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Bourdaud, Gérard. "Le calcul fonctionnel dans les espaces de Sobolev." Inventiones mathematicae 104, no. 1 (December 1991): 435–46. http://dx.doi.org/10.1007/bf01245083.

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Gumuchian, Hervé. "Territorialité, partenariat et autre développement : les espaces à faible densité en situation périphérique." Cahiers de géographie du Québec 35, no. 95 (April 12, 2005): 333–47. http://dx.doi.org/10.7202/022181ar.

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Abstract:
Certains des pays occidentaux industrialisés voient se juxtaposer des espaces caractérisés par de fortes concentrations de population et d'autres à faibles densités, espaces marginalisés en voie de désertification. Le devenir de ces espaces auxquels s'appliquent de multiples adjectifs tout autant connotés les uns que les autres — « fragiles », « marginaux », « périphériques », « défavorisés » — dépend des politiques conduites par les divers pouvoirs en matière d'aménagement du territoire. Mais les résultats, globalement peu convaincants, obtenus ces dernières années justifient le recours à une autre démarche: développement, territorialité et partenariat correspondent à trois concepts fortement liés entre eux et susceptibles d'être utilisés en matière de réflexion et ultérieurement d'intervention dans ce type d'espaces. Revendiquer dès maintenant une telle démarche, c'est se préparer à affronter les enjeux territoriaux considérables que vont représenter demain ces « espaces vides ».
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Amrouche, Chérif, and Ulrich Razafison. "Espaces de Sobolev avec poids et équation scalaire d'Oseen dans." Comptes Rendus Mathematique 337, no. 12 (December 2003): 761–66. http://dx.doi.org/10.1016/j.crma.2003.09.038.

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4

Alliot, Frédéric, and Chérif Amrouche. "Problème de Stokes dans ℝn et espaces de Sobolev avec poids." Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series I - Mathematics 325, no. 12 (December 1997): 1247–52. http://dx.doi.org/10.1016/s0764-4442(97)82347-6.

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5

Boccardo, Lucio. "Quelques problèmes de Dirichlet avec données dans de grands espaces de Sobolev." Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series I - Mathematics 325, no. 12 (December 1997): 1269–72. http://dx.doi.org/10.1016/s0764-4442(97)82351-8.

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6

Chabi, Amina, and Alain Haraux. "Un théorème de valeurs intermédiaires dans les espaces de Sobolev et applications." Annales de la faculté des sciences de Toulouse Mathématiques 7, no. 2 (1985): 87–100. http://dx.doi.org/10.5802/afst.617.

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7

Philippe-Vaudène, Renée. "Immersion des espaces de Sobolev généralisés (de type Orlicz ou à poids) dans des espaces de fonctions continues." Annales de la faculté des sciences de Toulouse Mathématiques 12, no. 2 (1991): 251–82. http://dx.doi.org/10.5802/afst.727.

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Filion, Louise, and Serge Payette. "La dynamique de l’enneigement en région hémi-arctique, Poste-de-la-Baleine, Nouveau-Québec." Cahiers de géographie du Québec 20, no. 50 (April 12, 2005): 275–301. http://dx.doi.org/10.7202/021322ar.

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Abstract:
Dans les régions hemi-arctiques, les patrons d'enneigement sont causés par l'arrangement spatial des unités de relief et de végétation. A Poste-de-la-Baleine, l'étude de la distribution du couvert de neige en fonction des unités de relief démontre que les dépressions et les versants affectés d'un microrelief accusé ou de fortes dénivellations sont les sites privilégiés d'accumulation. Les structures végétales hautes exercent un meilleur contrôle des conditions d'enneigement que les structures végétales basses. Dans les milieux forestiers, la relation entre la densité et la profondeur de neige est linéaire: à une augmentation de la profondeur correspond une hausse de la densité. Ces variations s'expriment le long d'un gradient altitudinal. Dans les milieux ouverts dominés par des formations basses, l'influence du vent est déterminante: elle se traduit par des profondeurs de neige très variables et des densités uniformes et généralement élevées. La saturation topographique est un concept utile pour caractériser les conditions d'enneigement de ces espaces ouverts : l'accumulation de neige a tendance à atténuer le relief et à régulariser le profil des versants. D'une année à l'autre, les patrons d'enneigement semblent constants.
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Boulmezaoud, Tahar Zamène. "Espaces de Sobolev avec poids pour l'équation de Laplace dans le demi-espace." Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series I - Mathematics 328, no. 3 (February 1999): 221–26. http://dx.doi.org/10.1016/s0764-4442(99)80125-6.

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Lemarié-Rieusset, Pierre Gilles. "Une remarque sur la valeur absolue dans certains espaces de Sobolev ou de Besov." Comptes Rendus Mathematique 349, no. 11-12 (June 2011): 629–32. http://dx.doi.org/10.1016/j.crma.2011.05.003.

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Seck, Cheikh, Gilbert Bayili, Abdoulaye Séne, and Mary Teuw Niane. "Contrôlabilité exacte de l’équation des ondes dans des espaces de Sobolev non réguliers pour un ouvert polygonal." Afrika Matematika 23, no. 1 (March 8, 2011): 1–9. http://dx.doi.org/10.1007/s13370-011-0001-6.

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Cruzeiro, Ana Bela. "Processus sur l'espace de Wiener associés à des opérateurs elliptiques à coefficients dans certains espaces de Sobolev." Journal of Functional Analysis 72, no. 2 (June 1987): 346–67. http://dx.doi.org/10.1016/0022-1236(87)90092-9.

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Mascré, David. "Inégalités à poids pour l'opérateur de Hardy–Littlewood–Sobolev dans les espaces métriques mesurés à deux demi-dimensions." Colloquium Mathematicum 105, no. 1 (2006): 77–104. http://dx.doi.org/10.4064/cm105-1-9.

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Meurisse, Quentin, Isabelle De Smet, Hadrien Mélot, David Laplume, Thomas Brihaye, Cédric Rivière, Emeline Coszach, Jérémy Cenci, Sesil Koutra, and Vincent Becue. "Recherche locale et théorie des jeux appliqués à la création de typo-morphologies compactes." SHS Web of Conferences 82 (2020): 03004. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20208203004.

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Abstract:
En vue d'une densification urbaine durable, un outil ayant pour but d'évaluer et d'assister la conception d'îlots urbains compacts pourvus d'une densité de population cible a été créé et testé dans le cadre du projet CoMod. Le concept de compacité spatiale est appliqué ici, à l'échelle architecturale, sur le bâti, le non-bâti et les deux combinés. Cette approche encourage les typo-morphologies économes en terrain et en ressources matérielles tout en étant efficaces d'un point de vue énergétique. Afin d'éviter une potentielle exagération de ce concept divers critères notamment relatifs aux espaces verts, aux ombres ainsi que des distances et surfaces minimales sont considérés. Cependant, viser la compacité urbaine rencontre une conciliation difficile entre les divers critères quantitatifs et qualitatifs. De nombreux outils mathématiques ont déjà été appliqués à des problems urbanistiques (méthodes d'optimisation, aide à la décision, automates cellulaires, ensembles fractals, etc.). L'étude de typo-morphologies compactes avec l'aide de la théorie des jeux ou de la recherche locale peut aider à la gestion des problèmes provenant de critères conflictuels. Dans cet article nous présentons un prototype de programme qui génère des îlots urbains en utilisant la recherche locale et la théorie des jeux.
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Ghribi, Marwen, and Salem Dahech. "Caractéristiques de l’îlot de chaleur urbain à Sfax durant la saison chaude (centre-est de la Tunisie)." Climatologie 17 (2020): 7. http://dx.doi.org/10.1051/climat/202017007.

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Abstract:
Cette étude s’inscrit dans la continuité des travaux portant sur le climat urbain de Sfax avec une précision spatiale et temporelle. Il s’agit d’une recherche fondamentale apportant certains éléments de réponse à des problématiques d’aménagement, d’économie d’énergie électrique et de prévention du risque sanitaire en cas de forte chaleur. Nous étudions les variations spatiotemporelles des températures de l’air dans l’agglomération de Sfax. En phase nocturne, l’écart thermique centre/campagne atteint son maximum (jusqu’à 7°C) à partir de minuit. De surcroit, pendant la dernière décennie, les espaces inter-radiaux de la périphérie ont été remarquablement densifiés, suite aux opérations de morcellement, ce qui a engendré l’expansion de la zone chaude à l’échelle de l’agglomération et atténué l’écart thermique entre le centre-ville et la périphérie. De même, la périphérie est l’endroit le plus hétérogène (zones denses, terrains nus, petites exploitations agricoles…), ce qui se traduit par des températures contrastées tributaires de la densité du bâti et des activités anthropiques. Par ailleurs, en phase diurne, la brise de mer rend le littoral, y compris le centre, moins chaud (jusqu’à moins 5°C en fonction de la distance) que la périphérie et la zone rurale ouest alors que la brise de terre rend la campagne plus fraîche la nuit.
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Komtchou, Simon, Ahmad Dirany, Patrick Drogui, and Pierre Lafrance. "Application des procédés d’oxydation avancée pour le traitement des eaux contaminées par les pesticides – revue de littérature." Revue des sciences de l’eau 29, no. 3 (February 13, 2017): 231–62. http://dx.doi.org/10.7202/1038926ar.

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Abstract:
Les pesticides sont des substances chimiques et naturelles destinées à détruire, combattre ou repousser les organismes indésirables ou nuisibles qui causent des dommages aux cultures et produits agricoles. Leur utilisation permet aussi d’entretenir les espaces publics et les voies ferrées. Ces utilisations multiples des pesticides expliquent leur présence dans divers compartiments environnementaux comme l’eau, les sols et l’air. Cette présence dans l’environnement a des conséquences néfastes sur les êtres vivants, en particulier chez l’Homme où l’exposition aux pesticides peut causer des maladies neurodégénératives, congénitales et divers types de cancer. Il est donc nécessaire de contrôler les sources d’émission, réduire leurs transferts dans l’environnement et traiter les milieux d’exposition contaminés à l’aide de procédés d’épuration efficaces comme les procédés d’oxydation avancée (POA). Dans cette revue de synthèse bibliographique, l’accent est mis sur les différents paramètres opératoires qui influencent l’efficacité des procédés électrochimiques, photochimiques et électro-photochimiques dans le traitement des eaux contaminées par les pesticides. De manière globale, l’efficacité des POA est influencée par la nature de l’effluent à traiter (synthétique ou réel), le pH, et le temps de traitement. Les procédés électrochimiques sont influencés par la nature des électrodes et la densité du courant appliquée. Les procédés photochimiques comme la photocatalyse sont influencés par la nature et la concentration du photocatalyseur et par la longueur d’onde de la source lumineuse. Les procédés électro-photochimiques comme l’électro-photocatalyse sont influencés par la nature de la photo-anode. Cette revue de littérature a permis de montrer l’efficacité de POA pour la dégradation totale et la minéralisation partielle de l’atrazine en concentration initiale identique (C0 = 0,1 mM).
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Lardon, Sylvie. "Les trois vi-e-s des territoires ruraux : voyage en France ou ailleurs." Revue Organisations & territoires 29, no. 1 (May 12, 2020): 149–63. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v29n1.1134.

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Abstract:
Les territoires ruraux changent : ils nouent de nouvelles relations avec le monde urbain. La planètes’urbanise : elle est le siège de nombreux flux. Ces dynamiques, qui s’étendent sur de larges espaces, occultent celles qui se déroulent à proximité, à faible densité, dans les territoires où pourtant on assiste à un foisonnement d’initiatives. Or, ce sont des territoires vivants qui transforment le monde en articulant l’urbain et le rural, en assumant une solidarité réciproque, en dépassant les limites et les frontières. Pour accompagner ces dynamiques de changement, l’ingénierie territoriale se doit de favoriser l’interterritorialité, l’intégration des échelles et des mondes ainsi que la reconnaissance des innovations sociales et territoriales. Plus encore, elle doit impliquer l’ensemble des acteurs qui sont partie prenante pour donner vie aux territoires en se construisant une vision partagée du territoire et en mettant en oeuvre des actions collectives, en les ancrant dans le territoire et en les rendant visibles et sensibles. Ce cadre conceptuel d’une ingénierie territoriale pour, par et avec les territoires ruraux est issu d’une recherche partenariale en cours avec le territoire du Grand Clermont et du parc naturel régional Livradois-Forez, en région Auvergne- Rhône-Alpes, en France, qui « invente les territoires de demain » autour de son projet alimentaire territorial. Il y a là de nouvelles pistes à explorer qui remettent en cause les procédés traditionnels de production scientifique et de construction de l’action. La rigueur des itinéraires méthodologiques construits et la diversité assumée des dispositifs permettent de monter en généricité. L’imagination valorise cette diversité et produit le futur des territoires.
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Allouis, Tristan, Jean-Stéphane Bailly, Yves Pastol, and Catherine Le Roux. "Utilisation conjointe de trains d'ondes lidar vert et infrarouge pour la bathymétrie des eaux de très faibles profondeurs." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 213 (April 27, 2017): 33–42. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2017.362.

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Abstract:
La bathymétrie et la topographie des surfaces immergées sont des connaissances essentielles pour la gestion durabledes rivières et des espaces littoraux. Parmi les techniques permettant de les obtenir, le LiDAR bathymétrique apparaîtprometteur par sa capacité à relever de grandes surfaces en un temps limité, avec une forte résolution spatiale et demanière continue entre zones émergées et immergées.Bien que certaines études aient porté sur la précision de cette technique dans les zones côtières de profondeurmodérée, peu se sont intéressées aux eaux très peu profondes (< 3 m). Dans cette étude, une nouvelle méthode detraitement de formes d'ondes LiDAR pour les très faibles profondeurs est proposée. Cet algorithme s'appuie sur letraitement conjoint des trains d'ondes vert et proche-infrarouge (PIR). La densité et la précision des données résultantessur les eaux côtières très peu profondes sont ensuite analysées.Les résultats de ces développements et analyses sont présentés sur des données acquises sur le Golfe du Morbihan(France) par le Service Hydrographique et Océanographique de la Marine (SHOM) en 2005 avec un système SHOALSqui fournit les formes d'ondes Raman, PIR et vert. Ce travail met l'accent sur la comparaison de la qualité entre lesdonnées bathymétriques livrées issues du traitement des signaux par l'opérateur et celles issues de l'algorithme detraitement proposé. Pour la validation des résultats, une méthode spécifique est utilisée ici afin de faciliter lacomparaison de mesures altimétriques réalisées entre des points GPS de référence et des empreintes LiDAR (diamètrede l'ordre de 2 m). Dans les très faibles profondeurs d'eau, l'algorithme proposé extrait 41% de mesuressupplémentaires par rapport aux données livrées, avec un biais de mesure comparable (environ 5 cm) et un écart-typedes erreurs plus faible (26,1 cm contre 41,1 cm). 55% de ces mesures supplémentaires sont situés à une profondeurcomprise entre 1,5 m et 2 m. De plus, l'algorithme proposé améliore la profondeur minimale détectable de 80 cm parrapport aux données livrées (1 m contre 1,8 m).
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Chamoux, Marie-Noëlle. "¿Hacia el indio nuevo? De lo global a lo local y a la inversa en pueblos nahuas del norte de Puebla." Revista Trace, no. 50 (July 10, 2018): 34. http://dx.doi.org/10.22134/trace.50.2006.423.

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Abstract:
La vida cotidiana en las comunidades indígenas ha sufrido muchos cambios desde los años cuarenta del siglo XX. El espacio, tal como los indígenas se lo apropian prácticamente, revela estos cambios. Se usa los conceptos de “mundo rural”, dominado por lo agropecuario, y de “lugares”, espacios con alta densidad de relaciones sociales. Se examina el caso de los nahuas del norte de Puebla (municipio de Huauchinango), señalando el ocaso del etos rural y la dominación ya instalada de valores urbanos. Se constata sin embargo, la permanencia de fuertes solidaridades familiares y el arraigo al pueblo. Pero en cambio se observa la pérdida de sentido del territorio del pueblo, tanto en su uso económico como en su apropiación simbólica y ritual. Casa, pueblo, comarca y “mundo exterior” son los espacios considerados para evaluar los cambios sufridos e imaginar un porvenir ya fuertemente amarrado a la modernidad.Abstract: Daily life in indigenous communities has suffered many changes since the nineteen forties. Space reveals these changes through the manner in which indigenous populations appropriate it. Concepts are employed such as “the rural world”, dominated by agricultural and livestock activity and “places”, spaces containing a high density of social relations. We examine the case of Nahuas in the north of Puebla (municipality of Huauchinango), pointing out a decline in rural ethos and the establishing of a domination of urban values. Nevertheless we verify the permanence of strong family solidarities and attachment to the village. On the other hand we observe the loss of a sense of territory, both in terms of economic use as in symbolic and ritual appropriation. House, village, region and “outside world” are the space taken into consideration to evaluate the changes suffered and to imagine a future firmly tied to modernity.Résumé : La vie quotidienne dans les communautés indigènes a subi de nombreux changements depuis les années quarante du XXe siècle. L’espace, tel que les Indiens se l’approprient dans la pratique, en porte la trace. On utilise les concepts de “milieu rural”, dominé par l’agriculture, et de “lieux”, espaces de haute densité de relations sociales. On examine le cas des Nahuas du nord de Puebla (municipe de Huauchinango), en signalant le déclin d’un etos rural et la domination déjà installée des valeurs urbaines. On constate cependant la permanence de fortes solidarités familiales et l’attachement au village. En revanche on observe la perte de sens du territoire, tant dans ses usages économiques que dans son appropriation symbolique et rituelle. L’habitat, le village, la contrée et le “monde extérieur” sont considérés pour évaluer les changements subis et imaginer un avenir déjà fortement amarré à la modernité.
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ZOHOUN, Prucelle Elisée, Mama DJAOUGA, Soufouyane ZAKARI, David M. BALOUBI, and Ibouraïma YABI. "Diversité, structure des arbres et description du boisement dans les concessions de l’espace urbain de Parakou au centre du Bénin." Journal of Applied Biosciences 154 (October 31, 2020): 15842–52. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.154.1.

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Objectif : L’urbanisation dans les Pays en voie de développement se traduit par une croissance démographique galopante avec pour corollaire la dégradation de la végétation dans les espaces urbains et péri-urbains. Le présent article s’intéresse particulièrement à l’analyse de la diversité spécifique, de la structure des arbres et du boisement dans les concessions de la ville de Parakou. Méthodologie et résultats : Sur la base d’un échantillonnage raisonné, un inventaire floristique suivi d’une observation sur le nombre d’arbre par concession a été fait dans 140 placettes. Les résultats montrent que 30,32 % des concessions sont dépourvues d’arbre, 21,64 % comptent 1 arbre et 48,04 % comptent 2 arbres et plus. La richesse spécifique est de 94 espèces dont 77 espèces exotiques et 17 espèces locales réparties dans 37 familles. Le peuplement est dominé par l’espèce Mangifera indica. La densité moyenne est de 18 pieds/ha. La distribution selon les classes de diamètre montre une abondance des individus dans la classe de 10 à 30 cm. Conclusion et application des résultats : Il ressort de ces résultats que les concessions de la ville de Parakou sont peu boisées et pauvres en espèces locales et à grand diamètre. Ces résultats suscitent des recherches sur l’importance et les contraintes liées à la plantation des arbres dans le milieu urbain. Par ailleurs cela montre aux gestionnaires de la ville de Parakou, l’urgence de la vulgarisation et l’application des lois qui encadrent la plantation, la conservation et la protection des arbres dans les concessions et les domaines privés de Parakou et au Bénin. Mots clés : Villes de Parakou (Bénin), concessions, arbres, diversité, dendrométrie Zohoun et al., J. Appl. Biosci. 2020 Diversité, structure des arbres et description du boisement dans les concessions de l’espace urbain de Parakou au centre du Bénin 15843 ABSTRACT Diversity, tree structure and description of afforestation in the grants of the urban area of Parakou in central Benin Objective: Urbanization in developing countries results in galloping demographic growth with as a corollary, the degradation of vegetation in urban and peri-urban areas. This article focuses on the analysis of the specific diversity, tree structure and afforestation in the grants of the city of Parakou. Methodology and results: By sampling method, a floristic inventory followed by an observation of the number of trees per grant was made in 140 plots. The results show that 30.32% of the grants have no trees, 21.64% have 1 tree and 48.04% have 2 or more trees. The specific wealth is 94 species, of which 77 species are exotic and 17 local species, distributed among 37 families. The population is dominated by the Mangifera indica species. The average density is 18 plants/ha. The distribution according to diameter classes shows an abundance of individuals in the class of 10 to 30 cm. Conclusion and application of results: It appears from these results that the grants in the town of Parakou are sparsely forested and poor in local and large-diameter species. These results prompt research on the importance of and constraints to tree planting in the urban area. Moreover, it shows the managers of the city of Parakou the urgency of the extension and application of laws that govern the planting, conservation and protection of trees in the grants and the private domains of Parakou and in Benin. Key words: City of Parakou (Benin), grants, trees, diversity, dendrometry
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Kramar, Sabina, Mirka Trajanova, Matej Dolenec, Maja Gutman, Mojca Bedjanič, and Ana Mladenovič. "Heritage Stone 7. Pohorje Granodiorite – One of the Most Significant Slovenian Natural Stones." Geoscience Canada 43, no. 1 (March 14, 2016): 79. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2015.42.077.

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Abstract:
Granodiorite from the Pohorje Mountains (northeastern Slovenia) is considered the highest quality natural stone in Slovenia. Pohorje granodiorite is a grey, calc-alkaline igneous rock of Miocene age (18.7 Ma) that is distinguished by thick white aplite−pegmatite veins. It mainly consists of plagioclase, quartz, and K-feldspar, subsidiary biotite and a small amount of hornblende. It is characterized by high density, low water absorption, and low porosity, so that it exhibits high frost and salt resistance, as well as a high compressive strength and a very high flexural strength. It is widely recognized throughout the country for its durability and decorative white veins, and is the most frequently used natural stone in Slovenia today. It is mainly used as paving and cladding material for residential buildings, churches, and other structures, as well as in public areas, where it adds special character to many of the larger towns and cities. Several important buildings, some of which have been declared cultural monuments of national importance, are also decorated with this stone, including the Slovenian Parliament, the Republic Square business complex, and the Faculty of Law of the University of Ljubljana, all of which are located in Ljubljana. Since 1940, Pohorje granodiorite has also been widely used by sculptors in various monuments and fountains. RÉSUMÉLe granodiorite des montagnes de Pohorje (nord de la Slovénie) est considéré comme la meilleure pierre naturelle de Slovénie. Le granodiorite de Pohorje est une roche ignée grise, calco-alcaline du Miocène (18,7 Ma) qui se distingue par la présence d’épais filons de pegmatites d’aplite blanche. Il se compose principalement de plagioclase, de quartz et de feldspath potassique, de biotite accessoire et d’une petite quantité d'amphibole. Elle est caractérisée par une densité élevée, un faible coefficient d’imbibition, et une porosité faible, de sorte qu'elle présente une haute résistance au gel et au sel, ainsi qu’une résistance élevée à la compression et une résistance très élevée à la flexion. Elle est très connue dans tout le pays pour sa durabilité et ses filons décoratifs blancs, et c’est la pierre naturelle la plus fréquemment utilisée en Slovénie de nos jours. Elle est principalement utilisée comme matériau de pavage et de revêtement pour les bâtiments résidentiels, les églises et autres constructions, ainsi que dans les espaces publics, où elle donne un caractère distinctif aux grands villages et aux villes. Plusieurs bâtiments importants, dont certains ont été déclarés monuments culturels d'importance nationale, sont également décorées avec cette pierre, y compris le Parlement slovène, le complexe d'affaires Place de la République, et la Faculté de droit de l'Université de Ljubljana, lesquels sont tous situés à Ljubljana. Depuis 1940, le granodiorite de Pohorje a aussi été beaucoup utilisé par les sculpteurs dans divers monuments et fontaines.Traduit par le Traducteur
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Campana, Frédéric. "Orbifoldes géométriques spéciales et classification biméromorphe des variétés kählériennes compactes." Journal of the Institute of Mathematics of Jussieu 10, no. 4 (May 28, 2010): 809–934. http://dx.doi.org/10.1017/s1474748010000101.

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RésuméLe présent texte, suite de l'article paru en 2004 aux Annales de l'Institut Fourier, définit et établit les propriétés de base des orbifoldes géométriques, essentielles pour la compréhension de la structure birationnelle des variétés projectives ou Kählériennes compactes, et qui permettent d'en donner une vue synthétique globale très simple. Les démonstrations données reposent cependant sur les techniques usuelles de la géométrie algébrique/analytique. De nombreuses questions ou conjectures sont également formulées à leur sujet.Bien que les orbifoldes géométriques ne soient autres que les paires (X|Δ) du LMMP (avec éX compacte et Kähler), leur origine et leurs motivations initiales sont entièrement différentes : le diviseur orbifolde Δ, analogue à un diviseur de ramification, encode les fibres multiples d'une fibration de base X, et (X|Δ) apparait comme un revêtement de X qui ramifie exactement (multiplicités comprises) au-dessus de Δ, et élimine les fibres multiples en codimension 1, par changement de base virtuel. Cette origine géométrique permet de munir naturellement les orbifoldes géométriques des invariants usuels des variétés : morphismes et applications biméromorphes, formes différentielles, groupe fondamental et revêtement universel, pseudométrique de Kobayashi, corps de définition et points rationnels. On s'attend à ce que leur géométrie qualitative soit la même que celle des variétés ayant des invariants similaires. Les plus élémentaires de ces propriétés géométriques sont établies ici, par adaptation directe des arguments utilisés pour les variétésLes fibrations possédent, dans la catégorie biméromorphe des orbifoldes géométriques, des propriétés d'extension (ou « d'additivité ») non satisfaites dans la catégorie des variétés sans structure orbifolde, ce qui permet d'exprimer certains invariants de l'espace total comme extension (ou « somme ») de ceux de la fibre générale orbifolde, et de la base orbifolde. Par exemple, la suite des groupes fondamentaux est toujours exacte dans la catégorie orbifolde. De même, l'espace total d'une fibration est spéciale (voir ci-dessous) si la fibre orbifolde générique et la base orbifode le sont. En fait, les orbifoldes géométriques ont été initialement introduites précisément pour remédier à ce défaut d'additivité.Une conséquence naturelle de ces constructions est l'introduction d'une classe nouvelle : les orbifoldes géométriques spéciales, qui sont celles qui ne dominent méromorphiquement aucune orbifolde géométrique de type général et de dimension positive. Ces orbifoldes spéciales sont exactement celles qui sont (canoniquement) décomposées (conditionnellement en une variante orbifolde de la conjecture Cn,m) en tours de fibrations ayant des fibres telles que, ou bien κ = 0, ou bien κ+ = −∞. Ces dernières sont celles ne dominant pas d'orbifolde de dimension strictement positive et telle que κ ≥ 0. Conjecturalement, ce sont celles qui sont rationnellement connexes dans la catégorie orbifolde. La connexité rationnelle est définie de la façon habituelle, une fois les courbes rationnelles orbifoldes définies.Cette décomposition permet de relever aux orbifoldes spéciales certaines propriétés connues ou conjecturées pour les orbifoldes telles que κ+ = −∞ ou κ = 0, et elle conduit à conjecturer, entre autres, que le fait d'être spéciale est la caractérisation exacte de certaines propriétés importantes (telles que la densité potentielle ou l'annulation de la pseudométrique de Kobayashi). Elles jouent conjecturalement un rôle central dans d'autres problèmes, tels que les espaces de paramètre des familles de variétés canoniquement polarisées.Enfin, nous construisons, sur toute orbifolde géométrique (X|Δ), une unique fibration caractérisée par le fait que ses fibres orbifoldes sont spéciales, et sa base orbifolde de type général. Cette fibration scinde donc l'orbifolde en ses parties antithétiques: spéciale (les fibres) et de type général (la base) au niveau géométrique, mais aussi conjecturalement aux niveaux arithmétique et hyperbolique.De nombreux problèmes essentiels relatifs à l'équivalence biméromorphe dans cette catégorie orbifolde restent néammoins ouverts (en particulier, leur extension aux orbifoldes Log-terminales ou Log-canoniques).On trouvera dans l'article à paraitre dans les proceedings de la conférence de Schiermonnikoog une version abrégée en anglais du présent texte, ainsi que des compléments sur les relations avec le LMMP.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Huyghe, Marie, Hervé Baptiste, and Jean-Paul Carrière. "Quelles organisations de la mobilité plus durables et moins dépendantes de la voiture dans les espaces ruraux à faible densité ? L’exemple du Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine." Développement durable et territoires, Vol. 4, n°3 (October 30, 2013). http://dx.doi.org/10.4000/developpementdurable.10000.

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Gagnon, Éric. "Âgisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.089.

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En une formule d’une belle densité, Simone de Beauvoir a résumé cette attitude négative à l’égard du vieillissement qu’est l’âgisme : « Si les vieillards manifestent les mêmes désirs, les mêmes sentiments, les mêmes revendications que les jeunes, ils scandalisent; chez eux, l’amour, la jalousie semblent odieux, la sexualité répugnante, la violence dérisoire. Ils doivent donner l’exemple de toutes les vertus. Avant tout on réclame d’eux la sérénité » (1970, p. 9-10). L’âgisme repose sur une vision stéréotypée et dépréciative des personnes âgées, perçues comme déclinantes et dépendantes, malades et peu attirantes, conservatrices et incapables de s’adapter aux changements (sociaux ou technologiques). Inutiles, ces personnes représentent un fardeau pour les plus jeunes; déclinantes, elles n’ont plus aucune passion ou projet; dépassées et incompétentes, elles doivent se tenir en retrait. Cette vision se traduit par des comportements condescendants ou d’évitement, de la discrimination et de l’exclusion de certains espaces ou sphères d’activités, comme le travail, les discussions politiques ou la sexualité. Elle a des effets délétères sur les personnes âgées (image de soi négative, retrait et isolement), ainsi que des coûts économiques et sociaux (Puijalon et Trincaz, 2000; Nelson, 2002; Billette, Marier et Séguin, 2018). L’âgisme repose sur une homogénéisation (les personnes âgées sont toutes semblables), une dépréciation (le vieillissement est toujours négatif, il est décrépitude et dépendance) et une essentialisation (cette décrépitude et cette dépendance sont naturelles et inévitables). On ne peut expliquer l’âgisme uniquement par la valorisation de la jeunesse, de la nouveauté et de l’indépendance, même si ces valeurs jouent un rôle, non plus que par l’ignorance ou l’anxiété que provoquent le déclin, la confusion et la mort, quoique cela fasse aussi partie de l’expérience du vieillissement (Ballanger, 2006). L’âgisme – du moins les formes les plus étudiées et pour lesquelles le terme a été forgé – émerge en Occident dans un contexte social et politique particulier. Quatre grands phénomènes doivent être pris en considération. Le premier est démographique. Le vieillissement de la population dans les sociétés occidentales et industrialisées a fait des personnes âgées un groupe toujours plus important de consommateurs, d’électeurs et de bénéficiaires de services. Très tôt, cette importance numérique a soulevé un ensemble d’inquiétudes et de controverses touchant la croissance des coûts de santé, le financement des caisses de retraite et l’équité fiscale entre les générations, le soutien des personnes dépendantes. Ces débats contribuent à faire de la vieillesse un problème social, ainsi qu’une menace et un poids pour les plus jeunes générations en l’associant au déclin, à la dépendance et à des coûts (Katz, 1996). Le second phénomène est l’invention de la retraite dans les sociétés salariales. En fixant une limite d'âge pour le travail (65 ans, par exemple), on a créé une nouvelle catégorie sociale, les retraités, et déterminé à quel âge on devient vieux. Le vieillissement s’est trouvé du même coup associé à l’inactivité et à la non-productivité, au retrait du travail et de l’espace public. Le troisième phénomène est la production de savoirs sur le vieillissement. Après la Seconde Guerre mondiale, «une constellation d’experts se déploie avec force et autorité autour des personnes âgées», comme le dit si bien Aline Charles (2004 : 267) : médecins, travailleurs sociaux, ergothérapeutes. Deux nouveaux champs d’expertise se développent, la gériatrie et la gérontologie, qui vont faire du vieillissement un domaine spécifique de savoirs et d’interventions. Ces expertises participent étroitement à la manière dont le vieillissement est pensé, les enjeux et les problèmes formulés (Katz, 1996). Elles contribuent à renforcer l’association faite entre le déclin, la dépendance et l’avancée en âge. Elles le font par le biais des politiques, des programmes et d'interventions visant à évaluer la condition des personnes, à mesurer leur autonomie, leur vulnérabilité et les risques auxquels elles sont exposées (Kaufman, 1994), et par une médicalisation du vieillissement, qui en fait un problème de santé appelant des mesures préventives et curatives. Enfin, le quatrième phénomène est politique. La reconnaissance et la dénonciation de l’âgisme apparaissent dans la foulée du mouvement des droits civiques et des luttes contre les discriminations raciales aux États-Unis (Butler, 1969). Elles s’inscrivent dans le mouvement de défense des droits de la personne. Plus largement, elles prennent naissance dans un contexte où l'égalité des droits devient centrale dans la représentation des rapports sociaux : l'âgisme contrevient à un idéal d'accès aux biens et aux services, il engendre des inégalités dans la participation à la parole et aux décisions ainsi que l'exclusion. (Dumont, 1994). Reprise par différents groupes d’intérêts, ainsi que par des institutions nationales et internationales, la critique et la dénonciation de l'âgisme conduisent à l’énonciation de droits pour les personnes âgées et à la mise sur pied de mécanismes pour garantir le respect de ces droits, à des campagnes d’éducation et de sensibilisation, à l’adoption de plans d’action, de lois et de règlements pour prévenir les discriminations. Elles rendent le phénomène visible, en font un problème social, lui attribuent des causes et des effets, proposent des mesures correctives ou des visions alternatives du vieillissement. Les représentations et les attitudes négatives à l’égard du vieillissement ne sont pas propres à l’Occident, tant s’en faut. Mais l’âgisme ne doit pas non plus être confondu avec toute forme de classification, de segmentation ou de division selon l’âge. Il émerge dans des sociétés individualistes, qui tendent à disqualifier ceux qui répondent moins bien aux valeurs d’indépendance, de productivité et d’épanouissement personnel. Des sociétés où il n’y pas à proprement parler de classes ou de groupes d’âge, avec leurs rites, leurs obligations et leurs occupations spécifiques (Peatrik, 2003), où les catégories d’âge sont relativement ouvertes et ne comportent pas de frontières nettes et de statuts précis, hormis la retraite pour la catégorie des «aînés», favorisent un redéfinition du vieillissement en regard des normes du travail et de la consommation; des sociétés où les rapports et les obligations entre les générations ne sont pas clairement définis, et donnent lieu à des débats politiques et scientifiques. Les anthropologues peuvent s'engager dans ces débats en poursuivant la critique de l’âgisme. Cette critique consiste à relever et à déconstruire les discours et les pratiques qui reposent sur une vision stéréotypée et péjorative du vieillissement et des personnes âgées, mais également à montrer comment les politiques, le marché de l’emploi et l’organisation du travail, la publicité, les savoirs professionnels et scientifiques, la médicalisation et les transformations du corps, comme la chirurgie plastique ou les usages des médicaments, reposent sur de telles visions. Elle porte égalerment sur les pratiques discriminatoires, en examinant leurs répercussions sur la vie et le destin des individus, comme la réduction des possibilités d’emploi ou la perte de dignité, ou encore sur la manière dont l’âgisme se conjugue à des stéréotypes sexistes et racistes, pour déprécier et marginaliser davantage des catégories spécifiques de personnes âgées. Elle permet de mieux comprendre quels intérêts matériels et symboliques servent ces représentations et ces pratiques, et dans quel contexte l'âgisme apparait. Mais la critique peut être élargie à l’ensemble des discours du vieillissement. Très vite, des représentations concurrentes de la vieillesse ont émergé dans les pays occidentaux. La critique de l’âgisme a conduit à l’apparition de nouveaux modèles, comme la vieillesse «verte», le vieillissement «actif» ou le vieillissement «réussi» (successful aging), donnant une image positive de la vieillesse et proposant aux personnes âgées de nouveaux idéaux (demeurer indépendant et actif), de nouvelles aspirations (authenticité, expression de soi et développement personnel) et de nouveaux modes de vie (actifs et socialement utiles). Ces nouveaux modèles font la promotion de conduites qui favorisent la santé et retardent le déclin, comme la participation sociale ou les activités intellectuelles et sportives (Biggs, 2001; Charles, 2004; Raymond et Grenier, 2013; Lamb, 2017). Ces nouveaux modèles ne sont toutefois pas exempt de clichés et de stéréotypes, ils sont tout autant normatifs et réducteurs que les représentations âgistes, et servent aussi des intérêts politiques (réduction du soutien aux ainés dépendants) et économiques (développement d’un marché de biens et services pour les aînés). Surtout, ils reposent sur les mêmes normes que l’âgisme, dont ils inversent simplement la valeur : l’activité plutôt que le retrait, l’autonomie plutôt que la dépendance, la beauté plutôt que la décrépitude. On demeure dans le même univers culturel de référence. Ces modèles traduisent en fin de compte un refus du vieillissement, entretenant ainsi une aversion envers celui-ci. On peut pousser la critique encore plus loin, en comparant ces représentations et ces modèles avec ceux qui prévalent ailleurs qu’en Occident. Cela permet notamment une analyse des formes de subjectivation, c’est-à-dire de la manière dont les individus font l’expérience de l’avancée en âge. L’anthropologie peut ainsi contribuer à mieux comprendre les représentations culturelles et les modèles du vieillissement et les pratiques qui leurs sont associées, les politiques et les formes d’organisation des relations entre les individus, d’aménagement de l’espace et du temps qu’elles favorisent. Elle peut contribuer à mieux comprendre comment ces représentations et ces modèles façonnent l’expérience des individus : leurs rapports à soi, aux autres, au monde, la manière dont ils reconnaissent et réagissent aux signes de la vieillesse (rides, douleurs, lenteur), de la sénescence ou de la démence, la manière dont ils anticipent leur vieillissement et s’y préparent, les responsabilités et obligations qu’ils se reconnaissent, leurs attentes à l’égard des plus jeunes, les activités qu’ils s’interdisent ou s’obligent à faire, le type d’indépendance qu’ils recherchent (Leibing, 2004; Lamb, 1997, 2017). La comparaison permet de dégager la variété des expériences et des formes alternatives de vieillissement. Elle permet de mettre en lumière le caractère très relatif des signes du vieillissement, mais aussi des qualités par lesquelles un individu est reconnu comme une personne, un sujet ou être humain.
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