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1

Tamine, Michel. "Microtoponymie du défrichement dans les Ardennes (suite)." Nouvelle revue d'onomastique 25, no. 1 (1995): 67–108. http://dx.doi.org/10.3406/onoma.1995.1219.

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2

Tamine, Michel. "Microtoponymie du défrichement dans les Ardennes (première partie)." Nouvelle revue d'onomastique 23, no. 1 (1994): 45–100. http://dx.doi.org/10.3406/onoma.1994.1190.

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3

Tamine, Michel. "Microtoponymie du défrichement dans les Ardennes (suite et fin)." Nouvelle revue d'onomastique 29, no. 1 (1997): 119–68. http://dx.doi.org/10.3406/onoma.1997.1281.

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4

Auphan, Etienne. "Qu’est-ce que le paysage ferroviaire ? Défrichement d’un concept." Revue d’histoire des chemins de fer, no. 32-33 (November 1, 2005): 19–41. http://dx.doi.org/10.4000/rhcf.1156.

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5

Duval, Jean-François. "Métallurgie et défrichement en forêt de Paimpont au Moyen Âge." Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest 107, no. 3 (2000): 7–24. http://dx.doi.org/10.3406/abpo.2000.4073.

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6

BARBIER, G. "Le référé - sursis à exécution en matière d'autorisation de défrichement." Revue Forestière Française, no. 1 (1993): 87. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26400.

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7

Rennie, David L. "Le défrichement: Recherche qualitative en psychologie chez les anglophones canadiens." Canadian Psychology/Psychologie canadienne 43, no. 3 (2002): 141–42. http://dx.doi.org/10.1037/h0086910.

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8

Amigues, Jean-Pierre, Alain Ayong Le Kama, Ujjayant Chakravorty, and Michel Moreaux. "Coûts de défrichement, rente foncière et valeur de la terre agricole." Revue économique 64, no. 2 (2013): 241. http://dx.doi.org/10.3917/reco.642.0002.

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9

Hochet, Peter, and Charles Guissou. "Une Politique D’adaptation Climatique Inachevée Mais Persistante." Sustentabilidade em Debate 1, no. 2 (2010): 59. http://dx.doi.org/10.18472/sustdeb.v1n2.2010.1681.

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Abstract:
A Samorogouan (Burkina Faso), les migrations des pasteurs ont été planifiées par un projet de la Banque Mondiale : le Projet d’Élevage Ouest Volta (PEOV). Avec l’agrément des autorités locales, le projet a délimité un vaste territoire (125.000 ha) dédié au « ranching » et à l’accueil des éleveurs qui ont fuit la sècheresse des années 70. Le projet a été retiré de la zone durant la Révolution sankariste de 1984. Aujourd’hui, pendant que l’emprise du défrichement augmente, de multiples conflits entre les éleveurs installés, la Justice, les services déconcentrés et les agriculteurs apparaissent à propos du statut de La zone.
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Coates, Colin, and Dagomar Degroot. "« Les bois engendrent les frimas et les gelées » : comprendre le climat en Nouvelle-France1." Revue d’histoire de l’Amérique française 68, no. 3-4 (2015): 197–219. http://dx.doi.org/10.7202/1033634ar.

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Abstract:
Cet article juxtapose les reconstructions récentes de l’histoire du climat avec les interprétations de l’époque de la Nouvelle-France. Des auteurs coloniaux ont essayé d’expliquer les hivers beaucoup plus froids que dans la mère patrie. À l’époque des Petits Âges glaciaires, ces auteurs se servent des différences environnementales pour comprendre le climat colonial. Les grandes forêts expliqueraient la longueur et la sévérité hivernales, et les auteurs prédisent que le défrichement des terres allait rapprocher colonie et mère patrie du point de vue du climat. Le réchauffement au cours du XVIIIe siècle a convaincu certains que l’activité humaine avait amélioré le climat.
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Watang Zieba, Félix. "Défrichement des derniers karé guiziga et recomposition des territoires d'immigration (Extrême-Nord Cameroun)." Journal des Africanistes, no. 81-2 (December 1, 2011): 203–18. http://dx.doi.org/10.4000/africanistes.4127.

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12

Dottori, Boris. "Les habitats de défrichement entre Zorn et Bruche (Bas-Rhin) à la période médiévale." Revue d’Alsace, no. 145 (November 1, 2019): 53–85. http://dx.doi.org/10.4000/alsace.4124.

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Sajaloli, Bertrand. "Les marais continentaux de plaine, pionniers de la friche et du défrichement ? L'exemple des zones humides laonnoises." Norois 164, no. 1 (1994): 643–56. http://dx.doi.org/10.3406/noroi.1994.6591.

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Djiteye, A., S. K. Moloo, K. Foua Bi, et al. "Réactualisation des données sur la répartition des glossines au Mali." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 2 (1997): 126–32. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9583.

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Abstract:
L'aire de répartition des glossines au Mali couvre environ 200 000 km2 au sud du parallèle 14 30' N et à l'ouest du méridien 4 30' O. Quatre espèces ont été signalées : deux riveraines (Glossina palpalis gambiensis et G. tachinoides) et deux de savane (G. morsitans submorsitans et G. longipalpis). G. morsitans submorsitans était répartie de manière plus ou moins continue le long des frontières avec la Côte d'Ivoire, la Guinée et le Sénégal jusqu'à la limite nord du parc national de la Boucle du Baoulé. A l'est de Bamako, la densité des populations était faible, apparemment discontinue dans les zones forestières. G. palpalis gambiensis était localisée le long de la rivière Bani, du fleuve Niger et de ses affluents, et des affluents du fleuve Sénégal (Baoulé, Bafing et Bagoé). G. tachinoides était répandue le long de la plupart des rivières et des grands cours d'eau de la partie sud-est du pays. Les prospections récentes n'ont pas revélé la présence de G. longipalpis au Mali. Après plusieurs années de sécheresse et/ou un défrichement intensif, une diminution relativement importante de l'aire de répartition des glossines dans le pays a été constatée.
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15

Nanan, Kouassi Kouman Noël, Zinsi Roseline Gouli Gnanazan, Sopie Vanessa Elvire Akaffou, et al. "Importance socio-culturelle du bois de vène, Pterocarpus erinaceus Poir (Fabaceae), une espèce en voie de disparition, du centre-nord de la Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no. 2 (2022): 593–608. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i2.7.

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Abstract:
Pterocarpus erinaceus (P. erinaceus) est une espèce éminemment utile aux populations. La présente étude visait à contribuer à une meilleure connaissance du bois de vène en Côte d’Ivoire. Pour ce faire, des enquêtes ethnobotaniques ont été conduites auprès des populations de dix localités dans la zone rurale de Béoumi et la périphérie de la réserve de faune et de flore du Haut Bandama. Le profil des enquêtés et les pourcentages de réponses sur P. erinaceus ont été analysés à travers des histogrammes et des indices de diversité. Quatre catégories d’usages ont été relevées, médicinale, artisanale, fourrage et bois d’oeuvre. La connaissance des usages de l’espèce est inégalement répartie entre les populations. Les feuilles, l’écorce et les racines sont les organes les plus utilisés. Les populations locales ont une bonne connaissance des causes de régression des peuplements naturels de P. erinaceus. Selon elles, la pratique du charbon de bois, le défrichement des terres pour l’installation des cultures, l’abattage des arbres par les scieurs, les feux de végétation et le non-respect des mesures gouvernementales, constituent les causes de disparition de l’espèce. A cet effet, il devient urgent de mettre en place une stratégie de gestion durable en intégrant les besoins des populations locales.
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Andrieu, Julien, Yao Sadaiou Sabas Barima, Diego Moreno, Matthieu Vignal, and Roger Zerbo. "Modélisation rétrospective du défrichement de la forêt classée du Haut-Sassandra (Côte d’Ivoire) dans un contexte de conflits armés (2001-2013)." Espace géographique 47, no. 3 (2018): 219. http://dx.doi.org/10.3917/eg.473.0219.

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Kerrache, Ghaouti, Abderrahmane Labani, Khélouf Benabdeli, and Chaouki Chafai. "Dynamique de la végétation forestière et impact des travaux du réaménagement forestier dans les monts de Daïa-Saïda (ouest Algérien)." Lebanese Science Journal 20, no. 2 (2019): 230–47. http://dx.doi.org/10.22453/lsj-020.2.230-247.

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Abstract:
Avec leurs 23500 ha, les Monts de Daïa-Saïda ont un relief accidenté, situées à environ 25 km à l'ouest de la ville de Saïda (chef-lieu de la wilaya). La végétation forestière est très représentative des groupements thermophiles de l'ouest algérien, dominés par le pin d'Alep et le thuya de Berbérie mais avec un remarquable sous-bois buissonnant. Les facteurs de perturbations sont multiples, certains connus et communs de toute l’Algérie voir la méditerranée comme les incendies, défrichement, érosion, pacage et coupes illicite mais un autre facteur de dégradation spécifique a cette région est peu connue et moins étudier qui est le préaménagement forestier, qui a causé des dégâts considérables aux formations forestières de la région. Cette étude a mis l’accent sur l’impact négatif de ces travaux sur les formations forestières de cet espace. L’étude de la dynamique des formations forestières des Monts de Daïa-Saïda à travers le traitement et l'interprétation de deux images satellites LandSat (1987 et 2015) avec l'élaboration de la carte de changement, est le but de cet article. Les résultats obtenus permettent d'affirmer la dynamique régressive de la forêt dans cette zone avec l'augmentation des matorrals et des zones dénudées combinée avec une régression remarquable des forêts. La partie nord du massif est la plus touchée par ce phénomène avec une très grande surface dénudée due aux incendies répétés qui l'ont affectée.
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Salmon, Camille, and Virginie K. E. Duvat. "Enjeux de l'intégration des espaces naturels littoraux dans la gestion des risques liés à la mer." La Houille Blanche, no. 2 (April 2018): 5–12. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2018015.

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Abstract:
En se basant sur deux études de cas situées dans l'outre-mer français, cet article traite de l'intégration des espaces naturels littoraux dans la gestion des risques liés à la mer. L'étude des impacts de et de la résilience aux cyclones Oli (février 2010) à Tubuai (Polynésie française) et Bejisa (janvier 2014) à la Réunion, a mis en évidence le rôle majeur de la dégradation de la zone tampon (systèmes plages-dunes dans notre étude) dans l'augmentation de la vulnérabilité. Cinq processus de dégradation sont analysés : la contraction (diminution de la surface), la fragmentation des cellules hydro-sédimentaires par des aménagements côtiers, la fixation du trait de côte par des ouvrages de défense, le défrichement et la modification de la végétation et enfin l'extraction de matériaux coralliens sur les plages. Ces phénomènes ont pour conséquence la perturbation de la fonction d'amortissement des vagues et du vent, ce qui au final augmente l'endommagement des enjeux humains lors de la survenue d'un événement météo-marin extrême. Ces résultats ont des implications concrètes pour favoriser la résilience des territoires face aux risques liés à la mer : (1) mener une politique de protection et/ou de restauration des espaces naturels littoraux, (2) considérer la cellule hydro-sédimentaire comme l'échelle d'intervention pertinente, (3) mettre en œuvre des mesures différenciées qui prennent en compte le long terme, afin d'engager dès maintenant une politique d'adaptation au changement climatique.
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Marguerie, Dominique. "Confrontation des données polliniques et anthracologiques [Défrichement du milieu forestier et développement de la lande régressive à partir du Néolithique en Armorique]." Revue d'Archéométrie 15, no. 1 (1991): 75–82. http://dx.doi.org/10.3406/arsci.1991.1259.

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Palaude, Stéphane. "La politique de défrichement de la terre par le verre. Les religieux et les territoires du verre en Thiérache XVe et XVIe siècles." Revue du Nord 395, no. 2 (2012): 435. http://dx.doi.org/10.3917/rdn.395.0435.

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Moctar Rabe, Mahamane, Ibrahim Baoua, and Rabo Issaka Salissou. "Déterminants Socio-Économiques De L’adoption Des Technologies Agro Écologiques De Productions Agricoles Dans Le Département De Mayahi Au Niger." European Scientific Journal ESJ 17, no. 43 (2021): 73–88. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n43p73.

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Abstract:
Cette étude conduite dans le département de Mayahi, au Niger oriental, a pour objectif, d’identifier les facteurs influençant l’adoption des pratiques culturales de production du mil et du niébé et aussi celle de l’utilisation du bloc multi-nutritionnel. Ainsi, cent-vingt (120) chefs d’exploitation choisis aléatoirement ont été enquêtés sur l’utilisation des technologies de production diffusées au cours des trois dernières années. La régression logistique a permis de déterminer les corrélations entre les contextes et l’adoption des technologies. Ainsi, l’implication des producteurs dans les démonstrations a influencé positivement sur l’adoption des techniques d’application du compost (P<0,001), l’utilisation des variétés améliorées de mil et de niébé (P<0,05), des extraits aqueux des graines de Neem (P<0,001) et de la technologie de stockage hermétique des récoltes (P<0,001). Cependant, la proximité des villages du marché hebdomadaire a eu une corrélation négative avec l’utilisation du compost (P<0,05) ; alors que la proximité du village aux zones urbaines a influencé positivement l’achat des blocs multi nutritionnels densifiés et la pratique du défrichement amélioré (P<0,001). Par ailleurs, l’accès au crédit a influencé positivement sur l’achat des blocs multi nutritionnels densifiés (P<0,05) ; le contact avec les services de vulgarisation agricole public a été corrélé par l’utilisation de la technologie de lutte contre la chenille mineuse de l’épi du mil (P<0,05). Ces résultats peuvent contribuer à orienter les acteurs de développement rural à mieux planifier les activités de diffusion et de promotion des nouvelles pratiques agronomiques.
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Mayer, Francine M., and Mireille Boisvert. "Les fondateurs de la population de La Patrie (Cantons-de-l’Est) : Franco-américains, Québécois et Européens aux recensements canadiens de 1881 et de 1891." Articles 39, no. 2 (2011): 307–56. http://dx.doi.org/10.7202/1003589ar.

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Abstract:
Ce travail constitue le premier volet d’un large programme de recherche interdisciplinaire sur la contribution des immigrants franco-américains au patrimoine génétique de la population des Cantons de l’Est, et plus particulièrement à celui de la population de La Patrie fondée en 1875 dans le cadre du mouvement de rapatriement des Canadiens français émigrés aux États-Unis. Afin de bien comprendre les interactions entre les facteurs biodémographiques et socioculturels qui ont façonné les pools géniques de celle-ci, nous avons fait une première analyse transversale et comparative des recensements nominatifs canadiens de 1881 et 1891. Ces derniers suivent de près la création de la colonie de rapatriement et leur analyse permet d’identifier les premiers fondateurs biologiques de la population et d’obtenir une première estimation du nombre de familles fondatrices franco-américaines qui représentent plus du tiers des ménages à chaque recensement. Les structures démographiques montrent une population jeune et un rapport de masculinité élevé pour le groupe d’âge des 10-39 ans qui suggère que les familles immigrantes sont arrivées avec plus de fils que de filles en âge de travailler au défrichement et à l’ensemencement des lots concédés. Les alternances dans la déclaration du lieu de naissance des membres du ménage révèlent une mobilité importante d’un nombre de familles immigrantes, qui font de fréquents allers-retours transfrontaliers. Les professions sont plus diversifiées au recensement de 1891, avec toujours une prédominance de l’agriculture alors que le travail lié à la coupe de bois offre une soupape de sûreté importante pour les familles.
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Charbonneau, Simon. "Autorisation de défrichement. Personne habilitée à présenter la demande requise par l'article R. 311-1 du Code forestier. Personne mandatée par le propriétaire des parcelles. Refus de l'autorisation de défrichement. Motifs pouvant légalement justifier un refus. Contrôle de l'erreur manifeste. Conseil d'Etat, 10 juin 1994 Ville d'Ayguemorte-les-Graves (req. n° 118652). Avec note." Revue Juridique de l'Environnement 20, no. 1 (1995): 93–95. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1995.3169.

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Wyczynski, Paul. "Histoire et critique littéraires au Canada français." I. Préalables 5, no. 1-2 (2005): 11–69. http://dx.doi.org/10.7202/055218ar.

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Abstract:
Il s'agit dans cette étude d'établir un bilan des travaux d'histoire et de critique littéraires au Canada français. Le sujet n'est point facile car il n'existe jusqu'ici aucune étude d'ensemble en cette matière. Quelques études généralement citées — celles de Camille Roy ou de Séraphin Marion — n'offrent que des vues fragmentaires. Il nous manque aussi une bonne bibliographie analytique de la littérature canadienne-française, de même que des ouvrages critiques scientifiquement préparés. D'autres sources, bibliographiques ou littéraires, n'offrent souvent que des renseignements peu sûrs. L'étude que nous proposons aujourd'hui se révèle forcément incomplète et ne prétend en rien avoir épuisé le sujet : il faudra plusieurs études de défrichement, de longues recherches dans les différents secteurs des lettres canadiennes pour connaître auteurs, ouvrages, articles et autres documents susceptibles de fixer le sujet. L'autre difficulté tient à ce que le sujet de notre étude est un sujet à deux étages. Définir l'histoire littéraire et la critique littéraire, établir les rapports et les divergences entre ces deux disciplines, trouver les mesures consacrées par les expériences pour les appliquer à la vie littéraire du Canada français, ce sont là des problèmes qui exigent tant de méditations et de nuances. Alors que certains prétendent y voir deux genres d'activités complètement distincts, d'autres les conçoivent sinon entremêlés ou entrecroisés, du moins dépendants ou apparentés. Quant à nous, nous imaginons mal un critique littéraire dépourvu de solides notions d'histoire littéraire, de même qu'un historien de la littérature chez qui le sens critique fait défaut. Dans cette optique, nous présentons, au début de chacune des deux parties qui composent cette étude, les perspectives historiques et les notions qui s'imposent. Une bibliographie termine notre travail.
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "In Search of the Forest in Côte D’ivoire, parts 1 & 2." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (2015): 71. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31247.

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Abstract:
Jusqu’à 1935, on pouvait encore voir en Côte d’Ivoire des forêts intactes le long des routes. Depuis, avec l’extension démesu- rée de la culture du café et du riz pluvial, le défrichement s’emballe. L’agriculteur fuyant les agoutis et le parasitisme fami- lial défriche dans des forêts éloignées. En 1957, il faut aller à sa recherche pour aper- cevoir la forêt primaire. L’ouverture d’une route la condamne en une décennie, et l’exploitation forestière ne passe qu’une fois. Avec la disparition des forêts denses humides africaines, les régions soudano- sahéliennes subiront une saison sèche plus longue. En outre, il importe d’établir des cartes d’aires de présence avant la disparition des forêts primaires. L’étude ici présentée vise à classifier la végétation fo- restière ivoirienne et repose sur le parcours de 12 transects en forêt dense humide. L’approche phytosociologique est en effet trop imparfaite pour analyser cette végéta- tion. Deux ensembles caractérisés par des groupes botaniques spécifiques ont été distingués : les « forêts denses semi-déci- dues humides à malvacées et ulmacées », et les « forêts denses humides à légumi- neuses sempervirentes ». Les espèces à grand pouvoir de dispersion, abondantes dans les brousses secondaires, notam- ment des genres Triplochiton ou Termina- lia, échappent cependant à cette classifi- cation. Les ruptures d’aires de présence chez certaines espèces tiennent ainsi à la dispersion des semences, mais aussi à la paléohistoire floristique et climatique. De même, la notion d’aire écologique ne peut s’appliquer pour les espèces rares ou pour les zones d’endémisme local. L’étude évoque également plusieurs espèces inva- sives indigènes, comme Scaphopetalum amoemum et Chidlowia sanguinea, dont le développement bloque la régénération forestière. Elle traite enfin de l’inclusion de savanes dans des forêts humides, dont l’origine est toujours édaphique et non pas anthropique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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EL-HADJ ISSA, Azizou, Dossou Sèblodo Judes Charlemagne GBEMAVO, Achille HOUNKPEVI, Guy Apollinaire MENSAH, and Brice SINSIN. "Pressions anthropiques et dynamique des habitats naturels de la Réserve Transfrontalière de Biosphère du W-Bénin." Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 11, no. 2 (2021): 1–14. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v11i2.48.

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Abstract:
Les pressions anthropiques ont accéléré la dégradation des aires protégées surtout dans les pays en voie de développement où les populations dépendent fortement des ressources forestières. La présente étude vise à évaluer l’impact de la gouvernance induite par les différents projets / programmes connus par la Réserve Transfrontalière de Biosphère du W du Bénin (RTBW/B) entre 2000 et 2017 sur son intégrité écologique. De façon spécifique, elle vise à (i) analyser la variation spatio-temporelle des unités d’occupation des terres dans la RTBW/B entre 1990 et 2020 ; et (ii) évaluer la dynamique des indicateurs de pression (défrichement, braconnage, transhumance, pêche illégale, exploitation forestière illégale) sur la réserve de 1990 à 2020. Pour cela, une classification supervisée a été faite sur des images Landsat 4 pour l’année 1990, Landsat 7 pour 2000 et Landsat 8 pour 2020. De plus, une analyse de la tendance des indicateurs de pression a été faite. Les résultats ont montré que le paysage de la RTBW/B s’est fortement dégradé entre 1990 et 2000 avec des taux annuels de changement, certes, relativement bas (entre -0,002 et 0,336 %) mais traduisant une dynamique homogène du paysage. Par contre, entre 2000 et 2020, une nette amélioration du couvert végétal est observée et ceci se traduit notamment par le fait que les mosaïques de champs et jachères ont fortement régressé (ΔS<0 et Tc = -0,822%). De plus, une tendance régressive est globalement notée pour les indicateurs de pression sur la période. Tout ceci pourrait traduire un impact positif des actions des différents projets/programmes mis en œuvre entre 2000 et 2017. Toutefois, il est important de disposer de données sur de longues périodes sur les aires protégées bénéficiaires afin de mieux appréhender les impacts des multiples projets et programmes sur leur intégrité écologique des aires protégées.
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Estève, Jean. "DESTRUCTION OF FOREST AREAS AS A RESULT OF LOGGING AND HARVESTING IN AFRICAN OR AMERICAN DENSE TROPICAL RAINFORESTS." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (2017): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31298.

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Abstract:
Il est devenu habituel de lire dans les médias des articles accusant l’exploitation fores- tière d’être le moteur principal de la dispari- tion des forêts tropicales. Ce raccourci trom- peur est imputable à une méconnaissance des réalités forestières, d’une part, et à un amalgame entre l’exploitation forestière et le défrichement agricole, d’autre part. L’ob- jet de cet article rédigé par un praticien fami- lier du contexte forestier tropical était d’éva- luer l’impact de l’exploitation forestière sur les forêts denses tropicales humides, dans les deux continents africain et améri- cain. Par souci d’exactitude, les phases de l’exploitation ont été distinguées : installa- tion de la base vie, constitution du réseau routier de vidange des bois, réalisation des opérations d’exploitation proprement dites. Des scénarios ont été distingués en fonction de la richesse de la forêt, dont le volume ré- colté varie de 3 à 15 m3/ha. Ces estimations confirment que la destruction du couvert fo- restier demeure si faible qu’à l’exception de situations radicales l’exploitation forestière ne constitue pas une menace pour le main- tien durable des forêts tropicales. La mise en place des réseaux routiers et de pistes de débardage affecte de 4,5 à 5,5 % du couvert forestier. Les surfaces des trouées consé- cutives à l’abattage ne dépassent jamais 4 % du couvert, et restent inférieures à 2 % pour les forêts riches ou de richesse moyenne. L’exploitation forestière n’est donc direc- tement responsable que de la destruction de 5,5 à 8,5 % du couvert forestier. Dans le cas de forêts riches, des exploitations fores- tières successives peuvent certes atteindre 12 à 16 % du couvert forestier. Mais c’est alors sans compter sur la dynamique de reconstitution de la biomasse opérant natu- rellement entre deux séquences d’exploi- tation. En Asie du Sud-Est où l’exploitation est plus intensive en raison d’un potentiel commercial très élevé, la reconstitution du couvert est acquise en 20 ans. Si la valeur économique d’une forêt dense tropicale humide diminue avec l’exploitation, ses va- leurs biologique et écologique restent quant à elles sensiblement intactes.
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Brunet, Pierre. "Les défrichements du XIXe siècle dans le Bessin occidental." Annales de Normandie 57, no. 3 (2007): 195–221. http://dx.doi.org/10.3406/annor.2007.1617.

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Kambire, Sami Blaise, Karim Ouattara, Elie Bandama Bogui, et al. "Caractérisation des Facteurs de Menace sur la Population Sauvage de Mones de Lowe Cercopithecus lowei Thomas, 1923 dans la Relique Forestière de l’Université NANGUI ABROGOUA, Côte d’Ivoire." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 30 (2022): 319. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n30p319.

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Abstract:
Les primates non-humains (PNH) sont observés dans les milieux périurbains sans protection, où leur survie est menacée, notamment à cause de l’urbanisation galopante qui réduit l’habitat et la disponibilité alimentaire. C’est le cas d’une population de 13 individus de Mones de Lowe, une espèce vulnérable selon la liste rouge de l’UICN, localisée dans la forêt de l’Université NANGUI ABROGOUA (UNA), à Abidjan en Côte d’Ivoire. Le présent travail a pour but d’approfondir les connaissances sur les principales menaces qui pèsent sur cette population de primates isolée dans cette forêt de 14 hectares bordée de plantations expérimentales et familiales. Un suivi journalier des Mones en utilisant la méthode d’observation par balayage régulier des groupes et les observations Ad libitum d’événements rares a permis de noter les indices directs d'agression sur les Mones et leur habitat pendant 24 mois, de janvier 2018 à décembre 2019. L’identification des indices indirects s’est basée sur des interviews semi-structurés de personnes qui fréquentent ladite forêt. Les résultats montrent que trois facteurs directs liés aux activités anthropiques constituent les plus grandes menaces sur ces Mones et de leur habitat : la pollution physique avec 71, 24 % des observations (N = 1510) ; le défrichement agricole avec 15, 21 % et le braconnage qui totalise 13,50 % de l’ensemble des facteurs de menace. Au sujet des facteurs indirects, les personnes interrogées (N = 401) évoquent par ordre d’importance, le manque de volonté administrative à 32,7%, l’inaction des autorités en charge de la protection de la faune à 20,9 % et le manque de surveillance de ces Primates (16,8 %).
 
 Non-human primates are observed in peri-urban environments without any legal protection, where their survival is threatened, notably because of the galloping urbanization that reduces habitat and food availability. This is the case of Lowe's monkey (Cercopithecus lowei) population, a vulnerable species according to the IUCN RedList, located in the forest relic of the NANGUI ABROGOUA University (UNA), in Abidjan, Côte d'Ivoire. The goal of this study is describing the main threats to the isolated primate population in this forest of 14 hectares bordered by experimental and family plantations. Daily monitoring of Mones using a regular group scan method of observation and Ad libitum observations of rare events recorded direct evidence of aggression on this Lowe's monkeys and their habitat over a 24 month in 2018 and 2019.The identification of indirect indices, semi-direct interviews were conducted with people who use this forest. Results show that three direct factors related to anthropogenic activities are the greatest threats to the primate groups and the UNA forest: physical pollution with 71.24% of observations (N = 1510); agricultural encroachment with 15.21%; and poaching which represents 13.50% of all threat factors. For indirect factors, the respondents (N = 401) mentioned, by order of importance, the lack of administrative will (32.7%); the lack of action by the authorities in charge of wildlife protection (20.9%) and the lack of surveillance of these primate groups (16.8%).
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Brosselin, Arlette. "Défrichements et plantations en Bourgogne aux 18e et 19e siècles." Hommes et Terres du Nord 2, no. 1 (1986): 196–99. http://dx.doi.org/10.3406/htn.1986.2069.

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De Visscher, Pierre. "Dynamique des groupes : Connexions ou divergences ? Avatars historiques et défrichements taxinomiques." Connexions 98, no. 2 (2012): 109. http://dx.doi.org/10.3917/cnx.098.0109.

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Kassoum, Traore. "Le couvert forestier en Côte d’Ivoire : une analyse critique de la situation de gestion des forêts (classées, parcs et réserves)." International Journal of Social Sciences and Humanities Invention 5, no. 2 (2018): 4387–97. http://dx.doi.org/10.18535/ijsshi/v5i2.02.

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Abstract:
Preserving the forest is a "vital" action for maintaining the climate balance and promoting eco-tourism. The history mentions that the Ivorian forests played an important role in the dynamics of the development of the country because they sheltered a great diversity floristic and wildlife. Unfortunately, from 16 million hectares at the beginning of the last century (1900), the dense rainforest increased to 9 million hectares in 1965 and 3 million hectares in 1991. Today, it is estimated at about 2.5 million hectares. This situation is attributable to extensive agriculture based on the technique of shifting cultivation, the overexploitation of the forest with timber and wood energy and bush fires. Moreover, the phenomenon of forest infiltration with regard to the occupation or colonization of forest areas, particularly in the south-west of the country by migrants to build houses and / or villages, is an important factor in the disappearance of the forest. Also, successive crises that the country has experienced since 1999 until 2010 (post-election), with periods of tension, have led to mass displacements of populations. This regrouping of the populations in turn caused the clearing of the forest areas for their relocation. Thus, from the analysis of the situation of forest pressure in Côte d'Ivoire, the Ministry in charge of the management of the Ivorian forest cover indicates that the accelerated rate of destruction of Ivorian forests has today reached an estimated average of 450,000 hectares a year. The forest situation is catastrophic, if corrective measures are not taken and put into effect, the forest cover is supposed to disappear around 2040. The present work attempts to contribute to the level of reflection undertaken to improve the management of the sector.
 Résumé: Préserver la forêt est une action « vitale » pour le maintien de l’équilibre climatique et la promotion de l’éco-tourisme. L’histoire mentionne que les forêts ivoiriennes ont joué un rôle important dans la dynamique du développement du pays car elles abritaient une grande diversité floristique et faunique. Malheureusement, de 16 millions d’hectares au début du siècle dernier (année 1900), la forêt dense humide est passée à 9 millions d’hectares en 1965 et à 3 millions d’hectares en 1991. Aujourd’hui, elle est estimée à environ 2,5 millions d’hectares. Cette situation est imputable à l’agriculture extensive basée sur la technique des cultures itinérantes sur brûlis, la surexploitation de la forêt en bois d’œuvre et bois énergie et les feux de brousse. Par ailleurs, le phénomène de l’infiltration des forêts au regard de l’occupation ou la colonisation des zones forestières notamment du Sud-Ouest du pays par des migrants pour bâtir les habitations et/ou des villages est un facteur important de la disparition du couvert forestier.Egalement, les crises successives qu’a connues le pays depuis 1999 jusqu’en 2010 (post-électorale), populations. Ce regroupement des populations à son tour, a occasionné le défrichement des zones forestières pour leur relocalisation. Ainsi, de l’analyse de la situation des pressions sur les forêts en Côte d’Ivoire, le ministère en charge de la gestion du couvert forestier ivoirien indique que le rythme accéléré de destruction des forêts ivoiriennes a atteint de nos jours une moyenne estimée à 450.000 hectares par an. La situation des forêts est catastrophique, si des mesures correctives ne sont pas entreprises et mises en vigueur, le couvert forestier doit en principe disparaitre vers 2040. Le présent travail tente d’apporter sa contribution au niveau des réflexions engagées pour améliorer la gestion du secteur.
 Mots clés : forêts classées, parcs et réserves, gestion du couvert forestier, Côte d’Ivoire
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Ouedraogo, Mathieu, and Taladidia Thiombiano. "Déterminants socio-économiques des défrichements agricoles en zone sud-soudanienne du Burkina Faso." Économie rurale, no. 360 (August 15, 2017): 23–41. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.5278.

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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Nso Ngang, André, Cyrille Bergaly Kamdem, Christian Bernard Kaldjob Mbeh, Philippe Pedelahore, Dieudonné Onana, and Joséphine Mireille Akoa Etoa. "Contrat de travail et performance des exploitations cacaoyères dans le Mbam et Kim au Cameroun." African Journal of Agricultural and Resource Economics 15, no. 2 (2020): 111–26. http://dx.doi.org/10.53936/afjare.2020.15(2).08.

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Abstract:
Dans le but d’appréhender l’influence des types de contrat de travail sur les performances des exploitations cacaoyères dans le Mbam et Kim au Cameroun, un échantillonnage raisonné a permis de sélectionner 114 exploitants cacaoyers. L’approche à deux étapes recourant aux modèles Data Enveloppent Analysis (DEA) et Tobit censuré a permis d’analyser l’efficacité des exploitations. Deux types de contrat ont été identifiés: le contrat annuel fixe (CAF) et le contrat par pourcentage de vente (CPV) de cacao récolté. Les résultats montrent que le CPV semble plus performant par rapport au CAF en termes de productivité et de d’allocation. Par ailleurs, l’augmentation de la superficie des exploitations, du nombre de défrichements et le traitement mixte sont les facteurs qui contribuent mieux à l’inefficacité de ces cacaoyères, tandis que la récolte sanitaire, l’augmentation du nombre de réglages d’ombrage et des tailles du cacaoyer sont sources d’efficacité.
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Percy, Kevin E. "Geoscience of Climate and Energy 11. Ambient Air Quality and Linkage to Ecosystems in the Athabasca Oil Sands, Alberta." Geoscience Canada 40, no. 3 (2013): 182. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2013.40.014.

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Abstract:
In 2010, there were 91 active oil sands projects in the Athabasca Oil Sands, Alberta where the Wood Buffalo Environmental Association monitors air quality and related environmental impacts. In 2012, ambient air concentrations of sulphur dioxide, nitrogen dioxide, and ammonia did not exceed the Alberta Ambient Air Quality Objectives. There was one exceedance of these objectives for ground-level ozone, and 62 exceedances for fine particulate matter with aerodynamic diameter ≤ 2.5 microns. There were 170 exceedances of the 1-hour hydrogen sulphide / total reduced sulphur odour threshold. The number of hourly exceedances has decreased since 2009, yet odours remain a serious concern in some communities. Based on the Air Quality Health Index (ozone, nitrogen dioxide, fine particulate matter), the risk from ambient air quality to human health from some pollutants was calculated to be low 96% to 98% of the time depending upon monitoring location, moderate 1% to 3.4%, high ≤ 0.4%, and very high ≤ 0.2% of the year. In a highly regulated setting like the Alberta oil sands, it is critical for stakeholders to quantify the spatial influences of emission source types to explain any consequential environmental effects. Source apportionment studies successfully matched source chemical fingerprints with those measured in terrestrial lichens throughout the region. Forensic receptor modeling showed source types contributing to elemental concentrations in the lichens included combustion processes (~23%), tailing sand (~19%), haul roads and limestone (~15%), oil sand and processed materials (~15%), and a general anthropogenic urban source (~15%). Re-suspended fugitive dust from operations, tailings dikes, quarrying, on-road transportation, and land clearing was found to contribute enrichment to a much greater degree than the hitherto assumed combustion source type.SOMMAIREEn 2010, il y avait 91 projets d’extraction en cours dans les sables bitumineux de l’Athabasca en Alberta, soit dans le secteur où la Wood Buffalo Environmental Association mesure la qualité de l'air et les répercussions sur les milieux de vie. En 2012, les concentrations dans l'air ambiant de dioxyde de soufre, le dioxyde d'azote et d'ammoniac n’ont pas dépassé les niveaux fixés par l’Alberta Ambient Air Quality Objectives. Il y a eu 1 dépassement de ces objectifs pour la concentration de l'ozone au niveau du sol, et 62 dépassements pour la concentration des particules fines d'un diamètre aérodynamique ≤ 2,5 micromètres. Il y a eu 170 dépassements pour la concentration du sulfure d’hydrogène pendant 1 heure / du seuil de l’odeur total de soufre réduit. Le nombre des dépassements horaires a diminué depuis 2009, mais les odeurs demeurent un grave problème dans certaines communautés. En fonction de la Cote air santé (ozone, dioxyde d'azote, particules fines), le risque de la qualité de l'air ambiant pour la santé humaine de certains polluants a été qualifiée de faible pour 96 % à 98 % des cas selon lieu de la mesure, de modérée dans 1 % à 3,4 %, plus élevé dans ≤ 0,4% des cas, et de très élevé dans ≤ 0,2% de l’année. Dans un cadre très réglementé comme celui des sables bitumineux de l'Alberta, il est essentiel pour les parties prenantes de quantifier spatialement les répercussions des divers types de sources d'émissions dans le but d’expliquer les conséquences sur les milieux de vie. Les études d’attribution des sources ont très bien recoupé celles des empreintes chimiques des sources mesurées dans les lichens terrestres dans toute la région. La modélisation par récepteurs forensiques a montré que les types de sources qui contribuent aux concentrations élémentaires dans les lichens proviennent des procédés de combustion (~ 23%), des sables résiduels (~ 19%), des routes de transport et du calcaire (~ 15%), des sables bitumineux et des matériaux transformés (~ 15%) et d’une source urbaine anthropique générale (~ 15%). On a établi que les poussières diffuses remises en suspension provenant de l'exploitation, les digues de résidus, les carrières, le transport routier et le défrichement contribuent à l’augmentation de la concentration à un degré beaucoup plus élevé que la combustion, qu’on ne l’avait estimé jusqu’à présent.DOI: http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2013.40.014
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Chartier, Guy. "Les toponymes des Xe et Xle siècles relatifs aux défrichements sur le territoire de l'actuelle Seine-Maritime." Annales de Normandie 47, no. 1 (1997): 25–42. http://dx.doi.org/10.3406/annor.1997.4778.

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Schwartz, Dominique, Michel Thinon, Stéphanie Goepp, et al. "Premières datations directes de défrichements protohistoriques sur les chaumes secondaires des Vosges (Rossberg, Haut-Rhin). Approche pédoanthracologique." Comptes Rendus Geoscience 337, no. 14 (2005): 1250–56. http://dx.doi.org/10.1016/j.crte.2005.06.004.

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Nordman, Daniel. "Frontière, histoire et écologie (Note critique)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 43, no. 1 (1988): 277–84. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1988.283484.

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Abstract:
Comme l'indiquent le titre et le sous-titre de l'ouvrage de William H. TeBrake, la monographie régionale, objet de cette étude, s'inscrit d'emblée dans un effort de compréhension globale et systématique. Un des premiers chapitres, prolongé par divers rappels dans le corps du livre, fonde en effet une problématique qui s'inspire expressément de quelques idées-forces. Frontière d'abord. Ce sont évidemment Turner et sa postérité qui sont à l'origine du concept, mais TeBrake, beaucoup plus explicitement, s'appuie sur un article du médiéviste Archibald R. Lewis qui s'attache à distinguer deux sortes de frontières : l'une, externe, périphérique par rapport au coeur de l'Europe (donc par rapport à un ensemble géographique comprenant la France, l'Italie centrale et septentrionale, le sud-est de l'Angleterre, les Pays-Bas, l'Allemagne), zones de contacts, de rencontres et d'affrontements, souvent militaires, mais non exclusivement, qui mettent aux prises cette Europe étroitement définie et divers mondes étrangers (musulman, Scandinave, ou slave…) ; l'autre, frontière interne, c'est-à-dire intérieure à l'espace précédent, marquée par l'extension des cultures aux dépens de l'Europe sauvage, grâce aux défrichements et à la colonisation agricole, et par la transformation des paysages. C'est à ce deuxième genre de frontière que se réfère TeBrake dans son ouvrage, et dans un sens strictement géographique (p. 2).
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Courtot, Roland. "Sous la forêt secondaire, défrichements, pâturages et reboisements : deux exemples sur les plateaux entre Aix-en-Provence et la montagne Sainte-Victoire." Méditerranée 75, no. 1 (1992): 81–92. http://dx.doi.org/10.3406/medit.1992.2756.

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Dourma, Marra, Kperkouma Wala, Kutzo-Atsu Guelly, et al. "Typologie, caractéristiques structurales et dynamique des faciès forestiers fragiles à Isoberlinia spp. en vue de leur gestion au Togo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 313, no. 313 (2012): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.313.a20494.

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Abstract:
Les forêts claires à Isoberlinia spp. du domaine soudanien du Togo, rencontrées aussi bien sur les versants que dans les plaines, subissent diverses pressions telles que les défrichements agricoles, l'exploitation du bois de service et de feu ou encore la collecte des produits forestiers non ligneux. Ces forêts ainsi dégradées accentuent la paupérisation des populations riveraines qui en dépendent. Afin de contribuer à leur gestion durable au profit de ces populations locales, il s'avère nécessaire d'analyser l'impact des pressions anthropiques sur la structure de ces forêts. Des inventaires forestiers y ont été conduits. Les travaux ont porté sur 4 783 arbres au sein de 225 placeaux de mesures. Plus de cent espèces ligneuses ont été inventoriées comprenant 79 genres et 32 familles, les plus fréquentes étant Isoberlinia doka, Pterocarpus erinaceus, Lannea acida, Isoberlinia tomentosa, Vitellaria paradoxa, Daniellia oliveri et Parkia biglobosa. Les relevés ont permis de déterminer quatre gradients écologiques majeurs : l'humidité, la topographie, le substrat édaphique et l'anthropisation. La classification a identifié neuf faciès forestiers dont quatre en forêts claires, trois en savanes boisées et deux au sein de jachères. En outre, trois composantes structurales ont été définies en analysant la structure diamétrique des neuf faciès. Enfin, il a été aisé de distinguer, d'une part, les forêts naturelles peu perturbées, présentant une stabilité floristique bénéficiant d'un flux de régénération continu, ainsi qu'une régularité de structure, et, d'autre part, les forêts dégradées qui se caractérisent par l'absence de tiges de grande taille et le faible potentiel de régénération. La pression humaine qui s'exerce sur ces forêts fragiles ne peut qu'inciter à reboiser les espaces dégradés, en mettant à profit les techniques de multiplication végétative à faible coût. Reste surtout à atteindre une prise de conscience de la part des populations riveraines pour ce qui a trait à la conservation de ces milieux, et aboutir à une gestion participative.
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Sevrin, Robert. "Comparaison des paysages issus des défrichements médiévaux (Géronsarts) de la deuxième moitié du XVIIIe siècle (Tournaisis-Pévèle) et du XIXe siècle (Forêts des princes de Chimay)." Hommes et Terres du Nord 2, no. 1 (1986): 186–89. http://dx.doi.org/10.3406/htn.1986.2067.

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Ceperley, Natalie, Florencia Montagnini, and Armand K. Natta. "Importance des sites sacrés pour la conservation des forêts-galeries au Centre-Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 303, no. 303 (2010): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.303.a20450.

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Abstract:
Les mares, bassins ou sites sacrés de forêtsgaleries le long des cours d'eau, encore appelés Íbú ódó en langue Tchabè, sont respectés par les communautés Tchabè le long des fleuves Ouémé et Okpara au Centre-Bénin (Afrique de l'Ouest). Le caractère sacré de ces sites et points d'eau a un impact évident sur la conservation de la biodiversité, à travers la prohibition de l'utilisation des poisons pour la pêche, de la pollution des eaux, l'interdiction de l'élevage, les défrichements dans leur voisinage immédiat, etc. La structure et la diversité des forêts-galeries et Íbú ódó ont été examinées dans trois sites différents (Djabata, Idadjo et Monka) de forêts-galeries adjacents à des sites et points d'eau sacrés. En outre, les caractéristiques des forêts-galeries ont été analysées du point de vue des différents modes d'utilisation et de gestion des terres, en zones agricole, domaines utilisés par les villages et sites sacrés des religions traditionnelles. La diversité des ligneux (dbh 10 cm) est plus élevée dans les sites des forêts sacrées, tandis que la surface terrière est plus grande dans les sites à forte emprise humaine ou adjacents aux Íbú ódó. Sur le plan floristique, les forêts-galeries les plus éloignées des villages sont les plus diversifiées, avec les plus grandes surfaces terrières. L'enquête ethnobotanique auprès des anciens et des chefs chasseurs a révélé l'importance culturelle et la diversité des ressources des sites de forêtsgaleries sacrés. Les Íbú ódó sont respectés par tous les villageois y compris les immigrants et colons agricoles non Tchabè. Les fonctions des écosystèmes riverains (telles que brisevent, fertilité des sols, sites privilégiés de chasse) sont reconnues et valorisées par les populations riveraines. La présente étude recommande d'inclure les sites sacrés de forêts-galeries dans une stratégie de gestion durable du bassin du fleuve Ouémé, afin d'inverser la destruction de la végétation et de préserver la diversité des forêts-galeries. C'est une nécessité pour un contrôle efficace des inondations et la conservation de la biodiversité au Centre-Bénin. (Résumé d'auteur)
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Sambi, Kambire. "Impact de la Phénologie des Espèces Ligneuses Préservées de Savane sur L’évolution des Milieux Modifiés par L’activité Anthropique dans le Nord-Est Ivoirien. L’exemple des Savanes Soudaniennes de la Région de Bouna." European Scientific Journal, ESJ 17, no. 37 (2021): 69. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n37p69.

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Abstract:
Les savanes soudaniennes sont caractérisées par les groupements d’arbres utiles protégés, organisés en vergers ou en parcs. Ces ligneux conduisent à un retour remarquable à la physionomie originelle des divers faciès de végétation profondément modifiés à travers l’apparition et la chute de leurs feuilles, fleurs et fruits. On peut alors s’interroger sur le rôle de ces phases phénologiques dans la restauration des milieux transformés par l’activité anthropique. Cette étude vise à montrer le processus de régénération des milieux transformés par l’homme à partir des cycles phénologiques des ligneux épargnés par les défrichements. Elle contribue à améliorer la capacité des communautés rurales à planifier et à gérer durablement les ressources environnementales en savanes soudaniennes. Elle repose sur le postulat d’une restauration des faciès des milieux végétaux modifiés à partir de la dissémination du stock au sol des organes des diverses espèces protégées. L’analyse des stades phénologiques de ces espèces ligneuses est effectuée à partir de relevés réalisés tous les 15 jours du début de la saison sèche à la fin de l’hivernage. Les résultats indiquent que leurs recrûs verts, à partir des fruits disséminés ou des racines, permettent la reconquête ligneuse des milieux abandonnés à la jachère.
 The sudanese savannahs are characterized by useful protected species of trees, organized in orchards or parks. This woody stand involves remarkable modifications of the physiognomy of the different facies of the vegetation by appearance and fall of their leaves, flowers and fruits. We can therefore wonder about the role of these phenological modifications in restoring the environments modified by humans. This study aims to show the process of regeneration of environments transformed by humans from the phenological cycles of the ligneous species spared by clearing. It contributes to improving the capacity of rural communities to plan and sustainably manage environmental resources in the sudanese savannahs. It is based on postulate of a restoration of facies of transmormed plant environments from dissemination of the stock on soil of the organs of the various protected species. The phenological stages of these woody species are analyzed on the basis of surveys carried out every two weeks from the start of the dry season to the end of the rainy season. The results show that their green regrowth, from scattered fruits or roots, allow the woody reconquest of environments abandoned to fallow.
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VIGER, Solange. "Demander une autorisation de défrichement." Métier : responsable environnement, April 2012. http://dx.doi.org/10.51257/f-0209.

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Vandenbroucke, David, and Jean-Louis Vanden Eynde. "Du défrichement eu déchiffrement: le prinsenkasteel de Grimbergen." lieuxdits, October 3, 2019, 32–35. http://dx.doi.org/10.14428/ld.vi13.22353.

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Kambire, Sami Blaise, Karim Ouattara, Elie Bandama Bogui, et al. "Caractérisation des Facteurs de Menace sur une Population Sauvage de Mones de Lowe Cercopithecus lowei Thomas, 1923 dans la Relique Forestière l’Université Nangui Abrogoua, Côte d’ivoire." European Scientific Journal ESJ 7, no. 1 (2022). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.7.2022.p415.

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Abstract:
Les Primates non-humains sont observés dans les milieux périurbains sans protection, où leur survie est menacée, notamment à cause de l’urbanisation galopante qui réduit l’habitat et la disponibilité alimentaire. C’est le cas d’une population de Mones de Lowe, espèce vulnérable selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature, localisée dans la forêt de l’Université NANGUI ABROGOUA (UNA), à Abidjan en Côte d’Ivoire. Le présent travail a pour but d’approfondir les connaissances sur les principales menaces qui pèsent sur cette population de Primates isolée dans cette forêt de 10 hectares bordée de plantations expérimentales et familiales. Un suivi journalier des Mones en utilisant la méthode d’observation par balayage régulier des groupes et les observations Ad libitum d’événements rares a permis de noter les indices directs d'agression sur les Mones et leur habitat pendant 24 mois, en 2018 et 2019. L’identification des indices indirects s’est basée sur des interviews semi-directs de personnes qui fréquentent ladite forêt. Les résultats montrent que trois facteurs directs liés aux activités anthropiques constituent les plus grandes menaces sur ces Mones et leur habitat : la pollution physique avec 71, 24 % des observations (N = 1510) ; le défrichement agricole avec 15, 21 % et le braconnage qui totalise 13,50 % de l’ensemble des facteurs de menace. Au sujet des facteurs indirects, les personnes interrogées (N = 401) évoquent par ordre d’importance, le manque de volonté administrative à 32,7%, l’inaction des autorités en charge de la protection de la faune à 20,9 % et le manque de surveillance de ces Primates (16,8 %).
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"Défrichement sans autorisation. Sanctions. Article 313-1 du Code forestier. Peines d'amende. Obligation de remise en état imposée par l'autorité administrative. Indépendance de la sanction pénale et de la sanction administrative. Loi d'amnistie sans effet sur la sanction administrative dès lors que l'infraction est constituée. Défrichement en vue de l'aménagement de chemins forestiers. Opération subventionnée par le ministère de l'Agriculture. Subvention ne tenant pas lieu de l'autorisation exigée par l'article 311-1 du Code forestier. Conseil d'État, 16 décembre 1987 Ministre de l'Agriculture c/ S. C.I. « Les Genêts » et « Les Caroubiers » (Req. n° 46-056)." Revue Juridique de l'Environnement 13, no. 2 (1988): 169–70. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1988.2341.

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"Autorisation de défrichement en vue de la création d'une unité touristique nouvelle comportant un complexe immobilier et deux terrains de golf. Contenance de 74 hectares. Absence d'enquête publique. Procédure expressément imposée par la loi. Mesures de publicité et d'information réalisées à l'occasion d'autres procédures ne pouvant tenir lieu d'enquête publique. Illégalité de l'arrêté du ministre. Tribunal administratif de Grenoble, 15 juin 1989 Association FRAPNA Haute-Savoie." Revue Juridique de l'Environnement 16, no. 2 (1991): 209–10. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1991.2698.

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"Modification du S.D.A.U. Nemours-Gâtinais permettant la création d'un golf et le défrichement de 24,5 hectares de forêt. Incompatibilité avec les orientations du S.D.A.U. de la région Ile-de-France concernant la protection des espaces boisés. S.D.A.U.R.I.F. ayant valeur de prescription particulière au sens de l'article L. 111-1-1 du Code de l'urbanisme. Conseil d'État, 23 octobre 1992 Commune de Poligny c/ Association de défense de la vallée du Loing et des sites environnants et Association des amis de la forêt de Fontainebleau." Revue Juridique de l'Environnement 18, no. 2 (1993): 305–6. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1993.2973.

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