Academic literature on the topic 'Cultes de fécondité'

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Journal articles on the topic "Cultes de fécondité"

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Kabasele Lumbala, François. "Liturgies africaines et vie." Thème 19, no. 1 (February 15, 2013): 147–62. http://dx.doi.org/10.7202/1014185ar.

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Abstract:
En Afrique noire, la vie est le sacré par excellence ; aussi, demeure-t-elle la préoccupation principale de toutes les cérémonies religieuses, déjà dans les traditions, et jusqu’aujourd’hui dans les religions africaines nouvelles : les rituels regorgent d’évocations et de supplications pour la vie ; les lieux de culte sont décorés aux couleurs de la vie (la trilogie « blanc-noir-rouge ») ; les symboles déployés dans le culte au sein de ces civilisations de l’oralité sont ceux de la fécondité, du triomphe sur la mort, de communion et cohésion sociale : les bananiers, la chaux, les arbres de vie ou arbres aux ancêtres, le feu, etc. Enfin, la manière même de célébrer est des plus vivantes : les assemblées grouillent de monde, la prédication est jalonnée de cris d’acclamation et élaborée avec l’apport de toute l’assemblée, le tambour rythme la prière en réveillant efficacement tous les dormeurs et en mettant debout toute l’assemblée pour la danse qui remet le corps à l’unisson avec l’Esprit et tout le groupe ! Oui, la vie « explose » dans les célébrations africaines.
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2

Rachik, Hassan. "Sainteté (culte des saints)." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.024.

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Abstract:
Le culte des saints réfère à un ensemble de rites et de croyances en rapport avec un dispositif sacré dans lequel le saint et son sanctuaire tiennent une place centrale. La tombe du saint et tout élément en rapport avec sa vie (lieu de retraite, source d’eau, arbre sacré, autel) et son corps (relique, trace de pied) font l’objet de pèlerinages privés et/ou collectifs (Dermenghem 1954 ; Van Gennep 1973 ; Turner 1979 ; Tambiah 1984 ; Rachik 1992 ; Chambert-Loir et Guillot 1995 ; Kerrou 1999). Les rites qui composent le culte des saints sont divers : invocations, allumer une bougie, immoler un animal, nouer un chiffon, acheter une amulette, etc. Ils représentent souvent une demande adressée au saint. Certains saints sont pour ainsi dire généralistes et peuvent être implorés pour différents avantages matériels ou spirituels alors que d’autres sont spécialisés dans des domaines déterminés (guérison de maladies mentales, fécondité, mariage, etc.). Le lien avec un saint peut être occasionnel et éphémère comme il peut être durable et structurel. C’est le cas, par exemple, de pays, de villes et de corporations qui ont leurs saints protecteurs. Parmi les plus célèbres citons Notre-Dame de Guadalupe à Mexico, Saint-Denis à Paris, Sidi Abou Madian à Tlemcen et les « sept saints » à Marrakech. Le culte des saints est expliqué en termes cognitifs en ce sens qu’une catégorie de croyants trouvent l’idée de Dieu si abstraite qu’ils éprouvent le besoin d’un sacré au ras du sol, d’un sacré qui se manifeste dans des objets familiers et concrets. Doutté écrit à cet égard que le culte des saints est « la revanche du cœur et de la fantaisie sur l’abstraction du monothéisme » (Doutté 1900 :11). D’autres chercheurs proposent des explications en termes sociologiques en soulignant les fonctions assurées par le saint ou ses représentants vivants. Par exemple, l’arbitrage des conflits et la sécurité des routes pour les voyageurs et les caravanes (Brown 1983; Gellner 1969). Le mot "culte" tend à être associé à tout mouvement ou conception accusés de déviation du dogme orthodoxe. Le mot arabe « ziara » reste neutre en ce sens qu’il ne réfère pas à l’idée d’adoration mais à celle de visite. Toutefois, dans la majorité des cas, le culte des saints est associé à un type de religiosité qui fait appel au corps du croyant, à la médiation personnelle, à l’émotionnel et à la prolifération du rituel. Il est rejeté par les adeptes d’une religiosité basée sur un lien spirituel et directe avec Dieu. Réformateurs et savants fondamentalistes ont rejeté le culte des saints en raison de l’absence de tout fondement scriptural et de sa contradiction avec le principe de l’unicité de Dieu. Cette tension entre deux types de religiosité recoupe, chez plusieurs auteurs (Gellner 1969 ; Weber 1995), une division de la société en deux catégories : illettrés/peuple/vulgaires/paysans vs. savants/lettrés/élite/citadins. Elle est fréquente dans l’histoire du christianisme, de l’islam et du judaïsme. Mais elle est plus visible actuellement dans certains pays musulmans où, durant ces dernières années, des mausolées de saints ont été détruits par des fondamentalistes radicaux. Certains chercheurs ont prédit la fin du culte des saints et de la vision du monde qui le sous-tend au profit d’une vision plus puritaine et plus rationnelle. Ce genre de prédiction si général et si décontextualisée ne peut être ni affirmée, ni infirmée. Nous pouvons simplement dire, à partir des monographies publiées sur le sujet, que les organisateurs du culte des saints semblent se maintenir en s’appuyant sur un discours qui se veut aussi orthodoxe. La vénération de saints est présentée comme étant conforme au dogme religieux et ne contredisant pas l’idée de l’unicité de Dieu.
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3

Singleton, Michael. "Culte des ancêtres." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.092.

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Abstract:
Les plus observateurs de la première génération de missionnaires, de militaires et de marchands européens à avoir sillonné l’Afrique des villages avaient souvent remarqué qu’à proximité de la maisonnée tôt le matin leur vénérable hôte versait dans un tesson de canari, parfois logé à l’intérieur d’un modeste édicule, un peu de bière ou y laissait un morceau de viande tout en s’adressant respectueusement à un interlocuteur invisible. La plupart de ces ethnographes amateurs de la première heure ont automatiquement conclu qu’il s’agissait d’un rite d’offrande sacrificielle accompli par un prêtre sur l’autel d’un petit temple où étaient localisés des esprits d’ancêtres (qu’on distinguait des purs esprits ancestraux). A leurs yeux judéo-chrétiens et gréco-latins, ce culte répondait à une religiosité primitive axée autour de la croyance dans la survie (immatérielle) des âmes (immortelles) qui, implorées en prière par les vivants, pouvaient, grâce à Dieu, venir en aide aux leurs. The medium is the message En inventoriant et analysant ainsi le phénomène en des termes sacrés on ne pouvait pas tomber plus mal ou loin d’une plaque phénoménologique qu’en l’absence in situ de la dichotomie occidentale entre le naturel et le surnaturel, on ne saurait même pas décrire comme « profane ». Emportés par des préjugés ethnocentriques peu problématisés, même des anthropologues occidentaux ou occidentalisés (mais y en a-t-il d’autres ?), ont désigné comme « le culte religieux des esprits ancestraux » une philosophie et pratique indigènes qui, au ras des pâquerettes phénoménologiques, ne représentaient que l’expression conceptuelle et cérémonielle des rapports intergénérationnels tels que vécus dans un certain mode historique de (re)production agricole. Préprogrammés par leur héritage chrétien, même s’ils n’y croyaient plus trop, les premiers observateurs occidentaux de la scène africaine se sont sentis obligés d’y localiser une sphère du sacré et du religieux bien distincte d’autres domaines clôturés par leur culture d’origine dont, entre autres, l’économique, le social ou le politique. Je parle des seuls Européens à l’affut savant et non sectaire des traits univoques d’une religiosité universelle qu’ils estimaient relever d’une nature religieuse censée être commune à tous les hommes. Car il faut passer sous le silence qu’ils méritent les Occidentaux qui, en laïques rabiques ou croyants fondamentalistes traitaient ce qu’ils voyaient de stupidités sauvages voire de superstitions sataniques. Néanmoins, faisons écho du meilleur des ethnographes ecclésiastiques qui ont cru bon de voir dans le phénomène des relents soit d’une Révélation Primitive (Uroffenbarung) soit des jalons vers la vraie Foi. Car en filigrane dans le mânisme (un terme savant renvoyant aux mânes des foyers romains) ils pensaient pouvoir lire la croyance en le monothéisme et en l’immortalité individuelle ainsi que le pendant de l’intercession médiatrice entre les Saints voire des Ames du Purgatoire et Dieu – autant de dogmes du XIXe siècle auxquels désormais peu de Chrétiens critiques souscrivent et qui, de toute évidence ethnographique n’avaient aucun équivalent indigène. L’anthropologie n’est rien si ce n’est une topologie : à chaque lieu (topos) sa logique et son langage. Or, d’un point de vue topographique, le lieu du phénomène qui nous préoccupe n’est ni religieux ni théologique dans le sens occidental de ces termes, mais tout simplement et fondamentalement gérontologique (ce qui ne veut pas dire « gériatrique » !). En outre, son langage et sa logique relèvent foncièrement de facteurs chronologiques. A partir des années 1950, je me suis retrouvé en Afrique venant du premier Monde à subir les conséquences sociétales d’un renversement radical de vapeur chronologique. Depuis l’avènement de la Modernité occidentale les acquis d’un Passé censé absolument parfait avaient perdu leur portée paradigmatique pour être remplacés par l’espoir d’inédits à venir – porté par les résultats prometteurs d’une croissance exponentielle de la maitrise technoscientifique des choses. Au Nord les jeunes prenant toujours davantage de place et de pouvoir, les vieillissants deviennent vite redondants et les vieux non seulement subissent une crise d’identité mais font problème sociétal. C’est dire que dans le premier village africain où en 1969 je me suis trouvé en « prêtre paysan » chez les WaKonongo de la Tanzanie profonde j’avais d’abord eu mal à encaisser la déférence obséquieuse des jeunes et des femmes à l’égard de ce qui me paraissait la prépotence prétentieuse des vieux. Les aînés non seulement occupaient le devant de la scène mais se mettaient en avant. Toujours écoutés avec respect et jamais ouvertement contredits lors des palabres villageois, ils étaient aussi les premiers et les mieux servis lors des repas et des beuveries. Un exemple parmi mille : en haranguant les jeunes mariés lors de leurs noces il n’était jamais question de leur bonheur mais de leurs devoirs à l’égard de leurs vieux parents. Mais j’allais vite me rendre compte que sans le savoir-faire matériel, le bon sens moral et la sagesse « métaphysique » des aînés, nous les jeunes et les femmes de notre village vaguement socialiste (ujamaa) nous ne serions pas en sortis vivants. Les vieux savaient où se trouvaient les bonnes terres et où se terrait le gibier ; ils avaient vécu les joies et les peines de la vie lignagère (des naissances et des funérailles, des bonnes et des mauvaises récoltes, des périodes paisibles mais aussi des événements stressants) et, sur le point de (re)partir au village ancestral tout proche (de rejoindre le Ciel pour y contempler Dieu pour l’Eternité il n’avait jamais été question !) ils étaient bien placés pour négocier un bon prix pour l’usufruit des ressources vitales (la pluie et le gibier, la fertilité des champs et la fécondité des femmes) avec leurs nus propriétaires ancestraux. En un mot : plus on vieillit dans ce genre de lieu villageois, plus grandit son utilité publique. Si de gérontocratie il s’agit c’est à base d’un rapport d’autorité reconnu volontiers comme réciproquement rentable puisque dans l’intérêt darwinien de la survie collective et aucunement pour euphémiser une relation de pouvoir injustement aliénant. La dichotomie entre dominant et dominé(e) est l’exception à la règle d’une vie humaine normalement faite d’asymétries non seulement acceptées mais acceptables aux intéressé(e)s. Les WaKonongo ne rendaient pas un culte à leurs ancêtres, ils survivaient en fonction d’un Passé (personnifié ou « fait personne » dans les ainés et les aïeux) qui avait fait ses preuves. Pour être on ne saurait plus clair : entre offrir respectueusement les premières calebasses de bière aux seniors présents à une fête pour qu’ils ne rouspètent pas et verser quelques gouttes du même breuvage dans un tesson pour amadouer un ancêtre mal luné et fauteur de troubles et qu’on a fait revenir du village ancestral pour l’avoir à portée de main, n’existe qu’une différence de degré formel et aucunement de nature fondamentale. Dans les deux cas il s’agit d’un seul et même rapport intergénérationnel s’exprimant de manière quelque peu cérémonieuse par des gestes de simple politesse conventionnelle et aucunement d’une relation qui de purement profane se transformerait en un rite religieux et profondément sacré. Pour un topologue, le non-lieu est tout aussi éloquent que le lieu. Dans leurs modestes bandes, les Pygmées vivent entièrement dans le présent et dans l’intergénérationnel acceptent tout au plus de profiter des compétences effectives d’un des leurs. Il ne faut pas s’étonner qu’on n’ait trouvé chez eux la moindre trace d’un quelconque « culte des ancêtres ». Cultivant sur brûlis, allant toujours de l’avant de clairière abandonnée en clairière défrichée les WaKonongo, voyageant légers en d’authentiques nomades « oubliaient » leurs morts derrière eux là où des villageois sédentaires (à commencer par les premiers de l’Anatolie) les avaient toujours lourdement à demeure (ensevelis parfois dans le sous-sol des maisons). Le passage d’un lieu à un lieu tout autre parle aussi. Quand le savoir commence à passer sérieusement à la génération montante celle-ci revendique sa part du pouvoir et de l’avoir monopolisés jusqu’alors par la sortante. En l’absence d’un système de sécurité sociale dépassant la solidarité intergénérationnelle du lignage cette transition transforme souvent la portée intégratrice de la gérontocratie en une structure pathogène. Aigris et inquiets par cette évolution, les vieux que j’ai connu au milieu des années 1980 dans des villages congolais, de bons et utiles « sorciers » s’étaient métamorphosés en vampires anthophages. Dans des contextes urbains des pays où l’Etat est faible et la Famille par nécessité forte, l’enracinement empirique du phénomène bien visible au point zéro du petit village d’agriculteurs sédentaires, se trouve parfois masqué par des expressions fascinantes (tels que, justement, les ancêtres superbement masqués que j’ai côtoyé chez les Yoruba du Nigeria) ou à l’occasion folkloriques – je pense aux Grecs qui vont pique-niquer d’un dimanche sur les tombes familiales ou aux vieillards que j’ai vu en Ethiopie terminant leur vie au milieu des monuments aux morts des cimetières. Mais la raison d’être du phénomène reste familial et ne relève pas (du moins pas dans sa version initiale) d’une rationalité qui serait centrée « religieusement » sur des prétendues réalités onto-théologiques qui auraient pour nom Dieu, les esprits, les âmes. Enfin, sur fond d’une description réaliste mais globale du religieux, deux schémas pourraient nous aider à bien situer l’identité intentionnelle des différents interlocuteurs ancestraux. En partant du latin ligare ou (re)lier, le religieux en tant que le fait de se retrouver bien obligé d’interagir avec des interlocuteurs autres que purement humains (selon le vécu et le conçu local de l’humain), a lieu entre l’a-religieux du non rapport (donnant-donnant) ou du rapport à sens unique (le don pur et simple) et l’irréligieux (le « Non ! » - entre autre du libéralisme contractuel - à tout rapport qui ne me rapporte pas tout). Si le gabarit des interlocuteurs aussi bien humains que supra-humains varie c’est que la taille des enjeux dont ils sont l’expression symbolique (« sacramentaires » serait mieux puisqu’une efficacité ex opere operato y est engagée) va du local au global. Quand le réel est intra-lignager (maladie d’enfants, infertilité des femmes dans le clan) la solution symbolique sera négociée avec l’un ou l’autre aïeul tenu pour responsable. Par contre, quand le signifié (sécheresse, pandémie) affecte indistinctement tous les membres de la communauté, le remède doit être trouvé auprès des personnifications plus conséquentes. Ces phénomènes faits tout simplement « personnes » (i.e. dotés du strict minimum en termes de compréhension et de volonté requis pour interagir) avaient été identifiés autrefois avec le « dieu de la pluie » ou « l’esprit de la variole » mais mal puisque les épaisseurs ethnographiques parlaient ni de religion ou de théologie ni d’opposition entre matière et esprit, corps et âme, Terre et Ciel. Une communauté villageoise est fondamentalement faite de groupes lignagers – représentés par les triangles. En cas de malheurs imprévus (en religiosité « primitive » il est rarement question de bonheur attendu !) l’aîné du clan devinera qui en est responsable (un sorcier, un ancêtre ou « dieu » - nom de code personnalisé pour la malchance inexplicable). Il prendra ensuite les dispositions s’imposent –le cas échéant relocalisant à domicile un aïeul mauvais coucheur. Leurs ancêtres n’étant pas concernés, les patriarches de lignages voisins se montreront tout au plus sympathiques. La ligne du milieu représente le pouvoir ou mieux l’autorité du conseil informel des notables. Si, en haut de la pyramide, le chef figure en pointillé c’est qu’il n’a aucun rôle proprement politique mais fonctionne comme médiateur entre les villageois et les nus propriétaires ancestraux en vue de l’usufruit collectif de leurs ressources vitales (en particulier la pluie). En invoquant ses ancêtres, il remédiera aussi à des problèmes affectant tout le monde (la sécheresse, une épidémie, des querelles claniques, menace ennemi). En partant de l’étymologie ligare ou « lier » j’entends par « être religieux » le fait de se (re)trouver obligé en commun à interagir de manière cérémonielle mais asymétrique, avec des interlocuteurs à l’identité plus qu’humain (tel que défini selon la logique locale), afin de satisfaire des intérêts réciproques et pas d’alimenter la curiosité intellectuelle, alors la spirale représente le réseau des rapports proprement religieux. Dans ce sens on peut penser que les vivants villageois se comportent « religieusement » avec les morts vivants du lignage ou de l’ensemble ethnique. Autour de la ligne médiane ont lieu les relations entre hommes, elles aussi à la limite religieuses – délimitées, à droite, par l’a-religieux de l’étranger vite devenu l’ennemi à qui on ne doit rien et qui peut tout nous prendre, et, à gauche, par l’irréligieux de l’adversaire du dedans tel que le sorcier parmi les vôtres qui vous en veut à mort. En bas, il y a le monde dit par l’Occident, animal, végétal et minéral mais qui fait partie intégrante de la religion animiste. En haut se trouve un premier cercle d’interlocuteurs religieux ceux impliqués dans des affaires claniques. Plus haut, constellant l’ultime horizon religieux, on rencontre des interlocuteurs personnifiant des enjeux globaux – la pluie, le gibier, des pandémies… Logiquement, puisqu’elle n’est pas négociable, les Africains ont localisé hors toute réciprocité religieuse, une figure des plus insaisissables – de nouveau mal décrit comme deus otiosus puisqu’elle n’a rien de théologique et n’est pas tant inoccupé que peu préoccupé par le sort humain. Trois diapositives illustrent les trois types d’interlocuteurs : 1. Des édicules pour fixer à côté de la maisonnée des ancêtres lignagers et faciliter les échanges intéressés avec eux ; 2. Un tombeau royal associé grâce à la houe cérémoniale à la pluie ; 3. Un « temple » à la croisée des chemins en brousse où siège le Seigneur de la Forêt et les Animaux.
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Dissertations / Theses on the topic "Cultes de fécondité"

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Barboff, Mouette-Gisèle. "Le pain des femmes : "O pão legitímo"." Paris, EHESS, 2004. http://www.theses.fr/2004EHES0183.

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Abstract:
Ce travail a été effectué au Portugal, dans trois régions (Alentejo, Beira Alta, Alto Minho), et quatre communautés rurales (coopérative Estrela Vermelha ; Sabugueiro ; Castro Laboreiro ; Soajo), entre 1983 et 1992. C'est une étude comparative des cycles céréales-pains qui prend en compte l'aspect agricole, technique, historique, social, symbolique et langagier. Il s'agit de trois céréales (blé, seigle, maïs) et de quatre pains domestiques (pain de blé, de seigle, de méteil et de maïs)
This research was carried out in Portugal in three regions (Alentejo, Beira Alta, Alto Minho) and four rural communities (coopérative Estrela Vermelha ; Sabugueiro ; Castro Laboreiro ; Soajo), between 1983 and 1992. It is a comparative study of the grain-bread cycles which takes into account the agricultural, thechnical, historical, social, symbolic and language aspects of the subject and deals with three grains (wheat, rye, corn) and for domestic bread types (wheat, rye, masculinn and cornbread)
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Peyny, Maud. "L'expression du gène BCAR4 (Breast Cancer anti-estrogen Resistance 4) et son rôle dans la reproduction chez la lapine." Thesis, Tours, 2019. http://www.theses.fr/2019TOUR4031.

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Abstract:
Le gène BCAR4 (Breast Cancer anti-estrogen Resistance 4) a précédemment été découvert chez le bovin comme un gène exprimé préférentiellement dans l'ovocyte et l'embryon précoce et dont l’inhibition altère le développement embryonnaire in vitro. Cependant, son rôle dans l’ovogenèse, la folliculogenèse et globalement la fertilité in vivo restait inconnu. Le gène est conservé chez divers mammifères mais pas chez les rongeurs, le lapin a donc été choisi pour analyser son expression et sa fonction in vivo. Le transcrit BCAR4 est détecté dans l’ovaire dès la formation des follicules primordiaux, et dans les follicules préantraux et antraux, jusque dans l’ovocyte ovulé. Son abondance diminue après la fécondation et tout au long du développement préimplantatoire pour disparaître dans le blastocyste, un profil typique d’un transcrit maternel.Afin d’appréhender le rôle du gène BCAR4 in vivo dans la reproduction chez la femelle, des lapins porteurs d’une altération du gène BCAR4 ont été créés par édition du génome à l’aide de nucléases effectrices de type activateur de transcription (TALEN), et une lignée a été générée. Les animaux porteurs de la modification à l’état homozygote ou hétérozygote sont viables et en bonne santé. L’efficacité de l’altération génétique a été démontrée par transcription inverse couplée à la PCR : trente fois moindre que chez les animaux de génotype sauvage, l’expression de BCAR4 peut être considérée comme abolie dans les follicules ovariens des individus homozygotes. Les femelles ont été phénotypées sur plusieurs paramètres liés à la reproduction. Le génotype n’a pas d’impact significatif sur la folliculogenèse ou l’activité ovarienne, estimés par le dénombrement folliculaire sur coupes histologiques, la concentration plasmatique en hormone anti-mullérienne ou la réponse à la stimulation ovarienne. Pour évaluer la fertilité et la prolificité, les femelles ont été inséminées trois fois à six semaines d’intervalle. Les femelles homozygotes présentaient un taux de mise-bas significativement plus faible que les femelles hétérozygotes, 22±7% vs 71±11% (moyenne±sem), et une prolificité de 1,5±0,7 vs 5,8±1,5 lapereaux par insémination. En conclusion, le gène BCAR4 n’est pas indispensable pour le développement folliculaire, mais il contribue à une fertilité optimale chez la lapine
The BCAR4 gene (Breast Cancer anti-estrogen Resistance 4) has been previously characterized in cattle as a gene expressed preferentially in the oocyte and early embryo, whose inhibition alters embryonic development in vitro. However, its role in oogenesis, folliculogenesis and overall in fertility in vivo remains unknown. Since this gene is conserved in various mammals but not in rodents, the rabbit has been chosen to investigate its expression and function in vivo. By reverse transcription coupled to PCR, BCAR4 transcript is detected in the ovary when primordial follicles are formed, and in ovarian follicles at the preantral and antral stages, as well as in ovulated oocytes. Its abundance decreases after fertilization and throughout preimplantation development to disappear in the blastocyst, a typical profile for a maternal transcript.In order to elucidate the role of BCAR4 in vivo in female reproduction, rabbits carrying an altered BCAR4 gene were created and a line was generated. Both homozygous and heterozygous carriers of the genetic alteration are viable and appear healthy. The genetic alteration abolishes BCAR4 expression in ovarian follicles of homozygous animals, as the transcript abundance is down thirty-fold as compared to the wild-type phenotype. Females were phenotyped on several parameters related to reproduction. The genotype did not have a significant impact on follicular development or ovarian activity, as estimated by follicular count onto ovarian sections, anti-mullerian hormone concentration in plasma, and the response to ovarian stimulation. To evaluate their fertility and prolificacy, females were inseminated three times every six-weeks. Homozygous females had a significantly lower farrowing rate than heterozygous females, 22±7% vs 71±11% (mean±sem), while prolificacy was 1.5±0.7 vs 5.8±1.5 pups per insemination. In conclusion, BCAR4 is not essential for follicular development but the gene contributes to optimal fertility of female rabbits
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Books on the topic "Cultes de fécondité"

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Pourchez, Laurence, ed. Naître et grandir. Normes du Sud, du Nord, d’hier et d’aujourd’hui. Editions des archives contemporaines, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.9782813002617.

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Abstract:
Comment les pratiques tant familiales que professionnelles associées à la naissance et à la petite enfance nous renseignent-elles sur les normes en vigueur dans chaque société ? Il s’agit, dans cet ouvrage, d’interroger tant les conduites de maternage présentes dans différentes cultures que le passé, le présent, mais aussi l’environnement lui-même, de croiser les regards et de tenter une approche pluridisciplinaire de la naissance et de la petite enfance. Notre fil d’Ariane sera la norme, le rapport à la norme et son évolution, sachant que cette compréhension constitue, en ce début de XXIe siècle, l’un des défis majeurs de l’anthropologie de la naissance et de l’enfance. Cet ouvrage commun regroupe 16 articles rédigés à partir des contributions présentées lors d’un colloque intitulé “Du sud au nord, naître hier, aujourd’hui, ici et ailleurs”, qui s’est tenu à Saint-Denis de La Réunion en mai 2013. Il s’agissait, par ce colloque international pluridisciplinaire, d’aller du Sud, de l’archipel des Mascareignes, de la région Sud-Ouest de l’Océan Indien, au Nord ou à d’autres aires géographiques afin de pouvoir comparer les contextes et les pratiques. Nous souhaitions faire une sorte d’arrêt sur image sur les avancées scientifiques intervenues depuis le début du XXIe siècle, instaurer un dialogue sud-nord et ouvrir le débat sur l’histoire, l’évolution et l’actualité de pratiques d’ici et d’ailleurs, dans des disciplines variées telles que l’histoire, la démographie, la sociologie, l’anthropologie, l’épidémiologie, la médecine. Partant d’un regard local sur la fécondité, la grossesse et la naissance, l’objectif de ces échanges était de rompre avec une habitude qui veut que les discussions sur ces thèmes soient uniquement le produit de chercheurs occidentaux sur les sociétés du sud. En effet, dans un contexte planétaire de circulation des idées et des pratiques, des échanges de regards non seulement entre disciplines mais aussi entre continents sont dorénavant opportuns. Car finalement, que l’on se situe du point de vue de l’évolution du contexte global des sociétés, des transformations en cours dans l’environnement, dans les rites de la naissance, qu’il s’agisse d’attribuer un nom au nouveau-né ou de nous interroger sur les pratiques professionnelles de celles qui mettent les enfants au monde, c’est toujours le rapport à une norme qui est en jeu, la relation à des valeurs qui se transforment et évoluent partout et à tous les niveaux. Et de ces modifications, les femmes et leurs nouveau-nés ne sortent pas toujours vainqueurs, loin s’en faut. ..
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