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Journal articles on the topic 'Cultures et azote'

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Van Coillie, R., J. De La Noue, C. Thellen, and Y. Pouliot. "Traitement tertiaire d'eaux usées municipales par culture de Scenedesmus sp. en installation pilote." Revue des sciences de l'eau 3, no. 4 (April 12, 2005): 441–55. http://dx.doi.org/10.7202/705084ar.

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Abstract:
Deux installations pilote destinées au traitement d'effluents secondaires par culture de micro-algues (Scenedesmus sp.) ont été opérées à Valcartier (effluents domestiques) et Vaudreuil (effluents semi-industriels). Des bassins de 15 000 L ont servi aux cultures en vrac sous conditions naturelles, avec apport de CO2 atmosphérique par huilage. Les paramètres physiques, chimiques et biologiques ont été mesurés. Les résultats montrent que, malgré les limitations en CO2 et en azote, un enlèvement moyen d'environ 95 % pour l'azote (N-NH4+, N-NO2-, N-NO3-) et de 60 % pour le phosphore (P-PO4-3) a été possible à Valcartier durant l'été; les données correspondantes sont de 92 % et de 98 % à Vaudreuil où la production de biomasse (1,02 mg/L-h) a été plus forte qu'à Valcartier (0,39 mg/L-h). Les facteurs pouvant expliquer les différences observées aux deux sites sont présentées. Les résultats montrent la faisabilité technique, durant l'été, de ce type de traitement tertiaire.
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Brion, N., and G. Billen. "Une réévaluation de la methode d'incorporation de H14C03- pour mesurer la nitrification autotrophe et son application pour estimer des biomasses de bactéries nitrifiantes." Revue des sciences de l'eau 11, no. 2 (April 12, 2005): 283–302. http://dx.doi.org/10.7202/705308ar.

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Abstract:
Le processus de nitrification joue un rôle essentiel dans le cycle de l'azote dans les milieux aquatiques naturels. La mesure de l'activité nitrifiante est une étape obligée pour bien comprendre et quantifier les flux d'azote dans ces milieux. Ce travail présente une réévaluation de la méthode de mesure de l'activité nitrifiante autotrophe par la méthode d'incorporation de bicarbonate marqué au 14C et son application pour estimer des biomasses de bactéries nitrifiantes. La validité générale de la méthode a été démontrée par des tests menés sur des inhibiteurs de nitrification qui ont montré que l'utilisation combinée de N-serve (5 ppm) et de chlorate (10 mM) inhibait de manière complète et spécifique l'oxydation d'azote et l'incorporation de carbone des deux groupes de bactéries nitrifiantes. Un facteur de rendement (carbone incorporé par azote oxydé) de 0,1 mole C/mole N a également été déterminé sur des cultures pures de bactéries nitrosantes et nitratantes. Pour l'activité potentielle, en particulier, les conditions optimales pour la mesure d'activité nitrifiante ont également été établis: un pH entre 7 et 8, une température entre 20 et 30°C, une concentration en ammonium d'au moins 1 mmol/l et en oxygène d'au moins 6 mg/l. Une relation entre les mesures d'activité nitrifiante potentielle et la biomasse des bactéries nitrifiantes a été établie sur culture pure. Elle montre que dans les conditions de mesures de l'activité potentielle, 1 µg C de bactéries nitrifiantes oxyde 0,04 µmol N/h
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HADIDI, M., B. BAHLAOUAN, S. ASSABA, F. Z. OZI, A. FATHI, S. EL ANTRI, and N. BOUTALEB. "Optimisation de la production du biogaz par les plans de mélanges de déchets agro-industriels et biofertilisation par les résidus de codigestion." Techniques Sciences Méthodes, no. 10 (October 20, 2020): 53–66. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202010053.

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Abstract:
L’objectif de cette étude est de proposer, par approche intégrée, une voie de gestion des déchets agro-industriels : halieutique, avicole, agrumicole. La valorisation énergétique du point de vue de la production de biogaz et aussi la valorisation du digestat qui en découle sont étudiées. Dix mixtures sont établies dans le cadre d’un plan simplexe-centroïde, leur digestion anaérobie dure environ 5000 min, suffisante pour atteindre la stabilité. L’évolution de plusieurs paramètres physico-chimiques tels que le pH, la conductivité, la matière sèche est déterminée. La conversion du carbone organique total (COT), le phosphore (P) et l’azote (NT) sont étudiés et modélisés par les surfaces d’isoréponses. Les contrôles microbiologiques pour vérifier l’hygiénisation des digestats sont menés. Le volume de biogaz produit pour les différents mélanges est mesuré en fonction du temps en utilisant la méthode du liquide déplacé. Finalement, le digestat est valorisé dans la fertilisation des sols agricoles, pour cela des tests de fertilisation sont ainsi conduits sur des cultures de poivrons (Capsicum annum). Les résultats montrent qu’il est possible de générer, après processus de digestion anaérobie optimale, un digestat, intéressant pour une application dans la fertilisation des sols agricoles, hygiénique par l’absence des micro-organismes d’altération, riche en azote, phosphore, potassium, caractérisé par un pH idéal pour la culture de poivrons.
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4

Doumbia, Salif, Sidiki G. Dembele, Fagaye Sissoko, Odiaba Samake, Fernando Sousa, Harun Cicek, Noah Adamtey, and Andreas Fliessbach. "Evaluation de la fertilité des sols et les rendements de cotonnier, maïs et sorgho à >Gliricidia sepium (Jacq.) Kunth ex. Walp." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 7 (December 7, 2020): 2583–98. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i7.17.

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Abstract:
De nos jours, la carence en fertilité des sols est un problème très répandu dans la plupart des pays subsahariens. G. sepium a été testé en association avec le cotonnier, le maïs et le sorgho afin de développer les meilleures pratiques dans deux stations de recherche et en milieu paysan dans les zones soudaniennes et soudano-guinéenne du Mali. L'objectif de cette étude était de développer, avec les producteurs participants, une technologie agro-forestière basée sur le Gliricidia sepium dans le système de culture en couloir. Le dispositif expérimental utilisé a été le Split plot à quatre répétitions. Le pH, le carbone organique du sol et l'azote ont été analysé dans des échantillons de sol de 0 à 20 cm de profondeur prélevés en 2016 au début de l'expérience et en 2018. Les rendements grains moyens de coton, de maïs et de sorgho associés au G. sepium étaient respectivement de 812, 1457 et 1377 kg.ha-1, alors qu'ils étaient significativement plus faibles sans G. sepium, avec 623, 1014 et 807 kg.ha-1 respectivement. Pendant la troisième année suivant la plantation de G. sepium, la teneur en carbone organique et en azote total du sol a augmenté de 5% dans les sols situés entre les allées. Le G. sepium en association avec les cultures a le potentiel d'améliorer leurs rendements et le sol.Mots clés : Carbone organique, azote, rendements, zones soudanienne et soudano-guinéenne, Mali English Title: Evaluation of Gliricidia sepium (Jacq.) Kunth ex. Walp effect on soil fertility, yields of cotton, maize and sorghum Nowdays, soil fertility deficiency is a widespread issue in most Sub-Saharian countries specially where the application of less input is the common agricultural practices. Thus the legume plant, G. sepium was established with cotton, maize and sorghum to develop best practices for increasing crop yield and soil fertility at two research stations and farming environment in the Sudanian and Sudano-Guinean zones of Mali. The objective of this study was to develop an agroforestry technology with farmers based on Gliricidia sepium in alley cropping system. The experimental design was Split plot with four replications. Soil pH, soil organic carbon and nitrogen were analyzed from 0-20 cm deep soil samples taken in 2016 at the beginning of the experiment and in 2018. Mean grain yields of cotton, maize and sorghum associated with G. sepium were 812, 1457 and 1377 kg.ha-1, respectively, while they were significantly lower without G. sepium with 623, 1014 and 807 kg.ha-1 as respectively cotton, maize and sorghum yield. In the third year after planting G. sepium, the soil organic carbon and total nitrogen content increased by 5% between the alleys. G. sepium in association with crops has the potential to improve crop yields and soil fertility.Keywords: Gliricidia sepium, organic carbon, nitrogen, yields, Mali.
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Aghzar, N., H. Berdai, A. Bellouti, and B. Soudi. "Pollution nitrique des eaux souterraines au Tadla (Maroc)." Revue des sciences de l'eau 15, no. 2 (April 12, 2005): 459–92. http://dx.doi.org/10.7202/705465ar.

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Abstract:
Dans les périmètres irrigués du Maroc, la pollution nitrique diffuse des eaux souterraines augmente le risque de détérioration de la qualité des ressources hydriques et engendre un risque sanitaire pour la population rurale s'approvisionnant le plus souvent directement de l'aquifère. La présente étude, réalisée dans le périmètre du Tadla (3600 km2), située au centre du Maroc, vise à faire l'état des lieux de la contamination des eaux souterraines par les nitrates et à identifier les causes potentielles de cette pollution. Le suivi de la concentration des eaux souterraines en nitrates a été réalisé durant la période août 1996 - avril 1998 dans un réseau de cent puits. Les paramètres du milieu physique et des pratiques culturales ont été déterminés soit par des mesures au champs, des analyses au laboratoire ou par enquête auprès des agriculteurs dans un réseau de 40 sites. Les résultats sont présentés sous forme de cartes thématiques par le SIG. Le niveau actuel de la pollution nitrique des eaux souterraines dans le périmètre irrigué du Tadla commence à devenir critique. De part la pollution ponctuelle mise en évidence aux alentours de quelques agglomérations urbaines et à l'aval des sucreries, les zones dont les teneurs en nitrates des eaux souterraines dépassent 50 mg NO3- /l sont localisées en aval des Béni Amir et en aval et à l'Est des Béni Moussa Est. Béni Moussa Ouest reste en général moins polluée que Béni Moussa Est. Les apports excessifs en eau et en engrais azotés pour les cultures pratiquées (blé, betterave, cultures maraîchères, arboriculture et luzerne), sont les causes directes de la pollution diffuse. Par ailleurs, il est certain que la texture du sol (argileuse, argilo-limoneuse et limono-argileuse), la teneur en argile (29% à 55%) et tous les paramètres qui leurs sont corrélés notamment la réserve utile du sol, réduisent le risque de lixiviation des nitrates en profondeur et assurent en conséquence un contrôle naturel de la pollution nitrique des eaux souterraines. Néanmoins, tous les autres facteurs étudiés notamment le niveau des nappes faible par rapport au sol (<4m-12m), la vitesse d'infiltration du sol en milieu saturé généralement élevée (20-450 mm/h), les teneurs assez importantes du sol en matière organique (1.5%-3.5%) et en azote total (0.10%-0.15%), joueraient positivement sur la vulnérabilité de la nappe à cette pollution. De même, le pouvoir de minéralisation élevé des sols couplé aux conditions écologiques favorables à une minéralisation intense de la matière organique native du sol, assez caractéristique des régions irriguées à climat méditerranéen, seraient en partie responsable de cette pollution. Néanmoins, Aucune corrélation n'a été mise en évidence entre la teneur en nitrate des eaux souterraines et les combinaisons linéaires des variables du milieu physique. Ceci serait dû à l'homogénéité du milieu physique et à l'accumulation de la pollution suivant le sens d'écoulement des nappes de l'amont vers l'aval hydraulique. Vu le niveau d'intensification agricole que connaît cette région, la situation risquerait de s'aggraver rapidement induisant, en dehors de toute mesure de prévention, la détérioration de la qualité des eaux souterraines dans cette région.
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Tallec, Gaëlle, Olivier Rousselot, Josette Garnier, and Michel Gousailles. "Émissions d’oxyde nitreux lors du traitement de l’azote des eaux usées de l’agglomération parisienne : état actuel et prévisions." Revue des sciences de l'eau 20, no. 1 (May 7, 2007): 149–61. http://dx.doi.org/10.7202/015742ar.

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Abstract:
RésuméLa Seine, un des fleuves les plus anthropisés d’Europe, reçoit les rejets des eaux usées de près de quinze millions d’habitants, soit le quart de la population française, dont dix millions sont concentrés dans l’agglomération parisienne. Suite à la directive européenne 91/271, l’assainissement des eaux usées de l’agglomération parisienne est actuellement remodelé et amélioré. Les flux d’azote, rejetés auparavant en Seine, seront progressivement traités via des procédés basés sur des cultures libres (boues activées) ou fixées (biofiltres immergés) permettant la nitrification et la dénitrification de la pollution azotée.Néanmoins, il est désormais admis que de l’oxyde nitreux (N2O), un gaz à effet de serre destructeur de la couche d’ozone, pourrait être émis dans l’atmosphère de façon significative durant le traitement biologique de l’azote en station d’épuration (STEP). Ces émissions ont été quantifiées en fonction des charges en azote traitées et des procédés utilisés, en conditions expérimentales. En se basant sur ces résultats, nous avons évalué les émissions de N2O sur l’ensemble des stations d’épuration de l’agglomération parisienne, dans les conditions actuelles des traitements pratiqués, mais également estimé les émissions futures, suite aux principaux changements prévus aux horizons 2006-2008 et 2012-2015.Les estimations conduisent à des émissions actuelles de N2O de l’ordre de 60‑120 kg N‑N2O/j, qui augmenteront à l’issue de la première étape des travaux (2006-2008) à 320‑480 kg N‑N2O/j, pour atteindre 370‑750 kg N‑N2O/j en 2012‑2015. Les niveaux les plus bas de ces émissions pourraient être atteints si le traitement de l’azote se fait avec une oxygénation supérieure à 2 mgO2/L en nitrification et en dénitrification, avec des conditions d’anoxie totales et un ajout de méthanol permettant 100 % de la réduction de la charge en nitrate.Compte tenu de nos résultats pour les stations d’épuration (60‑120 kg N‑N2O/j) et ceux obtenus pour la Seine à l’aval du rejet des effluents non traités pour l’azote (90‑200 kg N‑N2O/j), les émissions actuelles de N2O sont estimées à 150‑320 kg N‑N2O/j, et celles du futur augmenteraient d’un facteur d’à peine 2 quand le traitement de l’azote sera complet en stations d’épuration; cette augmentation est relativement faible si l’on tient compte de la gamme de nos estimations. De plus, à l’échelle du bassin de la Seine, les émissions d’oxyde nitreux liées au traitement de l’azote dans les stations d’épuration de l’agglomération parisienne (actuel et futur) continueront de représenter une faible proportion, de 1 à 10 % par rapport aux émissions provenant des sols agricoles du bassin amont (4100‑8200 kg N‑N2O/j).
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BAYOURTHE, C., and D. ALI-HAIMOUD-LEKHAL. "Les extraits de plantes chez le ruminant : effets sur les fermentations dans le rumen et la qualité lipidique des produits animaux." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 23, 2014): 317–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3079.

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Abstract:
Les extraits de plantes représentent un groupe complexe de substances dont les propriétés peuvent être utilisées pour manipuler le fonctionnement du rumen. Parmi eux, les tannins condensés, les huiles essentielles et les saponines ont été largement évalués pour leurs effets bactéricides/bactériostatiques. La variété de structure chimique des tannins condensés est, sans doute, à l’origine de leur différence de réactivité mais aussi d’une activité différente vis-à-vis des microorganismes du rumen. De façon générale, la croissance bactérienne est d’autant plus inhibée que la concentration en tannins condensés dans le milieu est élevée. Si les tannins condensés inhibent l'activité des archées méthanogènes, ils seraient sans effet sur les protozoaires. Généralement, les tannins condensés conduisent à une diminution de la concentration en azote ammoniacal dans le milieu ruminal mais n’affectent pas la concentration en acides gras volatils totaux. Si à dose élevée, l’effet est plus marqué in vitro qu’in vivo, à dose identique, l’amplitude de la réponse est différente selon la source de tannins condensés. En ce qui concerne l’action des tannins condensés sur la méthanogenèse, l’effet généralement observé, tant in vitro qu'in vivo, est une diminution de la production de CH4 bien que l’amplitude de la réponse soit variable et dépende de plusieurs facteurs que les études in vitro permettent de mieux cerner. Les effets principaux des huiles essentielles dans le rumen consistent en une réduction de la dégradation des protéines et de l'amidon et une inhibition de la dégradation des acides aminés, en raison de l'action sélective sur certains micro-organismes du rumen. Le pouvoir bactéricide des huiles essentielles vis-à-vis des bactéries (pathogènes ou ruminales) est lié à la structure chimique des molécules aromatiques qui les composent. Elles inhibent la croissance de la plupart des cultures pures bactériennes du rumen à des concentrations inférieures à 100 ppm ; certaines espèces pouvant s'adapter, ce qui explique la diminution voire l’absence d’effet souvent observé in vivo. Certains composés aromatiques ont la capacité de réduire la production de méthane dans le rumen. En revanche, les effets des saponines dans le rumen sont moins nets, en raison probablement du développement de populations microbiennes capables de les dégrader et/ou de l'adaptation des microorganismes à ces extraits de plante. Par ailleurs, en l’état actuel des connaissances, il est impossible de conclure quant à l’effet des extraits végétaux sur la qualité lipidique des produits animaux. Des essais complémentaires conduits in vivo et à long terme restent indispensables pour vérifier les effets observés, dans des conditions d'utilisation plus variées, mais aussi pour s'assurer de l'absence de résidus dans les produits animaux et de leur innocuité pour le consommateur.
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Marsot, Pierre, Allan D. Cembella, and Khadija Mouhri. "Croissance de la biomasse azotée du Phaeodactylum tricornutum (Bacillariophyceae) en cultures discontinues dialysante et non dialysante." Canadian Journal of Microbiology 38, no. 9 (September 1, 1992): 945–52. http://dx.doi.org/10.1139/m92-152.

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Abstract:
The unique conditions associated with discontinuous (batch) dialysis culture of the diatom Phaeodactylum tricornutum elicit different nutritional responses from those observed in nondialysis culture. Simultaneous determinations of the nitrogen biomass concentration and of the nitrogen nutrients (NO3− + NO2−) in the culture chamber, as well as in the seawater nutrient medium at the entrance and exit of the dialyzer, revealed that nitrogen-biomass production in dialysis cultures is achieved mainly (>90%) during postexponential growth, when the concentration of nutrients is limiting (smaller than Michaelis-Menten constant). Almost half of this biomass is produced at the diffusion limit of the apparatus, i.e., when the mass transfer of nutrient substrates, which determines the total uptake activity of the culture, reaches a maximum. In contrast, in nondialysis discontinuous cultures, in which the postexponential growth phase is short, most of the total cellular nitrogen is accumulated during active growth. Certain physiological indices relating to the active uptake and assimilation of inorganic nitrogen are consistent with the different nutritional responses elicited by these two types of culture techniques and explain the high biomass levels obtained in dialysis culture. Key words: dialysis culture, diatom, nitrogen metabolism.
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Delachapelle, S., M. Renaud, and P. M. Vignais. "Etude de la production d'hydrogène en bioréacteur par une bactérie photosynthétique Rhodobacter capsulatus 1. Photobioréacteur et conditions optimales de production d'hydrogène." Revue des sciences de l'eau 4, no. 1 (April 12, 2005): 83–99. http://dx.doi.org/10.7202/705091ar.

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Abstract:
Un réacteur de 10 litres, automatisé pour la culture continue en anaérobiose de bactéries photosynthétiques, a été réalisé et mis au point. Ce réacteur parfaitement agité a été utilisé dans différentes conditions de fonctionnement en système fermé (batch), en système semi-ouvert (atouts de substrats concentrés en discontinu), en système ouvert (chémostat) avec et sans recyclage de la biomasse, afin d'étudier la consommation, par les bactéries, d'un substrat carboné, le lactate. La production d'hydrogène par la bactérie photosynthétique Rhodobacter capsulatus, souche B10, résultant de la dégradation du lactate, est optimale pour des cultures en continu diluées, limitées en source azotée. Ainsi, à un taux de dilution de 0,04 h-1, avec 5 mM glutamate dans le milieu nutritif, la densité bactérienne étant de 2,1 è 660 nm, on a observé une production continue moyenne de 65 ml • h-1• l-1 pendant une période de 200 heures. Pour des concentrations bactériennes élevées, la limitation d'énergie lumineuse entrain une perte d'activité nitrogénase et, de ce fait, une chute de la production d'hydrogène.
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de Bon, Hubert, Laure Brun-Diallo, Jean-Michel Sène, Serge Simon, and Mamadou Abdoulaye Sow. "Rendements et pratiques des cultures maraîchères en agriculture biologique au Sénégal." Cahiers Agricultures 28 (2019): 2. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2019001.

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Abstract:
Les rendements en agriculture biologique font l’objet de controverses et sont considérés comme plus faibles qu’en agriculture conventionnelle. En Afrique, l’agriculture biologique recouvre une grande diversité de pratiques et les rendements présentent de fortes incertitudes. Les analyses des rendements et des itinéraires techniques en agriculture biologique sont présentées pour trois cultures maraîchères au Sénégal. Les résultats sont ensuite comparés aux rendements usuels de l’agriculture conventionnelle. Deux types de données sont utilisés, provenant de parcelles d’agriculteurs : i) suivi de champs conduits selon des itinéraires techniques d’agriculture biologique vs. itinéraires techniques conventionnels ; ii) résultats issus des actions de l’organisation non gouvernementale ENDA-PRONAT, suivant un cahier des charges copié sur celui de l’agriculture biologique. Les suivis comparatifs de parcelles de chou pommé et de tomate en saison des pluies mettent en évidence des ratios de rendement agriculture biologique/conventionnelle de 74 et 40 % respectivement. Ces valeurs confirment la tendance générale des résultats de la littérature. Elles sont expliquées par une fertilisation azotée plus faible et l’absence de mesures de protection efficace contre les maladies et ravageurs des cultures. Les rendements en oignon des parcelles d’agriculture biologique chez les producteurs sont très variables : en moyenne de 19,4 t/ha à 11,0 t/ha suivant les années dans la zone des Niayes, 21,0 t/ha dans le Bassin arachidier et seulement 8,6 t/ha dans la vallée du fleuve Sénégal. Les rendements de la culture d’oignon au Sénégal observés dans la littérature varient aussi dans de grandes proportions, de 10,7 à 32 t/ha. Dans certains cas, les rendements en agriculture biologique sont supérieurs à ceux des itinéraires techniques de l’agriculture conventionnelle. Ce constat, déjà observé dans la littérature scientifique, montre que l’agriculture biologique est une voie de développement de l’agriculture à ne pas écarter en Afrique.
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Adifon, Fiacre Hermann, Ibouraïma Yabi, Pierre Vissoh, Ibouraïman Balogoun, Joseph Dossou, and Aliou Saïdou. "Écologie, systèmes de culture et utilisations alimentaires des ignames en Afrique tropicale : synthèse bibliographique." Cahiers Agricultures 28 (2019): 22. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2019022.

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Abstract:
Cette revue de littérature couvre la botanique, la domestication, l’écologie, les systèmes de culture, la transformation ainsi que les contraintes et perspectives pour une production durable des ignames en Afrique tropicale. L’igname est un taxon d’espèces essentiellement tropicales qui nécessitent des températures élevées. Ainsi, la germination est optimale entre 25 et 30 °C, alors que des températures inférieures à 15 °C ou supérieures à 35 °C la retardent. La culture de l’igname se pratique avec succès dans des zones où la pluviométrie varie entre 1000 et 1800 mm ; toutefois, il est possible de cultiver l’igname avec une pluviométrie de 600 mm mais le rendement reste faible. L’igname, pour la croissance végétative et une bonne tubérisation, préfère des sols limono-sableux ou sablo limoneux, ayant une conductivité hydraulique de 15 cm/h, une densité apparente comprise entre 1,1 et 1,6 g.cm−3 et surtout légers, profonds (> 0,6 m), bien drainés, riches en matière organique, en azote, en potasse, en magnésium et en calcium ; un pH compris entre 5 et 7 est aussi propice à une bonne culture d’igname. Au-delà des paramètres édaphiques et des facteurs climatiques, les pratiques culturales, notamment le type de cultivar, la densité de plantation, la date de plantation, les adventices, les maladies et ravageurs, sans occulter l’histoire des parcelles et les pratiques paysannes de gestion du sol, ont un effet sur la productivité des ignames. Les facteurs déterminant le choix des variétés d’igname cultivées par les producteurs sont principalement : la qualité culinaire des tubercules, la productivité, la valeur commerciale, la facilité de multiplication, la qualité des cossettes, la précocité de tubérisation, la conservation, la facilité de culture, le rôle dans l’alimentation et l’importance pour les cérémonies rituelles.
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M'Sadak, Youssef, Mohamed Aymen Elouaer, and Rim El Kamel. "Evaluation des substrats et des plants produits en pépinière forestière." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 313, no. 313 (September 1, 2012): 61. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.313.a20497.

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Abstract:
Le compostage représente une stratégie efficace pour recycler la biomasse sylvicole afin de confectionner des substrats de croissance adéquats pour la production des plants forestiers. Suite au processus de compostage de sept mois, les déchets sylvicoles ont atteint un degré de maturité en termes d'absence de phytotoxicité (déterminé selon le biotest de germination). Le compost ainsi obtenu est utilisé afin d'élaborer six substrats de croissance selon différentes granulométries. Les résultats obtenus montrent que le type de criblage du compost (simple criblage, double criblage sur refus ou double criblage sur tamisat) agit significativement sur les caractéristiques relevées sur le plan physique (porosités totale, d'aération et de rétention) et sur le plan chimique (pH, conductivité électrique, teneurs en matière organique, azote, phosphore et potassium) du substrat, et par conséquent, sur les comportements germinatif (pourcentage cumulé de germination) et végétatif (hauteur, diamètre et ratio de robustesse) des plants d'Acacia cyanophylla produits en conteneurs sur les divers substrats étudiés. Le substrat préférable de culture est le tamisat issu du double criblage aux mailles carrées 12 x 12 mm et 8 x 8 mm dans le contexte expérimental choisi.
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MIGNOLET, C., M. BENOIT, and D. SAINTOT. "Systèmes d’élevage et risque de pollution azotée. Construction d’un indicateur de risque et application dans la plaine des Vosges." INRAE Productions Animales 10, no. 4 (October 8, 1997): 275–85. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.4.4002.

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Abstract:
Une méthode d’évaluation et de localisation des risques de pollution nitrique diffuse des eaux souterraines, liés à la diversité des systèmes d’élevage de ruminants et à leurs assolements caractéristiques, est mise au point et appliquée sur les 2211 exploitations présentes en 1993 dans la plaine des Vosges. Cette méthode associe des mesures des lixiviations nitriques réelles sous des parcelles agricoles, une typologie des exploitations d’élevage qui contient des informations sur les assolements et un système d’information géographique qui permet de localiser les informations au sein d’unités territoriales de gestion des ressources en eau. Les exploitations combinant des surfaces importantes en grandes cultures et un système fourrager à base de maïs génèrent actuellement les plus forts risques de pollution par les nitrates, alors que les exploitations spécialisées dans les productions de lait et/ou de viande à base d’herbe apparaissent les moins polluantes. La localisation des types d’exploitation permet d’identifier des zones géographiques exposées à un fort risque de pollution d’origine agricole, caractérisées par une combinaison des types d’exploitation d’élevage
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Bouarab, L., M. Loudiki, and A. Dauta. "Croissance en autotrophie et en mixotrophie de la microalgue Micractinium pusillum Fres. isolée d´un lagunage naturel : influence de la lumière et de la température." Revue des sciences de l'eau 15, no. 1 (April 12, 2005): 73–86. http://dx.doi.org/10.7202/705437ar.

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Abstract:
Dans le but d'étudier la dynamique des microalgues dans le lagunage naturel de Ouarzazate (sud du Maroc) et éventuellement sa modélisation, nous avons eu recours à la détermination des paramètres de croissance (µmax, Iopt et b) selon le modèle de PEETERS et EILERS (1978). À cet effet, Micractinium pusillum, algue verte Chlorococcale se développant dans les bassins de lagunage de la station pilote de Ouarzazate, a été isolée et mise en culture sur milieu synthétique (DAUTA, 1982) enrichi en azote et en phosphore sous des conditions contrôlées de lumière et de température. En autotrophie, l'application du modèle de PEETERS et EILERS (1978) à la croissance de Micractinium pusillum, a permis la détermination des paramètres : µmax (0,58 j-1), I opt (182 µE·m-z·s-1) et b (0,1) à la température maximale de croissance de 35 °C. En mixotrophie et à la même température, ces paramètres sont respectivement de 0,85 j-1, 150 µE·m-z ·s-1 et 1. Comparativement à la croissance en autotrophie, la croissance de Micractinium pusillum en mixotrophie, en présence d'acétate, a mis en évidence la variation, selon le régime trophique de l'algue, des paramètres de croissance µmax, Iopt et b. La croissance en mixotrophie, comportement probable dans le lagunage naturel, a conduit particulièrement à l'élévation du taux de croissance et du coefficient b. La variation du coefficient b traduirait une certaine sténophotie de la microalgue en autotrophie et une tendance à l'euryphotie en mixotrophie. Cette étude a montré également que l'influence de l'intensité lumineuse sur la croissance varie en fonction du mode trophique.
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Bot, M. H., G. S. Bawa, J. J. Omage, P. A. Onimisi, D. Y. Bot, and I. E. Udom. "Proximate composition of red and black finger millet (Eleusine coracana) varieties." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 6 (February 28, 2021): 46–53. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i6.2871.

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Abstract:
The aim of determining the proximate composition of red and black finger millet/Tamba (Eleusine coracana) varieties was to ascertain their nutritional composition and their ability to be used as feed ingredients. The finger millets used in this experiment were purchased from local markets in Ganawuri of Plateau and Manchok in Kaduna States and were subjected to proximate analysis. The results revealed that the millets contained Dry Matter – 88.48 and 87.55 %; Crude Protein (CP) – 13.98 and 13.14 %; Ether Extract (EE) – 3.70 and 3.10 %; Crude Fiber (CF) – 6.67 and 7.02 %; Ash – 4.90 and 4.36 %; Nitrogen Free Extract (NFE) – 59.22 and 59.84 % for the red and black finger millets, respectively. Based on these results, it can be concluded that finger millet is a nutritious feed resource irrespective of the variety and can be incorporated into animal feed in the livestock industry. It is recommended for farmers to use the crop by incorporating into livestock feed because of its rich proximate composition. L'objectif de la détermination de la composition immédiate des variétés de mil rouge et noir / Tamba (Eleusinecoracana) était de vérifier leur composition nutritionnelle et leur capacité à être utilisées comme ingrédients alimentaires. Des variétés de mil rouge et noir utilisées dans cette expérience ont été achetées aux marchés locaux de Ganawuri de l'état de Plateau et de Manchok del'état de Kaduna et ont été soumises à une analyse immédiate. Les résultats ont révélé que les variétés de mil contenaient de la matière sèche - 88,48 et 87,55% ; Protéine Brute (PB) –13,98 et 13,14% ; Extrait d'éther (EE) –3,70 et 3,10% ; le 'crude fibre' (CF) –6,67 et 7,02% ; Cendres – 4,90 et 4,36% ; Extrait sans azote (le 'NFE') –59,22 et 59,84% pour les mil rouges et noirs, respectivement. Sur la base de ces résultats, on peut conclure que le mil rouge et noir est une ressource alimentaire nutritive quelle que soit la variété et peut être incorporée dans l'alimentation animale dans l'industrie de l'élevage. Il est recommandé aux agriculteurs d'utiliser la culture en l'incorporant dans l'alimentation du bétail en raison de sa riche composition immédiate.
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TRAN, G., and F. SKIBA. "Variabilité inter et intra matière première de la teneur en phosphore total et phytique et de l’activité phytasique." INRAE Productions Animales 18, no. 3 (July 15, 2005): 159–68. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.3.3520.

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Abstract:
La valeur «phosphore» des aliments, dont la connaissance est nécessaire pour maîtriser les apports nutritionnels et les rejets dans l’environnement, est caractérisée par les teneurs en phosphore total et en phosphore phytique par l’activité phytasique endogène. Les teneurs en phosphore total varient fortement entre matières premières : de moins de 1 g/kg (paille de blé) à plus de 210 g/kg (certains phosphates). Le phosphore total représente en général moins de 20 % des matières minérales et le ratio phosphore total / matières minérales (P/MM) est caractéristique d’une famille biologique. Ainsi, pour les céréales et les graines oléagineuses (2 à 8 g/kg de phosphore total), l’extraction de l’amidon ou de l’huile conduit à une concentration en matières minérales avec un ratio P/MM relativement constant pour une espèce donnée (20 % pour le blé, 10 % pour le soja). Pour les produits végétaux autres que les grains et graines et leurs coproduits, les teneurs en phosphore total sont plus faibles (moins de 3 g/kg) et moins corrélées aux teneurs en matières minérales. Le phosphore phytique constitue en général de 50 à 80 % du phosphore total des matières premières végétales, avec une grande variabilité intra-espèce (30 à 90 % pour le blé). Les phytases végétales sont présentes de façon significative dans le seigle (plus de 5000 U/kg), les issues de blé, le triticale, l’orge et le blé, avec là encore une grande variabilité intra-espèce (de 250 à 1000 U/kg pour le blé). Différentes études montrent que le principal facteur de variation de la teneur en phosphore ou en phosphore phytique des céréales est le lieu de culture, à travers la fertilisation phosphatée et azotée ou le climat. Il existe souvent une relation linéaire reliant les deux critères. L’activité phytasique endogène semble surtout déterminée génétiquement mais en interaction avec le lieu de culture, ce qui rend ce critère difficilement sélectionnable. Elle n’est pas liée à la teneur en phosphore ou en phosphore phytique. Par ailleurs, les phytases végétales, comme les phytases exogènes, sont sensibles à la chaleur et il convient d’évaluer spécifiquement pour chaque atelier de fabrication l’effet de la technologie sur l’activité phytasique. La mesure de cette activité est enfin fortement sujette à des variations inter-laboratoires. De façon générale, la prédiction des teneurs en phosphore et surtout de l’activité phytasique n’est pas aisée, et les mesures de laboratoire sont souvent nécessaires.
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Ballay, D., and J. F. Blais. "Le traitement des eaux usées." Revue des sciences de l'eau 11 (April 12, 2005): 77–86. http://dx.doi.org/10.7202/705331ar.

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Abstract:
L'article présente brièvement l'état de l'épuration des effluents des collectivités en France et au Québec. Il souligne ensuite quelques changements importants intervenus depuis dix ans dans le monde grâce aux progrès de la recherche et qui pourraient marquer l'avenir. En France, 95 % des agglomérations de plus de 10 000 équivalents-habitants disposent d'une station d'épuration. Le rythme de construction a atteint 730 installations nouvelles dans l'année 1976 mais il est redescendu à moins de 300/an. Sur les 11 310 stations de plus de 200 équivalents-habitants recensées, 5 % réalisent seulement un traitement primaire et la moitié en nombre, représentant plus de 60 % de la capacité de traitement utilisent le procédé des boues activées. Les investissements à réaliser entre 1994 et 2005 pour satisfaire aux exigences de la directive européenne du 21 mai 1991 sont évalués à environ 36 milliards de francs français, correspondant à la création de capacités de traitement supplémentaires de 17 millions d'équivalents-habitants et à des améliorations plus ou moins importantes d'un grand nombre de stations existantes. Au Québec, la construction des stations d'épuration s'est faite essentiellement dans les années 80 et 90. Aujourd'hui, près de 80 % de la population est desservie par des installations d'épuration, soit environ 4,9 millions d'habitants pour un débit hydraulique de 5,3 millions de m3/j. Parmi les 450 ouvrages municipaux ceux des Communautés Urbaines de Montréal et de Québec représentent, à eux seuls, près de 60 % de la capacité installée. Les stations physico-chimiques, bien que peu nombreuses, sont les plus importantes (6 stations pour 2,28 millions d'habitants) suivies par les boues activées (40 stations pour 0,69 million d'habitants) et la biofiltration (9 stations pour 0,75 million d'habitants). Environ 320 stations, de dimension plus modeste utilisent des étangs aérés, desservant en moyenne une population de 3 500 habitants. Sur le plan de l'évolution des techniques, la décennie écoulée a vu apparaître ou se confirmer des évolutions qui marqueront sans doute profondément la conception et l'exploitation des stations d'épuration dans les années à venir : - l'objectif maintenant presque généralisé d'éliminer les nutriments azote et phosphore et le développement rapide des techniques correspondantes; - la prise de conscience de l'importance des flux polluants véhiculés par les eaux pluviales et un début d'adaptation des stations d'épuration; - le développement limité mais réel des traitements anaérobies qui ont survécu à la démobilisation des surlendemains de la crise énergétique; - le fort développement des systèmes d'épuration biologique à culture fixée et notamment des biofiltres; - l'apparition prometteuse des membranes dans les systèmes d'épuration biologique permettant d'envisager de nouveaux objectifs de traitement; - la prise en compte de la fiabilité des systèmes d'épuration avec un poids de plus en plus important par rapport aux performances de pointe - une vision plus intégrée de la prévention des pollutions tant dans l'industrie (technologies propres) que dans les agglomérations (gestion intégrée de l'ensemble réseau-station d'épuration).
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Diatta, Ambroise, Abdoulaye Dieng, Mamadou Tandiang Diaw, Thierry Daniel Tamsir Nesseim, and Saliou Ndiaye. "Production et valeur nutritive de fourrages de pois Mascate (Mucuna pruriens (L.) DC. var. utilis (Wall. ex Wight) Baker ex Burck) cv. Ghana cultivé dans le Centre et Nord bassin arachidier sénégalais." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1262–72. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.8.

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Abstract:
L’insuffisance des ressources fourragères naturelles constitue une contrainte majeure au développement de l’élevage des ruminants dans le Centre et Nord bassin arachidier sénégalais. Pour y faire face, il faut recourir à des techniques telles que la culture fourragère. L’objectif est donc d’étudier la production de fourrage de Mucuna pruriens dans la zone et de déterminer sa valeur nutritive. Du fourrage frais de 79-84 jours et des foins de 60, 75 et 90 jours ont été produits. Les rendements ont été mesurés, les fourrages analysés, les compostions chimiques et les valeurs nutritives déterminées. Les rendements sont globalement faibles, 1,16 à 1,50 t MS/ ha, mais comparables à certains rapportés dans la littérature. Le fourrage frais est plus riche en protéines brutes que les foins, soit 19,56 contre 14,16 à 18,65% de la MS, moins fibreux, soit 27,26 contre 33,82 à 35,27% de la MS et plus nutritif, soit 150,65 contre 96,60 à 141,48 g/ kg MS de protéine brute digestible et 0,70 contre 0,67 à 0,69 UF/ kg MS. Parmi les foins, celui de 75 jours offre un léger avantage. En définitive, cette culture reste possible dans cette zone et peut y être préconisée en vue d’une atténuation du déficit fourrager. Mots clés : Rendement, composition chimique, fourrage frais, foins, valeur azotée, valeur énergétique. English Title: Production and nutritional value of Muscat pea fodder (Mucuna pruriens (L.) DC. var. utilis (Wall. ex Wight) Baker ex Burck) cv. Ghana cultivated in the Center and North senegalese groundnut basin The insufficiency of natural fodder resources constitutes a major constraint to the development of ruminant farming in the Central and Northern senegalese groundnut basin. To deal with this, techniques such as forage cultivation must be used. The objective is therefore to study the forage production of Mucuna pruriens in the area and determine its nutritional value. Fresh forage of 79-84 days and hay of 60, 75 and 90 days were produced. Yields were measured, forages analyzed, chemical compositions and nutrient values determined. Yields are generally low, 1.16 to 1.50 t DM / ha, but comparable to some reported in the literature. Fresh forage is richer in crude protein than hay, 19.56 against 14.16 to 18.65% DM, less fibrous, 27.26 against 33.82 to35.27% DM and more nutritious, 150.65 against 96.60 to 141.48 g/kg DM of digestible crude protein and 0.70 against 0.67 to 0.69 UF /kg DM. Among the hays, that of 75 days offers a slight advantage. Ultimately, this crop remains possible in this area and can be recommended there with a view to reducing the fodder deficit.Keywords: Yield, chemical composition, fresh fodder, hay, nitrogen value, energy value.
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Larounga, TCHANILEY, AYISAH Kwasi Dzola, and DEWA KASSA Kodjo Akonta. "Effet de la combinaison des fertilisants organiques et minéraux (NPK 15-15-15 et urée) sur le rendement de la laitue (Lactuca sativa L.) dans le sud du Togo." Journal of Applied Biosciences 151 (July 31, 2020): 15540–49. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.151.3.

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Objectif : L’essai a visé à développer de nouvelles initiatives de gestion de la fertilité des sols compatibles avec la gestion rationnelle des ressources mises en jeux afin d’évaluer et d’apprécier l’efficacité des différentes combinaisons d’engrais sur le rendement de la laitue et d’identifier le meilleur model d’amélioration des conditions de culture de cette plante. Méthodologie et résultats : Au cours de l’essai, le dispositif expérimental adopté a été celui en blocs aléatoire complet à quatre traitements et à trois répétitions. Les traitements utilisés ont été : T0 (témoin absolu sans apport de fertilisants), T1 (16 t.ha-1 de fumier de bovin +150 Kg.ha-1 de NPK :15-15-15 +50 Kg.ha-1 d’Urée), T2 (16 t.ha-1 de fiente de volailles + 150 Kg.ha-1 de NPK :15-15-15 +50 Kg.ha-1 d’Urée) et T3 (16 t.ha-1 d’un mélange équitable de fientes de volailles et de fumier de bovin +150 Kg.ha-1 de NPK :15- 15-15 +50 Kg.ha-1 d’Urée). Les résultats obtenus ont montré que le traitement T2 a amélioré le rendement de la laitue qui a dépassé le témoin de 134%. Conclusion et application de résultats : L’étude a consisté à faire une évaluation de l’impact de différentes combinaisons d’engrais organiques et minéraux sur la productivité de la laitue. Les résultats obtenus ont monté que le traitement T2 suivi du traitement T3 puis du traitement T1 ayant donné respectivement un surplus de produit de 134,00%, 75,69% et de 62,16% par rapport au traitement témoin T0. La laitue étant une plante à cycle court, l’utilisation du fumier, à base de fientes de volailles, riche en azote dont la libération est rapide, serait mieux indiquée pour sa culture en plein champ et surtout en maraîchage. Mots clés : laitue, fertilisation, combinaison, rendement Tchaniley et al., J. Appl. Biosci. 2020 Effet de la combinaison des fertilisants organiques et minéraux (NPK 15-15- 15 et urée) sur le rendement de la laitue (Lactuca sativa L.) dans le sud du Togo. 15541 Effect of the combination of organic and mineral fertilizers (NPK 15-15-15 and urea) on the yield of lettuce (Lactuca sativa L.) in southern Togo ABSTRACT Objective: The aim of the trial was to develop new soil fertility management initiatives compatible with the rational management of the resources involved in order to assess and assess the effectiveness of the different combinations of fertilizers on the yield of lettuce and to identify the best model for improving the growing conditions of this plant. Methodology and results: During the test, the experimental device adopted was that in complete random blocks with four treatments and three repetitions. The treatments used were: T0 (absolute control without addition of fertilizers), T1 (16 t.ha-1 of bovine manure +150 Kg.ha-1 of NPK: 15-15-15 +50 Kg.ha-1 of Urea), T2 (16 t.ha-1 of poultry droppings + 150 Kg.ha-1 of NPK: 15-15-15 +50 Kg.ha-1 of Urea) and T3 (16 t.ha -1 of a fair mix of poultry droppings and bovine manure +150 Kg.ha-1 of NPK: 15-15-15 +50 Kg.ha-1 of Urea). The results obtained showed that the T2 treatment improved the yield of the lettuce, which exceeded the control by 134%. Conclusion and application of results: The study consisted of assessing the impact of different combinations of organic and mineral fertilizers on the productivity of lettuce. The results obtained showed that the T2 treatment followed by the T3 treatment then by the T1 treatment having given respectively a surplus of product of 134.00%, 75.69% and 62.16% compared to the control treatment T0. Since lettuce is a short-cycle plant, the use of manure, based on poultry droppings, rich in nitrogen and quick to release, would be better suited for its cultivation in the open field and especially in market gardening. Keywords: lettuce, fertilization, combination, yield
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DONNARS, C., P. CELLIER, and J. L. PEYRAUD. "Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages." INRAE Productions Animales 25, no. 4 (October 2, 2012): 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

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Abstract:
Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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Atachi, P., C. Van Den Berghe, and Y. N. Adamon. "Effets des Engrais Azotes, Phosphates et Potassiques sur la Dynamique des Populations de Maruca Testulalis (Geyer) en Culture de Niebé dans un Agrosysteme du Sud Benin." International Journal of Tropical Insect Science 18, no. 04 (December 1998): 307–17. http://dx.doi.org/10.1017/s1742758400018531.

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Nouri, Jdaidi, and Hasnaoui Brahim. "Etude de l’habitat écologique d’une espèce rare (Prunus avium) au nord-ouest de la Tunisie." Acta Botanica Malacitana 43 (November 20, 2018): 83–89. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v43i0.4152.

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AbstractPrunus avium is a component of the biodiversity in the forest ecosystems: its fruits are consumed by a large number of birds, its quality of the wood and its premature blooming confer it a big esthetic value. Multipurpose tree, it is present in the forest of Kroumirie in the Northwest of Tunisia. In this region, Prunus avium is a species exploited as a stock for cherry trees and ash wood for the cabinetmaking by the local populations. The natural populating, in constant decrease since a few decades, is threatened by diverse anthropogenic, getting more and more stronger pressures, reducing the capacities of natural regeneration of the species. The study of the ecological housing environment is essential to have a good knowledge of the ecology of such species to determine the conditions in which it develops and to set up appropriate rules of management. Indeed, Prunus avium prefers the lemon-clayey grounds, rich in nitrogen and with a relationship C/N lower than 10. The grounds which it prefers are of acid PH (4.3-6.7). According to the obtained results, such species resists well enough in lower temperatures (T min = 3°C) and is very sensitive to the summer drought (T max = 24°C). At the level of Kroumirie, the presence of Prunus avium is rare below 150 m of height, while it is regularly found in cliff- nesting situation, between 180 and 620 m, with a maximum near 550 m. The obtained results show that such species has an affinity for the lower slopes (0- 10 %). Our results allow formulating relative recommendations on the valuation of Prunus avium: practise plantations of this species at the level of the most preferable stations for the production of the wood and the stock for the culture of the cherry tree in the Northwest of Tunisia. Keywords: Tunisia, Prunus avium, central housing environment, marginal housing environment, environmental factors. RésuméPrunus avium est une composante de la biodiversité dans les écosystèmes forestiers: ses fruits sont consommés par de nombreux oiseaux, sa qualité du bois et sa floraison précoce lui confèrent une grande valeur esthétique. Arbre à usages multiples, il est présent dans la forêt de la Kroumirie au nord-ouest de la Tunisie. Dans cette région, Prunus avium est une espèce exploitée comme porte-greffe pour le cerisier et comme bois pour l’ébénisterie par les populations locales. Les peuplements naturels, en constante diminution depuis quelques dizaines d’années, sont menacés par diverses pressions anthropiques, de plus en plus fortes, réduisant les capacités de régénération naturelle de l’espèce. L’étude de l’habitat écologique est indispensable pour disposer d’une bonne connaissance de l’autoécologie de cette espèce afin de déterminer les conditions dans lesquelles elle se développe et de mettre en place des règles appropriées de gestion. En effet, Prunus avium préfère les sols limono-argileux, riches en azote et avec un rapport C/N inférieur à 10. Les sols qu’il préfère sont de pH acides (4,3 à 6,7). D’après les résultats obtenus, cette espèce résisteassez bien au froid (Tmin = 3°C) et est très sensible à la sécheresse estivale (Tmax = 24°C). Au niveau de la Kroumirie, la présence de Prunus avium est rare au-dessous de 150 m d’altitude, alors qu’on le trouve régulièrement en situationripicole, entre 180 et 620 m, avec un maximum aux alentours de 550 m. Les résultats obtenus montrent que cette espèce a une affinité pour les pentes faibles (0-10%). Nos résultats permettent de formuler des recommandations relatives sur la valorisation de Prunus avium : pratiquer des plantations de cette espèce au niveau des stations les plus favorables pour la production du bois et de porte-greffe pour la culture du cerisier au nord-ouest de la Tunisie. Mots clés : Tunisie, Prunus avium, habitat central, habitat marginal, facteurs environnementaux.
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Akedrin, Nicaise Tetchi, Bi Bianuvrin Noël Boué Voui, Odi Faustin Akotto, and Sévérin Ake. "Effets de six légumineuses spontanées les plus répandues dans les jachères naturelles sur la fertilité des sols dans la région de Daloa (Côte d’Ivoire)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (June 19, 2020): 1052–64. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.31.

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En Côte d’Ivoire, les pressions exercées sur les terres agricoles ont réduit la durée des jachères naturelles dominées par une végétation herbacée et dont la présence constitue une opportunité pour l’amélioration de la fertilité azotée des sols et la reconstitution minérale des sols dégradés. Pour cette étude, un inventaire floristique des légumineuses herbacées spontanées les plus répandues dans les jachères en constitution ont été effectuées suivie de la caractérisation physicochimique des échantillons du sol sous ces légumineuses ou non (témoin). Au total 6 espèces appartenant à deux familles (Fabaceae et Mimosaceae) et quatre genres (Calopogonium, Centrosema, Crotalaria et Pueraria) ont été inventoriées. Toutes ces espèces sont des Phanérophytes constitués majoritairement de lianes (83%) contre une minorité d’herbacées (17%). Le rapport C/N a varié de 09,5 à 12,8, demeurant ainsi dans la norme (9-12). Les sols prélevés sont quasi riches en matière organique (>1,30 g kg-1) à l’exception de celui recueilli sous Mimosa invisa (1,18±1,1g kg-1). La matière organique intervient dans les mécanismes de la libération de l’azote minéral, donc de la nutrition de la culture associée. Elle influe selon sa nature sur les propriétés physico-chimiques et biologiques du sol et a la capacité d’emmagasiner les réserves en eau.Mots clés : jachères naturelles, légumineuses subligneuses, inventaire, fertilisation, Côte d’Ivoire English title: Effects of six most common spontaneous legumes in natural fallows on soil fertility in the region of Daloa (Côte d’Ivoire)In Côte d'Ivoire, pressures on agricultural land have reduced the duration of natural fallows dominated by herbaceous vegetation and whose presence constitutes an opportunity for improving the nitrogen fertility of soils and the mineral replenishment of degraded soils. For this study, a floristic inventory of the most recurrent spontaneous herbaceous legumes colonizing these fallows in constitution was carried out followed by the physicochemical characterization of the soil samples under these legumes or not (control). A total of six species belonging to two families (Fabaceae and Mimosaceae) and four genera (Calopogonium, Centrosema, Crotalaria and Pueraria) were inventoried. All these species are Phanerophytes made up mainly of lianas (83%) against a minority of herbs (17%). The C / N ratio varied from 09.5 to 12.8, thus remaining within the norm (9-12). The soils sampled are almost rich in organic matter (> 1.30 g kg-1) with the exception of that collected under Mimosa invisa (1.18 ± 1.1 g kg-1). Organic matter is involved in the mechanisms of the release of mineral nitrogen, and therefore of the nutrition of the associated crop. Depending on its nature, it influences the physicochemical and biological properties of the soil and has the capacity to store water reserves.Keywords: Natural fallows, sublimers legumes, inventory, fertilization, Côte d’Ivoire.
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Debaeke, P., M. Cabelguenne, M. L. Casals, and J. Puech. "Élaboration du rendement du blé d'hiver en conditions de déficit hydrique. Il. Mise au point et test d'un modèle de simulation de la culture de blé d'hiver en conditions d'alimentation hydrique et azotée variées : Epiephase-Blé." Agronomie 16, no. 1 (1996): 25–46. http://dx.doi.org/10.1051/agro:19960102.

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Bettahar, Naïma, Abdelkader Ali Benamara, Ahmed Kettab, and Abdelkader Douaoui. "Risque de pollution nitratée des zones semi-arides : cas de la vallée du moyen Cheliff occidental (Nord Algérien)." 22, no. 1 (February 4, 2009): 69–78. http://dx.doi.org/10.7202/019824ar.

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Résumé L’agriculture est l’activité dominante dans la vallée du moyen Cheliff occidental (Nord algérien). Les cultures principales sont l’arboriculture et le maraîchage, ce dernier est un grand consommateur de fertilisants minéraux de type azoté. La présente étude montre, dans une première étape, l’évolution spatiale des nitrates à travers une carte établie par krigeage ordinaire pour l’année 2004 en période de hautes eaux. Il apparaît, d’après cette carte, que les zones les plus affectées sont celles pour lesquelles le niveau d’intensification de la fertilisation azotée (zones de maraîchage) est le plus fort sous les sols les plus perméables situés sur les bordures de la vallée. Ces mêmes zones sont reconnues par des pratiques d’élevage importantes. Au contraire, les teneurs sont plus faibles sous les sols de texture fine couvrant la partie centrale de la vallée. L’infiltration assez faible, caractérisant en général les zones semi-arides, semble aussi jouer un rôle important dans ce sens. Dans une seconde étape, cette étude permet d’estimer, pour l’année 2004, l’apport total en azote sur les sols de la vallée. L’apport par l’agriculture constitue 86 % du total, dont 97 % est attribué aux fertilisants azotés utilisés d’une manière intensive dans les cultures maraîchères, la pomme de terre en particulier. Rapporté à la surface totale irriguée, cet apport est évalué à 238 kg•ha‑1 pour cette année. Les conditions pédoclimatiques semblent favoriser des pertes d’azote par volatilisation et par dénitrification en parallèle avec un apport faible d’azote naturel par minéralisation. Au contraire, les pertes par lessivage en profondeur sont très faibles.
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