To see the other types of publications on this topic, follow the link: Déficit budgétaire.

Journal articles on the topic 'Déficit budgétaire'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 journal articles for your research on the topic 'Déficit budgétaire.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Ould Hennia, Hadjer. "Deficit Budgetaire Et Financement Non Conventionnel En Algerie." Management & Economics Research Journal 1, no. 2 (June 30, 2019): 11–19. http://dx.doi.org/10.48100/merj.v1i2.35.

Full text
Abstract:
L’objet de cette étude est d’analyser la relation entre le déficit budgétaire et le financement non conventionnel en Algérie. Les résultats de notre analyse indiquent que la chute des prix du pétrole à la mi-2014, entraînant une baisse des recettes pétrolières et gazières, qui est la principale source de financement de l'économie, a provoqué des déficits budgétaires, suite à cela les responsables ont essayé de trouver de nouvel instrument de financement alternatif. Donc face à cette crise financière, le gouvernement a décidé de recourir au financement non conventionnel interne. Classification Jel: H61,H62, H72.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Artu, Patrick. "Vieillissement et déficit budgétaire de l'État." Retraite et société 47, no. 1 (March 1, 2006): 35–63. http://dx.doi.org/10.3917/rs.047.0035.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Stringer, Yvan. "Le déficit budgétaire fédéral : une appréciation." L'Actualité économique 61, no. 4 (1985): 531. http://dx.doi.org/10.7202/601352ar.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Capoen, Fabrice, Henri Sterdyniak, and Pierre Villa. "Indépendance des banques centrales, politiques monétaire et budgétaire : une approche stratégique." Revue de l'OFCE 50, no. 3 (September 1, 1994): 65–102. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.50n1.0065.

Full text
Abstract:
Résumé Le thème de l'indépendance de la Banque centrale a reçu récemment une attention importante, tant dans la littérature théorique que dans le débat public. Celle-ci empêcherait les gouvernements de pratiquer des politiques économiques trop expansionnistes, qui, intégrées dans les anticipations des agents, sont impuissantes à soutenir l'activité et ne font qu'engendrer de l'inflation. Elle crédibiliserait la volonté de l'Etat de maintenir un bas taux d'inflation. Toutefois, les risques de cette indépendance ne semblent pas avoir été convenablement réfléchis. En cas d'indépendance de la Banque centrale, se pose un problème d'affectation et de coordination des instruments de la politique économique. Si des considérations institutionnelles amènent à consacrer la politique monétaire à la lutte contre l'inflation et la politique budgétaire au soutien de l'activité, cette affectation forcée a-t-elle un sens au niveau économique ? Des orientations différentes des politiques monétaire et budgétaire peuvent entraîner des situations de taux d'intérêt élevés, de surévaluation du taux de change, de déficit public dont le coût, tant pour le pays concerné que pour ses partenaires, doit être pris en compte. La première partie de l'article se situe en économie fermée. Dans un modèle keynésien où les politiques budgétaire et monétaire sont utilisées de façon indépendante pour gérer l'arbitrage inflation/production, le conflit entre elles se traduit par un équilibre non-optimal caractérisé par un taux d'intérêt trop élevé et un déficit public trop important. De même, dans un modèle à la Barro-Gordon (1983), une Banque centrale indépendante ne garantit pas les agents contre les surprises inflationnistes si la politique budgétaire est expansionniste. Enfin, une maquette dynamique montre que l'affectation de la politique monétaire à la lutte contre l'inflation ne va pas de soi : la hausse des taux d'intérêt augmente les charges financières pesant sur les entreprises et réduit leur profitabilité, ce qui nuit à leur investissement, donc au développement des capacités de production. Une configuration où la politique budgétaire régule la demande et la politique monétaire régule la profitabilité des entreprises serait préférable. La deuxième partie présente une maquette à deux pays, dans laquelle la problématique de la coordination des politiques économiques est réinterprétée dans une situation d'indépendance des politiques monétaire et budgétaire. L'indépendance des Banques centrales rend encore plus difficile la coordination des politiques économiques puisque chaque pays parle par deux voix discordantes. Le problème de la coordination interne s'ajoute à celui de la coordination internationale pour aboutir, en cas de choc inflationnisme, à un équilibre à forts taux d'intérêt et forts niveaux des déficits publics alors que la constellation inverse (bas taux d'intérêt, politiques budgétaires restrictives) serait préférable. Cet inefficacité provient du fait que l'instrument monétaire est relativement moins efficace en cas de choc inflationniste mondial. Seule, la négociation entre autorités monétaire et budgétaire permettrait d'y échapper. Mais, est-elle compatible avec l'indépendance de la Banque centrale ?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Sterdyniak, Henri. "Les dettes publiques nécessaires, un point de vue keynésien." Revue française d'économie Vol. XXXVIII, no. 2 (October 31, 2023): 83–113. http://dx.doi.org/10.3917/rfe.232.0083.

Full text
Abstract:
Dans les pays avancés, des dettes publiques élevées sont nécessaires car le capitalisme financier induit un déficit structurel de demande ; elles ne coûtent rien tant que les taux d’intérêt sont inférieurs au taux de croissance. Elles satisfont le besoin des ménages et des institutions financières d’un actif sans risque. Leur financement doit toujours être garanti par la banque centrale. Leur soutenabilité n’est pas problématique tant que la politique budgétaire reste flexible. Les traités européens encadrant les politiques budgétaires devraient être remis en cause. Réduire les dettes publiques nécessiterait de repenser la distribution des revenus et d’impulser l’investissement.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

BAKOUR, Chafik, and Wafaa Chagraoui. "Evaluation du déficit du compte courant marocain par l’approche External Balance Assessment." International Journal of Economic Studies and Management (IJESM) 1, no. 2 (November 25, 2021): 197–211. http://dx.doi.org/10.52502/ijesm.v1i2.189.

Full text
Abstract:
Cet article vise à analyser empiriquement les causes du déséquilibre du compte courant marocain pour en présenter des éléments de réflexions qui devraient nous permettre de proposer des pistes de recherche pour résoudre la problématique du déficit du compte courant. A cet effet et en choisissant de baser notre étude empirique sur l’approche théorique inter temporelle du compte courant, cet article examine économétriquement les effets des variables du stock initial des avoirs extérieurs nets, des crédits privés, des importations énergétiques, du taux d’épargne, du taux d’investissement, du PIB, des dépenses de santé, de l’Output gap, du degré d’ouverture commerce international et du déficit budgétaire sur le solde du compte courant en utilisant la méthodologie VAR. Les résultats montrent que le degré d’ouverture au commerce international, le taux d’investissement élevé, le déficit budgétaire, les crédits privés, les importations énergétiques sont des facteurs importants qui expliquent le comportement à long terme du déficit du compte courant marocain.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Daniel, Jean-Marc, Alain Gubian, and Hélène Harasty. "Finances publiques en Europe : un blocage généralisé ?" Revue de l'OFCE 46, no. 4 (September 1, 1993): 175–209. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.46n1.0175.

Full text
Abstract:
Résumé Les finances publiques font partie des critères retenus par les signataires du Traité de Maastricht pour apprécier l'état de convergence des économies et leur capacité à adopter la monnaie commune européenne dont l'entrée en vigueur est prévue pour 1999. Pour les membres de la CE, cela crée une norme supplémentaire d'évolution des dépenses publiques qui devrait les pousser à mieux coordonner leur politique budgétaire. L'expérience passée pourtant montre de leur part certaines difficultés à accepter cette coordination qui ne se fait en réalité que sous la contrainte. Le but du présent article est de montrer les difficultés des gestionnaires dans leur construction d'une politique budgétaire favorable à la croissance. Il cherche à expliquer, au travers de l'historique des finances publiques en Europe depuis trente ans, comment les relances qui ont suivi le premier choc pétrolier ont amené progressivement, du fait de l'alourdissement des dettes publiques, tous les Etats européens à conduire dans les années quatre-vingt des politiques restrictives, légitimées par le retour en vogue des idées libérales. Ces politiques ont permis à la plupart des Etats de réduire fortement leur déficit et donné l'illusion d'une convergence voulue ou spontanée dans leur démarche budgétaire. La récession du début des années quatre-vingt dix a révélé le caractère artificiel et très fragile de cette convergence : les Etats, malgré un attache- ment formel affiché au Traité de Maastricht, ont de nouveau laissé filer les déficits budgétaires de façon indépendante les uns des autres et à des niveaux tels qu'il est probable qu'en 1999 personne à part le Luxembourg ne respectera les critères retenus dans le traité ; elle a renforcé les tendances au repli national qui se sont concrétisées dans le destin du budget de la Communauté européenne qui reste d'un faible montant (1,2 % du Pib communautaire) et qui ne devrait vraisemblablement pas s'accroître.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Sousa Andrade, João. "The Portuguese Public Fiances and the Spanish Horse." Économie appliquée 66, no. 4 (2013): 5–26. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2013.3649.

Full text
Abstract:
Cette étude est basée sur l’idée que les politiques budgétaires restrictives, selon les exigences du Pacte de stabilité et de croissance (SGP), peuvent déplacer non seulement la courbe de la demande à court terme, mais induisent aussi des déplacements de la courbe d’offre de long terme, conduisant à une croissance plus faible de l’économie. Une analogie peut être faite avec la vieille métaphore portugaise du cheval espagnol : si l’on réduit l’approvisionnement en nourriture du cheval, le cheval s’adapte à elle, mais l’animal mourra par la suite de la malnutrition. Dans le cadre du SGP, nous prouvons que l’utilisation d’un indicateur de tendance dans l’évaluation du solde budgétaire structurel peut conduire à une réduction durable de la «nourriture » et par conséquent à la catastrophe. Nous présentons et discutons une solution à ce problème. La solution proposée réconcilie, dans un certain sens, le concept de produit tendanciel avec le « vieux concept » de production potentielle. Nous appliquons cette solution à l’analyse de l’économie portugaise dans la période 2002-2009. Basé sur notre approche, nous calculons les valeurs du déficit budgétaire portugais ajusté aux valeurs cycliques. Nos preuves suggèrent que la politique budgétaire poursuivie au Portugal pendant les années récentes a été loin d’être expansionniste. Au contraire, elle a été très restrictive et a contribuée à ce que la production réelle s’éloigne de sa valeur de plein emploi. Notre conclusion est que les critères et les méthodes qui sont employés par le SGP dans la définition de la politique budgétaire sont incorrects.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Breuillé, Marie-Laure. "Marché de droits au déficit et contrainte budgétaire molle." Revue économique 59, no. 3 (2008): 571. http://dx.doi.org/10.3917/reco.593.0571.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Martinache, Igor. "Faut-il toujours chercher à réduire le déficit budgétaire ?" Alternatives Économiques N° 379, no. 5 (May 1, 2018): 78. http://dx.doi.org/10.3917/ae.379.0078.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Pardee, Scott E. "À New-York : reprise de l'économie et déficit budgétaire." Revue d'économie financière 24, no. 1 (1993): 283–86. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.1993.1979.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Théoret, Raymond. "La politique macroéconomique canadienne au début de la décennie 1990." Actualité, institutions et politiques économiques 66, no. 2 (January 28, 2009): 231–41. http://dx.doi.org/10.7202/601530ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ La lutte contre l’inflation apparaît comme un impératif et dans le Rapport annuel de la Banque du Canada pour l’année 1989, et dans le Discours sur le budget présenté par le ministre canadien des Finances en février 1990. Selon la Banque du Canada, les taux d’intérêt ne sauraient diminuer au pays tant que l’inflation donne des signes d’accélération. Du fait de l’ampleur du service de la dette fédérale, une baisse des taux d’intérêt s’impose si l’on veut voir se résorber le déficit budgétaire. Le gouvernement canadien peut contribuer à la lutte contre l’inflation en diminuant son déficit, c’est-à-dire en réduisant les pressions qu’il exerce sur la demande intérieure. Il semble toutefois que la solution aux problèmes économiques canadiens soit plus complexe que ne l’avancent les autorités publiques. Il faut effectuer un arbitrage entre les différents problèmes économiques au lieu de se concentrer sur un problème économique particulier. Il apparaît que la résorption du déficit budgétaire dans un contexte de ralentissement économique est malvenue. Une baisse du taux de change du dollar canadien s’impose pour élargir la marge de manoeuvre très étroite des preneurs de décisions.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Minea, Alexandria, and Patrick Villieu. "Investissement public et effets non linéaires des déficits budgétaires." Recherches économiques de Louvain 75, no. 3 (September 2009): 281–311. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800003468.

Full text
Abstract:
RésuméDans cet article, nous proposons un modèle théorique simple dans lequel l'impact du déficit budgétaire sur les dépenses publiques d'investissement dépend du niveau de dette publique (en pourcentage du PIB). Lorsque la dette publique est faible, l'impact du déficit est positif, car la charge de la dette peut être absorbée par une diminution des dépenses de consommation. Lorsque la dette est très élevée, en revanche, il n'est plus possible de réduire les dépenses de consommation, et l'ajustement s'opère par les dépenses d'investissement, de sorte que la relation entre déficit et dépenses publiques d'investissement devient négative. Une analyse empirique menée dans un modèle économétrique avec effets de seuil en panel sur 22 pays de l'OCDE vient confirmer cette non linéarité.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Nicoletti, Giuseppe. "Consommation privée et endettement public en Italie et en Belgique : existe-t-il une relation stable ?" Revue de l'OFCE 37, no. 3 (September 1, 1991): 79–121. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1991.37n1.0079.

Full text
Abstract:
Résumé Selon l'hypothèse dite de l'« équivalence ricardienne », les consommateurs tiennent compte, dans leurs décisions présentes de consommation et d'épargne, des impôts qu'ils devront acquitter dans le futur, notamment pour assurer le service de la dette publique actuelle — on parle alors d'« actualisation de l'impôt » ; dès lors, le mode de financement des dépenses publiques est sans conséquences quant à l'activité économique : l'épargne nationale, somme de l'épargne privée et de l'épargne publique — qui n'est autre que le surplus budgétaire — est alors insensible au déficit public. Le présent article cherche à évaluer la pertinence empirique de cette hypothèse à partir des données de deux pays — l'Italie et la Belgique — qui ont connu des évolutions très marquantes du déficit public et dans lesquels on observait, à la fin des années quatre-vingt, des niveaux élevés d'endettement public. Les résultats suggèrent que, lorsque la corrélation positive entre déficit budgétaire et épargne privée est présente, elle est liée à l'ajustement de court terme de la consommation à son niveau d'équilibre. En outre, il semble que la relation entre dette et déficit publics d'une part, et consommation privée de l'autre, ne soit pas nécessairement stable dans le temps : les résultats obtenus pour la Belgique indiquent que les ruptures de tendance dans les politiques de financement induisent des variations de l'effet d'actualisation de l'impôt, un effet ricardien important n'est décelable que lorsque les politiques engendrent une dynamique instable de la dette publique, autrement dit lorsqu'elles deviennent clairement insoutenables.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Creel, Jérôme, and Henri Sterdyniak. "Les déficits publics en Europe : causes, conséquences ou remèdes à la crise ?" Revue de l'OFCE 54, no. 3 (September 1, 1995): 57–100. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.54n1.0057.

Full text
Abstract:
Résumé Les pays européens ont connu ces dernières années la conjonction de taux d'intérêt élevés relativement au taux de croissance et de déficits publics importants, ce qui a entraîné une dérive du poids de la dette publique. Le présent document vise à décrire et à expliquer cette évolution. La première partie construit et discute plusieurs indicateurs de l'orientation de la politique budgétaire ; elle montre que, durant la période récente, la politique budgétaire n'a guère été expansionniste ; la croissance de la dette s'explique par le fort niveau des taux d'intérêt réels et les besoins de stabilisation de l'économie. La discussion de la notion de soutenabilité de la politique budgétaire met en lumière les ambiguïtés de cette notion et les risques de son utilisation. La distinction pertinente est celle entre les déficits de régulation, nécessaires à des fins de régulation, et les déficits autonomes, nuisibles à l'accumulation du capital. L 'article présente ensuite les deux thèses opposées : selon la vision néo-classique, ce sont les déficits publics eux-mêmes qui sont responsables du niveau des taux d'intérêt, de sorte que leur réduction devrait faire baisser les taux d'intérêt, sans coût pour le niveau d'activité, et devrait permettre à moyen terme d'impulser l'accumulation du capital, donc la croissance ; selon la vision key- nésienne, les déficits publics sont nécessaires pour soutenir l'activité, en situation de taux d'intérêt réels élevés imposés par la désinflation et la dérégulation financière. Dans cette optique, plusieurs modèles peuvent expliquer la coexistence d'un fort déficit public et d'un taux d'intérêt réel élevé : l'indépendance de la Banque centrale, la non-coordination des politiques économiques en change flexible, les contraintes qui pèsent sur les pays dominés en change fixe, les modifications du fonctionnement de la sphère financière. Enfin, un modèle à comportements patrimoniaux discute des conséquences sur les ménages et les entreprises de la hausse des taux d'intérêt et analyse la politique économique nécessaire : la hausse de la dette publique apparaît nécessaire pour soutenir à la fois la demande et l'accumulation du capital. La thèse selon laquelle la hausse des déficits et des dettes publics serait la cause essentielle du niveau élevé des taux d'intérêt réels n'a pas de sens dans la situation de demande insuffisante qu'a connue l'Europe depuis 1981. Cette hausse est apparue nécessaire pour soutenir l'activité et l'accumulation du capital, dans une situation où les Etats avaient perdu la maîtrise des taux d'intérêt. Retrouver cette maîtrise est l'enjeu crucial pour diminuer les taux d'intérêt réels, relancer la croissance, et donc réduire les dettes publiques. Les critères de finances publiques figurant dans le Traité de Maastricht ne sont pas à la hauteur du problème.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Popescu, Alexandra, and Patrick Villieu. "Déficit budgétaire, dette publique et croissance dans les pays d'Europe centrale et orientale." Mondes en développement 167, no. 3 (2014): 53. http://dx.doi.org/10.3917/med.167.0053.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Anyadike-Danes, Michael Keith. "Déficit budgétaire, solde extérieur et politique macroéconomique : un modèle simple appliqué à la France." Revue de l'OFCE 11, no. 1 (1985): 153–75. http://dx.doi.org/10.3406/ofce.1985.1022.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Laroque, Guy. "Investissement et politique monétaire dans le court terme : une présentation du modèle IS-LM." L'Actualité économique 68, no. 1-2 (March 10, 2009): 69–98. http://dx.doi.org/10.7202/602060ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Ce texte présente le modèle IS-LM en tirant partie des développements de la théorie macroéconomique des vingt dernières années. La demande de monnaie de transaction est modélisée à la Clower, et la demande d’investissement physique est dérivée d’un comportement de maximisation de profit actualisé. On discute la validité des conclusions de l’analyse traditionnelle en regard des hypothèses sur les anticipations. On retrouve entre autres la situation, mise en avant par Barro (1974), où financements du déficit budgétaire par emprunt ou par impôt sont équivalents. On montre que la liaison entre politique monétaire et investissement dépend étroitement de la forme des anticipations de salaires et de prix des investisseurs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Godbout, Luc, Pierre Fortin, Matthieu Arsenau, and Suzie St-Cerny. "Choc démographique et finances publiques : comment relever le défi de l’équité intergénérationnelle." Articles 36, no. 2 (April 3, 2009): 159–82. http://dx.doi.org/10.7202/029622ar.

Full text
Abstract:
Résumé Les auteurs commencent par décrire le vieillissement démographique qui va frapper le Québec d’ici 2051 et envisagent ses conséquences sur l’économie et les finances de l’État. Ils construisent ensuite une projection « raisonnable » des finances publiques provinciales sur cet horizon. Deux résultats principaux en découlent : d’une part, la santé accapare une fraction toujours croissante des dépenses de l’État; d’autre part, un déficit budgétaire annuel apparaît à partir de 2013 et s’accroît continuellement jusqu’en 2051. Ainsi, selon les auteurs, le gouvernement du Québec n’est pas en mesure de garantir la pérennité des services publics et l’application du principe d’équité entre les générations. Pour réaliser cette double garantie, ils suggèrent de créer une caisse démographique réversible. Enfin, ils proposent des mesures pour diminuer la facture démographique et partager équitablement ce qui en restera entre les générations.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Baudchon, Hélène, Jérôme Creel, Vincent Touzé, and Bruno Ventelou. "La politique budgétaire américaine sous la présidence Clinton : un rêve de cigale." Revue de l'OFCE 75, no. 4 (December 1, 2000): 243–90. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p2000.75n1.0243.

Full text
Abstract:
Résumé Au cours de la décennie qui vient de s'écouler, le paysage budgétaire américain a radicalement changé. Le solde public fédéral est ainsi passé d'un déficit historique de 290 milliards de dollars en 1992 à un excédent de 124 milliards en 1999 (soit 1,4 % du PIB). De tels chiffres, inhabituels pour les États-Unis, s'appuient sur la combinaison d'une croissance très rapide des recettes fiscales et d'un infléchissement dans l'évolution des dépenses. D'une part, une conjoncture particulièrement dynamique s'est trouvée associée à une politique monétaire plutôt accommodante. D'autre part, structurellement, un ajustement vers un solde équilibré a été engagé dès le début des années 1990. En comparaison avec les efforts d'assainissement un peu plus tardifs des pays européens, l'ajustement américain apparaît plus progressif, quoique d'un niveau extrêmement important : entre 1992 et 1999, un peu plus de la moitié de l'amélioration du solde effectif est due à l'effort structurel. C'est en réaction aux déficits des années 1980 et du début des années 1990 que la discipline budgétaire a été renforcée. Les lois budgétaires se sont succédées, introduisant des plafonds sur les dépenses et augmentant la pression fiscale. C'est cependant au plan institutionnel que les mutations ont été les plus importantes : les États-Unis sont passés à la « programmation pluriannuelle » des finances publiques, et ont substitué, à l'objectif de budget unifié équilibré, un objectif de solde « on-budget » équilibré, i.e. hors excédents de la « Social Security ». Ainsi, ces derniers ne peuvent-ils plus être utilisés pour renflouer le solde total, et ceci afin d'assurer la sauvegarde du système de retraite. Les deux candidats aux élections présidentielles de novembre 2000 ne remettent pas en cause ces évolutions, mais — malgré les effets d'annonce de remboursement de la dette — les propositions d'augmentation des dépenses sociales d'Al Gore et de réductions d'impôts massives de George W. Bush laissent augurer un relâchement de la discipline. Cette dernière pourrait cependant être maintenue si le Congrès et l'administration restent de bords opposés. L'amélioration du solde public, entre 1992 et 1999, s'appuie à hauteur de 60% sur la vigueur des recettes fiscales et à hauteur de 40% sur l'infléchissement des dépenses. La forte contribution des recettes apparaît néanmoins de nature très conjoncturelle. En effet, le dynamisme de l'activité et la forte valorisation boursière, en augmentant le taux d'imposition apparent, ont dopé la croissance des recettes. La modération des dépenses ressort plus structurelle, même si elle s'appuie à hauteur de 80% sur la seule baisse des dépenses militaires. La fin de la guerre froide a largement justifié cette dernière évolution, mais la contrainte du plafonnement imposé aux dépenses discrétionnaires a également joué. La baisse des charges nettes d'intérêt a résulté de la baisse des taux d'intérêt et de la diminution de la dette publique consécutive à l'assainissement primaire. La faible progression des dépenses obligatoires s'explique en partie par le dynamisme de l'activité qui a limité le nombre des bénéficiaires des programmes sociaux, mais également par un ensemble de réformes structurelles. Parmi celles-ci, on peut noter la réforme du Welfare de 1996, qui prévoit des incitations plus fortes au retour au travail; le développement des organismes de soins intégrés qui contribue au ralentissement des affiliations à Medicare; et la diminution du taux de remboursement des actes décidée en 1997. De nombreuses contraintes politico-économiques pèsent aujourd'hui sur les choix d'affectation des excédents budgétaires cumulés anticipés. Les réductions d'impôts, les augmentations de dépenses, le remboursement de la dette et/ou le provisionnement des dépenses futures n'ont pas le même impact politique. Il faut, par ailleurs, tenir compte de la déformation active du budget en faveur des dépenses sociales du fait de l'arrivée à la retraite d'une classe d'âge nombreuse (choc du baby-boom), de l'allongement de la durée de vie des retraités, de l'intensification de la consommation de soins médicaux. Une solution généralement avancée aux Etats-Unis, pour lisser la hausse de la pression fiscale, ou de l'endettement, liée au choc du baby boom, est de s'engager dans une stratégie de provisionnement, ou au minimum de préservation des marges de manoeuvre en réduisant la dette nette. La stratégie de création d'un fonds de réserve peut être mieux comprise par l'électorat que la stratégie de remboursement de la dette, parce qu'il perçoit mieux le pro fit direct qu il peut en tirer (de meilleures retraites). Trois simulations d'évolution des finances publiques américaines montrent néanmoins que la stratégie de provisionnement n'est pas indispensable : même dans le cas assez improbable d'une chute brutale et permanente de l'activité aux Etats-Unis, une augmentation d'un point et demi du taux de pression fiscale suffirait pour restaurer l'équilibre budgétaire. Si le provisionnement peut s'avérer utile, c'est sans doute plus en raison du bas niveau inquiétant du taux d'épargne privé.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Arndt, Erika M., and Kay F. Duchemin. "Soutien émotionnel et formation lors d'une restructuration: Plus qu'un palliatif." Healthcare Management Forum 6, no. 3 (October 1993): 11–17. http://dx.doi.org/10.1016/s0840-4704(10)61101-5.

Full text
Abstract:
Cet article illustre l'importance du soutien émotionnel et de la formation offerts aux patients, aux familles, au personnel et aux gestionnaires durant la restructuration entreprise au printemps de 1992 au Queen Elizabeth Hospital de Toronto. Le Queen Elizabeth Hospital est un établissement de 601 lits, réparti sur deux emplacements qui, tout en ayant vocation d'enseignement et de recherche, dispense des soins de réadaptation et d'entretien de pointe et met en oeuvre des programmes spécialisés de réadaptation médicale ainsi que des services gériatriques, de psychiatrie gériatrique et de soins prolongés. La restructuration s'est traduite par une réorganisation des services et la fermeture de 82 lits de long séjour, soit une unité de soins dans chacun des deux emplacements, pour compenser un déficit budgétaire escompté de 5,4 millions de dollars. Des restrictions internes n'ont pu ramener ce déficit qu'à 2,8 millions de dollars, rendant ainsi nécessaires des coupures additionnelles. L'article décrit les activités de soutien informelles et structurées qui ont eu lieu tout au long de cette transition qui a duré deux mois et évoque les sessions de formation dispensées sur une base régulière. Il accorde une attention particulière à la méthodologie et aux raison dictant cette action. Les auteures indiquent également des voies pour que le processus de rationalisation se déroule sans traumatisme.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Baudchon, Hélène. "Le modèle américain : « une reconversion réussie mais inachevée»." Revue de l'OFCE 63, no. 4 (November 1, 1997): 93–142. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1997.63n1.0093.

Full text
Abstract:
Résumé Alors que l'année 1997 est déjà bien engagée, la vigueur de la croissance américaine ne cesse de se confirmer. Après un démarrage un peu lent, le cycle actuel semble vouloir s'éterniser, profitant du dynamisme soutenu de la demande interne, entretenu par les fortes créations d'emplois et la faiblesse de l'inflation. Si ces performances sont paradoxales eu égard à la logique cyclique, elles ont néanmoins une explication. Elles résultent de la reconversion réussie de l'économie américaine, engagée depuis maintenant dix ans, qui l'a fait passée d'une situation sclérosée par l'appréciation du dollar à une situation où le jeu du marché n'est contraint par rien. Cette reconversion n'est pas le fruit d'une révolution structurelle de la société américaine. Certes, la redéfinition de l'insertion économique internationale des Etats-Unis ne s'est pas faite sans une nouvelle conception de la politique commerciale ; et la maîtrise du déficit public sans une nouvelle conception de la politique budgétaire ; mais, fondamentalement, les comportements n'ont pas changé. Le modèle américain reste libéral et le citoyen américain optimiste. L'économie américaine est dans une situation transitoire : la reconversion n'est pas encore achevée, mais elle est déjà bien avancée. Ceci explique la difficulté à en capter tous les signes dans les statistiques de la Comptabilité nationale. La politique monétaire est à la fois acteur et spectateur de cette évolution, ayant contribué à créer un environnement nominal stable dont elle profite aujourd'hui. La capacité de l'économie américaine à créer toutes sortes d'emplois, qui génèrent des revenus et soutiennent l'endettement, est la clé de voûte du dynamisme actuel. Bien sûr des interrogations subsistent quant à la qualité de ces emplois et la solvabilité des ménages. Mais elles sont compensées par le haut niveau de confiance des ménages. La persistance du déficit extérieur est le seul échec au tableau des performances. Bien que la structure géographique du commerce soit plus équilibrée et que les Etats-Unis bénéficient d'une zone d'échange de prédilection, VALENA, la spécialisation sectorielle, qui est conforme aux dotations factorielles des Etats-Unis, se traduit par une forte pénétration des importations que la vigueur des exportations ne parvient pas à compenser. L'accord conclu entre l'Administration Clinton et le Congrès sur la manière d'atteindre l'équilibre budgétaire à l'horizon 2002 apparaît comme la « cerise sur le gâteau ». Il est l'aboutissement de l'amélioration structurelle du déficit, engagée depuis 1993, mais sa conclusion profite aussi de la vigueur de la croissance. La crédibilité de ce projet est néanmoins affectée par deux critiques : les réformes fondamentales permettant de consolider l'assainissement des finances publiques sont repoussées à plus tard et les effets attendus (baisse des taux d'intérêt et hausse de l'épargne privée) ne sont pas garantis.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Fitoussi, Jean-Paul, and Pierre Dehez. "Revenu minimum, allocations-chômage et subventions à l'emploi." Revue économique 47, no. 1 (January 1, 1996): 33–49. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1996.47n1.0033.

Full text
Abstract:
Résumé Partant du problème de l'existence d'un équilibre walrasien, en relation avec la question de la survie, les conséquences de l'introduction d'un revenu réel mini­mum sont étudiées dans le cadre d'un modèle d'équilibre général comportant un marché du travail hétérogène. Deux solutions sont envisagées pour faire face au chômage qui peut en résulter : d'une part, le paiement d'allocations de chômage et, d'autre part, la réalisation du plein emploi par le biais de subventions à l'emploi. Dans les deux cas, nous caractérisons en termes réels les équilibres, et nous montrons que le déficit budgétaire, que ces politiques peuvent engendrer, peut exclure l'existence d'un équilibre. Nous montrons également qu'en présence de chômage, l'effet d'un accroissement du revenu réel minimum sur l'échelle des salaires dépend des relations technologiques qui existent entre les différentes catégories de travail. Ainsi, il n'entraîne pas nécessairement une hausse des salaires dans les secteurs qui connaissent le plein emploi. Par contre, l'effet sur l'emploi et la production est toujours défavorable.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Cadiou, Loïc, Gérard Cornilleau, and Catherine Mathieu. "Perspectives à moyen terme de l'économie française 1994-2000." Revue de l'OFCE 52, no. 1 (January 1, 1995): 7–27. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1995.52n1.0007.

Full text
Abstract:
Résumé En 1995, la France devrait retrouver une croissance de l'ordre de 3,5 %. Ce regain est-il durable ? Pour explorer les évolutions possibles, deux scénarios ont été envisagés ; le premier est caractérisé par une croissance modérée dans la plupart des pays (2,5 % de 1994 à 2000), le second retient une croissance plus forte dans l'ution européenne (3,6 % de 1994 à 2000). Dans les deux cas, la France pourrait répondre facilement, du côté de l'offre, aux sollicitations de ses partenaires. Mais, au delà du cycle d'investissement lié à l'ajustement des capacités de production (1995-1997), la demande intérieure ne retrouverait pas un rythme suffisant pour empêcher l'affaiblissement de la croissance. En effet, le niveau élevé du chômage, qui limite la progression des salaires réels, et le rééquilibrage rapide des finances publiques pèseraient fortement sur l'évolution de la demande. Avec 2,4 % de croissance en moyenne de 1994 à 2000 dans le premier scénario, le chômage serait à peine stabilisé, malgré l'inflexion du rythme de croissance de la productivité du travail. Dans le second scénario, la réduction plus rapide du déficit public dans un contexte de plus forte croissance permettrait une politique budgétaire moins restrictive et un moindre infléchissement de la demande intérieure. Pourtant, même dans le cas d'une politique budgétaire encore plus accommodante, la croissance française, qui pourrait alors atteindre 3,4 % en moyenne au cours des cinq prochaines années, ne permettrait qu'une baisse de un point du taux de chômage (soit environ 300 000 chômeurs de moins de 94 à 2000). Cette réduction ne serait pas suffisante pour effacer les effets de la dernière phase de ralentissement (+ 800 000 chômeurs de 1990 à 1993).
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Daniel, Jean-Marc. "La dette de l'État est-elle insoutenable ?" Revue de l'OFCE 49, no. 2 (June 1, 1994): 149–76. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.49n1.0149.

Full text
Abstract:
Résumé Depuis la mise en place de systèmes cohérents de finances publiques, la dette publique a fait l'objet d'études, d'analyses et de controverses entre dirigeants politiques, experts économiques et spécialistes de la fiscalité. Le Traité de Maastricht a remis à l'ordre du jour ces problèmes en fixant un niveau supérieur au ratio dette/ PIB acceptable pour participer à l'union monétaire européenne. L'existence de cette norme combinée avec une évolution très rapide de ce ratio sur les deux dernières années a conduit certains observateurs à dénoncer la situation financière de l'Etat et à prédire une catastrophe dans les années qui viennent. Le but du présent article est d'examiner la situation de la dette de l'Etat qui est l'élément constitutif déterminant de la dette publique et au travers d'un examen sur longue période, c'est-à-dire à partir de 1815, de mieux situer l'endettement actuel de l'Etat et sa dérive. En particulier, cet article montre que le XIXe siècle, qui a théorisé le libéralisme économique et cherché dans l'équilibre des finances publiques une réduction de l'interventionnisme étatique, a, du fait des guerres et d'un évolution très lente des valeurs nominales, supporté des dettes publiques importantes en poids de PIB, alors que le XXe siècle a, jusqu'aux années quatre-vingt, défendu le principe du déficit budgétaire comme régulateur conjoncturel tout en effaçant ses conséquences par l'inflation. Le retour depuis 1983 à des politiques très rigoureuses en matière monétaire réintroduit un environnement de stabilité des prix qui devrait limiter les marges de manœuvre budgétaire et l'utilisation à des fins conjoncturelles du budget de l'Etat, surtout que l'on peut espérer qu'à la différence du XIXe siècle, la guerre a cessé d'être un élément normal et un mode acceptable de régulation de l'activité économique et politique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Merouani, Chiraz, and Safia Zourdani. "Les effets macroéconomiques du financement non conventionnel en Algérie." les cahiers du cread 38, no. 3 (September 3, 2022): 55–84. http://dx.doi.org/10.4314/cread.v38i3.3.

Full text
Abstract:
La crise financière internationale de 2008 a remis en selle les politiques monétaires non conventionnelles. L’Algérie n’a pas été en reste, suite à l’effondrement des cours du pétrole en 2014, qui avait eu un impact négatif sur l’ensemble de l’activité économique, ce qui avait nécessité de profondes restructurations dans la conduite de la politique économique. A cet effet, les autorités monétaires ont fait recours au financement non conventionnel dit (FNC), à travers l’amendement de la loi sur la monnaie et le crédit (loi n°17-10 du 11/10/2017). Cet article a pour objet d’analyser l’impact du FNC sur les agrégats macroéconomiques du modèle de Kaldor (1971) et quelques agrégats financiers, à l’aide de la méthode d’analyse en composantes principales. Les résultats obtenus montrent que le financement non conventionnel n’a fait que combler d’une manière partielle le déficit budgétaire. En effet, il ne peut pas être à lui seul une source de relance économique sans qu’il soit accompagné d’un certain nombre de mesures qui lui permettront d’être efficace et de réaliser ses objectifs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Karimi Takanlou, Zahra, Claude Berthomieu, and Reza Ranj Pour. "Déficit budgétaire et financement des dépenses privées d’investissement. Étude comparative des cas de deux pays «émergents» : l’Iran et la Turquie." Économie appliquée 67, no. 2 (2014): 41–73. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2014.3670.

Full text
Abstract:
This paper develops an analysis of budget deficit financing in terms of crowding out or crowding in effect on the private investments for the economies of Iran and Turkey during the period 1970-2012. After a brief survey of the Neoclassical, Neo-Keynesian and Neo-Structuralist theoretical approaches, our empirical analysis confirms the existence of a crowding out effect in the case of Turkey and of a crowding in effect in the case of Iran.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Brunelle, Dorval. "L’héritage des années Reagan : un premier bilan." II. Crise de l’État : la confrontation des idéologies, no. 19 (December 3, 2015): 69–74. http://dx.doi.org/10.7202/1034241ar.

Full text
Abstract:
Depuis les années 1970, la situation économique et sociale n’a cessé de se dégrader aux États-Unis. On invoque souvent à ce sujet l’endettement du pays, le déficit budgétaire de même que la balance commerciale défavorable. Crise de croissance et problèmes de modernisation industrielle semblent reliés. Or cette situation et les mesures de redressement qu’elle commande n’ont pas le même impact pour tous les groupes sociaux. Et à ce sujet le reaganisme est forcément en cause. Après avoir situé la politique de Reagan dans son contexte historique, l’auteur nous présente rapidement le contenu idéologique de sa politique économique de même que ses principales réalisations. Alors que les retraités de l’État et de l’armée ainsi que les personnes âgées obtenaient certains avantages, une couche importante de la population américaine perdait du terrain, les paiements de transfert aux pauvres ayant été réduits. Comment évaluer les choix politiques de Reagan ? L’impasse dans laquelle se trouvaient déjà les États-Unis lorsque le président Reagan a été élu n’a vraisemblablement pas été dénouée par le recours à une économie politique de l’offre. La marge de manoeuvre qui reste au futur président et à tout le pays semble maintenant à toutes fins pratiques inexistante.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Berthomieu, Claude, and Zahra Karimi Takanlou. "La mesure du seigneuriage comme mode de financement du déficit budgétaire dans quatre pays de la région MENA (l’Iran, la Turquie, le Maroc et la Tunisie)." Économie appliquée 62, no. 1 (2009): 169–90. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2009.1903.

Full text
Abstract:
L’objet de cet article est l’évaluation du seigneuriage perçu par l’Etat au cours de la période 1970-2004, dans quatre pays de la région MENA (Iran, Turquie, Maroc et Tunisie ). Dans cette étude, on rappelle, tout d’abord, ce qu’on entend aujourd’hui par seigneuriage et on analyse ses composantes avant de les mesurer. Nos résultats empiriques en matière de quantification, pays par pays, montrent que le seigneuriage est une source importante de financement des déficits budgétaires pour l’économie iranienne et l’économie turque, à la différence des économies marocaine et tunisienne pour lesquelles sa contribution reste modeste.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Creel, Jérôme, and Henri Sterdyniak. "La politique monétaire sans monnaie." Revue de l'OFCE 70, no. 3 (September 1, 1999): 111–53. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1999.70n1.0111.

Full text
Abstract:
Résumé Le schéma traditionnel de la courbe LM où le taux d'intérêt équilibre une demande de monnaie stable et une offre de monnaie fixée par la banque centrale n'a plus de sens dans les systèmes financiers modernes caractérisés par la disparition de la distinction entre actifs monétaires et non-monétaires. La banque centrale fixe à chaque période le taux d'intérêt monétaire; la masse monétaire, quelle que soit sa définition arbitraire, est déterminée par la demande de monnaie; le taux d'inflation est déterminé, période après période, par le comportement conjoint de la banque centrale, des autorités budgétaires et du secteur privé; la notion de financement monétaire du déficit public disparaît. Il serait souhaitable que la théorie de la politique monétaire rejoigne sa pratique : les théoriciens doivent renoncer à la courbe LM et adopter un schéma réaliste où la banque centrale fixe le taux d'intérêt en fonction des objectifs finaux de la politique monétaire (inflation et production). Comme le montre le succès de la règle de Taylor, les économistes appliqués ont définitivement adopté les fonctions de réaction pour étudier le comportement des banques centrales. Contrairement à ce que prétendent les auteurs monétaristes, l'utilisation d'une règle de taux ne crée pas d'indétermination du niveau des prix ou du niveau d'inflation, même dans les modèles théoriques avec parfaite flexibilité des prix, à partir du moment où la banque centrale sur-indexe le taux d'intérêt sur le taux d'inflation. L'inflation, le taux d'intérêt et la dette publique de long terme sont alors déterminés conjointement par les politiques monétaire et budgétaire. Cette co-détermination peut être une source d'instabilité, de conflit, de domination d'une autorité sur une autre ou au contraire une occasion de coopération. Le cas le plus favorable est celui où les autorités s'entendent sur des objectifs de taux d'inflation et de taux d'intérêt réel. Il est souhaitable et possible de construire une théorie monétaire sans monnaie.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Wyplosz, Charles. "Les implications budgétaires de l'union monétaire." Revue de l'OFCE 33, no. 4 (September 1, 1990): 155–73. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1990.33n1.0155.

Full text
Abstract:
Résumé L'unification économique et monétaire de l'Europe a des implications majeures en matière de politique budgétaire. En effet, l'union monétaire étant caractérisée par l'existence d'un taux d'intérêt réel uniforme, les conséquences des politiques budgétaires transiteront, non plus par des ajustements de changes, mais par des variations des niveaux absolus de prix ; l'ensemble des pays membres en supportera les effets sur les taux d'intérêt réels. Dans la mesure où, dès lors qu'il existe des rigidités de prix, il faudra compenser la perte de l'instrument taux de change, il sera nécessaire de coordonner les politiques budgétaires si l'on veut éviter l'instabilité et les actions non coopératives. Mais contrairement aux recommandations du rapport Delors, ceci n'implique pas en général que l'on doive renforcer la « discipline budgétaire » en instaurant des plafonds sur les déficits publics des États membres. Ces aspects, alliés aux risques de concurrence fiscale entre pays et à la généralisation des externalités qui devraient aller de pair avec l'intégration croissante des marchés, plaident en faveur d'une augmentation substantielle du budget communautaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Artus, Patrick. "Rigueur budgétaire, crédibilité des politiques budgétaires et comportement de consommation." Revue économique 48, no. 3 (May 1, 1997): 481–93. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1997.48n3.0481.

Full text
Abstract:
Résumé Nous nous demandons ce qu'impliqué la crédibilité des politiques budgétai­res, d'une part quant au niveau des déficits annoncés et réalisés, d'autre part quant aux effets des politiques de rigueur fiscale. Nous nous interrogeons sur les raisons qui poussent les autorités à annoncer de telles politiques, et sur les condi­tions pour qu'elles soient crédibles. Nous examinons en particulier les effets de la crédibilité et de la rigueur sur les comportements de consommation, donc sur l'activité économique. Nous montrons le rôle important joué par le mode de déter­mination et d'anticipation de la production future.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Fouet, Monique, and Françoise Milewski. "L'Europe se crée des besoins." Revue de l'OFCE 31, no. 2 (March 1, 1990): 5–65. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1990.31n1.0005.

Full text
Abstract:
Résumé L'Europe, quoique traversant effectivement une phase de ralentissement conjoncturel, pourrait être au cours des deux prochaines années le pôle de dynamisme de l'économie mondiale. Elle se trouve en effet face à des États-Unis arrivés en fin de cycle et embourbés dans leurs déficits et face à un Japon pénalisé par des dérèglements financiers. Elle est par ailleurs potentiellement dynamisée par ouverture à l'Est. La RFA jouera un rôle de locomotive en Europe. Sa demande intérieure sera soutenue par la réforme fiscale et par la réuni fication. Elle exportera moins et importera plus. Toutefois sa politique monétaire restrictive influencera celle des autres pays européens. Pour ceux-ci, dans un contexte de capacités productives encore saturées, les exportations y évinceront les demandes intérieures. Il y aura donc en 1990 un ralentissement de l'activité en même temps qu'une amélioration des soldes courants. Le moindre dynamisme des pays asiatiques, lié notamment au ralentissement nord-américain, sera en partie compensé par le redressement de la demande de l'OPEP. Le commerce mondial décélérera, mais selon une structure géographique moins désavantageuse à l'Europe en général et à la France en particulier. La France continuera à se fixer des objectifs de quasi-équilibre de sa balance courante et de réduction de son déficit budgétaire. Avec une politique modérément restrictive, cela implique une décé- lération de la demande des ménages. Face à un ralentissement des débouchés globaux et à l'apparition de difficultés de financement, l'investissement productif enregistrera lui aussi un ralentissement de son taux de progression. La croissance de la production fléchira en 1990 et se redressera légèrement en 1991. Le délai d'ajustement des effectifs à la production étant court en raison de la précarisation du marché du travail, cela permettra à la productivité de se redresser mais le taux de chômage élèvera.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Heyer, Éric, and Xavier Timbeau. "Le prix de l’inflation." Revue de l'OFCE N° 180, no. 1 (March 6, 2024): 139–76. http://dx.doi.org/10.3917/reof.180.0139.

Full text
Abstract:
La reprise de l’activité post-Covid a été violemment freinée par de multiples événements, en premier lieu les conséquences de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. La crise énergétique, le retour du spectre de l’inflation, les tensions internationales et les difficultés d’approvisionnement, la remontée brutale des taux… l’ensemble de ces chocs amputeraient la croissance du PIB de 3 points sur trois ans malgré les mesures budgétaires déployées. Si le reflux des prix de l’énergie depuis le pic de l’été 2022 devrait permettre d’éviter officiellement une récession, l’économie française ne devrait cependant croître que de 0,8 % en 2023, marquée encore par la diffusion du choc monétaire et énergétique. En 2024, sous l’hypothèse d’une relative stabilité des prix de l’énergie et sans crise financière majeure, la croissance du PIB serait de 1,2 %. La croissance de l’activité serait principalement amputée par la diffusion de la hausse des taux et une politique budgétaire plus restrictive. Tirée par les prix de l’alimentaire, l’inflation resterait élevée jusqu’à la fin de l’année 2023 oscillant entre 5,5 % et 6,5 %. Elle commencerait à se dégonfler seulement à partir de 2024 pour converger vers les 3 % à la fin de l’année prochaine. Au total, l’inflation mesurée par l’IPC, augmenterait en moyenne de 5,8 % en 2023 et de 3,8 % en 2024. Le pouvoir d’achat par unité de consommation baisserait de 1,2 % sur la période 2022-2024. Il reviendrait en 2024 à un niveau proche de 2019 malgré les mesures fiscales déployées. Le taux d’épargne des ménages, encore près de 3 points au-dessus de son niveau de 2019 à la fin 2022, convergerait vers son niveau d’avant-crise à l’horizon de la prévision, soutenant ainsi la consommation. La « surépargne » accumulée depuis le début de la crise Covid représenterait 12,6 % de leur revenu annuel, hors taxe inflationniste sur le patrimoine, à la fin de l’année 2024. Le climat des affaires des entreprises contraste avec les déficits extérieurs historiques. Cependant, le moindre restockage et la stabilité attendue du taux d’investissement, couplés à un rattrapage partiel des parts de marché avec notamment l’amélioration de la situation dans l’aéronautique, permettrait au commerce extérieur de contribuer positivement à la croissance au cours des trimestres à venir. L’année 2023 devrait être l’année du retournement du marché du travail, le taux de chômage augmentant à partir du second semestre, avec la baisse de l’apprentissage et la hausse de la durée du travail. Nous attendons 101 000 pertes d’emplois entre la fin de l’année 2022 et celle de 2024 et un taux de chômage à 7,9 % à la fin de l’année prochaine (contre 7,2 % actuellement). Cependant la productivité du travail ne retrouverait pas sa tendance d’avant-crise d’ici la fin 2024, révélant un cycle de productivité encore largement creusé. Le déficit public à 4,7 % du PIB en 2022, plus bas que prévu dans le PLF 2023, diminuerait légèrement, sous l’effet de l’extinction progressive des mesures sanitaires et énergétiques pour atteindre 4 % du PIB en 2024. Le ratio entre dette publique et PIB baisserait, passant de 111,6 % en 2022 à 107,8 % en 2024, ce dernier bénéficiant d’une croissance du PIB nominal vigoureuse avec la hausse marquée des prix du PIB. L’inflation élevée relève compta-blement le niveau de déficit qui stabilise la dette en points de PIB, allégeant ainsi le poids de la dette.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Théret, Bruno. "Régulation du déficit budgétaire et croissance des dépenses de l'Etat en France de 1815 à 1939. Une modélisation économétrique simple des régimes fisco-financiers libéraux." Revue économique 46, no. 1 (1995): 57–90. http://dx.doi.org/10.3406/reco.1995.409628.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Théret, Bruno, and Bruno Theret. "Régulation du déficit budgétaire et croissance des dépenses de l'État en France de 1815 à 1939: Une modélisation économétrique simple des régimes fisco-financiers libéraux." Revue économique 46, no. 1 (January 1995): 57. http://dx.doi.org/10.2307/3502177.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Théret, Bruno. "Régulation du déficit budgétaire et croissance des dépenses de l'Etat en France de 1815 à 1939. Une modélisation économétrique simple des régimes fisco-financiers libéraux." Revue économique 46, no. 1 (January 1, 1995): 57–90. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1995.46n1.0057.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Jaillet, Pierre. "L’improbable policy mix de la zone euro." Revue française d'économie Vol. XXXVIII, no. 2 (October 31, 2023): 63–82. http://dx.doi.org/10.3917/rfe.232.0063.

Full text
Abstract:
Le traité sur l’Union économique et monétaire définit un modèle original de policy mix où les politiques budgétaires restent sous l’autorité des États membres alors que la politique monétaire unique est déléguée à la Banque centrale européenne, institution fédérale au cœur de l’Eurosystème. Cet article analyse les limites de ce modèle à la lumière de l’expérience des deux premières décennies d’UEM. Il passe ensuite en revue les différentes phases du policy mix de la zone euro depuis 1999, marquées par des revirements parfois brutaux d’une dominance budgétaire à une dominance monétaire. La dernière partie examine les propositions visant à renforcer la gouvernance économique de la zone euro et à améliorer un modèle de policy mix intrinsèquement instable.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Fouet, Monique. "Les trois Europes - Populations et comportements macro-économiques." Revue de l'OFCE 43, no. 1 (January 1, 1993): 21–67. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.43n1.0021.

Full text
Abstract:
Résumé Les critères de convergence définis dans le Traité de Maastricht s'appliquent à des grandeurs macro-économiques : le rythme de hausse des prix, le déficit budgétaire et la dette publique, le niveau des taux d'intérêt à long terme, les fluctuations des taux de change. Or ces grandeurs ne sont pas des données à qui l'on puisse assigner des normes atemporelles et universelles : elles traduisent un certain mode de fonctionnement économique, politique et social. Vouloir leur donner le même niveau dans tous les pays qui souhaitent faire monnaie commune d'ici la fin de la décennie, c'est faire l'hypothèse que ces pays auront à ce moment-là grosso modo le même niveau de développement économique, mais aussi le même type d'organisation économique et sociale. Implicitement, ces critères signifient que certains membres de la Communauté Européenne ne pourront pas adhérer à l'UEM en 1 997 ni même en 1999. En effet il est impossible qu'ils se soient d'ici là identifiés aux pays vertueux idéalisés dans le Traité de Maastricht, cette vertu ayant pour fondement la richesse ; c'est notamment le cas du Portugal et de la Grèce, et de manière moins prononcée de l'Espagne. D'autres membres ont le niveau requis de développement, mais non le mode de fonctionnement exigé : c'est le cas de l'Italie, qui devrait faire de telles prouesses budgétaires que le prix en serait une longue et profonde récession. En revanche certains pays non membres de la Communauté qui souhaitent adhérer à terme à celle-ci et à l'UEM pourraient satisfaire aux critères de convergence soit avec facilité (la Suisse et dans une moindre mesure [Autriche), jsoit en remettant en cause leur fonctionnement socio-économique : c'est le cas des pays Scandinaves. Le présent article s 'attache à l'un des fondements situés le plus en amont des comportements macro-économiques des agents privés et publics : la population qui fait preuve de tels comportements. Le champ couvert est l'Europe occidentale, que les pays appartiennent (pour 12 d'entre eux) ou non (6) à la CE au moment où cet article est rédigé, c'est-à-dire l'automne 1 992. Ce n 'est du reste pas entre ces deux groupes que les clivages sont les plus marqués. La typologie qui se dégage des différents indicateurs observés (démographie, degré d'emploi, niveau de vie...) fait assez clairement apparaître trois zones géographiques. Chacune d'entre elles se compose d'un noyau dur de pays aux caractéristiques voisines, et de pays qui leur sont périphériques. Les données chiffrées sont analysées jusqu'à la fin de l'année 1989 pour deux raisons. La première est qu'à cette date l'Allemagne était encore l'Allemagne de l'Ouest. La seconde est qu'il s'agissait presque partout d'un sommet de cycle conjoncturel, ce qui autorise la comparaison à la fois dans l'espace et dans le temps avec l'année 1973. On ne s'interdit pas pour autant de commenter les résultats à la lumière des événements plus récents.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Delessy, Henri, Frédéric Lerais, Sébastien Paris-Horvitz, and Henri Sterdyniak. "Après Maastrich : quelles politiques économiques en Europe ?" Revue de l'OFCE 43, no. 1 (January 1, 1993): 273–305. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.43n1.0273.

Full text
Abstract:
Résumé Le Traité de Maastricht pose avec acuité le problème de l'organisation de la politique économique en Europe, tant en ce qui concerne la phase de transition, qu'en ce qui concerne le fonctionnement d'une zone à monnaie unique. Sur le fond, deux points de vue s'opposent : pour les uns, la construction de l'Europe doit permettre la renaissance d'une politique économique active tournée vers la croissance. Pour les autres, au contraire, l'Europe doit être libérale. Les accords de Maastricht optent très clairement pour une politique économique « vertueuse », notamment en adoptant des critères rigoureux de dettes et de déficits publics et en mettant en place une Banque centrale indépendante. Les accords prévoient une phase transitoire durant laquelle la politique économique des différents pays sera dictée par la nécessité de satisfaire aux conditions qui permettront d'accéder à l'UEM. Cette phase intervient dans une période où les perspectives de croissance sont déjà médiocres. Actuellement, 10 pays sur 12 ne satisfont pas ces conditions et devraient pratiquer une politique économique plus restrictive. Ceci est difficilement justifiable pour certains pays qui, malgré une dette publique importante, ont un solde extérieur excédentaire. Ces critères imposent de plus une politique économique pro-су clique. L 'ajustement budgétaire requis par une application stricte des critères est extrêmement fort pour certains pays : 7, 5 points de PIB en Italie, 7 points en Belgique et en Grèce, 2,5 points en Irlande. Une simulation, réalisée à l'aide du modèle MIMOSA, montre que, si les pays concernés mettaient en œuvre une politique représentant la moitié de ce qui ést nécessaire, le taux décroissance du PIB de la CE serait plus bas de 0,3 % environ chacune des trois premières années et son niveau resterait inférieur de 1,4% à son niveau du compte central en 1999. Pour les pays concernés, cette politique aurait un effet récessif important ; l'objectif d'une dette publique à 60% du PIB en 1999 reste hors d'atteinte. La manière dont est organisée la convergence laisse mal augurer de l'organisation de la politique économique dans l'Union européenne. Le Traité prévoit une Banque centrale européenne (ВСЕ) indépendante, chargée avant tout de la stabilité des prix. La France ne retrouvera pas une influence sur sa politique monétaire mais l'abandonnera à des partisans de politiques rigoureuses. Les pays n'auront plus à leur disposition les armes du taux d'intérêt et du taux de change, mais n'auront plus à se soucier directement de leur solde extérieur, ni à craindre les anticipations défavorables des spéculateurs. Il y a là un degré de liberté utile mais aussi un risque potentiel que chaque pays pratique une politique trop expansionniste. En réaction, le Traité impose des limites contraignantes à la dette et au déficit publics, sans tenir assez compte des considérations conjoncturelles ou structurelles, qui peuvent rendre nécessaire que ces barrières soientfranchies, temporairement ou durablement. L 'accord de Maastricht peut contribuer à terme à impulser la croissance en Europe, mais, dans son état actuel, il ne prévoit pas une coordination satisfaisante de la politique économique en Europe entre la ВСЕ responsable de la politique monétaire et les treize détenteurs de pouvoir budgétaire. De nouveaux accords, instituant la coordination de l'ensemble des instruments de politiques économiques, sont donc nécessaires. On ne pourra faire l'économie d'un débat de fond sur l'organisation et les objectifs de /apolitique économique en Europe.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Liyandja Impofi, Jean Claude. "Perceptions des personnels médicaux et para-médicaux sur la gestion des déchets biomédicaux." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 3, no. 1 (March 31, 2024): 40–46. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.024.v3.i1.66.

Full text
Abstract:
La gestion des déchets médicaux est une préoccupation mondiale de Santé Publique. Notre étude a consisté à déterminer les perceptions des acteurs médicaux et paramédicaux sur la gestion des déchets biomédicaux. Pour collecter les données dont nous avions besoin pour cette étude, nous avons fait usage de la méthode d’enquête, comme instrument nous avons utilisé un questionnaire. Les caractéristiques sociodémographiques, Gestion des déchets biomédicaux et les effets néfastes liés à la mauvaise gestion des déchets hospitaliers / biomédicaux sont les paramètres observés durant l’étude. Les résultats observés sont ; pour les caractéristiques sociodémographiques 54% des enquêtés sont du sexe masculin, 68% des enquêtés sont dans le tranche d’âge 20 et 49 ans, 48% de nos enquêtés ont un niveau de formation universitaire ; pour le paramètre gestion des déchets biomédicaux : 79% disent qu’il existe une politique de gestion des déchets au sein de leur formation sanitaire, 74%.des enquêtés affirment qu’il y a une mauvaise gestion de la politique des déchets et 56% des déchets sont produits par services médicaux et enfin pour le paramètre effets néfastes liés à la mauvaise gestion des déchets hospitaliers / biomédicaux, les résultats suivants ont été constatés : 60% de nos enquêtés affirment que le déficit budgétaire est la cause de la mauvaise gestion de déchets, les enquêtés ont pour la plupart indexé les risques traumatiques et infectieux 40% ainsi que les risques chimiques 22% sont à la base risques liés au mauvais transport des déchets biomédicaux et 56% de nos enquêtés affirment que la prolifération des moustiques et autres bestioles nuisibles et la prolifération des nuisances écologiques sont les conséquences d’une mauvaise gestion des déchets hospitaliers/ biomédicaux.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

internationale de l'OFCE, Division économie, and Département analyse. "Sur un nuage. Perspectives 1999-2000 pour l'économie mondiale." Revue de l'OFCE 71, no. 4 (November 1, 1999): 7–83. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1999.71n1.0007.

Full text
Abstract:
Résumé L'économie mondiale a retrouvé son calme après la bourrasque financière de l'année 1998. La croissance mondiale devrait être de 3,0 % en 1999, puis de 3,5 % en 2000, après 2,3 % en 1998. Les échanges industriels redeviennent beaucoup plus dynamiques et devraient progresser au rythme de 9 % l'an d'ici fin 2000 (contre 4 % l'an depuis début 1998). La reprise de la croissance mondiale ainsi que l'accord retrouvé des producteurs devrait maintenir le prix du pétrole aux alentours de 20 dollars le baril (contre 10 dollars en début d'année). La vigueur de la reprise mondiale induirait un certain relèvement de l'inflation (de l'ordre de 0,5 point entre 1999 et 2000 aux États-Unis et en Europe), mais celui-ci serait limité par les pressions concurrentielles sur les marchés des biens et du travail. La vigilance de la politique monétaire entraînerait une hausse des taux d'intérêt de court terme de 1 point environ aux États-Unis et en Europe entre la mi-1999 et la fin 2000. Le ciseau de croissance attendu entre les États-Unis et l'Europe ne s'est pas encore produit au premier semestre 1999, où les États-Unis ont continué à jouir d'une croissance de plein-emploi, sans inflation tandis que l'Europe connaissait un passage à vide de la mi-1998 à la mi-1999, en particulier en Allemagne et en Italie. Cette disparité a fortement pesé sur le cours de l'euro. Toutefois, l'Europe devrait connaître une forte reprise industrielle au second semestre 1999, où le rythme de croissance annuel du PIB atteindrait 4 %. Favorisée par des taux d'intérêt qui ne se relèveraient que lentement et une politique budgétaire neutre, impulsée par le développement des nouvelles technologie, la croissance de la zone euro pourrait être de 3 % en 2000. Le ralentissement de la croissance a été de faible durée au Royaume-Uni, dont l'économie repart malgré une livre surévaluée et des taux d'intérêt élevés. En sens inverse, après un second semestre 1999 vigoureux, l'économie américaine devrait connaître un certain ralentissement en 2000. La Bourse devrait reculer et le taux d'épargne des ménages devrait remonter. La politique économique empêcherait que ce ralentissement ne débouche sur une franche récession. Le ciseau de croissance entre les États-Unis et l'Europe permettrait une certaine remontée de l'euro. La croissance japonaise a fortement bénéficié au premier semestre 1999 du plan de relance budgétaire. Cette amélioration des perspectives de croissance, a provoqué de fortes hausses de la Bourse et du yen. Le niveau excessif du yen fragilise la reprise japonaise, qui sera cependant soutenue par le rebond enregistré en Asie. Aussi, la croissance du Japon devrait rester modérée et le yen devrait revenir à un niveau plus raisonnable. Les taux de change des pays émergents se sont stabilisés, même si des doutes persistent sur la solidité du peso argentin et du yuan chinois. L'année 1999 vu le retour d'une vive croissance dans plusieurs des pays industrialisés d'Asie (en particulier en Corée), alors que l'Amérique latine reste plongée dans la récession. Les PECO traversent une phase transitoire de résorption des déséquilibres issus d'une croissance rapide tandis que la Russie connaît un certain rebond et bénéficie de la dépréciation du rouble. L'économie mondiale continue à vivre sous deux épées de Damoclès : la surévaluation des Bourses, en particulier de la Bourse américaine et le déficit extérieur américain. Le déficit américain commencerait à se réduire avec l'inversion des écarts de conjoncture à l'échelle mondiale. L'hypothèse optimiste faite ici est celle d'un atterrissage en douceur de la bulle financière ; les marchés limiteraient leurs exigences de rentabilité, ce qui éviterait un fort réajustement à la baisse des cours boursiers, qui entraînerait une baisse de la consommation et une entrée en récession aux États-Unis.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Eisner, Robert. "Les déficits budgétaires : de la rhétorique à la réalité." Économie appliquée 42, no. 1 (1989): 135–59. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1989.2120.

Full text
Abstract:
Une fois opéré correctement l’ajustement pour tenir compte de l’investissement net et de l’inflation, il apparaît que le budget fédéral américain n’est pas maintemant en déficit. L’«Equilibre», justement interprété comme le ratio constant entre la dette et le PNB, a été atteint. Correctement mesurés, les déficits structurels ou de plein-emploi ont contribué à la croissance du PNB réel, de la consommation, et de l’investissement brut privé interne ; apparement, ils n’ont pas contribué à l’inflation. On a mal mesuré et exagéré leur contribution à l’investissement négatif à l’étranger. L’investissement public et des taux d’intérêt plus bas sont déterminants pour assurer l’avenir.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Sopraseuth, Thepthida. "The US “Twin Deficits”: A Reappraisal." Recherches économiques de Louvain 65, no. 2 (1999): 139–78. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800083731.

Full text
Abstract:
RésuméUne importante littérature empirique a analysé, depuis le milieu des années 80, la relation entre les déficits budgétaires et commerciaux des Etats-Unis, sans jamais atteindre un consensus. Deux éléments peu-vent être pris en compte pour expliquer ces résultats contradictoires. La comparaison des données à niveau par rapport aux données stationnarisées a un impact sur les conclusions. On remarque, à côté de cela, que le lien entre les exportations nettes et le solde budgétaire des Etats-Unis, stationnarisés ou non, est instable. Ce manque de robustesse peut venir de changements dans la contribution relative des chocs de demande et d’oñre dans l’économie américaine : les chocs de demande génèrent généralement une corrélation positive entre les déficits commerciaux et fiscaux, tandis que les chocs d’offre impliquent une corrélation négative entre les deux séries. Afín de contrôler la relevance empirique de cette intuition, nous avons employé un modèle RBC standard. Avec différents taux estimés de volatilité des chocs d’offre et de demande, le modèle répond aux changements de corrélation entre la balance commerciale et fiscale des Etats-Unis pour chaque sous-exemple, exceptés les années 90.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Fayolle, Jacky, and Françoise Milewski. "Un compromis monétaire favorable à l'Europe." Revue de l'OFCE 61, no. 2 (June 1, 1997): 5–92. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1997.61n1.0005.

Full text
Abstract:
Résumé Une fenêtre s'ouvre aujourd'hui pour que les pays européens puissent s'échapper de la « prison » de la déflation, si leurs politiques économiques s'avèrent suffisamment accommodantes. L'appréciation récente du dollar n'est pas une simple bulle destinée à se dégonfler à brève échéance. Elle traduit fondamentalement la prise en compte par les opérateurs internationaux de la continuité des performances de croissance américaines et leur confiance accrue dans le caractère soutenable de la position extérieure américaine. Si les politiques monétaires, en Europe et au Japon, maintiennent suffisamment longtemps de bas taux d'intérêt à court terme, la correction des changes pourrait être menée à terme et le dollar se stabiliser, fin 1997, au voisinage de 1,9 DM et 130 yens. Avec la normalisation des changes intra-européens, c'est un changement d'environnement significatif pour les entreprises européennes. Dans les dernières années, en effet, la contrainte de monnaie forte a constitué, pour nombre d'entre elles, un vecteur privilégié des influences déflationnistes, en poussant à la guerre des prix et à l'abaissement prioritaire des charges d'exploitation et d'investissement. Il résultera de ce changement des gains de parts de marché substantiels pour les entreprises européennes, mais aussi et surtout des signaux de prix plus favorables, qui devraient lever l'inhibition à produire et investir. Les politiques budgétaires européennes auront aussi leur rôle à jouer jians la consolidation de cet environnement, en évitant un durcissement exagéré au voisinage des prochaines échéances institutionnelles. La croissance internationale, qui bénéficiera en 1997 et 1998 d'une accélération du commerce international, pourrait être ainsi mieux partagée au sein de l'OCDE. La croissance américaine, toujours forte, bénéficie des effets du fort courant d'investissements sur le potentiel productif, si bien que les tensions inflationnistes sur les marchés de biens restent limitées. Les autorités monétaires ont les moyens de maîtriser la vitesse de l'expansion, sans avoir à verser dans un durcissement d'une sévérité telle qu'il s'avérerait déstabilisant. Les conditions de liquidité de l'économie américaine se sont en effet progressivement resserrées depuis 1994 et rendent efficace une nouvelle action marginale de la Réserve fédérale. La croissance américaine, encore vive en 1997 (2,8 %), ralentirait sans drame en 1998 (2 %). Le Japon bénéficie désormais de la décrue du yen mais s'apprête à subir un assainissement budgétaire qui amputera lourdement les ressources des ménages et fragilisera davantage une demande privée déjà versatile. C'est donc le maintien d'une politique monétaire accommodante, qui, à travers son impact sur le taux de change, aura la charge principale de placer le Japon sur un sentier d'expansion honorable. La contribution du commerce extérieur jouera un rôle essentiel pour permettre au Japon d'atteindre une croissance supérieure à 3 % en 1998. Le regain d'exportations n'a encore eu jusqu'à présent qu'un effet d'entraînement limité sur l'économie allemande. La consommation des ménages allemands pâtit de l'ajustement des emplois et des restructurations en cours. Ces restructurations améliorent progressivement la rentabilité des entreprises mais la confirmation de la détente concurrentielle est décisive pour que leur incitation à investir soit enfin libérée. En 1997, le programme d'économies sociales exercera une ponction contraignante sur les ressources des ménages. Mais si l'effort actuel parvient à ramener le déficit public au voisinage du critère de Maastricht, la politique budgétaire pourrait relâcher la pression sur les ménages en 1998 et devenir modérément expansionniste : ce serait bénéfique à l'expansion sans constituer un danger pour la maîtrise acquise du déficit. Une impulsion pourrait ainsi être donnée à la consommation des ménages et la demande interne relaierait enfin la reprise des exportations. C'est dans ces conditions que L'Allemagne pourrait renouer, après une année 1997 encore modeste (2,2 %), avec une expansion significative en 1998 (3,5 %). La croissance décrite pour la France (2,5 % cette année, 3,1 % l'an prochain) s'appuie sur l'hypothèse d'un changement de configuration monétaire et financière : la montée du dollar, passée et prévue, permettrait de conforter le regain des exportations, grâce au redressement du commerce mondial et aux gains de parts de marché. En même temps, les profits à l'exportation pourraient se redresser ; leur compression passée, pour limiter les pertes de compétitivité, pesait sur les salaires, les emplois, les investissements etc. Le rééquilibrage anticipé dans cette prévision modifierait les comportements. D'autant que la montée du dollar s'accompagne d'un rééquilibrage à l'intérieur même du SME. La détente des taux d'intérêt se maintiendrait et permettrait aussi que le contexte d'incertitudes soit en partie levé. La dynamique d'une reprise par l'extérieur pourrait ainsi se concrétiser : la fin des comportements restrictifs de dépenses des entreprises impliquerait l'arrêt du déstockage, la stabilisation des effectifs puis la reprise des embauches et enfin le redémarrage de l'investissement. Ainsi, la demande intérieure s'accélérerait : demande intérieure totale dès 1997 (du fait des stocks), demande intérieure finale en 1998 grâce à l'investissement. La politique économique reste contrainte par la satisfaction des critères de Maastricht : investissement et consommation des administrations sont limités et le seront d'autant plus si des risques de creusement du déficit apparaissent. L'investissement productif sera l'élément dynamique de la demande intérieure, tout particulièrement en 1998. Mais la consommation a peu de chance de s'intensifier car elle a été dopée en 1996 par les mesures de soutien à l'automobile : la baisse du taux d'épargne a déjà eu lieu. La croissance sera compatible avec un nouveau ralentissement de l'inflation (malgré la hausse du prix de l'énergie importée), une nouvelle extension de l'excédent commercial (grâce à l'industrie) et elle permettrait une inflexion à la baisse du chômage. Les créations d'emplois s'accentueraient progressivement et atteindraient en 1998 un rythme proche de celui de 1988-89, bien que la croissance du PIB soit plus faible : le ralentissement des gains de productivité, avec le développement du temps partiel, et le contrecoup des faibles créations d'emplois de 1994 dans l'industrie permettraient une reprise franche à court terme. Le revenu des ménages en sera peu affecté ; mais le chômage pourrait cesser de croître et même diminuer en 1998, sous l'hypothèse d'une neutralité de la politique de l'emploi. Enfin, les critères de Maastricht seraient respectés, les dépenses étant modérées (et, au besoin, gelées) et les recettes accrues si nécessaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Normandin, Michel. "Déficits extérieur et budgétaire : jumeaux, petits cousins ou parfaits étrangers?" Articles 87, no. 4 (October 2, 2012): 407–43. http://dx.doi.org/10.7202/1012566ar.

Full text
Abstract:
L’hypothèse de déficits jumeaux stipule qu’il existe une relation positive entre les déficits extérieur et budgétaire engendrée suite aux changements de dépenses publiques ou de taxes. La validité de cette hypothèse implique que les problèmes liés aux solvabilités du pays et du gouvernement peuvent être conjointement résolus à partir d’un seul instrument fiscal, soit les dépenses publiques, ou encore, les taxes. Cet article décrit les principaux résultats empiriques relativement à la validité de l’hypothèse de déficits jumeaux et présente les prédictions de différents modèles économiques quant à la relation entre les déficits extérieur et budgétaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Fayolle, Jacky, and Jacques Le. "Élargissement, PAC, politiques structurelles et « juste retour » : la quadrature du cercle budgétaire européen." Revue de l'OFCE 66, no. 3 (September 1, 1998): 37–60. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1998.66n1.0037.

Full text
Abstract:
Résumé La Commission européenne a présenté dans un document intitulé « Agenda 2000 » les grandes orientations qu'elle propose pour les principales politiques communes et la programmation budgétaire associée sur la période 2000-2006. L'accueil des nouveaux membres est-européens figure en bonne place dans ce travail programmatique. La mise en oeuvre des critères définis pour sélectionner les premiers élus et les limites des ressources financières qui peuvent être allouées au processus d'adhésion conduisent un schéma d'élargissement de l'Union européenne par extension limitrophe. Si les avantages d'une Union européenne compacte sont incontestables, le risque est d'exclure durablement de l'Union des pays dont la transition économique et politique est particulièrement vulnérable. Enfin, les contraintes budgétaires nécessiteraient d'être dépassées par une stratégie macroéconomique de croissance qui associe les pays est-européens. Une telle stratégie est loin d'être énoncée aujourd'hui, notamment en ce qui concerne le mode d'association des nouveaux membres et des candidats à l'euro. La Politique agricole commune n'a pas encore fini de subir les conséquences de ses succès passés. La réforme de 1992 est apparue comme une nécessité, pour contenir la dérive du coût budgétaire de la PAC et rétablir des incitations plus attentives la réalité des marchés. Pourtant, sa mise en oeuvre a plutôt conforté le modèle d'une agriculture intensive et compétitive, prioritairement tournée vers la grande exportation et l'industrie agroalimentaire. Les aides directes au revenu ont creusé les disparités, en privilégiant d'abord les grandes exploitations. Le coût budgétaire de la PAC reste plus élevé que prévu, même s'il a été réduit au voisinage de la moitié du budget européen. Les nouvelles propositions de la Commission restent, pour l'essentiel, dans le droit fil de la réforme de 1992. Elles ne satisfont guère les divers partenaires intéressés, pour des raisons cependant opposées, selon qu'ils sont préoccupés par les nouvelles baisses programmées de prix, un coût budgétaire global encore destiné à s'accroître ou par la difficulté à réorienter l'agriculture européenne vers un modèle moins productiviste. Le dénouement des conflits viendra peut-être d'une « renationalisation » partielle des politiques agricoles, chaque pays s'efforçant de clarifier la nature du « contrat » avec son agriculture, comme s'apprête à le faire le gouvernement français avec son projet de Loi d'orientation agricole. Les implications financières de l'élargissement et de la PAC exercent des contraintes fortes sur la programmation budgétaire européenne, a fortiori dans un contexte où les principaux pays contributeurs nets au budget européen renâclent devant le manque d'équité de la répartition des dépenses et des charges. Dans cette programmation, les ressources propres communautaires restent dûment plafonnées à 1,27% du PIB de l'Union. Même en escomptant de nouvelles économies du côté de la PAC, la contrainte exercée sur les actions structurelles en direction des actuels pays membres se durcit. La destination spatiale et thématique des fonds structurels sera plus concentrée. Une fraction sensiblement plus faible de la population et des régions de l'Union actuelle en bénéficiera. Le « paquet Sanier » ne va pas ainsi en direction d'un fédéralisme budgétaire plus franchement redistributeur et plus attentif aux inflexions conjoncturelles. Comme tout statu quo, il risque de faire surtout des mécontents. Il ne contribue guère, en tout cas, à définir l'organisation budgétaire dont aurait besoin l'Union européenne, au lendemain de la mise en place de l'euro.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Menguy, Séverine. "Les limites du cadre institutionnel européen." L'Actualité économique 82, no. 3 (April 16, 2007): 395–418. http://dx.doi.org/10.7202/014920ar.

Full text
Abstract:
Résumé Cet article propose une revue de la littérature des limites du cadre institutionnel actuel de l’Union européenne. Tout d’abord, il apparaît que les statuts de la Banque centrale européenne, et en particulier son objectif quasi exclusif de maintien de la stabilité des prix, ne facilitent pas les possibilités d’harmonisation des politiques budgétaires entre les pays membres. Ensuite, la coordination budgétaire institutionnelle semble encore insuffisamment développée en Europe. De plus, les contraintes imposées par le Pacte de stabilité et de croissance sont trop statiques : elles sous-valorisent le critère de dette publique et imposent des normes uniformes à des pays dont les situations et les dépenses publiques sont très hétérogènes. Enfin, il serait préférable que ces contraintes portent seulement sur la part structurelle des déficits publics et comportent davantage de symétrie dans les différentes phases du cycle économique. Or, la réforme du Pacte intervenue en mars 2005 n’apporte que des réponses imparfaites à certaines de ces limites.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

Tirole, Jean. "Comment contrôler les déficits budgétaires." Commentaire Numéro 131, no. 3 (June 1, 2010): 804–5. http://dx.doi.org/10.3917/comm.131.0804.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Hénin, Pierre-Yves. "Soutenabilité des déficits et ajustements budgétaires." Revue économique 48, no. 3 (1997): 371–95. http://dx.doi.org/10.3406/reco.1997.409880.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography