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Journal articles on the topic 'Dépression chez la personne âgée'

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Ionita, A. "Différentes dimensions de la vulnérabilité psychique du sujet âgé." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 576. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.270.

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Abstract:
La transition vers le grand âge s’accompagne des modifications neurobiologiques, physiques, psychologiques et environnementales augmentant le risque de décompensation psychiatrique. Cette vulnérabilité psychique du sujet âgé intègre des dimensions multiples endophénotypiques (génétiques, épigénétiques), diachroniques (traumas précoces, expériences de vie passées) et synchroniques (facteurs de stress actuels liés à la transition vers le grand âge). Les troubles psychiatriques, sous diagnostiqués dans ce groupe d’âge sont représentés notamment par la dépression, suivie des troubles anxieux, abus de substance et suicide. Un des mécanismes neurobiologiques impliqué dans cette vulnérabilité psychique du sujet âgé est la perturbation de l’axe du stress (hypothalamo-hypophyso-surrénalien) [1]. Deux profiles sont retrouvés dans la dépression chez la personne âgée : une hypercortisolemie urinaire, marquer de vulnérabilité à la dépression a tout âge et l’hypocortisolemie urinaire retrouvée chez des personnes âgées déprimés avec plus de fragilités physiques [2]. L’ hypercortisolémie sérique est une cause possible d’atrophie hippocampique secondaire, la dépression du sujet âgé représentant ainsi un facteur de risque important d’une démence ultérieure [3]. La relation dépression tardive/démence est probablement bidirectionnelle, la physiopathologie de la maladie Alzheimer pouvant induire une atrophie hippocampique, les symptômes dépressifs représentent alors un prodrome du processus neurodégénératif.La dépression représente le trouble psychiatrique le plus fortement associé aux conduites suicidaires chez la personne âgée (60–90 % des cas). La vulnérabilité suicidaire chez le sujet âgé semble avoir comme mécanismes étiopathogénique spécifique le vieillissement pathologique [4]. L’atrophie cérébrale au cours du vieillissement affecte les circuits connectant le cortex frontal aux noyaux gris centraux qui jouent un rôle important dans la régulation des comportements, des émotions et des fonctions cognitives complexes.Détecter la vulnérabilité psychique chez le sujet âgé est particulièrement pertinent dans une démarche de screening des patients à risque pour lesquels des mesures thérapeutiques spécifiques doivent être proposées.
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Graziani, Pierluigi. "La consommation excessive d’alcool chez la personne âgée." Drogues, santé et société 9, no. 2 (July 21, 2011): 49–74. http://dx.doi.org/10.7202/1005300ar.

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Abstract:
Les problèmes d’une consommation excessive chez les sujets âgés (+ de 65 ans) sont sous-estimés, sous-identifiés, sous-diagnostiqués et sous-traités. Une des raisons est probablement la confusion sur ce qui peut être attribué à l’âge ou aux effets de l’alcool. De plus, ces derniers imitent certains symptômes d’autres maladies et troubles, par exemple les troubles anxieux, la dépression ou la démence. La plupart des outils de dépistage sont insuffisamment adaptés aux personnes âgées et l’estimation de l’abus d’alcool chez celles-ci varie largement selon les méthodes utilisées. La vieillesse devient également un facteur de fragilisation face à la consommation d’alcool surtout si la personne âgée présente des problèmes de santé. Les alcoolisations sont souvent une réponse à la solitude, à l’isolement ou à la perte de soutien social et à l’anxiété, à la dépression et au stress. L’efficacité des interventions brèves dans le cas d’abus d’alcool chez les adultes âgés a été soulignée par ses résultats. L’approche clinique cognitive sur les addictions met l’accent sur l’importance des croyances concernant le produit d’alcoolisation. Certaines trouvent leur source dans l’âge de la personne.
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Vandel, P. "Risque suicidaire chez le sujet âgé et modalités de prise en charge." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 44–45. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.114.

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Abstract:
En France, un tiers des suicides sont des suicides de personnes âgées. Chaque année, près de 3000 personnes de plus de 65 ans mettent fin à leurs jours, c’est-à-dire, un tiers des 10 499 suicides recensés par l’Inserm en 2009. Selon une enquête de « France Prévention suicide », en fin 2010, les plus de 85 ans sont les plus exposés aux tentatives de suicide (39,7 morts par suicide pour 100 000 habitants de plus de 85 ans, soit un taux deux fois supérieur à celui des 25–44 ans). Dans 70 % des cas, ces suicides ont lieu à domicile, chez des personnes en situation d’isolement. Et les études épidémiologiques ont montré que plus de 50 à 75 % des personnes âgées décédées par suicide ont consulté leur médecin généraliste dans le mois précédent le décès. En tenant compte des liens entre tentatives de suicide et suicide, la prévention passe par la connaissance des facteurs de risque et des facteurs de vulnérabilité. La dépression est au premier plan dans cette population. L’isolement, le deuil, les difficultés financières, la perte d’autonomie, une maladie invalidante, l’entrée en institution sont autant de situations pouvant conduire à la dépression chez une personne âgée. De plus, des études récentes chez les sujets âgés dépressifs suggèrent que des altérations cognitives, en particulier de l’inhibition cognitive, pourraient être liées à un risque plus élevé de tentatives de suicide chez les sujets âgés.
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Braitman, A. "Le concept de réactivité cognitive comme marqueur de vulnérabilité psychique du sujet âgé." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 576. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.271.

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Abstract:
Les schémas cognitifs précoces inadaptés et les schémas de détresse subjective plus spécifiques de la personne âgée sont de possibles marqueurs de vulnérabilité psychologique à la dépression [1]. Plus particulièrement, la réactivité cognitive a été identifiée comme facteur prédictif de rechute parmi des sujets atteints de trouble dépressif récurrent en rémission [2]. Elle est la propension à l’activation des schémas dépressiogènes dans des contextes de stress de moins en moins importants au fur et à mesure des épisodes dépressifs successifs. Elle témoigne d’un style ruminatif de réponse au stress, d’un déficit de contrôle de l’attention et de l’activation excessive d’un processus de contrôle des divergences qui pourraient être l’expression au niveau neuropsychologique des dysrégulations neurobiologiques sous-tendant la vulnérabilité psychique. En effet, cette conception de la vulnérabilité à la dépression soutient l’existence d’un défaut de régulation corticale sur l’activité hippocampique et amygdalienne [3]. Mieux comprendre ses facteurs de risque cognitifs est primordial pour le développement de stratégies de prévention efficaces de la rechute dépressive chez le sujet âgé. La thérapie des schémas et la thérapie cognitive basée sur la pleine conscience (MBCT) sont particulièrement pertinentes concernant ce trait. Les premières études du protocole de thérapie de groupe MBCT pour les personnes âgées montrent que cette intervention non pharmacologique est acceptable et associée à des changements positifs [4]. Ce programme de thérapie cognitive consiste moins en une restructuration cognitive visant un contrôle émotionnel qu’à un changement dans le mode de relation avec l’émotion perturbatrice et les ruminations.
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Richard-Devantoy, Stéphane, and Fabrice Jollant. "Le suicide de la personne âgée : existe-t-il des spécificités liées à l’âge ?" Dossier : Le suicide 37, no. 2 (March 18, 2013): 151–73. http://dx.doi.org/10.7202/1014949ar.

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Abstract:
Le suicide de la personne âgée pose la question de notre relation à la vieillesse et à la mort. Significativement lié à la dépression, il est relativement élevé dans cette tranche d’âge. Les conduites suicidaires de la personne âgée présentent des particularités cliniques : une intentionnalité et une létalité suicidaire élevées, peu d’antécédents personnels de conduites suicidaires et un faible niveau d’impulsivité et d’agressivité. La vulnérabilité suicidaire pourrait reposer sur des mécanismes étiopathogéniques à la fois communs et différents selon l’âge. Par exemple, il y aurait une prépondérance des facteurs développementaux précoces marqués par de l’impulsivité et de l’agressivité chez l’adolescent et le jeune adulte ; chez l’adulte âgé, il y aurait un vieillissement pathologique. Des déficits neurocognitifs similaires conduisent le sujet à ne pas pouvoir répondre adéquatement à son environnement, différent selon l’âge. La comparaison directe des sujets jeunes et âgés est nécessaire pour comprendre la genèse de la vulnérabilité suicidaire. Nous conclurons cet article avec un résumé des principes de reconnaissance et de prise en charge du risque suicidaire.
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Arbus, C. "SPLF – les liens entre fragilité et pathologies mentales chez la personne âgée." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S94. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.400.

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Abstract:
La fragilité, aujourd’hui définie selon les critères de Fried et al. [1], est souvent associée à une souffrance psychique et notamment aux symptômes dépressifs ou même à la dépression. S’agit-il d’une co-occurrence ou bien existe-t-il des liens physiopathologiques plus ténus ? De nombreuses études ont rapporté une association positive entre dépression et risque de morbidité et de mortalité [2]. La présence de symptômes dépressifs chez les fragiles aggrave-t-elle le risque de morbidité et de mortalité de ces patients ? Les maladies mentales sont des facteurs de handicap et de vulnérabilité. Il n’existe, à ce jour, aucune étude s’étant intéressée aux populations psychiatriques vieillies au regard du concept de fragilité utilisé en gériatrie. Il existe dans ce domaine un vaste champ de recherche encore inexploré. Il est des situations au cours desquelles apparaissent des syndromes démentiels et la question de la co-occurrence d’une maladie neurodégénérative ou celle d’une évolution vésanique de la maladie psychiatrique se pose [3]. Il n’existe que peu, voire pas, d’études prospectives au long cours permettant de répondre à cette question. Les personnes âgées sont surexposées aux traitements psychotropes. Il s’agit de molécules qui auront de façon quasi-obligatoire des effets délétères, les personnes âgées étant beaucoup plus vulnérables aux effets secondaires de ces traitements alors que leur efficacité dans cette population est souvent difficile à démontrer. Une personne sur deux de plus de 70 ans fait usage de psychotropes en France. La iatrogénie est bien sûr importante avec des risques de chutes et de confusion ou de sédation excessive [4]. Il s’agit de molécules à fort potentiel cognitif. Dans une situation de fragilité gériatrique et lorsque coexiste une symptomatologie psychiatrique, la prescription des psychotropes viendra nécessairement aggraver le pronostic fonctionnel des patients notamment lorsque cette prescription n’est pas maîtrisée et répond à des critères de mésusage.
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Mechakra-Tahiri, S. D., M. V. Zunzunnegui, M. Préville, and M. Dubé. "Association entre les relations sociales et les troubles dépressifs dans la population québécoise âgée de 65 ans et plus, selon le sexe." Maladies chroniques et blessures au Canada 30, no. 2 (March 2010): 56–66. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.30.2.04f.

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Abstract:
Résumé Le but de l'étude était d'examiner les associations différentielles potentielles des relations sociales et de la dépression chez les hommes et les femmes âgés de 65 ans et plus. Les données provenaient d'une enquête effectuée auprès d'un échantillon représentatif de 2 670 aînés vivant dans la communauté au Québec. Les troubles dépressifs ont été mesurés selon les critères du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, quatrième édition (DSM-IV). La prévalence de la dépression était de 17,8 % chez les femmes et de 7,6 % chez les hommes. Les hommes ont signalé une plus grande diversité de liens, mais moins de soutien que les femmes. Les hommes et les femmes qui vivent une relation de couple agréable ou qui ont un confident sont moins souvent atteints de dépression que les autres. Globalement, par rapport aux personnes mariées, les personnes veuves, notamment les hommes, sont considérablement plus susceptibles de souffrir de dépression. Par rapport aux gens qui ne font pas de bénévolat, les hommes bénévoles étaient beaucoup moins susceptibles de souffrir de dépression que les femmes qui font du bénévolat. Cette étude exploratoire pourrait servir de base à de futures études longitudinales sur les répercussions des activités communautaires et du bénévolat sur l'incidence de la dépression et sa rémission au sein de la population âgée canadienne.
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Chavagnat, J. J. "Deuil et symptomatologie psychiatrique : quelle conduite à tenir ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 41–42. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.105.

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Abstract:
Il est classique de dire que le deuil va entraîner des conséquences biopsychosociales. Mais, nous pouvons être confrontés à d’authentiques symptômes psychiatriques, ce qui va conduire à la notion de deuil pathologique. La liste des symptômes psychiatriques est encore mal connue des non-spécialistes :– de la réaction dépressive à l’épisode dépressif sévère avec idées de suicide, voire un suicide tenté, plus rarement abouti ;– de la phase d’hyperactivité à l’authentique épisode maniaque ;– du trouble fonctionnel à la maladie psychosomatique, voire à la conversion hystérique ;– de la manifestation anxieuse passagère à la grande crise d’angoisse, voire au trouble anxieux généralisé ;– des manifestations phobiques, des conduites à risque, des addictions ou des automutilations.Tous ces symptômes auront des expressions différentes selon l’âge : par exemple, des manifestations d’opposition ou de phobie scolaire chez l’enfant ou l’adolescent ou bien une dépression d’allure démentielle chez la personne âgée. Lorsque des symptômes psychiatriques sont présents, la conduite à tenir qui sera adoptée sera d’évaluer ces troubles (parfois avec des échelles) et surtout de les relier à la dynamique du chemin de deuil. La prise en charge doit mettre le deuil au centre de la réflexion :– en traitant l’individu, en appréciant :∘ la spécificité de son deuil : pré-deuil, deuil « blanc », deuil « non élaboré », deuil de l’enfant, de l’adolescent, de l’adulte, de la personne âgée voire très âgée, les circonstances de la mort du proche : mort d’un enfant, mort par suicide, par homicide, par accident survenant pendant un transport (voiture, train, bateau, etc.) après une catastrophe naturelle, si la mort est brutale et que la personne y a assisté ou si elle a failli elle-même mourir ;– en traitant le groupe :∘ familial avec une approche transgénérationnelle,∘ d’individus bénéficiant d’une prise en charge groupale : avec un même type d’endeuillés ou avec des endeuillés de causes différentes.
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Higuet, S. "Dépression résistante chez la personne âgée : le piège des diagnostics différentiels." French Journal of Psychiatry 1 (November 2018): S110. http://dx.doi.org/10.1016/s2590-2415(19)30292-2.

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Gendron, Carole. "Les implications conjugales et familiales de la dépression chez la personne âgée." Santé mentale au Québec 13, no. 2 (1988): 154. http://dx.doi.org/10.7202/031469ar.

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Empana, J. P. "Inflammation chronique : le lien entre dépression et pathologie coronaire chez la personne âgée ?" NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie 6, no. 34 (August 2006): 39–43. http://dx.doi.org/10.1016/s1627-4830(06)75262-x.

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Benoit, M. "Récurrence dépressive chez la personne âgée : quel pronostic cognitif ?" L'Encéphale 36 (December 2010): S132—S135. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(10)70045-2.

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Altintas, E., and A. Guerrien. "Motivation et cognitions spécifiques chez la personne âgée dépressive." Journal de Thérapie Comportementale et Cognitive 18, no. 1 (February 2008): 14–18. http://dx.doi.org/10.1016/j.jtcc.2008.02.003.

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Altintas, E., and A. Guerrien. "Orientation motivationnelle et symptomatologie dépressive chez la personne âgée." L'Encéphale 35, no. 2 (April 2009): 115–20. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2008.03.006.

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Klein, Jennifer, Cathryn Schmidt, Aleem Bandali, and Ross McKenzie. "Devenir visionnaire : évaluation d’une clinique d’examen de la vue complet dans un contexte de réadaptation gériatrique." Canadian Journal of Optometry 78, no. 3 (October 12, 2016): 12. http://dx.doi.org/10.15353/cjo.78.458.

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Abstract:
Dans la population adulte âgée, les déficiences visuelles sont très prévalentes, mais en grande partie non diagnostiquées. La recherche a démontré que ces déficiences alourdissent le risque de chutes, de dépression et de mortalité chez les adultes âgés. Il n’y a pas d’études portant sur l’effet de l’implantation d’une clinique d’examen de la vue en contexte hospitalier. Cette étude proposée visait à évaluer la faisabilité de demander à des optométristes communautaires d’offrir une clinique d’examen de la vue complet (EVC) afin de détecter la perte de vision en contexte de réadaptation gériatrique. Les résultats ont révélé que l’on a diagnostiqué chez quatre-vingt-trois pour cent des participants des problèmes oculovisuels détectables dont plus de la moitié n’avaient pas été diagnostiqués auparavant. Le tiers des participants n’avaient pas consulté un spécialiste des yeux depuis deux ans. La clinique d’EVC a été établie, entraînant des dépenses minimes, imposant une faible charge de travail au personnel. Elle a permis aussi de repérer d’importants problèmes oculovisuels chez de nombreux participants.
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Richard, F. A. "Traitements de la dépression résistante : y -a-t-il des spécificités chez la personne âgée ?" French Journal of Psychiatry 1 (November 2018): S110. http://dx.doi.org/10.1016/s2590-2415(19)30293-4.

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Greenman, Paul S., Anaïs Morin-Turmel, and Jean Grenier. "L’intégration d’un traitement psychologique en réadaptation cardiaque à l’Hôpital Montfort : une diminution des risques associés aux maladies cardiaques." Francophonies d'Amérique, no. 28 (November 29, 2010): 91–113. http://dx.doi.org/10.7202/044984ar.

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Abstract:
Les buts de cette étude étaient l’intégration et la mise à l’épreuve d’un traitement psychologique au sein du Service de réadaptation cardiaque à l’Hôpital Montfort. Des patients (hommes et femmes), âgés entre 35 et 85 ans, avec une maladie cardiaque et qui se plaignaient de symptômes d’anxiété et de dépression ont participé à cette étude. Les résultats suggèrent que la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) peut réduire de façon significative les symptômes de dépression et d’anxiété chez les patients cardiaques. Dans notre échantillon (N = 11), les patients ayant suivi au moins dix séances de traitement ont présenté une diminution importante de leurs symptômes, et personne ne répondait aux critères d’un diagnostic de dépression ou d’anxiété après l’intervention.
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Doutreligne, Sébastien, and Anne de Peufeilhoux. "Un outil de repérage et de prise en soin de la dépression chez la personne âgée." Soins Gérontologie 21, no. 119 (May 2016): 22–23. http://dx.doi.org/10.1016/j.sger.2016.03.005.

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Saïas, T., J. Bodard, E. Du Roscoät, R. Guignard, and F. Beck. "Comment la participation sociale contribue-t-elle à la prévention de la dépression et du suicide chez la personne âgée ?" Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 61 (October 2013): S218. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2013.07.046.

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Simoens, L., C. L. Charrel, and L. Plancke. "Santé mentale et conduites suicidaires des médecins généralistes." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S146. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.293.

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Abstract:
Étude épidémiologique, quantitative, centrée sur une population de 2052 médecins généralistes libéraux du Nord–Pas-de-Calais. Avec 287 réponses exploitables, le taux de participation est de 14 %. Un médecin sur 4 (n = 75) déclare avoir déjà présenté des idées suicidaires au cours de sa carrière, 22 déclarent avoir déjà imaginé un scénario suicidaire précis et une personne déclare une tentative de suicide. Le sur-risque de présenter des idées suicidaires est de 3,5 (IC 95 % 1,3–9,5) p = 0,055 chez les médecins âgés de plus de 60 ans et de 2,6 (IC 95 % 1,2–5,6) p = 0,065 chez les médecins stressés par leurs cotisations. Les médecins stressés par la gestion de leur cabinet présentent 12,9 (IC 95 % 3–54,4) fois plus de risque d’avoir des idées suicidaires, p = 0,003 et sont 15,8 (IC 95 % 4,2–59,2) fois plus à risque de faire des plans pour se suicider, p = 0,001. Le sur-risque de burn out ressenti et de dépression est de 12,7 (IC 95 % 2,6–61,3) p = 0,0016 chez les médecins victimes de litiges personnels et de 2,4 (IC 95 % 1,1–5,2) p = 0,0268 en cas de solitude professionnelle ressentie. Le statut de Maître de Stage des Universités et les enfants à charge semblent protéger de la dépression et du désespoir. Une prévalence anormalement élevée des idées suicidaires a bien été mise en évidence. L’âge supérieur à 60 ans, le stress des cotisations et le stress lié à la gestion du cabinet semblent être des marqueurs de risque d’idées suicidaires. Les litiges personnels et la solitude professionnelle ressentie semblent être des marqueurs de risque de burn out et de dépression. Pas de conclusion sur les tentatives de suicide par respect de l’anonymat de l’unique répondant.
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Acheuk, L., C. Mouchoux, A. Lepetit, and T. Novais. "Représentations des pharmaciens et préparateurs en pharmacie vis-à-vis de la prise en soin de la dépression chez la personne âgée." Annales Pharmaceutiques Françaises 78, no. 2 (March 2020): 167–78. http://dx.doi.org/10.1016/j.pharma.2019.11.001.

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Coste, Marie-Hélène, and Pierre Krolak-Salmon. "Fléchissement des fonctions exécutives chez la personne âgée dans un contexte anxio-dépressif et vasculaire." Revue de neuropsychologie 2, no. 5 (2010): 22. http://dx.doi.org/10.3917/rne.025.0022.

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Calvet, B. "Le trouble dépressif de la personne âgée se chronicise-t’il vraiment plus que chez l’adulte ?" French Journal of Psychiatry 1 (November 2018): S109. http://dx.doi.org/10.1016/s2590-2415(19)30291-0.

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Calvet, B., S. Higuet, and FA Richard. "Société Francophone de Psychogériatrie et de Psychiatrie de la Personne Âgée (SF3PA) – Trouble dépressif résistant : existe-t’il des spécificités cliniques et thérapeutiques chez la personne âgée ?" French Journal of Psychiatry 1 (November 2018): S109. http://dx.doi.org/10.1016/s2590-2415(19)30290-9.

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Iselin, Marie-Geneviève, and Gregory A. Hinrichsen. "La psychothérapie interpersonnelle (PTI) pour le traitement de la dépression chez les personnes âgées." Santé mentale au Québec 33, no. 2 (January 15, 2009): 67–85. http://dx.doi.org/10.7202/019669ar.

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Abstract:
Résumé Dans cet article, les auteurs expliquent pourquoi la psychothérapie interpersonnelle (PTI) est un traitement psychosocial particulièrement efficace pour soigner la dépression chez les personnes âgées. Ils abordent des questions qui peuvent surgir lors de la mise en oeuvre de la PTI auprès de personnes âgées et examinent les études portant sur des personnes âgées traitées à l’aide de la PTI. Enfin, ils présentent deux vignettes cliniques qui illustrent l’application de la PTI à ce groupe de personnes. La PTI convient particulièrement bien aux personnes âgées en dépression, car les problématiques abordées s’apparentent grandement aux difficultés auxquelles les aînés font face et qui peuvent, chez certains, déclencher la dépression. De plus, la PTI convient bien aux personnes âgées à cause de ses composantes psychoéducatives, de son recours au paradigme médical et de sa nature coopérative, axée sur les problèmes et circonscrite dans le temps. Bien que la PTI demande très peu d’adaptation pour son application aux personnes âgées, elle devrait s’appuyer sur des connaissances en gérontologie et en psychologie gériatrique. Certaines études, de même que notre pratique clinique, indiquent que le traitement intensif (c’est-à-dire hebdomadaire) en psychothérapie interpersonnelle réduit les symptômes de la dépression chez les personnes âgées, mais il faudra davantage d’études pour confirmer cette hypothèse. Le counseling interpersonnel — une version modifiée de la PTI — a démontré son efficacité dans le traitement des symptômes de la dépression chez les personnes âgées ayant des problèmes médicaux. La poursuite du traitement ou le traitement de maintien en PTI sur une base mensuelle s’est avéré bénéfique chez certaines personnes âgées souffrant de pathologie dépressive grave. Les auteurs présentent deux cas qui illustrent la mise en oeuvre de la PTI. Le premier cas porte sur les conflits interpersonnels, alors que le deuxième est axé sur les transitions de rôles.
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Ionita, A. "L’effet de l’avancée en âge sur l’expression des troubles anxieux." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S54. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.152.

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Abstract:
Les troubles anxieux du sujet âgé de plus de 65 ans ont une prévalence estimée entre 3,2 % et 14,2 % . Ces troubles sont souvent sous-diagnostiqués et sous-traités chez les sujets âgés, leur expression différente par rapport aux adultes jeunes étant due aux comorbidités somatiques et psychiatriques fréquentes (notamment la dépression) et à la présence des troubles cognitifs. Les troubles anxieux des sujets âgés représentent une cause non reconnue d’incapacité et de risque de mortalité et ils ont été associés avec des maladies cardiovasculaires, des accidents vasculaires et le déclin cognitif. Les mécanismes de l’anxiété chez les sujets âgés diffèrent de ceux impliqués chez les jeunes adultes à cause des modifications neurobiologiques liés à l’âge ainsi que des facteurs de stress environnementaux plus fréquents avec l’avancées en âgé. La plupart des troubles anxieux chez les sujets âgés sont chroniques et habituellement débutent plus tôt dans la vie à l’exception du trouble anxieux généralisé (TAG) et de l’agoraphobie qui peuvent avoir un début tardif. Le TAG est le trouble anxieux le plus prévalent chez les sujets âgés. Les principaux facteurs prédictifs de TAG à début tardif sont le genre (femme), les événements de vie adverses récents, les problèmes de santé chroniques (respiratoires, cardiaques, déclin cognitif) et les maladies mentales chroniques (dépression, troubles anxieux) . En plus les événements de vie adverses précoces (perte parentale/séparation, maladie mentale parents) étaient associés indépendamment avec l’incidence du TAG à début tardif . Le TAG du sujet âgé est caractérisé par une réponse aux traitements plus médiocre tant à la pharmacothérapie qu’aux thérapies cognitivo-comportementales. Cette différence a été attribuée aux changements neurobiologiques liés à l’âge . Ces données suggèrent l’importance d’une meilleure détection de ces troubles fréquents chez les personnes âgées à l’aide d’outils spécifiques et la mise en place des stratégies thérapeutiques adaptées.
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Limosin, F. "Spécificités et approche préventive du suicide chez le sujet âgé." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 574. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.264.

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Abstract:
L’impact de l’allongement de l’espérance de vie, qui s’accompagne d’un accroissement du nombre de personnes souffrant de troubles mentaux, fait de la prise en charge des troubles psychiatriques du sujet âgé un enjeu majeur de l’organisation de notre offre de soins. Les troubles psychiatriques sont fréquents chez le sujet âgé, notamment la dépression, avec des chiffres de prévalence dépassant 40 % chez les sujets de plus de 75 ans institutionnalisés. Or les troubles mentaux constituent l’une des premières causes de morbidité et de mortalité prématurée chez le sujet âgé, et représentent les 3/5èmes des sources d’incapacité liées au vieillissement.Un risque est particulièrement préoccupant chez le sujet âgé : celui du suicide. En Europe, c’est chez les personnes âgées que le taux de suicide est le plus élevé (en 2005, de 16,4 à 22,9 pour 100 000), les suicides de la population des 60 ans et plus représentant 30 % du total des suicides. Ce taux augmente avec l’âge et c’est parmi les hommes de plus de 85 ans que le suicide est le plus fréquent (6 à 7 fois plus que les hommes âgés de 15 à 24 ans). En France entre 2002 et 2003, les taux de suicide étaient de 60 pour 100 000 hommes de 75 à 84 ans et de 124 pour 100 000 hommes de 85 ans ou plus. Au total, 10 % des décès du sujet âgé sont le fait de suicides.Compte-tenu des particularités liées à la présentation clinique de la dépression chez le sujet âgé, ainsi que des fréquentes comorbidités somatiques et cognitives associées, il est essentiel de développer des actions spécifiques d’information et de prévention du passage à l’acte suicidaire dans cette tranche d’âge.
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Cléry-Melin, P. "Spécificités des troubles anxieux avec l’avancée en âge." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S53—S54. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.151.

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Abstract:
Les troubles anxieux des sujets âgés de plus de 65 ans ont une prévalence estimée entre 3,2 % et 14,2 % et représentent une source de souffrance importante, de baisse d’autonomie et impliquent un surcoût pour la société. Les troubles anxieux des sujets âgés sont fréquents mais souvent sous-diagnostiqués du fait d’une expression différente par rapport aux jeunes (nécessitant l’utilisation des mesures validées chez les sujets âgés) et de la comorbidité somatique et psychiatrique fréquentes. La plupart de ces troubles anxieux ont débuté avant l’âge de 41 ans (90 %) moins de 1 % débutent après l’âge de 65 ans. Parmi les troubles anxieux des sujets âgés les phobies spécifiques (incluant l’agoraphobie) et le trouble anxieux généralisé (TAG) seraient les plus fréquents suivis de PTSD. La prévalence de l’agoraphobie est élevée et son expression suggère un sous-type de l’âge avancé. Plusieurs barrières sont source de sous-diagnostique et donc de sous traitement pour les troubles anxieux des personnes âgées : la dépression comorbide (fréquente et source de résistance au traitement), les troubles cognitifs, les troubles somatiques (présents chez plus de 80 % des sujets > 65 ans) ainsi que la difficulté à différentier les symptômes de l’anxiété des personnes âgés des changements psychologiques et physiques survenant avec le processus du vieillissement (ex. pattern du sommeil). Les troubles anxieux des personnes âgées sont source d’une plus grande difficulté dans la vie quotidienne, d’une faible adhésion aux traitements et sont à risque élevé de dépression comorbide et de suicide, de chutes, d’impotence physique et fonctionnelle et de solitude. Par ces différentes voies, les troubles anxieux sont source d’augmentation de la dépendance des personnes âgées. Ces données impliquent l’importance d’une détection appropriée de ces troubles fréquents chez les personnes âgées et la mise en place des traitements adaptés ainsi que des mesures de prévention efficaces.
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Bourque, Paul, and Georges Kleftaras. "L'aptitude à résoudre les problèmes interpersonnels chez les personnes âgées en fonction du niveau des sentiments dépressifs." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 7, no. 3 (1988): 183–91. http://dx.doi.org/10.1017/s071498080000790x.

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Abstract:
RÉSUMÉAfin de dégager les aspects écologiques de la dépression chez les personnes âgées déprimées et non-déprimées, on a comparé l'aptitude à résourdre les problèmes interpersonnels sur des personnes âgées déprimées et des personnes âgées non-déprimées. Les évaluations effectuées sur quarante sujets n'ont révélé aucune différence d'aptitude au niveau des épreuves de la pensée optionnelle et de l'épreuve de la perception des conséquences entre les sujets déprimés et non-déprimés. Toutefois, les résultats démontrent certains liens entre les capacités de solution de problèmes interpersonnels et les variables démographiques. La présente étude constitue une contribution partielle à l'éclairage des problèmes spécifiques chez les sujets âgés déprimés.
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Julien, Dominic, Lise Gauvin, Lucie Richard, Yan Kestens, and Hélène Payette. "The Role of Social Participation and Walking in Depression among Older Adults: Results from the VoisiNuAge Study." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 32, no. 1 (March 2013): 1–12. http://dx.doi.org/10.1017/s071498081300007x.

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Abstract:
RÉSUMÉDes niveaux moins élevés de participation sociale et d’épisodes de marche représentent deux facteurs pouvant contribuer à la dépression chez les personnes âgées, mais les recherches antérieures ne sont pas concluantes à ce sujet. L’objectif de cette étude transversale est de quantifier les associations entre la dépression et l’effet combiné de la participation sociale et de la marche dans un échantillon de personnes âgées vivant au Canada (n = 549). Des analyses de régressions linéaires et logistiques ont été effectuées pour examiner si la participation sociale et la marche prédisent la dépression indépendamment des caractéristiques individuelles. Dans les modèles finaux, les résultats suggèrent que les individus qui ne prennent pas de marches présentent davantage de symptômes dépressifs ou une possible dépression (l’association entre la participation sociale et la dépression devient non significative dans les modèles ajustés). La présente étude souligne le rôle central des habitudes de vie telle la marche pour la santé mentale des aînés.
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Fernandez, L., M. Ginet, A. Bonnet, and P. Menecier. "Les troubles anxio-dépressifs chez une personne âgée atteinte de maladie d’Alzheimer à travers le SAT et le dessin de l’arbre." NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie 16, no. 91 (February 2016): 40–52. http://dx.doi.org/10.1016/j.npg.2015.07.009.

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Balassa, Paul Koudjoudra, Elisabeth Spitz, and Pagnamam Poromna. "Togo et France : Alexithymie et qualité de vie chez les personnes âgées." Psy Cause N° 77, no. 2 (April 5, 2018): 29–33. http://dx.doi.org/10.3917/psca.077.0031.

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Abstract:
une étude a été menée à Metz (France) en 2014 sur des personnes âgées pour tester les variables qui sont susceptibles d’influencer leur qualité de vie notamment l’alexithymie et l’anxiété-dépression. Elle a porté sur un échantillon de 49 personnes âgées de 70 à 101 ans. Pour vérifier cette hypothèse, certains outils ont été utilisés. Ainsi l’alexithymie a été vérifiée par une échelle canadienne, la TAS-20 ; la qualité de vie a été évaluée par le WHOQOL-OLD, une échelle de mesure de la qualité de vie, développée par l’OMS et l’échelle HAD a permis d’évaluer l’anxiété-dépression. Les résultats obtenus montrent que l’anxiété est très corrélée avec l’alexithymie. La qualité de vie par contre est fortement influencée par la dépression ; l’âge et les conditions de vie ont une influence modérée sur la qualité de vie. L’amélioration des conditions de vie constitue ainsi un facteur réducteur des affects dépressifs et un atout favorable pour une bonne qualité de vie.
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Verdon, Benoît. "Le traitement des affects dépressifs dans le fonctionnement narcissique à l’épreuve du vieillissement. Apports de la méthodologie projective." Bulletin de psychologie 56, no. 467 (2003): 655–65. http://dx.doi.org/10.3406/bupsy.2003.15257.

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Abstract:
De nombreuses personnes âgées d’au moins 50 ans consultent pour difficultés mnésiques sans, pour autant, que des troubles effectifs des processus cognitifs soient objectivés lors du bilan neuropsychologique. Notre réflexion est issue d’une recherche portant sur la psychopathologie générale d’une population de 31 patients, âgés de 53 à 85 ans, consultant pour difficultés mnésiques et pour lesquels le bilan neuropsychologique ne décèle aucune suspicion de détérioration. Elle porte ici sur la question spécifique du traitement des affects dépressifs chez des patients présentant un fonctionnement narcissique et chez lesquels la plainte mnésique se veut isolée de toute autre fragilité. La méthodologie associe un entretien clinique, un bilan neuropsychologique, une échelle de dépression, ainsi que des épreuves projectives (Rorschach et TAT). Les remaniements des assises narcissiques, inhérents au vieillissement, engagent chez ces sujets des mobilisations défensives drastiques, plus ou moins efficaces. Les épreuves projectives apparaissent particulièrement heuristiques pour rendre compte de la diversité de ces réaménagements. Elles permettent notamment une compréhension des difficultés de traitement des affects, offrant l’occasion d’en découvrir les traces et les possibilités de figuration toujours existantes ainsi que les luttes qui s’y opposent.
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Lacueille, C., B. Begaud, S. Billioti De Gage, and M. Tournier. "Évolution au cours du temps des caractéristiques associées à la prise de psychotropes chez le sujet âgé." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 655. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.032.

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Abstract:
IntroductionEn France, la consommation de psychotropes est élevée, en particulier chez les personnes âgées. Personnes âgées QUID (« PAQUID ») est une étude de cohorte menée sur 3777 personnes âgées de plus de 65 ans et vivant à leur domicile, en Gironde ou en Dordogne, depuis 1988. Durant la période de l’étude, des guides de bonne pratique et des alertes ont été publiés par les agences gouvernementales, afin de favoriser, encadrer et optimiser la prescription des médicaments psychotropes, notamment chez les personnes âgées. L’objectif de cette étude est d’évaluer si les caractéristiques associées à la consommation de médicaments psychotropes ont changé entre la période 1988–1998 et la période 2001–2008 chez les sujets âgés de 75 ans et plus.MéthodesLes données analysées sont issues de la cohorte PAQUID menée sur 3777 sujets de plus de 65 ans. Des analyses par régression logistique multivariée ont été utilisées pour identifier les facteurs explicatifs de l’usage de psychotropes, globalement et pour chaque classe, sur les deux périodes.RésultatsSur les deux périodes, plus de la moitié des sujets consommaient des psychotropes. La consommation d’antidépresseurs a plus que doublé entre la première et la seconde période. Être une femme, présenter une démence ou une dépression, être dépendant pour les activités quotidiennes, consommer plus de neufs médicaments augmentent la probabilité de consommer des psychotropes.ConclusionLa consommation de psychotropes semble augmenter entre les deux périodes. On observe quelques changements en ce qui concerne la consommation de psychotropes globalement et les consommations des classes plus spécifiques. Ces changements peuvent être en lien avec des recommandations des autorités de santé sur le traitement de la dépression et l’arrivée sur le marché de nouveaux produits. D’autres semblent moins explicables.
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Ahessy, Bill. "The Use of a Music Therapy Choir to Reduce Depression and Improve Quality of Life in Older Adults – A Randomized Control Trial." Music and Medicine 8, no. 1 (January 31, 2016): 17. http://dx.doi.org/10.47513/mmd.v8i1.451.

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Abstract:
Depression in older adults is prevalent and often undiagnosed and untreated.This study sought to assess if participation in a music therapy choir intervention could reduce depressive symptoms and improve quality of life and cognitive functioning in older adults. In this mixed method study, 40 participants were assessed pre- and post-intervention for depressive symptoms (Cornell Scale), quality of life (Cornell Brown) and cognitive functioning (Mini Mental State Examination). The treatment group (n=20) actively participated in a music-therapist led choir for 12 weeks, while the control group (n=20) received standard daily care. Mean depressive symptoms in the music therapy group were reduced by 54% (p=0.004), mean quality of life score improved by 57% (p= 0.0004) and there was a statistically significant increase in cognitive functioning (p= 0.011). Results from self-administered questionnaires highlighted perceived benefits of the intervention. 67% (n=17) reported improved mood, while 40% reported physical gains. Other themes included increased social interaction and memory improvement. The results of this controlled study indicate that the intervention significantly reduced depressive symptoms, improved quality of life and increased cognitive functioning.Keywords: music therapy, choir, singing, depression, quality of life, older adults, cognitive functionSpanishDepresión en adultos es muy común y , a menudo, no se diagnostica ni se trata. Este estudio intenta evaluar si la participación en intervención coral de Musicoterápia reduciría síntomas depresivos, aumentaria calidad de vida y habilidades cognitivas en personas de edad avanzada. En este método mixto de investigación, síntomas depresivos (Cornell Scale),calidad de vida (Cornell Brown) y hablilidad cognitiva (Mini Mental State Examination) fueron evaluados antes y despues de la intervención,(N=40). El grupo de intervención (20) participó activamente por 12 semanas en un coro dirigido por un musicoterapeuta, mientras el grupo control (20) recibió tratamiento estandar diario.La media de síntomas depresivos en el grupo de intervención se redujo un 50% (p=0.004), calidad de vida mejoró un 57% (p= 0.0004), y se encontró un incremento estatísticamente significativo en habilidades cognitivas (p= 0.011). Los resultados de los cuestionarios auto-administrados señalaron beneficios percibidos en el grupo intervencion: 67% (n=17) reportaron un aumento en el espíritu, mientras que un 40% reportó mejoria física. Otros temas incluyen aumento en interacción social y mejora en la memoria. Estos resultados indican que la intervención redujo significativamente símtomas depresivos, mejoró la calidad de vida e incrementó habilidades cognitivas.French Utilisation d’une chorale de musicothérapie pour réduire la dépression et améliorer la qualité de vie chez la personnea âgée – Etude randomisée contrôlée (ERC) Résumé La dépression chez la personne âgée est courante et souvent non diagnostiquée et non traitée. Cette étude a cherché à évaluer si la participation à une chorale en atelier de musicothérapie pouvait réduire les symptomes de dépression et améliorer la qualité de vie et les fonctions cognitives de la personne âgée. Dans cette méthode de recherche mixte, 40 participants ont été évalués, avant et après l’intervention, sur les symptomes dépressifs (Cornell Scale), la qualité de vie (Cornell Brown) et les fonctions cognitives (MMS). Le groupe de traitement (n=20) a participé activement à l’atelier chorale de musicothérapie pendant 12 semaines, tandis que le groupe controle (n=20) a reçu les soins quotidiens habituels. Les symptomes dépressifs dans le groupe de musicothérapie ont été réduits de 54 % (p=0.004), les résultats de la qualité de vie ont été améliorés de 57 % (p=0.0004) et il y a eu une augmentation statistique significative des fonctions cognitives (p=0.011). Les résultats d’un questionnaire auto-aministré ont souligné les bénéfices perçus de l’intervention. 60 % (n=17) ont déclaré une amélioration de leur humeur, tandis que 40 % ont déclaré des bénéfices physiques.Les résultats de cette étude controllée indiquent que l’intervention en musicothérapie réduit significativement les symptomes dépressifs, améliorent la qualité de vie et augmentent les capacités cognitives.Mots clés : musicothérapie, chorale, chant, dépresion, qualité de vie, personne âgée, fonctions cognitives.GermanMusiktherapeutischer Chorgesang, um bei älteren Erwachsenen Depression zu verringern und Lebensqualität zu erhöhen: eine randomisierte kontrollierte Studie (RCT)Abstract:Depression bei älteren Erwachsenen ist weit verbreitet, oft nicht diagnostiziert und nicht behandelt. Diese Studie versucht einzuschätzen, in wie weitdie Teilnahme an einem musiktherapeutischen geführten Chor depressive Symptome reduzieren sowie Lebensqualität und kognitives Funktionieren bei älteren Erwachsenen verbessern kann. In dieser mixed-method Studie wurden prä- und post-Interventionen zu Depressiven Symptomen (Cornell Scale), Lebensqualität (Cornell Brown) und Kognitives Funktionieren bei 40 Teilnehmern eingeschätzt. Die Probanden (n=20) beteiligten sich aktiv in dem musiktherapeutisch geleiteten Chor über einen Zeitraum von 12 Wochen, während die Kontrollgruppe die tägliche Standardversorgung erhielten. Das Mittel der depressiven Symptome in der MT Gruppe wurde um 54 % reduziert (p=0.004), das der Lebensqualität erhöhte sich um 57% (p=0.0004), außerdem fand sich ein statistisch signifikanter Anstieg bei den kognitiven Funktionen (p=0.011).Die Ergebnisse von selbst-beurteilten Fragebögen betonen den Gewinn durch die Intervention. 60 % (n=17) berichteten über verbesserte Stimmung, 40 % berichteten über physische Verbesserungen. Andere Themen beinhalteten soziale Interaktion und Verbesserung des Gedächtnisses. Die Ergebnisse dieser kontrollierten Studie zeigen, dass die Intervention die depressiven Symptome signifikant reduziert, die Lebensqualität erhöht und die kognitiven Funktionen verbessert. Japanese音楽療法クワイアを使った高齢者のうつ軽減とQOLの向上 — 無作為コントロール治験 Bill Ahessy *1*1 アイルランド、ダブリン、Meath Community Unit 所属【要旨】高齢者のうつ症状は広く認められているが、診断未確定で治療を受けていないことが頻繁である。この研究は、高齢者の音楽療法クワイアへの参加が、うつ症状の軽減、そしてQOLと認知機能を向上できるかを評価するために行われた。これは混合法研究で、40人の参加者は、介入前後に、うつ症状(Cornell Scale)、QOL (Cornell Brown)、認知機能 (MMSE) を評価された。処置グループ (n=20) は音楽療法士のリードするクワイアに12週間能動的に参加した一方、対照グループ (n=20) は通常のケアを受けた。音楽療法グループの平均的なうつ症状は54%減少 (p=0.004) し、QOLのスコアは57% 向上 (p= 0.0004) 、認知機能においては統計学的に有意な向上 (p= 0.011) があった。自己記入質問書の結果は介入の恩恵を認識していることが強調していた。60% (n=17) は気分が向上したと報告し、40% は身体的な向上を報告した。他の主題は社会的相互作用の増加と記憶向上を含んでいた。このコントロール治験の結果は介入が有意にうつ症状を軽減し、QOLを向上し、認知機能を向上させることが示唆している。【キーワード】音楽療法、クワイア、歌唱、うつ、QOL、高齢者、認知機能Chinese憂鬱在老年族群中相當普遍,但常常未得到診斷與治療。本研究旨在評估透過音樂治療合唱團的介入是否可減少老年人的憂鬱症狀,提升生活品質及認知功能。在這個混合方法研究中,40位參與者被測驗介入前及介入後的憂鬱症狀(康乃爾憂鬱量表)、生活品質(Cornell Brown)及認知功能(簡易心智量表MMSE)。治療組(n=20)積極參與了為期12週,由音樂治療師帶領的合唱團,同時對照組(n=20)則接受標準日常照護。音樂治療組的憂鬱症狀平均數減少達54%(p=0.004),生活品質平均分數進步57%(p=0.0004),並在認知功能方面達到統計上的顯著進步(p=0.011)。結果顯示從參與者的自陳問卷中特別突顯出接受處遇的好處。60%(n=17)的參與者認為情緒獲得改善,40%則認為得到身體上的益處。其他主題則包括增進社會互動及改善記憶力。此對照研究的結果顯示出音樂治療介入顯著降低了憂鬱症狀,增進生活品質及認知功能。
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Pasquet, Marie-Christine. "La dépression de la personne âgée." Soins Aides-Soignantes 9, no. 49 (December 2012): 6–7. http://dx.doi.org/10.1016/j.sasoi.2012.10.001.

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Bourgeois, Françoise. "La dépression de la personne âgée." Soins Aides-Soignantes 13, no. 68 (January 2016): 13–14. http://dx.doi.org/10.1016/j.sasoi.2015.11.007.

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Angst, J. "Die Aktuellen Schwerpunkte der Psychiatrischen Forschung in der Schweiz." Psychiatry and Psychobiology 2, no. 2 (1987): 91–100. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00000730.

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Abstract:
RésuméLa Suisse est un petit pays ; elle comprend cinq universités ayant des chaires de psychiatrie. La faible superficie et la stabilité favorisent des études épidémiologiques, en particulier des études prospectives longitudinales et catamnestiques.Une première étude longitudinale a été réalisée à Lausanne. En 1975, a été effectué un sondage sur un échantillon de 300 enfants âgés de 9 ans, évaluant de façon détaillée : la santé, le développement du langage, le Q.I., la réussite scolaire et la personnalité. Cette enquête a révélé que 35 % des enfants étaient sans symptômes tandis que 26 % présentaient des difficultés psychiques importantes, surtout les garçons issus de familles socialement défavorisées.A Zurich, une étude longitudinale portant sur 6 315 hommes suivis de 19 à 31 ans, a concerné : les caractéristiques sociales, la consommation de tabac, d'alcool et de drogues et des traits de personnalité. Ce travail longitudinal fournira des informations sur les relations existant entre comportement, consommation de toxiques et traits de personnalité.Un autre projet a pour but l’étude de la personnalité prémorbide chez des individus qui ont présenté une schizophrénie ou une psychose maniaco-dépressive après l’âge de 19 ans, ainsi que chez tous les patients décédés accidentellement ou par suicide ;Un autre projet a pour but d'évaluer l’entraide du “voisinage” dans un quartier bien défini de Zurich ;1000 personnes seront ainsi suivies prospectivement pendant une période de 3 à 5 ans.A Genève, ont été enregistrés les dossiers de tous les malades traités dans les institutions psychiatriques (hospitalisations et prises en charge ambulatoires).A Bâle, une étude importante sur les troubles dépressifs des patients traités par des médecins généralistes a fourni des résultats très intéressants, surtout à propos de la fréquence des dépressions masquées.A Zurich, plusieurs études épidémiologiques ont porté sur des maladies psychiatriques infantiles, en particulier le trouble déficitaire de l'attention (“attention deficit disorder”), la dépression et l’encoprésie). Une étude multicentrique et longitudinale a montré une augmentation actuelle de l’incidence de l’anorexie mentale ;A Bâle, se déroule actuellement une étude longitudinale de 6 ans sur des toxicomanes (comparaison des résultats obtenus avec d’autres institutions qui prennent des toxicomanes en charge).Des études catamnéstiques comparent des toxicomanes avec d’autres groupes de malades pour évaluer (entre autres) le degré de dépendance dans cette population.Un questionnaire réalisé à Bâle sur les drogues et l’alcool présente un intérêt méthodologique remarquable.Des études cliniques plus traditionnelles gardent encore une place importante. A Lausanne, on étudie des démences séniles et d’Alzheimer chez les personnes âgées, dans le but de comparer des thérapeutiques différentes.A Genève, plusieurs éludes catamnestiques portent sur l'évolution des patients schizophréniques, en particulier suivis en ambulatoire.A Zurich, depuis 1959, on effectue tous les 5 ans une étude prospective pour étudier l’insertion sociale des malades mentaux.A Berne, sont étudiés les facteurs prognostiques chez les patients dépressifs et schizophrènes (famille, environnement).En ce qui concerne la médecine psychosomatique plusieurs projets ont trait aux réactions psychologiques des patients présentant une maladie chronique.En matière de psychopharmacologie tous les “centres” des villes universitaires participent à l'évaluation des nouveaux psychotropes, on relève cependant un manque d’études comprenant des contrôles “placebo”.A titre d'exemples, ont été étudiés : • les effets des perfusions de dibenzépine, de clomipramine et de maprotiline; • la réponse TRH comme élément éventuel de prédiction de la réponse aux antidépresseurs tricycliques (Bâle) ; • la corrélation des concentrations plasmatiques de maprotiline, d’amitriptyline et de nortriptyline avec l’efficacité clinique (Lausanne) ; • enfin, les vertus potentielles du L-tryptophane dans les troubles du sommeil font l'objet d’investigations actuelles.
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Krakowka, Francis. "Confinement et dépression de la personne âgée." L'Aide-Soignante 35, no. 227 (May 2021): 14–15. http://dx.doi.org/10.1016/j.aidsoi.2021.03.005.

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Hewston, Patricia, Angeles Garcia, Beatriz Alvarado, and Nandini Deshpande. "Fear of Falling in Older Adults with Diabetes Mellitus: The IMIAS Study." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 37, no. 3 (June 29, 2018): 261–69. http://dx.doi.org/10.1017/s071498081800020x.

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Abstract:
RÉSUMÉPlusieurs déterminants associés au développement de la peur de tomber (PT) coïncident avec les conséquences du diabète sucré (DS). Nous avons comparé la prévalence et la sévérité de la PT chez des personnes âgées avec et sans DS, et avons identifié quels déterminants de la PT contribuent à la sévérité de la PT chez les aînés avec DS. Des données de base canadiennes provenant de l’étude ‘International Mobility in Aging Study’ (IMIAS) ont été utilisées. Cent quarante-et-un adultes âgés avec DS ont été identifiés (groupe DS; âge: 68.88±2.80 ans), et 620 ont été classés sans DS (groupe sans DS; âge: 68.81±2.68 ans). La PT a été quantifiée avec l’échelle Falls Efficacy Scale–International (FES-I). Les déterminants de la PT ont été évalués en fonction de variables démographiques liées à la santé, ainsi que selon des variables physiques, psychologiques et sociales. Une préoccupation élevée pour la PT était particulièrement prévalente et sévère pour 10/16 activités FES-I dans le groupe DS, comparativement au groupe sans DS. Une PT plus grave dans le groupe DS était associée à une mauvaise condition physique, au sexe féminin, à un historique de chute et à des symptômes dépressifs. Le développement de protocoles pour le dépistage et d’interventions permettraient de réduire la gravité de la PT dans cette population.
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Hazif-Thomas, C., and P. Thomas. "L’hypocondrie chez la personne âgée." NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie 11, no. 61 (February 2011): 4–12. http://dx.doi.org/10.1016/j.npg.2010.12.003.

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Vogel, Thomas, and Pierre Olivier Lang. "Iatrogénie chez la personne âgée." Actualités Pharmaceutiques 57, no. 572 (January 2018): 23–25. http://dx.doi.org/10.1016/j.actpha.2017.11.005.

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So, Alexander, and Cem Gabay. "Rhumatologie chez la personne âgée." Revue Médicale Suisse 6, no. 240 (2010): 539. http://dx.doi.org/10.53738/revmed.2010.6.240.0539.

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Hazif-Thomas, C. "Dépression et santé cognitive de la personne âgée." French Journal of Psychiatry 1 (November 2018): S78. http://dx.doi.org/10.1016/s2590-2415(19)30192-8.

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Cameron, Duncan H., and Mark J. Rapoport. "Antidepressants and Driving in Older Adults: A Systematic Review." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 35, S1 (April 19, 2016): 7–14. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980816000064.

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Abstract:
RÉSUMÉAvec le nombre croissant de conducteurs âgés pour lesquelles on prescrit des antidépresseurs, les conséquences potentielles de l’utilisation des antidépresseurs sur les compétences de conduite dans une population vieillissante deviennent un problème urgent. Nous avons effectué une analyse systématique en utilisant MEDLINE, ciblant des articles qui se rapportent spécifiquement aux antidépresseurs et à la conduite dans une population ou sous-groupe de personnes âgées (≥ 55 ans d’âge). La recherche a retourné 267 références, dont neuf portaient sur les effets des antidépresseurs sur la conduite chez les personnes âgées. L’étude expérimentale unique a trouvé que imipramine exerce des effets néfastes sur la conduite sur autoroute, alors que la néfazodone n’a pas fait. Sept des huit études de population ont rapporté une augmentation significative du risque d’être impliqué dans une collision associé à l’utilisation des antidépresseurs. Bien que les études ont indiqué un effet négatif des antidépresseurs sur la conduite, les conceptions épidémiologiques ne peuvent pas exclure la possibilité que la maladie sous-jacente, qui est généralement la dépression majeure, est la coupable.
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Vézina, Jean, Paul Bourque, and Yvon Bélanger. "Dépression, anxiété et bien-être suite aux différentes périodes de deuil chez les personnes âgeés." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 7, no. 4 (1988): 382–90. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800014884.

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Abstract:
RÉSUMÉCinquante-neuf personnes âgées en deuil du conjoint et vingt mariées ont répondu à un ensemble de questionnaires portant sur la dépression, l'anxiété et le bien-être. Les personnes âgées en deuil furent divisées en trois groupes en tenant compte du temps écoulé depuis le décès. Il ressort des résultats que les personnes en deuil sont plus dépressives, anxieuses et avec un niveau de bien-être inférieur comparé aux personnes âgées mariées; que les réactions sont encore présentes après plusieurs mois de deuil mais que les personnes âgées ne réagissent pas toutes aussi négativement à la perte du conjoint. Il est suggéré de poursuivre les études surtout longitudinales sur ce sujet.
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Pujol, J., and P. de Azpiazu Artigas. "Symptomatologie kaléidoscopique de la dépression de la personne âgée." L'Encéphale 34 (April 2008): S55—S60. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(08)73280-9.

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Sternberg, Shelley A., Shiri Guy-Alfandary, and Paula A. Rochon. "Cascade médicamenteuse chez la personne âgée." Canadian Medical Association Journal 193, no. 16 (April 18, 2021): E589. http://dx.doi.org/10.1503/cmaj.201564-f.

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Bauduceau, Bernard, and Jocelyne Bertoglio. "Le diabète chez la personne âgée." Soins 57, no. 763 (March 2012): 22–25. http://dx.doi.org/10.1016/j.soin.2012.01.019.

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Durant, R., H. Blain, and C. Jeandel. "Syndrome inflammatoire chez la personne âgée." EMC - Traité de médecine AKOS 1, no. 1 (January 2006): 1–5. http://dx.doi.org/10.1016/s1634-6939(05)38721-7.

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