Academic literature on the topic 'Décolonisation – Cameroun'

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Journal articles on the topic "Décolonisation – Cameroun"

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Michel, Marc. "Une décolonisation confisquée ? Perspectives sur la décolonisation du Cameroun sous tutelle de la France 1955-1960." Revue française d'histoire d'outre-mer 86, no. 324 (1999): 229–58. http://dx.doi.org/10.3406/outre.1999.3748.

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Ntonfo, André. "Littérature et enseignement au Cameroun : problématique d'une politique culturelle." Études littéraires 24, no. 2 (2005): 51–63. http://dx.doi.org/10.7202/500967ar.

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Abstract:
L'enseignement de la littérature doit contribuer à la formation de l'individu, en le mettant en contact avec un ensemble de valeurs établies, une culture qui exerce une fonction intégrante. Mais le programme-cadre camerounais montre que l'objectif visé par les autorités politiques et pédagogiques est tout autre : installer l'individu dans l'universel, dans un « ailleurs sociopolitique et socioculturel ». En comparant dans les programmes, du primaire à l'Université, le poids des différentes littératures (française, africaine, camerounaise), l'auteur établit que le programme de littérature est à « focalisation externe » et qu'il entretient un processus de « déportation culturelle ». Après plus de trente ans d'indépendance, quels modèles pourraient assurer une véritable décolonisation?
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Lassagne, Antoine. "Exploitation forestière, développement durable et stratégies de pouvoir dans une forêt tropicale camerounaise." Anthropologie et Sociétés 29, no. 1 (2005): 49–79. http://dx.doi.org/10.7202/011740ar.

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Abstract:
Résumé Dans le bassin du Congo, l’exploitation des ressources de la forêt a toujours été au coeur des formes les plus violentes de la relation coloniale. L’exemple de la région de la forêt du Dja dans le sud-est du Cameroun suggère que l’installation du pouvoir colonial s’est appuyée sur la mise en place d’un complexe « territoire-population-ressources », processus similaire à celui qui a eu cours en Occident dès la fin du XVIIe siècle. Nous pensons que cette « gouvernementalisation de la population », si l’on s’appuie sur cette notion proposée par Michel Foucault, est déterminante dans la compréhension des modes d’exploitation de la forêt en vigueur depuis la décolonisation jusqu’à aujourd’hui. Il nous est dès lors possible d’envisager les stratégies de pouvoir adoptées par les exploitants forestiers et par les acteurs du développement durable comme faisant partie d’un même dispositif de gestion combinée de la nature et du social. La nouvelle loi forestière adoptée par le gouvernement camerounais en 1994 apparaît comme le point de jonction du discours scientifique sur la population et la forêt tropicale et des intérêts du secteur forestier industriel. Dans ce contexte, les Badjoués qui habitent la périphérie de la Réserve de biosphère du Dja se trouvent être à la fois la cible des conservationistes et des exploitants forestiers.
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MANGA KALNIGA, JOSÉ DONADONI, and BAYIE KAMANDA ANYI MUKEP MASSA. "Esquisse d’une sociologie des mobilisations anglophones au Cameroun." Adilaaku : Droit, politique et société en Afrique, 2019, 35–43. http://dx.doi.org/10.46711/adilakuu.2019.1.2.4.

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Abstract:
Le paysage politique et institutionnel au Cameroun depuis la décolonisation connaît des vagues successives de crises qui placent cet État dans une incertitude structurelle. Cette incertitude est aussi politique et dévoile alors un appel d’une autre forme d’État par les sécessionnistes et un vœu de participation à la gestion des affaires au niveau suprême, régional et communal. Ces contestations de la forme de l’État unitaire se sont matérialisées par la résurgence de la question anglophone. Ce texte évoque les logiques des mouvements sociaux et de l’État dans la gestion de la crise anglophone. En d’autres termes, comment l’incertitude du lendemain et de la gestion de l’État a-t-elle engendré des ruptures et des revendications sociales et politiques au Cameroun? L’objectif de cet article est d’analyser les stratégies de mobilisation des acteurs de la crise anglophone tels que les pouvoirs publics, la communauté internationale et les organisations de la société civile. Il s’agit précisément de décrire et d’analyser les mécanismes de mobilisation des ressources. Pour appréhender cette réalité, l’article recourt à la théorie des mobilisations multisectorielles pour décrypter les ruptures, les continuités, les inflexions et les trajectoires des luttes qui structurent la scène sociopolitique au Cameroun. Il s’appuie sur l’exploitation des archives documentaires et de la presse locale pour retracer l’incertitude structurelle ayant engendré la crise.
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Servais, Olivier, and Frédéric Laugrand. "Missionnaire." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.018.

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Abstract:
Le terme « missionnaire » renvoie au terme chrétien : « missio », envoyé. Le missionnaire désigne dans la tradition chrétienne celui qui est envoyé par l’Esprit Saint annoncer l’Évangile en dehors des terres de chrétienté. Par extension, ce concept traduit la figure d’un prosélyte institué par une religion. En anthropologie, le mot renvoie à une pluralité de contextes et de sens. C’est avec la Renaissance et la « découverte du Nouveau Monde » que plusieurs récits missionnaires acquièrent le statut de véritables textes ethnologiques. À cette époque, alors qu’un nombre croissant de récits sont publiés ou traduits en Europe ayant pour thèmes les coutumes des peuples non évangélisés, la découverte des Amériques et de populations qui ne figurent pas dans les textes bibliques obligent les théologiens, les écrivains, les chroniqueurs et autres voyageurs, à repenser l’altérité et à formuler de nouvelles interprétations à partir des catégories existantes. Les récits d’André Thevet, de Jean de Léry, par exemple, attestent de cette révolution conceptuelle en ce sens que ces auteurs, pour la première fois, vacillent. Ils en appellent à la transformation de soi et à la conversion du regard. Cette ouverture restera toutefois de courte durée et assez marginale. Avec les conquêtes coloniales, en effet, les récits missionnaires se multiplient et s’ils se diffusent jusque dans le grand public où ils concurrencent les récits de voyage, leur contenu montre la ténacité de l’ethnocentrisme et surtout celle du complexe de supériorité des peuples européens. Il faut attendre le milieu du XXe siècle, sous les effets combinés de la décolonisation et du concile Vatican II pour que les esprits évoluent lentement vers une plus grande tolérance. Entre temps, un nouveau genre est apparu et s’est développé: celui des récits ethnologiques en bonne et due forme. Un peu partout sur la planète, les ethnologues sont rapidement partis en croisade contre les entreprises missionnaires, criant à la déculturation, à la contamination chrétienne et rappelant au monde la diversité des cultures et des traditions, mais sans interroger assez leur propre entreprise et le sens de leurs actions ou de leurs enquêtes. Sur ce point, de nombreuses chroniques missionnaires s’avèrent anthropologiquement très riches pour saisir la diversité des cultures et leurs caractéristiques. Pour se limiter aux Amériques et à une période plus ancienne, citons ces textes encyclopédiques que nous livrent Fray Bernardino de Sahagun (1981 [1730]; voir aussi León-Portilla 2002; José de Acosta (1979 [1590]); Fray Alonso de Benavides (1954 [1630]); ou encore, les monographies de Jean de Léry (1980 [1578]); d’André Thevet (1983 [1557]); de Martin Dobrizhoffer (1967 [1784]). La richesse de ces ouvrages dépasse le plan strictement ethnographique. Claude Lévi-Strauss (1955 : 84) ne s’y est pas trompé lorsqu’il considère L’histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, publiée par le pasteur genevois Jean de Léry, en 1578, comme « le bréviaire de l’ethnologue ». Comme l’illustre encore le cas du jésuite José de Acosta, c’est par l’expérience du voyage, par celle de la distance de soi et de l’altérité que des missionnaires ont découvert, bien avant Jean-Jacques Rousseau et les philosophes du XVIIIe siècle, l’universalité de la barbarie, de la guerre et de l’ethnocentrisme ou encore les limites de la pensée cartésienne. Fermin del Pino-Diaz (1992 : 323) cite avec raison une déclaration du père d’Acosta qui évoque celle de Montaigne dans Des Cannibales et dont, selon lui, tout anthropologue actuel pourrait s’enorgueillir: « La rudesse des barbares n’est pas produite par la nature mais par l’éducation et les coutumes ». En somme, c’est donc bien avant que l’ethnologie émerge comme discipline scientifique, que des missionnaires ont su conjuguer universalisme et relativisme. Rétrospectivement, chaque époque et chaque congrégation a son lot de missionnaires ethnologues. Leurs chroniques s’avèrent ethnographiquement beaucoup plus riches que les récits des voyageurs et des explorateurs. Alfred Métraux (1963) affirme que pour leurs observations méticuleuses sur les peuples du Brésil, les pères capucins Claude d’Abbeville (1614 [1963]) et Yves d’Évreux appartiennent à ceux qu’il nomme les « grands précurseurs de l’ethnographie française » qu’a connu le tournant des XVIe et XVIIe siècles. Les siècles suivants, de nombreux missionnaires ethnologues se retrouvent du côté des jésuites : Brébeuf en Nouvelle-France (Laflèche 1999; Reichler 2004), plusieurs jésuites au Paraguay (Saignes 1985), d’autres dans les Pays d’en Haut et au Canada (Servais 2005). Avec l’entreprise coloniale et l’époque du « réveil missionnaire », le XIXe siècle semble ouvrir une période de régression. Un examen plus attentif laisse pourtant apparaitre là encore des cas de missionnaires ethnologues et ce, dans la plupart des régions du monde : salésiens en Amazonie, missionnaires anglicans dans le Nord canadien, etc. Il n’en demeure pas moins vrai que la plupart des missionnaires de l’époque se détournent de l’ethnographie pour produire des récits de propagande où l’autre est réduit à un faire-valoir. Les récits de mission deviennent ainsi les pièces maitresses d’un travail d’édification et d’un système de propagande, d’un prosélytisme qui ne s’essoufflera vraiment qu’au milieu du XXe siècle, avec la promotion d’une pensée œcuménique et d’un respect des cultures. Plusieurs revues d’anthropologie du XXe siècle émanent encore d’œuvres missionnaires : il en va ainsi d’Anthropos, une revue fondée par le père Schmidt, d’Anthropologica, la revue canadienne d’anthropologie née en 1955, d’une collaboration entre des missionnaires oblats et des anthropologues, etc. Les missionnaires se montreront enfin de précieux experts sur le plan de l’étude des langues, produisant d’innombrables encyclopédies et dictionnaires. La décolonisation ne fera pas disparaitre pour autant les récits de missionnaires ethnologues. Les exemples de Philippe Chanson (2010) dans les Antilles, de Jacques Dournes (1955) au Vietnam et d’Éric de Rosny (1981) au Cameroun montrent, par ailleurs, comment le missionnaire peut être profondément transformé par l’expérience ethnographique (Burridge 1975; Laugrand et Servais 2013). Certains chercheurs ont tenté de problématiser ces contributions missionnaires en les comparant aux démarches ethnographiques et anthropologiques. Claude Blanckaert (1985: 12) a opposé « l’observation participante » des ethnographes à « la participation observante » des missionnaires, mais il faut bien admettre que les termes s’inversent à l’occasion. De nos jours, les anthropologues ne cessent de (re)découvrir toutes les ressources ethnohistoriques et ethnolinguistiques de ces journaux de bord tenus par les missionnaires européens ou indigènes, catéchistes ou évangélistes, répondant tantôt à la demande d’information de l’autorité institutionnelle de leur congrégation, tantôt à leur propre quête et curiosité. Souvent isolés, certains missionnaires ont sans doute obéi à leur passion personnelle, quitte à refouler leurs enquêtes ethnographiques comme l’illustre le cas du révérend E.J. Peck qui a préféré rester dans l’ombre mais répondre aux requêtes que lui faisait Franz Boas (Laugrand, Oosten et Trudel 2006). D’autres ont voulu suivre les incitations de leurs supérieurs et trouver des pierres d’attente ou des valeurs évangéliques dans les traditions qu’ils découvraient. Pour d’autres enfin, le décodage des cultures répondait à des stratégies de conversion et de communication interculturelle. On connait depuis longtemps la formule : « comprendre pour être compris ». De la traduction des catéchismes ou de la Bible en langue vernaculaire, à la production de traités savants sur la parenté ou la religion primitive, en passant par l’élaboration érudite de dictionnaires qui sont parfois de véritables encyclopédies, plusieurs missionnaires ethnologues ont apporté une contribution majeure à l’émergence de la discipline ethnologique. Même si la question des modes de lecture et des outils d’analyse de ces récits missionnaires fait encore débat méthodologique et épistémologique entre historiens, anthropologues et missiologues. Plusieurs missionnaires ont considérablement contribué aux débats anthropologiques : pensons à l’œuvre singulière du père Joseph-François Lafitau (1983 [1724]) sur la parenté (Duchet 1976; De Certeau 1985; Motsch 2001) ou encore aux travaux de Jacques Leenhardt (Naepels et Solomon 2007). Comme Leenhardt, d’autres figures missionnaires comme Aupiais et Leroy (Mary 2010) se sont mis à l’école des grands maitres de cette discipline savante et universitaire, et notamment de Marcel Mauss. En retour, leurs expériences du terrain et leur production écrite, en concurrence avec celles des administrateurs et d’autres observateurs, ont forgé bien des catégories de l’anthropologie religieuse et symbolique. Missionnaires et anthropologues partagent enfin une position de médiateurs, condamnés à devenir des transfuges ou à concilier les règles que leur groupe d’appartenance impose, avec les expériences et les catégories des autres souvent issus de mondes fort différents.
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Dissertations / Theses on the topic "Décolonisation – Cameroun"

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Lachenal, Guillaume. "Biomédecine et décolonisation au Cameroun, 1944-1994 : technologies, figures et institutions médicales à l'épreuve." Paris 7, 2006. http://www.theses.fr/2006PA077025.

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Abstract:
La présence massive de médecins français en Afrique jusqu'à la fin des années 1980 a été une manifestation visible du resserrement des liens entre la France et ses anciennes colonies après les indépendances. Cette thèse explore les dimensions politiques et scientifiques de ce phénomène, en mettant en rapport, dans le cas du Cameroun, l'histoire de la biomédecine et l'histoire de la décolonisation. Construite autour de plusieurs études, la démarche choisie emprunte à l'histoire sociale des sciences et à la micro-histoire. Conçue comme la biographie d'un médicament, la Lomidine, la première partie décrit la décolonisation (1944-1960) comme une période tourmentée sur le plan médical. Si les innovations technologiques de l'après guerre inspirent un regain d'ambition aux médecins coloniaux, elles produisent aussi des contradictions douloureuses. Entre optimisme modernisateur et réaction coloniale, l'action médicale incarne toute l'ambiguïté de l'époque. La deuxième partie étudie l'implication des médecins français et camerounais dans l'histoire politique de la décolonisation. Omniprésent sur la scène politique au moment de l'indépendance (1960), le corps médical franco-camerounais a joué un rôle privilégié dans l'imagination et l'organisation des relations post-coloniales entre la France et le Cameroun dans le cadre du système de la « Coopération ». La troisième partie analyse le fonctionnement de la « Coopération » après l'indépendance (1960-1994). L'ethnographie historique d'une institution de recherche biomédicale associant expatriés français et personnel camerounais met à jour le rythme et les contretemps de la décolonisation des pratiques médicales et scientifiques
The bonds between France and its former African colonies have tightened after tha independences. One of the most visible manifestation of this movement has certainly been the massive presence of French doctors in post-colonial Africa. This thesis explores the political and scientific dimensions of this phenomenon, at the intersection between the history of biomedicine and the history of decolonization. Focusing on the case of Cameroon, the thesis combines several micro-studies. Organized as the biography of a drug, the Lomidine, the first part narrates the troubled aspects of the medical history of the decolonisation (1945-1960). As post-war technological progress renewed the ambitions of colonial doctors, it also entailed a series of contradictions and accidents. Medical action oscillated between modemizing optimism and colonial reaction : it epitomized the ambiguity of the times. The second part examines the involvement of French and Cameroonian medical doctors in the politics of decolonisation. The franco-cameroonian medical corporation was placed at the forefront of the political scene at the moment of independence (1960). As such, it participated in the making of the System of "La Coopération", as a privileged site where the future of post-colonial relations between France and Cameroon was imagined and organized. The third part analyses the functioning of "La Coopération" through the historical ethnography of an institution of biomedical research involving both French expatriates and Cameroonian staff. It casts light on the decolonisation of medical and scientific practices, unveiling its mechanisms as well as its contretemps
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Mbili, Armand Alain. "Le grand séminaire d'Otélé (1949-1968) dans l'archidiocèse de Yaoundé : les phénomènes d'acculturation du clergé catholique camerounais dans le contexte de la décolonisation et du concile Vatican II." Grenoble 2, 2008. http://www.theses.fr/2008GRE29014.

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Abstract:
Le sujet choisi se situe à la croisée de l'histoire religieuse, de l'histoire culturelle et sociale, rentrant dans l'histoire des relations et échanges culturels internationaux. Dans notre recherche, nous nous proposons de faire une étude monographique afin que le grand séminaire du Cameroun, Otélé (1949-1968), distant d'une soixantaine de kilomètres de Yaoundé, soit un observatoire pour étudier à travers la formation des futurs prêtres, le passage d'une Église missionnaire à l'émergence d'une Église "africaine" nationale. Ainsi, la période retenue permet de cerner la prise de distances voire des rejets avec l'héritage missionnaire qui avait reproduit un modèle occidental pour privilégier l'enracinement africain tant dans le recrutement des formateurs que par l'invention de nouvelles pastorales. Deux interrogations principales sous-tendent notre recherche. La première concerne la formation des séminaristes camerounais par des "étrangers", d'abord les Bénédictins (1949-1963) puis les Jésuites (1963-1968) avant que la relève ne soit assurée partiellement par des "nationaux". La deuxième porte sur l'acculturation. Comment les candidats au sacerdoce appréciaient-ils l'approche pédagogique, le transfert culturel, d'abord aux méthodes monacales, puis à l'esprit plus diocésain? Cette question nous a amené à traiter des difficultés d'assimilation religieuse et du clivage entre prêtres réguliers formateurs et futurs prêtres séculiers aux objectifs divergents, les premiers obéissant à la règle d'un ordre monastique et les seconds appelés à vivre en paroisse et parmi les laïcs. Dans le même temps, l'accent a été mis sur les évolutions et les changements au cours de cette période influencée par la décolonisation et l'indépendance du Cameroun, qui concernent l'ère bénédictine, et par le concile Vatican II englobant la direction jésuite, faisant émerger l'inculturation, une manière pour les séminaristes de reconquérir et réaffirmer leur identité culturelle
The chosen subject is situated between the religious history, the cultural and social history, studying the history of the relations and the international cultural exchanges. In our research, we suggest to make a monographic study so that the high seminary of Cameroon, Otélé (1949-1968), fur away from Yaounde by about sixty kilometres, would be an observatory to study through the vocational training of the future priests, the transition from a missionary Church to the emergence of a national "African" Church. So, the chosen period allows us to understand the distances, even the denials of the missionary inheritance that had recreated a western model in order to favour the African implanting, both in the recruitment of the trainers and by the invention of new pastoral theologies. Two main questionings underlie our research. The first one concerns the training of the Cameroonian seminarists by foreigners, at first the Benedictines (1949-1963), then the Jesuits (1963-1968), before it was partially insured by natives. The second one is on acculturation. How did the candidates for the priesthood appreciate the educational approach, the cultural transfer from the monastic methods to a more diocesan spirit? This question brought us to discuss on difficulties of religious assimilation and the cleavage between formatives who were regular priests and future secular priests with divergent objectives. The first ones obey the rule of a monastic order and the second ones conscript to live in parish and among the laymen. At the same time, the emphasis was put on the evolutions and the changes during this period influenced by the decolonization and the independence of Cameroon. It concerns the Benedictine era, and by the Vatican II council including the Jesuit management, which facilitated the forming of the "inculturation", a way for the seminarists to reconquer and reaffirm their cultural identity
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Noumbissie-Tchouake, Maginot. "Mouvements d'oppositions et de répressions dans l'Ouest-Cameroun : 1922-1970." Paris 1, 2005. http://www.theses.fr/2005PA010527.

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Abstract:
Après la proclamation de l'indépendance du Cameroun le 1er janvier 1960, comment expliquer l'instabilité qui persiste dans le pays bamiléké. Depuis la mort de Ruben Um Nyobé (1958), de nombreux militant de l'UPC n'ont pas accepté de se rallier au pouvoir d'Ahmadou Ahidjo. Organisés au sein de l'Armée de Libération Nationale du Kamerun (ALNK), ils profitent des conditions géographiques, sociales et politiques de l'Ouest-Cameroun pour s'opposer au régime qu'ils considèrent comme fantoche.
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Nken, Simon. "La gestion de l'UPC : de la solidarité idéologique à la division stratégique des cadres du mouvement nationaliste camerounais 1948-1962 : essai d'analyse historique." Paris 1, 2006. http://www.theses.fr/2006PA010625.

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Abstract:
Créée en 1948 par l'élite camerounaise comme réponse à de multiples frustrations du régime colonial, l'Union des Populations du Cameroun (UPC) se dota d'une équipe dirigeante au cours de ses deux congrès fondateurs. Les cadres dirigeants du parti nationaliste camerounais aux sensibilités différentes, se soudèrent autour de l'idéologie du parti, à savoir l'anticolonialisme, tout en revendiquant la réunification et l'indépendance du Cameroun. C'est dans une démarche méthodique et une solidarité particulières que l'équipe dirigeante exerça la gestion des mécanismes de fonctionnement du parti dans la phase légale. Avec cohésion et dynamisme, elle essaima ses structures dans la majeure partie du territoire camerounais. Reclus dans la clandestinité à la suite des émeutes de mai 1955 par les autorités coloniale française, les divergences apparaissaient aussitôt dans les rangs de l'équipe dirigeante. La gestion du parti connaissait ainsi des dysfonctionnements: une absence de cohésion dans la prise des décisions, des divergences stratégiques et tactiques dans la coordination des actions, mais aussi l'émergence sporadique des pseudo leaders plus ou moins indisciplinés, faisant fi des statuts en vigueur. La disparition tragique de l'emblématique secrétaire général du parti Ruben Um Nyobé en 1958, dans son maquis de Boumnyebel, en dépit de la vigilance du CNO, plongea davantage le mouvement dans le désarroi - avec l'apparition des luttes fratricides, génératrices de la déliquescence du mouvement nationaliste camerounais, à l'aube de l'indépendance du jeune Etat le 1er janvier 1960.
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Dia, André. "Information-pouvoir et politique au Cameroun : de la période précoloniale à la deuxième décennie post indépendance." Thesis, Montpellier 3, 2010. http://www.theses.fr/2010MON30058.

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Abstract:
Cette thèse traite de l’aide qu’apporte le renseignement à la prise de décision pour les pouvoirs politiques en place, de la période précoloniale à la période postcoloniale. La chronologie nous a conduit à étudier le renseignement, son infrastructure et son personnel pendant la période précoloniale, puis le renseignement pendant la période coloniale, que ce soit de la conquête à l’installation administrative française. Après l’indépendance, le service de renseignement a perduré en se restructurant, mais en conservant des liens avec l’ancienne puissance coloniale. Ce travail sur le long terme a fait apparaitre une large continuité dans le temps et des dynamiques d’adaptation entre les différentes périodes. Les informateurs traditionnels ont continué d’alimenter aussi bien les pouvoirs locaux, les pouvoirs coloniaux que postcoloniaux. (Ils constituent en quelque sorte les « soutiers » du renseignement). Plus que de ruptures, cette étude met en évidence de très larges continuités entre le passé et le présent
The subject deals with the contribution that intelligence made to decision making by the political powers from the precolonial period to the postcolonial period. The chronology has lead us to examine the intelligence service, its infrastucture and its staff during the precolonial period, followed by intelligence during the colonial period, from conquest to the setting up of the French administration. Following independence, intelligence services continued to exist by restructuring themselves, while at the same time maintaining links with the old colonial powers. This long term study has revealed a broad continuity in time and the dynamics of adaptation between the different periods. The traditional informants continued to supply local and colonial powers as well as postcolonial powers. (In a way they constituted the firemen of the “furnace of information”). More than a departure, this study brings to light the very broad continuity between the past and the present
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Olinga, Michel. "Aspects de la construction nationale après les indépendances camerounaises : le désir de sécession (1960 – 2009)." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040084.

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Abstract:
Après un peu plus de deux décennies d’un système de parti unique, le Cameroun a connu le retour aupluralisme politique au début des années 1990. Ce retour au multipartisme a conduit à une certaine libération de la parole, à une libéralisation politique et des revendications d’appartenances. Le nouvel espace de liberté a contribué à soulever, dans la sphère sociopolitique nationale, la problématique relative à la construction nationale postcoloniale dans un pays où cohabitent un double héritage colonial (franco-britannique) localement domestiqué et des centaines d’appartenances locales d’ordreethno régional, linguistique et religieux. La problématique de la construction nationale, dans un tel contexte de multi appartenance, constitue le propos central de cette étude et porte plus précisément sur la libération manifeste de l’expression des frustrations de la minorité anglophone du Cameroun. Il yest notamment démontré comment le Cameroun moderne, issu de la réunification entre l’ancien territoire du Cameroun sous tutelle française et la partie méridionale de l’ancien Cameroun britannique, gère son double héritage colonial dans un espace d’une diversité labyrinthique. Une gestion parfois concurrentielle, hégémonique et népotique des appartenances ou des identités, identités relatives au double héritage colonial franco-britannique, mais également identités tribales ou ethno régionales, enfin un processus de démocratisation plutôt frivole, illusoire et languissant, semblent entretenir ce qu’on nomme désormais au Cameroun : « la question anglophone » ou encore « le problème anglophone »
In the early 1990s, just over two decades of a single-party system, Cameroon experienced a return to political pluralism. The multiparty system then led to some free speech, to some political relaxation and claims of belonging as well. The then new area of freedom conduced to the raising, at the sociopolitical level, of the issue of postcolonial nation-building in a country where a double colonial legacy (Anglo-French), locally re-appropriated, has coexisted with hundreds of local particularities of ethno-regional, linguistic and religious nature. The issue of nation-building in such a multiple belonging context is actually the very objective of this study, which focuses on the evident liberation in the manifestation of the English-speaking minority’s frustrations in Cameroon after the political relaxation in the early 1990s. The study shows how the modern State of Cameroon, resulting from the reunification of the former French Cameroon and the former British Southern Cameroons, manages its double colonial legacy in an area of a labyrinthine diversity. What has now been termed in Cameroon as: “the Anglophone Problem” seems to have been nurtured by a competitive, hegemonic and nepotistic management, at times, of heritage or identities – identities regarding the Anglo-French colonial heritage. It has also been revealed by tribal or ethno regional identities and by a democratisation process, which can be seen as rather trivial, illusive and lackadaisical
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Sami, Amos Cyronet. "L'influence de la France et de la C. E. E. Face à la politique socio-économique et culturelle de développement et de croissance en Afrique centrale sub-saharienne : le cas camerounais." Paris 8, 1995. http://www.theses.fr/1995PA081011.

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Abstract:
L'histoire de l'influence de la france et de la c. E. E. , face a la politique de developpement et de croissance politico-economique, sociale et culturelle de l'afrique centrale sub-saharienne, aux moments des grandes mutations politico-economiques, monetaires tant des pays industrialises que ceux des etats d'afrique centrale sub-saharienne, ne peut que susciter l'objet de nos investigations, de notre enquete, d'analyses theorique et pratique qui nous conduisent au cameroun, pour essayer de depister dans le contexte sub-saharien, et dans le cadre de la crise mondiale, d'une trentaine d'annees apres l'independance de l'etat camerounais, les realites effectives d'un developpement, voire meme des donnees falacieuses d'une simple croissance politico-economique, qui s'appuient essentiellement sur une recherche et analyses tant theorique que pratique pluridisciplinaires de cet etat de l'afrique centrale sub-saharienne. En effet, a l'instar de la demarche de marx dans le capital, eu egard au souci de rigueur afin d'operer une lecture que les "althusseriens" qualifieraient de symtomale, mais dont l'oeuvre de gramsci a montre la pertinence et la force dans la politique economique de developpement, d'une mobilisation de tous les efforts populaires (le developpement en soi en peut se faire que par soi et pour soi d'abord. . . ), pour un reel developpement a l'exclusion de tout "knout" comme auteur "staline"
The history of influential french and c. E. E. Facing social political economic and cultural policy, for the development and growth in sub-saharian central africa, of the great changes moment political economic, monetary, as well in industrialized countries as is the states of central and sub-saharian africa ; induces us to start on an theorycal and pratical analysis investigation wich leads us towards cameroons this research will try and uncover the actual development among the fallacious informations of a simple political economic growth in the sub-saharian context, considering the world wide crisis, and the fact that the state of cameroons has only bean independent for about thirty years. The investigation is essentially based upon a pluridisciplinary study of that central and sub-saharian africa state. A scientific study does effectively imply a concrete social and historical reality, as is shown in marx's capital, in respect of keeping a rigor in our lecture, that the "althusserians" would qualify as "symtomal", yet, gramsci's works show its consistence as well as its strougth in a policy of mobilization of all popular efforts, for an actual development, excluding any "knout" as auther (staline)
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Books on the topic "Décolonisation – Cameroun"

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Martial, Djoumessi Gaëtan, ed. Djoumessi Mathias: Un chef traditionnel nationaliste, acteur de la décolonisation et de l'indépendance du Cameroun. Harmattan, 2009.

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