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1

Houdaille, Jacques. "Démographie d'une famille puritaine." Population (French Edition) 43, no. 4/5 (July 1988): 907. http://dx.doi.org/10.2307/1533500.

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2

Péron, Yves. "L’analyse démographique et la famille : prémisses d’une autocritique." Cahiers québécois de démographie 8, no. 3 (January 6, 2009): 99–112. http://dx.doi.org/10.7202/600800ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Dans cet article, l’auteur montre que ce qui caractérise la démographie de la famille, c’est que l’unité statistique y est la famille, et non l’individu, comme en démographie générale. Par ailleurs, les démographes se sont jusqu’ici intéressés davantage à la famille « biologique » qu’à la famille « statistique », ce qui suppose une adaptation des méthodes traditionnelles d’analyse. Les événements démographiques familiaux qui modifient le nombre de familles statistiques font habituellement l’objet d’un enregistrement qui permet l’analyse. Dans une perspective longitudinale, l’auteur découpe l’histoire de la famille en séquences successives qu’on peut appeler le calendrier démographique de la famille. Cependant, les variables permettant l’étude de ce calendrier ne font pas l’objet d’un enregistrement approprié, particulièrement les intervalles et les durées. En dépit de son intérêt évident, la démographie de la famille est peu développée. Les défaillances de l’observation de certains événements (séparations, migrations, départs des enfants) ont grandement nui à l’émergence d’une démographie de la famille. De plus, la démographie s’est intéressée jusqu’ici à l’étude des phénomènes contribuant directement au renouvellement quantitatif de l’ensemble de la population, délaissant l’analyse sur une base familiale. L’essor d’une véritable démographie de la famille nécessitera la généralisation et la systématisation de l’utilisation du couple et de la famille comme unités d’observation et d’analyse.
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3

Jaulin, Thibaut. "Démographie et politique au Liban sous le Mandat." Histoire & mesure XXIV, no. 1 (August 1, 2009): 189–210. http://dx.doi.org/10.4000/histoiremesure.3895.

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4

Dupont, Sébastien. "Comment la démographie a transformé la famille." Le Débat 197, no. 5 (2017): 151. http://dx.doi.org/10.3917/deba.197.0151.

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5

Charbit, Yves. "Famille et fécondité : pour une démographie compréhensive." Sociologie et sociétés 31, no. 1 (October 2, 2002): 23–34. http://dx.doi.org/10.7202/001131ar.

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Abstract:
Résumé En raison de son caractère eurocentriste, le principal paradigme des démographes, la théorie de la transition et son avatar, la modernisation socioculturelle, conduit à des interprétations erronées des comportements en matière de fécondité et de famille. Mais même si l'on se situe dans ce paradigme, il faut abandonner la vision quasi évolutionniste du développement qui en découle au profit de l'analyse des conflits et des tensions. Visant une compréhension plus profonde de la démographie des pays en développement, l'auteur propose de construire une "démographie compréhensive", de nature interdisciplinaire, caractérisée par la diversification des outils de collecte des données et des niveaux d'analyse.
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6

Lorenzetti, Luigi, and Muriel Neven. "Démographie, famille et reproduction familiale : un dialogue en évolution." Annales de démographie historique 2000, no. 2 (2001): 83–100. http://dx.doi.org/10.3406/adh.2001.1976.

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7

Alves, Alessandro Cavassin. "Famílias políticas no Líbano e no Brasil, a possibilidade da perspectiva comparativa." Revista NEP - Núcleo de Estudos Paranaenses da UFPR 3, no. 4 (December 31, 2017): 149. http://dx.doi.org/10.5380/nep.v3i4.57254.

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Abstract:
Texto original «Dynamiques dynastiques au Liban: transmettre le pouvoir politique en famille», Critique internationale, vol. 73, Nº 4, 2016, p. 71-93. Disponível em https://www.cairn.info/revue-critique-internationale-2016-4-page-71.htm
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8

Riboud, Michelle. "Altruisme au sein de la famille, croissance économique et démographie." Revue économique 39, no. 1 (January 1988): 127. http://dx.doi.org/10.2307/3502073.

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9

Brunet, Guy. "Générations : individu et famille. Les approches longitudinales en démographie historique." Annales de démographie historique 1998, no. 2 (1999): 7–24. http://dx.doi.org/10.3406/adh.1999.1933.

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10

Riboud, Michelle. "Altruisme au sein de la famille, croissance économique et démographie." Revue économique 39, no. 1 (1988): 127–54. http://dx.doi.org/10.3406/reco.1988.409050.

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Vloeberghs, Ward. "Dynamiques dynastiques au Liban : transmettre le pouvoir politique en famille." Critique internationale N° 73, no. 4 (2016): 71. http://dx.doi.org/10.3917/crii.073.0071.

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Laplante, Benoît. "Introduction au numéro thématique sur le droit de la famille et la démographie de la famille." Cahiers québécois de démographie 46, no. 1 (2017): 1. http://dx.doi.org/10.7202/1043293ar.

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Ladier-Fouladi, Marie. "Démographie, femme et famille : relations entre conjoints en Iran post-révolutionnaire." Revue Tiers Monde 182, no. 2 (2005): 281. http://dx.doi.org/10.3917/rtm.182.0281.

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Ladier-Fouladi, Marie. "Démographie, femmes et famille : relation entre conjoints en Iran post-révolutionnaire." Tiers-Monde 46, no. 182 (2005): 281–305. http://dx.doi.org/10.3406/tiers.2005.5912.

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15

Verdon, Michel. "Autour de la famille souche. Essai d'anthropologie conjecturale." Articles hors thème 11, no. 1 (September 10, 2003): 137–60. http://dx.doi.org/10.7202/006394ar.

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Abstract:
Résumé Autour de la famille souche La famille souche hante la démographie historique comme elle hante l'ethnologie québécoise, et tous ceux qui en parlent la définissent par la transmission indivise du patrimoine à un seul héritier. On l'explique donc en expliquant cette singularité, en invoquant ou la pression démographique, ou le désir d'assurer ses vieux jours. Dans une perspective comparative, toutefois, pression démographique et désir d'assurer ses vieux jours sont fréquents mais la famille souche ne l'est pas et, pour l'élucider, il faut chercher ailleurs, du côté de la composition résidentielle plutôt que de la transmission. Alors s'effritent tous les lieux communs que l'on a pu proférer à propos de la famille souche. On découvre désormais que les pratiques successorales dites typiques de la famille souche s'éclairent à la lumière d'une nouvelle question: pourquoi tolérer la corésidence de la bru? Une comparaison historique met notre modèle au défi, puisque l'historiographie révèle des pratiques successorales fort différentes en Nouvelle-France (Dechêne 1974). En comparant les pratiques successorales et résidentielles de la fin du XIXe siècle à celles du XVIIe siècle nous concluons que la famille souche n'a pas pu exister au Québec francophone avant la première moitié du XIXe siècle, et nous suggérons une explication.
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16

Oris, Michel, Isidro Dubert, and Jérôme-Luther Viret. "Vieillir : Les apports de la démographie historique et de l’histoire de la famille." Annales de démographie historique 129, no. 1 (2015): 201. http://dx.doi.org/10.3917/adh.129.0201.

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Burch, Thomas K., and Danièle Bélanger. "L’étude des unions en démographie : des catégories aux processus." Articles 28, no. 1-2 (March 25, 2004): 23–52. http://dx.doi.org/10.7202/010258ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les auteurs soutiennent que les outils dont la démographie classique se sert pour étudier le mariage et la famille ne peuvent appréhender adéquatement les formes actuelles d'union, qui sont diverses et mouvantes. En mettant l'accent sur les processus plutôt que sur les états et sur l'appartenance à des catégories, on rendrait mieux justice au fait que des « états » comme le mariage et la cohabitation s'insèrent dans des parcours de vie dont la succession ne va pas sans chevauchements. La saisie des processus suppose l'examen des prises de décisions des individus et des couples qui sous-tendent leurs mouvements entre différentes catégories. L'étude et la définition des unions à caractère sexuel bénéficieraient d'une plus grande utilisation des méthodes quantitatives modernes, analyse factorielle, analyse de groupement et logique des ensembles flous notamment. Les méthodes qualitatives sont particulièrement adaptées à l'étude des processus et des significations. Les plus grands progrès viendront d'une combinaison des approches quantitatives et qualitatives.
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Spoorenberg *, Thomas. "Systèmes familiaux et reproduction en Asie : regard sur la Chine et le Japon préindustriels." Articles 34, no. 1 (March 9, 2006): 77–115. http://dx.doi.org/10.7202/012517ar.

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Abstract:
À partir de travaux récents menés en démographie historique, l’auteur analyse les implications des systèmes familiaux chinois et japonais en matière de reproduction, en faisant intervenir des éléments structurels et institutionnels liés à la culture. Dépassant les considérations socio-économiques (sans les effacer), cette démarche permet de dresser une démographie différentielle plus fine qui éclaire mieux les comportements humains. Face aux changements dans les conditions socio-économiques, les habitudes de corésidence et de succession de la famille souche japonaise impliquent des comportements reproducteurs différents de ceux qui sont façonnés par les ménages élargis chinois. Néanmoins, un fond culturel commun fait apparaître des stratégies intrafamiliales qui privilégient les intérêts du ménage au détriment de ceux des individus. La génération, le genre et les relations de parenté déterminent fortement les événements jalonnant la vie reproductive de chaque membre. Un grand nombre de stratégies familiales se mettent en place à partir de la culture et façonnent les comportements démographiques individuels.
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Burguière, André. "Pour une typologie des formes d'organisation domestique de l'Europe moderne (XVIe-XIXe siècles)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 41, no. 3 (June 1986): 639–55. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1986.283301.

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Abstract:
Il y a encore une vingtaine d'années un historien traitant de la famille depuis le XVIe siècle nous aurait fait assister à la lente montée en Europe de la famille nucléaire moderne sous l'effet des transformations économiques et de l'action « modernisatrice » des États. L'idée du passage de la famille traditionnelle, caractérisée par des groupes domestiques larges et complexes, à la famille réduite actuelle où le groupe de résidence se limite à la cellule conjugale, à la fois unité de reproduction biologique et de reproduction sociale, cette idée était commune à la plupart des théories sociologiques : certains y voyaient le signe d'une décadence, d'autres la marche plus ou moins bienfaitrice du progrès. On aurait pu croire que l'essor de la démographie historique, en France, à la fin des années 1950 allait redonner vie aux recherches sur l'organisation des groupes familiaux dans lesquelles s'étaient illustrés, un siècle plus tôt, Frédéric Le Play et son école. Mais la mise au point d'une méthode d'exploitation sérielle de l'état civil ancien dont on avait négligé pendant longtemps les considérables ressources, conduisit les historiens à privilégier l'étude du mouvement et du volume de la population. S'ils s'intéressaient à la cellule familiale, c'était comme unité de reproduction biologique, non comme instance de reproduction sociale.
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Andreoni, Luca, and Michael Gasperoni. "Démographie historique et histoire de la famille juive en Italie : entretien avec Sergio Della Pergola." Annales de démographie historique 136, no. 2 (2018): 37. http://dx.doi.org/10.3917/adh.136.0037.

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Nordiguian, Lévon. "Saint-Élie de Deir khouna dans le Mont Liban." Chronos 24 (March 28, 2019): 93–102. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v24i0.431.

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Abstract:
Deir Khouna est un petit hameau situé sur le versant septentrional de la vallée du Nahr Metn, juste en contrebas du bourg de Ras el-Matn (Fig. I). D'après Ibrahim al-Assouad, il comportait au début du XXe siècle 100 habitants grecs-orthodoxes2, essentiellement de la famille Abou Rjeilé3. L'huile d'olive constituait alors la principale production. Progressivement dépeuplé par ses habitants, il fut entièrement saccagé au tout début de la guerre civile du Liban en 19754. La chapelle Saint-Élie, qui domine les quelques habitations du village, avait subi le même sort quant à son mobilier intérieur (Fig. 2). Son mur de chevet est étonnement tourné vers le nord-est, alors que généralement les églises sont bien orientées, avec une marge d'erreur négligeables. Sa structure extérieure, presque intacte, présente un aspect massif (L : II, 50 m, I : 7,85 m), sans aucun élément saillant, semblable en tout point aux nombreuses chapelles rurales de la montagne libanaise. Elle s'en distingue cependant par son plan intérieur qui offe une disposition assez caractéristique pour un petit groupe de chapelles, formant ainsi un type à part. Dans la majorité des cas en effet, I 'espace intérieur de ces édifices mononefs est formé de deux travées voûtées d'arêtes, portées par trois paires de piliers, quatre placés aux angles et les deux autres au milieu des murs latéraux
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Charbonneau, Hubert. "Le caractère français des pionniers de la vallée laurentienne." Articles 19, no. 1 (March 25, 2004): 49–62. http://dx.doi.org/10.7202/010033ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les immigrants établis dans la vallée laurentienne avant 1765 étaient à 95% d'origine française. Plusieurs arrivaient de provinces où le français ne s'était pas encore imposé, du moins dans les campagnes. L'exemple des pionniers établis en famille avant 1680 montre que ceux-ci présentaient une assez grande homogénéité linguistique. Près de 40% provenaient de villes grandes ou moyennes et cette proportion atteignait même 50 % dans le cas des femmes. Les résultats présentés ici sous forme de vue d'ensemble sont le point de départ d'une nouvelle étude entreprise au Programme de recherche en démographie historique de l'Université de Montréal.
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Vasary, Ildiko. "‘The sin of Transdanubia’: the one-child system in rural Hungary." Continuity and Change 4, no. 3 (December 1989): 429–68. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000003799.

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Abstract:
Depuis la fin du dix-neuvième siècle on connaissait dans certaines régions de la Hongrie rurale, parmi les petits fermiers protestants un système rigoureux de contrôle de la fécondité. Dans ce soi-disant système à enfant unique les couples cherchaient à obtenir une famille complète à un seul enfant, fût-il garçon ou fille. Une suppression de la fécondité d'une telle ampleur était onéreuse tant pour les conditions matérielles que morales. Dépourvue des ressources d'une société moderne, toute une série de moyens sociaux furent déployés en fonction de ce système. Les modèles de nuptialité, de composition du ménage, de l'autorité au sein de la famille et tous les réseaux coopératifs de la communauté furent régiés de manière concertée et effective afin de réaliser l'idéal de la famille à enfant unique et le tout fut tordu de différentes façons. Sans l'abondante littérature qui naquit autour du problème, le système de l'enfant unique n'aurait pas dépassé le stade de l'obscur phénomène local, une bizarrerie dans les annales de la démographie mais, bien au contraire, il a été epinglé et utilisé à diverses fins tant politiques que littéraires. Dès lors l'histoire du système de l'enfant unique est devenu également celle de ceux qui l'ont observé et qui l'ont décrit.
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Andreoni, Luca, and Michael Gasperoni. "Histoire de la famille et démographie historique des juifs de l’antiquité à nos jours : approches historiographiques." Annales de démographie historique 136, no. 2 (2018): 5. http://dx.doi.org/10.3917/adh.136.0005.

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Baulant, Micheline. "La Calabre de père en fils un siècle de la vie d'une ferme (1655-1761)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 40, no. 1 (February 1985): 35–53. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1985.283141.

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Abstract:
Ceci est une histoire, l'histoire d'une famille de Brie, la famille Maslé qui pendant un peu plus d'un siècle — de 1655 à 1761 — a exploité (avec quelques interruptions) la ferme qui leur appartenait : la Calabre . A travers elle, nous avons cherché à comprendre les implications de la démographie et des structures familiales sur l'économie d'une petite exploitation. Car la Calabre n'était pas une bien grande ferme : un peu plus de 40 ha, à peu près 80 arpents (mesure du roi) et son sol n'était pas d'une fertilité remarquable. Les Maslé n'étaient pas non plus des gens remarquables ; ils n'appartenaient pas à l'élite sociale, à l'aristocratie des gros laboureurs qui comptent dans leurs rangs de riches marchands, des avocats, des conseillers au Parlement. Ce n'étaient pas non plus de pauvres paysans ; c'étaient des gens moyens et c'est ce qui fait, en partie, leur intérêt. En outre, on dispose de documents nombreux qui les concernent, même si, dans leur abondance, ces sources sont parfois redondantes ou difficiles à interpréter et si certains documents importants restent introuvables.
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Ouellet, Fernand. "Aperçus comparatifs sur la démographie des communautés francophones dans l’est du Canada avant 1911." Cahiers Charlevoix 3 (April 12, 2017): 87–177. http://dx.doi.org/10.7202/1039394ar.

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Abstract:
Fernand Ouellet analyse l’évolution des facteurs de la croissance naturelle qui ont opéré dans les populations québécoises, acadiennes et franco-ontariennes avant 1911. Comme préambule, il montre comment les différentes générations d’historiens et de démographes ont, jusqu’à tout récemment, décrit et interprété l’évolution de la nuptialité, de la natalité et de la mortalité dans ces trois grandes régions. En plus de faire ressortir la richesse relative de l’historiographie québécoise, par rapport à celles des Maritimes et de l’Ontario, sa démarche dégage une problématique d’ensemble qui repose sur l’idée que cette évolution, d’abord conditionnée par le besoin de se reproduire, de survivre et de se réaliser, fut, de tout temps, déterminée par la religion, l’ethnicité, les besoins de la famille, le rapport à la ville, les niveaux d’instruction et la socio-économie. Dans ce cadre, il examine l’émergence et la transformation de différents profils démographiques à l’intérieur de chacune de ces grandes régions, des provinces et des sous-régions, et il fait apparaître non seulement les similitudes et les parallélismes, mais, en même temps, la diversité des comportements qui eurent cours dans ces univers inégaux.
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Harvey, Fernand. "La généalogie et la transmission de la culture." Les Cahiers des dix, no. 59 (March 7, 2011): 285–305. http://dx.doi.org/10.7202/045761ar.

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Abstract:
Au cours des récentes décennies, la généalogie a gagné en popularité dans différents milieux tout en développant une méthodologie rigoureuse. Considérée comme une science auxiliaire de l’histoire, la généalogie a développé d’étroits rapports avec la démographie historique et l’histoire des populations. Du côté de la sociologie, c’est sous l’angle de la sociologie de la famille que les liens de collaboration semblent les plus évidents, plus particulièrement autour du concept de filiation, commun aux deux disciplines. Par ailleurs, la généalogie peut aussi être considérée comme un objet d’étude par les sociologues lorsqu’on l’aborde sous l’angle d’une pratique culturelle ou d’une activité liée à l’expression de l’identité personnelle, familiale et collective. Dès lors, la généalogie, telle que pratiquée au Québec par de nombreuses sociétés locales et régionales, incluant les rassemblements de familles-souches, devient l’expression d’une forme de transmission de la culture.
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Caron, Roxane, and Dominique Damant. "Survivre dans un camp de réfugiés." Hors-thème 38, no. 2 (July 21, 2014): 265–84. http://dx.doi.org/10.7202/1026175ar.

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Abstract:
S’appuyant sur les résultats d’une recherche qualitative portant sur l’expérience d’exil de Palestiniennes vivant dans un camp de réfugiés au Liban, cette note de recherche propose une réflexion sur le sens que donnent ces femmes à leur vie en camp, et ce, malgré les guerres et l’exil prolongé. À travers les récits de vie de 42 Palestiniennes, on observe que les femmes et leur famille vivent dans un « camp réel », un espace qu’elles décrivent comme insalubre, instable et non sécuritaire. Or, la vie dans ce camp est tellement précaire et difficile que, pour « tenir bon », les femmes s’accrochent à un « camp symbolique », un camp porteur de mémoire, de souvenirs, de relations, de liens et de rêves. On verra que c’est d’ailleurs parce qu’il y a ce camp symbolique que le camp prend un sens, que la vie dans le camp peut être tolérée.
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Smith, Daniel Scott. "American family and demographic patterns and the northwest European model." Continuity and Change 8, no. 3 (December 1993): 389–415. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000002162.

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Abstract:
Pour Hajnal et Laslett trois spécificités définissent le système de formation des ménages en Europe occidentale septentrionale: la fréquence des individus en service domestique, un âge moyen au mariage tardif, et la résidence neo-locale des jeunes époux. Si l'on ne considère que le critère de la résidence neo-locale, l'Amérique n'appartient pas du tout, en termes de famille et de démographie, à ce modèle occidental. La société américaine s'en écarte en deux points - par le mariage précoce et par la combinaison du travail libre et du travail servile, caractères qui sont cependant compatibles avec un modèle sous-jacent d'éeconomie malthusienne en région de frontière, où la terre est bon marché et la main d'œuvre bien payée. L'examen de ces anomalies apparentes amène à la conclusion que c'est uniquement la règie culturelle de l'établissement néo-local des nouveaux ménages qui caractérise vraiment le modèle européen nord-occidental.
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Schoemaker, Juan F. "Pauvreté et procréation dans les bidonvilles d’Asuncion." I. Politiques d’État et stratégies de survie : l’enjeu du logement, no. 17 (December 18, 2015): 37–42. http://dx.doi.org/10.7202/1034366ar.

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Abstract:
Cherchant à approfondir le thème de la démographie de la pauvreté, l’auteur met en question un postulat du mouvement de planification familiale selon lequel le niveau élevé de fécondité des pays sous-développés est l’effet de l’irrationalité et de l’absence d’attitude « moderne » en matière de procréation. Selon lui, la fécondité est plutôt, pour les femmes et les familles concernées, une stratégie de survie. Les enfants sont vus comme des « fournisseurs de temps »; leur participation aux activités domestiques libère les adultes d’une grande partie de ces tâches et leur permet de se consacrer à des activités plus rentables. En examinant cette hypothèse auprès des femmes marginales d’Asuncion (Paraguay), l’auteur conclut que plus la situation économique est grave, plus les femmes favorisent, consciemment, une famille nombreuse. Cependant, des tendances indiquent une baisse du niveau de fécondité des marginaux, en raison de l’utilisation de contraceptifs chez les femmes plus jeunes.
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Gautier, Arlette. "Démographie et famille. Les impacts sur la société de demain. Les actes du colloque tenu les 28 et 29 novembre 2000. Québec, Conseil de la famille et de l’enfance, 255 p." Anthropologie et Sociétés 26, no. 2-3 (2002): 291. http://dx.doi.org/10.7202/007078ar.

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Moukarzel, Pierre. "Les indices du développement urbain de Beyrouth (XIVe-XVe siècles)." Chronos 19 (April 11, 2019): 115–56. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v19i0.458.

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Abstract:
De 1291 à 1516, la ville de Beyrouth était sous domination mamelouke. Elle gouvernait un district composé d'un grand nombre de villages sous l'autorité d'émirs de la famille Buhtur installée, dès le XIIe siècle, dans la région d'al-Gharb, la région montagneuse qui s'étend au sud-est de Beyrouth. Le district administré par Beyrouth était limité au nord par le Nahr al-Kalb ; au sud, par le Nahr ad-Dümür à l'est, par la crête du Liban comprenant les régions d'al-Gharb et d'al-Matn. Beyrouth occupait alors une place importante dans le commerce de la Syrie2, avec un réseau d'échanges commerciaux établi avec les villes du littoral et avec Damas, l'Égypte, Chypre et l'Europe, à l'autre rive de la Méditerranée. Pour Beyrouth, les XIVe et XVe siècles correspondent à une apogée commerciale et à un développement urbain conséquent. Cette période est couverte par une abondance de sources européennes et latines comprenant des données économiques, politiques, juridiques et littéraires sur les rapports entre le Levant et l'Europe. C'est sans compter les nombreuses sources arabes.
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Bradbury, Bettina. "The Family Economy and Work in an Industrializing City: Montreal in the 1870s." Historical Papers 14, no. 1 (April 26, 2006): 71–96. http://dx.doi.org/10.7202/030836ar.

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Abstract:
Résumé Durant les années 1870, Montréal est une ville en transition ; depuis deux décennies déjà, elle se fabrique un nouveau profil géographique et on assiste à une réorganisation du monde du travail qui va modifier les bases mêmes de la vie familiale. Cet article se propose d'examiner l'économie familiale dans deux quartiers distincts de la ville — Sainte-Anne qui est déjà fortement industrialisé et Saint-Jacques qui est demeuré beaucoup plus artisanal — dans le but de mieux cerner la relation qui existe entre la famille et l'organisation des moyens de production. Selon l'auteur, cette relation est complexe et bi-dimensionnelle. D'une part, la nature du travail disponible va déterminer quels membres de la famille sont plus susceptibles de travailler et ceci peut varier d'un quartier à l'autre ; d'autre part, la démographie et les attitudes culturelles des familles montréalaises vont tout également influencer les moyens de production. Ainsi, parce qu'il y a un grand nombre de femmes et d'enfants disponibles, les industries du textile et de la chaussure atteignent une place de choix dans l'économie de la ville ; par contre, le fait que tant de femmes et d'enfants travaillent dans ces industries fait baisser le salaire et nuit à la main-d'oeuvre spécialisée. Dans la plupart des familles ouvrières, l'insuffisance des salaires, le chômage saisonnier et le surplus de main-d'oeuvre vont faire en sorte qu'il faudra plus d'un travailleur par famille pour assurer la subsistance. Règle générale, on semble avoir préféré mettre les garçons au travail plutôt que les femmes et les filles ; dans le quartier Sainte-Anne, il n'y a que les veuves et les femmes seules qui ont un emploi alors que dans Saint-Jacques, les femmes qui travaillent le font à la maison de par le système du travail au noir. Il arrive également, dans le cas des familles qui n'ont encore que de très jeunes enfants, qu'on tente de boucler le budget en prenant des pensionnaires ou en logeant avec la parenté. En somme, dans la ville qui s'industrialise, le cycle de la vie familiale, la disponibilité du travail et les valeurs culturelles ont, tour à tour, contribué à façonner tant la structure de la maisonnée que le modèle du travail familial.
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Langlois, Simon. "Louis Duchesne, Les noms de famille au Québec : aspects statistiques et distribution spatiale, Québec, Institut de la statistique du Québec, 2006, 169 p. (Démographie.)." Recherches sociographiques 49, no. 1 (2008): 198. http://dx.doi.org/10.7202/018217ar.

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Le Bourdais, Céline. "Collectif. Démographie, famille et société en France et en Union soviétique. Actes du 3e colloque franco-soviétique de démographie (Bordeaux, octobre 1988). Paris, Institut national d'études démographiques et Presses universitaires de France, collection « Congrès et colloques », no 10, 1992, 182 pages." Cahiers québécois de démographie 22, no. 1 (1993): 206. http://dx.doi.org/10.7202/010144ar.

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Haddad, Joseph, and L'équipe du SeSoBel. "Le Service Social pour le Bien être de l'enfant — Liban (SeSoBEL) serait -il un modèle à suivre dans la prise en charge de l'enfant handicapé et de sa famille ?" Archives de Pédiatrie 6 (January 1999): S506. http://dx.doi.org/10.1016/s0929-693x(99)80521-1.

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Labrecque, Paul. "Collectif (1992) Démographie, famille et société en France et en Union soviétique. Actes du 3e colloque franco-soviétique de démographie (Bordeaux, octobre 1988). Paris, Presses Universitaires de France, Éditions de l’Institut Nationale d’Études Démographiques (Coll. « Congrès et Colloques » , no 10), 182 p. (ISBN 2-7332-4010-2)." Cahiers de géographie du Québec 37, no. 102 (1993): 593. http://dx.doi.org/10.7202/022391ar.

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Légaré, Jacques, André LaRose, and Raymond Roy. "Reconstitution de la population canadienne au XVIIe siècle : méthodes et bilan d'une recherche." Recherches sociographiques 14, no. 3 (April 12, 2005): 383–400. http://dx.doi.org/10.7202/055628ar.

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Abstract:
Dans le domaine des sciences de l'homme, la démographie historique est l'une des préoccupations les plus neuves. Bien que l'intérêt pour les populations du passé ne date pas d'hier — les généalogistes et les historiens ont précédé les démographes sur ce terrain — l'analyse scientifique des phénomènes démographiques de l'ère préstatistique remonte à peine à l'après-guerre. C'est en 1954 que parut le premier ouvrage de démographie historique portant sur la population canadienne.1 L'auteur, le démographe Jacques Henripin, y montra pour la première fois tout le parti qu'on pouvait tirer des généalogies et des registres paroissiaux. Déjà au XIXe siècle, l'abbé Cyprien Tanguay avait su profiter de la qualité de ces derniers pour faire son Dictionnaire généalogique des familles canadiennes. Une utilisation ingénieuse de cet ouvrage permit à Henripin de soulever le voile sur la population du XVIIIe siècle. Il révélait ainsi au monde entier l'intérêt de cette petite société dont il avait pu mesurer la natalité, la nuptialité et la fécondité. Depuis ce temps, les études de démographie historique se sont multipliées, en Europe surtout et en France en particulier. À côté des monographies de paroisses, fleurissent aujourd'hui des travaux sur les populations urbaines ou régionales et les groupes sociaux, d'autres sur des phénomènes tels la fécondité, la limitation des naissances et les migrations, d'autres encore sur des institutions comme la famille et le ménage.2 Deux articles récents, l'un de l'historien Pierre Goubert et l'autre du démographe Louis Henry, soulignent d'ailleurs les rapports fructueux entretenus en France par les historiens et les démographes depuis vingt-cinq ans et l'enrichissement apporté aux deux parties par cette collaboration interdisciplinaire. Au Québec, c'est à Hubert Charbonneau que revient l'honneur d'avoir introduit la démographie historique à l'université. Pour enrichir le cours d'histoire de la population canadienne qu'il donnait au Département de démographie de l'Université de Montréal, Charbonneau se pencha sur le recensement de 1666 dont il souligna le tricentenaire dans une note de recherche. À la suggestion de son collègue Jacques Légaré et avec la collaboration de celui-ci, il entreprit ensuite le traitement par ordinateur des trois recensements nominatifs du Canada au XVIIe siècle. Deux historiens et un économiste s'intéressèrent à cette initiative et les discussions entre les cinq chercheurs aboutirent à l'élaboration d'un projet de recherche. À l'origine, ce projet impliquait la constitution d'une banque de données démographiques et voulait déboucher sur des réponses précises à de nombreuses questions d'ordre démographique, économique et historique. Il demandait qu'on définisse des techniques permettant la mise sur pied de la banque de données et qu'on utilise les renseignements ainsi recueillis pour vérifier certaines hypothèses, avant d'aboutir à une étude d'ensemble de la population canadienne ayant vécu au Québec, depuis le XVIIe siècle jusqu'au milieu du XIXe. Devant l'impossibilité d'atteindre à court terme les objectifs fixés, les trois collaborateurs non-démographes ont été amenés, en raison de leurs intérêts scientifiques, à remettre à plus tard leur éventuelle collaboration. Avec le temps cependant, trois nouveaux associés se sont joints aux promoteurs du projet: un démographe, un informaticien et un historien. Les travaux dans lesquels l'équipe est engagée — constitution d'une banque de données, élaboration de méthodes de traitement originales pour ces données et analyse démographique proprement dite — demandent en effet de longues années de travail et doivent être envisagés sous plusieurs angles à la fois. Après six ans d'existence, les objectifs de notre programme de recherche sont restés les mêmes, soit le dépouillement et l'exploitation de tous les registres paroissiaux du Québec antérieurs à 1850. Dans une première étape, toutefois, nous nous concentrons sur la période avant 1765, débordant ainsi légèrement le régime français à cause des sources et de l'évolution démographique. Pourquoi nos efforts vont-ils d'abord aux XVIIe et XVIIIe siècles et non aux XIXe? C'est qu'en travaillant sur cette époque éloignée, la probabilité est grande que la conjugaison de plusieurs facteurs, dont l'existence et la qualité des sources dès le XVIIe siècle, les effectifs peu considérables de la population sous le régime français et la possibilité de travailler sur l'ensemble des habitants d'un pays depuis ses origines, conduise une équipe de recherche à un optimum de rendement. Commencer les dépouillements par les documents de 1760 ou de 1800 nous aurait par ailleurs pénalisés en nous privant de la connaissance de la population de base et en nous amenant à manipuler dès le départ des masses considérables de données. L'originalité de notre projet est de vouloir mettre au point une fiche propre à chaque individu, qui soit élaborée par l'ordinateur. Sur cette fiche apparaîtra la liste des événements démographiques auxquels un individu a participé, soit comme sujet d'acte soit comme témoin ; cette liste sera complétée par un certain nombre de caractéristiques provenant des sources exploitées : sexe, âge, état matrimonial, profession, relation de parenté, lieux de résidence et d'origine. La somme de ces fiches biographiques permettra de constituer sur bande magnétique un registre de population fait de dossiers individuels. C'est ce registre qui permettra de reconstituer la population de l'ensemble du territoire étudié à une date donnée. L'expérience nous a montré toutefois que l'élaboration d'un tel registre ne va pas sans une opération préalable qui consiste à situer un individu d'abord par rapport à ses parents et ensuite, par rapport à son conjoint, opération qui fait partie de ce qu'on appelle en démographie historique la « reconstitution des familles ». Or, comme nous travaillons sur une population qui compte au-delà de 4000 personnes au recensement de 1666, environ 20000 en 1700 et 200000 un siècle plus tard, il ne nous est plus possible de recourir aux méthodes manuelles de reconstitution des familles. Nous devons pour cela utiliser l'ordinateur, ce qui nous amène là encore à des innovations méthodologiques, puisque la reconstitution automatique des familles nous entraîne dans le couplage de l'information. La mise sur pied d'un registre de population et le couplage automatique de l'information sont nos objectifs les plus immédiats ; on ne saurait cependant les atteindre sans une longue et patiente collecte des données exécutée selon des méthodes rigoureuses. Ces deux pôles d'activité de notre programme de recherche déterminent le plan de cet exposé où nous montrons comment, après plus de six ans de labeur, a évolué notre recherche, quel est le travail accompli, celui qui est en cours et celui qui reste à faire.
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Connidis, Ingrid Arnet. "David K. Foot with Daniel Stoffman. Boom, Bust, and Echo: How to Profit from the Coming Demographic Shift. Toronto: Macfarlane, Walter and Ross, 1996." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 16, no. 2 (1997): 373–80. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800014409.

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Abstract:
RésuméDans leur trés populaire Boom, Bust, and Echo, Foot et Stoffman posent comme principe que “la démographie explique presque les deux tiers de tout” (p. 2). Dans un style trés vivant, ils traitent de l'effet des données démographiques (surtout de la fluctuation des taux de fécondité et de ses conséquences sur les différences de niveaux au sein des cohortes d'âge) sur l'immobilier, l'investissement, l'emploi, le commerce de détail, les loisirs, les villes, l'éducation, les soins de santé, la famille et les politiques en matière d'aînés. La distinction entre l'explication et la prédiction demeure équivoque tout au long du livre mais en réalité, la prédiction est beaucoup plus définie que l'explication. On trouve peu d'insistance sur certains éléments critiques comme la structure sociale, l'organisation humaine et le changement social de notre siècle. Le changement social important est ramené aux données démographiques en tant que variable causale et les enjeux sociaux majeurs sont souvent réduits à leurs conséquences économiques. La concentration sur l'âge comme indicateur prévisionnel du comportement mène à une analyse résolument déterministe du vieillissement et tend à présenter comme homogènes tous les membres d'un même groupe d'âge. Bien que le coeur de l'argumentation repose sur le nombre relatif de membres d'une même cohorte d'âge, on relève parfois de la confusion en matière de changements réels du comportement (qui se reflète dans le changement des proportions, et non seulement dans les nombres, d'un groupe d'âge donné engagé dans un comportement donné) et par les hypothèses de systèmes de changement de valeurs reposant sur la taille d'une cohorte. Les auteurs n'ont virtuellementpas tenu compte de la vaste recherche déjà effectuée dans le domaine. Dans l'ensemble, ils nʼembrassent pas la vision démographique apocalyptique si chère aux politiciens et aux économistes actuels, lesquels favorisent l'approche comptable transgénérationnelle, et terminent sur une note optimiste en ce qui a trait à l'avenir du Canada, notamment sur notre capacité à gérer les facteurs numériques variés en matière de retraite.
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Picard-Tortorici, Nathalie. "Démographie et économie de la famille dans les pays en développement." Économie publique/Public economics, no. 03-04 (July 15, 1999). http://dx.doi.org/10.4000/economiepublique.1997.

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Danhoundo, Georges. "L’orphelin et ses constructions en Afrique : une catégorie sociale hétérogène." Hors-thème, no. 26 (March 14, 2017). http://dx.doi.org/10.7202/1041067ar.

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Abstract:
Cadre de la recherche : Les enfants orphelins mobilisent les organismes d’aide à l’enfance, tant à l’échelle nationale qu’internationale. Dans les pays africains où la pandémie du SIDA est largement répandue, la prise en charge des « orphelins du SIDA » mobilise particulièrement les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux, de même que les familles, démontrant ainsi une solidarité autour d’une action qui semble recueillir l’approbation générale.Objectifs : Cet article analyse les usages de la catégorie « orphelin » et leurs effets en termes d’appréhension des questions publiques, sociales et internationales.Méthodologie : Il s’appuie sur du matériel récolté dans le cadre des recherches en sociologie, en démographie et en anthropologie sur les logiques d’acteurs autour du soutien aux enfants orphelins en Afrique.Résultats : Du point de vue de ces organisations humanitaires et de développement, la prise en charge des enfants orphelins requiert un ciblage, comme en témoigne la catégorie « orphelins et enfants vulnérables du SIDA ». L’utilisation de la catégorie « orphelin » s’est en particulier généralisée et diffusée dans le domaine de l’éducation et des risques. Pourtant, ce mot recouvre plusieurs réalités, il reste flou. Conjuguant sentimentalisme et compassion, il évoque une catégorie structurée autour de l’innocence, des enjeux, de la fragilité, de l’insécurité et de la vulnérabilité de l’enfance ; il constitue l’une des figures majeures de la mise en scène de l’enfance contemporaine.Conclusions : La catégorie « enfants orphelins » recouvre des réalités diverses. Les solutions exclusives de transfert d’enfants orphelins dans la lignée paternelle proposée par certaines ONG, en référence aux pratiques ancestrales des sociétés africaines patrilinéaires (où l’enfant est censé « appartenir » au lignage du père), méritent d’être questionnées. De plus, il n’est pas souhaitable de continuer à penser la famille élargie comme étant l’unique solution à la prise en charge des enfants orphelins.Contribution : Cet article souligne la nécessité d’étendre la notion de la famille élargie dans le cas des transferts d’orphelin, voire mieux définir l’appartenance à la famille élargie. Au-delà des normes de filiation, les modalités de transfert d’orphelin ou le contexte économique et social jouent un rôle important.
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"French and German Abstracts." Continuity and Change 21, no. 1 (May 2006): 3–8. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416006005868.

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Abstract:
Grâce aux progrès des études de démographie historique, il a été peu à peu reconnu que le taux de fécondité des familles de la Chine historique est resté fort modéré par rapport aux taux élevés connus en d'autres lieux. Mais ce qui est encore objet de débat, c'est de savoir si les Chinois avaient ou non pratiqué intentionnellement un contrôle de la taille de leurs familles. Dans cet article, l'auteur évoque d'abord, succinctement, l’état actuel de la recherche concernant les modèles de fécondité dans la Chine historique. Puis il donne d'autres éléments de preuve montrant des gens du passé limitant la taille de leur famille avant d'examiner l'impact qu'ont pu avoir les croyances traditionnelles sur le comportement en matière de fécondité familiale. Enfin il fait le point des théories et suggestions antinatalistes soutenues par les responsables officiels et les intellectuels chinois tout au long de l'histoire du pays. Ces éléments nous permettront d'apprécier nombre de suggestions qui ont pu être faites concernant la culture et le comportement traditionnels chinois en matière de reproduction. D'une manière générale, l'auteur conteste l'idée selon laquelle les stratégies de reproduction humaine se proposeraient d'augmenter au maximum le nombre des descendants survivants, ainsi que le postulat selon lequel la demande d'enfants (ou fils) aurait toujours été élevé dans la Chine historique.
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De Loenzien, Myriam, Géraldine Duthé, Lama Kabbanji, Armelle Andro, Dominique Diguet, Catherine Sluse, and Delphine Arnoux. "Les enjeux actuels des études de population : une analyse des thèses de doctorat soutenues en France." Revue Quetelet/Quetelet Journal 3, no. 1 (March 12, 2017). http://dx.doi.org/10.14428/rqj2015.03.01.05.

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Abstract:
RésuméCet article vise à explorer le champ des études de population en France à travers le contenu des thèses de doctorat soutenues dans ce pays au cours de la dernière décennie (2000-2012). Nous utilisons pour cela une base de données regroupant 943 thèses. Les analyses menées sont issues de modèles multivariés et de métho­des de statistique textuelle. Les résultats montrent la présence majoritaire de thè­ses réalisées en référence principalement à la sociologie et dans une moindre mesure à la démographie. La migration constitue la thématique la plus fréquemment traitée. Elle est principalement abordée en lien avec la culture, l’identité, la religion, les minorités, de façon qualitative, ou avec les notions d’environnement, de territoire, de logement. Les études sur la mortalité et la santé ou sur la dynamique de population adoptent généralement une démarche plus quantitative et de modélisation tandis que celles portant sur la fécondité, la famille, la sexualité et la nuptialité occupent une position intermédiaire, proche des études de genre. La scolarisation et l’enseignement sont quant à eux traités en lien avec différentes thématiques, sans prépondérance de l’une d’entre elles. Cette première exploration de la base des thèses apporte ainsi des éléments déterminants pour mieux comprendre le contour des études de population ainsi que la manière dont les disciplines se complètent en leur sein. À plus long terme, elle devrait être étendue à une période plus longue et pourrait servir au développement d’une base de données internatio­nale sur les thèses de doctorat en études de population. AbstractThis article aims at exploring the field of population studies in France through the lens of doctoral theses defended in this country during the last decade (2000-2012). We rely on the analysis of a database of 943 doctoral theses. Analyses performed include multivariate modeling and textual analysis. Results show that the theses refer mainly to sociology and to a lower extent to demography. Migration is the most frequently researched topic. It is mainly associated either with culture, identity, religion, minorities using qualitative approaches or oriented towards the notions of environment, housing and territory. In contrast, studies on mortality and health or population dynamics tend to involve more quantitative approach and modeling whereas fertility, family, nuptiality and sexuality are often analyzed in conjunction with gender relations, in an intermediate position. Teaching and schooling are equally linked with many topics. This first exploration of the theses database provides insights into population studies boundaries as well as the way disciplines complement each other in this field. In the long term, it could be extended to a longer period and set the basis for the development of a comparative international database of doctoral theses in population studies.
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Gagnon, Éric. "Vieillissement." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.062.

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Abstract:
L’anthropologie de la vieillesse a contribué à remettre en question des idées reçues et plusieurs préjugés tenaces, dont celle voulant que les sociétés modernes déconsidèrent la vieillesse et abandonnent leurs vieux, alors que les sociétés dites traditionnelles valorisent leur ainés et leur font une place honorable. Elle a écarté certaines images d’Épinal, comme l’Ancêtre trônant au milieu de sa famille, ou des clichés, comme le vieillard abandonné à l’hospice. Elle a appelé à se méfier de la mémoire toujours sélective et parfois enjoliveuse («Le bon vieux temps»). Elle a rappelé qu’il faut distinguer les représentations des comportements, que le prestige accordé à la vieillesse ne se traduit pas toujours en un véritable respect ou une réelle affection, et cache parfois des conditions de vie matérielle difficiles. Elle a surtout montré que le vieillissement n’est pas un phénomène purement biologique, partout identique, et qu’il est extrêmement variable d’une société, d’un groupe, d’une classe ou d’un genre à l’autre. Cette fonction critique, l’anthropologie a pu l’exercer au moyen de ce qui demeure son principal outil théorique et méthodologique : la comparaison. En comparant deux communautés au sein d’une même société, un même groupe avant et après des bouleversements historiques, deux culture très éloignées l’une de l’autre, la condition des ainés dans un pays avec celle des ainés originaires du même pays mais ayant migré dans un autre pays, ou encore différentes communautés au sein d’une même diaspora, elle a montré la diversité des conditions et des expériences, le poids des facteurs culturels, politiques ou économiques sur le vieillissement (Solokovski 1990). L’étude de cette diversité a non seulement permis de mieux comprendre le vieillissement, mais également de nourrir la réflexion touchant quatre grandes questions de l’anthropologie, que sont l’articulation du biologique et du social, les échanges familiaux, ce qui fait une communauté et le rôle des sciences et des techniques. Sur la première question, l’anthropologie du vieillissement a montré comment les transformations du corps sont étroitement déterminées par les conditions de vie, comment les changements biologiques, leur compréhension et leur perception, la manière dont les individus en font l’expérience et les réponses que les collectivité y apportent, sont façonnés par la culture, les normes sociales, l’organisation économique et les politiques publiques. L’étude de Margaret Lock (1993) sur la ménopause au Japon et en Amérique du Nord est à cet égard exemplaire. La sénescence, c’est-à-dire la dégradation des capacités générales de l’organisme biologique avec l’avancée en âge, connaît d’importantes variations. Non seulement la définition et les critères du vieillissement varient selon les milieux, les époques, les secteurs d’activité ou le genre (nombre d’années vécues, altérations physiques, incapacités, apparence physique, naissance de petits-enfants…), mais également ce qui est tenu pour un vieillissement normal ou souhaitable, le statut des personnes âgées, leurs obligations et leurs rôles. Si les conditions sociales d’existence ralentissent ou accélèrent le vieillissement biologique, elles donnent aussi à ce dernier une importance et une signification, qui font varier jusqu’aux formes d’expression de la douleur, de son histoire et de son identité (Keith 1985; Fry 2010). L’étude du vieillissement met en lumière la «biologie locale», le façonnement du corps propre à une culture ou un groupe. Sur la seconde question, l’étude anthropologique de la vieillesse s’est beaucoup intéressée aux échanges intergénérationnels, ainsi que le statut et la protection dont les personnes âgées bénéficient. Goody (1976) s’est efforcé de montrer comment les systèmes de parenté et de résidence, les modes transmission et le type d’économie favorisent ou non la dépendance des ainés envers les plus jeunes pour leur subsistance, le contrôle sur les biens, la possibilité de continuer d’habiter la demeure familiale et l’autorité qu’ils continuent d’exercer. La perspective permet non seulement la comparaison entre des sociétés d’aires culturelles très éloignées, mais l’articulation des questions anthropologiques touchant le vieillissement à celles liées à la famille et à l’économie, ainsi qu’à des enjeux politiques contemporains touchant les soins et la «prise en charge» des personnes vieillissantes (Buch 2015). Dans une perspective plus historique, on s’est intéressé aux impacts de l’allongement de la durée de vie, des transformation de l’économie (salariat, travail des femmes), des mutations de la famille, de l’essor des politiques de protection sociale (retraite, pension, allocation) et des migrations, sur les solidarités familiales, la sécurité et l’autonomie des ainés (Fry 2010). Les recherches sur les grands-parents et les transformations de leur rôle et statut (Attias-Donfut et Segalen 2007) ont alimenté l’étude des échanges et de la circulation des biens et des services au sein des familles, mais également de la transmission de la mémoire et du patrimoine familial, matériel et symbolique. Sur la troisième question, les anthropologues se sont intéressés à diverses communautés résidentielles d’ainés, que ce soit les grandes habitations et les foyers, les établissement de soins de longue durée (Hendersen et Vesperi 1995), ou encore les quartiers et villages sécurisés (gated communities), qui regroupent exclusivement ou en forte majorité des ainés. Ils se sont interrogés sur l’homogénéité de ces populations, le fonctionnement et les rites de passage propres à ces regroupements, les hiérarchies, les clivages et l’exclusion par delà le discours égalitariste, les relations avec le monde «extérieur» (les familles des résidents et la société dans son ensemble), en somme: la continuité et la discontinuité de ces communautés. Ces travaux ont nourri la réflexion sur ce qui fait une communauté en général (territoire, sentiment d’appartenance et organisation sociale), et sur la formation de communautés spécifiques de personnes âgées et le contexte dans lequel elles émergent (Keith 1985). Enfin, sur la question la place des savoirs scientifiques et techniques dans les sociétés contemporaines, les anthropologues ont porté une grande attention aux phénomènes de médicalisation et de professionnalisation du vieillissement. Celui-ci est en effet l’objet de savoirs et d’expertises qui en changent la signification et la réalité. Les transitions et transformations liées à l’âge sont devenues des problèmes, qu’il appartient à la médecine et à d’autres disciplines (la gérontologie au premier chef) de guérir, de soigner ou de «gérer» (Corin 1982). Ces interventions visent la préventions des maladies et des incapacités (gestion des risques), l’évaluation des «déficits» (physiques ou cognitifs) au moyen d’instruments diagnostics et de protocoles standardisés, pour déterminer les services ou l’aide dont la personne âgée a besoin, l’aménagement des espaces, la distribution des services spécialisés, les critères d’admission en institutions, etc. (Kaufmann 1994; Lock 1993). Ces interventions et les politiques qui les fondent, changent non seulement la façon dont le vieillissement est conçu et perçu dans une société, mais la manière dont les personnes le vivent (identité, image de soi, conduites, attentes). La vieillesse est redéfinie autour des catégories d’autonomie, de fragilité, d’activité et de dépendance – en Occident du moins – qui changent le statut de la personne âgée, sa place, ses relations aux autres, les critères culturels du vieillissement «normal» ou «réussi». Les personnes âgées sont largement considérées comme des patients et des usagers de services, mais aussi comme un marché pour les biotechnologies qui promettent un ralentissement du vieillissement. L’étude des savoirs et pratiques touchant plus spécifiquement les démences (ex : Alzheimer), du point de vue des savoirs et des pratiques professionnelles (Leibing et Cohen 2006) ou sous un angle plus expérientiel (Taylor 2008), est révélatrice de la manière dont une société conçoit la «personne», ce qui fait son «humanité» ou son identité, et comment, selon le contexte culturel et institutionnel, cette personne et cette humanité se défont ou se maintiennent. Ces travaux rejoignent une riche tradition de recherche sur la construction sociale de la «personne» et du «soi», particulièrement de la personne âgée (Lamb 1997 pour un exemple). Ces quatre grandes questions sont liées entre elles. La médicalisation et la professionnalisation renvoient à l’articulation du biologique et du social, ainsi qu’au soutien et à la prise en charge des personnes âgées; la question des communautés est indissociable des solidarités familiales. Le vieillissement est un phénomène aux multiples facettes, touchant toutes les dimensions de l’existence. Il n’est d’ailleurs compréhensible que mis en relation avec à un ensemble de réalités qui le débordent, et auxquelles, en retour, il apporte un éclairage : la famille, l’économie, la démographie, les soins de santé, les politiques, l’imaginaire social et les valeurs, la personne comme construit culturel. Si, comme le soutient Simone de Beauvoir (1970), on se découvre vieux dans le regard des autres, il reste à comprendre ce regard : les représentations, les normes, les savoirs et les pratiques qui le cadrent et l’orientent, ceux qui posent ce regard et les contextes dans lesquels il est posé, ainsi que les comportements et les expériences que ce regard induit.
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Bromberger, Christian. "Méditerranée." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.106.

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Abstract:
Alors que l’américanisme, l’africanisme, l’européanisme, l’indianisme… sont reconnus, certifiés par des musées ou des sections de musée, des départements universitaires, des chapitres de manuels depuis les origines, l’anthropologie de la Méditerranée est une spécialité récente, prenant corps, sous l’égide des universités britanniques, dans les années 1950. Ce retard est dû, au moins en partie, à l’hétérogénéité du monde méditerranéen partagé entre les façades méridionale et orientale de la mer, qui relèvent, à première vue, de l’étude du monde arabo-musulman, et la façade septentrionale ressortissant de prime abord de l’ethnologie européenne. Le scepticisme, récusant la pertinence d’une anthropologie de la Méditerranée, peut encore trouver des arguments dans l’histoire des civilisations ou dans l’actualité. Contrairement à d’autres régions du monde, l’aire iranienne voisine par exemple, le monde méditerranéen ne forme une unité ni par ses langues ni par ses traditions religieuses. Faut-il rappeler que seul l’Empire romain l’a unifié pendant plusieurs siècles autour du « mare nostrum » en favorisant l’épanouissement d’une culture gréco-latine à vocation universelle et en développant tout autour de la mer des institutions politiques sur le modèle de Rome ? Puis l’histoire de la Méditerranée fut faite de partages, de schismes, de croisades, de guerres entre empires, de conquêtes coloniales qui aboutirent, au terme de péripéties violentes, à la situation contemporaine où coexistent trois ensembles eux-mêmes fractionnés : une Méditerranée latine, catholique, largement laïcisée , partie intégrante de l’Europe occidentale, une Méditerranée balkanique orthodoxe avec ses poches islamiques, une Méditerranée arabo-musulmane. En dépit de ces fractures, des hommes de lettres campèrent, dans les années 1930, une Méditerranée des échanges et de la convivenza, à laquelle donnent crédit des lieux et des épisodes remarquables de l’histoire (l’Andalousie au temps du califat omeyade, la Sicile de Frédéric II, des villes cosmopolites de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle : Istanbul, Smyrne, Salonique, Beyrouth, Alexandrie, Alger, Tanger, Trieste, Marseille, etc.). Des revues (à Marseille, les Cahiers du sud de Jean Ballard, à Tunis Les Cahiers de la Barbarie d’Armand Guibert et Jean Amrouche , à Alger Rivages d’Edmond Charlot et Albert Camus, à Rabat Aguedal d’Henri Bosco) exaltèrent cette « fraternité méditerranéenne » tout autant imaginaire que réelle. Gabriel Audisio fut le chantre le plus exalté de cette commune « patrie méditerranéenne »: « Non, écrit-il, la Méditerranée n’a jamais séparé ses riverains. Même les grandes divisions de la Foi, et ce conflit spirituel de l’Orient et de l’Occident, la mer ne les a pas exaltés, au contraire adoucis en les réunissant au sommet sensible d’un flot de sagesse, au point suprême de l’équilibre ». Et à l’image d’une Méditerranée romaine (il veut « remettre Rome ‘à sa place’ ») il oppose celle d’une « synthèse méditerranéenne » : « À cette latinité racornie, j’oppose tout ce qui a fait la civilisation méditerranéenne : la Grèce, l’Égypte, Judas, Carthage, le Christ, l’Islam ». Cette Méditerranée qui « vous mélange tout ça sans aucune espèce de pudeur », dit-il encore, « se veut universelle ». Avant qu’un projet collectif d’anthropologie n’émerge, des ancêtres de la discipline, des géographes, des historiens, avaient apporté une contribution importante à la connaissance du monde méditerranéen. Maine, Robertson Smith, Frazer, etc. étaient classicistes ou historiens du droit et se référaient souvent aux sociétés antiques de la Méditerranée pour analyser coutumes et croyances ou encore les différentes formes d’organisation sociale (la tribu, la cité, etc.) et leur évolution. Plus tard, dans les premières décennies du XXème siècle, de remarquables études monographiques ou thématiques furent réalisées sur les différentes rives de la Méditerranée , telles celles de Maunier (1927) sur les échanges rituels en Afrique du nord, de Montagne (1930) sur les Berbères du sud Marocain, de Boucheman (1937) sur une petite cité caravanière de Syrie…Géographes et historiens, plus préoccupés par l’ancrage matériel des sociétés que par leur structure ou leurs valeurs, publièrent aussi des travaux importants, synthétiques ceux-ci, sur le monde méditerranéen ; ainsi Charles Parain, dans La Méditerranée, les hommes et les travaux (1936), campe une Méditerranée des infrastructures, celle qui prévaudra jusques et y compris dans les 320 premières pages de la thèse de Fernand Braudel (1949), celle des « ressources naturelles, des champs et des villages, de la variété des régimes de propriété, de la vie maritime, de la vie pastorale et de la vie agricole, des métiers et des techniques ». L’acte fondateur de l’anthropologie de la Méditerranée fut un colloque organisé en 1959 par Julian Pitt-Rivers, Jean Peristiany et Julio Caro Baroja, qui réunit, entre autres, Ernest Gellner, qui avait mené des travaux sur le Haut-Atlas, Pierre Bourdieu, alors spécialiste de la Kabylie, John K. Campbell, auteur de recherches sur les Saracatsans du nord de la Grèce. Cette rencontre, et celle qui suivit, en 1961, à Athènes donnèrent lieu à la publication de deux recueils fondamentaux (Pitt-Rivers, 1963, Peristiany, 1965), campant les principaux registres thématiques d’une anthropologie comparée des sociétés méditerranéennes (l’honneur, la honte, le clientélisme, le familialisme, la parenté spirituelle, etc.) et véritables coups d’envoi à des recherches monographiques s’inscrivant désormais dans des cadres conceptuels fortement charpentés. Les décennies 1960, 1970 et 1980 furent celles d’une croissance rapide et d’un épanouissement de l’anthropologie de la Méditerranée. Le monde méditerranéen est alors saisi à travers des valeurs communes : outre l’honneur et la honte, attachés au sang et au nom (Pitt-Rivers, 1977, Gilmore, 1987), la virilité qui combine puissance sexuelle, capacité à défendre les siens et une parole politique ferme qui ne transige pas et ne supporte pas les petits arrangements, l’hospitalité ostentatoire. C’est aussi un univers où domine une vision endogamique du monde, où l’on prise le mariage dans un degré rapproché, mieux la « république des cousins », où se marient préférentiellement le fils et la fille de deux frères, une formule surtout ancrée sur la rive sud et dans l’Antiquité pré-chrétienne, ; Jocaste ne dit-elle pas à Polynice : « Un conjoint pris au-dehors porte malheur » ? Ce à quoi Ibn Khaldoun fait écho : « La noblesse, l’honneur ne peuvent résulter que de l’absence de mélange », écrivait-il. Aux « républiques des beaux-frères », caractéristiques des sociétés primitives exogames étudiées par Claude Lévi-Strauss s’opposent ainsi les « républiques méditerranéennes des cousins », prohibant l'échange et ancrées dans l'endogamie patrilinéaire. Alors que dans les premières, « une solidarité usuelle unit le garçon avec les frères et les cousins de sa femme et avec les maris de ses sœurs », dans les secondes « les hommes (...) considèrent leurs devoirs de solidarité avec tous leurs parents en ligne paternelle comme plus importants que leurs autres obligations, - y compris, bien souvent, leurs obligations civiques et patriotiques ». Règne ainsi, dans le monde méditerranéen traditionnel, la prédilection pour le « vivre entre soi » auquel s’ajoute une ségrégation marquée entre les sexes, « un certain idéal de brutalité virile, dont le complément est une dramatisation de la vertu féminine », poursuit Germaine Tillion (1966). La Méditerranée, c’est aussi un monde de structures clientélaires, avec ses patrons et ses obligés, dans de vieilles sociétés étatiques où des relais s’imposent, à tous les sens du terme, entre le peuple et les pouvoirs; parallèlement, dans l’univers sacré, les intermédiaires, les saints, ne manquent pas entre les fidèles et la divinité ; ils sont nombreux, y compris en islam où leur culte est controversé. La violence avec ses pratiques vindicatoires (vendetta corse, disamistade sarde, gjak albanais, rekba kabyle…) fait aussi partie du hit-parade anthropologique des caractéristiques méditerranéennes et les auteurs analysent les moyens mis en œuvre pour sortir de ces conflits (Black-Michaud, 1975). Enfin, comment ne pas évoquer une communauté de comportements religieux, en particulier les lamentations funèbres, les dévotions dolorisantes autour des martyrs ? L’« inflation apologétique du martyre » est ainsi un trait commun au christianisme et à l’islam chiite pratiqué au Liban. La commémoration des martyrs fondateurs, dans le christianisme comme en islam chiite, donne lieu à des rituels d’affliction de part et d’autre de la Méditerranée. C’est en terre chrétienne la semaine sainte, avec ses spectaculaires processions de pénitents en Andalousie, ou, en Calabre, ces cérémonies où les hommes se flagellent les mollets et les cuisses jusqu’au sang. Au Liban les fidèles pratiquent, lors des processions et des prônes qui évoquent les tragiques événements fondateurs, des rituels dolorisants : ils se flagellent avec des chaînes, se frappent la poitrine avec les paumes des mains, voire se lacèrent le cuir chevelu avec un sabre. Dans le monde chrétien comme en islam chiite, des pièces de théâtre (mystères du Moyen Âge, ta’zie) ont été composées pour représenter le martyre du sauveur. Rituels chiites et chrétiens présentent donc un air de famille (Bromberger, 1979). Cette sensibilité au martyre dans les traditions religieuses méditerranéennes est à l’arrière-plan des manifestations laïques qui célèbrent les héros locaux ou nationaux tombés pour la juste cause. C’est le cas en Algérie. Toutes ces remarques peuvent paraître bien réductrices et caricaturales, éloignées des formes de la vie moderne et de la mondialisation qui l’enserre. Ne s’agit-il pas d’une Méditerranée perdue ? Les auteurs cependant nuancent leurs analyses et les insèrent dans le contexte spécifique où elles prennent sens. Dans leur généralité, elles offrent, malgré tout, une base de départ, un cadre comparatif et évolutif. Après une période faste, couronnée par un ouvrage de synthèse récapitulant les acquis (Davis, 1977), vint le temps des remises en cause. Plusieurs anthropologues (dont Michael Herzfeld, 1980, Josep Llobera,1986, Joao de Pina-Cabral,1989…) critiquèrent de façon radicale l'érection de la Méditerranée en « regional category » en fustigeant le caractère artificiel de l'objet, créé, selon eux, pour objectiver la distance nécessaire à l'exercice légitime de la discipline et qui s'abriterait derrière quelques thèmes fédérateurs fortement stéréotypés. À ces critiques virulentes venues des centres européens ou américains de l’anthropologie, se sont jointes celles d'ethnologues originaires des régions méditerranéennes, pour qui la référence à la Méditerranée est imaginaire et suspecte, et dont les travaux sont ignorés ou regardés de haut par les chercheurs formés à l’école britannique. Ce sentiment négatif a été d’autant plus accusé sur les rives méridionale et orientale de la Méditerranée que la mer qui, à différentes périodes, reliait est devenue un fossé aussi bien sur le plan économique que politique. Diverses initiatives et prises de position scientifiques ont donné un nouvel élan, dans les années 1990-2000, à l’anthropologie de la Méditerranée. Colloques et ouvrages (par exemple Albera, Blok, Bromberger, 2001) rendent compte de cette nouvelle conjoncture. On se garde désormais plus qu’avant de considérer le monde méditerranéen comme une aire culturelle qui présenterait, à travers le temps et l’espace, des caractéristiques communes stables. Au plus parlera-t-on d’un « air de famille » entre les sociétés riveraines de la mer en raison de contextes écologiques similaires, d’une histoire partagée, de la reconnaissance d’un seul et même Dieu. Cette perspective mesurée rejoint le point de vue de Horden et Purcell (2000), auteurs d’un ouvrage important tirant un bilan critique de l’histoire du monde méditerranéen. Pour eux, qui combinent points de vue interactionniste et écologique, la Méditerranée se définit par la mise en relation par la mer de territoires extrêmement fragmentés, par une « connectivity » facilitée par les Empires. Le titre énigmatique de leur livre, The Corruptive Sea, « La Mer corruptrice », prend dès lors tout son sens. Parce qu’elle met en relation, cette mer serait une menace pour le bon ordre social et pour la paix dans les familles. Cette proximité entre sociétés différentes qui se connaissent fait que le monde méditerranéen s’offre comme un terrain idéal au comparatisme « à bonne distance ». C’est sous le sceau de ce comparatisme raisonné que s’inscrivent désormais les travaux les plus convaincants, qu’ils se réclament explicitement ou non de l’anthropologie de la Méditerranée (voir sur la nourriture Fabre-Vassas, 1994, sur la parenté Bonte éd., 1994 , sur la sainteté Kerrou éd., 1998 et les traditions religieuses, sur les migrations et les réseaux Cesari, éd., 2002, sur le cosmopolitisme Driessen, 2005) Tantôt les recherches soulignent les proximités (Albera, 2005, 2009, Dakhlia, 2008, Dakhlia et Kaiser, 2011), tantôt elles les relativisent (Fernandez Morera, 2016, Bromberger, 2018), tantôt elles insistent sur les aspects conflictuels (Chaslin, 1997). Une autre voie est de considérer le monde méditerranéen, non pas comme un ensemble fait de similarités et de proximités mais comme un espace fait de différences qui forment système. Et ce sont ces différences complémentaires, s’inscrivant dans un champ réciproque, qui permettent de parler d’un système méditerranéen. Chacun se définit, ici peut-être plus qu’ailleurs, dans un jeu de miroirs (de coutumes, de comportements, d’affiliations) avec son voisin. Les comportements alimentaires, les normes régissant l’apparence vestimentaire et pileuse, le statut des images… opposent ainsi des populations revendiquant un même Dieu (Bromberger, 2018).
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