puisque les occurrences d'événements mentaux sont identiques à des occurrences d'événements physiques. Toutefois cette approche, qui, comme bien d'autres, mise sur une stratégie matérialiste pour ne pas isoler le mental du physique, en a conduit plus d'un à douter de l'indispensabilité du mental.
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Büttgen, Philippe. "Formules de croyance et d’attestation." Philosophie N°145, no. 2 (2020): 30. http://dx.doi.org/10.3917/philo.145.0030.

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Chevassus-Marchionni, Valérie. "Croyance et psychanalyse. Liminaire." Laval théologique et philosophique 68, no. 3 (2012): 527. http://dx.doi.org/10.7202/1015251ar.

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Goldstick, D. "Interests." Dialogue 41, no. 2 (2002): 241–50. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300013883.

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Abstract:
RÉSUMÉDe manière générale, les désirs sont aux intérêts ce que les croyances sont aux vérités. Étant admis que ce qui est conforme à vos intérêts est ce que vous désireriez, tout compte fait, si vous étiez en possession d'une information telle au sujet de ses effets potentiels qu'aucune information additionnelle sur ces effets ne modifierait vos désirs, la conclusion selon laquelle vous désirez déjà, tout compte fait, favoriser vos intéràts peut être tirée moyennant certaines suppositions plausibles en philosophie de l'esprit.
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Pieper, Laurie. "Self-Knowledge in “Deciding to Believe”." Dialogue 36, no. 3 (1997): 493–510. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300017029.

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Abstract:
RésuméBernard Williams a soutenu que ce n'est pas un fait purement contingent que les croyances ne puissent être acquises à volonté. II part de l'intuition plausible que le «fait» que les croyances ne peuvent être acquises à volonté a quelque chose à voir avec le «fait» que les croyances visent la vérité. Au fur et à mesure que l'argument se développe, cependant, il assume certaines hypothèses quant à la connaissance de soi qui serait requise pour acquérir des croyances à volonté. Je soutiens que ces hypothèses sont fausses et qu'elles engagent Williams à une conception trop intellectualiste et rationaliste de nos pratiques épistémiques.
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Walliser, Bernard, Denis Zwirn, and Hervé Zwirn. "Le raisonnement par analogie considéré comme un schéma d'inférence." Dialogue 61, no. 2 (August 2022): 225–48. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217322000294.

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Abstract:
RésuméMalgré son importance dans divers domaines, le raisonnement par analogie n'a pas encore reçu de représentation formelle unifiée. Notre contribution suggère un schéma d'inférence général compatible avec différentes logiques. Premièrement, une assertion analogique définit la similarité entre deux objets en fonction de leurs propriétés, de façon seulement relative. Deuxièmement, une inférence analogique transfère une propriété nouvelle d'un objet à un objet similaire, grâce à une méta-hypothèse d'arrière-plan qui relie deux ensembles de propriétés. Le degré de croyance dans la conclusion est directement relié au degré de croyance dans cette méta-hypothèse.
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Asprem, Egil. "Magic Naturalized? Negotiating Science and Occult Experience in Aleister Crowley's Scientific Illuminism La Magie “naturalisée”? De la négociation entre science et expérience occulte dans l'illuminisme scientifique d'Aleister Crowley." Aries 8, no. 2 (2008): 139–65. http://dx.doi.org/10.1163/156798908x327311.

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Abstract:
AbstractL'une des questions centrales qui se posent en matière d'ésotérisme occidental moderne porte sur l'attrait persistant de la magie; comment la magie a-t-elle survécu au “désenchantement du monde”? Une explication tentante a été que l'émergence de la “magie occultiste”, fondée sur les écrits d'Eliphas Lévi (1810-1875) et les enseignements de l'Ordre Hermétique de la Golden Dawn (créé en 1888) en particulier, ont eu pour effet une “psychologisation” de la magie. Le fait d'interpréter les pratiques magiques comme des techniques psychologiques, et le commerce avec des entités ésotériques comme une manipulation d'états intérieurs, psychologiques, plutôt que comme un commerce avec des êtres spirituels existant réellement, a permis à des modernes possédant une bonne culture et appartenant à une classe supérieure à la classe moyenne, de maintenir à la fois leur croyance à la magie, et leur intégrité rationnelle. En présentant une étude de cas, celui d'un des occultistes modernes ayant exercé le plus d'influence, à savoir Aleister Crowley (1875-1947), cet article cherche à montrer que “la thèse de la psychologisation” ne résiste pas entièrement à l'examen. Feront l'objet d'une mention particulière le système magique de Crowley, présenté comme un “Illuminisme scientifique”, ainsi que le rôle et à l'attrait de la science dans ce système. Contrairement à la thèse de la psychologisation, laquelle, comme on en traitera, représente une sorte d' “escapisme psychologique”, Crowley ne cherchait pas à dissocier ses croyances magiques de ses croyances rationnelles en les faisant passer dans le champ de la psychologie et des états intérieurs; au lieu de cela, influencé qu'il était par les idéaux du naturalisme scientifique il a cherché à concevoir une méthode naturaliste permettant de critiquer, de tester et de raffiner rationnellement la pratique magique. En somme, on s'attachera à montrer que le système de Crowley représente un pas en direction de la naturalisation plutôt que vers la psychologisation de la magie. On présentera une lecture serrée de certaines des idées de Crowley portant sur le rapport entre science et magie, et on procédera aussi à une contextualisation historique dans laquelle on s'attachera spécialement à traiter des rapports entretenus par Crowley avec des courants intellectuels marquants au sein desquels on s'intéressait à cette question (notamment, la Society for Psychical Research, Sir James Frazer, ainsi que des philosophes naturalistes—de T.H. Huxley à Henry Maudsley).
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Logins, Artūrs. "Scepticisme, fidéisme et évidentialisme : oppositions et origines." Dialogue 51, no. 4 (March 2013): 613–42. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217313000292.

Full text
Abstract:
Les principales attitudes adoptées devant les questions centrales de l’épistémologie générale (en particulier la question de la croyance justifiée) sont selon nous l’évidentialisme, le scepticisme (pyrrhonien) et le fidéisme. Dans cet article, nous présentons d’une part les arguments permettant d’accepter une forme de l’évidentialisme selon laquelle aucune croyance fausse ne peut être justifiée sur la base de raisons probantes. D’autre part, nous proposons de considérer l’aspect historique de l’émergence de l’évidentialisme au début des Lumières. Nous explorons un cas particulier qui témoigne de l’émergence de l’évidentialisme moderne comme opposition au fidéisme. Il s’agit de l’opposition entre Pierre Bayle et Jean-Pierre de Crousaz.
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Henripin, Jacques. "Démographie, théorie et idéologie." Articles 9, no. 3 (October 27, 2008): 7–18. http://dx.doi.org/10.7202/600826ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le problème examiné ici est celui de l’irruption, dans la démographie, d’éléments qui appartiennent plutôt à la philosophie, à la politique et à la morale. Plus particulièrement, il s’agit des courants de pensée issus du marxisme. L’auteur examine les notions d’idéologue et de théorie scientifique, Pour lui, l’idéologie est fort utile comme inspiratrice d’idées fructueuses, mais une fois ces idées jaillies les propositions de nature idéologique, les croyances qu’on en tire, devraient être exclues de la démarche proprement scientifique. Le scientifique n’est pas un dévot; c’est un sceptique cuirieux, souple.... et souriant.
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Lee, Byeong D. "Shoemaker on Second-Order Belief and Self-Deception." Dialogue 41, no. 2 (2002): 279–90. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300013901.

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Abstract:
RÉSUMÉL'autorité de la première personne au sujet de ses propres états mentaux semble entrer en conflit avec l'occurrence de certaines illusions sur soi-même. Sydney Shoemaker avance une suggestion intéressante pour régler ce type de conflit. Selon cette suggestion, on peut expliquer l'autorité de la première personne au sujet de ses propres états mentaux en maintenant que les croyances positives de second ordre sont toujours correctes, tandis qu'on peut expliquer les illusions au sujet de soi-même en termes de croyances négatives de second ordre, qui, elles, ne sont pas toujours correctes. Je soutiens dans cet article qu'il n'y a pas de telle asymétrie entre les croyances positives de second ordre et les croyances négatives de second ordre.
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Di Nuoscio, Enzo. "L’épistémologie de l’action et des croyances dans la philosophie évolutionniste de Herbert Spencer." Revue européenne des sciences sociales, no. XXXVIII-117 (February 1, 2000): 229–44. http://dx.doi.org/10.4000/ress.731.

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Jacob, Pierre. "Sens commun, psychologie cognitive et philosophie de la psychologie : croyances, matérialisme et externalisme." L'année psychologique 93, no. 1 (1993): 59–83. http://dx.doi.org/10.3406/psy.1993.28682.

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Delecroix, Vincent. "Le croyant singulier et invisible." Thème 16, no. 2 (May 20, 2009): 87–104. http://dx.doi.org/10.7202/001716ar.

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Abstract:
Résumé À trop faire porter l’accent sur la relation individuelle et subjective à son objet, la pensée philosophique qui s’attache au religieux peut en venir à des cas limites où la nature sociale de la religion lui devient, d’un point de vue épistémologique, difficilement visible et pensable. On se proposera ici d’examiner les formes de cette articulation problématique entre expérience singulière et communautés objectives dans le cadre d'une comparaison entre deux de ces cas limites : Schleiermacher et Kierkegaard.
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Ungureanu, Manuela. "Reading the Minds of Others: Radical Interpretation and the Empirical Study of Childhood Cognitive Development." Dialogue 43, no. 3 (2004): 527–54. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300003085.

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Abstract:
RésuméLe point de vue de Davidson sur les concepts de croyance et de signification implicites dans nos pratiques d'attribution de croyance et de signification pent à bon droit être mis à l'épreuve par une élucidation de ses rapports avec la psychologie empirique. Mais une telle mise à l'épreuve n'a de valeur que si elle confronte d'abord l'idée reçue voulant que sa position a peu ou pas de liens avec l'étude empirique du développement cognitif. Je défends ici une approche du point de vue de Davidson qui montre clairement en quoi une vaste gamme de découvertes empiriques en psychologie du développement — souvent considérées comme non pertinentes, voire comme incompatibles, avec son enquête conceptuelle — est en fait fort pertinente et en harmonie avec lui.
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Delecroix, Vincent. "Philosophie de la religion et question de la vérité : croyances religieuses et raison publique." École pratique des hautes études. Section des sciences religieuses, no. 126 (September 15, 2019): 459–79. http://dx.doi.org/10.4000/asr.3056.

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GODEFROID, Stéphane-Alexandre. "La croyance d'être dans la phénoménologie de Husserl." Revue Philosophique de Louvain 103, no. 1 (May 15, 2005): 177–83. http://dx.doi.org/10.2143/rpl.103.1.583135.

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Clavier, Paul. "Le spectre des croyances religieuses." Philosophie N°145, no. 2 (2020): 91. http://dx.doi.org/10.3917/philo.145.0091.

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Tuzet, Giovanni. "La justification pragmatique des croyances." Revue philosophique de la France et de l'étranger 133, no. 4 (2008): 465. http://dx.doi.org/10.3917/rphi.084.0465.

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Assayag, Jackie. "Modernisation de la caste et indianisation de la démocratie: le cas des Lingayat." European Journal of Sociology 27, no. 2 (November 1986): 319–52. http://dx.doi.org/10.1017/s0003975600004641.

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Abstract:
À travers les âges, l'unité de l'lnde — « India is one » disait Dumont — a été symbolisée par une continuité culturelle enchâssée dans une structure sociale fondamentalement religieuse, comme l'exprimait Srinivas: « The concept of the unity of India is essentially a religious one », mais l'on peut ajouter que la structure de cette tradition a contribué à la projection d'une image unifiée de la civilisation qui a atteint le point de son plus haut développement à la fin de la période Gupta. Non qu'il n'y ait pas eu de changements, mais, vers la fin de cette période, la plupart des traités systématiques dans les champs de la réligion, de la littérature, de l'art, de la science et de philosophie ou de l'éthique s'étaient cristallisés dans ce qu'on a pu recemment appeler la « Grande Tradition ». Les périodes qui suivirent revinrent à une particularisation graduelle des institutions et des valeurs à l'intérieur de la tradition culturelle hindoue et aboutirent, dans certains cas, à des phénoménes de segmentarisation de cette « Grande Tradition ». Le centre de l'effervescence culturelle émigra du nord au sud de l'lnde et se régionalisa, donnant lieu a des mouvements hétérodoxes de reformulation et de reinterpretation des croyances socio-religieuses et des structures rituelles fondamentales de l'hindouisme. Sous la poussée des divers mouvements de bhakti, des saints-philosophes comme Śankara, Rāmānuja, Madhya rapprochérent la « Grande Tradition » du peuple, tout en modifiant son enseignement et en orientant leurs efforts vers un mouvement plus libéral vis-à-vis des Śūdra ou des basses castes; comme l'exprimait Stein: « In the eleventh century […] doctrinal issues come to be related quite directly to the place of Sūdrain the sect » (Stein 1968, p. 83).
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Payant, Caroline, and Eliana Hirano. "Recurring Topics in English Language Teachers' Written Teaching Philosophy Statements." TESL Canada Journal 35, no. 1 (September 9, 2018): 29–51. http://dx.doi.org/10.18806/tesl.v35i1.1283.

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Abstract:
The present study analyzed in-service English as an additional language (EAL) teachers’ written teaching philosophy (TP) statements in order to identify the dominant topics that comprise this supporting genre, as well as the use of personal pronouns and possessive adjectives. The sample included 27 in-service EAL teachers’ TPs who were currently teaching, primarily, in the context of higher education and intensive English programs in North American settings. Each sentence was coded for a dominant topic, leading to the creation of 24 categories. To capture the unique characteristics of this genre, we created three success groups (i.e., Most successful, Successful, and Least successful) and compared their contents. Moreover, the first and last five topics for each TP for the three groups were compared, thus, establishing a pattern of opening and closing topics. Finally, we drew on corpus tools to uncover the manipulation of specific lexical features of this genre: the use of personal pronouns and possessive adjectives. The most prominent topics across the three groups included Teaching beliefs, Learning beliefs, Beliefs about learners, and Teacher growth. Differences were identified between the three groups in terms of both topics and organization. La présente étude a analysé des énoncés écrits de professeurs d’anglais langue additionnelle (ALA) en poste décrivant leur philosophie pédagogique (PP) en vue d’identifier les thèmes dominants qui composent ce genre complémentaire ainsi que l’utilisation de pronoms personnels et d’adjectifs possessifs. L’échantillon portait sur la philosophie pédagogique de 27 professeurs d’ALA en poste présentement actifs, et ce, principalement dans le contexte de l’enseignement supérieur et des programmes d’anglais intensif dans des milieux nord-américains. Chaque phrase a été codifiée en fonction de son thème dominant, ce qui a amené la création de 24 catégories. Afin de saisir les caractéristiques particulières de ce genre, nous avons créé trois catégories de succès (c.-à-d. Succès supérieur, Succès, et Succès inférieur) et en avons comparé les contenus. De plus, les premiers et cinq derniers thèmes des trois groupes portant sur chaque PP ont été comparés, ce qui a permis d’établir un schéma de thèmes d’ouverture et de fermeture. Enfin, nous avons recouru à des outils de corpus textuel pour découvrir la manipulation des caractéristiques linguistiques particulières de ce genre : l’utilisation de pronoms personnels et d’adjectifs possessifs. Les thèmes les plus importants dans les trois groupes étaient les Croyances sur l’enseignement, les Croyances sur l’apprentissage, les Croyances sur les apprenants, et le Perfectionnement professionnel des professeurs. Des différences ont été identifiées entre les trois groupes tant au niveau des thèmes qu’à celui de l’organisation.
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Schulthess, Daniel. "Psychologie et épistémologie de la croyance (belief, assent) selon Hume1." Dialectica 47, no. 2-3 (May 23, 2005): 255–67. http://dx.doi.org/10.1111/j.1746-8361.1993.tb00143.x.

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Lefort, Claude. "La menace qui pèse sur la pensée." Tocqueville Review 18, no. 1 (January 1997): 29–35. http://dx.doi.org/10.3138/ttr.18.1.29.

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Abstract:
Tocqueville s'interroge sur la puissance de l'opinion commune dans les sociétés démocratiques modernes. Elle ne se nourrit plus tant de la tradition, observe-t-il ; elle a cessé de véhiculer des croyances héritées du passé pour nouer une relation nouvelle avec la foi dans la raison. Tocqueville, à la différence de la plupart de ses contemporains, ne voit pas dans ce phénomène le seul effet de l'essor de la science. Il nous rappelle que le nouvel esprit scientifique (ce qu'il nomme la « méthode philosophique ») ne s'exerçait encore au XVIe et au XVIIe siècles que dans des cercles restreints et dans des domaines circonscrits.
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Chevassus-Marchionni, Valérie. "Croyance et psychanalyse dans l’itinéraire singulier de Marie de la Trinité." Dossier 68, no. 3 (May 1, 2013): 567–76. http://dx.doi.org/10.7202/1015255ar.

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Abstract:
Le « cas » de Marie de la Trinité illustre d’une manière particulière la thématique « croyance et psychanalyse ». En effet, chez cette soeur dominicaine des campagnes, la foi religieuse et la croyance en sa vocation de dévotion interfèrent très étroitement avec l’expérience psychanalytique : d’une part, elle se prête pendant quatre années à une cure psychanalytique avec le docteur Jacques Lacan, d’autre part, elle exercera elle-même quelque temps la profession de psychothérapeute. Pour Marie de la Trinité, la psychanalyse arrive à un moment critique de son existence, alors que ce qu’elle nomme ses « obsessions » lui rendent la vie impossible et lui interdisent même de pratiquer sa foi ; elle se tourne alors vers des traitements divers, parfois brutaux et inhumains. Ce n’est pas la psychanalyse qui la guérira, mais c’est à partir de cette expérience qu’il lui sera donné de triompher de son mal et, en comprenant quelle en était l’origine, d’entreprendre « sa propre rééducation » et de connaître « la lumière et l’harmonie » dans sa vie de dévotion.
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Thomas Geach, Peter, and Bruno Gnassounou. "Sur les croyances à propos de soi." Philosophie 107, no. 4 (2010): 67. http://dx.doi.org/10.3917/philo.107.0067.

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Brueckner, Anthony. "Problems for the Agency Model of Self-Knowledge." Dialogue 40, no. 3 (2001): 545–54. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300018916.

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Abstract:
RÉSUMÉDans un article récent, Victoria McGeer a proposé une conception de la connaissance de soi, qui se présente comme une alternative au modèle durapporteur prédicteur selon lequel confesser des croyances consiste à rapporter des «états sous-jacents» de soi-même. McGeer met l'accent, à la place, sur une approche actantielle: la connaissance de soi, selon elle, est engendrée par les actions responsables que l'agent entreprend pour rendre vrais ses propres aveux quant à ses croyances. Le présent article est une discussion critique de cette conception de McGeer. Une première objection a rapport à l'explication du comportement, et une seconde concerne la tentative du modèle actantiel pour rendre compte du caractère d'autorité de la connaissance de soi.
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Jobin, Guy. "Les évêques dans la communauté politique : pour une éthique de la parole publique." Dossier 71, no. 3 (May 6, 2016): 399–418. http://dx.doi.org/10.7202/1036268ar.

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Abstract:
L’objet de cet article est l’identification de quelques linéaments d’une éthique de la parole croyante dans l’espace public des sociétés démocratiques. Cette éthique sera élaborée à partir de la notion de style, notion qui résulte de récentes recherches sur l’herméneutique du concile Vatican II. Nous proposons une démarche en trois parties sur un objet bien précis, soit la parole des évêques catholiques proposée dans le cadre de débats moraux. Le premier temps de notre démarche sera consacré à la réflexion d’André Naud sur l’éthique de la parole épiscopale. Cette réflexion tardive dans la production théologique de Naud n’a pas été, à notre connaissance, l’objet d’une étude approfondie. Sans prétendre offrir une analyse complète et définitive de ce travail, mais tout en soulignant son caractère pionnier, nous en cernerons les limites pour notre réflexion. Le deuxième temps de la démarche montrera la pertinence du paradigme éthique de la responsabilité pour réfléchir à l’éthique de la parole épiscopale dans l’espace public. Enfin, penser l’éthique de la parole publique des croyants en l’inscrivant dans le paradigme de la responsabilité est un geste théologique, certes, mais il s’appuie sur une pratique, soit celle de la prise de parole à Vatican II. Plus précisément, c’est dans la Constitution pastorale Gaudium et Spes qu’une « pratique » de la responsabilité s’est manifestée. Cette pratique est en fait une pragmatique que nous mettrons en lumière, dans la troisième partie de l’article, par une analyse rhétorique de l’énonciation qui a prévalu dans la rédaction de la Constitution pastorale.
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Sauvé, Denis. "Vérité, réalisme et indépendence." Dialogue 30, no. 4 (1991): 513–30. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300011847.

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Abstract:
On emploie souvent le mot «réalisme» dans les discussions philosophiques récentes pour désigner le point de vue qui affirme entre autres qu'une proposition est vraie ou fausse peu importe que l'on sache ou non si elle l'est ou, autrement dit, qu'elle est vraie ou fausse indépendamment des croyances que des personnes peuvent avoir au sujet de sa valeur de v´erit´e. L'«antiréalisme» est le point de vue consistant à soutenir au contraire que la vérité ou la fausseté d'une proposition n'est pas en ce sens indépendante des croyances et de la capacité que l'on a de savoir si elle est vraie ou non. Le réalisme reflète apparemment le point de vue du sens commun et, pour beaucoup de philosophes, le rejeter serait nier un truisme et adhérer à une sorte d'idéalisme. Pourtant, l'antiréalisme a aussi ses défenseurs et les arguments que ceux-ci ont avancés contre le réalisme ont une certaine plausibilité. J'examine ici ce qui me semble être un des arguments les plus intéressants des partisans de l'antiréalisme à l'appui de leur point de vue et les réponses que pourraient lui opposer les tenants du réalisme.
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Guitard, Paulette. "L'apprentissage expérientiel et l'ergothérapie: Compatibilité théorique et pratique." Canadian Journal of Occupational Therapy 63, no. 4 (October 1996): 252–59. http://dx.doi.org/10.1177/000841749606300406.

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Abstract:
Pour favoriser l'adaptation du client, l'ergothérapeute doit souvent avoir recours à l'enseignement. La relation ergothérapeute-client est alors modifiée et définie comme le processus enseignement-apprentissage. L'ergothérapie reconnaît le processus enseignement-apprentissage comme un outil d'intervention fort précieux, mais il demeure néanmoins méconnu des ergothérapeutes. La littérature mentionne peu de modèles éducatifs ou pédagogiques utilisés en ergothérapie. Un des modèles cités est celui de l'apprentissage expérientiel. Ce modèle est un processus cyclique qui se base sur l'activité, l'expérience concrète de l'apprenant pour favoriser l'apprentissage. L'apprentissage est alors plus significatif pour l'apprenant et mieux intégré à sa réalité quotidienne. Le présent article définit ce modèle d'apprentissage et présente une analyse comparative de ses principes de base et des croyances fondamentales de l'ergothérapie. L'analyse démontre que l'approche expérientielle est tout à fait compatible avec la philosophie et la pratique de l'ergothérapie.
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Meszaros, Thomas. "Un apport philosophique marginalisé." Études internationales 38, no. 1 (April 26, 2007): 87–109. http://dx.doi.org/10.7202/015704ar.

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Abstract:
Résumé Les relations internationales utilisent comme postulat récurrent celui de l’État souverain, proposé par la pensée politique en général. Cette dernière raconte de manière quasiment mystique la naissance de cet objet de croyance qui inspire attachement et fidélité. Notre investigation s’attachera à traiter la question de l’état de nature du point de vue philosophique et, à ce titre, à présenter l’apport et l’intérêt que constitue la pensée de Panayis Papaligouras. Ce dernier soutenait en 1941 une thèse de doctorat dans laquelle il développe une approche méthodologique, d’inspiration kantienne, qui constitue une critique de socialité : la théorie du formalisme social. Cette théorie nous permettra de déterminer la conception de l’état de nature que Panayis Papaligouras développe, implicitement, dans son oeuvre. C’est à partir de cette démarche que son entreprise théorique prend corps et que sont définis les concepts de société internationale homogène et hétérogène.
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Cohen, Joshua, and Thomas Nagel. "« Sur ma religion » de John Rawls : comment les croyances religieuses de Rawls ont influencé sa philosophie politique." Raisons politiques 34, no. 2 (2009): 127. http://dx.doi.org/10.3917/rai.034.0127.

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