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Moffa, Claudio. "L’ethnicité en Afrique : l’implosion de la «question nationale» après la décolonisation." Politique africaine 66, no. 1 (1997): 101–14. http://dx.doi.org/10.3406/polaf.1997.6049.

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Abstract:
L’auteur se propose de retourner à l’analyse de la question de l’ethnicité (voire la question nationale) en Afrique par le biais d’une étude des conséquences pratiques d’une politique axée sur la différence ethnique. Reprenant l’argumentation de John Lonsdale, qu’il conteste vigoureusement, Moffa cherche à démontrer l’importance d’une analyse marxiste «non réductrice» du phénomène ethnique en Afrique.
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2

Bajorek, Jennifer. "Appareils défectueux et images floues (Kodak, l’autre nom de la décolonisation en Afrique de l’Ouest ?)." Transbordeur 4 (2020): 144–55. http://dx.doi.org/10.4000/12gyz.

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Abstract:
L’usage de matériel défectueux et de fourniture périmée distribués par les firmes françaises en Afrique de l’Ouest dans les années 1960 a créé une esthétique propre, un art de la photographie qui échappe volontairement aux normes occidentales de la photographie jugée réussie, dont les images de Seydou Keïta sont révélatrices. Ce jeu sur les effets visuels de ce matériel photographique a marqué aussi une nouvelle génération attirée par la « photographie des choses politiques », attachée à rendre compte d’une évolution de la société et de la politique des pays comme le Sénégal et le Mali en pleine décolonisation. En abordant l’appareil photo défectueux à la fois comme une réalité historique et un objet théorique, cet article entend montrer que la photographie ne constitue ni une pratique ni une technologie proprement européenne et proposer une nouvelle façon de voir les relations entre capitalisme, marketing et décolonisation.
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3

Labrune Badiane, Céline. "Entre africanisation, sénégalisation et wolofisation : l’adaptation de l’enseignement de l’histoire en AOF et au Sénégal (1903-2023)." Outre-Mers N° 418-419, no. 1 (September 12, 2023): 121–42. http://dx.doi.org/10.3917/om.418.0121.

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Abstract:
Dès la première organisation de l’enseignement en AOF en 1903, l’objectif était de fonder une école « adaptée », par l’enseignement du milieu local et donc de l’histoire locale. L’histoire a notamment été investie d’une mission idéologique visant à démontrer les bienfaits de la colonisation française en Afrique en contraste avec un passé chaotique. La réflexion sur la décolonisation de l’histoire et son enseignement a été engagée avant les indépendances, nourrissant le combat politique. Après les indépendances, l’histoire est mobilisée et diffusée à travers le canal de l’école par les nouveaux États africains indépendants pour construire les États nations. Au Sénégal, les programmes ont été révisés à plusieurs reprises, allant vers un recentrage sur le national. Dans cet article, il s’agit de retracer le long processus de décolonisation de l’histoire scolaire, à partir du cas de l’Afrique de l’Ouest francophone et plus spécifiquement du Sénégal.
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4

Losch, Flora. "Les fonds africains de l'Institut national de l'audiovisuel français, entre angoisse épistémologique et potentiel historiographique." French Colonial History 21-22 (December 31, 2023): 215–46. http://dx.doi.org/10.14321/frencolohist.21.22.2023.0215.

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Abstract:
Abstract Que sont devenus les enregistrements audiovisuels réalisés par la France en Afrique durant la période coloniale et la décolonisation ? Et à qui appartiennent-ils ? Partant de ces questions et d'un cheminement au sein des collections numérisées de l'Institut national de l'audiovisuel français (Ina), cet article propose de s'intéresser à une archive coloniale peu étudiée. En tant qu'archive-sujet, celle-ci constitue un lieu d'analyse stimulant de l'histoire coloniale, qui ne demande qu’à être investi par les historiens de la colonisation et les archivistes postcoloniaux.
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5

Noubou Noumowe, Léonel. "Les Officiers des Affaires Africaines au Cameroun : un corps de renseignement spécial au cœur du pouvoir colonial (1954-1960)." Outre-Mers N° 418-419, no. 1 (September 12, 2023): 199–217. http://dx.doi.org/10.3917/om.418.0199.

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Abstract:
Entre 1954 et 1960, le ministère des Colonies crée un corps spécial chargé du renseignement dans les territoires français subsahariens. Appelé corps des Officiers des Affaires Africaines (OAA), l’idée est de mettre à la disposition des administrateurs coloniaux, une poignée d’officiers dont la formation les prédispose à préparer les plans de défense et à proposer des solutions pour lutter contre les contestations coloniales de plus en plus récurrentes. Entre attributions ministérielles et missions confiées sur le terrain, leur insertion dans l’appareil administratif local s’accompagne de tensions entre pouvoir civil et pouvoir militaire en situation coloniale. Mal connu et peu documenté, ce corps a pourtant joué un rôle décisif dans le renouvellement des pratiques de surveillance coloniale et le processus de décolonisation, notamment au Cameroun, mais aussi ailleurs en Afrique Occidentale Française (AOF) et en Afrique Équatoriale Française (AEF).
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Njuh, Ludovic Boris Pountougnigni. "Les sciences sociales et humaines en Afrique et la décolonisation des savoirs." Revista de Antropologia da UFSCar 13, no. 2 (November 25, 2022): 124–35. http://dx.doi.org/10.52426/rau.v13i2.390.

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Abstract:
Les sciences humaines et sociales sont un champ de savoir dont la particularité est de qualifier et de produire le sens dans la société. En Afrique, la pratique de la recherche et de la production du savoir dans ce domaine subiraient encore l’irradiation du savoir colonial dont les piliers étaient le logocentrisme, la domination et le centralisme épistémique autour de l’Europe. Ce travail questionne la construction de cet héritage, les rapports des Africains dans le sillage de la décolonisation et au lendemain des indépendances. L’enjeu est de cerner les nécessités et les voies de dynamisation de conceptualisation qui semble faire défaut. Il apparait que pour l’Afrique, la formulation du sens est une tâche indispensable de l’écriture de soi dans un monde où le jeu de perception dissimule souvent mal les projets hégémoniques qui allient pensée, image de soi et stratégie.
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Wenger, Noureddine. "Koloniale Wissensproduktion und postkoloniale Neubestimmung: Die Dekolonisierung der Soziologie in Marokko." Almanach, no. 3 (December 12, 2023): 51–57. http://dx.doi.org/10.12685/alm.3.2023.1342.

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Abstract:
In Marokko gab es keine radikale Abkehr vom intellektuellen Erbe der Kolonialzeit. Stattdessen prägte ein kritischer und ambivalenter Annäherungsprozess die postkolonialen Debatten über die «Dekolonisierung» der Soziologie. Das hat auch viel mit dem Selbstbild Marokkos als Land am Knotenpunkt zwischen Afrika und Europa, zwischen Orient und Okzident, zu tun. Au Maroc, il n’y a pas eu d’abandon radical del’héritage intellectuel de la période coloniale. Au lieu de cela, les débats postcoloniaux sur la«décolonisation» de la sociologie ont été marqués par une critique complexe et parfois ambivalente. Cela a aussi beaucoup à voir avec l'image que le Maroc se fait de lui-même en tant que carrefour entre Afrique et Europe, Orient et Occident.
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8

Aïvo, Gérard. "Les organisations internationales et l’ordre constitutionnel en Afrique." Afrique contemporaine N° 278, no. 2 (January 24, 2025): 27–54. https://doi.org/10.3917/afco1.278.0027.

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Abstract:
L’ordre constitutionnel dans les États africains a beaucoup évolué depuis la décolonisation. Il a connu des mutations. D’un ordre constitutionnel formel à l’origine, il est devenu depuis la fin de la guerre froide et la vague de démocratisation des années 1990, un ordre substantiel démocratique. Cependant, depuis quelques années, l’ordre constitutionnel est sous pression et est régulièrement remis en cause, soit de la part des chefs d’État en exercice qui monopolisent le pouvoir au mépris des principes de l’État de droit, soit par des coups d’État militaires, entrainant la réaction souvent vigoureuse des organisations internationales et régionales qui se sont juridiquement investies du rôle de garant de la stabilité de l’ordre constitutionnel dans le monde. Si, à l’examen, la contribution des organisations internationales à l’instauration d’un ordre constitutionnel démocratique dans les États africains est indéniable, il convient néanmoins de s’interroger sur leur efficacité quant à la stabilité durable de ce dernier. C’est l’objectif de la présente réflexion qui, à travers une démarche analytique, empirique et institutionnaliste, met en lumière le dévoiement insidieux de l’action de ces organisations qui ne s’inscrivent pas toujours dans une démarche objective en faveur des valeurs démocratiques.
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Bermejo García, Romualdo. "Los Derechos Humanos en África." Anuario Español de Derecho Internacional 28 (June 29, 2015): 7–58. http://dx.doi.org/10.15581/010.28.2531.

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Abstract:
Le continent africain devait nécessairement rencontrer la question des droits de l’homme, parallèlement à la question de la décolonisation. Mais la réponse à ce débat ne pouvait être que difficile tant les prémisses et principes culturels, économiques et sociaux en Afrique diffèrent de ceux connus sur d’autres continents, en particulier en Europe. Cette spécificité africaine s’est imposée dans les divers instruments juridiques adoptés en matière de droits de l’homme, qu’il s’agisse de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, adoptée à Nairobi en 1981, ou des conventions ultérieures. Il en résulte une complexité institutionnelle et juridictionnelle qui pose problème en matière de compétence. On peut espérer, pourtant, que ce casse-tête institutionnel et juridictionnel s’atténuera progressivement, permettant ainsi de sortir de la «brousse».
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Sombié, Issiaka, Nicola Meda, Ibrahima Seck, and Agnès Binagwaho. "La décolonisation de la santé publique en Afrique : quelle place pour les Organisations Non-Gouvernementales du Nord Global (ONGs) ?" Santé Publique 37, no. 1 (March 11, 2025): 21–35. https://doi.org/10.3917/spub.251.0021.

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Abstract:
Introduction : Notre travail a examiné le rôle controversé des ONGs dans le développement sanitaire en Afrique. Les ONGs sont critiquées de perpétuer les structures de pouvoir de domination héritées du colonialisme en captant les ressources de l’aide destinée à la santé pour se substituer sur le terrain et selon leur propre agenda, aux gouvernements nationaux, dans la fourniture des services de santé aux populations. Méthodes : Nous avons mobilisé deux sources de connaissances pour cerner cette préoccupation. Une revue de la littérature publiée après 2014 a servi à expliquer le fonctionnement inapproprié de l’industrie de l’aide en appui au secteur de la santé en Afrique. Ensuite, un travail réflexif a capitalisé les expériences des auteurs, aux prises avec cette situation subie, pour définir le nouveau partenariat pour la santé mondiale que souhaite l’Afrique. Résultats : La stratégie des Partenaires Techniques et Financiers (PTFs) de l’Afrique est d’utiliser de plus en plus les ONGs comme intermédiaires privilégiés de leur appui en accusant les pays africains d’être corrompus et incompétents. Avec les ressources captées, les ONGs se substituent aux acteurs nationaux sur le terrain et agissent en sciant, pour beaucoup, quatre piliers importants du développement de tout système de santé que sont la gouvernance, le financement, les ressources humaines et l’offre de services, entretenant ainsi une fragilisation continue des systèmes de santé. L’approche d’accompagnement qui verrait les PTFs transférer les ressources de l’aide aux gouvernements qui choisiraient en retour les ONGs avec lesquelles ils souhaitent agir représenterait un partenariat plus profitable pour l’Afrique. La lutte contre la corruption et le renforcement des capacités d’action de l’Afrique seraient des priorités d’assistance technique dans un tel partenariat basé sur la confiance. Discussion : La décolonisation de la santé publique en Afrique est en mouvement. L’Afrique propose aux PTFs et aux ONGs, un nouveau partenariat de confiance dans lequel elle décide de son agenda de santé et du modèle d’appui qui lui sera le plus profitable.
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Dubois, Colette. "L'Italie, cas atypique d'une puissance éuropéenne en Afrique : une colonisation tardive, une décolonisation précoce." Matériaux pour l'histoire de notre temps 32, no. 1 (1993): 10–14. http://dx.doi.org/10.3406/mat.1993.404108.

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Desautels, Éric. "La représentation sociale de l’Afrique dans le discours missionnaire canadien-français (1900-1968)." Mens 13, no. 1 (November 25, 2013): 81–107. http://dx.doi.org/10.7202/1019699ar.

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Abstract:
Par leurs récits, les missionnaires catholiques canadiens-français envoyés en Afrique ont transmis une représentation sociale de l’Afrique dès le tournant du xxe siècle. Si cette représentation était initialement basée sur une interprétation culturelle occidentale des croyances et des rites africains, elle a progressivement évolué jusque dans les années 1960. En parallèle aux conflits mondiaux et au développement d’une sphère internationale, les tensions liées à la colonisation et à la décolonisation ont joué un rôle important dans l’évolution du discours missionnaire sur l’Afrique. Les mouvements nationalistes africains et québécois ont transformé les fondements de la vocation missionnaire et du rapport à l’autre. D’une représentation basée sur l’exotisme et l’inconnu avant la Révolution tranquille, l’imaginaire collectif québécois sur l’Afrique est graduellement passé à une représentation caractérisée par la pauvreté, la souffrance et la misère.
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Tchibozo, Romuald. "L’ex-République démocratique allemande et les musées en Afrique : entre expansion idéologique et décolonisation culturelle ?" Gradhiva, no. 34 (September 21, 2022): 40–55. http://dx.doi.org/10.4000/gradhiva.6309.

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Ndongala Maduku, Ignace. "La décolonisation des savoirs théologiques francophones en Afrique : perspectives d’une théologie africaine interculturée et libératrice." Liberatio 1 (2024): 95–105. https://doi.org/10.7202/1115309ar.

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Abstract:
Cet article explore le potentiel de la pensée décoloniale à partir d’un retour sur la théologie de l’inculturation qui circule dans l’aire francophone, notamment celle pratiquée à l’Université Catholique du Congo. Critiquant les relents d’une colonialité qui sert de matrice aux structures, aux matières et aux programmes de recherche de la faculté de théologie de cette université, l’auteur en appelle à une rupture épistémologique avec les survivances d’une vision européocentrée et les théologies dominantes qui minorisent les savoirs des marges. Il rend compte de cette rupture en esquissant une théologie décoloniale à partir des travaux de trois théologiens africains : Boka Londi di Mpasi, Jean-Marc Ela et Oscar Bimwenyi Kweshi. À leur suite, il développe le caractère libérateur d’une théologie interculturée.
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KABUNDA, MBUYI. "Le Néopanafricanismeou l ?idéologie de l ?unité africaine et praxis de développement en Afrique." Revista de Estudios Africanos, no. 2 (November 17, 2021): 38–74. http://dx.doi.org/10.15366/reauam2021.2.003.

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Abstract:
L'analyse part du constat, plus qu'évident, du vide idéologique et de l'absence de projet de société et de modèle de développement en Afrique, illustré par l'adhésion totale actuelle des gouvernements au néolibéralisme ou aux lois du marché, avec un bilan désastreux en termes de développement humain et social, hormis des taux de croissance et du PIB irréalistes. Tout cela explique pourquoi le continent a régressé par rapport aux avancées réalisées à l'ère de la décolonisation. D'où l'attachement au néo-panafricanisme, comme alternative, et fondamentalement comme idéologie d'unité supranationale et pratique de développement endogène dans ce continent. C'est-à-dire une stratégie qui s'inscrit dans «l'afrocentrisme ouvert », conciliante des valeurs africaines et de celles importées ou étrangères, c'est-à-dire inspirée des savoirs et pratiques domestiques et d’expériences étrangères enrichissantes. L'objectif est de faire de l'Afrique, au début du troisième millénaire, un sujet (acteur), et non un objet (spectateur), de la mondialisation ou du système international. Autrement dit, reconstruire ce que la colonisation a détruit, et en même temps s'adapter aux exigences et aux défis de la mondialisation.
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Verdelhan-Bourgade, Michèle. "Programmes et instructions officielles pour le français en Afrique francophone. Un rapport ambigu à la décolonisation." Mots, no. 106 (December 31, 2014): 27–42. http://dx.doi.org/10.4000/mots.21760.

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Simonis, Francis. "Le processus de décolonisation en Afrique noire au prisme des des administrateurs de la France d'Outre-mer." Outre-mers 97, no. 368 (2010): 63–74. http://dx.doi.org/10.3406/outre.2010.4489.

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Kinda, Noraogo. "Les États-Unis et le nationalisme en Afrique noire à l'épreuve de la décolonisation (Deuxième Guerre mondiale-1960)." Revue française d'histoire d'outre-mer 79, no. 297 (1992): 533–55. http://dx.doi.org/10.3406/outre.1992.3052.

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Vatin, François. "Décolonisation et travail en Afrique, l’Afrique britannique et française, 1935–1960, F. Cooper, traduction de F.-G. Barbier-Wiesser." Sociologie du travail 51, no. 1 (January 1, 2009): 159–62. http://dx.doi.org/10.4000/sdt.16276.

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Soares, Máio. "« Mémoires d'Avril »." Matériaux pour l’histoire de notre temps N° 80, no. 4 (October 1, 2005): 4–7. http://dx.doi.org/10.3917/mate.080.0002.

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Abstract:
Résumé Mário Soares met tout d’abord en relief le caractère révolutionnaire et populaire des événements du 25-Avril car, si d’une part, il s’agit d’une vraie rupture avec l’ancien régime, d’autre part, le peuple a apporté un soutien actif à l’action des militaires. Le régime fasciste s’écroule en quelques heures sans effusion de sang et sans aucune interférence extérieure. Mário Soares évoque ses années d’exil en France, la formation du Parti socialiste, les réunions pour demander leur soutien aux partis socialistes européens, dont cet épisode vécu à Bonn la veille du 25 avril, où ses camarades voulaient le persuader que rien ne se passerait au Portugal avant une dizaine d’années. Mário Soares évoque ensuite, la déposition des armes, dès le lendemain, par les militaires portugais qui étaient en Afrique ainsi que la situation chaotique qui donna lieu peu de temps après aux négociations en vue de la décolonisation. Il passe également en revue les conflits et les positions partisanes (surtout celles des Partis socialiste, communiste et de l’extrême gauche) qui ont abouti à l’organisation des élections qui ont conféré une légitimité au nouveau pouvoir démocratique (celles de 1976). La période difficile qui a provoqué les événements du 25-Novembre est également évoquée. C’est à cette date que Mário Soares fixe le véritable commencement de la révolution démocratique avec la promulgation de la nouvelle Constitution, le rétablissement de l’ordre et le début des négociations pour l’adhésion à la CEE. Mário Soares souligne le rôle exemplaire de la révolution des Œillets qui a influencé la troisième vague des révolutions démocratiques dans le monde.
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Bracke, Maud Anne. "Family Planning and Reproductive Agency in France." French Historical Studies 45, no. 4 (October 1, 2022): 683–710. http://dx.doi.org/10.1215/00161071-9933021.

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Abstract:
Abstract The article analyzes debates on family planning, demography, and gender roles to explore the emergence of new notions of the reproductive subject in France between the 1950s and the 1970s. Drawing on papers of French and international family planning organizations, it argues that while the expansion of family planning ideology across France allowed for the discursive and practical construction of an autonomous reproductive subject, such a subject was framed by a hierarchization according to race, culture, and social class. Specifically, the analysis focuses on interventions in immigrant groups and on the French family planning movement's contribution to programs in Francophone Africa before and after decolonization. The article aims to contribute to an understanding of family planning as a transnational movement embedded in the globalization of demographic debate and the drive to normalize the nuclear family, and to an understanding of sexual change in Europe as shaped by global processes. L'article analyse les débats autour du planning familial, la démographie et les rôles des sexes pour explorer l’émergence de nouvelles idées du sujet reproductif en France entre les années 1950 et 1970. S'appuyant sur des documents d'organisations françaises et internationales, l'article soutient que l'expansion de l'idéologie du planning familial à travers la France a permis la construction discursive et pratique d'un sujet reproductif autonome, mais qu'un tel sujet était encadré par une hiérarchisation selon la race, la culture et la classe sociale. Plus précisément, l'analyse se concentre sur les interventions auprès de groupes d'immigrés en France pendant les années 1960, et sur la contribution du mouvement français de planification familiale aux programmes en Afrique francophone avant et après la décolonisation. L'article vise à contribuer à une compréhension de la planification familiale en tant que mouvement transnational ancré dans la mondialisation des débats démographiques et qui considérait la normalisation de la famille nucléaire comme œuvre civilisatrice.
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Chomentowski, Gabrielle, and Thomas Leyris. "Médias et décolonisations en Afrique francophone." Revue d'histoire contemporaine de l'Afrique, no. 1 (January 7, 2021): 1–15. http://dx.doi.org/10.51185/journals/rhca.2021.e303.

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Abstract:
Cet extrait du discours de Modibo Keita, prononcé le 4 septembre 1957 lors de l’inauguration de Radio-Bamako témoigne combien la radio, et plus largement les médias, furent considérés comme un enjeu de taille dans la période des décolonisations et de la première décennie des indépendances sur le continent africain... Lire la suite
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Bost, François. "France, Afrique, mondialisation. Le « pré carré » français à l’épreuve de la décolonisation et de la mondialisation de l’économie (Africa, France, Globalization. France’s « private reserve » and the challenges of decolonization and economic globalization)." Bulletin de l'Association de géographes français 87, no. 1 (2010): 131–44. http://dx.doi.org/10.3406/bagf.2010.8186.

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Blanc, Guillaume. "Aux sources d’une histoire environnementale globale : une boucle éthiopienne dans les archives de la nature." Knowing Nature 4 (2022): 283–331. http://dx.doi.org/10.4000/11tap.

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Abstract:
Cet article revient sur une trajectoire individuelle et collective de recherches menées, entre 2008 et 2021, en histoire environnementale de l’Afrique. Il revient d’abord sur la tentative d’écrire une histoire environnementale de la nation éthiopienne. L’objectif poursuivi était d’éclairer l’histoire du façonnement national de la nature, et pour cela, un cadre théorique définissait la recherche archivistique. Puisque la nature est un lieu de lutte institutionnelle (pour construire un territoire), culturelle (pour imposer une représentation dans l’espace public) et matérielle (pour exploiter une ressource), les archives à collecter étaient celles à même de renseigner les trois dimensions de cette histoire : des lois et des rapports d’activité pour retracer les étapes de la mise en parc de la nature à partir de l’exemple du parc du Simien ; des brochures touristiques et les traces des aménagements de sentiers de randonnée pour appréhender la fabrique publique d’une nature vierge et sauvage ; des comptes rendus de missions scientifiques pour saisir l’évolution matérielle des écologies. Un deuxième projet de recherche fut ensuite consacré à l’histoire globale des patrimoines naturels aux Suds, en Afrique et en Asie. Ce sont ici les archives qui ont produit la théorie : la documentation scientifique produite par des forestiers, vétérinaires, biologistes ou agronomes ; les archives des administrateurs coloniaux, des responsables nationaux et des experts employés par les institutions internationales de la conservation ; des correspondances, des récits de vie et des photographies relatives à la gestion et la découverte de la nature mise en parc. Ces sources ont signalé que tout au long du xxe siècle, en Éthiopie, au Congo, à Zanzibar, aux Seychelles, au Vietnam, au Cambodge et en Malaisie, des professionnels occidentaux de la nature circulaient d’espace naturel en espace naturel, de pays en pays et, même, d’un continent à l’autre. À travers l’étude des traces qu’elles ont laissées dans les archives, ces circulations ont alors donné à voir une autre histoire et une autre géographie des Suds : celles d’une aire afro-asiatique qui évolue au fil d’une chronologie endogène, loin d’une césure européocentrée de type colonisation-décolonisation. Cette hypothèse a alors permis de revisiter les archives éthiopiennes. Il ne s’agit plus d’expliquer comment la mise en parc de la nature sert et révèle la construction de la nation, mais de comprendre, à travers le cas éthiopien, comment et pourquoi les politiques de la nature élaborées en contexte colonial ont continué à être globalisées après les indépendances. Et ici, l’aller-retour entre le cadre théorique et la recherche archivistique devient permanent. Là où les historien·ne·s·éclairent la continuité entre les époques coloniale et postcoloniale, les archives signalent qu’entre les deux, au tournant des années 1960, on peut étudier l’histoire d’un « évènement postcolonial » en tant que tel : l’histoire de la reconversion d’administrateurs coloniaux en experts internationaux et des rencontres qui les associent et les opposent aux dirigeants et aux habitants de l’Afrique indépendante.
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Debaene, Vincent. "Itinéraire d’un « chant de guerre » baoulé. De la violence coloniale aux négritudes." Gradhiva 38 (2024): 68–89. http://dx.doi.org/10.4000/12q47.

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Abstract:
De tous les livres de Maurice Delafosse, L’Âme nègre (1922) est sans aucun doute celui qui a été le plus largement diffusé et lu, à la fois en Europe et en Afrique. Signe de cette influence, de nombreux textes issus de ce recueil de « littérature orale » ont reparu, cités ou adaptés, dans d’autres contextes. Aucun cependant n’a autant circulé qu’un « chant de guerre » baoulé qui, après la guerre, se trouve repris par deux des pères fondateurs de la négritude, Léopold Sédar Senghor et Léon-Gontran Damas, dans une logique de promotion et de réappropriation de la « littérature orale africaine ». Mais dans quelles circonstances ce « texte » a-t-il été initialement collecté ? S’agissait-il d’ailleurs vraiment d’un « chant de guerre » ? Et la notion de « réappropriation » permet-elle réellement de comprendre le geste par lequel Senghor et Damas, à la veille des décolonisations, transforment en poème un tel écrit, prélevé dans la « bibliothèque coloniale » ?
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Gillot, Gaëlle. "Georges Courade. « Comme le fleuve, la vérité se perd dans le désert ». Faire de la recherche dans les Afriques en décolonisation." Revue internationale des études du développement, no. 253 (November 30, 2023): 176–78. http://dx.doi.org/10.4000/ried.9481.

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Courade, Georges, Catherine Fournet-Guérin, Véronique Fourault-Cauët, and Christophe Quéva. "Georges Courade, auteur de « Comme le fleuve, la vérité se perd dans le désert ». Faire de la recherche dans les Afriques en décolonisation." Annales de géographie N° 755, no. 1 (February 6, 2024): 99–111. http://dx.doi.org/10.3917/ag.755.0099.

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Listre, Jean-Pierre. "George Courade, « Comme le fleuve, la vérité se perd dans le désert », Faire de la recherche dans les Afriques en décolonisation , Les Indes savantes, 2023, 152 p." Afrique contemporaine N° 278, no. 2 (January 24, 2025): 347–49. https://doi.org/10.3917/afco1.278.0347.

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Boulvert, Yves. "Georges Courade. “Comme le fleuve, la vérité se perd dans le désert”, Faire de la recherche dans les Afriques en décolonisation, Les Indes savantes, 2023, 152 pages, 22 €." La Géographie N° 1591, no. 4 (December 13, 2023): 49. http://dx.doi.org/10.3917/geo.1591.0049.

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Bonin, Hubert. "B ancel Nicolas, Décolonisations ? Élites, jeunesse et pouvoir en Afrique Occidentale Française (1945-1960) , Paris, Éditions de la Sorbonne, coll. « Internationale », 2022, 420 p. ISBN 978-10-351-0808-3, 30 euros." Outre-Mers N° 418-419, no. 1 (September 12, 2023): 325–27. http://dx.doi.org/10.3917/om.418.0325.

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Reza, Alexandra. "Nos & leurs Afriques: constructions littéraires des identités africaines cinquante ans après les décolonisations. Áfricas de uns e de outros: construções literárias de identidades africanas cinquenta anos após as descolonizaçãos." French Studies 70, no. 2 (February 17, 2016): 294–95. http://dx.doi.org/10.1093/fs/knw032.

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Nzoyihera, Edouard. "Les musées en Afrique orientale: contribution à leur décolonisation." Cadernos de Sociomuseologia, 2024. http://dx.doi.org/10.36572/csm.2021.book_100.

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Bobin, Florian, and Maky Madiba Sylla. "« Surtout qu’elle ne meure pas »." Revue d'histoire contemporaine de l'Afrique, June 27, 2023. http://dx.doi.org/10.51185/journals/rhca.2023.entretien05.

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Abstract:
Dans cet entretien, Eugénie Rokhaya Aw retrace son expérience de militante politique au Sénégal et de journaliste panafricaine engagée. Elle y raconte comment, emprisonnée pour son activisme ou établie en usine pour ses reportages, elle participe à des initiatives d’alphabétisation de femmes détenues et ouvrières. Reportrice, elle couvre plusieurs conflits armés en Afrique, s’engage contre le régime d’apartheid et rédige une thèse de doctorat sur la parole des femmes rwandaises post-génocide. Dans les années 2000, elle prend la tête du CESTI, l’école de journalisme de l’université de Dakar. À travers ce témoignage, Eugénie Rokhaya Aw, qui nous a tristement quittés le 3 juillet 2022, nous plonge dans les complexités d’une Afrique en quête de décolonisation.
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TSHIPATA, Junior KABUIKA. "DECOLONISATION EPISTEMOLOGIQUE ET RECENTRALISATION PARADIGMATIQUE FACE AU DEVELOPPEMENT DE L’AFRIQUE." Revue Intelligence Stratégique 5, no. 014 (December 31, 2022). http://dx.doi.org/10.62912/htng8697.

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Abstract:
Les recherches scientifiques sont les bases par excellence que recourt tout un peuple en vue de son développement. Cette entreprise osée consiste donc à recourir à l’armée des sciences pour raison de respectabilité. Tout peuple ayant recouru à cet impressionnant instrument, à renverser les donnes et celui ayant lui ayant tourné est condamné à vivre à l’attentisme. En effet, l’exercice auquel cet article se livre, consiste à partir des données paradigmatiques existantes oser des nouvelles offres pour qu’émerge une autre Afrique. Il s’agit tout de même de focaliser toute œuvre dans le mariage étroit avec la science. Mots-clés : science, paradigme, décolonisation, développement.
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Toulier, Bernard. "Les monuments aux morts de la Grande Guerre en Afrique francophone." Revue d'histoire culturelle 9 (2024). https://doi.org/10.4000/13213.

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Abstract:
Les monuments aux morts de la Grande Guerre édifiés par l’Empire français dans les années 1920-1930 et situés au cœur des villes nouvelles coloniales du continent africain sont au cœur de débats mémoriels parfois virulents. A partir de quelques exemples documentés, on s’interrogera sur le devenir de ce type de monuments au sein des nouvelles nations africaines. Pour les ex-colonisés, quelle est la signification d‘un « patrimoine » étroitement lié à l’histoire de la France impériale ? Dans les premières décennies qui suivent la décolonisation, beaucoup sont endommagés ou détruits - au mieux dissimulés. Une seconde installation en France métropolitaine offre parfois une seconde vie au monument et s’accompagne d’une réécriture de l’histoire.
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Bourgeois, Robin, Kwamou Eva Feukeu, and Geci Karuri-Sebina. "Le futur comme bien public: décoloniser le futur par la recherche-action participative anticipatoire." foresight, November 8, 2022. http://dx.doi.org/10.1108/fs-08-2022-0090.

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Abstract:
Objectif L'objectif visé est de nourrir les réflexions sur la colonisation du futur dans le présent en mettant particulièrement l’accent sur le continent africain. Nous visons à explorer comment la recherche participative, et plus particulièrement la recherche-action anticipatoire, peut contribuer au processus de décolonisation effective. Conception/méthodologie/approche Considérant le futur comme un bien public, nous mobilisons une réflexion sur les processus coloniaux qui l’ont transformé, à bien des égards, en bien de club ou en bien privé. Nous faisons ensuite appel aux notions de production participative de connaissances et de recherche-action locale comme moyens de décoloniser le futur et de libérer l'imagination. Nous revisitons ensuite les principes de la recherche-action participative pour atteindre cet objectif et nous examinons les principales caractéristiques d'une recherche-action anticipatoire non coloniale dans le contexte des futurs de l'Afrique. Résultats Nous mettons en évidence les défis issus de la relation entre les efforts d'anticipation axés sur la recherche-action, la création d'une intelligence collective et la co-conception (codesign), dans le but d'encourager le processus de décolonisation. Cette démarche inclut des principes de conception, établit les bases pour un processus anticipatoire, potentiellement décolonial et envisage une possible réaction du système dominant à l’encontre de ce processus de décolonisation. Implications/limitations Il s’agit d’un travail conceptuel, qui ne fournit pas d’éléments testés sur le terrain. Toutefois, nous espérons que cela constituera un apport permettant de concevoir des méthodologies qui préviendront la colonisation du futur lors de la participation à des activités de recherche tournées vers les futurs en Afrique et ailleurs. Originalité/valeur Nous proposons une approche intégrale de la colonisation du futur, comme renouvellement d’une question ancienne. Nous articulons également cette démarche autour d’une réflexion sur la nature de ce que pourrait être une recherche-action anticipatoire décoloniale.
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Falconieri, Silvia. "Écrire l’histoire juridique de la folie en Afrique française (fin xixe siècle-1960)." Aux sources de la folie 8 (2024). http://dx.doi.org/10.4000/11xjy.

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Abstract:
L’histoire juridique de la folie a longtemps demeuré un sujet de recherche marginal au sein des études sur le droit et la justice coloniale français des xixe et xxe siècles. Depuis environ une décennie, les études sur la folie en situation coloniale, dans le continent africain, font l’objet d’un renouveau, à la fois thématique et méthodologique, dont témoigne l’essor de programmes de recherche spécifiques, collectifs et pluridisciplinaires, tels que AMIAF (« Aliéné mental et indigène. Histoire d’une double discrimination de statut en Afrique française ») et MADAF (« A History of Madness in West Africa: Governing Mental Disorder during Décolonisation [1940s-1970s] »). Les discours et les pratiques juridiques autour de l’altération mentale des populations colonisées par la France en Afrique sont au cœur des recherches que l’équipe pluridisciplinaire du programme AMIAF conduit depuis 2019. La réflexion autour des sources à mobiliser dans une telle démarche s’avère primordiale. À travers quels documents est-il possible d’étudier le traitement juridique de la folie en situation coloniale ? Comment les ficher, les interroger, les interpréter et les croiser entre elles ? Qu’est-ce que leur configuration nous dit du discours et des pratiques juridiques et administratives autour de la folie (des populations colonisées en particulier) ? À l’aune de ces questionnements, cet article se penche sur les défis méthodologiques soulevés par la constitution d’un corpus qui permet d’étudier le traitement juridique et administratif de la folie dans les territoires africains anciennement colonisés par la France. Les sources au cœur de cette contribution émanent essentiellement des fonds des Archives nationales d’outre-mer d’Aix-en-Provence, du Service historique de la défense de Toulon, de certaines revues médicales de l’époque considérées consacrées à la médecine et à la psychiatrie coloniale. Il s’agit des matériaux hétérogènes et dispersés, non seulement au niveau géographique mais également au sein d’un même fonds d’archives, qui laissent émerger un éclatement du traitement juridique de la folie dans des contextes disparates (arrestations, procédures d’internement suivant le régime de l’indigénat, plaintes, réformes du cadre législatif, gestion des lieux de soin existant avant la colonisation, questions financières, procédures judiciaires), indépendants des institutions de santé, qui dépassent largement les préoccupations sanitaires pour toucher plutôt aux politiques coloniales, au maintien de l’ordre public et aux questions d’ordre financier.Dans cette contribution, ces sources sont interrogées à travers la bibliothèque numérique AMIAF, conçue et réalisée dans le cadre de la recherche ANR homonyme. Loin de se borner à réunir un corpus documentaire, cet outil numérique permet à ses usagers d’interroger les documents hébergés suivant des cheminements inédits qui rendent possible la réalisation d’opérations originales de triage et d’ordonnancement des sources. Parmi les modalités de recherche et ordonnancement offertes par la bibliothèque AMIAF figurent les « Index » et le « Nuage de tags ». À l’aide de ces instruments de recherche, en particulier l’index des « Mots de la folie » et le tag « Signes de la folie » l’article s’arrête sur le vocabulaire utilisé par les acteurs du droit colonial dans la désignation de l’altération mentale des populations africaines, ainsi que les éléments dont ils se servent pour la détecter. Loin de toute prétention d’exhaustivité ou d’analyse achevée en la matière, ces exemples souhaitent faire émerger les atouts d’une recherche au sein de cet outil où les documents hébergés sont affichés et ordonnancés suivant un ordre et des critères qui permettent au chercheur de réaliser aisément des analyses croisées inédites.
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Meudec, Marie. "Résistance." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.063.

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Abstract:
La notion de résistance est utilisée dans des domaines comme la physique ou la mécanique, mais l’emploi qui nous intéresse ici est la résistance comme pratique sociale et comme concept, utilisé en sciences sociales pour décrire des mouvements sociaux et des pratiques individuelles de rébellion. D’abord souvent restreinte au monde politique (entendons par là les partis et les institutions politiques), la compréhension de la notion de résistance s’est élargie à toutes les sphères de la société. Résister, c’est ainsi mettre en pratique une forme d’opposition au pouvoir en place, au pouvoir dominant ou hégémonique. C’est ainsi par exemple que la sociologie politique (Neumann 2012) ou la philosophie politique (Rancière 1995) peuvent concevoir les révoltes, les rébellions ou les mouvements d’opposition au pouvoir d’État. Pensons aussi aux travaux de Wa Thiong’o (1987 : 2) qui étudie « les réalités africaines en tant qu’elles sont affectées par la grande lutte entre les deux forces mutuellement opposées en Afrique aujourd'hui: une tradition impérialiste d'une part et une tradition de résistance de l'autre ». Parler de résistance passe donc nécessairement par une analyse des formes d’oppression et d’impérialisme existantes, là où la résistance est conçue une forme de ‘réaction à’ une forme de contre-pouvoir. Comment les personnes qui ne sont pas du côté du pouvoir en place résistent-elles aux puissants ? L’analyse des pratiques de résistance vise dès lors à rendre compte de la participation sociale ou des actions des personnes dominées par le système politique et économique. Toutefois, la binarité domination / résistance doit être questionnée et réfléchie, entre autres pour mieux saisir les manifestations de pouvoir et de domination à l’œuvre (Ortner 1995 ; Foucault 1978). Dans sa célèbre ethnographie menée en Malaisie, le politologue James C. Scott (1985) étudie les relations de pouvoir au sein de mouvements de résistance paysanne. Scott montre notamment que les mouvements de résistance sont le fruit d’une réflexion éthique qui se base entre autres sur des notions d’injustice, et non – comme les intellectuels avaient plutôt tendance à penser les formes de résistance populaire – comme le résultat d’un attrait inné pour la violence ou d’une forme spontanée de rébellion. Cette perspective admet ainsi la possibilité généralisée d’actions contestatrices auparavant cantonnées aux sphères politiques formelles. Il évoque notamment les ‘formes quotidiennes de résistance’ pour rendre compte de ces pratiques de résistance qui paraissent moins organisées. Le concept de ‘résistance infrapolitique’ (Scott 1990) permet de penser le caractère privé de pratiques de résistance, autrement recherchées uniquement sur la scène publique. Le changement social et la lutte politique sont pensés comme des phénomènes ‘discrets’ et non plus seulement visibles dans la sphère publique. Il s’agit donc de comprendre les dimensions ordinaires ou quotidiennes de la résistance, et d’élargir les perspectives qui conçoivent la résistance comme des moments de crises, des pratiques transgressives au caractère exceptionnel, des émeutes et des soulèvements (Bertho 2010, 2013) ou des normes qui s’érodent (Neumann, 2012). Ainsi, concevoir les formes de résistance du point de vue de la vie quotidienne ou de la sphère culturelle constitue en partie une traduction ou une conséquence des perspectives critiques, féministes et postcoloniales en sciences sociales. En effet, alors que la résistance n’était conçue comme un phénomène possible qu'essentiellement du point de vue des institutions et du pouvoir officiel, valorisant ou rendant visibles certaines formes de résistance au détriment d’autres, ce sont les formes invisibilisées de la résistance qui sont aussi à ce jour étudiées. Prenons pour exemple le développement d’une historiographie féministe dans le champ des études caribéennes. Mimi Sheller (2012) y a par exemple montré comment, auparavant, les recherches sur la révolution haïtienne avaient essentiellement mis de l’avant des guerriers héroïques comme Dessalines ou Louverture alors que cette révolution a aussi été rendue possible par les efforts quotidiens des femmes, notamment pour éduquer, nourrir, soigner et ainsi contribuer à faire en sorte que ces guerriers puissent combattre, en plus d’avoir été totalement impliquées dans des combats armés et des mouvements publics de protestation. Cette historiographie de l’émancipation a aussi le mérite d’aller au-delà d’une simple dialectique oppression / résistance, subordination / résistance ou esclavage / liberté pour concevoir les continuités possibles entre ces deux pôles (Sheller 2012). La résistance devient un phénomène à la mode pour les études en sciences sociales et il faut se garder de voir de la résistance partout, en même temps qu’il faut continuer à remettre en question les façons de la penser, notamment en cherchant des formes de résistance dans des comportements apparemment passifs, des silences ou des inactions. Retenons ainsi que la façon dont les chercheur.e.s conçoivent la résistance a des conséquences sur leurs capacités à reconnaître (ou non) certaines pratiques et à les associer (ou non) à de la résistance. À l’instar de Patricia Hill Collins (citée par Wane, 2013), il faut aussi se demander si on serait capable de reconnaitre la résistance en la voyant. En effet, en quoi notre façon de définir la résistance ne réduit-elle pas nos capacités à l’observer, à la concevoir et à en rendre compte ? On pourrait par exemple penser à des formes de projection qui consistent à (vouloir) voir de la résistance là où les personnes concernées n’en voient pas. Dans le cas des études féministes intéressées aux formes de résistance, évoquons les riches travaux de Mahmood (2001) sur la capacité d’agir des femmes. Comment les femmes contribuent à leur propre domination et comment elles y résistent ou elles la subvertissent ? Elle y définit l’agencéité comme ‘une capacité pour l’action que des relations spécifiques et historiquement constituées de subordination permettent et créent’ (Mahmood 2001 : 203). Dans cette perspective, la résistance et le pouvoir sont intimement liés aux conditions de leur possibilité, ce qui signifie que dans différents systèmes de pouvoir, il y aura différentes possibilités de ‘résister’ ou de vivre dans ce système (Mahmood 2005). Cela signifie également que l’agencéité ne doit pas être réduite à de la résistance, dans le sens où elle ne constitue qu’une des formes que l’agencéité peut prendre (Bilge 2010). Les approches orientées vers la résistance sont biaisées par du romantisme et leurs analyses des modes de fonctionnement du pouvoir en sont de ce fait appauvries (Abu-Lughod 1990). Ces approches témoignent de critiques du féminisme mainstream / occidental / blanc, et notamment d’une forme d’exoticisation des femmes du Tiers-Monde en définissant leurs cultures et leurs modes de vie en termes de ‘résistance’, révélant du même coup leurs propres façons de concevoir ce qu’est la résistance et la tendance « chic et en vogue de formuler les actions des gens comme des formes de résistance puissantes » (Villenas 2000 : 80). Dans une analyse des formes de résistance – comme plus largement des pratiques sociales – la décolonisation du féminisme passe par une remise en question du fait de parler ‘au nom de’ (Mohanty 2003 ; Martin Alcoff 1991-1992). Les études postcoloniales et décoloniales se sont construites en parallèle aux mouvements de décolonisation politique des années 1950-1960. Résistance politique et résistance intellectuelle allant donc de pair, des auteurs comme Fanon, Césaire ou Sédar Senghor ont fourni des outils intellectuels pour penser les ‘cultures de résistance’ (Fanon 1952), pour réfléchir aux soulèvements et aux prises de parole des damnés de la terre (Fanon 1961) ou des subalternes (Spivak 1988). Dans son célèbre Discours sur le colonialisme, Césaire (1973) explique comment le concept de Négritude est apparu comme forme de résistance aux politiques françaises d’assimilation. Le champ des études décoloniales et autochtones (en anglais indigenous) se développe grandement ces dernières années, induisant un changement de perspective pour penser les relations de pouvoir et les mouvements de contre-pouvoir. Comme l’écrivent si justement Tuck et Wayne Yang (2012 : 23) à propos du mouvement Occupy de 2011, « pour de nombreuses personnes économiquement marginalisées (le mouvement Occupy) a été une expression bienvenue de la résistance aux disparités massives dans la répartition des richesses; pour de nombreux peuples autochtones, Occupy est une autre réinstallation de colons sur des terres volées ». Le champ des études décoloniales a aussi initié des concepts très importants autour de la décolonisation des savoirs (Smith 1999-2002 ; Harrison 1991, Luste Boulbina 2012 ; Todd 2016 ; Uddin 2011) et de l’esprit (Wa Thiong'o 1987). Il s’agit alors de questionner l’eurocentrisme des sciences sociales et de les retravailler pour une profonde transformation de ses théories et méthodologies (Meudec 2017). La résistance épistémique met alors de l’avant les savoirs indigènes comme forme de résistance au sein de l’université occidentale (Wane 2013) ou est plus largement constituée par toutes les formes de « résistance intellectuelle à la domination épistémique Occidentale », leurs buts étant de « donner de l’agencéité aux Africains à qui une histoire a été déniée en fournissant une historiographie alternative pour combattre l’hégémonie et l’impérialisme Occidentaux » (Ogot 2013 : 18). Mignolo (2013) suggère quant à lui une désobéissance épistémique comme « déprise » par rapport aux modèles politiques et économiques dominants. Encore là, la résistance à des formes d’impérialisme de la pensée, lesquelles ont longtemps mis sous silence les revendications – et tout simplement les voix – des personnes colonisées ou dominées, se fait par la prise de parole et la re-connection des personnes avec leurs propres histoires, paysages, langages et organisations sociales (Smith 1999/2002). Au sein des milieux académiques, plusieurs autres mouvements de résistance sont initiés depuis quelques années, en faveur du slow scholarship notamment (Shahjahan 2014 ; Hartman and Darab 2012 ; Mountz 2015) ou des autoethnographies pour réfléchir et survivre à la précarisation et à la privatisation du travail au sein des universités néolibérales (Reyes Cruz 2012).</description>
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D'adesky, Jacques. "Subalternité." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.056.

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Abstract:
Forgée au départ par Antonio Gramsci (Liguori 2016) la notion de « subalterne », définie comme relation de subordination, renvoie au départ de l’année 1988, aux subaltern studies qui proposent sous l’instigation de l’historien Ranajit Guha (1997) d’analyser la place et les groupes subalternes dans l’histoire moderne de l’Inde. Ces études accorderont une place importante à l’analyse des discours pour y appréhender les voix bâillonnées des individus appartenant aux groupes se situant à la base de la pyramide sociale, considérés comme les agents du changement social et politique. Elles développeront une critique de l’historiographie nationaliste et anti-coloniale dans le même temps qu’elles essaieront de restituer la capacité des « sans-voix » marginalisés comme les paysans pauvres, les femmes, les intouchables, et d'autres voix. De nos jours, les subaltern studies sont englobées par les théories postcoloniales qui émergent dans les années 1990 en Asie du Sud. Celles-ci questionnent la perspective du colonisateur sur les colonisés et accusent la pensée occidentale d’imposer, aux élites intellectuelles et aux classes populaires des pays du Sud, une conception éloignée des réalités locales. Cette hégémonie intellectuelle tend donc à limiter l’expression des subalternes et à en réduire la diversité issue d’un grand nombre de communautés locales, ce qui a des conséquences désastreuses sur la communication Nord-Sud. Les subaltern studies, portées à l’origine par des intellectuels d’Asie du Sud (Guha et Spivak 1988), se déploient notamment vers le Nord, nommément dans l’espace anglo-saxon, mais également dans les pays de l’Amérique latine. Dans ce dernier champ, elles ont contribué, entre autres, à mettre en exergue, les effets négatifs de la mondialisation. Les travaux critiques d’Edgardo Lander et d’Aníbal Quijano (2005) se concentrent sur l’analyse de la colonialité du pouvoir et du savoir, ainsi que sur la critique de l’eurocentrisme, compris comme une perspective binaire et dualiste de la connaissance qui est venue à s’imposer mondialement de manière hégémonique au fur et à mesure de l’expansion européenne sur la planète. Au Brésil, à travers le prisme de la critique postcoloniale, Claudia Miranda (2006), se penche, sur les discours des intellectuels afrodescendants, jugés en situation de subalternité, qui se mettront en évidence à l’occasion de la lutte pour la démocratisation et de la mise en œuvre des politiques publiques d’action positive en faveur de l’accès des Noirs à l’enseignement supérieur. La production d’études subalternes dans le monde francophone est, quant à elle, récente et moins abondante. Néanmoins, il faut mentionner l’existence dans ce champ de courants de pensée antérieurs qui participent bien avant les années 1980 à la critique de la situation des colonisés en Afrique et dans les départements d’outre-mer. Citons à ce titre, les critiques effectuées par les chantres de la négritude que sont Léopold Sédar Senghor (1964, 1977), Aimé Césaire (2004[2004]) ou encore Frantz Fanon (2001[1952]) même si celles-ci ne viennent pas à s’appuyer expressément sur la notion de « subalternité ». C’est dans cette large perspective que la « subalternité » découle de deux phénomènes historiques : la décolonisation et la mondialisation. Même s’ils ne sont pas concomitants, leurs effets politiques, économiques et sociaux impliquent différents groupes subalternes au Nord comme au Sud, notamment les réfugiés, les émigrés, les minorités ethniques ou sexuelles opprimées, voire les femmes soumises aux diktats de cultures machistes. Après avoir été adopté et enrichi par des penseurs du Sud, le terme est aujourd’hui devenu un concept adapté aux deux hémisphères. Outre la restriction au droit à la parole — donc au pouvoir d’énonciation —, ce qui rapproche les subalternes du Nord et du Sud, c’est leur bas niveau de revenu, qui les prive d’aisance matérielle; leur qualité de vie, leur bien-être et leurs libertés qui sont donc moindres que ceux des autres groupes nationaux. Ces restrictions les enferment dans la spirale décrite par Amartya Sen (2010) : la limitation de la liberté économique réduit les libertés sociales, ce qui entraîne une nouvelle perte de liberté économique. Ce cercle vicieux affaiblit les subalternes, les opprime et les maintient dans un silence qui réduit leur capacité d’action. La liberté de parole libère une énergie et une puissance singulières pour dénoncer et abolir les servitudes. Participer aux débats et aux décisions collectives suppose l’existence d’une reconnaissance mutuelle fondée sur la liberté d’expression et la perception d’une égale dignité. L’égalité de parole découle précisément de l’expérience de l’égale dignité, comme, par exemple, dans la reconnaissance d’une même qualité d’honneur chez les anciens Spartiates ou d’une même valeur chez les citoyens athéniens, et dans l’usage de la palabre chez les sages et chefs de villages africains. Pour les groups subalternes, la liberté de parole est donc une arme de libération contre les discours qui les ignorent et contre les pratiques et les dispositifs qui les réduisent au silence. Face à l’immédiatisme du journalisme et de l’économie, l’anthropologie a, sur ce thème, l’avantage du temps de la réflexion, de l’enquête approfondie et de la comparaison. L’étude ethnographique, la reconstruction des récits de vie et l’analyse de discours permettent une nouvelle approche des relations politiques, sociales et culturelles Nord-Sud. Habitués à la prise de distance face à leur propre culture, les anthropologues sont particulièrement bien outillés pour porter un regard neuf sur les pratiques de discrimination et d’exclusion et le sentiment d’abandon vécu par les groupes subalternes (difficultés de se faire entendre et voir leurs problèmes pris en charge par les pouvoirs publics) dans les pays du Nord comme du Sud. Rien d’extraordinaire donc à ce que les anthropologues, d’où qu’ils soient, viennent à s’emprunter concepts et arguments et à communiquer davantage.
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Robic, Marie-Claire. "Georges Courade, 2023, "Comme le fleuve, la vérité se perd dans le désert". Faire de la recherche dans les Afriques en décolonisation, Paris, Les Indes savantes, 151 p." Cybergeo, February 19, 2024. http://dx.doi.org/10.4000/cybergeo.40845.

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Giuliani, Gaia. "Ana Paula Coutinho, Maria de Fátima Outeirinho and José Domingues de Almeida (eds.) (2014), Nos et leurs Afriques. Constructions littéraires des identités africaines cinquante ans après les décolonisations." e-cadernos CES, no. 26 (December 15, 2016). http://dx.doi.org/10.4000/eces.2167.

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