Academic literature on the topic 'Descartes, René (1596-1650) – ˜Le œmonde – Critique et interprétation'

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Dissertations / Theses on the topic "Descartes, René (1596-1650) – ˜Le œmonde – Critique et interprétation"

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Sciaccaluga, Nicoletta. "Potentia naturalis : rôle et disparition d'une notion centrale dans la physique du jeune Descartes." Caen, 2008. http://www.theses.fr/2008CAEN1507.

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Abstract:
Ma recherche vise à déterminer le sens du syntagme “potentia naturalis” à l’intérieur de la physique et de la philosophie du jeune René Descartes (1596-1650), et surtout ses reflets sur le Traité de la lumière. Ainsi j’ai exploré la transformation à la quelle, par rapport à ses origines aristotéliciennes, cette notion a été soumise en tant qu’objet de la philosophie naturelle dans le milieu de formation de Descartes, surtout là où celui-ci était plus lié à la rébellion néoplatonicienne a l’Aristotélisme pendant la Renaissance et les débuts de la science moderne. De tout cela il en ressort que cette notion est centrale pour la compréhension de la physique cartésienne du mouvement, puisqu'elle a permis à Descartes de dépasser, avec pleine efficacité et ultérieurement au pur mécanisme, le modèle aristotélicien de l’extranéité entre mouvant et mobile et de concevoir le principe d’inertie comme conséquence d’une spécifique conception conservationiste de la nature. De plus, sa collocation par rapport à la puissance infinie de Dieu l’introduit dans un plus ample terrain métaphysique, celui de la conception du temps et de la substance. Pourtant on pourra voir aussi que la sauvegarde de la transcendance divine et l'opposition entre repos et mouvement dans une physique dominée par la statique ne rendent la rupture avec les positions précédentes que partielle
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Marsan, Eddy. "Etude comparative et critique de l'exigence de systeme chez lulle et descartes." Toulouse 2, 1992. http://www.theses.fr/1992TOU20021.

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Abstract:
La description de l'opus lullien, puis du systeme cartesien, nous revele que l'un et l'autre sont soutendus par le souci d'une architectonique systematique. Lulle, au treizieme siecle et descartes, au dix-septieme, tenterent de constituer une methode unique devant permettre de remonter la chaine des diverses sciences. Si descartes, qui connait l'oeuvre lullienne, nie toute parente entre ses ouvrages et le grand art de lulle, il nous faut cependant remarquer qu'il reprend l'idee lullienne d'un savoir total. Precisement, le philosophe francais s'inscrit dans la meme filiation neo-platonicienne que lulle et ne semble critiquer durement la tentative lullienne que dans le but de dissimuler la parente de son oeuvre avec celle-ci. Lulle et descartes rompent avec une attitude de contemplation de la nature et cherchent a imposer un savoir systematique. Ils ne vont pas a l'encontre de la tradition catholique. Ils se contentent d'en transcrire le message dans les termes d'une pensee conquerant du christianisme occidental. La proximite qui se revele entre les logiques contemporaines et les systeme lullien et cartesien est celle de leur autonomie. En se coupant deliberement de la realite, ces approches du reel apparaissent comme des tentatives autonomes: les preuves inherentes a un systeme peuvent se reveler sans aucune valeur pour celui qui n'accepte pas le postulat de depart, celui-ci s'identifiant avec l'intuition fondatrice
The description of the work of lull and then of the cartesian system reveals that both are upheld by the desire for systematic architectronics. Lull , in the thirth century and descartes in the seventh century attempted to constitue a unique method which would enable the return to the various sciences. Even if descartes, who was familiar with the work of lull, denies any relation between his work and lull's great art, it should, however, be noted that he takes up the lullian idea of total knowledge. Indeed, the french philosopher joins the same neo-platonic filiation as lull and seems only to criticize lull's endeavour severely to dissimulate the relation with his own work. Lull and descartes break with an attitude of contemplation of nature and try to impose systematic knowledge. Lull and descartes do not go against catholic tradition. They lilit thelselves to transcribing the message of tradition in terms of the conquering thought of western christianity. The essential proximity which is revealed between contemporary logic and the lullian and cartesian systems is that of their autonomy. Basing their work on founding intuition and deliberately cutting themselves off reality appear as autonomous attempts: the person who conceives the system provides proof of it, but this proof may be without any value for someone who does no accept the initial postulat which is identified with the founding intuition
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Macris-L'Hoest, Marie-Claire. "Descartes opticien : le problème de la réfraction chez Descartes et ses contemporains." Paris 1, 1985. http://www.theses.fr/1985PA010252.

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Onishi, Yoshitomo. "Volonté et indifférence chez Descartes." Paris 1, 2011. http://www.theses.fr/2011PA010509.

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Abstract:
Le contraste apparaît chez Descartes aussi frappant que déconcertant entre deux manières de penser la liberté de l'homme. Selon Ia Quatrième Méditation, la liberté consiste en ce fait que la volonté adhère sans faute à l'évidence de la vérité. Dans les Principes de la philosophie, à l'inverse, la volonté semble investie d'une nouvelle vigueur qui lui permet de s'éloigner même de la connaissance claire et distincte ; et nul, depuis E. Gilson, ne doute que cette vigueur prenne racine dans la conception jésuite qu'est la libertas indifferentiae. La présente étude aura alors pour tâche d' épuiser ce contraste, et cela au double sens : le penser à fond afin de le réduire. A cette fin, nous étudierons successivement: i) les formes embryonnaires de la notion d'indifférence, qui remonte jusqu'aux philosophies antiques, chez les Stoïciens et chez saint Augustin ; ii) la doctrine moderne de la liberté d'indifférence telle qu'elle est établie par Luis de Molina et élaborée ensuite par Francisco Suarez; iii) l'intention cartésienne de se tenir à l'écart de tout intérêt jésuite, et la singularité correspondante de l'idée qu'il se fait de la liberté de la volonté.
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Kambouchner, Denis. "La problématique cartésienne de l'affectivité." Paris 10, 1990. http://www.theses.fr/1990PA100109.

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Abstract:
Dans son dernier ouvrage publie, le traite des passions de l'âme, Descartes aborde une matière "obscure et confuse", qu'il "n'avait jamais étudiée" auparavant. De fait, la théorie de l'affectivité ne peut achever l'anthropologie cartésienne sans apporter par rapport aux affirmations de la "philosophie première" certaines complications notables. A travers un commentaire systématique du traite, articule aux principaux problèmes de la théorie des passions (leur définition; leur explication psycho-physiologique; leur classification; leur fonction ou "usage"; leur soumission à la raison ou à la volonté; la relation entre affectivité et moralité), on peut mettre en évidence la persistance d'une structure stratifiée de l'âme cartésienne, liée a la différence entre ses fonctions propres et celles qu'elle possède en tant qu'elle est unie au corps. Les fonctions "inferieures" de cette âme, parmi lesquelles les passions, sont intimement intégrées avec les fonctions du cerveau dans ce qu'il faudra appeler un fonctionnement "animal" de l'homme : si l'âme en tant que raisonnable peut se poser elle-même comme extérieure a ce fonctionnement, il se révèle pourtant bien plus nécessaire a sa propre "vie" qu'il ne pouvait sembler d'après les méditations. L'affirmation métaphysique de la "distinction réelle" de l'âme et du corps n'interdit donc pas de situer dans leur union, avec les conditions d'une auto-distinction de l'âme, celles de la subjectivité cartésienne en général
In his last published work (the treatise of the passions of the soul), descartes has tackled an "obscure and confused" matter that he had "never studied before". The fact is that the theory of emotions cannot achieve cartesian anthropology without imposing on the assertions of cartesian metaphysics several remarkable complications. In the course of a systematic analysis, organized around the main problems of the theory of passions (their general definition; their psycho-physiological explanation; their classification; their function of "use"; their submission to reason or to will; the relationship between affectivity and morality), one can give clear indication of a stratified structure of cartesian soul, which can be related to the distinction between its proper functions and those which imply its union to the body. The "inferior" functions of the soul, among which the passions take place, are intimately combined with brain functions in a functioning of man which can be qualified as animal. If the soul as "reasonable" can regard itself as exterior to this functioning, it appears nevertheless much more necessary. To the soul's life than it could seem to be, according to the meditations. The assurance of the "real distinction" between mind and body has therefore to be reinterpreted with respect to these conditions
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Beveraggi, Hervé. "La liberté spéculative chez Descartes et Spinoza." Aix-Marseille 1, 1997. http://www.theses.fr/1997AIX10068.

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Abstract:
Le probleme de la liberte de la pensee en general, et plus particulierement face a la verite, que nous pouvons appeler liberte speculative, ne trouve pas d'explication satisfaisante chez descartes et spinoza, representants des efforts de la raison raisonnante a l'inclure dans un systeme de la rationalite. Tous deux le comprennent a l'interieur d'ontologies differentes, le confrontent a des theories de la verite egalement differentes. Car la liberte speculative se manifeste bien face au couple verite - erreur : le faux l'empeche, est source de contrainte, seule la verite fournit le sentiment de liberte le plus haut pour descartes, ou est purement et simplement synonyme de liberte pour spinoza. Mais d'un cote, il nous semble impossible de parler de liberte si l'on ne peut refuser le vrai, s'il s'impose necessairement en nous. Si descartes parvient a sauvegarder l'experience du libre arbitre, affirmant la possibilite pour l'individu de penser a ce qu'il veut et ce qu'il veut d'une idee vraie, c'est au prix de contradictions internes a son systeme quant aux rapports liberte - transparence de la pensee, liberte - verite, liberte - omniscience divine. Spinoza evite ces contradictions en refusant le libre arbitre a partir de la critique systematique de ses fondements, mais affirme une libre necessite qui n'est plus reellement une liberte, consistant en une necessite interne de type mathematique, et la place dans un troisieme genre de connaissance finalement inaccessible
The problem of freedom of thought in general, and more particulary in front of truth, which can be called speculative truth, does not find a satisfying explanation with descartes and spinoza, the representatives of the efforts from reasoning reason to include the problem of freedom of thought in a system of rationality. Both philosophers include it inside different ontologies, confront it to theories of truth which are different as well. For, speculative truth indeed, manifests itself in front of the couple truth - error : falsehood prevents it, it a source of constraint, truth only provides the highest feeling of freedom for descartes, or is merely synonymous with freedom for spinoza. But, on the other hand, it seems impossible for us to speak about freedom if we connot refuse what is true, if it necessarily asserts itself into us. If descartes manages to safeguard the experience of free - will while affirming the possibility for the individual to think of whatever he wants, and to think whatever he wants about a true idea, it is then at the expenses of contradictions inner to his system as far as the following relationships are concerned : freedom - transparency of thought, freedom - truth, freedom - divine conscience. Spinoza avoids these contradictions by refusing free - will, from the systematic criticism of its foundations, but affirms a free necessity wich is no longer really a freedom, consisting in an inner necessity of the mathematical type, and assigns it in a third genre of knowledge, inaccessible in the end
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Gonzalez, Solange. "Le lieu chez Descartes." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040234.

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Abstract:
L'inachèvement des Regulae et la disparition du syntagme de mathesis universalis dans les œuvres ultérieures ont fait croire à un renoncement de la part de Descartes qui s'exprimerait dans son échec à mathématiser le réel. Interroger la question du lieu chez Descartes prétend rompre avec cette lecture discontinuiste et permet un parcours transversal dans l'œuvre. La notion de lieu permet un tel voyage dans la mesure où elle s'énonce dès l'abord selon un paradoxe susceptible de nous mener au cœur de la philosophie de Descartes : on s'attend à trouver sa définition dans le champ de la physique, et l'on est surpris d'apprendre que les corps n'occupent aucun lieu, par suite qu'ils ne se déplacent pas d'un lieu à un autre et plus radicalement que tout mouvement étant relatif, on peut légitimement considérer qu'un même corps se meut et ne se meut pas. Conformément à la conception de l'ingenium développée dans les Regulae, la puissance n'est reconnue que de l'esprit. Mais son exercice suppose néanmoins la présence d'un corps qui l'incarne ou la subit. Aussi est-il possible de lier la question du pouvoir à celle du lieu et de se demander en quoi le monde est le lieu de Dieu (Eucharistie) et le corps celui de l'âme. L'unité de la mathesis universalis se recompose ainsi en s'adjoignant, selon la matière concernée, les recours de l'imagination, de la mémoire et des sens, sans que l'esprit ne se dépossède de ses prérogatives
The noncompletion of Descartes'Regulae and the disappearance of the syntagma of mathesis universalis in later works lead us to believe a self-denial on Descartes behalf wich express itself in his failure to structure reality. To investigate the question of Descartes'locus presumes follow the evolution of his thought and allows a transversal course of his work. The notion of locus permits such a voyage by expressing itself first trough a paradox that leads us to the heart of Descartes' philosophy: we expect to find its definition in the field of physics and we are surprised to know that bodies fill no locus, because they don't move from one locus to another and, more radically, whereas every movement is relative, we can legitimately consider that the same body does and does not move. Such a conception seems not to allow a mathematical physics. Such a failure has also to be connected to an evolution in Cartesian's conceptions improved in the Regulae, especially concerning the part of imagination; The exertion of ingenium nevrtheless supposes the existence of a body that incarnates. So that it is possible to wonder in Which way the world is the locus of God (Eucharisty) as is the body the locus of the soul
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Agostini, Siegrid. "Claude Clerselier, editore e traduttore di René Descartes." Paris, EPHE, 2007. http://www.theses.fr/2007EPHE5007.

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Abstract:
Ce mémoire de thèse se propose de fournir une reconstruction historique de la figure de Claude Clerselier et de faire valoir le rôle qu’il a joué dans l’édition et dans la traduction de certaines des œuvres de René Descartes, et aussi dans la défense des thèses cartésiennes sur l’eucharistie. La source principale pour la reconstruction de ces relations et des débats est constituée par le manuscrit n. 366 (Sentimens de Mr Descartes et de ses sectateurs sur le Mystère de l’Eucharistie. Recueil curieux et rare), conservé à la Bibliothèque municipale de Chartres : les documents contenus dans ce manuscrit sont pour la majeure partie des lettres ou des extraits de lettres écrites et reçues par Clerselier entre 1654 et 1681. L’importance de Clerselier réside aussi dans son activité d’éditeur et traducteur de Descartes. Pour brosser le portrait de l’activité du Clerselier éditeur, j’ai avant tout examiné les Préfaces à l’édition des Lettres, qui constituent des sources riches d’informations ; les Lettres elles-mêmes représentent un témoignage d’importance, parce que c’est d’elles qu’émerge la volonté de Clerselier de célébrer la grandeur de Descartes et de reconstruire une image édifiante du philosophe. La thèse se constitue de deux tomes. Le tome I comporte, après une introduction, quatre chapitres suivis d’une conclusion, d’ une table chronologique générale de la correspondance de Clerselier, d’une bibliographie (des manuscrits, des sources imprimées et des études). Le tome II donne la transcription de lettres du manuscrit n. 366, présentés selon l’ordre alphabétique des correspondants (Bertet, Daniel, Denis, Desgabets, Fabri, Malaval, Pastel, Poisson, Terson, Vinot, Viogué)
The aim of this thesis is to give a historic reconstruction of the figure of Claude Clerselier and emphasize not only the role he played in the edition and translation of some works by René Descartes, but also in the defence of the Cartesian theses on the Eucharist. The principal source for the reconstruction of the relationships and debates is constituted by the manuscript n. 366 (Sentimens de Mr Descartes et de ses sectateurs sur le Mystère de l’Eucharistie. Recueil curieux et rare) in town library of Chartres : the documents included in this manuscript are mostly some letters or abstracts of letters written and received by Clerselier between 1654 and 1681. Clerselier is also important because of his activity of editor and translator of Descartes. To outline the portrait of the activity of Clerselier editor I first examined the Préfaces to the edition of the Lettres which constitute some sources, very rich in information; the same Lettres are a very important testimony because from them comes out Clerselier’s willing to celebrate the greatness of Descartes and reconstruct an edifying image of this philosopher. My thesis is made up of two volumes. The volume I contains, after an introduction, four chapters followed by a conclusion, a general chronological table of Clerselier’s correspondence, and a bibliography (some manuscripts, some printed sources and some studies). The volume II contains the transcription of the letters of the manuscript n. 366, according to the alphabetical order of the correspondents (Bertet, Daniel, Denis, Desgabets, Fabri, Malaval, Pastel, Poisson, Terson, Vinot, Viogué)
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Delia, Luigi. "La verità filosofica nel pensiero di Descartes : studio storico, critico e semantico." Dijon, 2007. http://www.theses.fr/2007DIJOL025.

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Abstract:
La question de la vérité, c’est-à-dire de sa recherche et des expériences requises pour s’en emparer; de sa possibilité et de son origine; de ses caractères et des choix qui portent sur elle; de sa force contraignante et de sa formation intellectuelle; de sa cohérence et de sa correspondance; de son univocité et de sa diverse modulation discursive; de l’usage, enfin, qu’il convient qu’on en fasse en vue du progrès de la science et du perfectionnement moral de l’homme, n’est pas une question locale, mais traverse comme une idée directrice l’ensemble du projet (cohérent, et en même temps, pluriel) de la philosophie cartésienne. Notre thèse s’est fixé un triple objectif: reconstruire le contexte intellectuel dans lequel se forme l’idée cartésienne de vérité; mener une enquête plus intrinsèque à l’œuvre de Descartes, visant à réfléchir sur les principaux problèmes interprétatifs liés à cette notion; accomplir une étude lexicale consacrée au registre négatif de la vérité
The question of truth, that is of its research and of the proper experiences that allow to grasp it (the necessity of the method); of its possibility and of its origin; of its characteristics and of the choices that imply it; of its constraining force and of its intellectual formation; of its coherence and of its correspondence; of its univocallity and of its diverse discursive modulation (distinction of the three primitive notions); of the use, last, that we must rightly make of it in light of science’s progress and of human moral development, is not a localised question but indeed transpires through all the Cartesian philosophy project. The defended thesis was fixed around a triple objective: to reconstruct the intellectual context within which is shaped the Cartesian idea of truth; to conduct an enquiry within Descartes’ work, aiming to think over the main interpretative problems linked to this notion; to conduct a lexical study dedicated to the negative register about truth
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Wong, Alexandre. "Les figures de la volonté dans la philosophie de Descartes." Paris 1, 2002. http://www.theses.fr/2002PA010615.

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Abstract:
Une définition de I 'idée de volonté est tentée à travers une déclinaison systématique de ses figures ou modes. Ces figures sont tirées de la conception cartésienne de la partie active ou volontaire du cogito. Elles sont au nombre de cinq et ont pour nom: le jugement, le désir, l 'indifférence, le libre arbitre, la toute-puissance. Ces noms de la volonté la désignent sans se confondre avec elle. Analysés séparément, puis combinés dialectiquement, ils forment un ensemble cohérent d'éléments qui décrivent les diverses phases continues d'apparition de l'idée de volonté. Mieux approchée par ses dernières figures, la volonté n'est pas appréhendable en dehors de celles-ci. Elle n'est toutefois pas une idée ou un concept. Son idée la représente différente de son idée. L'étude des sources historiques des figures volontaires (l' étude du consentement stoi͏̈cien et sceptique, du désir platonicien et aristotélicien, de l'indifférence pyrrhonienne, du libre arbitre patristique, de la toute-puissance scolastique) montre que la conception cartésienne et moderne de la volonté n'a pas été dépassée. Aucune autre figure n'a été proposée pour penser la volonté
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