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1

Gold. "Diagnostic et traitement de la démence vasculaire." Praxis 93, no. 33 (August 1, 2004): 1311–16. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.93.33.1311.

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Abstract:
La démence vasculaire est la deuxième cause de démence après la maladie d'Alzheimer. Il en existe en fait plusieurs types dont les mécanismes sous jacents sont différents: infarctus unique ou multiples liée à une pathologie des gros vaisseaux, pathologie ischémique sous-corticale liée à une maladie des petits vaisseaux, hémorragies et hypoperfusion. De plus, les lésions vasculaires existent souvent conjointement avec des lésions de type Alzheimer, aboutissant à une démence de type mixte. Le diagnostic doit être évoquée devant une démence, des signes cliniques ou radiologiques de pathologie vasculaire et la présence d'un lien entre les deux. Sur le plan thérapeutique, l'émergence de stratégies préventives et les récents résultats obtenus avec les inhibiteurs de l'acétylcholinestérase et la mémantine sont encourageants.
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2

Rigaud, A. S., F. Latour, H. Lenoir, C. Bayle, M. L. Seux, O. Hanon, R. Péquignot, et al. "Prise en charge thérapeutique de la démence." EMC - Traité de médecine AKOS 1, no. 1 (January 2006): 1–5. http://dx.doi.org/10.1016/s1634-6939(05)37760-x.

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3

Rigaud, A. S., F. Latour, H. Lenoir, C. Bayle, M. L. Seux, O. Hanon, R. Péquignot, et al. "Prise en charge thérapeutique de la démence." EMC - Médecine 2, no. 2 (April 2005): 145–51. http://dx.doi.org/10.1016/j.emcmed.2004.11.002.

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4

Gueyraud, Cédric, Marie Anaut, Stéphane Sanchez, Philippe Denormandie, Anthony Bathsavanis, and Pierre Krolak-Salmon. "Démence et thérapeutique non médicamenteuse, efficacité du cadre ludique." Soins Gérontologie 22, no. 125 (May 2017): 27–31. http://dx.doi.org/10.1016/j.sger.2017.03.006.

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5

Vercelletto, M. "C18 Prise en charge thérapeutique actuelle de la démence frontotemporale." Revue Neurologique 165, no. 10 (October 2009): 28. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(09)72571-8.

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6

Lebert, F., and E. Le Rhun. "Prise en charge thérapeutique de la démence à corps de Lewy." Revue Neurologique 162, no. 1 (January 2006): 131–36. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(06)74993-1.

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7

Bourgeois, M. "Limites de la dépression." Psychiatry and Psychobiology 3, S1 (1988): 53s—62s. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00002650.

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Abstract:
RésuméDéfinir la dépression sur une base physiopathogénique, ou un modèle de (dés)organisation psychopathologique, ou même une sommation (syndromique ?) de symptômes, reste problématique. Une autre façon de la définir est d’en tracer les frontières. Dans cet exposé l’auteur indique les limites entre états dépressifs d’une part, et d’autre part : la normalité psychique (démoralisation, deuil normal, etc.), la schizophrénie (états sehizo-affectifs), I anxiété (états anxiodépressifs), la démence (pseudodémence dépressive en particulier), les syndromes thymiques organiques, les troubles de la personnalité (et la dysthymie), la manie (et les états mixtes). Une limite de l’approche catégorielle réside dans la tentation de multiplier les catégories intermédiaires qui permettent ainsi moins de rigueur clinique. D’un point de vue pragmatique, au nombre restreint des grandes classes de médicaments psychotropes devrait correspondre un nombre limité de modèles nosographiques. La polypharmacie (ou matracagc thérapeutique) correspond souvent à une indécision diagnostique. Les épreuves thérapeutiques limitées dans le temps devraient être conduites avec rigueur, conviction et constance, en monothérapie, en congruence avec une hypothèse diagnostique, même si cela peut conduire par exemple à une définition circulaire (et inexacte) de la dépression comme état curable par les antidépresseurs.
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8

Saulnier, I., A. Labrousse, M. A. Picat, J. Martin, N. Tubiana-Mathieu, and T. Dantoine. "Dépistage de la démence: un enjeu dans la décision thérapeutique du sujet âgé atteint de cancer." Les cahiers de l'année gérontologique 1, no. 1 (March 2009): 10–13. http://dx.doi.org/10.1007/s12612-009-0002-3.

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9

Revol, Aurélie. "Prescription de cannabis à usage thérapeutique pour les personnes âgées atteintes de démence : l’engouement des proches aidants." Psychotropes 25, no. 2 (2019): 129. http://dx.doi.org/10.3917/psyt.252.0129.

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Dejean, C., F. Chabaud, E. Pigeot, R. Bouet, D. Richard, and D. Levy-Chavagnat. "Évolution des pratiques de prescription des benzodiazépines et apparentés. Qu’en est-il de leur association ?" European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 655. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.031.

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Abstract:
IntroductionL’utilisation prolongée et les associations de benzodiazépines (BZD) anxiolytiques et hypnotiques exposent à des risques à court et long terme (dépendance, démence, troubles psychomoteurs…). Selon la Haute Autorité de santé (HAS), il n’y a pas lieu d’associer une BZD et un apparenté (zopiclone ou zolpidem) le soir.Objectifs– Évaluer les habitudes de prescription des BZD et de leurs apparentés hypnotiques dans une population de patients suivis en psychiatrie hospitalière.– Suivre sur 6 années l’évolution de ces pratiques de prescription et l’émergence d’alternatives thérapeutiques aux BZD.– Établir un parallèle avec les recommandations et les actualités de la littérature au sujet de ces risques pendant cette même période.MéthodeL’étude rétrospective a été réalisée au centre hospitalier Henri-Laborit (Poitiers) en sélectionnant les ordonnances informatisées comportant des BZD et/ou apparentés sur une période allant du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2013, par tranche d’une année. Les associations de ces molécules et leurs posologies ont été répertoriées.RésultatsL’analyse de 6511 ordonnances a notamment mis en évidence que la prescription de zolpidem ou zopiclone seuls, sans association à une benzodiazépine, est majoritaire (77,5 % des ordonnances en moyenne) jusqu’en 2010. Puis elle diminue fortement (plus que 38 % en 2013) et elle est inférieure à celle de benzodiazépine seule pendant les 3 années suivantes. Parallèlement, le nombre total d’ordonnances dans cet hôpital est en constante augmentation. L’association de benzodiazépine et d’apparentés sur une même ordonnance reste peu courante, dans 2 % des prescriptions en moyenne, mais la prise des deux se situe le soir dans 91 % des cas (69–100 %).ConclusionL’étude montre une diminution de prescription d’hypnotiques apparentés aux BZD, allant de pair avec les mises en garde sur leurs effets indésirables et aux actions de l’HAS. Leur association en soirée à des BZD reste présente et une étude prospective auprès des prescripteurs pour connaître leur choix d’alternative thérapeutique est nécessaire.
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Madigand, J., and P. Lebain. "Complexité diagnostique d’un syndrome catatonique en psychiatrie et neurologie : à propos d’un cas." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 48–49. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.126.

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Abstract:
IntroductionLa catatonie reste sous-diagnostiquée du fait de la diversité clinique qu’elle revêt [2]. ObservationNous rapportons le cas d’une femme de 55 ans adressée en neurologie par un service psychiatrique pour aide diagnostique sur troubles du comportement de type apragmatisme. Ses antécédents comprennent 4 hospitalisations en psychiatrie sur 3 ans pour le même motif sans diagnostic précis, un syndrome malin des neuroleptiques et un traumatisme crânien sans complication somatique. En septembre 2012, la patiente est réhospitalisée pour récidive de troubles du comportement (apragmatisme, dyspraxies, stéréotypies gestuelles, fuite du regard) apparus sur une dizaine de jours. L’examen neurologique est normal. Les IRM cérébrales sans injection de 2007 à 2012 montrent des lésions de la substance blanche multiples sus-tentorielles aspécifiques, stables. Les scintigraphies cérébrales à 4 mois d’intervalle sont stables et montrent une hypoperfusion diffuse isolée du carrefour fronto-temporo-pariétal gauche. Le reste du bilan étiologique est négatif. L’hypothèse diagnostique de démence frontotemporale est retenue, cependant l’installation rapidement progressive évoque une étiologie psychiatrique. Malgré la mise en place d’un antidépresseur (IRS) depuis un mois son état s’aggrave. Après passation des échelles de Bush et Peralta objectivant des critères de catatonie, un test au lorazepam est réalisé montrant une amélioration clinique rapide et spectaculaire.DiscussionL’intrication des symptômes neurologiques et psychiatriques dans la catatonie conduit souvent à une impasse diagnostique, sachant que sans traitement efficace, sa morbi-mortalité est importante [1]. ConclusionTout syndrome neuropsychiatrique atypique avec bilan somatique non concluant doit conduire à l’utilisation des échelles diagnostiques de catatonie, et le cas échéant à un test au lorazepam, pour ne pas retarder la thérapeutique.
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Amano, Tamaki, and Motomi Toichi. "Efficacité de la méthode EMDR-sur-le-champ pour le traitement de symptômes comportementaux chez des patients atteints d'une démence sévère." Journal of EMDR Practice and Research 9, no. 3 (2015): 105E—122E. http://dx.doi.org/10.1891/1933-3196.9.3.105.

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Abstract:
Bien que les symptômes principaux de la démence consistent en des déficits neuropsychologiques, affectant particulièrement la mémoire à long terme, la démence comporte souvent des symptômes comportementaux et psychologiques sévères de démence (SCPD). Chez bon nombre de patients, les SCPD ne sont pas traitables par voie médicamenteuse. De tels SCPD partagent souvent certaines caractéristiques avec les symptômes traumatiques et semblent liés au rappel d'événements traumatiques perturbants passés. Comme le protocole EMDR (désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires) standard n'est pas directement applicable aux patients atteints de démence, nous avons développé un protocole modifié : la méthode EMDR-sur-le-champ. Cette étude décrit le protocole et évalue son application à trois patients atteints d'une démence modérée à sévère. Des effets thérapeutiques clairs étaient manifestes et les trois individus ont montré une amélioration marquée de leurs SCPD, avec des résultats maintenus lors du suivi après 6 mois. La pertinence de ces résultats est discutée et des suggestions sont formulées pour la recherche future.
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Lacomblez, L. "C19 Démences : perspectives thérapeutiques." Revue Neurologique 165, no. 10 (October 2009): 28–29. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(09)72572-x.

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Roger, Kerstin, Lorna Guse, Elaine Mordoch, and Angela Osterreicher. "Social Commitment Robots and Dementia." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 31, no. 1 (February 16, 2012): 87–94. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980811000663.

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Abstract:
RÉSUMÉEn 2010, 500 000 Canadiens étaient atteint d’une maladie liée à une démence. On estime que le nombre des malades va doubler en environ 25 ans. Pour cause de ce groupe démographique croissant, la démence de plus en plus (le plus souvent causée par la maladie d’Alzheimer) exercera un impact significatif sur notre communauté vieillissante et ses soignants. La démence est associée à des comportements difficiles tels que l’agitation, l’errance et l’agression. Les prestataires de soins doivent trouver des stratégies novatrices afin de faciliter la qualité de vie pour cette population; d’ailleurs, de telles stratégies doivent valoriser l’individu. Les robots socialement engagés – conçu spécifiquement à la communication et aux fins thérapeutiques – fournir un moyen d’atteindre cet objectif. Cet article décrit une étude dans laquelle Paro (un bébé phoque robotique) a été utilisé dans le cadre d’un programme de formation d’été pour étudiants. Les conclusions préliminaires suggèrent que l’integration des robots socialement engagés peuvent se révéler comme utiles cliniquement en milieux de soins de longue durée.
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Pahin, A., E. Haffen, D. Sechter, and P. Vandel. "Stratégies thérapeutiques des troubles psychocomportementaux dans la démence." EMC - Psychiatrie 8, no. 3 (January 2011): 1–14. http://dx.doi.org/10.1016/s0246-1072(11)57930-1.

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Seux, M. L., C. Bayle, H. Lenoir, F. Latour, R. Pequignot, O. Hanon, M. A. Artaz, et al. "Actualités cliniques et thérapeutiques dans les démences." NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie 4, no. 23 (October 2004): 26–32. http://dx.doi.org/10.1016/s1627-4830(04)97971-8.

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Albaret, G., and S. Debette. "Microangiopathie cérébrale et démence : de la physiopathologie aux perspectives thérapeutiques." Pratique Neurologique - FMC 9, no. 2 (April 2018): 140–44. http://dx.doi.org/10.1016/j.praneu.2018.02.003.

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Ouango, J. G., P. Goumbri, K. Karfo, B. Nana, and A. Ouédraogo. "Caractéristiques sociodémographiques, cliniques et thérapeutiques de la démence au Burkina Faso." NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie 14, no. 81 (June 2014): 163–68. http://dx.doi.org/10.1016/j.npg.2013.11.003.

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Clery-Melin, P. "Vulnérabilité psychique de l’avancée en âge." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 575–76. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.269.

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Abstract:
La transition vers le grand âge s’accompagne de modifications neurobiologiques, physiques, psychologiques et environnementales augmentant le risque de décompensation psychiatrique. Cette vulnérabilité psychique du sujet âgé intègre des dimensions multiples endophénotypiques (génétiques, épigénétiques), diachroniques (traumas précoces, expériences de vie passées) et synchroniques (facteurs de stress actuels liés à la transition vers le grand âge). Les schémas cognitifs précoces inadaptés et les schémas de détresse subjective plus spécifiques de la personne âgée ont été identifiés comme possible marqueur de vulnérabilité psychologique à la dépression [1]. Tout particulièrement la réactivité cognitive, définie comme la propension à l’activation des schémas dans des contextes de stress de moins en moins importants au fur et à mesure des épisodes dépressifs successifs, pourraient être l’expression au niveau psychologique de dysrégulations neurobiologiques sous-tendant la vulnérabilité psychique [2]. Un des mécanismes neurobiologiques souvent impliqué dans cette vulnérabilité psychique du sujet âgé est la perturbation de l’axe du stress (hypothalamo-hypophyso-surrénalien) [3] avec une hypercortisolemie sérique et atrophie hippocampique secondaire expliquant aussi que la dépression du sujet âgé représente un facteur de risque important de développer une démence ultérieure [4]. La relation dépression tardive/démence est probablement bidirectionnelle, la physiopathologie de la maladie Alzheimer pouvant aussi induire une atrophie hippocampique, les symptômes dépressifs représente alors un prodrome du processus neurodégénératif. Cette session thématique propose en première partie un exposé du concept de vulnérabilité psychique du sujet âgé particulièrement pertinent dans une démarche de screening de patients à risque pour lesquels des mesures thérapeutiques spécifiques doivent être proposées. Puis sera abordé le concept de réactivité cognitive et ses liens probables avec des dyrégulation des systèmes hippocampiques et amygdaliens. Enfin, les liens entre dépression tardive et démence seront analysés sur les plans épidémiologiques et physiopathologiques.
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Melac, A., A. Tanguy, and M. C. Bralet. "Démence à corps de Lewy et psychiatrie." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S125. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.242.

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Abstract:
IntroductionLa maladie à corps de Lewy est la seconde cause de démence. Il persiste malgré cela de fréquentes errances diagnostiques, notamment lors de manifestations initiales psychiatriques.MéthodesNous présentons le cas clinique de M F., 60 ans, hospitalisé pour la seconde fois en psychiatrie suite à des troubles du comportement à domicile. Il avait été pris en charge 3 ans auparavant en ambulatoire pour épisode dépressif majeur avec éléments psychotiques , traité par paroxetine et rispéridone. Il a été dans un second temps hospitalisé devant un tableau hypomaniaque, ayant abouti à un diagnostic de trouble bipolaire et la mise en place d’un traitement par valpromide. Aucun bilan neurologique ou neuropsychologique n’avait été effectué.RésultatsAu cours de l’hospitalisation, le patient a présenté des fluctuations cognitives, un parkinsonisme, des idées délirantes systématisées à thématique de persécution et une hypersensibilité aux neuroleptiques. Ont été également notés une anosognosie, des troubles du sommeil , des éléments maniaques atypiques avec des achats compulsifs et une désinhibition. Le traitement thymorégulateur initial associé à la loxapine a été inefficace et mal toléré. L’arrêt de l’antipsychotique a permis une nette amélioration clinique. Un traitement par valproate a été secondairement initié, permettant un bon apaisement comportemental. La biologie, le scanner cérébral et l’IRM cérébrale ont éliminé les étiologies organiques courantes. Le bilan neuropsychologique a orienté le diagnostic (troubles des fonctions visuo-spatiales , de l’attention et des fonctions exécutives) vers une probable maladie à corps de Lewy.DiscussionLes éléments cliniques peuvent être en accord avec un trouble bipolaire. Mais le terrain, l’anamnèse, les signes atypiques, la réponse aux différentes thérapeutiques et le bilan neuropsychologique orientent vers une maladie à corps de Lewy. On note donc l’importance d’associer au recueil clinique un bilan neurologique et neuropsychologique en pratique courante.
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Benoît, M. "C28 Apathie et démotivation dans les démences : approches clinique et thérapeutique." Revue Neurologique 165, no. 10 (October 2009): 34. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(09)72581-0.

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Yzoard, M., M. Batt, A. Trognon, F. Verhaegen, C. Jacob, A. Pop, L. Bernez, R. Fescharek, and T. Rivasseau-Jonveaux. "Jardin thérapeutique et démences : le dialogue comme unification des fonctions psychologiques." NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie 17, no. 100 (August 2017): 253–63. http://dx.doi.org/10.1016/j.npg.2016.07.002.

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Rousseau, Th. "Approches thérapeutiques des troubles cognitifs et de la communication dans les démences." Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 17, no. 1 (March 2007): 45–52. http://dx.doi.org/10.1016/s1155-1704(07)89702-3.

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Ionita, A. "Différentes dimensions de la vulnérabilité psychique du sujet âgé." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 576. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.270.

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Abstract:
La transition vers le grand âge s’accompagne des modifications neurobiologiques, physiques, psychologiques et environnementales augmentant le risque de décompensation psychiatrique. Cette vulnérabilité psychique du sujet âgé intègre des dimensions multiples endophénotypiques (génétiques, épigénétiques), diachroniques (traumas précoces, expériences de vie passées) et synchroniques (facteurs de stress actuels liés à la transition vers le grand âge). Les troubles psychiatriques, sous diagnostiqués dans ce groupe d’âge sont représentés notamment par la dépression, suivie des troubles anxieux, abus de substance et suicide. Un des mécanismes neurobiologiques impliqué dans cette vulnérabilité psychique du sujet âgé est la perturbation de l’axe du stress (hypothalamo-hypophyso-surrénalien) [1]. Deux profiles sont retrouvés dans la dépression chez la personne âgée : une hypercortisolemie urinaire, marquer de vulnérabilité à la dépression a tout âge et l’hypocortisolemie urinaire retrouvée chez des personnes âgées déprimés avec plus de fragilités physiques [2]. L’ hypercortisolémie sérique est une cause possible d’atrophie hippocampique secondaire, la dépression du sujet âgé représentant ainsi un facteur de risque important d’une démence ultérieure [3]. La relation dépression tardive/démence est probablement bidirectionnelle, la physiopathologie de la maladie Alzheimer pouvant induire une atrophie hippocampique, les symptômes dépressifs représentent alors un prodrome du processus neurodégénératif.La dépression représente le trouble psychiatrique le plus fortement associé aux conduites suicidaires chez la personne âgée (60–90 % des cas). La vulnérabilité suicidaire chez le sujet âgé semble avoir comme mécanismes étiopathogénique spécifique le vieillissement pathologique [4]. L’atrophie cérébrale au cours du vieillissement affecte les circuits connectant le cortex frontal aux noyaux gris centraux qui jouent un rôle important dans la régulation des comportements, des émotions et des fonctions cognitives complexes.Détecter la vulnérabilité psychique chez le sujet âgé est particulièrement pertinent dans une démarche de screening des patients à risque pour lesquels des mesures thérapeutiques spécifiques doivent être proposées.
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Colinet, Catherine, Marc Clepkens, and Philippe Meire. "Le parent «dément» et l'accompagnement thérapeutique de son aidant naturel." Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux 31, no. 2 (2003): 165. http://dx.doi.org/10.3917/ctf.031.0165.

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Martin, Pascal. "État de la recherche clinique sur l’approche Snoezelen utilisée en milieu résidentiel spécialisé." Revue francophone de la déficience intellectuelle 26 (May 18, 2016): 161–80. http://dx.doi.org/10.7202/1037056ar.

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Abstract:
Cet article met en perspective des études récentes qui se réalisent à travers le monde sur les effets positifs des environnements Snoezelen auprès des personnes dépendantes en institution. Les participants qui bénéficient de ces enveloppes thérapeutiques sont des enfants, adolescents et adultes présentant une déficience intellectuelle avec troubles associés, y compris les personnes ayant des troubles envahissant du développement ou présentant de l’instabilité émotionnelle. Ces soins s’adressent aussi aux personnes âgées ayant des démences et aux personnes présentant des troubles psycho-comportementaux et psychiatriques. Les résultats d’une étude à l’autre sont variés, mais pour la plupart d’entre elles, il est noté qu’une régulation émotionnelle est constatée. Et, il semble qu’une relation entre les stimulations sensorielles et la réduction de troubles du comportement soit établie. Dans tous les cas, Snoezelen semble favoriser la relaxation, la détente, l’apaisement psychique, tout en procurant aux individus un état de bien-être.
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Buée, Luc, David Blum, Stéphanie Bombois, Valérie Buée-Scherrer, Marie-Laure Caillet-Boudin, Morvane Colin, Vincent Deramecourt, et al. "Comment les acteurs moléculaires de la pathologie Alzheimer permettent de comprendre la démence ? Quelles conséquences diagnostiques et thérapeutiques ?" Therapies 65, no. 5 (September 2010): 401–7. http://dx.doi.org/10.2515/therapie/2010054.

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Thifault, Marie-Claude. "« C’est une impossibilité scientifique et matérielle que de garantir l’avenir1 ». Idiots, aliénés incurables ou déments séniles en congé d’essai, fin XIXe début XXe siècle2." Globe 16, no. 2 (May 27, 2014): 75–94. http://dx.doi.org/10.7202/1025214ar.

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Abstract:
L’Hôpital Saint-Jean-de-Dieu a été, au tournant du xxe siècle, le plus grand asile au Canada et par surcroît une référence reconnue internationalement pour l’expertise thérapeutique de ses propriétaires et de ses aliénistes. Le dépouillement de plus de 8 000 dossiers médicaux de cette institution psychiatrique a permis de mettre au jour une précieuse correspondance entre les membres de la famille (requérants) des patients et les surintendants médicaux au sujet des congés d’essai. Ces sources de première main révèlent les allées et venues des patients entre l’hôpital et le foyer familial. Elles dévoilent également les appréhensions du futur imputables au retour définitif du patient. Cette étude sur l’histoire culturelle des sensibilités explore les dimensions privée et intime, sous l’angle du « risque », concernant l’anticipation d’un quelconque malheur générée par la réintégration en milieu familial d’un idiot, d’un aliéné incurable ou d’un dément sénile. Un intérêt particulier est porté sur les discours autour de « l’événement-non-encore-survenu », qui motive les requérants à refuser la mise en liberté définitive de leur malade interné à l’hôpital psychiatrique.
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Stefani, Laetitia. "Problèmes éthiques soulevés par la prise en charge thérapeutique des patients âgés déments atteints de cancer." Revue internationale de soins palliatifs 23, no. 3 (2008): 83. http://dx.doi.org/10.3917/inka.083.0083.

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Stefani, Laetitia. "Problèmes éthiques soulevés par la prise en charge thérapeutique des patients âgés déments atteints de cancer." Revue internationale de soins palliatifs 23, no. 4 (2008): 155. http://dx.doi.org/10.3917/inka.084.0155.

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Poisson, A. "Les hallucinations dans la maladie de Parkinson." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 578. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.276.

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Abstract:
Les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont une complication relativement fréquente au stade des complications cognitives de la maladie. Étant généralement peu inquiétantes, le sujet ne les rapportera pas toujours spontanément. Pourtant, elles peuvent en effet signer l’entrée dans une psychose ou une démence parkinsonienne. Elles grèvent la qualité de vie du patient, de son entourage et parfois mettent en péril le maintien à domicile des sujets. Elles ne doivent donc pas êtres négligées. Classiquement les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont d’abord visuelles, parfois mineures (simples de passage à la périphérie du champ visuel) ou au contraire très élaborées.Leur physiopathologie demeure imparfaitement connue. L’atteinte visuelle centrale, et notamment au niveau de l’intégration des données visuelles semble jour un rôle majeur. Cependant, d’autres systèmes dont le fonctionnement est perturbé dans la maladie de Parkinson sont impliqués dans la survenue des hallucinations : système visuel périphérique (rétine), voies régulatrices du cycle veille sommeil et notamment du sommeil paradoxal et enfin le système frontal et notamment exécutif.La prise en charge des hallucinations dans la maladie de Parkinson est relativement stéréotypée. Il faut tout d’abord dépister pour les éliminer les facteurs favorisants, notamment de type médicamenteux ou métabolique. Si les hallucinations persistent, le traitement antiparkinsonien doit être revu rapidement avec en priorité la diminution ou l’arrêt des anticholinergiques, des agonistes dopaminergiques et de l’amantadine, puis des inhibiteurs de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT) et de la monoaminoxydase B (MAO B). Au besoin, les doses de dopamine peuvent être diminuées. Ces adaptations thérapeutiques permettent en général de contrôler les hallucinations, parfois au détriment de l’état moteur. Malgré tout, si les hallucinations persistent, un traitement neuroleptique par petites doses de clozapine peut être indiqué avec en générale une excellente efficacité.
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Schlesser, A., and R. Bocher. "EQUIPAD, soins psychiatriques aigus au domicile : un outil innovant, efficace et pérenne." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S149—S150. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.300.

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Abstract:
C’est une hospitalisation à domicile avec des interventions pluridisciplinaires quotidiennes auprès de 9 patients en phase aiguë ou subaiguë, présentant tout type de pathologie (à l’exclusion des démences et addictions). La demande d’admission est rédigée par un médecin. Le patient est alors reçu en consultation d’évaluation où il reçoit une information, donne un consentement écrit et définit un projet thérapeutique avec l’équipe. Le second temps est celui des soins, qui est contractualisé sur 21 jours, renouvelable 2 fois. Ce qui y fait soin, c’est la pluridisciplinarité au sein du travail clinique institutionnel, l’intensité, le cadre sécurisant mais souple liée à la disponibilité et la proximité des équipes soignantes, la mobilisation des ressources personnelles du patient au sein de sa réalité extérieure ainsi que celle des aidants. Cela participe pleinement à la déstigmatisation des soins psychiatriques, mais est aussi un frein à l’institutionnalisation. La mobilité et la créativité de l’équipe sont aussi facilitatrices de relais par un travail constant de réseau. L’évaluation sur 12 mois est faite à partir de deux outils :– un questionnaire de satisfaction des usagers systématique en fin de prise en charge avec rappel des patients à m4, m9, m12 ;– un bilan d’activité administratif.Le bilan de 2014 montre un taux d’occupation sur 12 mois de 84 %, soit 63 séjours pour 104 demandes. La population accueillie était en majorité des femmes (37/26) et l’âge moyen de 43 ans (1/3 de moins de 30 ans). Les diagnostics majoritaires sont psychose et troubles de l’humeur en phase aiguë, puis les troubles de la personnalité. Le délai d’admission était de 9,9 jours. Les médecins adresseurs sont des médecins hospitaliers en majorité. Le nombre de réhospitalisations est faible, 4 patients ont nécessité une hospitalisation sur le secteur. La satisfaction des patients était de bonne à très bonne.
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Angst, J. "Die Aktuellen Schwerpunkte der Psychiatrischen Forschung in der Schweiz." Psychiatry and Psychobiology 2, no. 2 (1987): 91–100. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000730.

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Abstract:
RésuméLa Suisse est un petit pays ; elle comprend cinq universités ayant des chaires de psychiatrie. La faible superficie et la stabilité favorisent des études épidémiologiques, en particulier des études prospectives longitudinales et catamnestiques.Une première étude longitudinale a été réalisée à Lausanne. En 1975, a été effectué un sondage sur un échantillon de 300 enfants âgés de 9 ans, évaluant de façon détaillée : la santé, le développement du langage, le Q.I., la réussite scolaire et la personnalité. Cette enquête a révélé que 35 % des enfants étaient sans symptômes tandis que 26 % présentaient des difficultés psychiques importantes, surtout les garçons issus de familles socialement défavorisées.A Zurich, une étude longitudinale portant sur 6 315 hommes suivis de 19 à 31 ans, a concerné : les caractéristiques sociales, la consommation de tabac, d'alcool et de drogues et des traits de personnalité. Ce travail longitudinal fournira des informations sur les relations existant entre comportement, consommation de toxiques et traits de personnalité.Un autre projet a pour but l’étude de la personnalité prémorbide chez des individus qui ont présenté une schizophrénie ou une psychose maniaco-dépressive après l’âge de 19 ans, ainsi que chez tous les patients décédés accidentellement ou par suicide ;Un autre projet a pour but d'évaluer l’entraide du “voisinage” dans un quartier bien défini de Zurich ;1000 personnes seront ainsi suivies prospectivement pendant une période de 3 à 5 ans.A Genève, ont été enregistrés les dossiers de tous les malades traités dans les institutions psychiatriques (hospitalisations et prises en charge ambulatoires).A Bâle, une étude importante sur les troubles dépressifs des patients traités par des médecins généralistes a fourni des résultats très intéressants, surtout à propos de la fréquence des dépressions masquées.A Zurich, plusieurs études épidémiologiques ont porté sur des maladies psychiatriques infantiles, en particulier le trouble déficitaire de l'attention (“attention deficit disorder”), la dépression et l’encoprésie). Une étude multicentrique et longitudinale a montré une augmentation actuelle de l’incidence de l’anorexie mentale ;A Bâle, se déroule actuellement une étude longitudinale de 6 ans sur des toxicomanes (comparaison des résultats obtenus avec d’autres institutions qui prennent des toxicomanes en charge).Des études catamnéstiques comparent des toxicomanes avec d’autres groupes de malades pour évaluer (entre autres) le degré de dépendance dans cette population.Un questionnaire réalisé à Bâle sur les drogues et l’alcool présente un intérêt méthodologique remarquable.Des études cliniques plus traditionnelles gardent encore une place importante. A Lausanne, on étudie des démences séniles et d’Alzheimer chez les personnes âgées, dans le but de comparer des thérapeutiques différentes.A Genève, plusieurs éludes catamnestiques portent sur l'évolution des patients schizophréniques, en particulier suivis en ambulatoire.A Zurich, depuis 1959, on effectue tous les 5 ans une étude prospective pour étudier l’insertion sociale des malades mentaux.A Berne, sont étudiés les facteurs prognostiques chez les patients dépressifs et schizophrènes (famille, environnement).En ce qui concerne la médecine psychosomatique plusieurs projets ont trait aux réactions psychologiques des patients présentant une maladie chronique.En matière de psychopharmacologie tous les “centres” des villes universitaires participent à l'évaluation des nouveaux psychotropes, on relève cependant un manque d’études comprenant des contrôles “placebo”.A titre d'exemples, ont été étudiés : • les effets des perfusions de dibenzépine, de clomipramine et de maprotiline; • la réponse TRH comme élément éventuel de prédiction de la réponse aux antidépresseurs tricycliques (Bâle) ; • la corrélation des concentrations plasmatiques de maprotiline, d’amitriptyline et de nortriptyline avec l’efficacité clinique (Lausanne) ; • enfin, les vertus potentielles du L-tryptophane dans les troubles du sommeil font l'objet d’investigations actuelles.
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