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Journal articles on the topic 'Culte grec'

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Turk, Boštjan Marko. "Maurice Barrès et l'icône de l'art moderne." Acta Neophilologica 53, no. 1-2 (November 27, 2020): 195–206. http://dx.doi.org/10.4312/an.53.1-2.195-206.

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Abstract:
La peinture d’El Greco remplissait Barrès d’étonnement et d’admiration parce qu’elle répondait à la manière dont l’écrivain appréhendait le culte du fort et de l’exceptionnel. C’est la quête de l’absolu qui perfectionne les êtres dominés par l’unique tendance – vivre dans l’exaltation du moi jusqu’à ce qu’ils ne fusionnent avec l’absolu. Pour cette raison Barrès était capable de saisir le génie multifonctionnel du peintre grec et de transmettre son message à la postérité. Barrès approchait le peintre d’une perspective multilatérale : il s’apercevait des traits maniéristes. Ceux-ci sont devenus élément intégral de la peinture moderne, notamment chez Pablo Picasso. Les périodes bleue et rose n’auraient pas été possibles sans la rencontre d’El Greco.
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Tabone, Danilo Andrade. "Commentaires sur quelques évidences du culte à Déméter et Coré dans la Carthage Punique." Revista do Museu de Arqueologia e Etnologia, no. 31 (October 30, 2018): 110–30. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2448-1750.revmae.2018.165655.

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Abstract:
Le culte a Déméter et Coré à Carthage a été déjà l’objet de l’attention de plusieurs chercheurs. Le culte des Deux Déesses grecques était présent dans le Nord de l’Afrique, notablement à Carthage, ainsi comme à d’autres points du monde punique, comme l’Espagne et le île de Sardaigne, par exemple, a Tharros; cela est attesté par sources grecques, par un montant considérable d’inscriptions épigraphiques puniques et néo-puniques, datés de la période postérieur aux guerres romano-carthaginois, à la fin du IIIe et IIe siècles av. J.-C (et latines aussi), et par l’Archéologie, qui par la période préromaine a abondant documentation, notamment à partir de sanctuaires comme Kourba et Soliman, au Cap Bon, où on a été trouvé figurines liées au culte grec sicilien de Déméter; autre source importante est la Numismatique. L’objectif de cette étude est avant tout considérer les sources disponibles systématiquement, mais non complètement, ainsi comme réfléchir sur certains débats sur le thème, ce qui nous permettra réfléchir sur la nature de ce culte à Carthage.
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3

Blanco Pérez, Joan-Carles. "El Theodorakis de la primera època (1960-1967) i la seva selecció poètica." ΑΕΡΗΔΕΣ / TORRE DELS VENTS, no. 1 (December 28, 2020): 35–66. http://dx.doi.org/10.6035/aerides.2020.1.3.

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Abstract:
El prolífic compositor Mikis Theodorakis (Quios, 1925) ha sabut crear el seu propi llenguatge musical, inconfusiblement grec —és a dir «popular»— i culte alhora, musicant els més grans poetes contemporanis. La fusió de la poesia grega amb un llenguatge molt personal, que recollia tota una llarga tradició musical, comença amb la tria dʹΕπιτάφιος (Epitaphios) de Iannis Ritsos i continuarà amb altres grans poetes com Seferis, Elitis i Gatsos entre dʹaltres.
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Jacquemin, Anne. "Rituels efficaces pour fonder ou déplacer un culte en Grèce ancienne." Archimède. Archéologie et histoire ancienne 7 (June 9, 2020): 62–75. http://dx.doi.org/10.47245/archimede.0007.ds1.06.

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Abstract:
La fondation d’un sanctuaire dans le monde grec supposait la transmission d’une sacralité qui avait lieu lors de l’installation de la divinité sous la forme d’une statue ou d’un autel. Les sources textuelles mettent l’accent sur le rôle dans ce processus d’objets appelés aphidrumata dont la nature variée a été souvent discutée. Le déplacement d’un sanctuaire demandait un rituel du même type pour assurer la continuité de la sacralité. La confrontation des sources permet de revoir dans cette perspective le culte d’Athéna à Delphes.
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5

Pikulska-Robaszkiewicz, Anna. "Stosunki między państwem i Kościołami w Grecji." Prawo Kanoniczne 41, no. 3-4 (December 20, 1998): 249–66. http://dx.doi.org/10.21697/pk.1998.41.3-4.09.

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Abstract:
La majorité (95,2%) du peuple grec est censée appartenir à l'Eglise Orthodoxe Orien­tale. Le régime constitutionnel des cultes en Grèce prévoit les régies suivantes: il existe une religion dominante et l'église qui la représente officiellement, c'est à dire l'Eglise Orthodoxe Orientale du Christ, juit d'un statut constitutionnel spécial, la constitution garantit la liberté religieuse à toutes les personnes physiques et morales, mais la liberté du culte est réservée seulement aux religions La constitution de la Grèce traite du statut juridique de I 'Eglise Orthodoxe, pendant que le statut d'autres cultes fait l'objet des lois ordinaires et des conventions interna­tionales. Selon les dispositions constitutionnelles l'Eglise Orthodoxe de Grèce est in­dissolublement unie, spirituellement, au Patriarchat Oecumenique de Constantinople et à toute autre église orthodoxe. Elle est autocéphale et autoadministrée. Le cadre théorique du régime juridique des rapports entre l'Etat grec et Eglise Or­thodoxe constitue une forme évoluée du césaro-papisme qui dans la littérature grecque moderne est appelé le système de „la prépondérance de l'Etat au moyen de la loi". Dans ce système l'Eglise Ortodoxe a la personalité morale de droit public, elle juit d'un traitement spécial (p.ex. financier) qui ne s'entend pas de plein droit aux autres confessions et religions, sans que cela soit contraire au principe constitutionnel de l'égalite. L'état a le droit de régler au moyen des lois toutes les matières administrati­ves de l'Eglise, même celles qui sont de nature interne.
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6

Camps Gaset, Montserrat. "La tradició grega del culte de Cebrià d'Antioquia i Santa Justina a Catalunya." Anuari de Filologia. Antiqua et Mediaeualia 2, no. 9 (March 5, 2020): 3–16. http://dx.doi.org/10.1344/afam2019.9.2.2.

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Abstract:
El culte de Cebrià d’Antioquia i santa Justina té l’origen en un text grec apòcrif del segle IV i des dels inicis s’ha confós amb la biografia de sant Cebrià, bisbe de Cartago. A Catalunya hi ha diverses esglésies antigues dedicades a un dels dos, i no sempre queda clara la diferència. Alguns dels goigs cantats en honor del sant donen testimoni de l’antiga llegenda oriental i de la confusió amb el bisbe. Aquí es presenta una proposta d’identificació d’una màrtir desconeguda que apareix al retaule de sant Cebrià de Cabanyes, del segle XV.
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7

Briaud, Stéphanie. "Isis et le destin en Grèce hellénistique : la circulation d’Isis-Tychè." Cahiers d'histoire 31, no. 1 (August 15, 2012): 101–9. http://dx.doi.org/10.7202/1011682ar.

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Abstract:
Nous pouvons dire qu’il existe une Isis égyptienne puis une Isis gréco-romaine, cette dernière se diffusant dans tout le bassin méditerranéen grâce à un réseau de fidèles et de prêtres très investis dans son culte. Pour accroître le succès de leur divinité, cette communauté n’hésite pas, à travers les textes gravés (les arétalogies) et l’iconographie, à la parer d’un « habillage » grec, en développant certains aspects esquissés dans la théologie pharaonique, mais avec une sensibilité hellénistique, susceptible de toucher un plus large public. Tel est le cas des rapports entre Isis et le destin.
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Engels, David. "« Dieu est la vraie mesure de toute chose… ». Platon et le culte grec traditionnel." Revue de l'histoire des religions, no. 4 (December 1, 2009): 547–81. http://dx.doi.org/10.4000/rhr.7543.

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Habachy, Mounir. "L’épithète de culte comme indice de datation. À quel moment les inscriptions hiéroglyphiques ont-elles qualifié Ptolémée IX de « dieu Sôter » ?" Journal of Egyptian History 16, no. 2 (December 19, 2023): 219–49. http://dx.doi.org/10.1163/18741665-bja10024.

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Abstract:
Abstract This article aims to study the appearance of the cult epithet “theos Soter” on the hieroglyphic monuments dating back to the second reign of Ptolemy IX. It highlights the problems that Egyptians encountered while translating such an epithet from Greek theos Soter to Egyptian pꜢ nṯr nty nḥm. As shown by the Demotic documents covering several years, this did not happen at once. This study offers a new dating tool for the monuments of the second reign of Ptolemy IX according to the appearance or absence of the translated epithet. Cette étude porte sur l’épithète de culte « dieu Sôter » lorsqu’elle apparaît sur les monuments égyptiens inscrits en hiéroglyphes au cours du second règne de Ptolémée IX. L’article consiste à mettre en relief les problèmes de traduction envisagés par les anciens Égyptiens pour transmettre le terme grec théos Sôter vers l’égyptien pꜢ nṯr nty nḥm, ce qui ne s’est pas fait en une seule fois. La présente étude offre un nouvel outil de datation pour les monuments au cours du second règne de Ptolémée IX en fonction de l’apparition ou non de l’épithète.
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Feodorov, Ionna. "Livres arabes chrétiens imprimés avec l’aide des Principautés Roumaines au début du XVIIIe siècle. Un répertoire commenté." Chronos 34 (October 25, 2018): 7–49. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v34i0.151.

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Abstract:
En Europe de l'Est et au Proche-Orient, l'histoire de l'imprimerie arabe débuta par l'activité conjointe d'Athanase III Dabbâs, Patriarche d'Antioche, et d'Anthime d'Ivir, un lettré et un imprimeur de génie qui allait devenir Métropolite de l'Hongrovalachie (1708-1716). Deux livres en grec et en arabe furent imprimés en 1701 et 1702 à Snagov et à Bucarest, à la demande d'Athanase Dabbâs. Ce fut le premier pas vers l'accomplissement d'une ancienne aspiration du clergé de l'Église d'Antioche, celle de mettre à la disposition des prêtres de Syrie et du Liban actuels des livres de culte dans la langue du peuple, l'arabe, imprimés à partir des versions traduites et revues par des érudits arabes chrétiens, notamment par 'Abdallah Ibn al-Fadl et par Mélèce Karma.
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Chankowski, Véronique. "Réparer les idoles, entretenir les lieux de culte. L’économie de la restauration dans les sanctuaires du monde grec." Technè, no. 40 (November 26, 2014): 42–45. http://dx.doi.org/10.4000/techne.3346.

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Bravo, Benedetto. "Une plaque de terre cuite trouvée à Thasos (BCH 139‑140.1, 2015‑2016, p. 43‑65)." Bulletin de Correspondance Hellénique 145.2 (2022): 399–411. http://dx.doi.org/10.4000/11z09.

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Abstract:
Une lettre en grec ionien, gravée sur une tablette d’argile cuite et datant probablement du milieu du ve siècle av. J.‑C. (un peu avant plutôt qu’après 450), a été trouvée à Thasos. Elle a été publiée par Natacha Trippé, puis par Madalina Dana, comme étant une lettre privée. Le texte étant conservé de manière très incomplète, son interprétation est difficile. Cet article propose une nouvelle lecture et interprétation hypothétique ; le texte serait une lettre officielle par laquelle un magistrat de la polis Thasos, un certain Euarchos, ordonne à Echiōn fils d’Artymokleēs de célébrer la fête prochaine de Zeus Patrōios et justifie son ordre (malheureusement, la partie de la lettre contenant la justification est perdue). Si cette lecture est correcte, la lettre est une preuve de l’existence d’un culte civique de Zeus Patrōios à Thasos. En outre, on peut comprendre ainsi pourquoi la tablette d’argile a été cuite : le caractère officiel de la lettre exigeait qu’elle soit conservée en permanence et de façon inaltérable. On savait, grâce à des inscriptions gravées sur des bornes trouvées dans le Thesmophorion de Thasos ou (dans un cas) provenant de là, que quelques‑unes des patrai thasiennes vénéraient Zeus Patrōios, c’est‑à‑dire « Zeus de la famille », comme étant leur dieu. Désormais, on peut faire le constat que la communauté civique en tant qu’ensemble célébrait une fête en l’honneur de ce dieu. Elle le concevait sans doute comme étant le père de cette grande famille qu’était la polis. Le présent article soutient que les patrai thasiennes étaient des subdivisions des phylai. L’existence de ces dernières ressort d’une inscription qui mentionne les Geleontes.
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Marjanovic-Dusanic, Smilja. "Molitve svetih Simeona i Save u vladarskom programu kralja Milutina." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 235–50. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441235m.

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Abstract:
(francuski) Plusieurs sources historiques nous sont parvenues qui attestent le r?le actif des cultes de saint Simeon et saint Sava, les premiers saints de l'Eglise Serbe. Tout en ?tant compl?mentaires, ces deux cultes diff?rent par leur fonction, notamment du fait que saint Simeon, fondateur de l'Etat et de la dynastie serbes, est c?l?br? comme un saint myroblite, alors que saint Sava, premier archev?que de l'Eglise serbe ind?pendante, est v?n?r? comme un saint thaumaturge. Leur fusion en un culte faisant l'objet d'une c?l?bration unique a eu lieu ? l'?poque du roi Milutin (1282-1321). Le pr?sent article ?tablit que la formation finale du nouveau programme monarchique de Milutin, probablement inspir? par la communaut? monastique de Chilandar, se situe entre 1314-1316 et 1321. Outre l'observation g?n?rale de la fonction de ce culte et de sa polys?mie, nous proc?dons ?galement ? une analyse du ph?nom?ne constitu? par les pri?res de saint Sim?on et saint Sava apparaissant dans les chartes de l'?poque du roi Milutin ? indice certain de l'efficacit? reconnue du nouveau culte ? et de ses implications politiques. Cependant, une image compl?te de la signification des pri?res de ces deux saints dans les chartes et de leur usage dans le domaine id?ologique, ne peut ?tre obtenue qu'en proc?dant ? une analyse des divers types de t?moignages ? chartes, fresques, offices, canons et apologies ? c?l?brant ces deux personnages. La plus ancienne repr?sentation conserv?e de ces deux saints sur des peintures murales se trouve dans l'?glise Saint-Nic?tas pr?s de Skoplje. Les portraits associ?s de saint Simeon et saint Sa va situ?s sur le mur nord du naos de l'?glise datent de la deuxi?me d?cennie du XIV?me si?cle (avant 1316). Leur ex?cution pouvant ?tre situ?e apr?s la conclusion d'une paix ayant mis fin ? des conflits int?rieurs. Au tout d?but, le motif ?des pri?res de saint Sim?on et saint Sa va? a en fait trouv? place dans les clauses p?nales des chartes de l'?poque. Le r?le de la pri?re y est d'assurer une protection ancestrale et sacrale aux dons pieux du souverain actuel. Sur un plan plus large, ces pri?res visent ?galement ? assurer une protection c?leste aux conqu?tes du roi et aux garanties formul?es dans les documents de donation, mais aussi la protection de la patrie dont la prosp?rit? est fond? sur la fonction sot?riologique rendue possible par les pri?res des saints protecteurs. La premi?re mention d'une telle invocation invitant les deux saints serbes ? anath?matiser celui qui violerait les dispositions de l'auteur d'une charte, appara?t dans une charte de confirmation d?livr?e par Milutin au monast?re de Chilandar au sujet de la donation d'une cellule de Sainte-Parasc?ve sise au village de Tmorani pr?s de Skopje (1299/1300 : Chil. si., n. 9, 1. 67). Les pri?res des deux saints dans leur fonction de protecteurs de l'Etat et de la dynastie apparaissent ?galement dans d'autres documents de souverains datant du d?but du XIV?me si?cle. La mention de Vladislav, cousin du roi Milutin, au nombre d'h?ritiers potentiels dans les clauses p?nales d'une charte du roi Milutin d?livr?e au monast?re de Chilandar (Chil. si., n. 11), rend possible une nouvelle datation, plus pr?cise, de ce document entre 1314 et 1316. Cette charte nous fournit donc un cadre chronologique pour l'?tablissement des pri?res des deux saints serbes, lequel cadre co?ncide avec l'apparition de leur repr?sentation associ?e sur les peintures du monast?re Saint-Nicolas dans la r?gion de Skoplje, que le roi a offert ? Chilandar, par le biais de la charte mentionn?e. A cette ?poque-l?, au cours des deux premi?res d?cennies du XIV?me si?cle, le moine Tedosije, inspir? par la communaut? monastique de Chilandar, fut charg? de proc?der, selon les go?ts litt?raires et les besoins id?ologiques de l'?poque, ? une r?daction monumentale de la litt?rature hagiographique jusqu'alors cr??e, et de jeter les fondements du nouveau culte des premiers saints nationaux comme principal vecteur de l'id?e d'origine charismatique de la dynastie. La synth?se ainsi obtenue vers les ann?es vingt du XVI?me si?cle r?unit les exploits spirituels et les r?sultats des efforts convergents d'une ?lite rattach?e tant ? la cour de Serbie qu'au centre religieux de Chilandar. La co?ncidence d?j? relev?e entre les chartes, la peinture murale et l'apparition d'un nouveau culte s'inscrivant dans un programme politique plus vaste, avec sa c?l?bration en litt?rature, ne saurait ?tre fortuite. L'approche du centenaire du royaume repr?senta, sans doute, un moment crucial pour placer les saints nationaux au centre d'un complexe de programmes sot?riologiques, d?j? effectif au moment o? l'Etat serbe s'est activement tourn? vers l'Orient orthodoxe. L'unit? fondamentale et fonctionnelle du nouveau culte se manifeste par des actes miraculeux s'inscrivant dans un cadre clairement ?tabli, d?fini dans le sens spatial et national, et refl?tant un type de saintet? ?galement pr?sent chez les autres peuples du Moyen Age. La phase de repr?sentation de la dynastie devant le Christ est remplac?e par une signification plus vaste et sot?riologique de la repr?sentation de l'Etat, induite par les pri?res des deux saints. Ceci a entre autre abouti ? la symbolique polys?mique de Chilandar comme ? le nouveau Sion ?. La mention de saint Simeon et saint Sava dans les chartes de Milutin, publi?es durant les derni?res ann?es de sa r?gence, appara?t ?galement dans les documents de l'empereur Dusan (1331-1355). Cette reprise s'inscrit probablement comme un ?l?ment du concept complexe faisant du roi Milutin un exemple de la nouvelle fa?on de r?gner, lequel concept ?tait li? aux plans entrant dans la politique ext?rieure de l'empereur Dusan ? ? savoir une offensive sur les contr?es orientales de l'Empire grec ? pr?sent?e comme une poursuite des conqu?tes du roi Milutin. Etant les saints les plus importants de l'id?ologie monarchique serbe, Simeon et Sava seront c?l?br?s m?me apr?s la chute de l'Empire (1371). Ils sont peints comme un couple de saints, ou plac?s comme deux pendants, c?l?br?s comme ? les deux saints ? dans les chants. Ils sont devenus, ? travers leurs cultes r?unis, le fondement de l'id?ologie de l'Etat et de l'Eglise au cours de l'histoire serbe ult?rieure. .
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Ferraioli, Ferdinando. "Culti rurali e culti urbani nella Bitinia ellenistica e romana." ARYS. Antigüedad: Religiones y Sociedades, no. 19 (November 12, 2021): 97–129. http://dx.doi.org/10.20318/arys.2021.5927.

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Abstract:
Scopo di questo intervento è esaminare le principali testimonianze sulla diffusione dei culti in ambito rurale ed urbano nella Bitinia ellenistica e romana. Il dossier epi­grafico appare più limitato per il periodo ellenistico, mentre è più ampio per quello romano. Nelle aree urbane e nelle aree rura­li appaiono diffuse le principali divinità del pantheon cultuale greco come Zeus, Apollo, Artemide, Atena, Asclepio ed altre; è signi­ficativo come tali divinità nelle aree rurali appaiano con epiteti locali di origine indi­gena. Particolarmente interessante il caso di Zeus a cui sono associati epiteti come Ba­leos e Okkonenos, che appaiono di origine tracia, e come Sabazios, che è probabilmen­te di origine frigia. Altri culti probabilmen­te basati sulla commistione tra elemento greco e elementi non-greci erano quello della Grande Madre Cibele, che aveva un tempio dedicato a Nicomedia, e alcuni culti tipicamente locali come Priettos, Tataula, Proustene e i Theoi Nerolenoi. In ambito urbano possono ritrovarsi invece culti mag­giormente legati alle influenze esterne come quelle egiziane. Ciò appare soprattutto nelle città costiere come Kios, Apamea e Nico­media, che già in età ellenistica sono aperte ai culti di Iside e Serapide. Più limitato e in epoca più tarda appare l’influsso della reli­gione romana, testimoniato dalle rare dedi­che bilingui e dall’attestazione dei riti fune­rari dei Rosalia. Il rapporto tra culti rurali e culti urbani appare contraddistinto quindi da alcune differenze, con le aree rurali che appaiono almeno in un primo tempo meno disponibili ad accogliere i culti stranieri e maggiormente legate ai culti indigeni, che vengono uniti a quelli per le principali divi­nità del pantheon ellenico. Alla fine tuttavia anche in Bitinia quindi, come è stato notato per altre zone dell’Asia Minore, si assiste, con il passaggio tra l’età ellenistica e quella romana, ad un processo di progressiva in­tegrazione tra culti urbani e rurali, che si attua probabilmente in maniera prevalente­mente armonica e senza grosse tensioni tra le varie componenti etniche e territoriali.
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Panagiotidou, Olympia. "Secrecy in the Mithras Cult: Concealment, Cognition and Social Cohesion." Acta Antiqua Academiae Scientiarum Hungaricae 58, no. 1-4 (December 2018): 667–79. http://dx.doi.org/10.1556/068.2018.58.1-4.38.

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Abstract:
Summary Secrecy was one of the major features of the so-called mystery cults that met with significant diffusion and popularity throughout the Greco-Roman world. The Roman cult of Mithras was a particular example of mysteries that took place in secret, without any public aspect. This paper examines the ways in which the major symbolic systems of the Mithras cult, the mithraea, the scene of the tauroctony and the hierarchy of the initiatory grades, would have operated as elaborated security systems that would have contributed to the secrecy of the cult, obstructing both the physical and cognitive access of the uninitiated to their symbolic meanings. Further, the cognitive processes that mediate the attractiveness of secret communities and forge social cohesion among members of secret groups are explored. It is argued that secrecy was a crucial aspect which would have promoted the formation of close exclusive communities of Mithraists and the development of social cohesion between the cult members.
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Afonasin, Evgeny. "MONOTHEISM IN LATE ANTIQUITY. THEOS HYPSISTOS AND THE ORACLE OF APOLLO OF CLAROS." Respublica literaria, RL. 2021. Vol. 2. No. 4 (November 29, 2021): 5–15. http://dx.doi.org/10.47850/rl.2021.2.4.5-15.

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Abstract:
Monotheism in Late Antiquity is a multidimensional topic. The article deals with only one aspect of the formation of monotheistic tendencies in Greco-Roman religious conceptions, both traditional pagan and Judeo-Christian, including "Judaizing" paganism and Gnosticism. Both folk cults (an epigraphically attested cult of the Theos Hypsistos) and the new monotheistic religion of the revived oracles (the inscription from Oenoanda and the Tübingen Theosophy 13) are considered. We also see how the eschatological and soteriological motifs characteristic of monotheistic religions are revealed in the context of a kind of philosophical ontology.
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Cabouret, Bernadette. "Les cultes grecs d'Antioche." Topoi 7, no. 2 (1997): 1005–22. http://dx.doi.org/10.3406/topoi.1997.1759.

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Stratiki, Kerasia. "Le culte des héros grecs chez Pausanias." Bulletin de l'Association Guillaume Budé 1, no. 1 (2002): 70–93. http://dx.doi.org/10.3406/bude.2002.2054.

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Santos de Moraes, Alexandre, and Beatriz Moreira da Costa. "ABIDOS E OSÍRIS ALÉM DOS FARAÓS: A MANUTENÇÃO DE UMA CONCEPÇÃO DE MUNDO EGÍPCIA." Phoînix 26, no. 2 (December 4, 2020): 95–111. http://dx.doi.org/10.26770/phoinix.v26.2n06.

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Abstract:
O presente artigo tem como objetivo analisar as evidências da manutenção de Abidos como centro do culto do deus Osíris no período greco-romano. Para tal, mobilizamos documentações escritas que abordam a perspectiva greco-romana acerca de Abidos e seus significados religiosos e funerários. Para enriquecer a discussão, elencamos documentos materiais e arqueológicos provenientes de Abidos, tais como estelas e sarcófagos. Defendemos que a continuidade do culto a Osíris na localidade demonstra a busca dos egípcios pela preservação de suas práticas religiosas diante de uma mudança de cenário político-cultural.
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Bernand, Étienne. "Le culte du lion en Basse Égypte d'après les documents grecs." Dialogues d'histoire ancienne 16, no. 1 (1990): 63–94. http://dx.doi.org/10.3406/dha.1990.1454.

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Harrison, T. "Thesee et l'imaginaire athenien: Legende et culte en Grece antique. C Calame." Classical Review 48, no. 2 (February 1, 1998): 342–43. http://dx.doi.org/10.1093/cr/48.2.342.

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Seraïdari, Katerina. "La valeur économique des lieux de culte grecs : du pèlerinage au tourisme alternatif." Archives de sciences sociales des religions, no. 185 (March 1, 2019): 87–106. http://dx.doi.org/10.4000/assr.39210.

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Freni, Giulia. "Il folklore lunare nel mondo greco tra agricoltura, medicina e metamorfosi." Myrtia 37 (November 28, 2022): 26–42. http://dx.doi.org/10.6018/myrtia.489001.

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Abstract:
Nel pantheongreco, a differenza di quello romano, la luna aveva un ruolo marginale e popolare, cosa che risulta sia dalle credenze ad essa legate così come dal suo culto. A partire datale percezione della luna, il presente articolo si propone di illustrare alcuni aspetti del folklore lunare greco, mostrando come certe tradizioni antiche siano vive ancora oggi, soprattutto in alcune aree dell’Italia meridionale. En el panteón griego, a diferencia del romano, la luna tenía un papel marginal y popular, lo que se manifiesta tanto en las creencias asociadas a ella como en su culto. Al señalaresta percepción de la luna, este artículo pretende ilustrar algunos aspectosdel folclore lunar griego, mostrando cómo ciertas tradiciones antiguas siguen vivas hoy en día, especialmente en ciertas zonas del sur de Italia.
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Fonseca, Danillo Melo da. "Religião popular no Egito Greco-Romano: o culto de Serápis." Mare Nostrum 12, no. 1 (March 12, 2021): 81–110. http://dx.doi.org/10.11606/issn.2177-4218.v12i1p81-110.

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Abstract:
Serápis foi um deus criado por Ptolomeu I Sóter, primeiro faraó da dinastia lágida (305-30 a.C.) como deus guardião dos novos soberanos e da cidade de Alexandria. A representação iconográfica de Serápis seguia os moldes das divindades gregas. Mas também é resultado de um elemento propriamente egípcio no nome. Com base na cultura material feita de terracota, proveniente do Egito greco-romano e representando Serápis, pretendemos analisar as práticas religiosas e a religião popular associadas ao deus. Partimos da hipótese de que Serápis é resultado do contato e emaranhamento da religião egípcia e grega, fruto de um ambiente marcado pela miscigenação e por um estreito contato cultural.
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Beaulieu, Marie-Claire. "Flore Kimmel-Clauzet, Morts, tombeaux et cultes des poètes grecs." Kernos, no. 27 (November 1, 2014): 457–59. http://dx.doi.org/10.4000/kernos.2237.

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Chidiroglou, Maria, Ulrich Schädler, and Stine Schierup. "Les plateaux de jeu grecs archaïques en terre cuite reconsidérés." Pallas, no. 119 (October 4, 2022): 19–41. http://dx.doi.org/10.4000/pallas.24418.

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Fugger, Verena. "Shedding Light on Early Christian Domestic Cult: Characteristics and New Perspectives in the Context of Archaeological Findings." Archiv für Religionsgeschichte 18-19, no. 1 (September 26, 2017): 201–36. http://dx.doi.org/10.1515/arege-2016-0012.

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Abstract:
Abstract Focusing primarily on findings from late antique housing structures in Asia Minor this paper approaches the complex phenomenon of early Christian domestic cult from an archaeological perspective. In correlation to pagan house sanctuaries from the east and west of the Greco-Roman world, Christian domestic cult sites are analyzed according to architectural and decorative features as well as to their spatial distribution in the house. Thereby the synopsis of already well known monuments and recent archaeological findings reveals a great diversity of different characteristics of Christian domestic cult sites which has not been taken into account yet.
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Termis Moreno, Olga. "Etnicidad y emulación: estudio y desarrollo de la iconografía de la divinidad greco-egipcia Serapis = Ethnicity and Emulation: Study and Development of the Iconography of the greco-Egyptian Divinity Serapis." Espacio Tiempo y Forma. Serie II, Historia Antigua, no. 33 (November 1, 2020): 13. http://dx.doi.org/10.5944/etfii.33.2020.24164.

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Abstract:
El dios Serapis era una de las divinidades más importantes en la época de la conquista de Egipto por Alejandro Magno en 332 a.C. Este dios egipcio fue asociándose a distintos dioses griegos, helenizándose en un proceso de hibridación extendido a lo largo de la dinastía ptolemaica. Tal hibridación dio lugar a que la iconografía del dios evolucionase en función de sus características, que bien podían ser de origen egipcio o griego, y a su ámbito de influencia. La expansión del culto de este dios se debió principalmente a la promoción y al mecenazgo real, justificados por la necesidad de acercar de alguna forma a la población griega y egipcia. Tanto la iconografía como los templos indican que hubo una relación continua entre estas dos poblaciones. Un estudio en profundidad sobre este dios permitirá conocer mejor la naturaleza de estos contactos a lo largo de todo el periodo. Abastract The god Serapis was one of the most important divinities in the epoch of Alexander the Great’s conquest of Egypt, in 332 B.C. This Egyptian god became associated with different Greek gods, hellenizing itself in a process of hybridization extended along the Ptolemaic dynasty. Such hybridization resulted in an evolution of the god’s iconography according to its characteristics, whether Egyptian or Greek, and its scope of implementation. The expansion of the cult of this god was due mainly to royal promotion and patronage, justified by the need to somehow bring the Greek and Egyptian population closer. Both the iconography and the temples show that there was a continuous relationship between these two populations. An in-depth study of this god will allow to improve the knowledge of the nature of the contacts between these two populations throughout the entire period.
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Marcu-Bogdan, Mihaela. "Le vin et la vinification dans l'Antiquité greco-romaine." CaieteARA. Arhitectură. Restaurare. Arheologie, no. 2 (2011): 47–51. http://dx.doi.org/10.47950/caieteara.2011.2.13.

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Abstract:
"La principale diffi culté des mots latins provient en général du fait que termes et méthodes varient considérablementen fonction des auteurs, ce qui complique la compréhension de procédés apparemment plus clairement diff érenciés qu’en grec. Il convient de garder ŕ l’esprit que tous les vins issus de raisins séchés ne sont pas forcement doux, et que nous sommes la plupart du temps démunis face ŕ la diversité tant des méthodes de vinifi cation que de leur désignation plus ou moins spécifi que. Ce petit lexique non exhaustif visait en outre ŕ souligner la confusion que peut engendrer la traduction d’une terminologie antique en termes d’enologie actuelle. "
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Blatherwick, Helen. "‘And the Light in his Eyes Grew Dark’: The Representation of Anger in an Egyptian Popular Epic." Cultural History 8, no. 2 (October 2019): 226–47. http://dx.doi.org/10.3366/cult.2019.0201.

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Abstract:
Sīrat Sayf ibn Dhī Yazan is a late-medieval Egyptian popular epic that tells the story of the foundation of Egypt and conquest of the world by its hero, the Yemeni king Sayf. It is one of a group of narratives known as the siyar shaʿbiyya, Arabic popular epics or romances. As a genre, their core concerns are issues of identity, the collective anxieties of the social unit, and that unit's struggle to maintain its integrity. Sīrat Sayf explores these issues in large part through the thematic use of gender, according to which the male, patriarchal forces of order are in tension with the female forces of chaos in an unstable and perpetually shifting balance that must be kept in equilibrium. In this context, open displays of strong emotions by its main protagonists can take on a particularly threatening aspect in the text. This article investigates the representation of anger in Sīrat Sayf, focusing first on the extent to which it can be described as gendered, and the significance of this for an understanding of both how male and female anger are conceptualised in the text and their respective roles in its textual dynamics. It then explores the part played by anger in an episode in which King Sayf offers the choice of conversion to Islam or death to a defeated enemy. In this small but key extract, the normally formulaic ‘conversion narrative’ becomes a highly emotionally charged encounter, during which characters are driven by anger to break with narrative conventions and behave in unexpected ways. This ‘emotional manipulation’ of literary conventions, which is achieved partly through the manipulation of gendered emotional codes, is one of the ways in which the narrative is able to give voice to the tensions surrounding issues of self and other, and communal identity, but also has implications for our understanding of the social codes depicted in the text.
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Rampley, Matthew. "Eric Storm, The Discovery of El Greco: The Nationalization of Culture versus the Rise of Modern Art." Cultural History 7, no. 1 (April 2018): 115–16. http://dx.doi.org/10.3366/cult.2018.0166.

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Wortham, Robert A. "Urban Networks, Deregulated Religious Markets, Cultural Continuity and the Diffusion of the Isis Cult." Method & Theory in the Study of Religion 18, no. 2 (2006): 103–23. http://dx.doi.org/10.1163/157006806777832896.

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Abstract:
AbstractIn an empirical study on the diffusion of the Isis cult throughout 44 major cities of the Greco-Roman world, Hegedus concludes that the expansion of the Isis cult was linked to an urban location's proximity to Alexandria and Rome. In a similar study, Stark concludes that the diffusion of the Isis cult and Christianity were intertwined. These claims are evaluated in a new study that accesses the impact of city size, distance from Rome, religious pluralism and cultural continuity on the diffusion of the Isis cult throughout 22 major cities of the Roman Empire. Updated data on the diffusion of the Isis cult are utilized and the data are subjected to rank-order correlation analysis and binary logistic regression analysis. Findings indicate that the diffusion of the Isis cult and Christianity was somewhat contemporaneous and that a deregulated Roman religious marketplace provided an opportunity for new religious movements to satisfy an unmet demand for religious products.
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Neumann, Sabine. "Women’s Agency in the Cults of the Greco-Egyptian Deities in Hellenistic Athens." Religion and Gender 14, no. 1-2 (April 2, 2024): 56–80. http://dx.doi.org/10.1163/18785417-01401004.

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Abstract:
Abstract Cults for Greco-Egyptian gods such as Isis, Sarapis, Anubis, and Harpocrates enjoyed great interest in the Greek world of the Hellenistic period. This article analyses the agency of women in these cults in Hellenistic Athens and Delos. It poses the question whether the agency of women can be directly compared to the agency of men. It identifies, first, reservations in modern scholarship about women in positions of religious power, and, second, institutional boundaries that excluded women from official priestly positions. It demonstrates the ways in which women nonetheless held agency within family networks, and, third, possessed ritual competencies beyond formal offices and a relationship to deities on a personal level.
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Re, Giulia. "David Braund, Greek Religion and Cult in the Black Sea region, Cambridge University press, Cambridge, 2018, 314 pp." Grecorromana 2 (December 28, 2020): 165–68. http://dx.doi.org/10.53382/issn.0719-9902.56.

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Abstract:
Il volume è l’ultimo contributo prodotto nell’ambito del Black Sea History Project. Si tratta di una linea di ricerche sulla colonizzazione greca nella regione del Bosforo, che l’Autore porta avanti, con interessi di respiro storico-archeologico ed epigrafico-letterario, ponendosi come interlocutore di una consolidata tradizione di studi di matrice europea orientale. Il contributo intende analizzare il ruolo di due divinità centrali del Bosforo, Parthenos e Afrodite Urania, e l’impatto che i loro culti ebbero in termini di mediazione tra gruppi sociali di matrice greca e gruppi autoctoni, coesistenti nella regione pontica, in un arco di tempo che va dal V sec. a.C. all’epoca romana.
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Lamb, Gregory E. "Beyond the Greco-Roman or Jewish Monocle: Reading Philippians and Paul ‘Kaleidoscopically’." Religions 15, no. 4 (April 9, 2024): 467. http://dx.doi.org/10.3390/rel15040467.

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Abstract:
Typically, scholars view/read the enigmatic apostle Paul monolithically—that is, through either a Greco-Roman or Jewish socio-cultural lens. The traditional Lutheran (Greco-Roman/Western) lens was criticized in the mid-/late-twentieth century by scholars highlighting Paul’s Jewishness—resulting in the so-called “New Perspective on Paul” and “Paul within Judaism” movements. This paradigmatic post-Shoah shift of Pauline interpretation begs the questions, “Should we abandon Greco-Roman readings of Paul?” and “Should we continue to read Philippians and Paul through a singular (Jewish) lens?” Building upon the work of Markus Bockmuehl, Abraham Malherbe et al., I argue for an “eclectic and pragmatic” approach. I explain how “monocular” (Greco-Roman or Jewish) and even “binocular” (Greco-Roman and Jewish) approaches flatten Paul’s complex thought world and Sitz im Leben as an in-Christ church-planting missionary. The purpose of this study is to read Philippians and Paul “kaleidoscopically”—considering the distinct Romanitas, juxtaposed and colliding cultures, worldviews, and religions that Paul likely encountered in the cosmopolitan colonia of first-century Philippi. This article transcends the Greco-Roman/Jewish debate surrounding Paul—highlighting the literary and archaeological evidence of competing pagan, Jewish, and Pauline Christ cults in first-century Philippi—and thus encouraging scholars to read Philippians and Paul through a “kaleidoscopic” rather than a monolithic lens.
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Filho, José Adriano, and Paulo Augusto de Souza Nogueira. "O culto imperial e o Apocalipse de João." Estudos de Religião 33, no. 1 (April 30, 2019): 149. http://dx.doi.org/10.15603/2176-1078/er.v33n1p149-171.

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Abstract:
O culto imperial teve um papel importante na produção do Apocalipse de João. O livro contém várias imagens extraídas do seu âmbito, mas a descrição das realidades celestiais e mobilização da igreja na terra que apresenta são transformadas por meio da construção de uma realidade contra cultural. Esta contracultura assume os valores da cultura da greco-romana, mas os inverte. O livro cria sua própria estrutura de referência, um tipo de imagem que espelha a cultura original, a partir da qual aquele que habita esta reconstrução da realidade social encontra o status de autoestima que a cultura de origem lhes nega. Sua crítica ao poder vigente transcende sua localização histórica particular e questiona suas pretensões de universalidade e eternidade, tornando o Apocalipse uma voz importante do Cânon cristão e uma testemunha das lutas da humanidade no estabelecimento de uma comunidade justa e fraterna.
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Feraru, Remus Mihai. "Zeii medicinei în coloniile milesiene de la Pontul Euxin: cult și reprezentare iconografică." Cercetări Arheologice 30, no. 2 (November 1, 2023): 627–38. http://dx.doi.org/10.46535/ca.30.2.12.

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Abstract:
Studiul nostru are ca obiect cultul zeilor medicinei (Asclepios, Hygieia și Telesphoros) și reprezentările lor iconografice în coloniile milesiene situate pe țărmurile Pontului Euxin. Cercetarea noastră se bazează pe studiul documentelor epigrafice, literare, numismatice și arheologice (altare, basoreliefuri votive, statui monumentale, statuete). Zeii medicinei sunt adorați cu epicleze specifice care se regăsesc în spațiul cultual grec. Într-o primă etapă, în cursul secolului al IV-lea î. Hr., cultul lui Asclepios a fost introdus în panteoanele Olbiei și Panticapaionului. Într-o a doua etapă, începând din secolul al III-lea î. Hr., cultul zeilor medicinei a cunoscut o largă răspândire în Tracia, Moesia Inferior, și pe țărmurile sudic și vestic ale Pontului Euxin, mai ales după transformarea Traciei în provincie romană (46 d. Hr.). Majoritatea dovezilor referitoare la cultele lui Asclepios și al Hygiei, descoperite în coloniile milesiene situate pe țărmul sudic al Pontului Euxin datează din epoca romană. Reprezentările iconografice ale zeilor medicinei se caracterizează printr-o extraordinară uniformitate și reproduc fidel tipurile iconografice grecești.
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Hegedus, Tim. "The urban expansion of the Isis cult: A quantitative approach." Studies in Religion/Sciences Religieuses 27, no. 2 (June 1998): 161–78. http://dx.doi.org/10.1177/000842989802700203.

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Abstract:
This article presents a quantitative sociological study of the expansion of the worship of Isis in Greco-Roman antiquity focusing on the role of large urban centres. Receptivity to the cult is measured for a data set of 44 cities based on the presence or absence of archaeological remains. Statistical correlations between the spread of the Isis cult and city size, distance from Alexandria and distance from Rome (a secondary centre of the cult's expansion) support the thesis that distance from cultic centres was a significant factor in the spread of Isiac worship. The paper concludes with a number of suggestions for further research.
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Alpi, Frédéric. "À propos de l’inscription cruciforme φῶς/ζωή (Lumière et Vie) en Orient proto-byzantin: théologie sacramentelle et liturgie." Chronos 32 (September 29, 2018): 133–39. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v32i0.116.

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Abstract:
Bâtie peut-être sur le modèle des acclamations protocolaires antiques (Jalabert et Mouterde 1939 : 174, n° 304), l’association des deux mots grecs φῶς (lumière) et ζωή (vie) résume la doctrine chrétienne du salut apporté aux hommes par Jésus-Christ, puisqu’elle reprend la définition de Jean 8,12 : Ἐγώ εἰμι τὸ φῶς τοῦ κόσμου· ὁ ἀκολουθῶν ἐμοὶ οὐ μὴ περιπατήσῃ ἐν τῇ σκοτίᾳ, ἀλλ̕ ἕξει τὸ φῶς τῆς ζωῆς (Je suis la Lumière du monde : celui qui m’accompagne ne marchera pas dans les ténèbres ; non, il aura la Lumière de la Vie). Les attestations épigraphiques en sont donc relativement nombreuses en Orient, qu’il s’agisse d’inscriptions lapidaires ou de gravures effectuées sur des objets de culte ou de dévotion (Leclercq 1939).
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Humm, Michel. "La « barbarisation » de Poséidonia et la fin des cultes grecs à Paestum." Revue de l'histoire des religions, no. 235 (June 1, 2018): 353–72. http://dx.doi.org/10.4000/rhr.8913.

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NANOS, MARK D. "Paul's Polemic in Philippians 3 as Jewish-Subgroup Vilification of Local Non-Jewish Cultic and Philosophical Alternatives." Journal for the Study of Paul and His Letters 3, no. 1 (2013): 47–91. http://dx.doi.org/10.2307/26426477.

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Abstract:
Current readings of Philippians, even those emphasizing the Greco-Roman social and political contexts suggested by the explicit concerns Paul expresses throughout most of the letter, still posit opposition to missionaries (usually “Christians”) promoting Judaism to interpret the polemic in ch. 3. There are a number of salient Greco-Roman targets for Paul's polemic in ch. 3, however, that are not considered. This is in part a product of approaching Paul from the assumption that he writes from outside Judaism and is understood to do so by his addressees. But if one hypothesizes that Paul practiced and promoted Judaism and was known to do so, then one must ask new questions of the textual clues to the contextual concerns. Productive options explored in this endeavor include local Greco-Roman “idolatrous” cults and/or philosophical groups and their various behavioral norms, especially Cynics, all of which also suggest cultural constraints associated with the imperial setting of everyone involved. The implications for interpreting Philippians as well as Paul and his communities are many.
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NANOS, MARK D. "Paul's Polemic in Philippians 3 as Jewish-Subgroup Vilification of Local Non-Jewish Cultic and Philosophical Alternatives." Journal for the Study of Paul and His Letters 3, no. 1 (2013): 47–91. http://dx.doi.org/10.2307/jstudpaullett.3.1.0047.

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Abstract:
Current readings of Philippians, even those emphasizing the Greco-Roman social and political contexts suggested by the explicit concerns Paul expresses throughout most of the letter, still posit opposition to missionaries (usually “Christians”) promoting Judaism to interpret the polemic in ch. 3. There are a number of salient Greco-Roman targets for Paul's polemic in ch. 3, however, that are not considered. This is in part a product of approaching Paul from the assumption that he writes from outside Judaism and is understood to do so by his addressees. But if one hypothesizes that Paul practiced and promoted Judaism and was known to do so, then one must ask new questions of the textual clues to the contextual concerns. Productive options explored in this endeavor include local Greco-Roman “idolatrous” cults and/or philosophical groups and their various behavioral norms, especially Cynics, all of which also suggest cultural constraints associated with the imperial setting of everyone involved. The implications for interpreting Philippians as well as Paul and his communities are many.
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Korhonen, Kalle, and Cristina Soraci. "Forme amministrative e scelte linguistiche nelle epigrafi e nelle monete della Sicilia romana." Gerión. Revista de Historia Antigua 37, no. 1 (April 1, 2019): 97–116. http://dx.doi.org/10.5209/geri.63870.

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Abstract:
Fino a non molto tempo fa gli studiosi sostenevano che le scelte linguistiche nelle colonie romane della Sicilia fossero coerenti: il latino sarebbe stata la sola lingua usata in un contesto “ufficiale” e il greco sarebbe stato adottato in contesti diversi, come il culto (non coloniale) o l’ambito privato. Ricerche recenti hanno messo in discussione tali affermazioni. Nel presente articolo ci soffermiamo sull’uso del greco e del latino nelle città non coloniali. L’impiego del latino è spesso stato legato all’attribuzione di un preciso stato amministrativo, quello dei municipi, in epoca augustea o postaugustea; al contrario, testimonianze concernenti i municipia e scritte in greco sono state considérate risalenti agli anni di Sesto Pompeo. Intendiamo dimostrare che l’uso del linguaggio in contesti municipali “ufficiali” è molto più vario di quanto non si sia pensato in precedenza e proponiamo nuove letture e datazioni per diverse iscrizioni, soprattutto IG XIV, 954 (in riferimento ad Akragas/Agrigentum), IG XIV, 367=IG Palermo 44 (Aluntium), CIL X 7350 (Thermae Himeraeorum), IG XIV, 575 (Centuripae), AE 1945, 64 (Segesta) e SEG LXI, 758=AE 2011, 435 (Syracusae).
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Giambrone, Anthony. "Jesus and the Paralytics." Biblical Annals 10, no. 3 (May 17, 2020): 389–404. http://dx.doi.org/10.31743/biban.9681.

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Abstract:
This study explores the Greco-Roman memorialization of healings through material culture as a point of comparison for the Gospels’ miracle traditions. Special attention is given to the ex-votos left at healing shrines and especially the Iamata inscriptions connected with the Asclepius cult. This corpus of evidence brings into focus a series of dynamics that help illuminate the stories of Jesus’ two healings of a paralytic (John 5:1-15; Mark 2:1-10). The comparisons help clarify both the common memorializing supports that informed and sustained the memory of Jesus transmitted in the Gospels, as well as the distinctive relationship of the Christian cult to certain specific places where memories of Jesus where preserved.
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Macedo, José Rivair. "CHRISTUS AGELASTUS: o riso e o pensamento cristão na idade média." Veritas (Porto Alegre) 42, no. 3 (December 31, 1997): 549. http://dx.doi.org/10.15448/1984-6746.1997.3.35719.

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Abstract:
A questão do riso, do sorriso e da gargalhada foi recebida no cristianismo de forma diferente do que o fora nas sociedades arcaicas e nos cultos greco-romanos. Se em inúmeros rituais pagãos o riso fazia parte da liturgia, não acontece o mesmo na seriedade do culto cristão, chegando-se mesmo a afirmar que Cristo jamais sorriu. Com a revalorização das categorias profanas da existência, a partir do século XII, também o riso e os demais sinais exteriores de expressão são revalorizados.
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Magris, Aldo. "Filosofizzazione del cristianesimo." Verbum Vitae 39, no. 3 (September 30, 2021): 915–40. http://dx.doi.org/10.31743/vv.12162.

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Abstract:
Laddove la cultura ellenica nei suoi aspetti più importanti scomparve all’avvento della religione cristiana, solo la filosofia greca sopravvisse, anzi trovò nella nuova situazione culturale forme di sviluppo originali. Perciò noi dovremmo parlare di filosofizzazione, piuttosto che di ellenizzazione del cristianesimo. Inizialmente gli autori cristiani erano avversi alla filosofia, ma poi prevalse la linea di Giustino, di Clemente e di Origine secondo cui essa poteva rappresentare una propedeutica a una comprensione colta della fede: certo non tutta la filosofia greca ma soltanto il filone platonico e aristotelico. Da queste specifiche fonti i Padri della Chiesa trassero concetti e argomentazioni utili per due scopi: il primo, la dimostrazione del libero arbitrio a supporto dell’etica, e della provvidenza divina in funzione della teodicea; il secondo, la critica dei miti e culti pagani e delle contemporanee sette eretiche. In particolare la confutazione del manicheismo impiegò su larga scale le strutture formali dell’ontologia aristotelica. La filosofizzazione divenne parte integrante dell’identità e della visione cristiana del mondo.
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Pugachenkova, G. A. "The Antiquities of Transoxiana in the Light of Investigations in Uzbekistan (1985-1990)." Ancient Civilizations from Scythia to Siberia 2, no. 1 (1996): 1–38. http://dx.doi.org/10.1163/157005795x00010.

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Abstract:
AbstractThe archaeological study of pre-Islamic Uzbekistan (Bactria, Sogdiana) has been intensified since. World War II and this survey presents the most important recent results of this work. Bronze Age sites show a process of cultural change in Bactria, particularly the settlement of the area by farmers and the emergence in proto-cities of new urban forms of social organisation and systems of belief. The Iron Age sees the assimilation of new ethnic groups into the region, the expansion of a strong (Achaemenid) state, the development of defended cities and administrative centres and the beginnings of specialised craft industries. In the Classical period the Macedonian conquest brought about the sharp decline of existing urban centres, but the centralised states that followed were able to establish (e.g. through irrigation projects) new cities in new agricultural zones. Excavation into the lower levels of medieval cities has revealed several previously unknown ancient cities, many of which seem to have been derelict in the period before or during the Arab conquest. Bactrian cities of the Classical period have been shown to be extensive in area, well defended by strong walls and a citadel, and to have performed administrative, economic, religious as well as military functions. Cult buildings discovered show the presence of Avestan religion (although not the orthodox Zoroastrianism of Iran), cults of the Great Mother Goddess, and Buddhism (though limited to a few remarkable centres), and in the North of Sarmatian totemic cults using zoomorphic representations, finds of art, sculpture and wall-painting reveal a process in Bactria in which a native substratum was synthesized with Hellenistic, Indian and Sako-Sarmatian elements to produce work of high quality and originality. Epigraphical finds include ostraca, graffiti, inscriptions, and even papyri, representing scripts and languages from Bactrian to Pahlavi, to Greek and Latin. Finds of coins, including Greco-Bactrian and Parthian, help to date archaeological layers and produce accurate chronologies. Scholars from Uzbekistan have also contributed to the "Great Silk Road" programme, which is showing that routes crossing the region were formed in the 1st mill. B.C. and constituted a dense branched network by the end of the Classical period.
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Kalic, Jovanka. "Srpska drzava i Ohridska arhiepiskopija u XII veku." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 44 (2007): 197–208. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0744197k.

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Abstract:
(francuski) L??poque des Comnene (1081-1185) voit le glissement progressif du centre de l?Etat serbe, depuis l?ancienne Dioclee et les contr?es du littoral adriatique plus a l?int?rieur de l?arri?re-pays, c?est-a-dire sur le territoire de l?archev?ch? grec d?Ohrid. Celui-ci correspondait alors une vaste r?gion dont les limites avaient ?t? fix?es au d?but du XIe si?cle lorsque, sous le r?gne de Basile II (976-1025), Byzance a r?tabli son autorit? sur le territoire des Balkans. De tous les souverains serbes, le grand Joupan Vukan (fin du XIe - d?but du XIIe si?cle) est le premier a avoir alors ?tendu son autorit? sur la contr?e de Ras, autrement dit le territoire de l??v?ch? du m?me nom qui entrait dans le dioc?se Ohrid et dont les ?v?ques si?geaient alors depuis plusieurs si?cles dans l??glise Saint-Pierre-et-Paul (aujourd?hui Saint-Pierre pr?s de Novi Pazar). Dans ce travail l?auteur observe les relations entretenues par l?Etat serbe et l?Eglise grecque sur le sol de la Serbie du XIIe si?cle, lesquelles ?taient avant tout fonction des relations politiques entre ce m?me Etat et Byzance. Pour l??poque m?me du joupan Vukan nous n?avons aucune donn?e concernant l?activit? des ?v?ques de Ras. Le pr?sent texte accorde donc une attention plus particuli?re a la situation enregistr?e vers le milieu du XIIe si?cle, a savoir sous le r?gne de Stefan Nemanja, fondateur de la dynastie des Nemanjic. D??pres le syst?me de pouvoir alors en vigueur en Serbie, Stefan Nemanja s?est tout d?abord vu confier l?administration d?une partie de l?Etat serbe (1158-1159). Il s?agissait en l?occurrence des r?gions appel?es Ibar, Rasina, Toplica et Reke, c?est-a-dire les contr?es orientales du pays jouxtant directement le territoire sous l?autorit? directe de Byzance. Pour cette p?riode, les sources serbes notent tout particuli?rement l?engagement de ce prince en faveur de l??rection de monast?res (un premier place sous le vocable de saint Nicolas et un second consacre au culte de la Vierge). On sait aussi que ces deux ?tablissements ont ?t? ?riges avec le consentement de l??v?que de l?archev?ch? d?Ohrid, et ce, dans les deux cas, avant 1166, ann?e ou Stefan Nemanja a ?tendu son pouvoir sur l?ensemble du pays. Or, de nouvelles donn?es nous r?v?lent que durant toute cette ?poque (plus pr?cis?ment jusqu?en 1164) l?archev?que d?Ohrid Jean (Adrien) Comn?ne, fils du sebastocrator Isaac Comn?ne, fr?re tr?s influent de l?empereur Alexis Ier Comnene, a joue un r?le de premier plan dans les relations serbe-byzantines. En l?occurrence, il a acc?de a cette fonction en 1140 et l?a exerc?e jusqu?a sa mort, en 1164, soit pr?cis?ment durant les d?cennies ayant vu d?importants ?v?nements pour l?avenir de l?Etat serbe. Nous apprenons ainsi qu?il ?tait pr?sent a Nis durant l??t? 1163, lors de la rencontre entre Manuel Ier Comn?ne et Stefan Nemanja, a l?occasion de laquelle l?empereur a d?cerne au prince serbe un titre ?l?ve de rang imp?rial et lui a remis, a titre de bien h?r?ditaire, la r?gion de la Dubocica (a savoir la r?gion de l?actuelle ville de Leskovac). Et il apparait qu?avant m?me cette rencontre, il soutenait d?j? les entreprises de Stefan Nemanja, avant tout s?agissant de l??rection d??glises dans la r?gion de Toplica (a savoir les ?glises Saint-Nicolas et de la Sainte-Vierge d?j? nomm?es). Par ailleurs, nous apprenons que ce m?me archev?que a aussi participe, cette m?me ann?e 1163, a des discussions en mati?re de dogme avec l??v?que russe en exil Leon, lors de son s?jour, avec l?empereur Manuel Ier, a Belgrade. L?auteur note que c?est assur?ment a cette p?riode d?activit? de fondateur de Stefan Nemanja qu?appartient l??rection de l??glise Saint-Nicolas dans la Toplica qui, selon les crit?res largement admis, se range dans le groupe des ?difices monumentaux de l?architecture sacr?e byzantine de l??poque des Comn?ne, d?notant de fortes influences de l?architecture de la capitale.
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Grozdanov, Cvetan. "O Sv. Konstantinu Kavasili i njegovim portretima u svetlu novih saznanja." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 44 (2007): 313–24. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0744313g.

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Abstract:
(francuski) L?auteur de cet article revient a l??tude du personnage de l?archev?que Constantin Cabasilas et de ses portraits dans le cadre de ses nouvelles d?couvertes (ZLU, 2, Novi Sad 1966) et dans la lumi?re des ?tudes d?autres auteurs. Dans cet article, on souligne particuli?rement le fait que la figure de saint Nicolas de Myre appartient au groupe d?hi?rarques peint sur le mur nord de l??glise Sainte-Vierge-Perivleptos a Ohrid, en commun avec saint Clement et saint Constantin Cabasilas, ce qui m?ne a la conclusion que ce groupe n?est pas le seul groupe th?matique de saints d?Ohrid. L?auteur s?attarde a l?inscription portant le nom de Cabasilas grav?e sur le pilier de la galerie de Gregoire de 1313/14 et ?met l?hypoth?se que la m?moire de Cabasilas ?tait ?galement pr?sente dans l?annexe sud de l??glise Sainte-Sophie, r?cemment fouill?e. L?annexe de Sainte-Sophie occupe une surface ?norme, elle a ?t? peinte dans la deuxi?me moitie du 13e si?cle, ce que l?on peut d?duire gr?ce au grand nombre de fragments trouves ou conserves in situ. L?auteur exprime sa r?serve quant a l?opinion exprim?e ant?rieurement que saint Constantin Cabasilas a ?t? peint dans le narthex de l??glise Sainte-Vierge- -Perivleptos a la t?te du cort?ge d?hi?rarques dans la Stychire de Noel de Jean Damasc?ne, et il consid?re qu?il s?agit de la figure de saint Jean Chrysostome avec lequel Cabasilas a des ressemblances physionomiques. Plus exactement, dans ce premier cort?g? a cote du tr?n? avec la Vierge, l?auteur reconnait saint Basile le Grand, saint Jean Chrysostome saint Gr?goire le Th?ologien et partiellement la figure de saint Athanase le Grand. Derri?re eux vient le cort?ge des saints empereurs chretiens avec saint Constantin et sainte Helene en t?te. On suppose que derri?re eux sont peints les empereurs de la dynastie des Pal?ologues. Puisque la figure du Protaton montre Cabasilas en tant que vieil homme (a la diff?rence de ses portraits a Ohrid et a Staro Nagoricino), on ?met l?hypoth?se que saint Cabasilas, saint Erasme, saint Theophilacte et saint Cl?ment du Protaton (chapelle de Saint-Jean le Pr?curseur, 1526) ont ?t? peints selon l?original d?Ohrid qui n?est plus conserve vu la destruction de Sainte-Sophie et de Saint-Panteleimon de Cl?ment sous la domination turque. La cr?ation de l?ensemble au Protaton qui ?tait ?tudie par G. Subotic en tant que donation de l?archipr?tr? Gabriel, est particuli?rement mis en relief aussi en rapport avec la peinture des saints d?Ohrid mentionnes dans la chapelle de Saint-Jean le Pr?curseur. L?auteur de cet article attire une attention particuli?re sur la d?couverte de la vie et de l?office de Constantin Cabasilas ou on fait mention du jour de sa mort (le 18 octobre), ce qui signifie qu?il a ?t? canonise. Ensuite, on indique les copies des canons des Quinze martyrs de Strumica, publi?es plus tard (en grec et en slave), de la Biblioth?que nationale de Belgrade et de Sofia, ainsi que celles de l??parchie de Strumica. On souligne l?importance des canons de Cabasilas consacres a saint Cl?ment et a saint Naum dans lesquels, selon les notes de K. Nichoritis l?auteur parle des souffrances et des peines injustes subies dans la prison de Nic?e, ?galement mentionn?es dans la vie r?dig?e par son disciple inconnu d?Ohrid. Au sujet du culte de saint C. Cabasilas, on signale que sa canonisation est due a sa popularit? dans le dioc?se d?Ohrid ou il a travaille pendant plus de 40 ans en tant qu?hi?rarque de Strumica et de Durres et en tant qu?archev?que d?Ohrid. En m?me temps, on souligne sa collaboration avec Michel VIII Pal?ologue, c?est-a-dire avec son fr?re Jean lors de la prise d?Ohrid par les Nic?ens, ce qui repr?sentait en quelque sorte sa r?habilitation durant le long r?gne d?Andronique II Pal?ologue. L?auteur signale que les donn?es relatives a la date de la mort de C. Cabasilas, ainsi que celles concernant son h?ritier sur le tr?ne d?Ohrid ne sont pas connues.
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Kitat, Sara. "The Osirian Cult in Temples' Crypts in Egypt during the Greco-Roman Period." International Academic Journal Faculty of Tourism and Hotel Management 3, no. 3 (October 1, 2017): 82–113. http://dx.doi.org/10.21608/ijaf.2017.95532.

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